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Blog - Page 360

  • Seine-et-Marne : un serrurier tabassé par trois adolescents qui le croyaient juif

     

    Marion Kremp | | MAJ :

     
     

    Comment l'idée a-t-elle pu les effleurer à l'écoute d'une publicité pour un serrurier sur la radio communautaire juive Radio J ? Pour l'instant, le flou persiste. Trois mineurs de 15 ans viennent d'être placés sous contrôle judiciaire par le parquet de Meaux (Seine-et-Marne) pour avoir passé à tabac un serrurier qu'ils pensaient de confession juive.


     Fin novembre, les trois lycéens entendent une publicité pour un serrurier du XIe arrondissement de Paris dont le nom a une consonance juive. A une récréation, l'un d'entre eux emprunte le portable d'une autre élève. Il appelle la société et lui demande un devis pour l'installation d'une porte blindée. Rendez-vous est donné à une adresse bidon à Bussy-Saint-Georges (Seine-et-Marne). Là, les adolescents, visage masqué, armés d'un couteau et d'une bombe lacrymogène, tombent sur la victime, salariée de l'entreprise.

    L'un a été identifié



    S'ensuit un torrent de coups de pied, de coups de poing mais aussi d'insultes et de menaces de mort. Comme « Donne ton pognon, sale juif », ainsi que l'a rapporté l'employé aux policiers du commissariat de Chessy. Il est dépouillé de son smartphone, d'une montre de marque et de quelques papiers. Durant son agression, qui lui a valu une courte hospitalisation, le serrurier, qui s'est débattu, a aperçu le visage d'un des adolescents. Un signalement précieux.

    Interpellés mardi à leurs domiciles familiaux respectifs, les trois jeunes sont restés quasi muets, concédant au final des récits sans queue ni tête. Le premier assure n'avoir passé que le coup de téléphone, sans connaître le dessein de ses copains. Un autre aurait seulement été présent mais n'aurait pas porté les coups. Le dernier, identifié comme l'agresseur par la victime, nie les faits en bloc. En épluchant son téléphone, les enquêteurs sont tombés sur des messages à caractère antisémite : « Je les [h]ai[s] », écrit-il, avec une faute d'orthographe, à propos des juifs. Mis en examen, les adolescents devront répondre de violences en réunion avec arme, injures raciales et menaces de mort. Ils ont l'interdiction d'entrer en contact les uns avec les autres. L'enquête se poursuit pour déterminer les rôles de chacun.

    LE PARISIEN

  • HUMOUR

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    (Merci à Dirk)

  • Pour l'abandon définitif des dissections au collège et au lycée

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    Jean SERVANT
    France
    41 740
    signataires

    En novembre 2014, le ministère de l'éducation nationale communiquait enfin la loi découlant d'une directive européenne et interdisant les dissections sur Vertébrés entiers élevés dans le seul but d'être disséqués.

    Une organisation syndicale enseignante est parvenue à trouver une faille dans l'application de la directive afin de défendre le droit à vagabonder dans les entrailles d'une souris et défendre ainsi l'idée que l'intérêt de la dissection prévaut sur l'intérêt à vivre des souris.

    Au delà de l'anatomie que les élèves oublieront quelques semaines après la dissection, ce qui s'imprimera en eux est l'idée selon laquelle la force fait le droit et que la vie même des êtres sensibles est méprisable devant l'intérêt à observer des ovaires ou une vessie.
    Ils apprendront aussi à obéir lorsqu'une autorité leur demandera de mettre en oeuvre des actions allant à l'encontre de leur sens éthique.
    Ils apprendront à réifier un animal au nom de "la confrontation avec le réel"
    Au final ils retiendront que la vie d'un être sensible ne vaut pas grand chose (précisément 1,97 € par souris*)

    La ré introduction de cette pratique archaïque renforce la pensée discriminante visant à mépriser les intérêts capitaux des individus qui n'appartiennent pas au bon groupe biologique, ici les non humains, pour le profit hautement dispensable des élèves. Cette idéologie "spéciste" est pourtant condamnée par l'association des psychologues de l'éducation nationale**. 

    Par la défense du droit à tuer des êtres sensibles pour des prétendus intérêts pédagogiques, est balayé d'un revers de main toute tentative d'éducation à l'empathie, au souci de l'autre, et aux valeurs qui fondent notre commune humanité. N'est-ce pourtant pas l'urgence d'aujourd'hui ?

    Il existe de nombreuses alternatives (modèles physiques ou virtuels) à la dissection.

    Pour ces raisons nous demandons l'abolition des dissections dans les établissements d'enseignement primaire et secondaire. En accord avec la directive européenne 2010/63/UE nous vous demandons de mettre un terme à cette pratique.

    Si d'aventure les dissections devaient persister dans les écoles, collèges et lycées, alors nous demandons à ce que les élèves désirant disséquer soient contraints à formuler par écrit une demande signée mentionnant qu'ils sont pleinement conscients des alternatives mais qu'ils estiment que leur volonté à disséquer prévaut sur la volonté de vivre d'un être sensible.

     

  • Les vœux du pape pour la Pâque juive

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    Download PDF

    Dans un message transmis à la communauté juive de Rome, le Pape François a fait part de ses vœux pour la fête de Pessah, la Pâque juive, qui commence le vendredi 22 avril au crépuscule et se poursuit jusqu’au samedi 30 avril.

    Il appelle à se souvenir «que le Tout-Puissant a libéré son peuple bien-aimé de l’esclavage et l’a conduit à la Terre promise.» «Il vous accompagne encore aujourd’hui avec l’abondance de ses bénédictions, protége votre Communauté et, dans sa miséricorde, distribuant à chacun la paix» souligne le Pape, assurant la communauté juive de ses prières, car «le Tout-Puissant nous accorde de pouvoir grandir de plus en plus dans l’amitié

    Le pape François s’était rendu pour la première fois, le dimanche 17 janvier 2016, au «Tempio maggiore», la Grande Synagogue de Rome, située dans le quartier du ghetto, au bord du Tibre. Il est désormais le troisième Souverain Pontife à s’y être rendu après Jean-Paul II en 1986 et Benoît XVI en 2010

     

     Source Osservatore Romano

    Riposte Catholique

     

  • Jean-Yves Le Gallou : Le Rendez-vous de Béziers : « un laboratoire de réflexion sans complexe et sans mollesse »

    https://youtu.be/PFfjs0yNY0o

     

    Fondateur du cercle de réflexion Polémia, Jean-Yves Le Gallou participera le samedi 28 mai au Rendez-vous de Béziers, en particulier à la table ronde consacrée au thème « Immigration : Que fait-on ? » Dans une interview accordée à Boulevard Voltaire, l’ancien député européen insiste sur la nécessité « d’aller aux racines des problèmes » et de « rompre avec le politique correct ».

     

  • Deux ans de prison ferme pour un article (vidéo)

    https://youtu.be/z5hu1HFdhtM

    http://breizatao.com/2015/08/04/ma-condamnation-prefigure-la-votre-vous-deviendrez-les-esclaves-des-musulmans-sur-la-terre-de-vos-ancetres-par-boris-le-lay/

    Délit d'im@ges

  • Trois tweets de Renaud Camus

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  • VIDEO - Bulgarie : développement des milices privées anti-invasion du pays

    http://mobile.francetvinfo.fr/monde/europe/migrants/bulgarie-developpement-de-milices-anti-migrants_1414403.html#xtref=https://www.google.co.uk/

  • Gennevilliers (92) : sauvagement agressée parce que sa jupe était "trop courte"

     

     
     
    Une adolescente de 16 ans a été violemment agressée lundi à Gennevilliers en raison de sa tenue vestimentaire, rapporte aujourd'hui Le Parisien.

    La jeune fille attendait le tramway lorsqu'un groupe d'adolescents l'aborde en lui reprochant de porter une tenue trop légère. Après un bref échange le groupe décide de partir, selon le quotidien. Peu après trois jeunes femmes montent à ses côtés dans la même rame que l'adolescente et lui parlent de sa jupe qu'elles jugent trop courte. L'une d'elles force la victime à descendre à l'arrêt suivant en la tirant par les cheveux. Elle se fait alors sauvagement agressée, victime de nombreux coups elle finit par s'écrouler. Des passants interviennent à ce moment et préviennent les secours, rapporte Le Parisien. Après quelques heures de coma la victime reprend connaissance.

    Une des bourreaux s'est rendue aux forces de l'ordre et a été placée en garde à vue. Elle devrait être jugée en comparution immédiate mercredi, selon le quotidien. La victime a porté plainte. Aucune référence religieuse n'a été proférée par les agresseurs pour justifier leur geste. « Rien ne justifie une telle violence, martèle Patrice Leclerc. Si aucune motivation, autre que le désaccord avec la tenue vestimentaire, n’a été proférée, nous tenons à réaffirmer qu’aucun motif ne peut limiter la liberté individuelle et collective des femmes à se vêtir comme elles le souhaitent», a déclaré le maire au quotidien.

  • C’était un 22 avril…

     

    1182 : le roi de France Philippe Auguste, expulse de ses Etats tous les Juifs, sans exception. Il les avait tous arrêtés, un jour de sabbat, dans toutes les villes du Royaume. Etant ainsi détenus dans leurs synagogues, ils n’obtinrent leur liberté qu’en rendant l’or et l’argent qu’ils avaient extorqués par les usures les plus diverses. Le roi anéantit toutes les créances et confisqua tous leurs biens.

    1676 : victoire navale du marquis Duquesne sur le Hollandais Michel de Ruyter. Le combat se déroula devant Agousta en Sicile, face aux flottes combinées des Hollandais et des Espagnols. L’amiral Ruyter, un des plus grands marins de son temps, fut tué d’un boulet de canon. Cette victoire assura notre suprématie sur les mers jusqu’au 29 mai 1692 (défaite de la Hougue).

    1794 : le député Isaac Le Chapelier est guillotiné. On doit à ce révolutionnaire, franc-maçon, la loi portant son nom, qui a supprimé les corporations, le compagnonnage, les coalitions ouvrières et le droit de grève, et a favorisé l’essor du capitalisme libéral du XIXe siècle, fondé sur l’exploitation des salariés.

    1915 : vers 17h, première utilisation de gaz asphyxiant par les Allemands, sur le front des Flandres, contre les lignes françaises, entre Langemark et Ypres (d’où le nom « ypérite » ou « gaz moutarde »).
    Les visages vont désormais s’orner de masques à lunettes. 94 000 soldats seront tués par les gaz durant la Grande Guerre et 136 000 autres seront intoxiqués.

    1944 : ouverture, à Alger, du procès de 43 responsables de la Phalange africaine (dont 39 jugés par contumace). Son ancien chef, le lieutenant-colonel Cristofini, sera condamné à mort (et exécuté sur une civière où il agonisait). Parlant des Français partis dans la dissidence, Philippe Pétain déclare, le 28, à la radio : « le bolchevisme qui s’est servi d’eux les écarte à présent et, sur une terre française, nous assistons au spectacle de tribunaux illégaux condamnant à mort des Français coupables d’avoir obéi à mes ordres ».

    1961 : Alger est prise par les putschistes favorables à l’Algérie française. « L’armée s’est assurée le contrôle du territoire algéro-saharien. Je suis à Alger avec les généraux Zeller et Jouhaud, en liaison avec le général Salan, pour tenir notre serment: garder l’Algérie », déclare Challe à Radio-Alger. La confusion est totale en métropole.
    Lire la suite

  • Des milliers d’Israéliens soutiennent le soldat meurtrier d’un Palestinien désarmé

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Des-milliers-d-Israeliens-soutiennent-le-soldat-meurtrier-d-un-Palestinien-desarme-39002.html

    Déroulez l'article jusqu'à la vidéo du meurtre

  • Journal de bord de Jean-Marie Le Pen n° 433

    https://youtu.be/lFLFty5mY-s

    Au sommaire de cet entretien :

    - les migrants, avant-garde d’un armée géante ;
    - victoire du parti de Bachar al-Assad aux législatives ;
    - François Hollande promet 1 milliard d’euros à la Jordanie et à la Tunisie ;
    - violences ethniques à Mayotte ;
    - violences policières en France ?
    - la suspension symbolique des avantages aux anciens présidents ;
    - les « prières » de François Hollande ;
    - le Hijab Day et le « cancer » Sciences Po ;
    - les « douze migrants du TSPF » ;
    - le 21 avril 2002 ;
    - le défilé du 1er mai 2016 ;
    - conseils de lecture.

    E&R

  • Qui est vraiment le Pape François ? Par Guillaume Faye

     

    22 avril 2016 par Guillaume Faye

    Le Pape François avait habitué le monde, au nom de la charité chrétienne, à approuver et encourager l’accueil de tous les ”migrants” notamment musulmans, colonisateurs de l’Europe. Jamais aucun de ses prédécesseurs n’avait osé se risquer à un tel exercice. Sur l’île de Lampedusa il s’était livré à des démonstrations ridicules d’empathie envers les migrants clandestins, en culpabilisant les Européens injustement accusés d’égoïsme. Mais là, il est allé encore plus loin dans l’ordre symbolique et politique de la provocation.

    Le Pape préfère les musulmans aux chrétiens d’Orient persécutés

    Il a d’abord commencé, à Rome, se prenant pour le Christ en personne, par laver les pieds devant les caméras TV de migrants clandestins africains et arabes. L’image a fait le tour du monde et le message était clair : venez, vous êtes nos maîtres et nous sommes à vos pieds. Ensuite, il a notoirement négligé la défense des chrétiens d’Orient persécutés par l’islam au profit de l’accueil des immigrés clandestins musulmans.

    Revenant de l’île de Lesbos, en Grèce, où débarquent les clandestins venus de Turquie, le 17 avril, il a ramené à Rome trois familles syriennes musulmanes, dont toutes les femmes étaient voilées dans l’avion pontifical. Il les a préférées à des familles chrétiennes, alors même que ces dernières fuyaient les persécutions islamiques. Peu lui importe.

    Et le Pape s’est justifié en ces termes jésuitiques d’une parfaite mauvaise foi : «  je n’ai pas choisi entre musulmans et chrétiens. Ces trois familles avaient des documents prêts, en règle. Il y avait, dans une première liste deux familles chrétiennes, mais elles n’avaient pas les papiers en règle. Ce n’est donc pas un privilège ». Il y a quelque chose de cyniquement glacial dans cette argutie ridicule qui se réfère aux ”papiers en règle”. Et le Pape à ajouté, en parlant des douze musulmans qu’il a ramené à Rome dans son avion : « ces douze sont tous des enfants de Dieu et je privilégie les enfants de Dieu ». Mensonge : il n’a pas privilégié les ”enfants de Dieu”, mais les musulmans par rapport aux chrétiens syriens persécutés.

    Le Pape, qui se mêle de ce qui ne le regarde pas, a aussi fait pression sur Matteo Renzi, le Premier ministre italien, pour que l’Italie refuse de créer des centres fermés pour les déboutés du droit d’asile, les faux réfugiés. (1) Ces derniers seront donc libres de rester et de se répandre sur le Continent. Les prises de position du Pape risquent, en Europe, de lui attirer l’hostilité de très nombreux catholiques. Ce qui n’est pas une bonne chose pour une Église qui est déjà en mauvaise posture.

    Apitoyer et culpabiliser les Européens

    Ce Pape, jésuite sud-américain, défend en réalité une idéologie de rupture, anti-européenne, anti-romaine. Apitoyer et culpabiliser les opinions catholiques et européennes sur les ”migrants” est son principal objectif. Il a déclaré : « nous sommes tous des migrants », genre de formule passe–partout, typique du jargon gauchiste journalistique. D’ailleurs, comme par hasard, celui qui a le plus félicité le Pape pour ses positions est Jean–Luc Mélenchon…

    Il lance des signaux aux lourdes conséquences internationales : une porte ouverte à l’invasion musulmane recommandée par le Pape lui-même, c’est un vrai ”miracle d’Allah ” ! Pour le Pape, l’Europe est la « patrie des droits humains » et non pas celle d’un peuple et d’une civilisation. Il milite pour une Europe ouverte à toute immigration. D’ailleurs, dans sa carrière ecclésiastique en Amérique latine, il s’était déjà signalé par une exigence de liberté d’immigration en Amérique du Nord. L’idée de pays d’origine ethniquement européenne ne lui plait pas.

    Déjà, il avait déclaré, à propos d’un naufrage d’une embarcation de clandestins au large de la Sicile, juste après avoir été accueillir des ”réfugiés” africains à Lampedusa : « je ne peux pas évoquer les nombreuses victimes de ce énième naufrage. La parole qui me vient en tête est la honte. […] Demandons pardon pour tant d’indifférence. Il y a une anesthésie au cœur de l’Occident ». On croit rêver. Ces déclarations papales sont non seulement injustes mais perverses et mensongères : qui sauve des flots et accueille ces clandestins ? Les Européens. Qui sont les passeurs avides qui les jettent sur des embarcations de fortune ? Leurs coreligionnaires africains et arabes. Les paroles du Pape sont honteuses.

    Quelle est l’idéologie du Pape ?

    Le Pape François adhère à l’idéologie cosmopolite, ”sansfrontièriste”, très présente dans le clergé sud-américain influencé depuis les années 60 par le trotskisme. C’était la doctrine de la ”théologie de la libération”. Il a récemment prononcé cette formule convenue et stupide  :« les barrières créent des divisions et, tôt ou tard, des conflits ». La réalité est exactement l’inverse : ce sont les mélanges de populations qui génèrent les conflits et ce sont les frontières étanches et les homogénéités ethniques qui garantissent la paix. De même, sur le plan économique, le Pape François a développé des idées marxistes éculées, apparues dans les milieux catholiques d’extrême gauche à la fin des années 60. Ce ”cathogauchisme” est toujours très actif dans les milieux politiques, syndicaux, médiatiques mais aussi dans le clergé. Ce courant ”cathogauchiste” est aussi islamophile.  Et, pour la première fois, un Pape appartient à ce courant… Tout se tient.

    En bon jésuite, le Pape François manœuvre, par exemple en faisant des ouvertures aux traditionnalistes tout en acceptant la communion pour les divorcés remariés ! Un grand écart qui ne gêne pas ce calculateur ; au risque de créer une très grave crise schismatique au sein même de l’Église.

    Très prétentieux, avide de médiatisation, proche par le cynisme des papes florentins du XVIe siècle, excellent communicant, il se construit une posture de Saint qui séduit les naïfs. Se prenant pour Saint François d’Assise, dont il a repris le nom, il adopte une posture de faux pauvre (simulacre) en refusant d’habiter les appartements pontificaux. Cette humilité de façade sonne mal chez ce donneur de leçons et professeur de morale autoritaire. On note aussi chez lui un côté excessif, infantile, provocateur, dans beaucoup de ses propos et de ses actes. Comme une tentation de fanatisme. Au début, ça étonne, ça excite les journalistes. Mais au bout d’un moment, on finit par comprendre que son discours est pauvre et répétitif.

    Sur le plan théologique, le Pape François appartient à cette école jésuitique qui ”politise” et désacralise la religion catholique. L’universalisme catholique, uniquement valable sur le plan spirituel (tous les humains fils du même Dieu, éligibles aux mêmes sacrements), est transformé en cosmopolitisme politique : abolition des frontières, libres migrations, mélange des peuples. Le problème, c’est que ce cosmopolitisme est biaisé. Car il est exclusivement dirigé, de manière suicidaire, contre la civilisation et l’ethnicité européennes. Tout cela pose un problème très grave qui peut provoquer un schisme au sein du catholicisme 

    (1) De janvier à mars 2016, 20.000 clandestins ont débarqué en Italie du Sud. Ce sont des Nigérians, des Gambiens et des Sénégalais ; aucun n’est réfugié du Moyen-Orient.

  • Hauts-de-Seine : rouée de coups parce qu’elle portait une jupe

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    Olivier Bureau | | MAJ :

     
     
    Gennevilliers, vendredi 22 avril. C’est à cet arrêt de tramway qu’une jeune fille a été tabassée, quatre jours plus tôt, par un groupe d’adolescentes qui lui reprochaient sa tenue.
    LP / L.M.

    L’attaque est aussi violente qu’absurde. Une jeune fille de 16 ans a été rouée de coups, lundi, en raison de sa tenue vestimentaire à Gennevilliers, dans les Hauts-de-Seine. Ce vendredi Patrice Leclerc, le maire (PCF) de la commune, s’est élevé contre cette « intolérable agression ».


     

    Il est 19 heures, lundi, et Nadia* attend son tramway en face du quartier du Luth. Un petit groupe d’adolescents s’approche d’elle. Ils lui parlent de sa tenue — la jeune fille porte une jupe — mais le différend ne va pas plus loin et les jeunes poursuivent leur chemin. « Même si cela ne se traduit pas par des violences, ce sont déjà des pressions », estime Patrice Leclerc.

    Tirée par les cheveux hors du tramway

    Arrivent alors, quelques minutes plus tard, trois filles peu ou prou du même âge que Nadia. A leur tour, elles lui parlent de sa jupe. Le ton est nettement moins cordial. Les quatre jeunes femmes montent dans le tramway qui arrive. Le trio continue à faire une fixation sur la jupe. La situation s’envenime. La meneuse fait descendre sa victime en la tirant par les cheveux à l’arrêt suivant, dans le quartier du Village, la traite de « p… » et commence à la frapper.

    Nadia essuie alors une avalanche de coups de poing et de pieds. La plus énervée de ses agresseuses, véritable colosse, lui assène un dernier coup de genou qui la met KO. Elle s’effondre au sol. Dans les cris et la confusion, des passants interviennent et font fuir le groupe de jeunes filles violentes. Prévenus, les sapeurs-pompiers évacuent Nadia à l’hôpital. C’est là qu’elle reprend conscience après quelques heures de coma. Les médecins lui ont délivré une ITT de quatre jours. Nadia a déposé plainte.

    La plus violente des agresseuses s’est rendue

    Alors qu’elle dîne dans un fast-food un peu plus tard dans la soirée, celle qui a porté les coups, âgée de 19 ans, apprend que sa victime est mal en point. Avec une des deux autres filles, elle se rend alors au commissariat où elle est placée en garde à vue. Elle devait être jugée mercredi en comparution immédiate mais l’audience a été renvoyée au 17 mai prochain.

    Selon les premiers éléments de l’enquête, l’agression n’aurait pas un fond religieux. Le trio ne portait pas de signe distinctif et aucune n’a évoqué une quelconque religion. Il ne s’agit pas non plus d’un règlement de comptes : Nadia ne les connaissait pas et n’habite pas le même quartier.

    « Aucun motif ne peut limiter la liberté des femmes à se vêtir comme elles le souhaitent »

    « Rien ne justifie une telle violence, martèle Patrice Leclerc. Si aucune motivation, autre que le désaccord avec la tenue vestimentaire, n’a été proférée, nous tenons à réaffirmer qu’aucun motif ne peut limiter la liberté individuelle et collective des femmes à se vêtir comme elles le souhaitent. »

    Et l’édile d’enfoncer le clou : « Nous n’accepterons aucune tentative d’imposer un modèle quel qu’il soit à qui que ce soit. Aucune pression morale ou physique ne sera tolérée dans notre ville à l’encontre de la liberté des femmes. Nous souhaitons que la justice punisse sévèrement des tels agissements. »

    * Le prénom a été modifié.
     
    NdB: le vivre-ensemble mis à mal!
     
    LE PARISIEN

     

  • Livre libre : Gilbert Collard / J.Y. Le Gallou : immigration la catastrophe

    https://youtu.be/E8T6KRtcgl4

    A voir absolument pour Jean-Yves LE GALLOU !

  • Jean-Marie Le Pen : "Sans unité, il n'est pas sûr que Marine Le Pen soit au deuxième tour en 2017"

    https://youtu.be/L70MEQTquWY

    21 avril 2016

    Il y a 14 ans, le 21 avril 2002, coup de tonnerre dans le paysage politique français : Jean-Marie Le Pen se qualifiait pour le deuxième tour des élections présidentielles, éliminant Lionel Jospin.

  • Robert Ménard : « Le “ni gauche ni droite” est une erreur »

     

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    Organisateur du Rendez-Vous de Béziers, Robert Ménard a accordé un entretien au blog Le Rouge & Le Noir. Nous en publions ces extraits.

    R&N : Quel est le périmètre, souhaitable d’une part, réalisable de l’autre, de la “droite française” dont vous souhaitez faire de Béziers la capitale du 27 au 29 mai prochains ?

    Robert Ménard : Le périmètre le plus large ! Pourvu que l’on soit d’accord sur un point fondamental : il y a urgence à prendre le pouvoir. Cela n’exclut donc que ceux qui le veulent ou les quelques-uns qui préfèrent s’enfermer dans le témoignage ou la provocation.

    Que l’on se sente proche du FN, de Philippe de Villiers, des Républicains, de Nicolas Dupont Aignan, je crois que sur l’essentiel, et notamment l’identité, nous sommes d’accord. La question pour 2017 est donc : qu’allons-nous faire de cette convergence théorique ? Allons-nous laisser un Juppé venir au pouvoir ? Sommes-nous incapables de peser ?

    Voilà pour le souhaitable. Pour ce qui est du réalisable, nous en saurons davantage après le rendez-vous de Béziers. Nous sommes à un an de l’élection. Par définition, tout est possible. Même le meilleur.

    R&N : Pourquoi avoir choisi comme slogan pour cette manifestation « Pour ne pas attendre 2022 » ?

    Robert Ménard : En réaction à une sorte de résignation que je sens gagner de nombreux gens de droite. L’incapacité du FN à prendre une région en décembre dernier, la place de Juppé très haut dans les sondages, tout concourt à décourager certains de nos amis, à penser que 2017 est déjà perdu.

    Or, je pense, au contraire, que la victoire est possible. Encore faut-il changer de stratégie. Majoritaires idéologiquement, nous devons réaliser la synthèse pour l’être politiquement. Seul contre tous, le FN ne peut rien, sinon s’en remettre à de graves circonstances. Quand on voit que Hollande est unanimement rejeté mais que, dans les sondages, il bat Marine Le Pen ou n’est battu que de très peu, cela en dit long sur le chemin qu’il y a à parcourir.

    Pourquoi « pour ne pas attendre 2022 » ? D’abord, parce que, si rien ne change, les obstacles seront les mêmes à ce moment là qu’en 2017. Ensuite, parce qu’en cinq ans, par la simple mortalité, la France aura perdu plusieurs millions de citoyens, alors que, dans le même temps, via les naturalisations et l’arrivée à l’âge adulte de nombreuses personnes ayant acquis notre nationalité sans jamais la demander, le rapport de force électoral sera considérablement aggravé.

    Certes, je sais que nombre de musulmans votent à droite. Mais il ne faut pas se dissimuler que leur immense majorité vote pour la gauche. Plus leur poids démographique sera important, plus les hommes politiques de la droite sans convictions « gauchiront » leurs positions pour ne pas s’aliéner ces votes. C’est une course contre la montre.

    R&N : Marine le Pen, président du Front national, affirme que ce dernier n’est pas un parti de droite. Êtes-vous d’accord et, si oui, ce positionnement ambigu est-il soutenable à moyen terme ?

    Robert Ménard : Ce n’est pas l’opinion de ses électeurs. Dans leur immense majorité, ceux qui votent Le Pen se positionnent à droite. Par ailleurs, il faut distinguer le positionnement idéologique et le politique. Se dire ni de droite ni de gauche, c’est un petit jeu à la Macron. Je ne pense pas que Marine Le Pen soit sur cette ligne…

    Il me semble, en l’espèce, que le « ni droite ni gauche » traduit une sorte de confusionnisme, plus ou moins organisé, qui, laissant planer toutes les ambiguïtés possibles, permet toutes les postures imaginables. Plus prosaïquement, on a l’impression de pouvoir ratisser plus large.

    Or, c’est une erreur. D’un point de vue politique, au regard du fonctionnement de la Ve république, refuser d’être de droite, c’est se condamner à rester sur la dernière marche avant le pouvoir. La chose pouvait se concevoir quand le FN était à 10 % ou même à 20. L’isolement ne permettait pas un rapport de force favorable. A 30 %, le rapport de force devient possible. Encore faut-il le préparer. Encore faut-il savoir tendre la main. Encore faut-il comprendre qu’il y a plus d’avantages à prendre le risque de s’ouvrir qu’à rester dans la quiétude d’un splendide isolement.

    R&N : Il n’y aura que deux candidats encore en lice au second tour de l’élection présidentielle de 2017. Si l’un d’entre eux appartenait à la gauche institutionnelle, conviendra—t-il de donner pour consigne de le battre à tout prix ?

    Robert Ménard : Faire battre Manuel Valls par Alain Juppé ne me semble ni une obligation morale ni un impératif politique. Ce qu’il faut à tout prix, c’est se battre pour éviter cette fausse alternative.

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  • Ivan Rioufol : « Il faut pouvoir parler de l’immigration et de l’islam sans crainte ». (vidéo )

    https://youtu.be/qXT7bNIAxnM

     

    Ivan Rioufol, qui participera le 28 mai prochain à la table ronde « Immigration : que fait-on ? » au premier Rendez-vous de Béziers, s’est confié à Boulevard Voltaire. S’il estime « évident » le besoin de changer d’idées et de candidats pour l’élection présidentielle de 2017, il juge tout aussi important de porter un nouveau regard sur l’immigration ainsi que sur les règles de l’intégration et de l’assimilation.