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Blog - Page 306

  • La vidéo établit que l’Afghan à la hache de Wurtzbourg est pakistanais

    http://fr.novopress.info/202577/video-etablit-islamiste-hache-train-wurtzbourg-pakistanais/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

  • Agressées au couteau pour leur tenue trop légère ? (MàJ : l’agresseur se justifie)

    http://www.fdesouche.com/749807-hautes-alpes-une-mere-et-ses-trois-filles-agressees-coups-de-couteau-un-motif-religieux

    Lire: c'est bien une agression islamiste qu'on veut cacher!  

  • Les slogans clairs et nets de la campagne hongroise contre l’immigration

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    20/07/2016 – HONGRIE (NOVOpress) : A deux mois et demi du référendum sur la politique d’immigration, le gouvernement hongrois a diffusé les premiers slogans de sa campagne d’information en faveur du rejet des quotas d’immigrés voulus par l’Union européenne. Ça dépote ! A se demander si le gouvernement de la Hongrie ne s’est pas inspiré de la communication directe de Robert Ménard à Béziers !

    Articulés autour de « Tudta ? » (« Le saviez-vous ? »), les slogans clament : « Le saviez-vous ? Les attentats de Paris ont été commis par des migrants », « Le saviez-vous ? Les abus contre les femmes ont augmenté de manière exponentielle depuis le début de la vague migratoire en Europe », « Le saviez-vous ? Depuis le début de la vague migratoire, plus de 300 personnes sont mortes du terrorisme en Europe », « Le saviez-vous ? Bruxelles veut que nous recevions un nombre de migrants équivalant à la taille d’une ville », etc. Le référendum est fixé au 2 octobre.

     

  • UZÈS Il agresse violemment une grand-mère et menace de tout faire péter « comme à Nice »

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    Un homme de 32 ans est en garde à vue depuis lundi soir 22h30, après une violente agression survenue dans le centre-ville d’Uzès. Il a arraché un sac à une dame de 70 ans.

    Cet homme très défavorablement connu des forces de gendarmerie et condamné récemment pour un trafic de stupéfiants avait été reconduit en avril dernier dans son pays natal, le Maroc. Il avait une interdiction judiciaire de séjour sur le territoire national. Il est revenu malgré cette interdiction et il en a profité pour faire parler de lui hier soir.

    Fortement alcoolisé, il s’en est pris à une dame qui se promenait dans les rues du duché. Quelques minutes après cette agression, il a été interpellé par la police intercommunale. Une arrestation houleuse d’après les forces de l’ordre, puisque cet homme aurait proféré des menaces de « tout faire sauter comme à Nice » !

    Il a été présenté mardi en soirée au parquet de Nîmes qui a demandé au juge des libertés et de la détention de le maintenir incarcéré jusqu’à son jugement en comparution immédiate dans la semaine. Il est poursuivi pour « vol avec violence, apologie du terrorisme et pénétration sur le territoire national alors qu’il a une interdiction d’y séjourner », affirme le substitut du Procureur, Patrick Bottero.

    Boris De la Cruz

    ObjectifGard

  • Attentat de Nice : l'Intérieur a-t-il menti sur la sécurisation de la promenade des Anglais ?

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/07/21/01016-20160721ARTFIG00001-attentat-de-nice-une-seule-voiture-de-police-municipale-securisait-l-entree-de-la-promenade-des-anglais.php#

    NdB: La seule chose qui les préoccupe, c'est de barrer la route... au Front National! 

  • Attentat de Nice : des décapiteurs de Daech félicitent Bouhlel

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    >Faits divers|20 juillet 2016, 22h31 | MAJ : 20 juillet 2016, 22h52|9

    Capture d'écran. Dans une vidéo de propagande, deux djihadistes menacent la France avant de décapiter deux hommes.

     
      
     
    Faits diversAttentat de NiceDaechTerrorisme
     

    «Nous venons ici nous féliciter et nous réjouir de l'attaque de Nice», proclame un djihadiste à la barbe longue et au turban noir. Dans une vidéo authentifiée par le site américain SITE et diffusée mercredi soir, le groupe terroriste Daech revendique une nouvelle fois le sanglant attentat du 14 juillet à Nice et rend hommage au tueur Mohamed Lahouaiej Bouhlel.


    Dans cette vidéo de 7 minutes typique des productions de Daech, deux francophones mettent en scène l'exécution de deux «espions» et menacent la France. « Telle est la rétribution du peuple criminel qu'est le peuple français qui n'hésite pas à descendre dans la rue pour son ventre, pour son contrat de travail», poursuit le djihadiste en uniforme devant une petite foule dans un lieu indéterminé au milieu d'une ville dans la province irakienne de Ninive (nord).

       

    Marseille menacée pour la première fois

     

    « Chaque missile tombé ici sera rendu et nous n'aurons aucune hésitation, ô François Hollande. Nous allons intensifier nos attaques» prévient encore le militant terroriste.

     

    Un autre djihadiste à l'accent moins marqué prend alors la parole avant d'égorger son otage : « Regarde bien cette scène François Hollande, elle va bientôt arriver dans les rues de Paris, de Marseille, de Nice et dans toute la France».

     

    Daech avait revendiqué samedi l'attaque de Nice en affirmant qu'elle venait en réponse aux appels du groupe à prendre pour cible les pays faisant partie de la coalition antijihadiste en Irak et en Syrie. La France fait partie de cette coalition menée par les Etats-Unis qui bombarde des positions du groupe terroriste.

     

    Des experts estiment que l'EI ne semble pas avoir organisé directement les récentes attaques en France ou en Allemagne mais pourrait avoir inspiré ses auteurs et chercher à renforcer son image de terreur en les revendiquant.

    LE PARISIEN

     

  • VIDEO. Attentat de Nice : une seule voiture de police municipale barrait la Prom'

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/video-attentat-de-nice-une-seule-voiture-de-police-municipale-barrait-la-prom-20-07-2016-5982913.php

    +INFOGRAPHIE

    NdB: Nous allons de mensonges en mensonges de part de ce Gouvernement

  • En Israël, le mystère des "bébés disparus" bientôt résolu?

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    20/07/16 à 08:32 - Mise à jour à 08:32

    C'était il y a 66 ans mais Shoshana Dougma se souvient clairement du matin où elle est entrée dans la pouponnière pour nourrir son bébé, dans le camp d'immigrants où elle vivait en Israël, et a découvert qu'il avait disparu.

    © capture d'écran

    "A six heures du matin, j'étais la première et ma fille n'était pas là. Son lit était vide", raconte cette femme aujourd'hui âgée de 83 ans.

    Comme des milliers d'autres juifs yéménites qui venaient de gagner le tout jeune Etat dans les années 1950, Shoshana vivait dans une tente avec sa famille, dans un camp du nord du pays.

    Mazal, 11 mois, "n'était pas malade, elle n'était pas faible, elle mangeait bien", insiste-t-elle dans un hébreu mêlé d'arabe dans sa maison d'Elyakhin, sur la côte. Shoshana n'a jamais su ce qui est arrivé à sa fille. Et de telles histoires, il s'en raconte depuis des décennies en Israël.

    Militants des droits de l'Homme et familles d'immigrants affirment que des milliers de bébés ont été enlevés à leurs parents biologiques dans les années qui ont suivi la création d'Israël en 1948: principalement dans des familles juives yéménites, mais aussi originaires d'autres pays arabes ou encore des Balkans.

    Qui a donné les ordres ?

    Ils assurent que ces bébés ont été donnés à des couples juifs ashkénazes (originaires d'Europe de l'est), en mal d'enfants, en Israël et à l'étranger. Les médecins assuraient aux parents biologiques que leur enfant était mort, mais ne leur remettaient jamais le corps, selon ces militants.

    Au fil des ans, plusieurs enquêtes officielles ont conclu que la majorité des enfants disparus étaient morts, mettant en avant les mauvaises conditions sanitaires dans ces camps. Mais elles n'ont pas réussi à dissiper les doutes.

    Face aux appels de plus en plus pressants des familles de disparus, une commission parlementaire vient d'être mise en place pour tenter de faire la lumière sur cet épisode douloureux. "Où ont disparu ces enfants? Et qui a donné les ordres?", veut savoir la députée Nourit Koren, qui en est à l'origine.

    Cette élue du Likoud (droite), elle-même originaire du Yémen, a reçu le soutien de députés de tous bords et celui du Premier ministre Benjamin Netanyahu qui s'est dit favorable à l'ouverture de dossiers qui devaient rester classifiés pour des décennies.

     

    'Blessure ouverte'

    "C'est une blessure ouverte dans le coeur de la nation", souligne Mme Koren. Car cette histoire résonne des accusations de racisme et de "discrimination" formulées par les sépharades (juifs originaires des pays arabes) à l'encontre de "l'establishment" contrôlé par les ashkénazes, qui ont fondé l'Etat.

    Après la création de l'Etat, les autorités ont installé des camps pour gérer l'afflux de nouveaux immigrants, essentiellement venus des pays arabes, dont 30.000 yéménites.

    Une partie d'entre eux étaient en mauvaise santé, explique Esther Meir-Glitzenstein, spécialiste à l'université Ben Gourion de l'immigration yéménite en Israël. Et selon elle, ils ont été confrontés au "paternalisme" des Israéliens d'origine européenne, qui ont pu estimer que les enfants de ces nouveaux-venus, arabophones, seraient mieux avec eux.

    'rentre à la maison'

    Le bébé de 7 mois de Barood Jibli, également d'origine yéménite, a disparu en 1950. Arrivée à la pouponnière pour s'occuper de Tziona, elle s'est retrouvée nez à nez avec des infirmières. "Elles m'ont dit qu'elle ne se sentait pas bien" et qu'elle était hospitalisée à Haïfa, raconte la vieille dame de 86 ans.

    Elle s'est précipitée à l'hôpital avec son mari. "On a dit: "On veut voir notre enfant". Ils ont répondu: "Elle est morte"".

    "J'ai dit "c'est pas possible. Je l'ai nourrie hier. Elle est en bonne santé et forte". Ils ont dit: "Ma petite, rentre chez toi, on ne peut rien pour toi"".

     

    La première commission d'enquête sur ces disparitions date de 1967. A l'époque, les langues commencent à se délier quand les parents reçoivent les convocations au service militaire pour leurs enfants disparus. La commission a conclu que sur 342 enfants "disparus", 316 étaient morts.

    Sa fiabilité ayant été remise en question, deux autres commissions furent créées en 1988 et en 1995. En 2001, elles ont conclu que 927 enfants étaient morts sur les 1.033 cas de disparitions examinés.

    Le sort de 56 enfants a été impossible à déterminer. La trace de cinq autres a été retrouvée. Mais la commission a rejeté les accusations de vol. Dans la plupart des cas, selon elle, il s'agit de parents qui n'ont pas été informés correctement de la mort de leur bébé.

     

    Ces conclusions n'ont pas convaincu familles et militants, notamment car les dossiers ont été classifiés pour 70 ans pour cause de confidentialité des témoignages.

     

    Un jumeau manquant

    Shlomi Hatouka, 38 ans, milite pour leur déclassification. Cet Israélien a découvert à 16 ans que sa grand-mère d'origine yéménite avait donné naissance à des jumeaux dont l'un a été "enlevé".

    Depuis, il a fondé le groupe Amram qui collecte des témoignages sur ce "crime contre l'humanité", comme celui de Gili Grunbaum, 60 ans. Durant la moitié de sa vie, il a cru être le fils de survivants de la Shoah avant de découvrir qu'il avait été adopté.

    Il a retrouvé sa mère biologique, d'origine tunisienne, à qui on avait annoncé que son bébé était mort juste après la naissance. "Je lui ai demandé pourquoi elle n'avait pas réclamé le corps, pourquoi il n'y avait pas eu de funérailles", raconte M. Grunbaum. "Mais ils étaient naïfs, ils venaient d'immigrer et acceptaient ce qu'on leur disait sans poser de questions", poursuit-il. Grave, il ajoute: "personne ne peut se prendre pour Dieu, et décider où un enfant vivra le mieux".

  • Nice. Et après ?

     

     

    La tragédie de Nice mérite autre chose que des lamentations. Il faut rendre des comptes car cette boucherie a révélé la stupéfiante incompétence des autorités à tous les niveaux (municipal, départemental, régional, national) dont aucun politicien ne peut se dédouaner, du trio Hollande-Valls-Cazeneuve à un Estrosi qui se dépêche d’accuser les autres pour essayer de dissimuler sa responsabilité dans ce carnage puisqu’il est bel et bien comptable de la sécurité des Niçois. Il aurait dû en effet veiller, en tant que premier adjoint de la ville de Nice (où tout le monde sait très bien que tout en n’étant plus officiellement maire il tire toutes les ficelles) à la mise en place d’un système de sécurité à la hauteur d’un événement attirant, comme il était prévisible, une foule de spectateurs, parmi lesquels beaucoup de femmes et d’enfants. Or il se défausse de sa responsabilité, d’une manière indigne que pointe du doigt à juste raison Marie-Christine Arnautu, députée européenne, présidente du groupe FN au conseil municipal de Nice.

    La tragédie de Nice suscite une légitime émotion collective. Partagée par tous ? Eh non. Le samedi 16 juillet avait lieu à Forcalquier un mariage maghrébin. Un long cortège de voitures, klaxons bloqués, a envahi le centre de la ville. A une portière, un homme hilare faisait avec ses doigts le V de la victoire. Une heure avant, les media annonçaient que Daesch revendiquait le carnage de Nice…

    Celui-ci est une étape dans le processus de guerre enclenché par ceux pour qui la mort de Gaulois, ces mécréants, est une offrande à leur Dieu. Ceux qui nient cela vont être confrontés de façon de plus en plus directe à la colère qui monte chez les Gaulois. Les anesthésistes de tous bords n’y pourront rien. Trop de mensonges, trop d’impuissance, trop d’incompétence, trop de lâcheté (pas d’amalgame, n’est- ce pas ?). Trop, c’est trop.

                                                                           Pierre VIAL

    TERRE ET PEUPLE

    (Merci à Dirk)

  • Tuerie de Nice: un rescapé russe a vu deux terroristes

    https://m.facebook.com/panhamza/photos/a.259863080821062.1073741827.258337060973664/690340167773349/?type=3&theater

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    NICE : UN RESCAPÉ A VU DEUX TERRORISTES.

    INFO PANAMZA : le 15 juillet, le quotidien russe a rapporté le témoignage de Baï Parchoev, rescapé de la tuerie de Nice.
    Ses propos ont été traduits et publiés -aujourd'hui, mardi 19 juillet- par le site du Courrier de Russie {http://panamza.com/btm; http://panamza.com/btn}.

    Le jeune homme de 28 ans est catégorique :

    « Je ne comprends pas pourquoi on ne parle que d’un terroriste ?
    Ils étaient deux !
    Un qui conduisait, et un autre sur le siège passager, c’est lui qui a tiré ».

    Rappel : selon François Molins, procureur de la République de Paris , seul un homme, dénommé Mohamed Lahouaiej Bouhlel, a été « retrouvé mort » dans le camion -« sur le siège passager » {http://panamza.com/16569}.

  • Tuerie de Nice : le camion n’avait pas le droit de circuler le 14 juillet!!! Ni le 13…

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    Comment ce camion de 19 tonnes a pu se retrouver jeudi 14 juillet sur la promenade des Anglais ? Les Niçois et plus particulièrement les chauffeurs-routiers et transporteurs se posent la question depuis l’attentat de Nice qui a fait 84 morts et plus de 300 blessés. « C’est irréel » s’exclame Patrick Mortigliengo, le président de la FNTR (Fédération nationale des transports routiers) des Alpes-Maritimes. D’abord, tous les transporteurs que nous avons contactés affirment avec certitude que ce camion « n’est pas frigorifique » contrairement à ce qu’a indiqué le procureur de la République de Paris, François Molins, qui expliquait vendredi 15 juillet, que le terroriste avait frappé a bord d’un « véhicule frigorifique de 19 tonnes loué à une société de Saint-Laurent-du-Var ». (…) . Ce camion est en fait un Renault Midlum de livraison.

    Frigorifique ou pas, le camion n’avait rien à faire sur la voie publique le 14 juillet car la législation est très claire, elle est la même partout en France. « Sur l’ensemble du réseau routier, les véhicules ou les ensembles de véhicules de plus de 7,5 tonnes de PTAC affectés aux transports routiers de marchandises dangereuses ou non-dangereuses, à l’exclusion des véhicules spécialisés et des matériels et engins agricoles, n’ont pas le droit de circuler du samedi 22h au dimanche 22h. Cette interdiction générale s’applique également les veilles de jours fériés à partir de 22h jusqu’à 22h le lendemain ». Ce camion blanc de 19 tonnes était donc concerné par l’arrêté préfectoral.

    En d’autres termes, ce camion roulait en toute illégalité le jeudi 14 juillet quand, à quatre reprises, le tueur, Mohamed Lahouaiej Bouhlel, est venu repérer les lieux. François Molins a précisé ce lundi 18 juillet que « plusieurs selfies de l’auteur ont été pris le 14 juillet sur la promenade des Anglais. L’un à 13h43 devant la plage. Un second à 16h02 devant un camion remorquant un char d’assaut. Un troisième à 16h42 sur la promenade des Anglais. Enfin, un quatrième à 19h25 devant une allée piétonne ».L’exploitation de vidéosurveillance de la ville de Nice confirme également que le terroriste s’est rendu avant de passer à l’acte « au volant du camion sur la promenade ».

    Ce camion était également sur la voie publique en toute illégalité, quand à 21h34 le jeudi 14 juillet, Mohamed Lahouaiej Bouhlel est monté à bord du camion dans le quartier Auriol, à l’est de Nice. Même chose à 22h30 quand il apparaît quartier Magnan avant de prendre la direction de la promenade des Anglais pour commettre son attentat.

    En plus de l’arrêté préfectoral, la promenade des Anglais, comme l’ensemble du territoire de la Ville de Nice, fait l’objet d’un arrêté municipal permanent (2014-03878 du 29 septembre 2014) interdisant la circulation des véhicules dont le poids total est égal ou supérieur à 3,5 tonnes.

    Patrick Mortigliengo, comme ses collègues transporteurs, ne comprend pas comment les forces de l’ordre n’ont pas repéré ce poids lourd. (…)

    La Préfecture des Alpes-Maritimes n’a pas souhaité répondre à nos questions renvoyant au parquet de Paris, chargé de l’enquête. La mairie de Nice a donc répondu ce mardi soir : « Il existe bien un arrêté préfectoral et un arrêté municipal régissant la circulation des poids-lourd. La Ville de Nice ne peut en aucun cas faire appliquer un arrêté préfectoral. Il existe des exceptions-dérogations à cet arrêté municipal permettant à certains camions de 19T de circuler en ville et sur la Promenade des Anglais. Exemple: livraison, déménagement… Il n’est donc pas possible d’identifier uniquement par les caméras un camions étant autorisé ou non autorisé. La Police Municipale effectue des contrôles réguliers et quotidiens sur la Promenade des Anglais.Les caméras du CSU sont aussi mises à disposition de la Police Nationale. Ces derniers ont le même accès aux caméras que la Police Municipale. Ils peuvent visionner en temps réel, les diriger et ainsi surveiller la circulation tout comme le fait la Police Municipale. »

    Nous rappelons que la sécurité est une mission régalienne.

    Bien que les 1400 caméras de Nice constituent un maillage de toute la ville, il est impossible d’avoir un agent qui visionne les images de chaque camera de la ville en temps réel. Nous rappelons que ce sont des agents de la Police Municipale, qui n’avaient pas été réquisitionné par la Préfecture pour le 14 Juillet, mais qui était sur une autre mission sur le terrain, qui ont constaté le camion à son entrée sur la Promenade et qui ont immédiatement donné l’alerte ayant permis à la Police Nationale de stopper le camion quelques seconde après. Sans leur intervention, le camion aurait pu continuer sa course bien plus loin.

    Source

    DélitD'Images

     

  • JOURNAL TVLibertés DU 20 JUILLET 2016: Terrorisme / L’état d’urgence se dilate

    01:14 - Terrorisme / L’état d’urgence se dilate
    05:37 - Politique / La motion de censure de Nicolas Dupont-Aignan
    07:48 - Santé / Le vaccin Méningitec inoffensif

  • La sortie remarquée du républicain Steve King sur les non-Blancs et leur « contribution » à la « civilisation »

    http://www.fdesouche.com/749759-la-sortie-remarquee-du-republicain-steve-king-sur-les-non-blancs-et-leur-contribution-la-civilisation

    +VIDEO

  • Attaque terroriste à Nice: ce qu'ils ne vous disent PAS

    http://www.ndf.fr/poing-de-vue/19-07-2016/attaque-terroriste-a-nice-ce-quils-ne-vous-disent-pas/

    + VIDEO

  • Après l’attentat de Nice : un dessin de Raymond Burki

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    19/07/2016 – FRANCE (NOVOpress) : Sur sa page Facebook, le dessinateur vaudois Raymond Burki a publié ce dessin, sobrement intitulé « L’après Nice ». Tout commentaire serait superflu.

    !cid_ii_156054ec2ef77e0a.jpg l'après-nice.jpg

  • Italie : 2 500 migrants africains secourus aujourd’hui en Méditerranée

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    23h12

    Plus de 2500 migrants embarqués sur des bateaux bondés ont été recueillis mardi au large des côtes libyennes et un corps a été repêché, ont fait savoir les gardes-côtes italiens.

     

    Trois navires de la marine italienne ont pris part à l’opération de sauvetage. Des bâtiments britanniques et espagnols de l’opération européenne « Sophia » ont eux aussi participé au sauvetage. [...]

    Le Figaro