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Blog - Page 387

  • L’anneau de Jeanne d’Arc de retour en France: merci au Puy du Fou et à la famille de Villiers

    Revoir l’hommage d’Alain Soral à Jeanne d’Arc (mai 2015)

     

    Volé à Jeanne d’Arc par l’évêque Cauchon lors de son procès, l’anneau de la sainte, propriété des Anglais depuis 1431, vient d’être acheté aux enchères par le Puy du Fou, pour la somme de 376 833 euros.

    L’affaire commence le 24 février 2016. Ce jour-là, Me Jacques Trémolet de Villers, qui vient de publier un livre sur le procès de Rouen, alerte son ami Philippe de Villiers que l’anneau de Jeanne d’Arc, aux mains des Anglais depuis son martyre en 1431, sera mis aux enchères le 26 février par la maison Timeline Auctions de Londres. L’avocat connaît l’existence de l’objet, car il est mentionné dans les interrogatoires d’époque.

    Il s’agit d’un anneau en laiton décoré de trois croix et sur lequel est inscrit « Jhesus Maria ». L’évêque Cauchon, qui devait condamner sa prisonnière pour sorcellerie, prétendait qu’elle l’avait utilisé pour accomplir de fausses guérisons. Peu scrupuleux, il le confisqua, puis le donna ou le vendit au cardinal anglais Henry Beaufort. À compter de ce moment, le bijou ne quittera plus l’Angleterre. Son authenticité étant crédible, Philippe de Villiers y voit aussitôt l’occasion de rapatrier une relique chargée de symbole.

    Lire la suite de l’article sur lefigaro.fr

     

     

     

  • L'anneau de Jeanne d'Arc racheté par le Puy du Fou

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     Home ACTUALITE Flash Actu

      • Par Lefigaro.fr
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    INFO FIGARO-MAGAZINE - Volé à Jeanne d'Arc par l'évêque Cauchon lors de son procès, l'anneau de la sainte, propriété des Anglais depuis 1431, vient d'être acheté aux enchères par le Puy du Fou, pour la somme de 376.833 euros.

  • Enorme! Une ado préparait son départ en Syrie pendant un stage de "déradicalisation"

    http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2016/02/29/01016-20160229ARTFIG00189-une-adolescente-preparait-un-depart-en-syrie-pendant-un-stage-de-deradicalisation.php

  • Journaliste ou militante communautariste?

    http://fr.novopress.info/198895/nassira-el-moaddem-journaliste-france-televisions-militante-communautariste/

  • Ces Français extraordinaires : Henri Dupuy de Lôme, pionnier du ballon dirigeable

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    Henri Dupuy de Lôme est sans doute plus connu dans l’histoire de la Marine pour avoir créé les premiers navires de guerre à vapeur français, que dans l’histoire de l’aéronautique. Cependant, le vol de son ballon dirigeable fait date, puisqu’il a été le premier aérostat à contrôler son voyage.

     

    Henri Dupuy de Lôme est né à Ploemeur (Morbihan), tout près de Lorient, le 15 octobre 1816. Après l’École Polytechnique, il est entré à l’École d’application du génie maritime de Lorient.

    Devenu ingénieur, il a servi d’abord à Toulon. Il s’est intéressé assez tôt à la question de la vapeur au service de la Marine et s’est fait le partisan de la construction en fer et de la propulsion par hélice. Nommé directeur des constructions navales au ministère de la Marine en 1857, il a été en grande partie le responsable de la révolution technologique de la marine française à partir de cette date. Conseiller d’État en 1861, membre de l’Académie des sciences en 1866.

    Il est l’auteur de nombreuses inventions dans le domaine de la construction navale, on lui doit notamment:

    - le premier navire de ligne à vapeur au monde, le « Napoléon », lancé en 1850,

    - le développement du procédé de la cuirasse avec la « Gloire », premier vaisseau cuirassé d’Occident (1852),

    - la construction du premier sous-marin véritablement opérationnel, le « Gymnote ».

    Son esprit inventif ne s’est pas limité au seul domaine maritime: lorsque l’on songea à monter des canons de marine sur wagons, c’est Dupuy de Lôme qui en dessina les plans: le premier train blindé était né.

    Il est élu membre de l’Académie des sciences en 1866. Il est député du Morbihan de 1869 à 1870 et sénateur inamovible de 1877 à 1885 et Directeur du Matériel, au secrétariat d’état à la Marine et aux colonies.

    Député de la deuxième circonscription du Morbihan en 1869, il est membre du Comité de défense nationale pendant le siège de Paris, alors que celui-ci faisait feu de tous bois, il a été choisi pour construire le premier ballon dirigeable, seul capable pensait-on, de sortir et d’entrer dans la capitale quel que soit le vent. Le 29 octobre 1870, il obtenait la somme énorme de 40.000 francs pour ses travaux, mais l’aérostat n’a été achevé qu’en 1872.

    Le premier envol de l’aérostat de 3450 m3 a eu lieu le 2 février 1872. Huit matelots manœuvraient le treuil à bras activant l’hélice par équipe de quatre se relayant toutes les demi-heures. A son bord se trouvait également son gendre Gustave Zédé (qui était aussi son adjoint, et fut ensuite le grand pionnier français des sous-marins). Parti de Vincennes, le ballon s’est posé à Noyon, ne s’étant écarté de 12° du lit du vent: une première mondiale.

    Henri Dupuy de Lôme conseillera Jules Verne en 1869, pour le sous-marin le Nautilus de Vingt mille lieues sous les mers.

    Wikipédia

  • Russie : « C’est ce qu’Allah m’a ordonné » déclare la nounou musulmane qui a décapité une fillette de 4 ans (MàJ)

     

    13h07

    02/03/2016

    « C’est ce qu’Allah m’a ordonné » de faire, a déclaré la nounou aux journalistes à son arrivée à l’audience. Le juge a rapidement ordonné son placement en détention provisoire jusqu’au 29 avril, suivant la demande des enquêteurs.

    BFM TV

  • Une citoyenne militante trouve l’amour dans la "jungle" de Calais

     

    "Aujourd’hui j’ai peur qu’on me l’arrache"

    Le démantèlement de la zone sud de la « jungle » de Calais a débuté le 29 février. Alors que Marguerite Stern y passait plusieurs jours en août 2015 (elle le racontait d’ailleurs sur Le Plus), elle est tombée amoureuse d’un réfugié soudanais. Aujourd’hui, elle a peur de le perdre. Elle témoigne.

     

    Il y a quelques mois, je rencontrais par hasard la communauté soudanaise à Calais. J’ai donné des cours de français dans une école construite par des réfugiés au milieu de ce bidonville, puis j’ai fini par passer un moment à vivre avec eux. Je m’étais promis de garder un certain recul, parce que je me disais que si je m’investissais trop j’allais en souffrir, et je deviendrais incapable de continuer à les aider.

    Je rentrais à Paris de temps en temps, je pleurais toutes les larmes de mon corps et puis j’y retournais.

     

    Un jour, je suis tombée amoureuse

    Peu à peu, cette distance que j’avais voulu m’imposer diminuait. Forcément, on tisse des relations, on se fait des amis, et certaines personnes, certaines histoires vous touchent plus que d’autres.

    Et puis un jour, je suis tombée amoureuse. Ce jour-là, le dernier rempart de protection qu’il me restait a explosé. On ne choisit pas qui on aime, et d’ailleurs, les proverbes populaires disent qu’en général c’est quand on s’y attend le moins que cela vous tombe dessus. Ce que les bulldozers envoyés par l’État sont en train de détruire, c’est l’endroit où j’ai rencontré l’amour de ma vie.

    Parfois, je m’imagine qu’un jour on racontera à nos enfants comment leurs parents se sont rencontrés, comment ils sont allés danser dans des bars de fortune d’un ghetto, comment ils se sont aimés autour d’un feu de bois, et parfois aussi à même le sol dans une cabane mal imperméabilisée. On leur racontera que la première fois qu’on s’est parlé on était vraiment habillés n’importe comment, mais qu’on s’est quand même trouvés beaux.

    Ça c’est pour la partie romantique de l’histoire, car bien que les conditions de vie fussent particulièrement rudes, on en garde de très beaux souvenirs.

     

    J’ai fait les démarches avec lui : un parcours du combattant

    Comme l’hiver était déjà bien entamé, et que les contrôles policiers aux frontières se multipliaient, quelques jours après notre rencontre, celui qui est devenu mon petit ami a fini par abandonner l’espoir de rejoindre un jour l’Angleterre. Il s’est résigné à déposer une demande d’asile en France, bien que ses chances d’être accepté ici soient bien moindres. J’ai fait toutes les démarches avec lui, et je peux vous dire que ça relève du parcours du combattant. Le matin il faut se lever à 5 heures pour arriver à l’Audasse, Association unifiée pour le développement de l’action sociale solidaire et émancipatrice, à 6 heures et vous mettre dans la file d’attente. On se levait en vitesse, on enfilait des vêtements parfois encore humides de la veille, et on marchait le long de cette route que tous les migrants de Calais connaissent pour aller jusqu’au centre ville. Pas le temps de se faire chauffer un café au feu de bois.

    Je vous passe les détails administratifs car c’est tellement compliqué que je n’ai pas tout compris. Tout ce que j’en retiens, c’est qu’il faut attendre, attendre longtemps. Et qu’ils sont des dizaines à faire ça tous les jours, à attendre debout, presque religieusement, dans le calme et la discipline, souvent sous la pluie.

    À 9 heures, les portes s’ouvrent et les employés comptent le nombre de personnes qui attendent. On n’en prend que 30 par jour. Ceux qui sont arrivés en dernier devront retenter leur chance le lendemain. Parmi ces gens, certains viennent même en béquille, ça donne des scènes assez hallucinantes. Et puis vous passez finalement en rendez-vous, et vous devez revenir plein de fois, faire des allers-retours entre l’Audasse, l’Office français de l’immigration et de l’intégration (Ofii), la préfecture, La Poste. Après tout cela, vous obtenez enfin un rendez-vous auprès de l’Office français de protection des réfugiés et des apatrides (Ofpra) à Paris, où vous devrez raconter votre parcours et justifier les raisons de votre demande d’asile.

     

    Je me demandais dans quoi j’étais en train de m’embarquer

    Pendant cette période, je continuais à donner des cours à l’école. Nous y avions même organisé une sorte de cinéma club avec l’argent d’une cagnotte en ligne. Je m’absentais de temps en temps pour accompagner mon amoureux dans les méandres de l’administration française.

    Là encore, je m’étais faite une promesse que je n’ai pas su tenir : celle de ne pas abandonner mes élèves, et de passer l’hiver avec eux à l’école. Mais émotionnellement, c’était de plus en plus compliqué. J’étais tiraillée entre l’envie de continuer à militer sur le terrain, et celle d’offrir un cadre de vie plus agréable, plus normal disons, à celui qui était en train de faire chavirer mon cœur.

    Puisque sa souffrance me faisait souffrir et que son rire me remplissait, j’étais devenue obsédée par l’idée de réussir à le rendre heureux. Je me demandais quand même un peu dans quoi j’étais en train de m’embarquer, j’avais l’impression d’être un stéréotype sur pattes, le cliché de la parisienne qui vient s’encanailler à Calais.

    Je me suis demandé si c’était vraiment de l’amour, je me suis dit qu’il passait peut-être toutes ses journées avec moi juste parce que ça fait du bien d’avoir quelqu’un qui s’intéresse à vous dans ces moments. Et puis je lui en ai parlé. Il m’a retourné la question et ça m’a déstabilisée. Est-ce que moi je n’étais pas avec lui juste par empathie ? Juste parce que le sort des réfugiés me bouleverse ? Mais est-ce que je l’aimais vraiment ? Est-ce que je ne voyais pas en lui juste un moyen d’être utile à quelqu’un ? On en a parlé quelques heures, jusqu’à ce que ça nous paraisse suffisamment ridicule pour abandonner la question.

    Lire la suite de l’article sur leplus.nouvelobs.com

  • Ni pardon, ni oubli, ni preuves

     

    La justice allemande échoue à envoyer une ex-SS grabataire en prison

    Hilde Michnia, une Allemande de 93 ans, qui était affectée aux cuisines dans le camp de Bergen-Belsen, est persécutée depuis un an pour avoir, dit-on, participé, en tant que gardienne SS, à la marche de la mort menant les détenues de Gross-Rosen au camp de travail de Guben, une marche au cours de laquelle 1.400 femmes sur 2.000 seraient mortes.

    Un témoin avait pu confirmer la méchanceté de cette femme : il a affirmé l’avoir vue administrer des coups de trique et de pied à deux hommes qui avaient volé deux navets dans la cuisine...

    Un an plus tard, le ministère public de Hambourg avoue qu’après douze mois d’enquête, il a fallu arrêter la procédure, le 24 février 2016, pour « manque de preuves ». Si Hilde Michnia, 94 ans désormais, reconnaît bien avoir participé, en janvier 1945, à l’évacuation du camp de Gross Rosen, en revanche elle n’aurait pas dépassé les 60 premiers kilomètres et aurait retrouvé là une parente tandis que, après 5 jours de pause, la colonne repartait pour Bergen-Belsen, camp qu’elle allait rejoindre un peu plus tard.

    Le tribunal a donc estimé que, faute de preuves, il n’était pas possible de lui imputer la mort des détenues qui avaient succombé à cette marche.

  • Pape François : « On peut parler aujourd’hui d’invasion arabe. C’est un fait social »

     

    16h11

    Mardi 1er mars le pape François a reçu à Rome, en audience privée, une délégation d’acteurs du christianisme social. Une rencontre organisée à l’initiative des Poissons roses et à laquelle Jean-Pierre Denis, directeur de la rédaction de La Vie, participait. Récit.

     

    (…) L’Europe, un lieu devenu vide ? L’expression est forte. Elle vise juste et fait mal. Elle est aussi angoissante. Car dans l’histoire des civilisations le vide appelle toujours le plein. D’ailleurs, le pape se fait clinique. « On peut parler aujourd’hui d’invasion arabe. C’est un fait social », affirme-t-il froidement, comme on relèverait que le fond de l’air est frais. Mais il enchaîne très vite, et les théoriciens du « grand remplacement » cher à l’extrême-droite en seront cette fois pour leurs frais : « Combien d’invasions l’Europe a connu tout au long de son histoire ! Elle a toujours su se surmonter elle-même, aller de l’avant pour se trouver ensuite comme agrandie par l’échange entre les cultures. » Quel homme d’Etat portera un tel renouveau ? « Parfois je me demande où vous trouverez un Schuman ou un Adenauer, ces grands fondateurs de l’union européenne », soupire le pape. Et d’enchaîner sur la crise de l’Europe, minée par les égoïsmes nationaux, les petits marchandages et les jeux à courte vue. « On confond la politique avec des arrangements de circonstance. Bien sûr il faut aller à la table de négociation, mais seulement si l’on est conscient qu’il faut perdre quelque chose pour que tout le monde gagne. »

    (…) La Vie

    Bergoglio devrait recevoir le prix Coudenhove-Kalergi !

     

  • La Grande Trahison. Par Antonin Campana

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    Publié par Antonin Campana sur 1 Mars 2016, 15:19pm

    Catégories : #Perspectives Autochtones

    [Les « élites » ne sont pas au service du peuple : elles servent avec cynisme le mondialisme qui détruit les peuples. Ce ne fut pas toujours le cas : voici une petite histoire d’une grande trahison.]

     

    Jusqu’en 1789, les élites françaises s’organisent principalement autour d’une aristocratie héréditaire qui se veut la fine fleur du peuple de France. Ces élites conçoivent le peuple comme un ordre vital et hiérarchique dont elles occupent le sommet : autrement dit, elles ne se pensent pas extérieures au peuple. Le pouvoir qu’elles exercent repose sur la Tradition. Il a donc une assise sacrée liée à une histoire, une culture et une religion spécifiques. Toutes proportions gardées, ce pouvoir est ethnologiquement de même nature que celui des chefferies africaines ou amérindiennes : c’est un « pouvoir traditionnel » organique indissociable du « peuple ».

    A partir de 1789, ces élites traditionnelles vont être décimées. La violence et le meurtre vont imposer  artificiellement de nouvelles élites. Le réfractaire ne peut comprendre ce qu’il se passe aujourd’hui, le Grand remplacement par exemple, s’il n’a pas compris que ces élites nouvelles sont d’une toute autre nature. Alors que les anciennes élites se voulaient liées par l’histoire, la culture, la religion, les coutumes… à un peuple particulier et comparable à nul autre, les nouvelles élites ne jureront que par « l’Homme ». Alors que les anciennes élites se justifiaient par une Tradition enracinée, les nouvelles s’imposeront par le « Droit universel ». En 1789, pour la première fois dans notre histoire, une « aristocratie » justifiée par une idéologie s’empare du pouvoir politique par un coup d’Etat. Cette aristocratie ne raisonne plus selon les normes traditionnelles du système Westphalien ou en fonction des seuls intérêts nationaux mais selon les critères d’une idéologie à prétention universelle : une idéologie mondialiste. Pour cette aristocratie républicaine mondialiste, la France est un moyen, un laboratoire, une étape nécessaire qui doit mener à un monde organisé selon le système républicain. Dans ce contexte, le recours à une « patrie » assimilée à la République,  apparaît comme une technique de manipulation qui entraînera le pauvre peuple de France dans des conquêtes sans utilité autre qu’idéologique : abattre des « tyrans » pour installer des « républiques sœurs ».

    Cette nouvelle aristocratie républicaine se veut « française », mais cela est strictement juridique. Elle appartient au genre humain et prétend représenter l’humanité globale. Elle ne s’adresse pas à des « Français », mais à l’Homme en général. Elle se veut universelle par ses principes, ses aspirations, ses lois, son droit, son esprit. Elle transcende la francité : tous les hommes, sans distinctions, peuvent et doivent reconnaître la prééminence de ses valeurs. Autrement dit, pour la première fois dans notre histoire, les élites font sécession du peuple pour rejoindre l’Universel. Pour la première fois dans notre histoire, notre peuple est dissocié de ses élites et trahi par celles-ci.

    Entre 1799 et 1875 auront lieu plusieurs tentatives pour installer ou restaurer des élites nationales (nouvelle noblesse militaire de Napoléon Ier, Contre-révolution, Ordre moral mais aussi, un peu plus tard, syndicalisme révolutionnaire…).

    A partir de 1875, les mondialistes républicains reprennent définitivement le pouvoir. Leur stratégie politique va s’exercer dans deux directions complémentaires.

    D’une part identifier la République à la France et la France à la République de manière à manipuler le sentiment d’appartenance et le patriotisme (enseignement scolaire d’un « roman national » dont la République est l’aboutissement lumineux, le 14 juillet devient « fête nationale » (1880), le drapeau tricolore s’impose comme le « drapeau français », Marianne symbolise la France (1877), la Marseillaise devient le chant national français (1879), la République se dit « française », la devise républicaine devient celle de la France (1880)…).

    D’autre part reprendre la stratégie de conquête territoriale afin de mondialiser le républicanisme. Le patriotisme dévoyé est alors utilisé pour coloniser des continents et les « civiliser » selon les principes républicains. Il est aussi le vecteur principal, par le culte de la revanche et d’une germanophobie militante, d’une guerre pour le « droit » et la « liberté » (commencée en 1914 et terminée en 1945) qui va définitivement éliminer les aristocraties traditionnelles européennes. 

    A partir de 1945, deux faits historiques bouleversent les rapports de force. D’une part le mondialisme l’a définitivement emporté dans le monde occidental : la conquête idéologique commencée avec les guerres de la  Révolution se termine avec la guerre mondiale. D’autre part, la bombe atomique et la dissuasion nucléaire rendent inutile le « peuple en arme ».  Autrement dit, le discours patriotique des républicains, qui jurait avec le mondialisme affiché, n’a plus lieu d’être.

    Commencent alors à fleurir les propos antimilitaristes, l’objection de conscience, la redutio ad hitlerum du patriotisme, du drapeau, de l’armée, des CRS ou de la Police. La « France » doit rendre compte jusque dans la loi de son histoire, de ses colonies, de la traite négrière, de Vichy… Or, tous ces gens, sans exception, qui vomissent notre pays sont des républicains. Le contexte est désormais favorable à un mondialisme intégral et non pollué par un discours patriotique nauséabond. Ils ne s’en privent pas. On parle de la fin des Nations, on parle « Europe » ou union transatlantique. C’est l’époque du mondialisme triomphant, des sociétés ouvertes, de la fin de l’histoire, de la Trilatérale, du groupe de Bilderberg et du Siècle (cf. notre article). Les élites républicaines tombent les masques !

    Les élites tombent les masques, mais trop vite et trop tôt ! A peine le temps de souffler que déjà émerge Al-Qaïda et Daesh, que surviennent le 07 janvier 2015 et les attentats : retour de l’histoire, retour des identités, remise en cause radicale du mondialisme occidental. Fin de la dissuasion nucléaire aussi : que peut faire une bombe face à une foi ? Brutalement, notre apprenons que « nous sommes en guerre », nous basculons en 1914, si ce n’est en 1900 au temps de la laïcité militante. Et que voyons-nous ? Les élites mondialistes qui salissaient notre pays il y a peu, se mettent soudain  à parler de la France avec des trémolos dans la voix, réhabilitent le patriotisme, en appellent au peuple pour sauver la République, c’est-à-dire leur rêve de société mondiale. 

    Ces « élites » qui se sont installées par la violence en 1789, qui nous gouvernent depuis les années 1880, ont fait sécession de notre peuple, l’ont trahi et n’ont cessé de le manipuler pour servir les intérêts mondialistes. Ne soyons pas dupes de ces discours patriotiques dépoussiérés dans l’urgence. Ne soyons pas dupes des identifications de la République à la France ou de la réduction de notre identité enracinée à de dérisoires « valeurs universelles ».  Trop des nôtres, déjà, sont morts pour le mondialisme en croyant mourir pour la Patrie. Notre peuple a été victime d’une grande trahison. Il faudra que cela se paie.

    Antonin Campana

  • D'où viens-tu ?

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  • AUDIO - Entretien avec Marion Maréchal-Le Pen

    http://fr.novopress.info/198963/entretien-marion-marechal-pen/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • TVL - JOURNAL DU MERCREDI 2 MARS 2016 : SOCIÉTÉ / MARINE LE PEN AU SECOURS DES AGRICULTEURS

    https://youtu.be/cHTt7Bzl5K0

    1) Société / M. Le Pen au secours des agriculteurs
    2) Politique / A quoi joue Martine Aubry ?
    3) Société / Le charbon : l’ennemi n°1 du climat
    4) International / Le super mardi pour Trump et Clinton
    5) L’actualité en bref