http://fr.novopress.info/202325/femmes-voilees-aux-commandes-de-centres-sociaux-rhone/
Blog - Page 315
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Des femmes voilées aux commandes des centres sociaux dans le Rhône
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Quand Valls laisse son téléphone sécurisé à une puissance étrangère
Laquelle ? On vous le donne en mille...
- Publié le : mardi 5 juillet 2016
- Mots-clés : France; International; Israël; Manuel Valls; Renseignement
- Commentaires : 54
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- Source : numerama.com
- E&R
L’information est étonnante et révèle, soit une extrême confiance dans les talents des ingénieurs français qui travaillent pour l’État, soit un certain amateurisme de Matignon.
L’Express révèle ce mardi qu’à l’occasion de sa visite en Israël, du 21 au 24 mai 2016, le Premier ministre Manuel Valls et ses collaborateurs ont été priés de « laisser leurs téléphones sécurisés avant d’être reçus en haut lieu », et qu’ils ont… accepté de les perdre ainsi de vue, au risque qu’ils soient subtilisés par des agents israéliens.
Du coup, les agents de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information (Anssi) sont aujourd’hui priés de mener des investigations poussées, puisque « en les reprenant, la délégation a eu la mauvaise surprise de constater que plusieurs d’entre eux présentaient des signes “d’anomalie” » qui auraient alerté les services français.
Plein de bisounours-attitude, Matignon indiquerait, selon L’Express que « l’enquête en cours fait partie de la procédure habituelle » et que — prière de ne pas rire, « un allié n’espionne jamais ses amis ».
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Le Bangladesh accuse Israël d’être impliqué dans l’attentat meurtrier de Dacca
- Publié le : mercredi 6 juillet 2016
- Mots-clés : Bangladesh; Daech; International; Israël; Terrorisme
- Commentaires : 25
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- Source : medias-presse.info
- E&R
Suite à l’attentat qui a fait vingt morts – en majorité des touristes – dans un restaurant de Dacca, le ministre de l’Intérieur du Bangladesh, Asaduzzaman Khan, a accusé Israël d’être à la manœuvre.
« Le Bangladesh est devenu la cible d’un complot international, et une agence de renseignement étrangère a rejoint la conspiration. [...]
Récemment, nous avons arrêté un responsable politique de notre pays qui a rencontré un agent du renseignement israélien, pas besoin d’aller plus loin dans les explications. »
Le ministre fait allusion à Aslam Chowdhury, secrétaire général du Parti nationaliste du Bangladesh (PNB), accusé d’avoir rencontré en mars dernier un agent du Mossad lors d’un voyage non-officiel.
L’attentat de Dacca avait été revendiqué par l’État islamique. L’enquête a révélé que parmi les auteurs de l’attentat figurent un diplômé d’une université privée réputée, un étudiant de 18 ans d’une grande école, un enseignant de maternelle de 26 ans et le fils d’un homme politique bangladais proche du pouvoir en place.
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Bernard Lugan :"L'Afrique du Nord est dans une phase d'implosion, d'explosion, de perdition…"
Contre-info.com
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Florian Philippot réagit à la Loi Travail et au Brexit (F2, 06/07/16, 7h35)
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VIDEO - Hongrie : la campagne du référendum sur les quotas de réfugiés est lancée
https://youtu.be/0Ytiq-lQI-o
19h54« Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois?«
C’est la question qui sera posée aux citoyens hongrois le 2 octobre prochain. Le gouvernement, qui est contre l’instauration de quotas décidés par l’Union Européenne, a déjà installé des pancartes dans les rues, sur lesquelles on peut lire: « envoyons un message à Bruxelles, pour que ce soit clair pour eux aussi« .
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Le curé de Mérignac invite ses fidèles à fêter le ramadan
Les catholiques de Mérignac sont appelés à se rendre, le mercredi 06 juillet, à la mosquée Essalam de Mérignac pour « fêter la fin du ramadan ». Invités non pas par l’imam, mais par le curé !
Le site internet de la paroisse précise que « la prière aura lieu à 9h sur le parking de la mosquée si la météo le permet inch Allah » ! Sic.
L’abbé Vincent Garros multiplie les
dhimmitudesrelations interreligieuses depuis quelques mois avec l’association des musulmans de Mérignac.Cette mosquée de Mérignac est très proches des milieux islamistes. Elle reçoit régulièrement des invités tels que Rachid Haddach ou encore Nader Abou Anas. Rachid Haddach est un célèbre imam belge fondamentaliste que la famille Merah venait écouter lors de ses conférences à Toulouse. Rachid Abou Houdeyfa, Imam de Brest, qui s’est fait récemment remarquer lors d’une conférence sur la musique où il déclarait que « ceux qui écoutent la musique seront transformés par Allah en singe ou en porc. Nader Abou Anas justifie le viol conjugal. Abdel Fattah Rahhaoui donnait des cours de religion à Souad Merah, soeur de Mohamed Merah…
En janvier 2016, les paroissiens de Saint Vincent ont accueilli l’Imam Hassan Belmajdoub et les membres de la Communauté Musulmane de la Mosquée de Mérignac au sein de l’église paroissial où un « appel à la prière et sourate à Marie » ont été prononcés.
Riposte Catholique
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L’effet Brexit : référendum anti-UE en Hongrie
Après des années de directives, sanctions et autres diktats, c’est à un terrible retour de bâton que doit se préparer aujourd’hui Bruxelles. Encouragés par le retentissant retrait britannique de l’Union, les pays membres qui ne supportent plus les oukazes de cette « nouvelle URSS » entendent bien secouer leur joug. Dernier exemple en date : celui de la Hongrie qui, refusant de se voir « colonisée », a annoncé mardi qu’elle organiserait le 2 octobre un référendum sur le plan européen de répartition des 160 000 demandeurs d’asile arrivés en Grèce et en Italie en 2015.
Rappelons que, dès l’adoption de ce texte par les 28 en septembre, la Hongrie, qui se voyait imposer un quota de 1 300 clandestins, avait immédiatement dit « non », jugeant fort justement que celui-ci violait non seulement sa souveraineté mais mettait également en danger sa sécurité, du fait notamment de la présence de terroristes parmi les « réfugiés ». Refusant formellement de le mettre en application, Budapest avait même déposé en décembre un recours devant la justice européenne, et brandi la menace du référendum. Emporté depuis par l’effet Brexit, Orban a fini par mettre sa menace à exécution. De sorte que, début octobre, les Hongrois seront appelés à répondre à la question suivante : « Voulez-vous que l’Union européenne décrète une relocalisation obligatoire de citoyens non hongrois en Hongrie sans l’approbation du Parlement hongrois ? »
Une décision qui a bien sûr fortement déplu au Moloch bruxellois, dont les suppôts se sont empressés de rappeler que la Hongrie, comme les autres pays de l’UE, était « tenue de respecter les traités internationaux qui intiment aux Etats signataires l’obligation d’accueillir les personnes en quête de protection internationale et de leur accorder si besoin l’asile »…
Avertissement qui n’est cependant pas du genre à intimider des Hongrois qui, il n’y a pas si longtemps, affrontaient quasiment à mains nues les blindés de l’Armée rouge !
Dans la capitale magyare d’ailleurs, on a même déjà collé ici et là des affiches proclamant : « Envoyons un message à Bruxelles, pour que ce soit clair pour eux aussi. » Et Antal Rogan, chef de cabinet de Viktor Orban, annonçant que les patrouilles seraient doublées le long de la frontière sud avec la Serbie, rappelait encore cette semaine : « Seuls les Hongrois peuvent décider avec qui ils veulent vivre en Hongrie. »
Franck Delétraz
Article paru dans Présent daté du 7 juillet 2016
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Loi Travail : Valls recourt au 49-3 dans un climat délétère
La droite ne dépose pas de motion de censure et laisse la gauche se déchirer. Les opposants de gauche ont jusqu’à mercredi pour déposer la leur.
Manuel Valls l'avait laissé clairement entendre lundi, à l'occasion de son déplacement en Corse. La procédure a été mise en oeuvre dès le lendemain. Il était un peu plus de 15h mardi quand, du haut du Perchoir de l'Assemblée nationale, le Premier ministre a enclenché l'article 49 alinéa 3 de la Constitution et engagé la responsabilité du gouvernement sur la loi Travail. Dans l'hémicycle, l'ambiance était houleuse. Le matin, la réunion du groupe socialiste à l'Assemblée nationale s'était tenue dans un climat qualifié de lourd par les députés légitimistes, et de violent par les frondeurs.
La proposition d'un amendement destiné, selon son initiateur Olivier Faure, à trouver un compromis avec les frondeurs sur les heures supplémentaires (en garantissant une sur-rémunération de 25 %) avait été promptement balayée par le Premier ministre. « Il faut arrêter de jouer. Moi, je ne joue pas, je prends mes responsabilités dans l'intérêt du pays », a-t-il déclaré devant les députés socialistes.
Vouée à l'échec, cette initiative avait été jugée très sévèrement à l'Elysée comme à Matignon. « On a toujours dit qu'on ne toucherait pas à l'article 2 », note une source au sein de l'exécutif. De fait, n'ayant pas la garantie que les frondeurs voteraient le texte même si l'amendement était accepté et ne voulant pas entrer dans une surenchère avec eux, le recours au 49-3 était venu comme une évidence.
Un hommage à Michel Rocard
Un non-évènement aux yeux de l'exécutif, ou «un hommage à Michel Rocard», selon la formule d'un proche de François Hollande. Décédé samedi dernier, l'ancien Premier ministre de François Mitterrand a eu recours 28 fois au 49-3, dont l'usage était alors illimité, lorsqu'il était à Matignon, faute d'avoir une majorité absolue au Palais-Bourbon.
L'opposition compte les points
A peine l'annonce du 49-3 faite par Manuel Valls, la droite a quitté les bancs, montrant symboliquement son intention de laisser la gauche s'entre-déchirer sous le regard des Français. Les yeux rivés sur 2017, l'opposition se contente de compter les points et de remuer le couteau dans les plaies. Contrairement au premier recours au 49-3 début mai, elle a décidé de ne pas déposer de motion de censure contre le gouvernement.
« Ce gouvernement, après avoir tout lâché aux frondeurs et aux syndicats, a réussi la prouesse d'avoir un texte rejeté par les syndicats, les entreprises, une large majorité de Français », a attaqué Christian Jacob, le chef de file des députés Les Républicains à l'Assemblée, donnant « rendez-vous devant les Français dans neuf mois ». « Stop à la mascarade, a-t-il ajouté. Que Valls se débrouille avec son champ de ruines ». Tant la droite a décidé, explique un député LR, de « laisser la gauche gérer ses propres contradictions ».
À lire aussiLe traitement que Manuel Valls a réservé aux frondeurs sur l'amendement Faure, a redonné de l'énergie à la contestation. Les opposants au texte sont plus décidés que jamais pour déposer une nouvelle motion de censure, après avoir échoué à deux voix près en mai dernier. Il faut 58 députés pour déposer une motion de censure qui, si elle passe cet écueil, marquerait de façon irréversible la scission entre les deux gauches malgré un échec annoncé compte tenu du refus de la droite de la voter.
Episode dramatique
Surtout, le ton est monté d'un cran contre Manuel Valls, dont l'attitude face aux parlementaires de la majorité concentre les critiques. A la réunion de groupe, il leur a déclaré qu'un « compromis serait une compromission ». « Devant cette incapacité à réformer le pays sans le brutaliser, nous nous sommes très nombreux interrogés sur son aptitude à gouverner », a déclaré le chef de file des frondeurs, Christian Paul aux Quatre Colonnes. Les appels à la démission du Premier ministre ont dépassé le seul cadre des frondeurs, puisque Karine Berger, députée des Hautes-Alpes, a déclaré qu'il « devrait démissionner ».
Après ce nouvel épisode dramatique, qui connaîtra son épilogue ce mercredi, la gauche se donne rendez-vous aux primaires en janvier. L'annulation de l'université d'été du PS à Nantes la privera d'un lieu de débat à la rentrée. Mais nul doute qu'il battra son plein à l'automne.
Isabelle Ficek et Grégoire Poussielgue
En savoir plus sur http://www.lesechos.fr/politique-societe/politique/0211099878398-loi-travail-valls-recourt-au-49-3-dans-un-climat-deletere-2012365.php?ce2AXEBBh3jaLeUw.99LES ECHOS -
Tribune libre – Les prisons, zones de « non France », par Vincent Revel
A la suite de Philippe de Villiers, qui ne cesse, avec bon sens, de le répéter, nous savons tous que la question fondamentale des sociétés modernes n’est ni sociale ni économique mais identitaire et religieuse.
Nous devons pleinement prendre conscience de ce que nous avons à reconquérir et à défendre. Comme le dit Pierre Vial, c’est une « mission d’éveil des intelligences et des cœurs. » La lâcheté et l’indifférence de nos dirigeants doivent nous paraître insupportables. Leur fuite en avant nous promet des lendemains sanglants. En parfait dhimmis, ils acceptent l’intolérable. Avec cette élite déracinée, chaque fin de ramadan se transforme en renoncement.
La prison est l’un des lieux de France où l’atmosphère y devient étouffante, irrespirable tellement la religion islamique y est présente. Avec le silence complice de nos élus, les caïds musulmans y contrôlent tout. Chaque jour, les matons doivent négocier avec eux pour que la paix règne au sein des maisons carcérales. Le lèche-babouche y est devenu une norme acceptée par les hautes instances.
De l’inscription aux ateliers, des droits de visite au parloir, de qui a droit de se déplacer, de l’inscription aux cours de boxe, des horaires de distribution des repas, de l’organisation du racket sur les salaires de l’administration pénitentiaire, en passant par l’acquisition d’un téléphone portable, normalement interdit en prison, tout passe par ces caïds musulmans. Par la volonté et la faiblesse de nos dirigeants, ces délinquants sont devenus des interlocuteurs inévitables.
Grâce à nos élus de pacotille, plus préoccupés par leurs intérêts électoraux, l’islam s’est rendu maître, en simplement deux décennies, des prisons françaises ! La République, celle que notre pseudo-élite aime vanter les vertus, se fissure de toute part. Le bateau France est à la dérive, sans capitaine de valeur pour montrer l’exemple. Nos principes sont piétinés par ceux qui prétendent les défendre.
Nos élus, soi-disant républicains et laïcs, paradent la tête haute de mosquées en mosquées pour interdire dans le même temps, toujours au nom d’une pseudo-laïcité, les crèches de Noël dans les lieux publics ! Pour bien montrer qu’ils sont dans les normes du politiquement correct, qu’ils ont bien appris leurs leçons, ils n’hésitent plus à ouvrir toutes grandes les portes de leurs mairies ou de leurs locaux municipaux pour y fêter en grandes pompes l’Aïd el-Fitr !
Le ramadan est devenu, grâce à la volonté de notre élite, l’un des faits incontournables dans la vie politique, sociale et économique de la France. Anne Hidalgo, maire de Paris, ne cesse de se réjouir, devant des médias complices, que « le ramadan soit une fête qui puisse faire partie du patrimoine culturel français. » Pour Edwy Plenel, ancien marxiste, moralisateur et censeur de notre nouvelle société multiculturelle, « c’est une immense chance pour la France d’être le premier pays musulman d’Europe. » Les collabos nouveaux ne se cachent plus. Ils prennent leurs désirs les plus fous pour des réalités sans jamais tenir compte des dégâts qu’ils provoquent.
L’avant-dernière semaine de juin, au tribunal de Saint-Etienne, un jeune Français de souche, déjà incarcéré à la prison de La Talaudière pour conduite sans permis, comparaissait pour avoir fait entrer, avec la complicité de sa petite amie lors d’une visite au parloir, 28 grammes de résine de cannabis. Harcelé par des caïds, frappé et menacé à plusieurs reprises, ce détenu tenta d’expliquer ce qui l’avait amené à introduire de la drogue en prison.
La dureté du milieu carcéral, le règne de la violence et « le racisme contre les Français », selon ses propres mots, ne lui laissaient aucune autre alternative. Pour de nombreux détenus non musulmans, la prison s’apparente à la jungle. La loi du plus fort y règne et seule la religion islamique prédomine pour faire de nombreux délinquants de parfaits futurs djihadistes !
Vincent Revel
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VIDEO - Un clapping géant pour les héros islandais de retour à Reykjavik
05/07/2016 – ISLANDE (NOVOpress) : Quarts de finalistes de l’Euro 2016, les joueurs de l’équipe d’Islande sont rentrés au pays en héros. Et à Reykjavik, la capitale, ils ont accompli un clapping géant dans une pleine communion avec une foule innombrable.
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Israël - Une Batwoman au secours des chauves-souris
Dans la vallée d'Elah au sud-ouest de Bethléem, une jeune femme aux cheveux violets a créé un sanctuaire clandestin pour ses pensionnaires.
«Elles ont ces grands yeux tristes comme des personnages de Disney», s'attendrit Nora Lifschitz, dont la voix est sans cesse recouverte par les cris stridents de ces mammifères volants. La jeune femme au look alternatif - cheveux violets, piercings et tatouages sur l'ensemble du visage - est en train de materner 260 nouvelles pensionnaires récemment découvertes dans un bâtiment abandonné.
Elles ont rejoint les centaines de roussettes, une espèce de chauve-souris frugivore, qui ont transformé en vaste terrain de jeu le hangar de tôle qui servait autrefois de poulailler avant de devenir leur refuge. A l'aide d'une seringue, deux jeunes volontaires aident Nora à alimenter les petites bêtes d'une dizaine de centimètres de haut qui étalent complaisamment leurs ailes sur la poitrine de leurs nourrices.
Les chauves-souris se suspendent par grappes à des peluches d'animaux pendues au plafond, la tête à l'envers, la gueule grande ouverte dans une grimace terrifiante qui révèle leur dentition de vampire. Le sol est recouvert d'excréments et de restes de fruits pourris dont se nourrissent les roussettes. L'odeur est pestilentielle en ce mois de grosse chaleur.
«Juste Nora»
A 29 ans, Nora Lifschitz, qui préfère qu'on l'appelle «juste Nora», s'est toujours occupée de toutes sortes d'animaux. Mais elle a développé une attirance particulière pour les chauves-souris. «Les chauves-souris me rappellent un peu les chiens, par leur côté fidèle et obéissant, mais aussi les chats pour leur indifférence, quand elles vous montrent clairement qu'elles ne sont pas d'humeur à traiter avec des humains», remarque-t-elle.
Elle a commencé en 2014 par porter secours à quelques chauves-souris blessées. Les roussettes ont envahi son appartement en plein Tel-Aviv. Il lui a alors fallu trouver un endroit plus approprié et plus discret. Elle et son association «Atalef» (le mot hébreu pour chauve-souris et un acronyme de «Aide et soin aux chauves-souris») ont trouvé sur internet les financements nécessaires et une nouvelle adresse.
Le repaire se trouve quelque part dans la célèbre vallée biblique d'Elah (ou Vallée des Térébinthes) où David combattit Goliath. Mais la jeune femme entend que l'endroit précis reste secret. Nora, dont la chambre se trouve dans le hangar même, craint à la fois les voisins malveillants et les propriétaires d'animaux qui viendraient lui déposer leurs bêtes.
Le temps où les hommes cherchaient à piéger ou empoisonner les roussettes qu'ils voyaient comme néfastes à leurs activités semble révolu. Mais le ministère de l'Agriculture considère toujours les «Roussetus Aegyptiacus» comme «nuisibles». Nora dément: ses protégées se nourrissent de fruits pourris, sans nuire aux récoltes des cultivateurs puisque ceux-ci cueillent les fruits bien avant qu'ils ne soient mûrs, afin qu'ils se conservent plus longtemps.
Les roussettes ont mauvaise presse
En ville aussi, les roussettes ont mauvaise presse, en particulier à Tel-Aviv, où elles affectionnent certaines avenues bordées d'arbres et repeignent de leurs fientes les façades blanches des immeubles bourgeois et les pare-brise. Le refuge se donne pour mission de relâcher les chauves-souris dans leur milieu naturel. Une fois soignées, Nora les laisse partir en ouvrant simplement une fenêtre.
«Elles vont et viennent jusqu'à ce qu'elles se sentent suffisamment en sécurité pour partir pour de bon», dit-elle. Le propriétaire du poulailler, Shimon, un jeune fermier du village, est désormais fan de chauves-souris. «Je ne savais pas vraiment dans quoi je m'embarquais. Je n'y connaissais rien en chauves-souris. Maintenant, je les adore», confie-t-il.
La Tribune de Genève -
Islande : une pureté souveraine
Anatoly Livry est docteur ès lettres, polyglotte, auteur de nombreux articles et ouvrages scientifiques.
♦ Polémia reçoit (*) cette tribune consacrée à l’Islande, lointaine contrée insulaire à mi-chemin entre l’Europe et le nord du continent américain. Son éloignement et surtout sa grande indépendance font que les Européens, mis à part les grands nordistes scandinaves, connaissent assez mal cette ile peuplée de 300.000 habitants.
Anatole Livry nous livre les secrets des Islandais qui parviennent à préserver leur souveraineté des maux dont souffre, hélas, l’Europe.
Polémia
L’Islande, cette île située entre l’Europe et l’Amérique, n’est volontairement quasi jamais nommée par les médias systémiques de l’Occident. Certains scandinavistes attribuent cette omerta journalistique à la décision islandaise, prise par référendum, de ne pas rembourser les dettes bancaires, privilégiant de ce fait le bien-être de la nation, ainsi que l’a voulu, quasi unanimement, le peuple islandais.
Les analystes du cas islandais se bornent à cet événement, puis se détournent de cette terre précipitamment, et ce, avec raison. Car s’ils voulaient scruter l’Islande honnêtement, du point de vue d’un philosophe, historien, démographe ou d’un géopoliticien, les gouvernants de notre monde seraient obligés de jeter une bombe atomique sur cette île ! En effet, toute son existence est « criminelle » aux yeux de nos religions cosmopolites préconisant le métissage forcé des peuples blancs.
L’Islande est habitée par un tiers de million de personnes, se considérant à quasi 99 % comme « parents ». L’Islande interdit l’immigration extra-scandinave, faisant donc un choix purement racialiste quant aux étrangers qu’elle accueille : ils doivent être de mêmes souche, culture et langue que les autochtones – ce qui n’a pas empêché les Islandais d’accorder, exceptionnellement, l’asile politique et la citoyenneté à un prophète ashkénaze privé de son passeport états-unien, Bobby Fischer. L’immonde convention de Genève de 1951 sur les réfugiés – convention totalement inadaptée à l’humanité post-Guerre froide – n’a de facto pas cours sur le territoire islandais : des « réfugiés » y séjournent certes provisoirement, mais sont mis à la porte au plus vite.
L’Église luthérienne islandaise n’est pas séparée de l’État. Mieux encore : l’enracinement spirituel ethnique est accepté officiellement ainsi qu’en témoigne l’autorisation, accordée il y a 43 ans aux prêtres du panthéon nordique, de célébrer des cérémonies marquant des passages initiatiques : naissance, mariage, décès.
L’Islande actuelle est donc l’exemple parfait du fait qu’un peuple nordique refusant le métissage peut prospérer et évoluer : la proportion de poètes, de musiciens, d’artistes parmi les Islandais est exceptionnelle ; le chômage et la criminalité violente n’existent quasiment pas, contrairement à ce que l’on peut observer dans les sociétés multiethniques ; la beauté physique et la résistance psychique des Islandais sont quasi inouïes dans le monde occidental.
C’est précisément grâce à cette solidité spirituelle et à ce comportement d’un peuple qui se considère comme une grande famille que les Islandais ont su résister à la terreur financière d’oligarques allogènes, lui préférant une diminution significative du salaire moyen et refusant totalement ce que les tyrans fous cosmopolites appellent la « croissance ».
Chaque médecin sait que, durant l’épisode critique d’une maladie, un patient grandement souffrant a besoin, en plus du traitement approprié, de calme et d’un confort basique : tout bousculement lui serait mortel. Un philosophe conseillerait la même chose à une nation. C’est grâce à l’apaisement, au bon sens et au génie des peuples indo-européens que cette république a pu opter pour cette décision salvatrice, laquelle serait impossible dans le cadre du système civique qu’est la démocratie, mais qui a pu en revanche être prise dans le système politique bénéfique et haï des despotes qu’est la politie (πολιτεία) d’Aristote : ce n’est pas un quelconque « dèmos » dégénéré et irresponsable qui applique son totalitarisme souvent frénétique, c’est « la cité qui consulte le dieu en famille ». La démocratie, selon Platon cette porte ouverte à la tyrannie (« Vraisemblablement, la tyrannie n’est donc issue d’aucun autre gouvernement que la démocratie, une liberté extrême étant suivie, je pense, d’une extrême et cruelle servitude », Platon, La République, 564 a) – cette tyrannie sous laquelle nous vivons déjà – est donc inséparablement liée au métissage, lequel, comme nous le voyons a contrario dans le cas de l’Islande, peut être mortel pour l’humanité.
Quels détraqués doivent être nos gouvernants du monde occidental pour que, en réels schizophrènes, ils poursuivent frénétiquement l’immigration de masse vers notre univers déjà au seuil du Ragnarök ?! Comme l’on ne cesse de prêcher l’ouverture au monde, inspirons-nous, avec tout l’éclectisme d’un bon Européen, de cet exemple par excellence qui se trouve entre l’Eurasie et l’Amérique.
Rétablissons les États-nations d’abord grâce à une immigration zéro, puis grâce à une ré-immigration. Rendons aux peuples de l’Europe leurs dieux antiques, car les divinités étrangères finiront par nous exterminer. Parvenons, via des votations populaires, à un socialisme purement national, naturel aux ethnies indo-européennes. Ainsi, nous ferons de nos terres d’authentiques paradis, nettement plus et diversement riches que cette île boréale en possession des descendants des Vikings.
Anatoly Livry
19 juin 2016Note : (*) reçue de Pour la Promotion de l’Œuvre d’Anatoly Livry” (POAL), Bâle, Suisse
Correspondance Polémia – 21/06/2016
Image : Iceland – Mid Atlantic Ridge
(Merci à Dirk)
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JOURNAL TVLibertés DU MARDI 05 JUILLET 2016
A voir jusqu'à la fin
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Leur aigreur, mon optimisme !
L’aigreur et la rancoeur des commentaires politiques et médiatiques après le Brexit ne laissent pas d’étonner le démocrate.
Un peuple a simplement tranché, sur un sujet dont il a abondamment débattu avant le scrutin, et a donné à ses dirigeants une voie claire.Pourquoi cette hargne contre le résultat du référendum ? Pourquoi à chaque nouvelle consultation populaire dans n’importe quel pays d’Europe cette colère de moins en moins dissimulée contre le verdict des urnes ?
Les uns de souhaiter que le peuple britannique souffre le plus possible, pour donner l’exemple, les autres de contester la validité du référendum en lui opposant de manière puérile une pétition bidon, les derniers enfin annonçant le début de l’apocalypse, l’effondrement du monde derrière la Manche.
En réalité, la noirceur de ces réactions nous amène à penser que les tenants de l’Union européenne, qu’ils appartiennent à la classe médiatique ou politique, et ils sont légion dans ces rangs, sentent confusément la fin de leur modèle, la fin de leur époque, et l’annonce d’une ère nouvelle, celle des peuples libres.
J’ai toujours détesté la stratégie du chaos, surtout quand elle s’adresse à mon peuple. Je lui préfère la raison et la tempérance, et surtout l’optimisme. Car quoi ? Ce référendum est aussi tout simplement le choix d’un peuple de changer son destin. N’est-ce pas une formidable leçon de courage et d’indépendance d’esprit ? Il est, je crois, motivé par d’immenses perspectives d’espoir, les Britanniques voyant tout ce qu’ils ont à gagner en redevenant un pays libre. Ils envisagent, avec ce volontarisme qu’on leur connaît, les grands chantiers d’avenir pour leur pays, de manière beaucoup plus fraîche et ouverte que nous ne pouvons le faire en France, englués que nous sommes dans une vision européiste devenue sordide. Au lieu de les critiquer, faisons comme eux, retroussons-nous les manches et travaillons, comme de vrais patriotes !
L’optimisme, pour ceux qui me connaissent, je l’ai toujours. Et je me réjouis de ce que, malgré toutes les prédications mortifères, le peuple français lui aussi continue à gagner en lucidité sur le carcan européen, et voyant chaque jour un peu plus la bassesse d’âme de ses dirigeants, ouvre les yeux sur leur faiblesse et leur défaite inéluctable.
Terminons sur une autre note d’espoir. Et elle me vient, une fois n’est pas coutume, de Laurence Parisot ! Dans une note récente, elle dit être la seule à écrire, et « crier » (sic) qu’après le Brexit, un autre événement pourrait secouer l’Union européenne, mon élection à la présidence de la République. Si l’on n’a jamais su me dire quelles qualités entrepreneuriales on trouvait à cette personne, dont l’accession à la tête du Medef il y a quelques années reste pour moi un mystère aussi épais que celui de l’homme au masque de fer, j’aime toutefois la candeur un peu désordonnée du personnage, et je me réjouis qu’elle donne aujourd’hui dans ce genre d’augure… Elle se vante, dans le même papier, d’avoir toujours tout prédit ; eh bien, sur ce coup, je prends bien volontiers !
Marine Le Pen
Carnets d'espérances