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Blog - Page 388

  • L’oscar de la diversité pour nos césars

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    Jean Ansar

    A-t-on le droit de préférer le « Revenant » à « Fatima » ?

    Notre presse idéologique est contente. Elle a pu nous donner de césars en oscars des leçons d’antiracisme pendant trois jours entre deux informations sur les pauvres migrants bloqués en Grèce.

    Tout d’abord un immense sujet de satisfaction

    Le cinéma français l’est de moins en moins. C’est un cinéma qui s’inscrit fièrement dans la préférence étrangère. Que d’Algériens, de Turcs et autres talents de la diversité pour bien démontrer combien notre courageux monde du cinéma résiste avec courage à la lepénisation des esprits. Rien à voir avec ces balourds d’américains qui en sont encore à récompenser du cinéma spectacle, incapables même d’établir des quotas en attendant la parité pour les talents noirs.

    Et notre belle presse de dénoncer le Hollywood des blancs. Tout cela sans dire vraiment qui a fait Hollywood, qui le domine, qui le finance et s en sert depuis toujours comme d’une formidable fabrique des esprits.

    La ségrégation serait elle de retour ?

    Difficile à croire dans un cinéma où les noirs sont toujours innocents et persécutés, les femmes admirables, les gros des génies de l’informatique et les homosexuels attendrissants. Le problème ce n’est pas le contenu, c’est la récompense. S’il y a un problème de suprématisme blanc ce n’est certes pas le cas chez nous. C’est pourquoi on ose à peine écrire qu’on ira voir Le Revenant et pas Fatima.

    Nos critiques n’ont que mépris pour cette aventure dans le grand nord glacé d’un Edmond Dantès des grands espaces entre ours et indiens survivant dans les tempêtes pour revenir se venger. Ils n’ont qu’admiration pour la femme de ménage voilée d’origine algérienne dont la banalité de vie est forcément une épopée sociale qui a du sens. C’est facile d’écrire comme eux.

    Peu importe si seules Fatima, sa famille, sans doute nombreuse cependant, et quelques amis iront voir ce film qui parait-il est bon. Il ne manquerait plus que le cinéma français attire le grand public, ce ramassis de populistes. On est pas mieux entre nous ?
    Des césars de la diversité et féministes comme le note Le Figaro. Il faudra bien sûr un quota mais pour les hommes et les indigènes.

    On laissera donc le césar de l’antiracisme ridicule de cette chronique à Adèle Haenel, qui a estimé, le cinéma français, «blanc et masculin» lors d’une interview pour Télérama, dont elle fait la Une. Franchement c’est difficile à défendre. Elle aurait sans doute donné les oscars à Star Wars qui n’a rien obtenu, à son acteur noir insipide et à la nouvelle héroïne peu convaincante.

    Hollywood a toujours fait de l’idéologie. Le classique Spotlight mettant en valeur un journalisme d’investigation dénonçant la connivence de l’église catholique pour ses pédophiles en soutane en est une preuve. L’anti-catholicisme est assez bien vu à Hollywood, mais il faut dire que le sujet s’y prête vraiment.

    Le meilleur film étranger aussi qui a tant déçu nos critiques. Ils auraient bien vu un film très turc sur les femmes récompenser la France. Méconnaissance complète d’Hollywood, car là aussi on a eu du classique avec Le fils de SaulLe film montre, début octobre 1944, deux journées de la vie de Saul Ausländer, prisonnier juif hongrois à Auschwitz. Il fait partie du Sonderkommando de l’un des fours crématoires, groupe d’ouvriers strictement séparé du reste du camp et qui, tout en attendant leur propre exécution à tout moment, est forcé de participer à la crémation et à la dispersion des cendres des victimes de l’extermination massive. Saul croit reconnaître son fils dans un enfant mort, et décide de tenter de le sauver de l’incinération et d’entrer en contact avec un rabbin, avec qui il l’enterrera selon le rite approprié.

    Á Hollywood le palmarès très politiquement correct aime les films qui ont du souffle. En France le palmarès encore plus politiquement correct préfère les films à prétentions intellectuelles.

    On se mord la queue en se scrutant le nombril et c’est au niveau des scénarios, à l’exception notable de Jean-Jacques Annaud, que la diversité nous manque.

    METAMAG

    (merci à Dirk)

  • Marine Le Pen aux éleveurs: Si on attend que Bruxelles ... (VIDEO)

    http://www.ndf.fr/nos-breves/01-03-2016/marine-le-pen-si-on-attend-que-bruxelles-donne-son-autorisation-les-eleveurs-vont-mourir#.VtZSBZX2aM8

  • Donald Trump : Super Tuesday

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  • Londres : Ni femmes ni Noël dans les livres de deux écoles juives

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    "Les femmes sont priées de marcher seulement le long de ce côté de la route"

     

    23h59

    Elles étaient rhabillées ou tout simplement supprimées. Les femmes n’étaient pas les bienvenues dans les livres de ces deux écoles juives ultra-orthodoxes de Londres. L’inspection académique s’est saisie de l’affaire.

     Ce n’est pas en Arabie Saoudite que cela se passe, mais au Royaume-Uni. Les ultra-orthodoxes juifs ont récidivé. L’année dernière, ils avaient interdit aux femmes de conduire leurs enfants à l’école en voiture, précisant que dans une telle situation, « aucun écolier ne serait admis » au sein de l’établissement. Cette année, ils ont tout simplement effacé les femmes qui apparaissaient dans les livres scolaires, rapporte The Guardian.

    [...]

    Les deux écoles ne se sont pas contentées de faire disparaître les femmes, elles ont également barré le mot « Noël » à chaque fois qu’il apparaissait dans un livre de lecture pour CE2.

    BFMTV.

     

  • Toulouse : violées par une dizaine d’hommes sur le parking d’une discothèque

     

    04/02

    Deux jeunes filles âgées de 19 ans et 20 ans ont été agressées et violées, dans la nuit du 23 au 24 janvier, sur le parking d’une discothèque toulousaine. Une dizaine de suspects a été appréhendée hier par les enquêteurs de la sûreté départementale (…)

     

    C’est à ce moment que les choses ont basculé. Alors que les deux jeunes filles voulaient simplement faire connaissance, elles ont été amenées par les deux hommes auprès d’autres garçons, dans un véhicule, sur le parking de la discothèque. Sans ménagement, l’une d’entre elles a été contrainte à de nombreux rapports sexuels avec plusieurs partenaires. Son amie, elle aussi, a subi des viols. La scène d’horreur aurait duré plusieurs heures avant que leurs bourreaux ne les laissent repartir.Il s’agit d’hommes âgés, pour la plupart, de 18 ans à 27 ans, tous membres de la communauté des gens du voyage.

    La Dépêche

    Merci à T M

  • Ardennes: une sexagénaire handicapée frappée de 8 coups de couteau

     

       
  • VIDEO - Trump peut-il être élu président des Etats-Unis ?

    http://www.leparisien.fr/international/video-trump-l-ovni-qui-fascine-l-amerique-01-03-2016-5589001.php

  • États-Unis : Une policière blanche abattue par un afro-américain lors de sa première patrouille

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    22h50

    Une policière américaine n’a pas pu terminer sa première journée de travail, puisqu’elle a été tuée par balle après être intervenue dans une dispute familiale. Ashley Guindon a été abattue samedi après-midi par Ronald Hamilton, qui a également blessé deux autres de ses collègues policiers, a rapporté le «Washington Post».

     

    Ashley Guindon, 28 ans, a perdu la vie samedi à Woodbridge (Virginie). La jeune femme, membre de la police du comté de Prince William, était intervenue pour mettre fin à une dispute conjugale opposant un sergent de l’armée à son épouse. Une fois les forces de l’ordre arrivées sur place, il était trop tard: Ronald Hamilton avait déjà abattu sa femme.

    En voyant les agents arriver, l’homme a ouvert le feu, tuant Ashley. Les collègues de la jeune femme sont sous le choc, et pour cause: l’Américaine venait de prêter serment. Elle l’avait fait vendredi, avant de prendre officiellement ses fonctions le lendemain, rapporte USA Today. C’est donc lors de sa première journée de travail qu’Ashley a trouvé la mort.

    20 Minutes

    Merci à Jesse James

  • Le sordide « attentat » d’une nounou voilée à Moscou

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    On sentait, confusément, qu’un jour cela arriverait. Parce qu’à chaque fois - c’est l’implacable logique islamiste - il faut bien gravir une marche.

    On sentait, confusément, qu’un jour cela arriverait. Parce qu’à chaque fois – c’est l’implacable logique islamiste -, il faut bien gravir une marche. Sinon, n’est-ce pas, tout le monde finirait par être blasé, habitué, blindé. En France, il y avait eu un « homme fait », Hervé Cornara. Il y aurait un jour, ici ou sur une autre terre « chrétienne », c’était écrit, un enfant. Et c’est à Moscou que cela s’est passé : une fillette de 4 ans a été décapitée. Par sa nounou, qui a ensuite incendié l’appartement, laissant le petit corps derrière elle pour gagner le centre-ville, couverte d’un hijab noir, et brandir la tête en criant « Allahu Akbar », « je suis une terroriste » et en menaçant de tout faire sauter.

    On lit que la femme – originaire d’Ouzbékistan, à majorité musulmane – était sous l’empire de stupéfiants et que son mari venait de la quitter. On lit aussi qu’elle va subir un « examen psychiatrique ». On peut imaginer, en effet, qu’elle n’est pas parfaitement équilibrée… Peut-être entendra-t-on demain qu’elle s’est « autoradicalisée », puisque cette pauvre parade-là, usée jusqu’au trognon, parvient encore à nous rasséréner ?

    Qu’elle soit dingue et droguée n’y change rien. Qu’elle n’ait pas été expressément téléguidée par tel commando organisé non plus. C’est le rituel morbide qui signe l’acte. Que Daech soit une armée constituée de soldats identifiés, d’un ramassis d’électrons libres fous furieux et dispersés ou bien des deux à la fois ne fait, in fine, pas grande différence : sa force de frappe est redoutable.

    On sentait, confusément, qu’un jour cela arriverait. Et c’est arrivé – si tout cela est confirmé – de la pire des façons.

    Parce que même si Moscou est loin, on se projette. La victime aurait pu être un enfant de 12 ans à bicyclette, assassiné par un barbu au coin d’une rue. Il aurait suffi, alors, de dire au nôtre de n’emprunter que les boulevards éclairés. Ou de prendre le bus. Et de faire gaffe aux barbus le regardant de travers. Mais dit-on à une fillette de 4 ans de se méfier de sa nounou ? Pourquoi pas, aussi, de son doudou ?

    Parce que la charge symbolique de cet assassinat est frappante. Comme l’écrit Caroline Ibos dans son livre Qui gardera nos enfants ? (Flammarion) : « À qui les couples de bobos hyperactifs confient-ils le plus souvent leurs enfants et leur appartement ? La réponse est la même à Paris qu’à Londres ou à New York : des femmes migrantes, originaires du monde pauvre, laissant leurs propres enfants au pays pour venir prendre soin de ceux de la bourgeoisie occidentale. » Des femmes majoritairement musulmanes. Souvent voilées.

    Une chose est de voir le terrorisme rentrer dans son pays. Une autre de l’imaginer dans son foyer. Et dans ce que l’on a de plus intime et de plus cher à l’intérieur de celui-ci : la chambre du bébé.

    « Chers parents, je suis une babysitteuse voilée, et alors ? », écrivait, en septembre 2012, une contributrice de L’Obs.

    Et alors, voilà.

    Toutes les « babysitteuses voilées », bien sûr, ne sont pas des terroristes, mais puisque le principe de précaution, chez nous, a force de loi, comment empêcherait-on les parents de l’appliquer, secrètement, dans un domaine aussi précieux que celui-là ? Un degré de plus dans la suspicion a été franchi. Et pas seulement à Moscou.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • "La conquête de l'espace"

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  • Donald Trump : nouvelles provocations autour d'une citation de Mussolini et du soutien de David Duke

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    "Make America great again"

     

    J.Cl. | | MAJ :

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    Conforté par de nouveaux soutiens à l'approche du vote du « Super Tuesday », dans douze Etats, pour lequel il est bien placé, Donald Trump a multiplié dimanche les propos controversés.

     
     

    S'ils ont fait le succès du début de sa campagne auprès de ses fans, Trump a suscité des réactions horrifiées de ses détracteurs, même de sa couleur politique. Sur Twitter, le mot-clé (hashtag) #NeverTrump, lancé par des républicains opposés au favori des sondages, a été repris par plusieurs milliers d'internautes.

    L'homme d'affaires a d'abord été critiqué pour avoir retweeté une citation de Benito Mussolini. « Mieux vaut vivre un jour comme un lion que cent ans comme un mouton ».

     
    Avec son assurance coutumière, le magnat a défendu son geste et expliqué qu'il ne s'intéressait pas à l'auteur mais à la phrase en elle-même.


     Quelques heures plus tôt, il avait botté en touche sur le soutien que lui avait apporté David Duke, personnalité publique d'extrême-droite et ancien chef de file du Ku Klux Klan, une organisation suprématiste blanche encore active aux Etats-Unis. Trump a fait mine de ne rien savoir de Duke. Puis, pressé de condamner le Ku Klux Klan et les mouvements que soutient l'extrémiste, Donald Trump a expliqué qu'il lui faudrait d'abord se « renseigner » sur ces groupes.

    Ces propos ambigus ont été dénoncés par trois des quatre autres candidats républicains, Ted Cruz, Marco Rubio - avec qui Trump est depuis jeudi dans un face-à-face particulièrement agressif - et John Kasich. « Nous ne pouvons pas être un parti qui désigne quelqu'un qui refuse de condamner les tenants de la suprématie blanche et le Ku Klux Klan », a tweeté Marco Rubio. « Le premier président noir des États-Unis ne peut pas avoir et n'aura pas pour successeur quelqu'un qui incite à la haine et refuse de condamner le KKK », a même reproché le candidat démocrate Bernie Sanders, message retweeté – fait exceptionnel- par sa rivale Hillary Clinton.

    Dans la soirée, Trump a fini par mettre en ligne un extrait vidéo dans lequel, de nouveau interrogé sur le soutien de David Duke, il le conteste. Mais le candidat milliardaire s'en est tenu au minimum. 
     
    Et David Duke a bien compris le message : « S'il me désavoue, OK, a-t-il confié au Daily Beast. Je le laisse faire ce qu'il faut pour devenir président des États-Unis ».
     
    Le Parisien
  • Moscou: une enfant de 4 ans décapitée par sa nounou voilée

    http://ripostelaique.com/enfant-de-4-ans-decapite-ne-confiez-pas-vos-gamins-aux-nounous-voilees.html

     

     

  • Italie : Islam au collège à la place du cours de maths

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    29/02/2016 – EUROPE (NOVOpress)

    « Mardi prochain, le cours de mathématiques est supprimé ; à la place, l’imam donnera à vos enfants une conférence d’une heure sur l’Islam. Veuillez signer pour donner votre accord ». La circulaire rapportée par les élèves du collège Antonio Pertile d’Agordo (dans la province de Belluno en Vénétie), jeudi 25 février, a été mal prise par certains parents. « Ils auraient dû nous impliquer. Je ne signe pas et ma fille ne participera pas », dit une mère de famille citée par Il Gazzettino, le grand quotidien régional. Une autre explique sur Facebook qu’il faudrait « la présence de quelqu’un qui soit chrétien et qui explique les différences ». Certains réclament que le curé assiste à la conférence de l’imam et puisse intervenir.

    Selon le Corriere del Veneto, la fronde des parents s’explique tout simplement par la peur que leurs enfants ne soient endoctrinés. Plusieurs jeunes des environs sont déjà partis faire le djihad en Syrie. « La justice a toujours soupçonné l’existence d’une cellule de fanatiques du Califat dans la province de Belluno ; un centre islamique à Ponte nelle Alpi [non loin d’Agordo] a suscité l’attention des forces de l’ordre, quoique les responsables aient toujours repoussé les accusations ».
    Discorso Imam
    Le maire (sans étiquette) d’Agordo, Sisto Da Roit, se veut rassurant. À l’en croire, « l’objectif de cette rencontre est d’offrir aux élèves une vision plus complète des religions » et « seuls peu de parents ont protesté ». Quant au risque d’endoctrinement, il serait inexistant. « À Agordo, il y a une communauté kosovare, musulmane. Mais ce sont des personnes qui n’ont jamais causé de problèmes et qui se sont intégrées au point de demander la citoyenneté italienne » – preuve d’intégration hautement convaincante, c’est bien sûr.

    Quant à Lorella Benvegnù, du syndicat enseignant « d’inspiration catholique » Cisl Scuola, elle défend bec et ongles la venue de l’imam. « Des projets de ce genre, dans la province de Belluno, il y en a depuis dix ans. C’est presque de la routine. Cette affaire d’Agordo est une tempête dans un verre d’eau. Les élèves d’aujourd’hui sont des citoyens du monde, ils sont au contact de cultures diverses et il est donc bon qu’ils les approfondissent. C’est une forme d’enrichissement personnel. Si le message n’a pas été compris, c’est parce qu’il y a eu un problème de communication, voilà tout. »

    Crédit photo : COMITE DE JUMELAGE DOLOMIEU / AGORDO = Agordo

  • L'anneau de Jeanne d'Arc est de retour en France !

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    La relique datant du XVe siècle a été vendue pour un montant de 297.600 livres sterling (376.833 euros) à un Français, qui a préféré garder l’anonymat. L’anneau de Jeanne d’Arc, héroïne de l’histoire de France, a été acheté par un Français au cours d’une vente aux enchères organisée à Londres, lequel a préféré garder l’anonymat, a déclaré le porte-parole de la maison d’enchères Timeline Auctions.

    La mise à prix de la relique datant du XVe siècle était de 14.000 livres sterling (19.051 euros). Malgré l’absence de preuves que cet anneau ait appartenu à Jeanne d’Arc, il a été vendu vendredi pour un montant record de 297.600 livres sterling (376.833 euros).

    Selon les représentants de la maison d’enchères, Jeanne d’Arc a donné une description détaillée de cet anneau au cours de son interrogatoire à Rouen le 17 mars 1431. Elle contient l’inscription Jhesus Maria et trois croix gravées.

    L’anneau, accompagné de documents qui l’authentifient, est conservé dans un baguier en bois. Après l’exécution de Jeanne, l’objet précieux a été porté par le roi Henri VII d’Angleterre.

    « L’anneau rentre en France », a dit aux journalistes le porte-parole de la maison d’enchères sans préciser le nom du Français qui a fait l’acquisition de cette relique.

    Le bijou a été mis aux enchères par le fils du médecin personnel de Charles de Gaulle. Auparavant, le gouvernement français avait envisagé d’examiner la possibilité d’acheter cette relique.

    Source

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  • Moscou : Une nounou ouzbèke musulmane décapite une fillette de 4 ans

    29 février 2016 par Pierrot - Contre-info.com

    Une nounou a été arrêtée aujourd’hui à Moscou après avoir décapité un enfant de 4 ans qu’elle était censée garder et avoir incendié son appartement, ont annoncé les médias russes et le comité d’enquête. « Le corps d’un enfant âgé de 4 ans, portant des traces de mort violente », a été découvert aujourd’hui dans un appartement dans le nord-ouest de Moscou, a indiqué le comité d’enquête de la capitale russe.

    « Le corps était décapité. Selon de premières informations, la nounou avait emporté la tête avec elle », a déclaré une source au sein des forces de l’ordre. « La nounou, originaire d’un pays d’Asie centrale, née en 1977, a tué l’enfant (…) avant d’incendier l’appartement et de s’enfuir », précise le communiqué du comité d’enquête. Selon la chaîne de télévision populaire Lifenews, la victime s’appelait Nastia.

    Sa nounou, Gultchekhra Bobokoulova, 39 ans, a été arrêtée près d’une station de métro dans le nord-ouest de Moscou, avec la tête de la fillette dans un sac plastique, affirme cette chaîne connue pour ses liens avec les services de sécurité russes. Selon l’agence Interfax, la nounou est originaire d’Ouzbékistan, ex-république soviétique d’Asie centrale à majorité musulmane.

    Selon des témoins cités par des médias russes, la nounou a crié « Allah Akbar! » au moment de l’arrestation. La femme qui faisait preuve d’ »une conduite clairement inadéquate » a été arrêtée et subira « un examen psychiatrique », a ajouté le comité d’enquête.

  • Calais : démantèlement de la «jungle» suspendu, des camions caillassés

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    Calais (Pas-de-Calais), lundi 29 février 2016. La situation s'est tendue en début d'après-midi lorsque des projectiles ont été lancés sur les CRS par des migrants et des militants antifrontières (No Border). (Reuters/Pascal Rossignol.)

    Quatre jours à peine après une décision de justice validant l'évacuation d'une partie de la «jungle» de Calais, l'État en a entamé lundi le démantèlement du bidonville, sous haute protection policière et dans un climat de tension.

     
     

    Devant les affrontements, l'opération a dû être suspendue en fin de journée. 

    En soirée, quelque 150 migrants, certains armés d'une barre de fer, se sont introduits une heure durant lundi soir sur la rocade portuaire jouxtant la «jungle» de Calais, lançant des pierres ou tapant sur des véhicules en partance vers l'Angleterre.  A 19h45, la police avait repris le contrôle de la rocade, jonchée de débris, et l'accès au port depuis l'A16 a été fermé.

    Plusieurs camions et voitures ont été bloqués par les migrants sur ce tronçon surplombant une bande de terre de 100 m auparavant incluse dans le périmètre de la «jungle», et rasée en janvier à l'initiative de l'Etat. De nombreux migrants se trouvaient également sur cette portion. Les forces de l'ordre, d'abord présentes en nombre réduit, ont répliqué par des tirs dissuasifs de gaz lacrymogène. La circulation restait néanmoins perturbée.

     
    Des abris de fortune démontés tôt le matin


    Une vingtaine de salariés d'une entreprise de travaux publics se sont activés tôt lundi matin dans la partie sud de la «jungle», là où vivent de 800 à 1000 migrants selon la préfecture, mais 3450 selon les associations. 

    Sous un soleil radieux mais par un vent glacial, ils ont commencé à démonter à la main les abris de fortune, tentes ou cabanes, vides pour la plupart, se débarrassant d'objets divers dans de grandes bennes : planches, cartons, éléments de charpente… 



    Quatre nouvelles interpellations

    Cette opération se déroule sur une zone de 100 m sur 100 m, dûment quadrillée par les forces de l'ordre. Plus de trente véhicules de CRS et deux camions antiémeutes ont été mobilisés à l'entrée ouest du camp. Après une matinée plutôt calme, la situation s'est tendue en début d'après-midi : à la suite d'un départ de feu de cabanes, des projectiles ont été lancés sur les CRS par des migrants et No Border — 150 personnes, selon la préfecture —, qui ont riposté en faisant usage de gaz lacrymogène. Quatre personnes -trois militant No Border et un migrant- ont été interpellées suite à ces incidents. Cinq CRS ont été blessés, d'après le site du «Soir».

    Vers 17 heures, le démantèlement a dû être interrompu à cause des violences, précise La Voix du Nord. En tout, une dizaine de cabanes ont brûlé et des bonbonnes de gaz ont explosé. 

    Le déploiement des forces de l'ordre visait «à sécuriser le travail de l'entreprise» chargée du déblaiement, mais aussi à «permettre aux maraudeurs de travailler sereinement», pour «que les migrants ne soient pas sous le joug des activités de No Border», avait expliqué le préfet du Pas-de-Calais, Fabienne Buccio, présente sur les lieux.

    Les «maraudes sociales» de la préfecture, qui tentent de convaincre les migrants de quitter la «jungle» pour rallier l'un des 102 centres d'accueil et d'orientation (CAO) disséminés en France ou rejoindre le Centre d'accueil provisoire (CAP) composé de conteneurs chauffés, ont en effet été sérieusement perturbées vendredi par ces militants radicaux œuvrant à l'abolition des frontières, au lendemain du feu vert du tribunal administratif validant l'évacuation d'une partie du camp. Ils avaient notamment tenté d'empêcher certains migrants de prendre place dans les bus requis pour leur acheminement en CAO.

    Les associations surprises par l'ampleur du dispositif policier

    L'intervention a visiblement surpris les associations : «Nous n'étions pas au courant de cette opération d'ampleur. Nous ne pensions pas que ça allait se faire avec autant de force de police. C'est d'une tristesse infinie de voir ce gaspillage du travail que nous avons réalisé depuis des mois. Ces gens veulent rejoindre la Grande-Bretagne et ne partiront pas et seront encore plus précarisés, surtout en plein hiver», a dénoncé Maya Konforti, une représentante de l'Auberge des migrants.

    «Ces opérations de mise à l'abri, de maraudes sociales et d'enlèvement des logements inoccupés vont se poursuivre durant plusieurs semaines», a indiqué la préfecture, qui avait parlé jeudi d'«un mois, peut-être plus». Jeudi, le gouvernement, qui veut démanteler le plus grand bidonville de France où survivent entre 3700 et 7000 migrants selon les sources, avait obtenu gain de cause auprès de la justice administrative pour une évacuation de la zone sud camp, contestée par migrants et associations, mais les autorités avaient immédiatement assuré qu'elles n'entendaient pas recourir à la force.
     
    Le Parisien