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Blog - Page 357

  • Le Parlement français vote la levée des sanctions contre la Russie

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    Lu sur le profil Facebook de Pierre Gentillet :

    La proposition de résolution en faveur de la levée des sanctions contre la Russie déposée par Thierry Mariani a été votée à l’assemblée nationale : 55 pour/ 44 contre. Le parlement français se prononce donc pour la levée des sanctions ! Reste à l’exécutif français à suivre !

  • Venise commémore les 500 ans du premier ghetto juif de l'histoire

    http://www.levif.be/actualite/international/venise-commemore-les-500-ans-du-premier-ghetto-juif-de-l-histoire/article-normal-477019.html#cxrecs_s

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  • Nancy - Elle se fait agresser en cours, la fac couvre l’agresseur …

    http://www.fdesouche.com/724131-elle-se-fait-agresser-en-cours-la-fac-couvre-lagresseur

    Lire attentivement le procès-verbal de police

  • Violents débordements lors des manifestations contre la loi Travail (vidéos, photos)

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    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Violents-debordements-lors-des-manifestations-contre-la-loi-Travail-39109.html

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  • L’Autriche adopte un « état d’urgence » migratoire

     

    LE MONDE | • Mis à jour le | Par Blaise Gauquelin (Vienne, correspondant)

     

    Le mercredi 27 avril restera un jour noir pour les défenseurs des droits humains d’un pays, l’Autriche, qui fut longtemps synonyme de terre d’asile pour les dissidents soviétiques, les juifs de l’Est persécutés ou les élites persanes et arabes.

    Tétanisés par la montée inexorable de l’extrême droite – arrivée largement en tête au premier tour de l’élection présidentielle du 24 avril –, les députés de la majorité au pouvoir ont en effet adopté à une large majorité une loi inédite d’« état d’urgence » migratoire, qui risque d’inquiéter Bruxelles.

    Sociaux-démocrates et chrétiens conservateurs, unis dans une coalition gouvernementale depuis 2008, ont choisi de suivre la politique du voisin hongrois Viktor Orban en introduisant des dispositions qui, sauf à Budapest, n’ont guère d’équivalent au sein de l’Union européenne (UE).

    Lire notre reportage :   Deux Autriche face à face dans la Vienne populaire lors de la présidentielle

    Plusieurs freins au droit d’asile

    Désormais, les réfugiés syriens, afghans ou irakiens auront un permis de séjour limité dans le temps. Au bout de trois ans, la situation dans leur pays d’origine sera examinée. Si la guerre y est finie, ils devront rentrer chez eux. Ils auront également plus de difficultés à faire valoir leurs droits à une vie maritale. Un frein drastique est mis aux conditions du regroupement familial. Cette mesure vise spécifiquement à décourager les jeunes hommes afghans, qui ont été les plus nombreux parmi les 90 000 requérants à l’asile en Autriche (8,5 millions d’habitants) pour l’année 2015.

    Anticipant une possible arrivée massive, cet été, de réfugiés en provenance d’Italie, Vienne veut pouvoir mettre en place un régime d’exception, valable deux ans, afin de refouler les migrants à ses frontières, si son administration se juge dépassée.

    Les réfugiés, même de nationalité syrienne ou irakienne, devront alors prouver qu’ils sont persécutés dans le pays par lequel ils sont arrivés en Autriche.

    Les réfugiés, même de nationalité syrienne ou irakienne, devront alors prouver qu’ils sont persécutés dans le pays par lequel ils sont arrivés en Autriche. C’est cette dernière disposition qui choque le plus, car elle est très clairement destinée à faire pression sur l’Italie, accusée par Vienne de ne pas contrôler efficacement ses frontières extérieures et, surtout, de laisser beaucoup de migrants continuer leur route vers le Nord, sans les enregistrer.

    Contrôle aux frontières

    L’Autriche s’estime poussée à agir face à ce qu’elle considère comme l’incurie de l’UE, elle qui se trouve à la jonction finale des deux routes migratoires, celle de l’Italie et celle des Balkans. Les 18 000 demandes d’asile déposées depuis le 1er janvier exaspèrent le gouvernement, qui a dépensé des millions d’euros pour lutter contre les réseaux de passeurs, pesé de tout son poids pour dévier les flux migratoires, et qui subit par ricochet sans broncher depuis six mois la politique du « zéro réfugié » ouvertement xénophobe de ses voisins d’Europe centrale.

    L’Autriche a plafonné à 37 500 le nombre de réfugiés qu’elle entend accueillir en 2016, arguant du fait qu’il s’agit d’un chiffre généreux, encore supérieur à la moyenne des efforts consentis par les autres pays européens.

    La police a également détaillé, mardi, les mesures adoptées pour instaurer des contrôles au col du Brenner, point de passage névralgique des échanges ferroviaires et routiers entre le nord et le sud du continent. Une barrière de 370 mètres y sera installée. Le trafic routier sera entravé. Les trains s’arrêteront à la frontière, afin de permettre aux forces de l’ordre de réclamer des pièces d’identité.

    Le Tyrol, dont les autorités réclament une coopération transalpine plus poussée, n’a pas encore avancé de date précise pour le début de ces blocages au cœur de l’espace Schengen. Mais, afin de convaincre de sa détermination, Vienne a annoncé une rallonge de 1,3 milliard d’euros pour l’armée et de 1,1 milliard pour le ministère de l’intérieur. Ce jusqu’au-boutisme fait craindre aux défenseurs des droits humains un effet boule de neige dans tout le continent.

    Lire aussi :   L’Autriche veut fermer sa frontière avec l’Italie

    Critiques de l’Eglise catholique

    Alors que l’extrême droite a des chances de remporter le second tour de l’élection présidentielle le 22 mai, il n’est pas certain que ces nouvelles mesures, prévues et discutées depuis longtemps, mettent un terme aux divisions des Autrichiens. Le Parlement s’est déchiré, mercredi, lors des débats sur leur adoption. L’extrême droite du parti FPÖ a voté contre, ce texte « placebo » n’allant, selon elle, pas assez loin. Les Verts et les libéraux (NEOS, Das Neue Osterreich) lui ont emboîté le pas, pour la raison inverse.

    Les écologistes s’émeuvent d’une politique qui « met fin de facto au droit d’asile »

    Les écologistes s’émeuvent d’une politique qui « met fin de facto au droit d’asile », alors que l’Autriche ne cesse parallèlement de réduire son aide au développement dans les pays d’origine des migrants. Des sociaux-démocrates dissidents accusent le chancelier de gauche, Werner Faymann, de vouloir « doubler le FPÖ sur sa droite » et parlent d’une « Orbanisation » galopante de l’Autriche.

    L’Institut Ludwig-Boltzmann pour les droits humains prévient aussi que les plaintes auprès de la Cour européenne des droits de l’homme pourraient se multiplier. Il doute de la conformité de cette loi avec la Constitution autrichienne et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne – l’agence censée garantir sa bonne application étant par ailleurs à Vienne…

    Mais les critiques les plus virulentes ont émané d’associations de défense des migrants, très actives en Autriche, et surtout de l’Eglise catholique. Alors que Vienne abrite aussi un siège de l’ONU et que le commissariat aux réfugiés s’est déclaré « inquiet » d’une telle atteinte au droit international, le cardinal Christoph Schönborn, influent au Vatican, a estimé que la situation dans son riche pays ne nécessitait – « Dieu soit loué » – nullement de telles « mesures d’urgence ».

    Lire aussi :   Autriche : l’extrême droite en tête de la présidentielle

     
    • Blaise Gauquelin (Vienne, correspondant)
      Journaliste au Monde

     

  • L’Autriche restreint le droit d’asile et se dote d’un "état d’urgence" migratoire

     

    Migrants. Le parlement autrichien a adopté mercredi un projet de loi controversé restreignant drastiquement le droit d'asile, le pays ayant accueilli 90 000 réfugiés en 2015.

    L’Autriche renforce sa législation contre les migrants. La nouvelle loi, l'une des plus strictes d'Europe, limite à trois ans l'octroi initial du droit d'asile et prévoit la possibilité de décréter un « état d'urgence » migratoire au cours duquel les migrants pourront être bloqués aux frontières sans même pouvoir formuler une demande d'asile.

    Cette mesure, élaborée par la grande coalition du chancelier social-démocrate Werner Faymann (SPÖ) et du vice-chancelier conservateur Reinhold Mitterlehner (ÖVP), a été adoptée par 98 voix contre 67, avec les suffrages de deux partis au gouvernement.

    L'opposition écologiste (Verts) et libérale (Neos), ainsi que quatre députés SPÖ ont voté contre, jugeant que cette législation met à bas le droit d'asile.

    Le parti d'extrême-droite FPÖ (opposition), a également rejeté le texte, au motif qu'il « n’allait pas assez loin » selon lui.

    Valeurs Actuelles - 28 04 2016

  • Bulgarie : Face à la montée du salafisme, la ville de Pazardjik interdit le voile intégral

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    18h18

     

    La ville bulgare de Pazardjik a interdit aujourd’hui le port du voile intégral dans les lieux publics, une mesure inédite en Bulgarie que cette municipalité du sud du pays a justifiée par une montée locale du salafisme.

    Inconnu en Bulgarie il y a encore peu, le niqab s’est répandu depuis trois ans dans le quartier rom de cette ville de 70.000 habitants, fief de l’imam autoproclamé Ahmed Moussa, jugé depuis février pour propagande islamiste radicale. Par 39 voix contre 2, le conseil municipal a décrété mercredi une interdiction de « port dans les lieux publics de vêtements et accessoires couvrant le visage et empêchant son identification », sous peine d’une amende allant de 300 à 1000 leva (150 à 500 euros). La Bulgarie, majoritairement orthodoxe, compte environ 13% de musulmans, principalement issus des minorités turque et rom. Le voile intégral n’y avait jamais été porté avant la montée en puissance récente de prédicateurs salafistes.

    Ahmed Moussa et treize de ses proches sont jugés depuis février à Pazardjik pour propagande en faveur de l’organisation État islamique (EI) et aide logistique à des jihadistes européens en route pour le Moyen-Orient. Il a déjà été condamné à deux reprises pour dérives islamistes. Parti de Pazardjik, le phénomène du port du voile intégral s’est répandu dans les ghettos roms de trois autres villes du sud-est. Une formation nationaliste, le Front patriotique, qui soutient le gouvernement de centre-droit, a récemment présenté une proposition de loi interdisant le port du voile intégral à l’échelle nationale, sous peine de fortes amendes et d’une privation des aides sociales. [...]

    Le Figaro

    Quand on veut, on peut!

  • Scandale de l’abattoir d’Alès (30) : le maire accuse l’abattage halal

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    Cet agneau va être "sacrifié" cruellement selon les rites d'une religion archaïque qui refuse l'étourdissement avant l'abattage

     

    17h58

     

    Le maire d’Alès dans le Gard, dont l’abattoir municipal a fait scandale, s’est défendu aujourd’hui en soulignant le problème de l’abattage rituel, sans étourdissement, dans la conduite des opérations, devant la commission d’enquête de l’Assemblée nationale sur les conditions d’abattage en France.

    L’abattoir d’Alès avait été fermé en octobre 2015 après la diffusion d’une vidéo de l’association L214 montrant des mauvais traitements infligés aux animaux. Il a rouvert début décembre. L’abattage rituel, pour la viande halal, représente 50% de l’activité de l’abattoir: « Il y a donc une manière de fonctionner spéciale. Il appartient au législateur de décider si on peut abattre ou pas de cette manière-là », a déclaré Max Roustan, maire Les Républicains. Selon lui, la vidéo de L214 montrait uniquement des animaux abattus de manière « rituelle », sans étourdissement. Selon le directeur de l’abattoir Jack Pagès, la personne filmée en train de pratiquer un « cisaillement au lieu de faire des coupes franches » était un « sacrificateur » remplaçant.

    Les sacrificateurs sont désignés de manière indépendante des abattoirs par les mosquées, sans « aucune formation », a assuré M. Pagès.

    Le maire a proposé « une concertation avec le ministère de l’Agriculture et les autorités religieuses pour réformer l’abattage rituel, car c’est uniquement sur ce ressort-là qu’on a des problèmes », affirmant par ailleurs que son établissement n’a jamais été mis en cause sur le plan sanitaire. Il a également souligné l’importance économique de l’abattoir de proximité d’Alès pour les éleveurs des Cévennes, qui ne pourraient pas continuer à abattre et donc à vendre leurs bêtes si l’établissement disparaissait. L’abattage sans étourdissement fait d’ailleurs débat en Europe, ont indiqué mercredi les responsables de l’association L214 devant la Commission, rappelant que l’Agence européenne de sécurité sanitaire « l’EFSA, la fédération des vétérinaires européens et l’Ordre des vétérinaires français se sont inscrits contre » cette pratique. [...]

    Le Figaro

  • GR Marseille : la face cachée du voile islamique

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    17h44

     

    De plus en plus de musulmanes portent le hijab. Simple mode ????

    « Ah les femmes ! Vous mettez des heures à choisir vos vêtements ! », plaisante Ahmed, dans sa petite échoppe du Marché du soleil. C’est qu’il y en a du choix, sur les étals du souk de la Porte d’Aix, où les clientes farfouillent frénétiquement : robes de soirées orientales, djellabas, babouches, pyjamas. Et aussi, depuis quelques années, des khimars, ces longs voiles qui couvrent la tête et les épaules ; et des jilbabs, composés d’une ou deux pièces, qui enveloppent le corps de la tête au pied.

    Les voilà, ces fameux vêtements islamiques qui créent la polémique depuis quelques semaines. Dans les boutiques de la Porte d’Aix, on n’a pas attendu les collections de « mode pudique » annoncées par H&M et Dolce Gabbana . Au milieu des mini-shorts et des tenues décolletées bon marché, le voile et les tenues « modestes » sont en bonne place dans les vitrines. Au centre-ville, dans les quartiers Nord, le hijab a gagné du terrain. Souvent porté par des jeunes filles, certaines en jupe longue, d’autres en jeans et en perfecto… Le voile islamique est-il un simple accessoire vestimentaire, comme l’ont soutenu récemment des étudiantes de Sciences Po Paris, organisatrices d’un Hijab Day controversé ? Ou le signe d’une volonté de prosélytisme associé au recul des droits des femmes, soumises à une emprise communautaire ? Qu’est-ce que le voile dévoile ?

    Au Marché du soleil, Ahmed ne se pose pas la question. « Moi, je fais juste du commerce, depuis 35 ans. Et je m’adapte à la demande des clientes. D’ailleurs, pour le jilbab, j’ai aussi des modèles pour les fillettes. » Bien plus discret, un autre vêtement islamique fait fureur rue Camille-Pelletan : la cagoule ou le bonnet en jersey dissimulant les cheveux sous le voile. « Certaines clientes en restent à des modèles classiques, noirs ou gris, d’autres, souvent les jeunes, recherchent un peu de fantaisie », explique un commerçant de la rue du Bon-Pasteur, en montrant des cagoules aux couleurs vives, ornées de dentelles et même de strass et de paillettes ! « C’est bien d’avoir le choix, de pouvoir varier sa tenue, changer de couleurs. Vous savez, on peut vouloir cacher ses formes tout en restant jolie, féminine », commente Dounia. Voilée de noir, cette jeune femme fait du shopping avec sa belle-soeur, qui porte un foulard crème… et un maquillage appuyé : « Sortir sans khôl ni rouge à lèvres ? Moi, jamais ! », rigole-t-elle. D’ailleurs, « ça, ce n’est pas interdit par le Coran ».

    Le voile, en revanche, est pour Dounia « une prescription religieuse » ; tout en restant, assure-t-elle, « un choix personnel » . « J’ai redécouvert la religion à ma sortie du lycée et j’ai décidé de me conformer aux commandements du Prophète », explique-t-elle. Au travail toutefois, Dounia renonce au voile, sans problème : « Ce n’est pas autorisé dans mon entreprise, donc je n’ai pas le choix ». En couvrant leurs cheveux, ces deux jeunes femmes veulent aussi « faire passer un message » : « Cela signifie que nous appartenons à une communauté et que nous sommes pratiquantes. » La mère de Dounia les rejoint. Cheveux au vent. « Chez nous, chacune fait ce qu’elle veut et mon mari n’a rien à dire ! », assène-t-elle.

    Mais à la Porte d’Aix, tout le monde n’est pas disposé à parler chiffons. Dans les « boutiques religieuses » qu’on nous désigne, les questions des journalistes ne sont pas les bienvenues. Ici, on nous renvoie vers une adresse imaginaire. Là, le vendeur nous pousse pas vraiment gentiment vers la sortie. À la boutique Jilbabs et Quemis (la robe masculine, Ndlr), rue du Bon Pasteur, point de fanfreluches, de paillettes, de foulards colorés. Les articles féminins, que le responsable nous interdit de photographier, sont noirs, longs et lugubres.

    En tête de gondole, un modèle de niqab : ce suaire noir qui enferme entièrement le corps des femmes, à l’exception des yeux. Ce vêtement, obligatoire en Arabie Saoudite, nous rappelle que, non, les femmes n’ont pas toujours le choix…

    La Provence

    Merci à Lilib

    Merci à Dirk

  • MIEGE

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  • TVL - Journal du mercredi 27 avril 2016

  • Donald Trump précise sa vision de la politique étrangère

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    LE MONDE | • Mis à jour le | Par Gilles Paris (Washington, correspondant)

     

    Désormais bien placé pour remporter l’investiture du Parti républicain pour l’élection présidentielle du 8 novembre, Donald Trump s’est efforcé de présenter les grandes lignes de ce qui pourrait devenir sa politique étrangère, mercredi 27 avril, à Washington, au cours d’une intervention au siège de la revue The National Interest. Réputé pour ses interventions décousues et parsemées de diatribes, le magnat de l’immobilier s’en est tenu, une fois n’est pas coutume, au texte d’un discours lu par le truchement de prompteurs, une facilité qu’il a longtemps tournée en ridicule chez ses adversaires pour mieux mettre en avant son authenticité.

    Ce discours a permis au milliardaire d’articuler des idées déjà évoquées au cours de la campagne autour d’un thème central : la primauté absolue des intérêts américains sur toute forme de mission à l’origine d’une série d’interventions extérieures jugées catastrophiques en Irak comme en Libye. M. Trump estime que la politique étrangère américaine est dépourvue de boussole depuis la fin de la guerre froide et que des errements successifs ont conduit à la fois les alliés de Washington à douter de la détermination américaine, et ses adversaires à ne plus craindre le pays qui demeure la première puissance militaire mondiale.

    Lire aussi :   Primaires américaines : Donald Trump réalise le grand chelem

    Pour le magnat de l’immobilier, la reconstruction des États-Unis doit primer sur tout, y compris la lecture des traités de libre-échange et des bénéfices supposés de la globalisation. Une économie restaurée doit permettre selon lui de dégager les moyens nécessaires pour moderniser une armée en perte de vitesse, condition impérative pour inspirer à nouveau le respect.

    « Prudence et retenue »

    Soldant une fois pour toute la mission néoconservatrice de propagation de la démocratie, qui devait être la garantie d’un monde plus stable, M. Trump a écarté l’outil de l’interventionnisme, sans pour autant renoncer à « déployer des forces armées » chaque fois qu’il n’y aura pas d’alternative, avec pour ambition la « victoire avec un grand V ». « Contrairement à d’autres candidats présidentiels », a-t-il cependant pris soin d’ajouter, « la guerre et l’agression ne seront pas mon premier instinct ». « Nous ne pouvons pas avoir de politique étrangère sans diplomatie, une superpuissance comprend que la prudence et la retenue sont les véritables signes de force. » M. Trump s’est ainsi fait fort de trouver des terrains d’entente à la fois avec la Russie et avec la Chine.

    Comme il l’a déjà dit par le passé, les États-Unis n’ont pas pour vocation à garantir la paix à n’importe quel prix. « Les pays que nous défendons doivent payer pour le coût de leur défense. Sinon, les États-Unis doivent être prêts à laisser ces pays se défendre eux-mêmes », a-t-il averti, dans une allusion aux « passagers clandestins » que sont certains membres de l’OTAN qui rechignent à payer leur part des dépenses de l’Alliance. Dans une première attaque visant l’administration « Obama-Clinton », puisque l’ancienne secrétaire d’Etat a toutes les chances d’être sa prochaine adversaire en novembre, M. Trump a déploré l’abandon de l’Égypte de Hosni Moubarak et les mauvaises relations avec Israël, leur opposant l’énergie déployée par le président démocrate pour parvenir à un accord jugé calamiteux avec l’Iran.

    M. Trump a consacré une partie de son discours à la menace représentée par l’organisation Etat islamique qui « disparaîtra si je suis élu président », « rapidement, très, très rapidement ». Reprochant à l’administration Obama de n’avoir rien fait pour défendre les chrétiens présents au Proche-Orient, il a assuré vouloir privilégier à l’avenir « les valeurs occidentales » plutôt que des valeurs « universelles ».

  • Silence sur le génocide vendéen – La face cachée de la Révolution française

    https://youtu.be/nyHmTLTj1vY

     

    A voir absolument

     

    Un documentaire basé sur les travaux de Reynald Secher

    « Il faut que la France soit République ou qu’elle soit un vaste cimetière ».

    Un documentaire d’Armel Joubert des Ouches, pour reinformation.tv.

     

     

     

     

  • "Les médias de propagande" – Radio Brigandes reçoit Jean-Yves Le Gallou

     

    Radio Brigandes IV

    Entretien avec Marianne, chanteuse leader des Brigandes, et Antoine, représentant du Comité de Salut Public, sur les médias de propagande. Interventions filmées de Jean-Yves Le Gallou, président de la Fondation Polémia.

        

    SOMMAIRE DE L’ÉMISSION :

     

    I. L’IMPORTANCE DES MÉDIAS

    - Les médias choisissent le pouvoir
    - La persuasion par l’image : la télévision
    - La rééducation permanente

     

    II. LA PROPAGANDE MÉDIATIQUE

    - Un média d’information donne tous les points de vue. Un média de propagande n’a qu’un seul point de vue
    - L’absence de débat réel dans le système médiatique
    - Les cinq règles de la propagande et leur application dans notre système médiatique : répétition, orchestration, grossissement, transfusion, unanimisme

     

    III. QUI DIRIGE LES MÉDIAS ?

    - Les trois puissances qui orientent les médias : le capital, la publicité et les journalistes. Trois puissances qui ont intérêt au mondialisme
    - Le Club du Siècle : l’élite politique, médiatique et financière de la France. Révélation : les patrons de la presse membres du Siècle
    - Les interventions de l’État dans la presse

     

    IV. RÉFÉRENCES

    - Conseil de lectures
    - Médias alternatifs

     

    V. LA NOUVELLE CHANSON DES BRIGANDES : « Cerveau lavé »

  • Bachar Al-Assad visite un camp de réfugiés à Damas

    http://video.lefigaro.fr/figaro/video/bachar-al-assad-visite-un-camp-de-refugies-a-damas/3331612780001/

  • Salah Abdeslam sera défendu par l’avocat lillois Me Frank Berton, qui a rencontré son client en prison

    http://www.lavoixdunord.fr/france-monde/salah-abdeslam-sera-defendu-par-l-avocat-lillois-me-ia0b0n3471061

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  • Attentats de Paris : Abdeslam mis en examen pour assassinats à caractère terroriste

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/salah-abdeslam-au-palais-de-justice-de-paris-en-vue-de-sa-mise-en-examen-27-04-2016-5749363.php

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