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Blog - Page 316

  • Libye : les trafiquants d’esclaves « alliés » de l’UE – par Bernard Lugan

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    04/07/2016 – FRANCE (NOVOpress avec Bernard Lugan)

    En Libye, nous savons qui organise l’ignoble trafic d’êtres humains à destination du sud de l’Italie. Ce n’est pas l’Etat islamique puisqu’il est assiégé dans Syrte. Ce sont nos « amis » et « alliés », Frères musulmans de Misrata et salafistes de Tripoli ou d’autres cités littorales. Ils se refont actuellement une vertu aux yeux des Occidentaux en attaquant l’Etat islamique, leur ancien partenaire.

    Il n’y a donc pas à s’étonner de voir la déferlante de clandestins prendre de plus en plus de volume puisque c’est aux organisateurs du trafic que l’UE a sous-traité l’éradication de l’Etat islamique. Les passeurs préviennent les navires européens quand ils lancent sur les eaux des esquifs inaptes à prendre la mer ; pour ne pas avoir sur la conscience la mort de milliers de clandestins, les bons samaritains se précipitent alors afin de leur éviter la noyade. Et pour les installer en Europe… Le 25 mai, 5600 forceurs de frontière furent ainsi « secourus ». Le 26 juin ils furent 3324. Du jeudi 23 juin au mardi 28 juin, leur nombre explosa puisqu’ils furent 10 000. Du 1er janvier au 28 juin 2016, selon le HCR, 66 000 d’entre eux furent débarqués dans les ports italiens par les bâtiments de guerre européens.
    Sur ordre de qui ? La question ne mérite-t-elle pas d’être posée à nos hommes politiques ?

    Soutenus militairement par la Turquie, par l’insatiable petit émirat du Qatar, par l’UE et par les Etats-Unis, ceux qui sont à l’origine du chaos libyen se présentent maintenant comme les garants du retour à la paix. Tout en continuant à organiser en l’amplifiant le juteux trafic des clandestins rebaptisés « migrants ».
    Pourquoi cesseraient-ils puisque l’ONU et la « diplomatie » de l’UE les ont mis au pouvoir à travers le gouvernement dit d’Union nationale constitué le 19 janvier 2016 ? Dirigé par Fayez el-Sarraj, cet appendice onusien est dominé par Misrata et placé à la merci de ses milices. Voilà les pyromanes devenus pompiers…

     

    Ce scénario risquant de déboucher sur une guerre entre la Tripolitaine gangstéro-islamique et la Cyrénaïque du général Haftar, il est donc urgent de changer de paradigme. Désormais, la priorité doit être l’éradication des gangs-milices au profit des vrais acteurs tribaux tenus à l’écart du processus politique.
    Une politique réaliste serait d’aider à la reconstitution des alliances tribales détruites par l’intervention franco-otanienne de 2011. L’opportunité existe car les avocats de Saïf al-Islam, le fils du colonel Kadhafi, viennent de demander à la CPI d’abandonner les poursuites le visant pour « crimes contre l’humanité ». Or, lui seul, de par ses liens du sang avec, à la fois la confédération tribale de Cyrénaïque et celle de Tripolitaine[1], est à même de jouer le rôle fédérateur nécessaire à la pacification de la Libye. D’autant plus que, le 14 septembre 2015, le Conseil suprême des tribus de Libye l’a désigné comme son représentant légal.
    L’obstacle à ce retour au réel a un nom : l’ignorance (ou la complaisance) de l’UE qui s’obstine à soutenir les Frères musulmans de Misrata et les islamistes de Tripoli. Pourquoi ? Voilà une question qui devrait être posée à Bruxelles.

    [1] Voir à ce sujet mon livre Histoire de la Libye des origines à nos jours, pp 127-136 et 187-188

  • Marine Le Pen fait condamner L’Obs en diffamation

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    Source : OJIM

    Pour avoir imputé à Marine Le Pen un enrichissement personnel, L’Obs vient d’être condamné à une amende avec sursis et 2 000 euros de dommages et intérêts.

    Dans un article publiée le 11 décembre 2014, l’hebdomadaire prétendait révéler le « magot caché de Marine Le Pen ». « La justice se demande si la présidente du Front national n’est pas la bénéficiaire d’un système conçu pour détourner de l’argent public », écrivait L’Obs à propos d’une enquête portant sur des soupçons de surfacturation dans le financement des campagnes du FN en 2012, qui a conduit le parti frontiste ainsi que dix personnes (dont deux de ses vices-présidents) à être mis en examen.

     

    Marine Le Pen avait quant à elle été placée sous le statut de témoin assisté. Après la plainte de la présidente du Front National, le tribunal correctionnel de Paris a estimé que certains passages de l’article de L’Obs incitaient le lecteur à penser que cette dernière avait bénéficié, dans cette affaire, d’un enrichissement personnel. Des conclusions contraires à celles de l’enquête, bouclée depuis janvier 2016.

    La directrice de publication de l’hebdomadaire, détenu par le trio Bergé-Niel-Pigasse, a ainsi écopé de 500 euros d’amende avec sursis pour diffamation. Elle devra par ailleurs verser 2000 euros de dommages et intérêts à Marine Le Pen, et 2 000 euros pour les frais de justice.

  • JOURNAL TVLibertés DU LUNDI 4 JUILLET 2016

    Regarder jusqu'à la fin !

  • Suède : 35 filles âgées de 12 à 17 ans agressées sexuellement par des migrants lors d’un festival (MàJ)

     

    15h14

    Une fille de 17 ans a raconté l’épreuve qu’elle a subie après qu’une foule de « jeunes étrangers » a agressé sexuellement des dizaines de filles au cours d’un festival de musique en Suède.

    Au moins 35 victimes âgées de 12 à 17 ans ont signalé avoir été attaquées durant le festival « Party in the Park » à Karlstad, à 400 kilomètres de Stockholm, dans le comté suédois du Varmland, vendredi et samedi soir.

    Certaines des victimes présumées ont rapporté avoir été « embrassées et tripotées » lors de scènes similaires aux attaques du nouvel an à Cologne, au cours desquelles des dizaines de femmes affirmèrent avoir été agressées.

    L’une des victimes (17 ans) a renoncé à son droit à l’anonymat pour décrire comment un assaillant l’a ciblée pendant qu’elle regardait le concert.

    Alexandra Larsson a raconté au MailOnline qu’elle a été agressée vendredi soir alors qu’elle avait hâte d’assister au festival depuis des mois.

    Elle dit : « Tout allait bien au début de la soirée. Mais tout est parti en vrille pendant le dernier concert de John de Sohn qui a commencé à minuit. D’abord, on a été poussés contre la scène par une foule énorme. Tout le monde autour de nous se comportait vraiment mal et mes amis ont demandé à deux garçons de se calmer.
    Ils ont été alors menacés par ces garçons qui ont dit « tu vas mourir, salope ». Mais les injures n’étaient qu’un début. Les choses allaient empirer. Nous avons réussi à nous éloigner de ces garçons au bout d’un moment et nous avons regardé le concert. C’est là que j’ai senti le premier contact contre mes fesses. Ensuite, quelqu’un s’est permis de serrer mes fesses très fort. Je me suis retournée pour dire au groupe de garçons derrière nous que ce n’était pas bien d’agir ainsi, mais je ne savais pas qui avait fait ça. Quelques instants plus tard, j’ai senti que quelqu’un faisait courir ses doigts entre mes jambes et touchait mes parties génitales. Par chance, je portais un jean. »

    Après ce harcèlement, elle s’est retournée pour dire au groupe de jeunes qui se tenaient à côté d’elle qu’ils devraient arrêter de faire ça. Mais tout le monde autour d’elle clamait son innocence.

    Ça a recommencé, dit-elle.

    « Je me suis retournée et j’ai hurlé « peu importe qui c’est – tu es un porc ! ». J’ai raconté à mes amies ce qui s’était passé ; elles étaient toutes choquées. Mes amies et moi avons décidé de quitter le concert car on ne pouvait pas voir qui faisait ça. C’était noir de monde. »

    Mlle Larsson décrit un sentiment d’impuissance tandis que le festival qu’elle et ses amies attendaient depuis si longtemps était complètement gâché.

    « C’était glauque. Il y avait quelqu’un autour de moi qui me tripotait et je n’avais aucune idée de son identité. C’était dégoûtant. Nous étions venues pour nous amuser, mais notre festival n’aura duré que 20 minutes car nous nous sentions très mal à l’aise. »

    « C’était d’abord un peu innocent, on me touchait les fesses. C’est quelque chose qu’on peut faire par erreur au milieu d’une foule immense. Mais c’est devenu de pire en pire. Celui qui me touchait allait plus loin à chaque fois. »

    Elle dit que les garçons autour d’elle avait 17-18 ans. Mais « ceux qui se trouvaient derrière moi n’étaient pas d’origine suédoise. C’était probablement des immigrés. Je déteste dire ça, mais c’est la vérité. »

    « J’ai signalé tout ça à la police, mais j’ai l’impression que c’est une goutte d’eau dans l’océan. J’ai vu des filles sortir en pleurant, dont une amie d’enfance qui a deux ans de moins que moi. Elle pleurait tant que j’en avais le cœur brisé. La  même chose lui est arrivée devant la scène. Une bande d’adolescents cachés dans la foule l’avait attrapée par les fesses, les seins et les parties génitales. Je pense qu’au moins des centaines de filles ont été agressées durant le festival. Il y a probablement des tas d’incidents non répertoriés. Des filles ayant peu d’estime pour elles-mêmes pourraient penser que tout est de leur faute, qu’elles ont peut-être fait quelque chose de mal qui a provoqué tout ça. Mais elles ont tort. Personne ne peut toucher une femme sans recevoir sa permission. »

    « J’ai entendu parler d’autres filles qui avaient été tripotées durant des festivals précédents. Mais l’avoir subi m’a rendu malade, surtout parce que c’était si brutal. C’était comme un coup de poing en plein visage. Je voyais des filles qui pleuraient partout autour de moi quand j’ai quitté le festival. Je ne sais pas si toutes avaient été agressées, mais la plupart d’entre elles avaient subi des violences sexuelles devant la scène. »

    Mlle Larsson dit qu’elle est « assez forte pour faire face », mais ajoute : « Quand une fille de 14 ans qui n’est pas aussi forte devient une victime, elle risque d’être totalement détruite. C’est ça qui me dégoûte. Ça arrive tout le temps mais on ne peut rien faire. Je ne sais pas quoi penser, c’est tellement mal. Tout le monde pense que c’est mal mais rien ne se passe. Il y a des grands festivals avec des milliers de participants et ces incidents de masse créent un sentiment d’impuissance autant pour la police que les agents de sécurité, et surtout pour les visiteurs qui deviennent des victimes. »

    « Les responsables savent qu’ils demeureront anonymes au milieu de la foule et qu’ils échapperont aux poursuites pour crimes sexuels. C’est le problème principal, que les responsables s’en tirent. »

    « Ce n’est pas bien. Je devrais pouvoir me rendre à des festivals et m’amuser comme n’importe qui d’autre sans avoir peur. C’est mal, vraiment mal, c’est le sentiment que j’ai après les événements d’hier. C’est très dur pour des gens ordinaires qui souhaitent s’amuser de souffrir parce que d’autres pensent que les violences sexuelles sont quelque chose d’amusant. »

    Elle croit que le problème est en train de s’étendre « car les assaillants savent qu’ils ne seront pas arrêtés. »

    Mais elle ajoute que la police a pris l’affaire « très au sérieux » lorsqu’elle a signalé l’incident et espère que ça va déboucher sur quelque chose.

    « Je ne viendrai plus à ce festival. J’étais si mal à l’aise, je ne veux pas prendre le risque que ça se reproduise. »

    « J’en ai parlé à mon père et à mes trois frères. Ils étaient dévastés d’apprendre ce qui s’était passé. Surtout mon père qui m’a dit que les hommes normaux savent qu’ils n’ont pas le droit de toucher des femmes qui ne le veulent pas. Il ne comprend pas quels sont les repères moraux de ces garçons. »

    La police a indiqué que les auteurs de ces agressions étaient des « hommes jeunes, des étrangers ».

    Ils ont arrêté deux garçons qui vivent non loin, dans un centre de réfugiés pour mineurs isolés.
    de leurs parents.

    Le tabloïd Expressen a parlé avec une mère inquiète qui a affirmé qu’un agent de sécurité a répondu à sa fille « c’est juste un truc qui arrive dans les festivals », lorsque celle-ci s’est plainte d’avoir été agressée. Sa fille a décrit ce qui lui était arrivé. Elle a ajouté : « J’étais debout en train de danser lorsqu’un type est venu par derrière, m’a plaquée au sol et se frottait contre moi. C’était horrible. »

    Selon Breitbart, le promoteur du festival a indiqué qu’il trouvait que le comportement de son staff était inacceptable, qu’ils devraient perdre leur agrément d’agents de sécurité.

    24 agressions présumées ont eu lieu durant le festival, 11 autres à la fin, selon Breitbart.

    Les incidents ont eu lieu une semaine après que la police suédoise a lancé sa nouvelle campagne contre les agressions sexuelles. L’objectif principal de la campagne était de distribuer des bracelets « Don’t molest » (« pas d’agression sexuelle » dans les festivals et de lancer un hashtag sur Twitter, #tafsainte (« ne tripotez pas »).

    Daily Mail

    (Merci à Propatria pour la traduction)

     

     

  • Ils voilent même leurs bébés filles...

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    Ça se passe en Arabie saoudite…

    Les bébés filles doivent porter le hidjab, parce que leur père pourrait les trouver sexuellement attirantes…
    https://twitter.com/SmurfBoobs/status/747665665541144577

    RR

  • Paris Xe - Un supporteur de l'Islande poignardé en pleine rue

    Un supporteur de football a été grièvement blessé de deux coups de couteau, ce dimanche soir, dans le Xe arrondissement de Paris, peu de temps après le coup de sifflet final du match France-Islande.
    L’agression a eu lieu vers 23 h 30, rue de Dunkerque, en face de la gare du Nord. Grièvement blessée, la victime, un Anglais de 25 ans qui portait les couleurs de l’Islande et de la France, présentait de profondes plaies au niveau de l’abdomen, larges d’environ 2 cm. Ce policier britannique, en vacances à Paris avec sa compagne, a été transporté en urgence à la Pitié-Salpêtrière (XIIIe) où il a été opéré dans la nuit. « Fort heureusement, ses jours ne sont plus en danger », indique une source policière.
    « Quand il a été frappé, j’ai entendu sa femme poussait un effroyable cri, rapporte un témoin. L’auteur des coups de couteau, un gaillard d’environ 1,9 m, s’est tenu immobile quelques instants devant lui, avant de s’éloigner tranquillement, comme si de rien n’était. » Mais l’employé d’une brasserie voisine, le Terminus Nord, va se lancer à ses trousses, suivi par ses collègues. Ensemble, ils vont tenter de maîtriser le fuyard.

    L’agresseur arrêté par un policier hors service

    C’est à ce moment-là qu’un policier hors service, en poste en Seine-Saint-Denis, va passer à moto. Après avoir entendu crier « il a tué quelqu’un », le fonctionnaire va se précipiter sur l’auteur des coups de couteau et l’immobiliser jusqu’à l’arrivée des renforts. « Il a fait preuve à la fois de sang-froid et de courage », salue un de ses collègues.
    Selon la compagne de la victime, « un différend verbal » serait à l’origine de l’agression. Placé en garde à vue au commissariat du Xe, l’auteur présumé des violences a affirmé qu’il ne parlait pas français et n’avait aucun papier d’identité sur lui. Il a finalement été conduit à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police. « Ce n’est visiblement pas quelqu’un qui a toute sa tête », avance un gradé.
    Sur les indications de l’employé de la brasserie qui l’a vu se débarrasser des armes, les policiers ont retrouvé deux petits couteaux ensanglantés dans une poubelle, non loin de là, boulevard de Denain. L’enquête a été confiée au service de l’accueil et de l’investigation de proximité du Xe.

    LE PARISIEN

  • Tweet de Marion Maréchal-Le Pen

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  • Tweets de Donald Trump

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  • Florian Philippot sur BFM TV

    http://www.frontnational.com/videos/florian-philippot-sur-bfm-tv-95/

    3 VIDEOS

     

     

    Florian Philippot, Vice-président du Front National, était l’invité d’Apolline de Malherbe sur BFM TV.

     
     
      
  • Le premier ministre irakien ordonne l'exécution de tous les terroristes

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    © REUTERS/ Alaa Al-Marjani
    International
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    Le premier ministre irakien Haïder al-Abadi a ordonné au ministère de la Justice de mettre à exécution les sentences de mort à l'encontre de toutes les personnes condamnées dans le pays pour activité terroriste.

    Cette décision intervient juste après le double attentat de Bagdad qui a fait 213 morts, rapporte la chaîne irakienne Alsumari, citant une source gouvernementale. 

    Selon la source, le premier ministre aurait ainsi décidé de venger les victimes des attentats qui ont été perpétrés dimanche matin. 

    La décision a été prise sur fond de protestations contre le gouvernement. Auparavant, le cortège du premier ministre avait été chahuté par des habitants de la capitale irakienne en colère. 

     
     

    Les citoyens sont mécontents de la politique du gouvernement qui n'est pas capable de mettre en place des mesures de sécurité efficaces à Bagdad, en dépit de l'aide de la coalition internationale dirigée par les États-Unis, qui entraîne les forces irakiennes dans le cadre de la lutte contre les djihadistes. 

    Les Irakiens critiquent le fait qu'ils sont victimes d'attaques terroristes alors que les ministres et les députés sont en sécurité. 

     

    Dans un communiqué diffusé par SITE, le Centre américain de surveillance des sites djihadistes, l'Etat islamique (EI, Daech) a affirmé qu'un kamikaze irakien avait fait exploser une voiture piégée près d'un rassemblement de chiites, considérés comme hérétiques par Daech. 

    Cette attaque survient une semaine après la perte par l'EI de son fief de Falloujah, à 50 km à l'ouest de Bagdad, tombé le 26 juin aux mains des troupes progouvernementales soutenues par la coalition internationale après une offensive de plusieurs semaines. 

    SPUTNIK

  • Après le Brexit, Nigel Farage part avec le sentiment de la mission accomplie

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    • Par Florentin Collomp
    • Mis à jour
    • Publié
     

     

     Le leader de l'Ukip démissionne après plus de vingt ans de campagne pour la sortie du Royaume-Uni de l'Europe. Son parti pourrait se transformer en mouvement anti-immigration.

    De notre correspondant à Londres

    Le leader du parti souverainiste britannique Ukip (United Kingdom Independence Party), Nigel Farage, a annoncé lundi matin sa démission. Après le vote du pays pour quitter l'Union européenne, il estime avoir accompli sa mission. «Je voulais récupérer mon pays, maintenant je veux récupérer ma vie privée, et ça commence maintenant», a-t-il déclaré lors d'une conférence de presse à Londres. Rappelons qu'il avait déjà démissionné de la tête du parti il y un peu plus d'un an, après son septième échec à se faire élire député au Parlement britannique, mais il était revenu sur sa décision une semaine plus tard. Il reste membre du Parlement européen, dont il est élu depuis 1999.

    Ancien agent de change dans la City, ce déçu du Parti conservateur avait cofondé l'Ukip en 1993 pour protester contre la «trahison» de Maastricht. Avec un but unique: faire sortir le Royaume-Uni de l'Union européenne. Il a triomphé la semaine dernière à Bruxelles. «Quand je suis arrivé il y a 17 ans en disant vouloir mener une campagne pour faire sortir le Royaume-Uni de l'UE, vous avez tous ri de moi. Vous ne riez plus maintenant, n'est-ce-pas?» a-t-il nargué ses collègues.

    Positions xénophobes

    Il a joué un rôle incontestable dans la victoire du Brexit, après des années de campagne infatigable pour obtenir un référendum. Au prix parfois de positions polémiques, comme lorsqu'il a insinué que la Grande-Bretagne faisait face au risque d'agressions sexuelles de musulmans comme celles du Nouvel An à Cologne. Il a aussi été très critiqué pour son affiche «Point de Rupture» montrant une colonne de réfugiés devant une frontière européenne, assimilée à de la propagande nazie.

    À 52 ans, ce fumeur invétéré et grand buveur, qui s'est relevé deux fois d'accidents graves et d'un cancer, dit vouloir passer plus de temps en famille. Son départ ouvre des questions sur sa succession mais aussi sur l'avenir de l'Ukip. Comme les conservateurs, ses dirigeants sont en proie à des luttes intestines. Son seul député à Westminster, Douglas Carswell, qui avait fait défection du Parti conservateur avec fracas en 2014, est en guerre ouverte avec Farage. À l'annonce de sa démission, il a tweeté un émoticone souriant avec des lunettes de soleil. Il avait fait campagne pour le Brexit aux côtés de Boris Johnson plutôt que de son leader, dont il critique les positions xénophobes. Il serait tenté par négocier son retour au bercail chez les tories, plutôt que par prendre la succession de Farage.

    Une autre candidate pour prendre la relève, Suzanne Evans, devra d'abord être réadmise à l'Ukip dont elle a été suspendue pour ses critiques contre son chef. Même après son retrait, Farage va continuer à exercer une pression sur le prochain gouvernement conservateur pour qu'il mette en œuvre sans tarder le mandat populaire pour le Brexit. Il a dénoncé l'attitude du ministre des Affaires étrangères Philip Hammond, qui «déploie le drapeau blanc de la reddition» face à l'Europe. Une fois le Brexit effectif, l'Ukip pourrait évoluer vers un parti anti-immigration.

    LE FIGARO

  • Quand Trump twitte sur Clinton

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    L'étoile a été remplacée par un rond quelques heures après...

  • Nanterre (92) : Formellement identifié par 5 policiers de la BAC, il est acquitté après un meurtre

     

    12h22

    Pâlot, nerveux, Zacharia s’avance à la barre en redoutant le pire. Un instant plus tard, le soulagement le détend de la tête aux pieds. Il vient d’entendre la présidente de la cour d’assises des Hauts-de-Seine prononcer « acquitté ». Les jurés se sont accordés sur ce verdict en moins de deux heures ce vendredi. Zacharia, 30 ans, était jugé depuis lundi pour l’agression mortelle d’un commerçant de Gennevilliers, négociant en herbes aromatiques, dépouillé et poignardé au volant de sa camionnette le 13 juillet 2010. Il avait 56 ans.

     

    [...] « C’était la guerre » pour le marché de la menthe fraîche, a résumé Me Pierre Haïk, également conseil de Zacharia. Abdelaziz, la victime, avait déjà été agressé chez lui, ses véhicules dégradés, et selon le témoignage d’une proche, un mot de menace annonçait l’issue sanglante : « On t’a cassé ta voiture une fois, une deuxième fois. La troisième, tu seras mort si tu n’arrêtes pas le métier », déroule Me Vanni. Il en déduit une « conviction » : c’est un « assassinat maquillé en vol ». [...]

    Les jurés ont fait la même analyse en relevant les confusions du récit. Ils n’ont pas jugé plus solides le témoignage de cinq policiers de la Bac de Nanterre, familiers du quartier Pablo Picasso où vit Zacharia. S’ils l’ont « formellement identifié » « la cour a constaté que l’accusé n’est pas identifiable sur les photos ni la vidéo », a expliqué la présidente de la cour. « Aujourd’hui, c’est terminé », soupire Zacharia avant de quitter la salle d’audience. Pas sûr. Le parquet peut faire appel.

    Le Parisien

    Merci à quidam

  • Le ramadan s’invite au bac

     

    • Par Delphine de Mallevoüe
    • Publié le
    La polémique est née d’une note de la Maison des examens, qui gère l’organisation du baccalauréat de toute l’île-de-France.-42René BYCH/PHOTOPQR/LE REPUBLICAIN LORRAIN-
       

    L’administration demande aux proviseurs de noter l’absence pour cause d’Aïd-el-Fitr des candidats aux oraux afin de pouvoir reporter l’épreuve.

     

    À nouveau, la religion s’invite à l’école. Dans les examens du bac, cette fois, dont les premières épreuves de rattrapage pourraient coïncider, mercredi, avec la grande fête musulmane de l’Aïd-el-Fitr, qui met fin au ramadan. Curieusement, la polémique ne naît pas de candidats pratiquants qui, convoqués à ces cessions, auraient pu fustiger cet aléa calendaire et déroger à la loi laïcité en menaçant de boycotter l’examen, mais de l’institution elle-même, qui, nouant seule les écheveaux d’une conscience trop vive, a anticipé les problèmes qui ne se posaient pas. La Maison des examens, un service interacadémique (SIEC) qui gère l’organisation du baccalauréat de toute l’Île-de-France, a rédigé une note qui fait polémique. Selon une information du Parisien, cette note, adressée le 30 juin aux proviseurs des lycées des trois académies de Paris, Versailles et Créteil, leur demandait de «s’assurer de la présence effective» des élèves convoqués le mercredi 6 juillet. «Ceux invoquant la fête de l’Aïd-el-Fitr devront être reconvoqués le lendemain. Vous voudrez bien indiquer le plus rapidement à mes services le nombre de candidats concernés», explique le document signé par le directeur de la Maison des examens, Vincent Goudet. Des aménagements qui ressemblent à «du zèle et du clientélisme!», s’insurgent les défenseurs de la laïcité, qui condamnent ces «postures» se voulant «plus royalistes que le roi». «On anticipe une revendication qui n’a pas encore été formulée: l’administration fabrique elle-même le problème, on marche sur la tête!», s’indigne Charles Arambourou, responsable laïcité de l’Union des familles laïques (Ufal).

    «Clairement discriminatoire»

    «Prendre en compte les préceptes des uns ou des autres, à titre religieux, c’est déjà contrevenir à la loi laïcité, réagit Marie-Hélène Piquemal, vice-présidente du Syndicat national des lycées et collèges (Snalc), mais si on se met à les prévenir et les anticiper c’est inacceptable!» Ce syndicat, pour qui la laïcité «est un de (ses) combats de fond et une de (ses) lignes directrices», n’est pas seul à bondir. Le Syndicat national des personnels de direction de l’Éducation nationale (SNPDEN) aussi. Pour lui, «ce genre de note peut créer une belle pagaille», a déclaré son secrétaire général, Philippe Tournier, proviseur du lycée parisien Victor-Duruy. De manière pratique, de nombreux proviseurs ne s’imaginent pas faire le tour des effectifs pour demander qui fait l’Aïd. «C’est inconcevable», a réagi Philippe Tournier dans Le Parisien. «Sous couvert de respect des religions, on aboutit en réalité à ficher les élèves en fonction de la leur, ce qui est clairement discriminatoire!», juge l’Ufal. Marie-Hélène Piquemal craint aussi d’autres inégalités: «Un candidat musulman pourra repasser l’épreuve le lendemain mais quid d’un élève tout simplement malade le 6 juillet?»

    De son côté, l’Observatoire de la laïcité a vivement réagi. Pour Nicolas Cadène, son rapporteur général, «l’administration n’a pas à anticiper les éventuelles demandes, pour la bonne raison que cette démarche revient à assigner les élèves à leurs pratiques religieuses. C’est contraire à l’approche laïque». La circulaire du 18 mai 2004 sur le port des signes religieux à l’école oblige l’institution scolaire et universitaire à s’arranger pour qu’aucun examen important ne se tienne les jours de grandes fêtes religieuses. Mais, si cela advenait - certaines fêtes ne sont pas fixes -, des autorisations d’absence sont prévues. Pour autant, rappelle Nicolas Cadène, «elles ne sont pas données de droit, elles sont octroyées au nom de la liberté de culte (…) si elles restent exceptionnelles. La loi précise que les convictions religieuses ne sauraient être opposées à l’obligation d’assiduité ni aux modalités d’un examen».

    LE FIGARO

  • 3 juillet 1940… L’agression britannique sur Mers El-Kébir : 1927 marins français tués

     http://www.wiki-brest.net/index.php/Canton_de_Ploudalm%C3%A9zeau_et_le_drame_de_Mers-El-K%C3%A9bir

    « Le souvenir de ces morts dérange tout le monde parce que l’évènement échappe à la logique. Il est à part des tragédies de la guerre. Personne n’a intérêt à ce que l’on en parle trop » (Amiral Marcel Gensoul)

    Mers El-Kébir… le « Grand Port », mot composé arabe, évoque la mer, que ce lieu géographique essaie d’étreindre dans la tenaille, largement ouverte de sa rade, et l’installation portuaire que la France de la seconde moitié du XX° siècle y a créée (1928 – 1945)…

    Tour à tour, port de pirates, centre de transit commercial et base navale, elle a offert une physionomie différente à chaque nouveau contact de populations, à travers les vicissitudes d’une histoire bimillénaire. Ce mouillage est à 200 kilomètres des ports ibériques de Carthagène et d’Alméria, du port rifain de Mélilla, à une distance à peu près double du Détroit de Gibraltar, passage obligatoire de la Méditerranée à l’Atlantique ou du Moyen Orient à l’Occident européen.

    Mieux abrité que Gibraltar, le port possède une des rades les plus belles et les plus sûres de l’Algérie. Le site profite enfin de la proximité de l’agglomération urbaine d’Oran, créée au début du X° siècle.

    Le but de la base navale est, non seulement de compléter la défense des côtes algériennes, de maintenir l’intégrité du territoire français, mais aussi d’assurer la liberté des communications et d’organiser notre présence dans la Méditerranée occidentale, en cas de conflit, face à une Italie hostile (en 1939) et à une Espagne d’une neutralité bienveillante envers les pays de l’Axe Berlin-Rome.

    L’armistice franco-allemand du 25 juin 1940 consacre l’échec de nos armées sur terre ; notre flotte, une des plus puissantes -qui n’avait pas été vaincue- est libre.
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  • Bangladesh : 20 otages étrangers torturés et égorgés (Màj : Ceux qui pouvaient citer le Coran étaient épargnés)

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    12h00

    03/07/2016


     (Ndlr : Photos des 9 italiens massacrés lors de la prise d’otage. Source photo)

    «Les assaillants ne se sont pas comportés brutalement avec les Bangladais, ils leur ont donné à manger. Ils testaient la religion de chacun en leur demandant de réciter un extrait du Coran. Ceux qui pouvaient citer un verset ou deux étaient épargnés. Les autres étaient torturés».

    Les détails sur la prise d’otage qui a eu lieu au Bangladesh ce week-end commencent à émerger. Selon ce témoignage paru dans le Daily Star, les terroristes auraient torturé les otages qui n’étaient pas capable de réciter des versets du Coran. (…)

    Source

  • USA: Trump suscite l'indignation après son tweet anti-Clinton jugé antisémite

    http://www.leparisien.fr/election-presidentielle-americaine/etats-unis-trump-suscite-l-indignation-apres-son-tweet-anti-clinton-03-07-2016-5936065.php