3 questions à Thibaut de la Tocnaye, expert économique :
– Premier verrou : le blocage syndical
– Deuxième verrou : le blocage de Bruxelles
– Troisième verrou : le blocage de la finance et du système bancaire
Blog - Page 336
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Les trois verrous à faire sauter pour débloquer l'économie française
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Gilbert Collard invité d'Olivier Galzi
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Marine Le Pen au Salon des Maires
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Un nouveau livre de Bernard LUGAN : Histoire de l'Afrique du Nord
Présentation de l'éditeur : L’Afrique du Nord est formée de cinq pays (Égypte, Libye, Tunisie, Algérie et Maroc) que ce livre présente dans leur longue durée historique. À l’est, centrée sur l’étroit cordon du Nil, l’Égypte développa, dès le 5e millénaire av. J.-C., une civilisation aussi brillante qu’originale. À l’ouest, en Berbérie, apparurent au VIe siècle av. J-C., trois royaumes berbères dont les limites correspondaient aux actuels États du Maghreb. Rome imprégna ensuite toute la région de sa marque. L’empire byzantin qui lui succéda s’établit de l’Égypte jusqu’à l’est de l’actuelle Tunisie, renonçant à la plus grande partie du Maghreb où la « reconquête » berbère eut raison du vernis romano-chrétien. Aux VIIe-VIIIe siècles, l’islamisation provoqua une rupture entre les deux rives de la Méditerranée ainsi qu’une profonde mutation des sociétés nord-africaines. Au XVIe siècle, l’expansion turco-ottomane subjugua toute l’Afrique du Nord avant de buter sur le Maroc qui réussit à maintenir son indépendance en s’alliant à l’Espagne chrétienne. Durant la période coloniale, les Britanniques s’installèrent en Égypte, les Italiens disputèrent le vide libyen à la Turquie et, à l’exception de la partie nord du Maroc devenue protectorat espagnol, le Maghreb fut tout entier rattaché au domaine français. L’Égypte recouvrit son indépendance en 1922, la Libye en 1951. Quant au Maghreb, il connut des péripéties sanglantes avec la guerre d’indépendance algérienne (1954-1962). En dépit d’une « arabité » postulée et d’une islamité commune, les cinq pays composant l’Afrique du Nord eurent ensuite des destins divers illustrés par l’épisode dit des « printemps arabes ». Riche d’une centaine de cartes en couleur, ce livre est l’outil de référence indispensable à tous ceux qui veulent connaître les constantes qui fondent la géopolitique de cette arrière-cour de l’Europe qu’est l’Afrique du Nord.
- 736 pages - 72 cartes couleur - Index et bibliographie - Prix : 29€
Il est possible de le commander directement à l'Afrique Réelle moyennant une participation aux frais de port : - 6€ pour livraison (colissimo suivi) en France métropolitaine, soit 35€ - 9€ pour l'UE, soit 38€ - 11€ pour le reste du monde et Dom-Tom, soit 40€
Pour le commander à l'Afrique Réelle :http://bernardlugan.blogspot.fr/2016/05/nouveau-livre-de-bernard-lugan-histoire.html
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Un attentat déjoué en Allemagne grâce aux aveux d'un Syrien arrêté en France
| MAJ :
Ce sont les révélations d'un Syrien passé par les rangs du groupe Etat islamique (EI) et arrêté en France en février qui ont permis de neutraliser une cellule jihadiste dormante qui s'apprêtait à frapper l'Allemagne, comme l'a révélé iTÉLÉ.
Le parquet fédéral allemand a annoncé jeudi que trois suspects arrêtés en Allemagne et un détenu en France envisageaient de perpétrer un attentat-suicide au nom de l'EI dans la vieille ville de Düsseldorf.
Les trois premiers hommes, Hamza C., 27 ans, Mahood B., 25 ans, et Abd Arahman A. K., 31 ans, tous syriens, ont été arrêtés en Rhénanie-du-Nord-Westphalie, dans le Brandebourg (la région qui entoure Berlin) et dans le Bade-Wurtemberg. Le quatrième homme lié à ce projet, Saleh A., un Syrien de 28 ans récemment arrivé en France, était passé aux aveux en révélant les projets du quatuor auprès de la police française.
Il s'était présenté au commissariat de la Goutte d'Or
Il s'était présenté le 1er février au commissariat de la Goutte d'Or dans le nord de Paris en expliquant avoir «un certain nombre d'informations sur une cellule dormante prête à frapper l'Allemagne». Placé en garde à vue pendant quatre jours, entendu par la Section antiterroriste de la brigade criminelle et la direction générale de la sécurité intérieure, il a été mis en examen le 6 février pour «association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste criminelle» et incarcéré. L'Allemagne a demandé son transfèrement.
Entré en France par la route des Balkans
«Ses déclarations depuis le 1er février qui ont donné lieu à des investigations avec les autorités allemandes ont été fructueuses et ont permis l'interpellation de ces trois suspects», explique t-on de source judiciaire. Le Syrien avait d'abord combattu dans les troupes d'opposition à Bachar al-Assad avant d'intégrer divers mouvements jihadistes. Fait prisonnier par le groupe Etat islamique, il avait fini par en rejoindre les rangs. Il était rentré en Europe lors d'un périple avec une autre personne sur les routes des Balkans. Les enquêteurs s'interrogent notamment sur les raisons de sa présence en France. «A ce stade, il n'y a aucun lien entre cette cellule dormante et le réseau franco-belge» à l'origine des attentats de Paris et de Bruxelles des 13 novembre et 22 mars.
LE PARISIEN
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Les premières moules de cordes de Zélande ont débarqué
Les premières moules de culture de cordes suspendues de la saison ont été récoltées, mercredi, dans le Grevelingendam à Bruinisse en Zélande (Pays-Bas).
Les moules, élevées selon la méthode de cordes suspendues, sont disponibles un mois avant les moules élevées sur le fond marin. Les premières moules seront disponibles mercredi sur les étals néerlandais et belges.
La culture des moules suspendues ouvre la saison des moules de l'année 2016. Selon le spécialiste culinaire Alain Caron, ces moules sont "une belle promesse pour la saison des moules". "Elles sont charnues, ont une couleur blanc-crème et sont légèrement sucrées", a-t-il indiqué dans un communiqué.
Ce type de moules est vendu avec un logo spécial qui atteste de la provenance de la Zélande.
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HUMOUR D'ADOLF
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L'Allemagne reconnaît le génocide arménien, colère d'Ankara
Les députés allemands ont adopté jeudi une résolution reconnaissant le génocide arménien, un vote contesté avec véhémence par la Turquie, partenaire clé mais difficile notamment sur la question cruciale de la crise migratoire en Europe.
Ce vote risque en effet de compliquer encore des relations déjà tendues avec Ankara notamment sur l'application d'un accord controversé entre l'Union européenne et la Turquie, porté par Berlin, qui a permis de réduire considérablement l'afflux de migrants en Europe.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan menace de ne pas appliquer ce pacte, faute d'obtenir à ses conditions une exemption de visas Schengen pour ses concitoyens.
Le texte intitulé "Souvenir et commémoration du génocide des Arméniens et d'autres minorités chrétiennes il y a 101 ans" a été adopté à la quasi-unanimité des présents (une voix contre et une abstention) à la mi-journée alors que des personnes présentes dans le public ont brandi des panneaux sur lesquels on pouvait lire "Danke" (merci).
Quelques minutes après le vote, la Turquie a qualifié l'adoption du texte d'"erreur historique" de l'Allemagne, considérant cette résolution comme "nulle et non avenue" tandis que l'Arménie saluait "un apport appréciable de l'Allemagne à la reconnaissance et à la condamnation internationale du génocide arménien".
En ouverture des débats au Bundestag, Norbert Lammert, le président du Bundestag, chambre basse du Parlement allemand, avait souligné que cette assemblée n'était ni "un tribunal" ni une "commission d'historiens" mais que les députés allemands prenaient "leurs responsabilités" en se prononçant sur une telle résolution.
Il a déploré les "nombreuses menaces, y compris de mort" ayant visé certains députés en amont de ce débat, notamment les élus ayant des origines turques. L'Allemagne compte près de 3 millions d'habitants d'origine turque, une des plus grandes diasporas au monde.
Ces menaces sont "inacceptables" et "nous ne nous laisserons pas intimider", a-t-il ajouté.
Test pour l'amitié germano-turque
La majorité des orateurs a pris soin de souligner que cette résolution ne visait pas les autorités turques actuelles mais le gouvernement Jeune Turc de l'époque, responsable des massacres de 1915.
A quelques heures du vote, le Premier ministre turc, Binali Yildirim, depuis Ankara avait estimé que l'initiative de la chambre basse du Parlement, le Bundestag, constituait "un véritable test de l'amitié" entre l'Allemagne et la Turquie.
Le président Recep Tayyip Erdogan avait lui téléphoné mardi à la chancelière Angela Merkel pour dénoncer un "piège" qui pourrait "détériorer toutes nos relations avec l'Allemagne".
Dans le texte, le Bundestag "nomme par son nom ce qu'a été la réalité des massacres commis (...) à savoir un génocide", a expliqué Franz Josef Jung le vice-président du groupe parlementaire conservateur (CDU/CSU) à l'origine de cette résolution avec les sociaux-démocrates du SPD et le groupe d'opposition des Verts.
La résolution déplore en outre "le rôle déplorable du Reich allemand qui, en tant que principal allié militaire de l'empire ottoman (...) n'a rien entrepris pour stopper ce crime contre l'Humanité".
Mme Merkel n'était pas présente pour assister aux débats et voter sur ce texte mais lors d'un vote-test au sein du groupe parlementaire conservateur, elle avait soutenu la résolution.
L'un des responsables du groupe d'opposition de la gauche radicale Die Linke, Gregor Gysi, a critiqué l'absence de la chancelière, comme celle du vice-chancelier et chef du SPD, Sigmar Gabriel : "Ce n'est pas particulièrement courageux".
Perturbation durable?
Les potentiels remous causés par la résolution inquiètent jusque dans les rangs du gouvernement allemand. Le ministre des Affaires étrangères, Frank-Walter Steinmeier, a déjà exprimé des réserves et son porte-parole a dit "espérer" qu'il ne causera pas de "perturbation durable des relations avec la Turquie".
La résolution du Bundestag constitue un pas supplémentaire vers une reconnaissance officielle en Allemagne du génocide des Arméniens, après que le président allemand a, le premier, utilisé le terme de génocide pour qualifier les massacres commis contre les Arméniens en 1915. Mais le texte n'engage pas le gouvernement de Mme Merkel.
Les Arméniens estiment que 1,5 million des leurs ont été tués de manière systématique à la fin de l'Empire ottoman. Nombre d'historiens et plus de vingt pays, dont la France, l'Italie et la Russie, ont reconnu un génocide.
La Turquie affirme pour sa part qu'il s'agissait d'une guerre civile, doublée d'une famine, dans laquelle 300 à 500.000 Arméniens et autant de Turcs ont trouvé la mort.
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Pakistan: vers une loi autorisant les hommes à battre "légèrement" leurs femmes
(merci à abad)
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En Bavière, des migrants assureront l’ordre public : l’Histoire antique se répète-t-elle ?
26/05/2016 – BAVIERE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Le ministre de l’Intérieur de la Bavière, Joachim Herrmann, a lancé une campagne de recrutement de policiers parmi les migrants de sa région. Qu’ils possèdent un passeport ou pas, tous les nouveaux venus souhaitant rejoindre les forces de l’ordre peuvent désormais tenter leur chance, a rapporté le journal allemand Münchner Merkur.
Le ministre a expliqué que cette campagne avait pour but d’améliorer l’efficacité de la lutte contre la criminalité, car le fait que les policiers partageront la même langue et mentalité que les clandestins présents facilitera le travail de la police…
Rappelons que l’Allemagne a accueilli, en 2015, près d’un million d’immigrés. Le même nombre d’immigrés (des Goths, des Huns, des Alains, des Vandales) est entré dans l’empire romain d’Occident, lors de ce qu’on a appelé les « invasions barbares ». L’empire avait alors recruté des mercenaires dans ces peuplades. L’objectif était de maintenir l’ordre et d’être mieux acceptés par ces nouvelles populations immigrées. Ces mercenaires prirent de plus en plus de pouvoir, ce qui fut l’une des causes de la chute de l’empire romain d’Occident.
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Gilbedrt Collard twitte:
... tandis que nos vieux meurent de faim et font les poubelles des supermarchés!
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VIDEO - La députée irlandaise du Parlement européen Martina Anderson traite les israéliens de "plaie"
Lu dans la presse|Publié le 2 Juin 2016"Encore une fois, nous entendons des déclarations profondément offensantes sur les Juifs proférées par personnage public européen", déplore l'EJC.
« Les Israéliens se répandent ici comme une éruption cutanée »
Publié dans le Jerusalem Post le 2 juin 2016Le Président du European Jewish Congres (CJE) Moshe Kantor a appelé le président du parlement européen, Martin Schulz à prendre des mesures disciplinaires contre la député d’Irlande du Nord, Martina Anderson.Lors d’une réunion au Parlement à Bruxelles le 25 mai dernier, celle-ci a comparé les israéliens àn une plaie, déclarant : "Les Israéliens se répandent ici comme une éruption cutanée"."Encore une fois, nous entendons des déclarations profondément offensantes sur les Juifs proférées par personnage public européen et nous exigeons l’action", a déclaré l'EJC dans un communiqué... Lire l'intégralité. -
Robespierre, révolutionnaire français ou juif ?
http://reconquetefrancaise.fr/robespierre-revolutionnaire-francais-ou-juif/
(merci à Dirk)
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Le gros lapsus de François Hollande à Verdun
http://www.fdesouche.com/735563-centenaire-de-verdun-francois-hollande-fait-un-lapsus
Il nous fait honte!
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Complots à ciel ouvert...
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Danemark : Un réfugié syrien autorisé à faire venir ses 2 autres femmes et leurs 12 enfants
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VIDEO - Macron rattrapé par le fisc
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Le Président de la Conférence des rabbins européens s'inquiète du progrès des partis populistes parmi les votes juifs
Lu dans la presse|Publié le 1 Juin 2016« Quand ces partis viennent avec un message populiste aux Juifs, la propagande fonctionne »
Publié dans le Figaro le 31 mai 2016, sous le titre "Les partis populistes gagnent le vote juif (grand rabbin)"Pinchas Goldschmidt, président de la Conférence des rabbins européens (CER), et grand rabbin de Moscou, a déclaré mardi que les partis populistes en Europe remportaient des voix au sein des communautés juives, à cause de la peur de l'islamisme.Se trouvant à Vienne pour un rassemblement de la CER, il a déclaré qu'une "part significative de la communauté juive locale a voté pour Norbert Hofer à la présidentielle", a-t-il déclaré lors d'un entretien.Norbert Hofer était le candidat du parti de la liberté (FPÖ) lors du dernier scrutin en Autriche. La commaunauté juive autrichienne est estimée à 15.000 personnes, contre plus de 500.000 musulmans, sur 8,4 millions d'habitants.Le grand rabbin a aussi mentionné l'exemple du Front national en France, et de Geert Wilders aux Pays-Bas."Quand Dieu a donné l'intelligence, tout le monde ne l'a pas reçu de la même manière. Et quand ces partis viennent avec un message populiste aux Juifs et dire: «Nous allons vous sauver des musulmans», la propagande fonctionne", a-t-il ajouté... Lire l'intégralité. -
Jean-Louis Harouel : « Sur le sol européen, l’islam a profité à plein des droits de l’homme » [interview]
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Le génome d’un Carthaginois révèle une origine européenne
01/06/2016 – CARTHAGE (NOVOpress avec le Bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : Une équipe internationale de chercheurs a procédé au séquençage du génome mitochondrial complet d’un jeune homme de Carthage. Cette ville de l’actuelle Tunisie était une colonie phénicienne à l’époque, vers 500 ans avant Jésus-Christ.
On savait déjà que ce Carthaginois était de race europoïde. C’est ce que révélait son squelette et plus particulièrement son crâne : il avait l’apparence d’un Européen de type méditerranéen et mesurait 1,70 m. Cette origine est confirmée par l’étude génétique, publiée par la revue Plos One. En effet, l’homme appartenait à un groupe génétique européen appelé U5b. Cet haplogroupe est hérité de la population de chasseurs-cueilleurs d’Europe de l’Ouest.
Aujourd’hui, moins de 2% des Européens de l’Ouest portent cette marque génétique. On en trouve notamment trace dans l’Europe de l’Ouest, par exemple au Portugal. Cette proximité fait dire aux chercheurs que ce Carthaginois-là n’avait probablement pas d’origines proche-orientales, alors que les Phéniciens sont supposés être des Sémites. En revanche, par leurs multiples implantations en Méditerranée occidentale, les Phéniciens ont pu faciliter la venue d’Européens en Afrique du Nord.
Ce génome constitue le témoignage génétique le plus ancien que l’on ait trouvé de la présence européenne dans une zone géographique qui était alors berbère. Cette présence remonte donc a minima au VIe siècle avant l’ère chrétienne. Les scientifiques espèrent désormais pouvoir séquencer l’ADN de Phéniciens de souche, pour en savoir plus sur l’origine de ce peuple.