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Blog - Page 33

  • Köthen (All.) : nouveau meurtre d’un Allemand par des Afghans, les autorités invitent les habitants à se « calmer », manif anti-immigration (MàJ)

     

    18h08

    Environ 2000 personnes ont manifesté dimanche soir dans l’est de Allemagne à l’appel de l’extrême droite à la suite de la mort d’un jeune homme dans une bagarre avec deux Afghans.

    (…) Quelque deux mille personnes se sont rassemblées pour dire leur colère contre la politique d’asile en Allemagne. Mais les violences n’ont pas eu lieu et en début de soirée la ville espérait retrouver le calme. Les deux suspects ont été arrêtés, l’un d’eux fait l’objet d’une procédure d’expulsion.

    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    La nuit est quasiment tombée sur . Des centaines de personnes sont encore rassemblées là où ce jeune Allemand a été tué ce week-end, devant un petit parc à l’angle de deux rues tranquilles. « Si ça peut arriver ici, ça peut arriver partout », répètent les gens.

     

     

    (…) En Allemagne, où s’installe un climat anti-migrants, le drame de Köthen a redonné des arguments à l’extrême droite et au parti populiste AfD. «Combien (de morts) encore?», a lancé sur twitter Alice Weidel, la leader du parti anti-islam, en réclamant un «tournant» dans la politique d’asile «maintenant»

    (…) Pour 69% des Allemands, «l’intégration des migrants» a échoué ainsi que «la prévention de la criminalité». Globalement, seulement 31% des personnes interrogées se disent «satisfaites» du travail du gouvernement. Angela Merkel, qui a annoncé son intention de se rendre à Chemnitz en octobre à la rencontre des habitants, aura du mal à restaurer la confiance.

    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    « Nous ne sommes pas des nazis ! », hurle une jeune femme à qui l’on vient de passer le mégaphone. « Non, juste des êtres humains qui veulent vivre sans avoir peur de se faire égorger », soupire l’un de mes voisins.

     

     

    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    « Un de ces jours, il va falloir marcher sur Berlin pour mettre fin à cette folie », fulmine un orateur dans un mégaphone. « Résistance, résistance, résistance ! », entonne à nouveau la foule.

     

     

    Le Figaro


    Berlin – Plusieurs responsables ont appelé dimanche au calme après l’arrestation en Allemagne de deux Afghans soupçonnés d’implication dans la mort violente d’un jeune homme, deux semaines après des faits similaires à Chemnitz ayant mis le pays sous tension.

     
    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    Ce soir des centaines de personnes marchent silencieusement dans les rues de la petite ville de , après la mort d’un Allemand de 22 ans suite auquel deux Aghans ont été arrêtés. Visages graves. Ceux qui acceptent de parler réclament le départ de « Merkel la criminelle »

     

     

     

    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    Maintes personnes présentes ce soir à Köthen au rassemblement organisé par plusieurs groupes d’extrême droite ont manifesté à Chemnitz ces derniers jours. « Hier Chemnitz, aujourd’hui Köthen. On ne va pas laisser ces crimes impunis. La résistance s’organise », me dit une dame.

     

     

    Le ministre de l’Intérieur de l’Etat régional où le drame s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, la Saxe-Anhalt, Holger Stahlknecht, a invité la population locale à rester « pondérée« .

    « La mort tragique du jeune homme » de nationalité allemande « me touche beaucoup et je regrette profondément ce qui s’est produit« , a déclaré le ministre, membre du parti de centre-droit de la chancelière Angela Merkel (CDU), à l’agence de presse allemande DPA.

    La responsable des question d’intégration en Saxe-Anhalt, a elle aussi appelé les habitants au calme.

    Thomas Wieder
     
    @ThomasWieder
     
     

    « Tous les réfugiés dehors ! Maintenant on veut être à nouveau chez nous », me dit ce sexagénaire, ex-militant CDU aujourd’hui électeur de l’AfD. « Et arrêtez, vous la presse, de nous traiter de nazis. Nous sommes juste des patriotes qui voulons l’ordre et la sécurité »

  • Montpellier (34) : un père de famille poignardé alors qu’il portait secours à son fils de 14 ans agressé par 30 migrants

     

    16h14

    INFO MÉTROPOLITAIN. Le père d’un adolescent âgé de 14 ans, élève au lycée Joffre à Montpellier a été poignardé vendredi vers 17h devant l’établissement, sur l’Esplanade Charles de Gaulle, alors qu’il portait secours à son fils agressé avec d’autres lycéens par une trentaine de migrants de nationalité albanaise, hébergés notamment par des associations locales dans le quartier de Gambetta.

    Le parent d’élève a reçu trois coups de couteau et a été transporté au CHU Lapeyronie, à Montpellier. (…) Un couple et une personne âgée qui se trouvaient à l’endroit de cette scène de violence, dont le mobile reste inconnu encore, ont également été malmenés par cette bande.

    « Les lycéens de Joffre sont en danger, depuis la rentrée, la même situation recommence comme l’année dernière, à savoir que des élèves sont abordés par ces migrants albanais regroupés en bande, souvent une trentaine pour leur vendre de la drogue. Ceux qui refusent sont menacés au couteau ou frappés (…) Les parents doivent être informés, car un jour, il y aura un mort », témoigne la soeur du père du lycéen poignardé vendredi.

    E-metropolitain.fr

  • Matteo Salvini prêt à travailler avec Steve Bannon pour « sauver l’Europe »

     

    18h26

     

    Le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini, le chef du Parti populaire belge et l’ex-conseiller de Donald Trump veulent créer ensemble un grand mouvement populiste en Europe.

    Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».

    « Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.

    « La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.

    Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.

  • Matteo Salvini prêt à travailler avec Steve Bannon pour « sauver l’Europe »

     

    18h26

     

    Le ministre de l’Intérieur italien Matteo Salvini, le chef du Parti populaire belge et l’ex-conseiller de Donald Trump veulent créer ensemble un grand mouvement populiste en Europe.

    Matteo Salvini, le patron de l’extrême droite italienne devenu ministre de l’Intérieur et homme fort du gouvernement, a reçu l’ex-conseiller du président américain Trump Steve Bannon dans l’optique de faire de sa mouvance « le premier parti parlementaire européen » et de « sauver l’Europe ».

    « Il est avec nous ! », a tweeté vendredi le Belge Mischaël Modrikamen, chef du Parti populaire, un micro-parti wallon d’extrême droite, qui accompagne Steve Bannon dans ses efforts pour rassembler les populistes et eurosceptiques au sein d’un « Mouvement » paneuropéen. Le message était accompagné d’une photo des trois hommes, tout sourire à l’issue d’une rencontre vendredi matin au ministère de l’Intérieur à Rome.

    « La dernière occasion de sauver l’Europe ». Interrogé sur ce ralliement samedi en marge du forum de Cernobbio, qui réunit des dirigeants politiques et économiques, Matteo Salvini a expliqué que les élections européennes du printemps 2019 représentaient « une occasion de changement historique et la dernière occasion de sauver l’Europe ». « L’Europe, ils sont en train de la saborder. L’esprit européen, l’esprit d’une communauté rénovée, nous voulons le sauver, nous. Nous travaillons pour être le premier groupe parlementaire européen et oublier la triste parabole socialiste qui a porté chômage et insécurité », a-t-il ajouté.

    Rallier tous les populistes européens. Dans une interview au New York Times, Steve Bannon a assuré que les européennes seraient « l’occasion pour les populistes de prendre la main », tout en précisant qu’il visait avant tout à envoyer suffisamment d’élus populistes au Parlement pour bloquer l’agenda des forces traditionnelles. Le député antimigrants néerlandais Geert Wilders, présent à Cernobbio, s’est dit intéressé par le projet. « L’élite actuelle ne s’attaque pas au problème de l’immigration de masse et de l’islamisation comme elle le devrait, les gens sont en colère, le terrorisme persiste et même augmente, les chances pour des partis comme le nôtre et une force unie seront historiques et plus fortes dans les prochaines années en Europe », a-t-il déclaré.

  • L’AfD devance pour la première fois la CDU de Merkel dans l’est de l’Allemagne

     

    11h46

    […]

    Pour la première fois, l’AfD passe devant la CDU dans les Länder de l’est selon le Deutschlandtrend [sondage mensuel de la chaîne ARD et de divers quotidiens]. […] l’AfD arrive à 27 pourcent dans cette région. Les chrétiens-démocrates sont quatre points derrière à 23 pourcent.

    Die Linke [La Gauche] est la troisième force en Allemagne de l’Est avec 18 pourcent, suivie du SPD (15 pourcent). […]

     

    Au niveau fédéral, l’AfD perd un point et descend à 16 pourcent. L’Union [chrétienne-démocrate] et le SPD sont inchangés à respectivement 29 et 18 pourcent. […]

    (Traduction Fdesouche)

  • Malaise : Mélenchon traite Macron de « xénophobe », mais face au Président, le leader de la France Insoumise n’assume plus ses propos (MàJ)

     

    10h27
    Arthur Berdah
     
    @arthurberdah
     

    VIDÉO - Après un long bain de foule sur le Vieux-Port, Macron va à la rencontre de Mélenchon à une terrasse de café. Le président dit qu’il s’oppose au FN avant la France Insoumise sans "aucun doute". "On a des confrontations politiques, mais M. Mélenchon ça n’est pas mon ennemi" pic.twitter.com/VmJvxT3gPe

     
    Arthur Berdah
     
    @arthurberdah
     

    VIDÉO - Lors d’une manifestation à Marseille ce vendredi après-midi, Jean-Luc Mélenchon a traité Emmanuel Macron de "plus grand xénophobe qu’on ait". Mais devant le président, l’Insoumis semble gêné et n’assume plus: "Peut-être une légère exagération marseillaise...", glisse-t-il pic.twitter.com/5gePhnUqfa

     

     

     

    En visite dans la cité phocéenne, où il a reçu Angela Merkel vendredi, le président Emmanuel Macron s’est offert un long bain de foule de plus d’une heure après dîner. L’occasion de croiser le leader Insoumis Jean-Luc Mélenchon sur le Vieux-Port lors d’une rencontre organisée par les équipes des deux personnalités.

    […] Lorsque le leader de la France insoumise a appris que le président savourait sa popularité non loin du restaurant où lui-même dînait, il a immédiatement demandé à ses équipes de se mettre en relation avec celles de l’Élysée afin de provoquer une rencontre. Trois quart d’heure plus tard, les deux hommes ont ainsi fait mine de se croiser par hasard à la terrasse d’un hôtel . Après avoir échangé quelques politesses face caméra, ils ont accepté de répondre aux questions des quelques journalistes témoins de la scène. Emmanuel Macron a notamment indiqué que le Rassemblement national était sans «aucun doute» plus dangereux que la France insoumise à ses yeux. «J’ai toujours du plaisir à discuter avec Monsieur Mélenchon. On n’a pas souvent les mêmes idées»… «Pas souvent», a coupé le leader de la France insoumise. «Mais c’est toujours respectueux et intéressant. On a des confrontations politiques mais ce n’est pas mon ennemi», a-t-il affirmé. Le député a semblé apprécié.

    Puis, il lui a rendu la politesse en refusant d’assumer et de répéter les propos qu’il avait pourtant tenus l’après-midi même. Lors d’une manifestation organisée sous l’ombrière du Vieux-Port, Jean-Luc Mélenchon avait en effet accusé Emmanuel Macron d’être « le plus grand xénophobe qu’on ait». […]

    Le Figaro

  • Caserta (Italie) : une femme de 74 ans battue et violée à son domicile par un « migrant »

     

    18h44

    Dimanche soir, un crime sexuel s’est produit dans la ville italienne de Caserta. Une femme âgée de 74 ans a été violée à son domicile par un «homme de nationalité étrangère, un migrant», selon la police.

    Après le viol, la femme de 74 ans, qui est veuve, a immédiatement appelé la police. Des traces de sang ont été trouvées au domicile de la victime et elle a été emmenée à l’hôpital de Castel Volturno, où elle est toujours en observation.

    (…) Un policier a déclaré que « les violences sexuelles semblent être devenues une tendance. Il faut agir sans délai et, à notre avis, il faudrait envisager une punition exemplaire, comme la castration chimique »

    (…)

    Il Giornale

    La droite allemande tétanisée par l’extrême droite (Le Monde)
    Aulnay-sous-Bois (93) : une école musulmane hors contrat très soutenue par le maire LR Bruno Beschizza
     
     
     
     
     
  • JT TVL 07 SEPTEMBRE 2018

  • Quel était le salaire d'Alexandre Benalla ? L'Elysée refuse de répondre aux députés

     

    Quel était le salaire d'Alexandre Benalla ? L'Elysée refuse de répondre aux députés© Philippe Wojazer Source: Reuters
    Patrick Strzoda lors de son audition devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale le 24 juillet, illustration
     

    Des interrogations subsistent dans l'affaire Benalla. La question du salaire que percevait l'ex-chargé de mission de l'Elysée reste notamment en suspens. A ce sujet, l'Elysée assume sa position et refuse de le révéler.

    Selon les informations du journal Le Parisien, l’Elysée a adressé une fin de non-recevoir aux députés qui souhaitaient prendre connaissance du salaire d'Alexandre Benalla. Selon la déclaration sous serment de Patrick Strzoda, ce salaire correspondait à celui d’un chargé de mission, ni plus ni moins, sans primes. Mais quant à savoir quelles étaient les sommes exactes, il faudra s'armer de patience, voire d'espoir, au grand dam de la transparence prônée par Philippe Le Bas, le président LR de la commission d'enquête du Sénat.

    Le 24 juillet, le député UDI d'Eure-et-Loir Philippe Vigier, ex-président de la commission des Finances à l'Assemblée, son successeur Lise Magnier et Eric Woerth, président LR de la commission des finances au Palais Bourbon, adressaient à la présidence un courrier afin de solliciter quelques éléments de réponse dans cette affaire : combien gagnait réellement Alexandre Benalla au sein du cabinet de l'Elysée ? Avait-il ou non été payé pendant sa suspension supposée de 15 jours en mai 2018 ?

    Les députés ont également demandé à obtenir une copie de l'acte de licenciement du conseiller ainsi que de son contrat de travail. Enfin, ces derniers voulaient avoir accès à l'ensemble des dépenses de sécurité de l'Elysée (matériel, équipement, personnel, fonctionnaires et contractuels).

    Patrick Strzoda vient de mentir en direct

    Réagissant à l'audition de Patrick Strzoda le 24 juillet devant la commission d'enquête de l'Assemblée nationale, le député Philippe Vigier avait dénoncé dans les colonnes du Parisien les propos du chef de cabinet de l'Elysée : «Patrick Strzoda vient de mentir en direct». Selon l'élu d'Eure-et-Loir, lorsque Patrick Strzoda a affirmé que les informations relatives aux émoluments d'Alexandre Benalla étaient disponibles auprès de la Cour des Comptes et de la mission parlementaire de la commission des Finances, il a menti.

    Dans un courrier en date du 1er août, toujours selon cette source, l'Elysée aurait répondu aux députés, mais aurait invoqué le «principe de la séparation des pouvoirs», estimant l'autonomie financière des services de l'Elysée était ici garanti par la constitution, au titre de la séparation des pouvoirs. La présidence a, au passage, renvoyé les députés à leur mission : «Le Parlement vote la loi. Il exerce son contrôle sur l’action du gouvernement ; c’est dans ce cadre que s’inscrit l’action de la commission des Finances.»

    RT

  • JT TVL 06 SEPTEMBRE 2018

  • Deux chiffres seulement...

    Deux chiffres seulement, mais tellement limpides : 23 Légions d’Honneur pour les footballeurs vainqueurs de la Coupe du Monde. 22 cercueils pour les militaires français tombés au combat afin que les Africains restés chez eux soient libérés de la menace islamiste. Le geste de la semaine : Ousmane Dembelé, champion du monde, va construire une mosquée en Mauritanie. Pas un hôpital, une mosquée. Pas un dispensaire, mais une mosquée. Pas une irrigation du désert, une mosquée. Pas une école de filles, seulement une mosquée. Ousmane Dembélé est un bienfaiteur de l’humanité. Et un bâtisseur de mosquées. Deux chiffres seulement, mais tellement limpides : 23 Légions d’Honneur pour les footballeurs vainqueurs de la Coupe du Monde. 22 cercueils pour les militaires français tombés au combat afin que les Africains restés chez eux soient libérés de la menace islamiste. Le geste de la semaine : Ousmane Dembelé, champion du monde, va construire une mosquée en Mauritanie. Pas un hôpital, une mosquée. Pas un dispensaire, mais une mosquée. Pas une irrigation du désert, une mosquée. Pas une école de filles, seulement une mosquée. Ousmane Dembélé est un bienfaiteur de l’humanité. Et un bâtisseur de mosquées. Qui a la légion d’honneur ! Qui a la légion d’honneur !

  • JT TVL 05/08/2018

  • Laurent Obertone déprogrammé du Théatre de l’Atelier suite à une mobilisation des antifas

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    18h23
     

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  • Le Premier ministre de Saxe dénonce la fake news de Merkel et des médias : « il n’y a pas eu de chasse à l’homme ni de pogroms à Chemnitz »

     

    19h26

    Le Premier ministre saxon Michael Kretschmer (CDU) a appelé à la lutte contre les tendances d’extrême droite. « Je suis convaincu que l’extrémisme de droite est la plus grande menace pour notre démocratie », a déclaré M. Kretschmer dans une déclaration de son gouvernement sur les émeutes de Chemnitz lors d’un discours prononcé dans le Landtag saxon. Jusqu’à présent, il n’a pas été possible de mettre enfin l’extrémisme de droite en Saxe sous contrôle. La lutte contre la droite doit être « menée à partir du centre de la société ».

    En même temps, Kretschmer s’est de nouveau retourné contre son opinion générale ou ses jugements erronés sur Chemnitz et s’est surtout référé aux heures qui ont suivi l’attaque meurtrière contre Daniel H. « Il n’y avait pas de foule, pas de chasse et pas de pogroms dans cette ville », a déclaré Kretschmer, critiquant également une partie des reportages des journalistes.

    La chancelière allemande Angela Merkel avait notamment parlé de « chasses » après l’attaque meurtrière contre Daniel H… L’AfD s’est demandé si ces chasses avaient eu lieu. Entre-temps, il y a un différend au sein de l’AfD parce que trois associations nationales ont rejoint la marche du mouvement Pegida (pour en savoir plus sur les relations de l’AfD avec Pegida, cliquez ici).

    Mme Merkel, à son tour, a défendu ses affirmations : « Ma réaction est que nous y avons vu des images qui montraient clairement la haine et la persécution de personnes innocentes », a-t-elle dit, « dont nous devons nous distancier. C’est ce que M. Seibert a fait, c’est ce que je fais, je l’ai déjà fait. » C’est tout, a-t-elle dit, en réponse à la demande de Jörg Meuthen, co-leader de l’AfD, d’obtenir les excuses de Mme Merkel et le renvoi de Seibert.

    Kretschmer dit maintenant que ce ne sont ni tous les habitants de Chemnitz ni une majorité qui sont devenus violents pendant les manifestations dans la ville. Il ne faut pas mettre au pilori ceux qui sont descendus dans la rue en colère après l’homicide de Chemnitz. « Ce ne sont pas des extrémistes de droite », a dit Kretschmer. Cependant, ceux qui ont participé aux émeutes ont été assez mauvais. « Et nous leur dirons de se battre. »

    Spiegel.de

  • France : suspicion de choléra dans un avion en provenance d'Algérie, 147 passagers pris en charge

     

     

    France : suspicion de choléra dans un avion en provenance d'Algérie, 147 passagers pris en charge© Louafi Larbi Source: Reuters
    Image d'illustration : un avion d'Air Algérie
     

    147 personnes ont été prises en charge à l'aéroport de Perpignan en raison d'une suspicion de choléra sur un enfant, dans un avion en provenance d'Algérie, où une épidémie a éclaté en août.

    Les pompiers des Pyrénées-Orientales ont fait savoir à l'AFP que les 147 passagers d'un avion en provenance d'Oran, en Algérie, avaient été pris en charge à l'aéroport de Perpignan en raison d'une suspicion de choléra sur un enfant.

    «Un enfant est susceptible d'être porteur du choléra et va être évacué vers l'hôpital pour des examens», ont déclaré les pompiers. «Des prélèvements vont être faits sur l'enfant pour vérifier [si ce cas est avéré]», ont ajouté les secours.

    Lire aussi : Choléra en Algérie : vent de panique après l'attitude contradictoire des autorités

    Les 146 autres passagers ont eux aussi été évacués, ainsi que les membres de l'équipage.

    Encadrés par les pompiers, ils ont quitté l'avion après une «désinfection des mains» et une prise de renseignement sur leurs adresses et identités afin de suivre l'évolution de leur état de santé, si le cas de choléra était confirmé, selon la préfecture.

    Une épidémie de choléra a tué deux personnes en Algérie depuis son apparition le 7 août. Selon le ministre de la Santé, Mokhtar Hasbellaoui, elle aurait été «maîtrisée».

    Le choléra est une infection diarrhéique aiguë provoquée par l'ingestion d'aliments ou d'eau contaminés. Elle est facile à traiter par réhydratation notamment, mais peut tuer en quelques heures faute de traitement.

    Lire aussi : Episode de choléra en Algérie : «Notre système de santé est sérieusement malade» (ENTRETIEN)

  • Indre et Loire : plus de 50 % des migrants « mineurs » sont reconnus majeurs…

     

  • Touraine : un flux de «Mineurs Non Accompagnés» sans précédent

     

    19h19

    Les services de l’Etat et le Conseil départemental sont côte à côte pour faire face à un flux migratoire sans précédent. Du 1er Janvier 2018 au 28 août, 865 jeunes se sont présentés au Département contre 553 sur la même période en 2017.

    Ce vendredi matin, Mme Corinne ORZECHOWSKI, Préfète d’Indre-et-Loire et M. Jean-Gérard PAUMIER, Président du Conseil départemental ont fait un point d’étape sur l’accueil des Mineurs Non Accompagnés (MNA) en Indre-et-Loire et sur les actions conjointes et respectives menées pour faire face à cette situation.

    Un flux migratoire en forte augmentation qui explique les délais d’attente actuels pour les évaluations qui déterminent la minorité ou non de ces jeunes gens. Le Département vient d’annoncer le recrutement de 5 personnes.

    touraine.fr

    Merci à jovano

  • L'impôt sur le revenu sera bien prélevé à la source dès le 1er janvier 2019

     

    - Avec AFP

    L'impôt sur le revenu sera bien prélevé à la source dès le 1er janvier 2019
    Illustration ©Joël SAGET 
     

    La mise en place du prélèvement à la source, prévue pour le 1er janvier 2019, ne sera pas repoussée, selon le Premier ministre Edouard Philippe. Pourtant, des centaines de milliers d’erreurs avaient été constatées lors des phases de test.

    «L'impôt sur le revenu sera prélevé à la source au 1er janvier 2019», a confirmé ce 4 septembre sur TF1 le Premier ministre Edouard Philippe, après une semaine d'hésitations de l'exécutif. «Nous avons travaillé d'arrache-pied depuis des mois pour faire en sorte que cela soit possible», a ajouté le chef du gouvernement, qualifiant de «bonne réforme» le prélèvement direct de l'impôt sur le bulletin de paie.

    Pourtant, la phase d'essai de ce nouveau dispositif, testé auprès de certaines entreprises avant qu'il n'entre en vigueur, s'est soldée par des centaines de milliers d'erreurs, rapportait Le Parisien ce 1er septembre, citant une note du fisc. Selon le journal, la direction générale des finances publiques (DGFiP) a fait parvenir en juillet une note au ministère de l'Economie, évoquant un nombre extrêmement irrégulier d'erreurs d'un mois à l'autre : elles auraient été inexistantes en janvier, avant de culminer à plus de 300 000 le mois suivant. Deux anomalies techniques sont récurrentes : le prélèvement à de multiples reprises de l'impôt auprès d'une même personne, ainsi que le prélèvement par erreur à un homonyme.

    Néanmoins, après la révélation de cette note, les services du ministère de l'Action et des Comptes publics s'étaient voulu rassurants, déclarant : «Les phases pilotes menées avaient justement pour objectif d’identifier de potentielles anomalies et les réparer si nécessaire, ce qui a été fait.»

    La réforme du prélèvement à la source, grand chantier engagé sous la mandature de François Hollande et déjà reportée une fois d'un an, doit conduire à ce que l'impôt soit directement collecté par les entreprises sur les salaires ou les pensions, et non plus acquitté un an après par les contribuables, comme c'est le cas actuellement. Sa mise en œuvre a suscité la préoccupation de chefs d'entreprise et de syndicats, qui s'inquiètent de possibles failles ou angles morts.

    Lire aussi : Le prélèvement à la source va-t-il coûter deux milliards à la France ?