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Blog - Page 391

  • Le Conseil d'Etat confirme la fermeture de la mosquée de Lagny-sur-Marne

     

     
     
     
    Le juge des référés du Conseil d'Etat a refusé ce jeudi de suspendre l'arrêté préfectoral ordonnant la fermeture de la mosquée de Lagny-sur-Marne, en Seine-et-Marne, annonce France Info. Cette salle qui accueillait jusqu'à 200 fidèles représenterait "par son fonctionnement et sa fréquentation une menace grave pour la sécurité publique".

    La plus haute juridiction administrative indique dans un communiqué que l'état d'urgence permet d'ordonner la fermeture provisoire de lieux de réunion, dont les lieux de culte". Le Conseil d'Etat avait été saisi en référé par le responsable de cette salle et par des fidèles de la ville qui demandaient sa réouverture.

    Perquisitionnée en décembre dernier, la mosquée présentée comme salafiste avait été fermée par décision préfectorale.

  • Calais : la justice valide le démantèlement d'une partie de la «Jungle»

    http://www.leparisien.fr/societe/calais-la-justice-valide-le-demantelement-d-une-partie-de-la-jungle-25-02-2016-5576819.php

    Les associations et les migrants opposés à l'évacuation d'une partie de la «Jungle» de Calais (Pas-de-Calais) ont essuyé un revers. Le tribunal administratif de Lille (Nord) a décidé ce jeudi de rejeter le recours qu'ils avaient déposé contre l'«arrêté d'expulsion d'office» des occupants pris par la préfecture du Pas-de-Calais.

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  • Un de plus: la Macédoine ferme ses frontières (vidéo)

    https://youtu.be/8clzYcAKZmY

    25/02/2016 – EUROPE (NOVOpress)
    Après la Croatie ou la Serbie, la Macédoine a décidé de fermer ses frontières. Un clou de plus dans le cercueil de Schengen quand on pense à tous les pays qui ont renforcé leurs contrôles ou plus ou moins complètement fermé leurs frontières, comme la Belgique, l’Autriche, La Lituanie, la Hongrie, l’Allemagne, etc.
    Depuis lundi, près de 5 000 migrants sont confrontés à la police grecque. Sur place, certains demandeurs d’asile tentent de forcer les barrières et de fuir le plus rapidement possible. À la frontière de la Macédoine et de la Grèce, un train abritant 700 migrants a été arrêté alors qu’il devait rallier la frontière serbe. Mardi soir, 4.000 migrants étaient bloqués à la frontière d’Idomeni.

  • Calais : pétition contre le démantèlement de la «jungle». Guy Bedos « péterait bien la gueule » à Manuel Valls (MàJ)


    Guy Bedos : "Manuel Valls ? Je lui péterais... par morandini

     

    23h30

    24/02/2016

    Guy Bedos s’en est violemment pris à l’action du gouvernement, et en particulier au Premier ministre, allant même jusqu’à confier qu’il « lui péterait bien la gueule par moment », lors d’une interview sur le plateau de La Nouvelle Édition de Canal+ ce mercredi. L’humoriste fait partie des 250 signataires de la tribune publiée dans Le Monde : « Calais, ne réduisons pas la France à des barbelés et des bulldozers. »

    Interrogé sur le projet de démantèlement partiel de la « jungle » de Calais, Guy Bedos se dit scandalisé : « Je suis révolté que ces familles, ces femmes et ces enfants, soient réfugiés en France à cause de carnages dans leur pays. Ils ne veulent pas rester en France, ils veulent rejoindre l’Angleterre où ils ont de la famille et dont ils parlent la langue. On reçoit le Premier ministre britannique, David Cameron, et le gouvernement n’est pas capable de le convaincre d’ouvrir ses frontières ! »

    L’humoriste n’est pas tendre non plus avec le ministre de l’Intérieur, Bernard Cazeneuve, qu’il qualifie de « très mauvais ». Il y a deux jours sur BFM, Guy Bedos avait déjà taclé le ministre de l’Intérieur sur sa gestion de la crise des migrants : « C’est injuste, c’est inhumain. Quand j’entends monsieur Cazeneuve prononcer les adjectifs progressiste ou humanitaire, je me pince. C’est un contresens.»

    L’humoriste engagé déplore également les amalgames « terroristes et réfugiés » qui, selon lui, font les affaires de l’extrême droite, ainsi que les frappes françaises en Syrie : « L’armée française bombarde des villes syriennes aveuglément : pas seulement pour tirer sur Daech, mais aussi sur des femmes et des enfants ! » Et d’ajouter : « Je suis furieux de tout ce qui se passe, en ce moment. »

    Le Point


    23/02/2016

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    Quelque 260 organisations et personnalités, dont l’humoriste Guy Bedos et la créatrice Agnès B., demandent l’annulation de l’arrêté d’expulsion des migrants de la moitié sud de la « jungle » de Calais, dans une tribune parue ce lundi dans le quotidien « Le Monde ».

    Les jours prochains, nous irons à Calais pour le clamer haut et fort : nous ne sommes pas condamnés à choisir entre la jungle et sa destruction. Nous refusons de réduire la France à des barbelés et des bulldozers », écrivent les auteurs de ce texte.

    Cette tribune est signée par 176 personnalités, dont l’humoriste Guy Bedos, la créatrice Agnès B., le cinéaste Laurent Cantet et le musicien Rodolphe Burger, et 85 organisations, parmi lesquelles la CIMADE, la Ligue des droits de l’homme (LDH) et le Syndicat de la magistrature. Elle a reçu le soutien des partis Europe Ecologie-Les Verts, Ensemble! et NPA.
    (…)

    Source

    Merci à cathyB

  • Stéphane Ravier: "Marseille est devenue la capitale européenne du salafisme"

    http://www.lerougeetlenoir.org/opinions/les-inquisitoriales/illustration-a-ajouter-stephane-ravier-marseille-est-devenue-la-capitale-europeenne-du-salafisme?utm_medium=twitter&utm_source=twitterfeed

    dsc_01681-261x300.jpg Ravier.jpg

    Membre du Front national, où il siège au bureau politique depuis 2010, Stéphane Ravier est maire des 13e et 14e arrondissements de Marseille et Sénateur des Bouches-du-Rhône. Il a bien voulu répondre aux questions du Rouge & Le Noir.

     

  • Référendum hongrois sur les quotas de migrants : une nouvelle initiative bienvenue contre Bruxelles

      

    Communiqués / 24 février 2016 / Étiquettes : , /
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    Communiqué de presse du Front National‏

    Le gouvernement hongrois a annoncé la tenue prochaine d’un référendum sur les quotas de migrants exigés par l’Union Européenne.

    Le Front National ne peut que se réjouir de cette initiative respectueuse de la démocratie et de la souveraineté populaire, de surcroît sur un sujet aussi crucial que la crise migratoire.

    Organisation du Brexit, référendum hongrois, rétablissement des frontières par la Belgique,… : chaque jour qui passe l’Union Européenne est mise à mal par les peuples, c’est une bonne nouvelle pour tous ceux qui sont attachés au respect des nations souveraines. En France ce mouvement de libération est porté par le Front National.

  • Forte hausse des radiations de chômeurs en janvier

     

    Contre l’avis de ses services, El Khomri l’interprète comme une baisse du chômage

    Le nombre de demandeurs d’emploi sans activité a baissé de 27.900 personnes en janvier en métropole, pour s’établir à 3,55 millions, mais une hausse « inhabituelle » des sorties de Pôle emploi pour défaut d’actualisation rend ces chiffres difficilement interprétables, a annoncé mercredi la Dares.

    En janvier, « le nombre de sorties de catégories A, B et C (sans activité et activité réduite) pour cessation d’inscription pour défaut d’actualisation a enregistré une hausse inhabituellement forte », qui reste « inexpliquée » et « affecte à la baisse » le chômage, écrit le service des statistiques du ministère.

    Il appelle à interpréter les résultats « en tendance », c’est-à-dire sur une période plus longue que le mois. [...]

    Malgré l’avertissement de ses services, le ministre du Travail Myriam El Khomri s’est félicitée de la baisse mensuelle, y voyant une « confirmation de la tendance qui se dessine depuis l’été dernier ».

    Lire l’intégralité de l’article sur boursorama.com

  • L’anticomplotiste Belkacem partenaire d’une société secrète

     

    Un colloque franc-maçon "sous le haut patronage" de l’Éducation nationale

    Najat Vallaud-Belkacem l’avait promis à la franc-maçonnerie au cours du 5e dîner de la Grande Loge de France (GLDF) le samedi 26 septembre 2015 : « Vous pouvez compter sur mon soutien et mon parrainage pour votre colloque avec la GLFF. »

    Elle avait ajouté : « Je sais ce que la République et l’École doivent à la Franc-Maçonnerie depuis deux siècles, comme le droit à la contraception doit beaucoup à la GLDF. »

    Le ministre franco-marocain de l’Éducation nationale a tenu parole et affiche la collusion gouvernementale avec la franc-maçonnerie. Le ministère de l’Éducation nationale est carrément partenaire de ce colloque intitulé « La jeunesse à la rencontre de la franc-maçonnerie ». L’embrigadement de nos enfants aux idées maçonniques fait donc bien partie des « valeurs de la République » enseignées dans les écoles.

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  • Écrasante victoire de Donald Trump dans le Nevada

     

     

     

     VIDÉO - Les télévisions américaines donnent au milliardaire 47% des voix de ce caucus républicain. Loin derrière, Marco Rubio devancerait Ted Cruz pour la seconde place.

     
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    De notre correspondante à Washington

    Très large victoire pour Donald Trump ce mardi soir lors du caucus du Nevada, qu'il remporte haut la main, ramassant 47% des voix, suivi de Marco Rubio, qui obtiendrait environ 25%, et Ted Cruz 20%, selon les premiers résultats des télévisions américaines. John Kasich, qui n'a quasiment pas fait campagne dans cet état, et Ben Carson, sont respectivement donnés autour de 4 et 5% des suffrages.

    «Nous allons gagner le pays et bientôt c'est le pays tout entier qui va gagner», s'est félicité Trump de son siège de campagne à Las Vegas. «Nous attendons de superbes résultats au Texas, en Georgie, et en Arkansas», ainsi qu'en Ohio «où nous battons le gouverneur» John Kasich. Les partisans de Trump ont salué avec des cris de joie et applaudissements ces propos en scandant «Trump! Trump! Trump!». «Nous avons gagné chez les évangélistes. Chez les jeunes. Chez les vieux. Les diplômés de l'enseignement supérieur. Ceux qui sont peu diplômés. J'aime les peu diplômés», a commenté le magnat de l'immobilier.

    Ted Cruz a pour sa part admis que la deuxième place n'était pas encore attribuée mais a félicité le lauréat de la soirée. Cherchant à disqualifier Marco Rubio, comme lui d'origine cubaine, il a affirmé que «personne n'a jamais gagné l'investiture sans gagner l'une des trois premières primaires», faisant valoir que lui et Trump avaient gagné ces trois premiers scrutins. «Le seule campagne capable de battre Donald Trump, c'est celle-ci», a-t-il insisté.

    Ce qui est évidemment extraordinaire, c'est l'ampleur de la victoire de Donald Trump que dessinent les premiers chiffres. Dans le Nevada, le milliardaire va bien au-delà du plafond de 33% que certains experts lui accordaient, comme il l'avait d'ailleurs lui-même prévu après sa victoire en Caroline du Sud. Quelque 61% des Américains ont dit vouloir la victoire d'un outsider, lors d'un sondage de sortie des urnes. Sur ces 61%, 70% ont voté Trump. Plus remarquable encore, le milliardaire rafle 44% des suffrages des électeurs latinos républicains, alors que seulement 29% des votants conservateurs hispaniques ont voté pour Marco Rubio , d'origine cubaine, et 18% pour Ted Cruz, né au Canada d'un père cubain et d'une mère américaine «Trump est l'homme qui a parlé des Mexicains violeurs et promis de construire un mur, et pourtant il bat les deux candidats latinos, c'est remarquable», a noté la journaliste Dana Basch, ce mardi soir sur CNN.

    Le Figaro

     

  • La Slovénie utilisera l’armée pour se protéger de l’invasion migratoire

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    24/02/2016 – EUROPE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation)

    La Slovénie est le dernier pays des Balkans sur la route de l’invasion migratoire. Le flux de pseudo-réfugiés est d’une telle densité que le Parlement slovène a voté une mesure exceptionnelle et temporaire. Pour une durée de trois mois, l’armée slovène est autorisée à participer aux côtés des forces de l’ordre à la gestion des immigrants illégaux : les militaires pourront même arrêter les groupes indésirables et les remettre à la police, voire faire usage de la force si la sécurité des citoyens l’exige.

  • Tatiana Guturova : 6 questions gênantes sur le mouvement migratoire

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    Source : OJIM
    Tatiana Guturova est correspondante de l’agence kazakhe Tengrinews en Serbie. Elle a suivi de près le mouvement migratoire qui a traversé le pays en été-automne 2015.
    Dans l’un de ses reportages, elle pose et se pose une série de questions simples au sujet de ce phénomène, de toute évidence orchestré à ses yeux. Nous avons traduit ce reportage parce qu’il est représentatif des interrogations de nombreux journalistes extérieurs à l’UE, ayant leur tête sur les épaules et délivrés du fantôme de l’autocensure. « Entrée libre aux outsiders » (Мигранты: Посторонним вход разрешен, Tengrinews, 6.11.2015). Morceaux choisis.

    Je me rappelle du jour où je les ai aperçus pour la première fois à Belgrade. Une compagnie de jeunes gars s’était pointée dans un petit café belgradois. Ils semblaient sortir tout droit d’un magazine : coupes dans le vent, lunettes de prix, habits griffés.

    — Réfugiés, a dit mon ami en les montrant de la tête.
    J’ai renversé mon jus.
    — Tu plaisantes ?
    […]
    — Il y en a beaucoup du côté de la gare routière, m’a-t-il confié. Tu verras.

    Il y en avait vraiment beaucoup. Et il en arrivait toujours plus chaque jour. Syriens, Libyens, Afghans, Pakistanais, Iraniens, Marocains : une véritable organisation de nations sinistrées en fuite.

    Les arrivants communiquaient peu avec les Belgradois. Cela dit, ils racontaient volontiers aux journalistes les péripéties de leur parcours, louant l’hospitalité locale : ils n’avaient, disaient-ils, rencontré nulle part un traitement aussi humain. De fait, les Serbes, qui avaient été eux-mêmes récemment contraints de fuir de Croatie, de Bosnie et du Kosovo, prenaient à cœur les misères des migrants. Les gens leur apportaient de la nourriture et des vêtements chauds, et les autorités construisaient en toute hâte des centres de crise où ils les ont déplacés cet automne.

    Cependant les migrants, à l’étonnement de leurs hôtes nourriciers, n’étaient pas trop pressés de rejoindre les centres, et ils s’y opposaient même activement. Ils ne prévoyaient pas de s’arrêter en Serbie. Ils s’empressaient de rejoindre la frontière tant désirée de l’UE et, au-delà, l’Allemagne, où Angela Merkel les avait officiellement invités, promettant d’accueillir 800.000 réfugiés. De fait, cette déclaration de Mme Merkel est à la source de l’afflux de migrants vers le Vieux Continent.

    Si tout le monde fuit, je fuis aussi.

    Comme on le sait, des illégaux arrivaient en Europe auparavant déjà, surtout par la voie maritime et surtout en Italie. Des bateaux chaviraient, des gens se noyaient, les Italiens se plaignaient, les bureaucrates européens n’arrivaient pas à résoudre le problème.

    C’est alors qu’a commencé la guerre en Syrie.

    D’ordinaire, on relie directement ce fait avec la crise migratoire et l’on en reste là, au lieu se poser quelques questions importantes.

    Première question : quand les combats ont-ils commencé en Syrie ? Réponse : en 2011. Des obus volaient partout, comme aujourd’hui ; les populations fuyaient ventre à terre, comme aujourd’hui. Mais pour une raison mystérieuse, la vague migratoire a épargné l’Europe il y a quatre ans. Et personne à Berlin ne leur souhaitait la bienvenue.

    Deuxième question : pourquoi les réfugiés en provenance de Syrie ne sont- ils pas des femmes, des enfants et des vieillards, mais avant tout des jeunes gens en pleine santé ? Lorsque je m’en suis enquise auprès des migrants eux-mêmes, ils en « oubliaient » tout d’un coup leur anglais.

    Certes, les reportages télévisés vous montrent aussi des enfants en pleurs et des femmes enceintes. On a même vu une vieille Afghane de 105 ans débarquer en Europe avec sa famille. Mais il ne faut pas oublier que les télévisions sélectionnent les plans les plus spectaculaires et les plus émouvants.

    Il va de soi que parmi ces centaines de milliers de migrants il existe aussi de vrais réfugiés : des gens brisés, affamés, fatigués, reconnaissants pour toute aide qu’on leur apporte et prêts à demeurer dans n’importe quel pays où ils n’entendent plus siffler les balles. Mais ces gens-là ne sont qu’une vitrine pour les Européens compatissants. Ils sont l’arbre qui masque la forêt de ces jeunes gens dans la force de l’âge, qui constituent la majorité des migrants.

    Troisième question : pourquoi le fleuve des migrants de Syrie héberge-t-il autant d’Africains, d’Afghans, de Pakistanais, d’Irakiens, d’Iraniens et d’autres internationaux pas forcément bienvenus qui errent aujourd’hui en Europe ? À cause de la devise : « Si tout le monde fuit, je fuis aussi ? »

    Quatrième question, qui fait également perdre leur anglais aux migrants : pourquoi nombre d’entre eux, au passage des frontières, ne déclarent pas leur vrai nom, refusent de donner leurs empreintes digitales et indiquent, comme un seul homme, une seule et même date de naissance ?

    Cinquième question : qui est derrière le business lucratif du transport des migrants en provenance du Moyen-Orient, de l’Afrique et de l’Asie vers l’Europe ? Selon des données officieuses, chaque migrant doit payer aux passeurs 5 à 6000 euros pour un passage par voie maritime et 2 à 3000 pour un transport par voie de terre. Selon les estimations de l’ONU, le revenu des passeurs de migrants avoisinerait les 10 milliards de dollars. Il serait intéressant de savoir si tout cet argent va dans une seule et même cagnotte. Et si oui, laquelle ?

    Étonnamment, les Européens préfèrent contourner ce sujet, bien qu’ils parlent énormément de la crise et cherchent activement des solutions. Mais pour une raison obscure, personne ne propose la démarche la plus évidente, qui est de briser les filières clandestines. Se pourrait-il que ces filières soient protégées par un pouvoir intouchable ?

    Certes, les eurocrates ont promis d’identifier les voies de passage maritimes. Trop de gens ont déjà péri noyés — selon les dernières nouvelles, quelque 2800 migrants ont disparu sans traces —, et il devient impossible de fermer les yeux sur cette tragédie. Or on n’a guère vu jusqu’à présent de ces rafiots surchargés s’en retourner chez eux.

    Enfin, la question principale : pourquoi Mme Merkel a-t-elle tout de même invité chez elle pratiquement un million de migrants, en pleine crise, alors que l’Eurozone vacille au bord de l’éclatement ? Les Allemands, qui connaissent le pragmatisme et la froide rationalité de leur Chancelière, ne croient pas trop à l’accès de philanthropie. Mme Merkel a toujours agi avec une lucidité calculée, choisissant de deux maux le moindre. Quelle aurait donc été la pire des éventualités si cette armée de migrants qu’il faut loger, nourrir, habiller, éduquer et contrôler constitue le moindre mal ?

    […]

    Pour le moment, on ne peut affirmer avec certitude qu’une seule chose : les migrants sont devenus une monnaie d’échange dans une lutte pour le contrôle d’une région du monde. L’épicentre de cette lutte est aujourd’hui en Syrie, où se confrontent les intérêts de toutes les grandes puissances. Il serait naïf de supposer que les migrants ont simplement été « projetés » vers l’Europe par la déflagration du conflit, ou que certaines parties au conflit se soient soudain apitoyées sur leur sort. Des millions de véritables réfugiés, privés de tout par la guerre, continuent de vivoter dans des camps en Liban, en Jordanie ou en Turquie. Du sort de ces gens-là, personne ne se soucie.

    Quant aux jeunes gens dans la force de l’âge, pour quelle raison les a-t-on rassemblés aussi vite et expédiés en Allemagne ? Uniquement pour creuser encore un trou dans le budget européen et affaiblir une économie déjà sinistrée par la crise ? Ou bien leur a-t-on fixé une mission plus importante ? On n’aura pas à attendre un demi-siècle pour le savoir.

  • Agressions sexuelles de Cologne : La police allemande redouble d’efforts pour arrêter les responsables… des fuites dans la presse!

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    24/02/2016 – EUROPE (NOVOpress)

    La police de Cologne a lancé une nouvelle enquête sur les fuites d’informations vers la presse des agressions sexuelles dissimulées par les autorités.
    Alors qu’au lendemain de ces agressions, les forces de police avaient déclaré que la nuit s’était bien passée, puis avait tenté de minimiser le rôle des immigrés dans la vague de violences sexuelles du Nouvel An, des fuites — comprenant un document interne secret détaillant l’ampleur des crimes et une interview d’un officier supérieur — avaient révélé comment la police avait reçu des centaines d’appels dans la nuit et son impuissance à y faire face.

    Le procureur du tribunal Cologne a confirmé que la police rassemblait des éléments quant à la source de la fuite qui a donné lieu à une plainte émanant du ministre de l’Intérieur de la région, Ralf Jager.
    Cette affaire a également conduit l’ancien chef de police Wolfgang Albers à prendre sa retraite après que ses déclarations mensongères furent mises en défaut par ces fuites.

     Une enquête publique est maintenant lancée en Rhénanie du Nord-Westphalie sur ces incidents. Pour le moment, face aux 1000 plaintes enregistrées, seulement 73 individus ont été mis en examen pour ces agressions de masse, dont beaucoup sont apparemment d’Afrique du Nord. Parmi ceux-ci, 15 sont maintenus en détention alors que l’enquête se poursuit.

    Cela intervient quelques jours après que les demandeurs d’asile marocains ne seraient plus les bienvenus dans l’état le plus peuplé d’Allemagne, des rapports officiels ayant identifié des Marocains parmi les suspects dans la vague d’agressions sexuelles et vols qualifiés à Cologne.
    Le ministre de l’Intérieur de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, Ralf Jager, a déclaré que les autorités fédérales avaient convenu de ne plus envoyer de Marocains dans des centres de réfugiés de la région. Il a ajouté que le nombre d’arrivées de personnes du Maghreb a fortement augmenté, mais bon nombre de ces migrants « ne sont pas admissibles comme réfugiés et par conséquent, ne reçoivent pas d’asile ».

    « Les immigrants d’Afrique du Nord sont surreprésentés dans la population délinquante du pays », a déclaré Ralf Jäger. « Les suspects sont souvent des jeunes hommes voyageant seuls. »

    Selon les données provinciales, 6 444 Marocains et 6 790 Algériens ont cherché asile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie en 2015, soit une augmentation de 300 %
    80 % des immigrants marocains vivent dans cette région, principalement dans les deux grandes villes de Cologne et Düsseldorf. Mais ils ont peu de chances d’obtenir l’asile en Allemagne, car ils ne fuient pas la guerre ou un conflit dans leur pays d’origine.
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    Le mois dernier, plus de 200 demandeurs d’asile ont poursuivi le gouvernement régional pour avoir pris trop de temps à traiter leurs demandes. Certains des demandeurs attendaient depuis plus d’un an, a signalé le journal The Local.
    « L’écrasante majorité des suspects arrêtés tombe dans la catégorie générale des réfugiés, » a déclaré le procureur Ulrich Bremer. Il a ajouté que certains articles de presse ne signalant que trois des suspects comme réfugiés étaient « non-sens total ».
    Les autorités de Cologne ont été accusées de minimiser le fait que les attaquants étaient des demandeurs d’asile en raison de la sensibilité politique de la question.
    Les suspects comprenaient 30 ressortissants marocains, 27 Algériens, quatre Irakiens, trois Allemands, trois Syriens, trois Tunisiens, mais aussi un ressortissant de Libye, d’Iran et du Monténégro, a précisé le procureur Bremer. Leurs statuts juridiques sont très variés, d’immigrants clandestins à demandeurs d’asile et cela recouvre la grande majorité des suspects. »
    Suite aux agressions de masse de Cologne, l’Allemagne va qualifier le Maroc, l’Algérie et la Tunisie de « pays sûrs », éliminant quasiment toute chance aux ressortissants de ces pays d’obtenir l’asile.

    Source : Daily Mail

  • Belgique : on ferme

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    24/02/2016 – EUROPE (Présent 8553)

    La Belgique a peur de voir son territoire envahi du côté sud. Pourtant la France ne songe pas à l’annexer !
    Ce n’est pas des Français dont elle se protège, mais des migrants, lesquels, si la jungle de Calais est évacuée, vont s’installer outre-Quiévrain, ce qui a d’ailleurs commencé : appliquant eux aussi le principe de précaution, une trentaine d’individus ont déjà été arrêtés à Adinkerke. Les autorités belges ont donc décidé de fermer leurs frontières. Les contrôles seront réalisés « systématiquement sur les lieux stratégiques connus pour les passages » a indiqué le ministre de l’Intérieur, Jan Jambon.
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    Contrairement à ce qu’imagine son homologue français, Bernard Cazeneuve, ceux qui veulent aller en Grande-Bretagne à tout prix ne vont pas se rendre dans un centre d’hébergement dans les Causses ou à Romorantin, mais vers un autre port du Nord. C’est donc la crainte de voir les maux de Calais s’exporter vers le port de Bruges-Zeebrugge, d’où partent les ferries à destination de la Grande-Bretagne, qui justifient la décision de Bruxelles.
    Il s’agit aussi de faire taire la rumeur qui se répandait dans la jungle selon laquelle les Belges seraient plus « ouverts » que les Français, rumeur qui serait le fait des passeurs afin de pouvoir continuer leur coupable activité de l’autre côté de la frontière.

    Ce n’est pas de gaieté de cœur que le chef du gouvernement belge a pris cette mesure à l’encontre de son plus proche voisin avec qui les échanges sont permanents et amicaux. Cela montre que la Belgique n’est pas dupe du discours de notre ministre de l’Intérieur pour résorber cet abcès sur la côte calaisienne, elle ne veut pas faire les frais de cette impuissance.
    Ceux des « migrants » qui parviendraient à passer à travers les mailles du filet et interceptés en Belgique, où ils ne voudraient pas demander l’asile, se verraient notifier un « ordre immédiat de quitter le territoire » et seraient raccompagnés à la frontière française par la police belge. Retour à l’envoyeur !

    Il s’agit d’une dérogation « temporaire » aux règles de Schengen, a précisé le ministre de l’Intérieur belge. C’est la formule que tous les pays emploient pour rester dans le cadre de la légalité européenne qui ne prévoit qu’une fermeture temporaire et exceptionnelle. Mais quand déjà sept pays de l’espace Schengen ont fermé leurs frontières et pour le même motif, petit à petit ce seront les États qui les maintiennent ouvertes qui deviendront l’exception… avant de s’y rallier.

    En effet, quand un accès est fermé, les passeurs et leurs clients en ouvrent un autre, ce qui conduit le pays victime de cette situation à reprendre lui aussi le contrôle de ses frontières. Quant au caractère « temporaire » ni en Belgique, ni ailleurs, il n’y a de date butoir. Son gouvernement a indiqué que cette fermeture « durera autant que nécessaire », c’est-à-dire très longtemps, car la crise dite des « migrants » est encore devant nous.

    Les chefs d’État et de gouvernement ont beau proclamer qu’il faut tout faire pour conserver « Schengen », ce n’est qu’une imprécation stérile. La liberté de circulation se réduit chaque jour davantage, « Schengen » devient une coquille vide. Mieux vaudrait le constater et déclarer ces accords caducs au lieu de cet acharnement même pas thérapeutique.

    Guy Rouvrais

     

     

     

     

     

     

     

     

     

     

  • TV Libertés - JT du 24 février 2016 - Immigration/Calais inquiète la Belgique

    1) Immigration / Calais inquiète la Belgique
    2) Politique / Républicains : Le Maire dans la course
    3) Défense / La Grande Muette se met au vert
    4) International / Clinton revient, Trump décolle
    5) L’actualité en bref

  • Marseille: le professeur juif qui disait avoir été "tailladé" mi-novembre placé en garde à vue

    http://www.laprovence.com/article/actualites/3815765/le-professeur-juif-qui-disait-avoir-ete-taillade-mi-novembre-a-marseille-place-en-garde-a-vue.html

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    Tzion Saadoun

  • Florian Philippot dans le Morbihan : « En Bretagne on est de plus en plus bleu marine »

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    15/02/2016 – 08H30 Vannes (Breizh-info.com) –  « En Bretagne on est de plus en plus bleu marine ». À Crac’h (Morbihan), ce samedi 13 février, où il présentait un banquet « patriote », Florian Philippot, vice-président du FN, ne cachait pas son optimisme. Loin des plateaux de télévision, le numéro 2 du FN a tenu devant les militants un discours musclé.

    Pour sa première visite dans le Morbihan, Florian Philippot était accompagné de Gilles Lebreton député européen du Grand ouest. Tous les élus FN au conseil régional de Bretagne était présents autour de leur chef de file Gilles Pennelle. Trois conseillers régionaux FN de Loire Atlantique participaient aussi au déjeuner qui a réuni 340 convives.

    Lors de sa conférence de presse – dans une salle pavoisée aux couleurs traditionnelles de la Bretagne avec notamment le drapeau historique « Kroaz du » –  Florian Philippot prend le  pari que c’est en Bretagne que le FN connaitra la plus forte progression aux élections présidentielles de 2017 par rapport à 2012 (Marine Le Pen avait alors réuni 13,2% des suffrages dans la région).

    Interrogé sur la crise agricole frappant la Bretagne, Florian Philippot déclare qu’elle est avant tout un problème de coût et de valeur des productions. Il accuse l’Allemagne de concurrence  intra européenne déloyale en matière agricole : « en faisant  venir comme l’Espagne des travailleurs détachés payés 3 € de l’heure ». La suppression des quotas laitiers fut pour lui une erreur. Le traité transatlantique avec les USA, négocié en secret portera le coup de grâce à l’agriculture française, la Bretagne en sera la première victime. Le dirigeant du FN considère que François Hollande n’est plus qu’un « commentateur de crise », il n’est pas une force de proposition crédible : la baisse des charges annoncée aux agriculteurs risquant d’être considérée comme une aide illégale par la commission de Bruxelles.

    Avant tout la France doit « récupérer ses instruments de souveraineté : territoriale, budgétaire, monétaire, législative et se retirer des négociations sur le TAFTA ». Ce seront là les premières mesures prises par Marine Le Pen si elle est élue Présidente en  2017.

    Interrogé sur l’affaire Piquemal et le peu de réaction du FN sur les incidents autour de la « jungle » de Calais, Florian  Philippot tient à rappeler que « l’arrêt de  l’immigration demeure la  priorité N° 1 du Front National », alors que l’Union européenne s’apprête à accueillir 3 millions de nouveaux « migrants » en 2016. Il se déclare « choqué » par le traitement réservé au général Piquemal. Le FN n’a aucune relation avec le mouvement PEGIDA, et invite ses militants « à ne pas participer aux manifestations qui ne seraient pas organisées par [lui]».

    A un journaliste lui faisant remarquer que « le travail intellectuel du GRECE et du Club de l’Horloge avait nourri autrefois la doctrine du FN »,  Florian  Philippot répond qu’il met sa confiance dans tous les collectifs thématiques que le FN met en place, citant en exemple le travail des enseignants du collectif Racine.

    Florian Philippot rejette la notion de « plafond de verre » qui interdirait toute victoire majoritaire de son parti. Il se déclare prêt à conclure des alliances avec « la frange patriote » de tous les partis  et pas seulement  celui de Dupont Aignan. Il déplore que les partis de droite aient des « états-majors figés » et privilégie les initiatives de terrain citant en exemple «  La cocarde étudiante » qui regroupe des étudiants souverainistes de tous bords.

    Interrogé sur l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, il rappelle l’hostilité du Front national à ce projet inutile qu’il qualifie de « caprice politique ». Il se déclare favorable au principe du référendum local, mais celui-ci ne saurait être organisé dans le seul département de Loire Atlantique mais dans les 2 régions de Bretagne et des Pays de la Loire.

    Au cours du banquet, Florian Philippot devait développer les mêmes thèmes mais de façon beaucoup plus musclée et polémique et souvent avec humour, ce qui  manifestement répondait à l’attente de son nombreux auditoire.

    Commentant le remaniement ministériel, le vice-président du FN s’est félicité du départ de Laurent Fabius « belliciste plus pro américain que les américains eux-mêmes » et de Taubira « le sectarisme personnifié ».

    Sur Emmanuelle Cosse, nouvelle ministre du Logement et ex-patronne des Verts, Philippot rappelle ses déclarations : « François Hollande n’est qu’un flan (…) jamais je ne serai ministre de Manuel Valls » ou « je suis pour la dissolution des états-nations » et encore « je ferai de l’Ile de France un refuge pour les migrants ».

    Philippot devait aussi développer ce qu’il appelle la « conjonction des crises » que connait la France : agricole et industrielle, migratoire, morale et politique. Un thème nouveau pour le conseiller de Marine Le Pen qui rajouta : « la nation, c’est un territoire, un peuple, une loi souveraine et une frontière ».

    Alors que le gouvernement « n’ose pas nommer l’ennemi islamiste » le Front national au pouvoir en 2017 expulsera « les imams étrangers prêcheurs de haine et fermera les mosquées radicales en une semaine ». Il rétablira aussi le service militaire obligatoire.

    Au final, Florian Philippot aura tenu aux militants bretons un discours beaucoup plus vigoureux et identitaire que celui qu’il tient  sur les plateaux des télévisions. Si l’avenir n’est écrit nulle part, le numéro 2 du Front national se veut résolument optimiste : « nous sommes l’avant-garde, nous traçons le chemin pour amener les patriotes au pouvoir ».

    C.B.

    Crédit photo :Breizh-info.com
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  • Immigration : une loi irresponsable votée en catimini

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    Jeudi 18 février, subrepticement, en catimini, dans l’indifférence générale, la cachoterie, le désintérêt absolu des médias, l’Assemblée nationale a définitivement adopté le projet de loi sur l’immigration de M. Valls et M. Cazeneuve. Pour Alexis Théas, juriste et universitaire, elle complique davantage la lutte contre l’immigration illégale.

    Avec cette loi, le gouvernement donne des gages à la frange la plus idéologique du parti socialiste.

    Cette réforme transforme profondément le système français de l’immigration. Pourquoi ne pas le dire, pourquoi le dissimuler? Il va de toute évidence dans le sens de l’ouverture, de l’accueil, du renforcement des droits des étrangers et de l’affaiblissement des outils de l’Etat dans la lutte contre l’immigration illégale.

    La nouvelle loi adoptée hier prévoit un dispositif particulier en faveur des étrangers en situation irrégulière, malades en France, après trois mois de résidence. Ces derniers, atteints d’une maladie d’une exceptionnelle gravité – terme qui recouvre quasiment toutes les maladies graves, y compris psychiatriques – , s’ils n’ont pas les moyens personnels d’être soignés dans leur pays (revenu suffisant, couverture sociale, proximité d’un hôpital de son domicile), obtiennent le droit d’être régularisés en France et de bénéficier du système de soin français (article L313-11-11 du CESEDA). Il incombe à l’administration, si elle envisage de refuser de le régulariser, d’apporter la preuve qu’il dispose personnellement des moyens d’être soigné dans son pays. Ce dispositif ouvre un engrenage, un risque d’un appel d’air, dont on ne voit pas où il peut s’arrêter.

    Enfin, la loi Valls-Cazeneuve rend infiniment plus compliquée la lutte contre l’immigration illégale. Elle supprime la rétention administrative de cinq jours pendant laquelle le préfet peut décider de garder un étranger en situation irrégulière en rétention, le temps d’organiser son départ. [...]

     

    La nouvelle loi a été voté dans un climat d’indifférence et de légèreté qui donne le vertige. Seul un député des Républicains était présent à l’Assemblée lors du vote final, expédié en moins d’un heure. Aucun des deux députés Front national n’assistait à cette séance (ni à la précédente). [...]

    Le Figaro