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En se filmant en train de voler un camion de pompiers qui intervenait pour secourir un septuagénaire ayant chuté sur des rochers dans le Jura, deux individus ont provoqué l'indignation d'internet et le dépôt d'une plainte.
Sur Snapchat et Twitter, la vidéo du vol d’un véhicule de secours fait grand bruit ce 7 juillet. Partagée sur les réseaux sociaux par l'auteur du délit qui a eu lieu le 1er juillet, on y voit deux individus dérober le véhicule appartenant aux pompiers du Jura.
Alors que le véhicule était en intervention pour tenter de secourir un septuagénaire ayant chuté sur des rochers, tandis q'un hélitreuillage était en cours, deux jeunes hommes s'introduisent à l'intérieur du camion stationné au bord du lac de Chalain sur la commune de Fontenu, selon France 3.
Au volant du véhicule volé, les deux malfaiteurs enclenchent le gyrophare, visiblement fiers de leur méfait. «On n'a qu'une vie, on a des couilles», entend-on fanfaronner le voleur. «ll a volé un camion de pompiers, frère», ajoute le second individu. Le compte Twitter du jeune homme ayant posté cette vidéo sur les réseaux a été supprimé dès le 1er juillet. Mais, hasard d'internet, la vidéo a refait surface une semaine plus tard, suscitant l'indignation des internautes.
Le véhicule a finalement été retrouvé une centaine de mètres plus loin. «Nous sommes obligés de laisser tourner les véhicules de secours pendant les interventions pour tenir en charge certains équipements et assurer au mieux le confort des personnes prises en charge», ont expliqué les pompiers du Jura à France 3. Une plainte a été déposée et une enquête a été ouverte.
Communiqué de presse de Bruno Gollnisch, Député Européen
Avec ma mise en examen signifiée aujourd’hui par Mme Thepaut, juge d’instruction français, le Parlement européen a ajouté à la persécution politique et au mépris du contradictoire, le délit d’escroquerie au jugement.
Par une procédure arbitraire interne, dirigée exclusivement contre des députés d’opposition, son administration hostile et politisée tente de me ruiner malgré la production de preuves surabondantes du travail effectif et considérable de mes collaborateurs, travail conforme en tous points à la législation et aux usages de la vie parlementaire.
Il s’agit en fait d’une tentative d’assassinat politique qui vise à ruiner nos formations politiques et leurs dirigeants en leur extorquant des sommes faramineuses avant tout jugement et au mépris de toutes les règles de droit.
Devant le tribunal du Luxembourg que j’avais saisi, l’administration parlementaire européenne avait affirmé n’avoir entamé aucune procédure contre moi, ni au civil, ni au pénal. Son mensonge éclate au grand jour.
Je continue bien sûr à formuler tous les recours possibles en France et à Luxembourg pour faire valoir mon bon droit et me rendre justice. En outre, j’envisage de porter plainte contre les responsables européens concussionnaires qui sont à l’origine de cette persécution parfaitement relayée.
L’un des voleurs présumés du coeur d’Anne de Bretagne, dérobé au musée Dobrée à Nantes, souhaite sortir de prison pour une raison bien particulière : son mariage, organisé en septembre prochain à Nantes. «Toute la famille doit venir d’Algérie. Il y a le traiteur, la salle ou encore le DJ… 10 000 euros ont été engagés» explique son avocate à Ouest France.
Sa première demande de remise en liberté a été écartée par la chambre d’instruction de Rennes, car l’affaire est encore en cours et qu’il y a «un risque de concertation avec d’autres personnes». […]
Fondateur du bar la Citadelle, chef du mouvement Génération Identitaire dans le Nord, Aurélien Verhassel était jugé ce mardi après-midi pour une bagarre à Masséna-Solférino en juillet 2015. Un affrontement apolitique, mais aussi bref que violent.
Que s’est-il passé le 12 juillet 2015, au petit matin ? Rue Nationale, Ouassim et Zakaria dégustent une pizza. Deux hommes débouchent de la rue Masséna. Quelques minutes plus tard, les convives sont groggy et en sang. La police rattrapera très vite le duo, dont Aurélien Verhassel. Cet habitué des nuits lilloises, 31 ans à l’époque, est surtout le chef du mouvement Génération Identitaire Flandre-Artois-Hainaut. Un an plus tard, il ouvrira le bar associatif la Citadelle dont l’inauguration sera saluée à coup de manifestations antiracistes.[…]
« Le visage ne saurait être dissimulé en société ; nos visages nous confèrent une identité et sont un moyen fondamental de communiquer avec les autres. » - Geert Wilders, Parti pour la liberté (PVV).
Pour le ministre néerlandais de l'Intérieur, Kajsa Ollongren, la nouvelle loi représente « un juste équilibre » entre « la liberté laissée à chacun de s'habiller comme il le souhaite » et « l'intérêt général de préserver l'échange et la sécurité ». Loin de violer les droits fondamentaux a-t-elle ajouté, l'obligation de montrer son visage donnera aux femmes musulmanes « une vie sociale plus large, plus de possibilités de contact, plus de communication et d'opportunités sur le marché du travail ».
La Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) a validé à deux reprises la légalité des interdictions de la burqa, ce qui rend improbable l'annulation de l'interdiction néerlandaise devant un tribunal.
Le Sénat néerlandais a approuvé la loi qui interdit le port de « vêtements couvrant le visage » dans les bâtiments publics, y compris les hôpitaux, les écoles et les bureaux du gouvernement, ainsi que dans les transports publics.
Bien que l'interdiction de masquer le visage n'ait pas été étendue pas aux rues, la loi autorise la police à demander aux personnes voilées de se dévoiler aux fins de vérification d'identité.
L'interdiction vise les vêtements islamiques tels que la burqa (couvrant tout le visage) et les niqabs (qui couvrent tout le visage sauf les yeux), ainsi que les cagoules et les casques intégraux. Tout contrevenant sera soumis à une amende de 410 euros (475 dollars).
Adoptée initialement par la Chambre des représentants néerlandaise en novembre 2016, la nouvelle loi a été votée au Sénat le 26 juin 2018 par 44 voix contre 31. Le Sénat compte 75 représentants.
Hier, mercredi 4 juillet, l’acteur Omar Sy a fait les gros titres de la presse. En cause, une supposée insulte de l’ancien acolyte de Fred Testot à un agent de la SNCF, qui aurait conduit à son arrestation alors qu’il s’apprêtait à embarquer dans un train à la Gare de Lyon. Selon Closer, le comédien avait été arrêté par les policiers de la surveillance ferroviaire pour « outrage à agent ».
Groupe SNCF
✔@GroupeSNCF
1/2 La #SNCF regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2
CNEWS
✔@CNEWS
#OmarSy interpellé pour avoir traité un contrôleur SNCF de «petite b***» https://bit.ly/2u6yeqN
1/2 La #SNCF regrette vivement que les échanges un peu vifs survenus cet après-midi en Gare de Paris Lyon entre M. @OmarSy et un de ses agents fassent l'objet d'un traitement médiatique fondé sur l'exagération des faits et sur des propos que M. Omar Sy n'a jamais tenus. 1/2 https://twitter.com/cnews/status/1014557775727398913 …
Groupe SNCF
✔@GroupeSNCF
2/2 comme l’a confirmé l’agent SNCF auprès de sa hiérarchie. Cet incident est clos et M. @OmarSy a pu poursuivre son voyage.
L’information a été démentie par la SNCF, qui a apporté plus de précisions concernant cet incident. Car oui, il y a bien eu un incident entre le comédien d’Intouchables et l’un des agents de l’entreprise ferroviaire. Interrogé par sa hiérarchie, l’agent impliqué dans le différend avec l’acteur a par contre formellement nié avoir été insulté par ce dernier. Sur Twitter, la Société nationale des chemins de fer français a simplement évoqué des « échanges un peu vifs ».
Il aurait traité un agent SNCF de « petite bite »: l’acteur Omar Sy a été arrêté ce mercredi 4 juillet à la gare de Lyon, à Paris, pour « outrage à agent », selon Closer. (…)
Le comédien, qui avait reçu un César pour le film « Intouchables », en 2011, serait monté dans un train avec sept bagages. Lorsque des contrôleurs sont venus lui dire qu’il ne pouvait emporter que trois valises avec lui, ils lui ont rappelé qu’il y avait « d’autres voyageurs ». (…)
Il l’aurait ensuite légèrement bousculé afin de monter dans le train, avant d’être arrêté par la police. On ignore si le contrôleur bousculé et insulté va porter plainte.
Le plus jeune Lord Maire de l’histoire de Sheffield a annoncé que le président Donald Trump n’était pas le bienvenu dans la ville de l’acier.
Magid Magid, qui est aussi le premier membre du Parti Vert à assumer ce rôle, est entré dans une réunion du conseil municipal avec ses chaînes de maire et un t-shirt disant « Donald Trump est un raté ».
Que tout le monde s’assied pour l’honorable Lord Maire
Il portait également un sombrero, et lors d’un entracte – conformément à sa décision d’amener des artistes locaux à se produire dans les entractes de la fête du conseil – des membres de la communauté mexicaine de la ville sont venus pour exécuter une danse traditionnelle mexicaine.
Magid Magid a ensuite affiché une photo de lui-même sur Twitter dans sa tenue de réunion du conseil avec l’annonce : « Il est désormais banni de la grande ville de Sheffield ! »
Il a également annoncé que le 13 juillet – date de la visite proposée par Trump – sera connu sous le nom de « Journée de solidarité avec le Mexique ».
Donald Trump met fin à la discrimination positive, une directive mise en place par Barack Obama, qui attribuait des bonus ou des malus en fonction de la couleur de peau. Pour un examen d’entrée à Harvard par exemple, les Blancs partaient sans bonus ni malus, les Asiatiques partaient avec un handicap de 140 points tandis que les Afro-Américains partaient avec un bonus de 310 points. – France 2, 4 juillet 2018, 20h26
L’Irak est un pays martyr. Il y eut la dictature de Saddam Hussein, l’atroce guerre Iran/Irak, la première guerre du Golfe, le blocus alimentaire – qui, à la satisfaction de l’Américaine Madeleine Albright et du Britannique Tony Blair, tua des enfants par milliers -, l’agression américaine, et pour finir (pour l’instant) l’abomination islamiste de Daech.
Ce qui tient lieu d’État récupère difficilement la maîtrise de son territoire et fait passer en jugement les criminels avérés. Un certain nombre d’entre eux ont été condamnés à mort. Aussitôt, glapissements des officines américaines et des belles âmes de chez nous.
Les « no border » sont « no limit »
Ce qu’il y a d’intéressant avec ces gens, qui prennent leurs coquetteries pour des convictions, c’est qu’ils sont « no limit ». Capables de s’emparer de n’importe quelle cause pourvu qu’elle leur permette de donner aux masses qu’elles méprisent des leçons de morale. Compte tenu de la profusion récente, on ne va pas dresser une liste, qui aurait rapidement l’épaisseur du catalogue de La Redoute.
En Irak, Daech, qui dispose encore du pouvoir de nuire, a enlevé huit citoyens innocents pris au hasard et réclamé en échange de leur vie la libération des condamnés. Devant le refus du gouvernement irakien, Daech a exécuté les huit innocents et publié la vidéo de leur martyr. Pour mettre fin à ces chantages, les autorités irakiennes ont procédé aux exécutions des criminels condamnés. À partir d’un raisonnement difficilement réfutable : ainsi leurs libérations ne pourraient plus être revendiquée.
Toutes les belles âmes de chez nous se sont précipitées pour protester au nom de leurs principes supérieurs, non pas contre l’exécution des otages mais contre celle des condamnés. Dressées sur leurs ergots, brandissant plumes et stylos, elles caquettent en donnant des leçons de morale à un peuple martyrisé. En évitant soigneusement de dire comment il faudrait faire pour protéger les Irakiens. Parce que, quelle est la seule question posée ? Celle de l’arbitrage que doit rendre le gouvernement d’Irak entre la vie d’abominables massacreurs et celle de citoyens innocents. Il a choisi celle des innocents. Et c’est là où le bât blesse pour nos professeurs d’humanisme qui eux prennent le parti du sacrifice de ces derniers au nom du respect des principes à eux qu’ils ont. Et qui sont supérieurs à tous les autres puisque ce sont les leurs !
L’Irak, un pays en guerre
Reprenons notre sang-froid et, dans le souci du débat démocratique, rappelons-leur d’abord une évidence : l’Irak est un pays en GUERRE. Et que, s’il existe un droit qui organise la façon de la faire, ce n’est pas pour rien. Rappelons-leur aussi quelques petites histoires. Après la bataille de Bir Hakeim, où les Français libres s’étaient distingués, l’Etat-major allemand avait fait savoir qu’il considérerait les combattants français libres faits prisonniers comme des « irréguliers sans uniforme » et qu’ils seraient tous exécutés. De Gaulle avait répondu que si l’armée allemande entendait se déshonorer de cette façon, elle s’exposerait à la réciproque, et que tous les prisonniers allemands subiraient le même sort. Ce qui calma les nazis qui renoncèrent à perpétrer leur crime. Aux yeux de nos petits mondains, Charles de Gaulle est donc un assassin avide de vengeance. Il avait pourtant simplement fait la même chose que Lincoln durant la guerre de sécession, quand les confédérés firent savoir que tout officier yankee, commandant à des troupes noires, et fait prisonnier, serait exécuté. Lincoln fit répondre qu’un même nombre de prisonniers confédérés seraient alors passés par les armes. Et les sudistes firent marche arrière. Plus récemment, les troupes américaines, confrontées en décembre 1944 à la contre-offensive allemande dans les Ardennes, constatèrent le massacre de prisonniers américains par des unités SS à Malmédy. Sans formalité particulière, elles reçurent l’ordre de fusiller tous les SS qui se rendaient. Est-il aussi nécessaire de rappeler l’existence du tribunal de Nuremberg, et des condamnations à mort exécutées des dirigeants nazis ? Ou la pendaison d’Adolf Eichmann en Israël, pays qui avait pourtant aboli le châtiment suprême dès sa création ?
« N’oublie pas camarade… »
Il est en revanche nécessaire de dire clairement les choses. Nos faux-humanistes, manipulant leurs arguments boiteux, font plus que renvoyer des belligérants dos à dos, ils font la leçon à ceux qui sont du bon côté, et qui ont subi et subissent encore l’horreur. C’est une attitude que l’on connaît et que l’on peut qualifier de purement pétainiste. Une attitude qui renvoie aussi à celle de ces trotskistes dévoyés qui disaient aux FTP combattants les nazis : « N’oublie pas camarade que, sous l’uniforme SS, il y a un travailleur allemand. »
Il faut le savoir et le dire, nos belles âmes nous font une nouvelle démonstration qu’elles ne sont jamais économes du sang des autres dès lors qu’il s’agit de s’acheter une bonne conscience et de prendre la pose.
Ce mardi 3 juillet, au travers d’un communiqué de presse, l’Organisation de lutte contre le racisme anti-blanc (OLRA) annonce qu’elle porte plainte contre Françoise Nyssen pour des propos jugés stigmatisants à l’égard des « hommes blancs », rapporte RT France.
« Stigmatiser et ostraciser une catégorie de la population… »
« On a une télévision d’hommes blancs de plus de 50 ans, et ça, il va falloir que cela change », avait affirmé Delphine Ernotte en 2015 au moment de prendre la tête de France Télévisions. Un avis partagé par Françoise Nyssen, le 4 juin dernier. « Delphine, tu as dû te sentir bien seule lorsque tu portais un constat, à la fois évident et courageux. Tu sais : ‘l’homme blanc de plus de 50 ans’. Vous vous en souvenez ? », avait alors lancé la ministre de la Culture.
« Si nous reconnaissons l’exigence d’améliorer la représentativité des Français dans le paysage audiovisuel, stigmatiser et ostraciser une catégorie de la population ne peut aboutir qu’à produire davantage d’injustice », écrit ainsi l’organisation.
« Hommes blancs » contre « Mâles blancs »
Mentionnons tout de même que dans son communiqué, l’OLRA se réfère à l’expression « mâles blancs » et affirme qu’à l’inverse, le terme « femelles Noires » ne saurait être toléré. Sauf que ni la ministre ni la présidente de France Télévisions n’ont semble-t-il utilisé l’expression, et s’en sont tenues à celle d’ « hommes blancs de plus de 50 ans ». Emmanuel Macron, lui, n’avait en revanche pas hésité à utiliser ces mots au mois de mai lorsque Jean-Louis Borloo lui avait remis son plan banlieue.