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Blog - Page 472

  • Louis Aliot sur France 3

    Louis Aliot, tête de liste « Bleu Marine » aux élections régionales des 6 et 13 décembre 2015 en Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées, était l’invité du JT de 19/20 sur France 3 Midi-Pyrénées, ce jeudi 1er octobre 2015.

  • Syrie : des rebelles exhibent leurs lance-missiles américains (vidéo)

    http://www.levif.be/actualite/international/syrie-des-rebelles-exhibent-leurs-lance-missiles-americains-video/article-normal-24675.html?utm_source=Newsletter-02/10/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBDAGLV&M_BT=10384380009393

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  • "On préfère rentrer en Irak"

       

    02/10/15 à 11:02 - Mise à jour à 11:02

    Source : Le Vif

    Marwan, Hamed et d'autres migrants irakiens ont demandé le rapatriement volontaire. L'accueil des Belges a été extraordinaire, mais ils ne voient pas d'avenir dans le pays.

     

     

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    © Belga

    " L'accueil en Belgique a été extraordinaire. On a rencontré des personnes incroyables qui nous ont aidés tous les jours", assure Marwan, un Irakien arrivé en Belgique au début du mois de septembre. "Mais on a décidé de rentrer en Irak. Les conditions de vie ne sont pas celles qu'on avait imaginées en quittant notre pays ".

    Dans le petit cercle qui résiste encore au démantèlement des tentes du parc Maximilien, il n'y a pas que Marwan qui a fait ce choix. Hamed également et d'autres qui préfèrent ne pas donner leur nom. Après avoir été hébergés dans différents lieux d'accueil en Belgique où ils ont été secourus par l'élan de générosité de nombreux Belges, ils préfèrent néanmoins faire le choix d'un retour volontaire au pays. "Les délais d'attente pour avoir des papiers sont longs, il n'y a pas vraiment de travail ", explique Marwan, "retrouver une stabilité ici sera très difficile".

    Lorsqu'il a quitté Bagdad, Marwan pensait sincèrement qu'il trouverait tout de suite un travail et qu'il assurerait à ses enfants une éducation meilleure dans un plus grand respect humain. "A Bagdad il n'y a pas d'Etat de droit ", explique-t-il, "mais entre mourir ici loin de ma famille et mourir à Bagdad, je préfère encore mourir en Irak ". Comme pour se convaincre une dernière fois qu'il a fait le bon choix, Marwan montre la photo de ses filles sur son portable. "Ce sont mes filles, je ne peux les laisser seules là bas !".

    Dans la poche, Marwan, Hamed et les autres ont un document qui montre qu'ils ont fait une demande de rapatriement volontaire. A l'Office des Etrangers, la demande a été enregistrée. "Il faudra juste attendre votre tour ", leur a-t-on dit. Il ne reste donc plus qu'à... attendre, mais cette fois pour un trajet dans le sens inverse. "On aura perdu 6000 dollars ", reconnait Hamed, qui avait abandonné son poste de fonctionnaire à Bassora, ville située dans l'extrême sud de l'Irak pour se rendre en Europe, "j'ai raté ma chance, peut-être. J'ai perdu de l'argent certainement. J'ai fait un voyage de 9 jours pour venir jusqu'ici et j'ai l'impression d'avoir vécu 9 ans. Mais je ne regrette rien".

  • VIDEO - Dans quel monde vit-on ?

     
    Dans quel monde vit-on ?

    La vie privée est en danger la preuve !!!

    Posted by Kerim Guezguez on samedi 15 août 2015
  • La Russie crée une "arme aveuglante"

    Défense
    16:12 01.10.2015(mis à jour 16:32 01.10.2015) URL courte
    197281052

    La Marine russe recevra prochainement des équipements susceptibles de "neutraliser" les appareils d'observation et de pointage de l'ennemi afin de protéger ainsi les troupes effectuant des manœuvres de débarquement.

     

    Les bâtiments de guerre russes seront dotés de systèmes uniques en leur genre capables d'aveugler momentanément l'ennemi, a annoncé à l'agence Sputnik un porte-parole du Consortium uni de construction d'appareils de précision (OPK) qui a développé la nouvelle arme.

    Il s'agit d'un module destiné à protéger les navires militaires tant la nuit qu'à l'heure du crépuscule.

    Baptisé Gratch (nom russe du corbeau freux), ce "système servant à «aveugler» les effectifs et les appareils d'optique de l'ennemi permet de dissimuler les manœuvres de débarquement des troupes et de protéger le personnel et les navires contre les tirs de précision. Le nouveau matériel peut équiper les bâtiments de surface de 2e catégorie [déplacement: 2.500 à 5.000 tonnes, ndlr], y compris les navires de débarquement, les aéroglisseurs et différentes vedettes", a déclaré l'interlocuteur de l'agence.

    Selon lui, le système émet un rayonnement lumineux de grande intensité qui éblouit l'ennemi et l'empêche d'utiliser les appareils optiques et électroniques d'observation et de pointage. La station Gratch n'est efficace que lorsqu'il fait sombre.

    L'appareil peut également être utilisé comme projecteur puissant. De petites dimensions, il peut fonctionner sans interruption pendant plusieurs heures en consommant une faible quantité d'énergie.



    Lire la suite: http://fr.sputniknews.com/defense/20151001/1018524062/russie-marine-arme-aveuglante.html#ixzz3nMnCmalb

  • Poutine : l’information sur des victimes en Syrie est apparue avant le décollage des avions russes

    1 oct. 2015, 14:26

    Source: RIA NOVOSTI
           
     

    Les données sur les victimes présumées parmi les civils syriens causées par les raids aériens russes en Syrie sont apparues dans les médias avant même le début de leur première mission de combat, a déclaré le président russe Vladimir Poutine.

    Mais le chef d’Etat russe s’est dit prêt à de telles «attaques informationnelles» prétendant que la population civile souffre. Cependant, la Russie ne laisse pas ces provocations sans réponse : «Néanmoins, cela ne signifie pas que nous ne devons pas tendre l'oreille à de telles informations».

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    Pour le faire, la Russie établit des contacts entre ses services spéciaux, entre ses services et les services des Etats-Unis ainsi qu’entre les ministères de la Défense des deux pays.«Ce travail est en cours, j’espère qu’il aboutira à la création d’un mécanisme permanent», a fait savoir Vladimir Poutine en ajoutant qu'un tel centre a d'ores et déjà été créé à Bagdad par la Russie, la Syrie, l'Iran et l'Irak.

    En savoir plus : La Russie, l’Iran, l’Irak et la Syrie auraient créé un «centre d’information» pour combattre Daesh

    Pendant que les réseaux sociaux sont submergés de fausses photos de victimes, de désinformations et de données sans preuve sur ces victimes alléguées, le président russe souligne que «les autres pays portent des frappes sur le territoire syrien depuis déjà plus d’un an, sans résolution du Conseil de sécurité de l’ONU et sans demande appropriée de la part des autorités syriennes officielles».

    Des dizaines de vidéos et de photos qui montreraient les conséquences des bombardements russes de zones d'habitation en Syrie ont été diffusées sur Internet avant même l’annonce de frappes contre Daesh par Moscou.

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    La Russie estime que ce n’est qu’une guerre d’information et a appelé les médias et les responsables étrangers à vérifier soigneusement l’information avant de la tenir pour vraie. Le porte-parole du ministère russe des Affaires étrangères, Maria Zakharova a qualifié mercredi ces actions de «guerre informationnelle» et a souligné que «certains étaient bien préparés».

    Les frappes portées par la Russie ont touché 12 cibles appartenant à Daesh dès le début de la campagne aérienne russe. Selon le ministère russe de la Défense, les militaires syriens fournissent les données aux forces russes en Syrie et ces données sont vérifiées deux fois avant de porter une frappe.

     

     

     

  • Frappes russes en Syrie: Moscou balaie les accusations occidentales

    http://www.lefigaro.fr/international/2015/10/01/01003-20151001ARTFIG00211-les-frappes-russes-en-syrie-se-poursuivent-moscou-balaie-les-accusations-occidentales.php

    +INFOGRAPHIE

  • Communiqué de FN Sciences Po

      Communiqués / 1 octobre 2015 / Étiquettes :  

    Déjà première formation politique de France, et avant un succès historique annoncé aux régionales, le Front National fait une entrée fracassante à Sciences Po en devenant d’emblée la deuxième formation politique auprès des étudiants, devant le PS.
    Nous remercions tous les étudiants qui ont voté pour nous, ainsi que la direction de Sciences Po qui a déployé tous les moyens nécessaires pour que cette reconnaissance se passe au mieux.

  • La Suisse veut légiférer contre le port de la burqa

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    30/09/2015 – MONDE (NOVOpress)
    En Suisse, la droite conservatrice s’apprête à lancer une initiative pour interdire de cacher son visage dans l’espace public. En ligne de mire : la burqa. Les promoteurs de ce projet estiment que la Suisse servira d’exemple.

    L’UDC, parti de droite conservatrice, veut transposer au niveau national une initiative approuvée par le canton du Tessin. Le texte de l’initiative populaire prévoit que personne ne devrait avoir le droit de se couvrir le visage ou de le cacher dans l’espace public, dans des lieux accessibles à tous (exceptés les sites sacrés) ou utilisés pour offrir des prestations au public.
    Il serait aussi interdit d’obliger quelqu’un à se couvrir le visage en raison de son sexe. Des exceptions sont prévues pour des raisons sanitaires (masque médical), de sécurité (casque de moto), climatique (cagoule de ski) ou d’usage local (masque de carnaval). La loi d’application devrait être adoptée dans les deux ans.

    La Burqa, le niqab et les autres variantes du voile islamique sont visées par ce projet.
    Un sujet qui préoccupe les helvètes, puisqu’ne plus de ce projet d’initiative populaire, un autre texte, d’initiative parlementaire celui-ci, est déjà sur la table des députés, même s’il a peu de chances d’aboutir.
    Pour le conseiller d’État UDC valaisan Oskar Freysinger, membre du comité d’initiative, ce projet est une question de principe :

    Si l’on vit en Suisse, on exprime librement son opinion et on se parle à visage découvert, les yeux dans les yeux. Et la liberté des femmes, c’est aussi d’être les égales des hommes. Or le voile consacre une position de la femme où elle est dépendante et inférieure en droit de l’homme.

    Oskar Freysinger ajoute, à l’endroit de ceux qui s’inquiéteraient qu’un tel projet écorne la bonne image de la Suisse :

    Il faudrait tolérer l’esclavagisme d’une minorité masculine sur une majorité féminine ?! Je crois que la Suisse servira d’exemple avec un peuple qui s’exprime librement, et qui prend des décisions souveraines en parfaite adéquation avec la Cour européenne des Droits de l’Homme qui plus est. Je ne vois vraiment pas ce qui pourrait porter atteinte à l’image de la Suisse. Au contraire.

    Crédit photo : AsianMedia via Flickr (CC) = Burqa

  • Censure des messages anti-réfugiés sur Facebook : Merkel met la pression sur Zuckerberg

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    01/10/2015 – EUROPE (Bloomberg /FSM traduit par NOVOpress)
    La chancelière allemande Angela Merkel a confronté le Directeur général de Facebook, Mark Zuckerberg, sur la progression de son entreprise pour limiter les messages racistes, après que son gouvernement se soit plaint que le réseau social ne faisait pas assez pour sévir contre la récente explosion de messages xénophobes.

    Lors d’un déjeuner en marge du sommet de développement des Nations Unies à New York samedi dernier, Merkel et Zuckerberg ont été enregistrés en direct par une web radio diffusée sur le site de l’ONU.
    Après que Merkel a brièvement interrogé Zuckerberg sur le traitement des commentaires postés sur le réseau social et sur la façon de les censurer, le PDG de Facebook répond que « nous devons encore faire du travail » sur le sujet.
    « Vous travaillez sur ça ? » a insisté Merkel en anglais. « Ouais », a répondu Zuckerberg, avant que leur dialogue ne soit interrompu par de nouveaux arrivants.

    Plus tôt ce mois-ci, Facebook avait déjà indiqué qu’il devrait redoubler d’efforts pour cibler les contenus racistes sur son site allemand. La compagnie a déclaré le 14 septembre qu’ils s’associaient avec un chien de garde Internet allemand, un groupe à but non lucratif appelé Self-Monitoring Volontaire des fournisseurs de services multimédias, pour surveiller le contenu des messages considérés comme « haineux ». (NDLR L’objet de ce site de surveillance est de protéger les jeunes contre tout message qui pourrait les « désorienter sur un plan sexuel ou socioethnique ».)

    Les autorités allemandes sont aux prises avec la plus grande crise de réfugiés du pays depuis la Seconde Guerre mondiale, avec sans doute 1 million de personnes cherchant refuge contre la guerre et la pauvreté qui devraient entrer dans le pays cette année. Alors que beaucoup d’Allemands se sont précipités pour accueillir les nouveaux arrivants, cet envahissement subit a également stimulé une vague d’attaques contre les centres de réfugiés et de sentiment anti-étranger.

    « Nous sommes déterminés à collaborer étroitement avec le gouvernement allemand sur cette question importante », a réaffirmé par email Debbie Frost, un porte-parole de Facebook de Menlo Park, en Californie. « Nous pensons que les meilleures solutions pour traiter avec les gens racistes et postant des commentaires xénophobes peuvent être trouvées lorsque les fournisseurs de services, le gouvernement et la société civile travaillent tous ensemble pour relever ce défi commun. » (NDLR Facebook propose ce même type d’arrangement au gouvernement chinois pour les laisser s’installer dans ce grand pays.)

  • Allemagne : Une ancienne cadre de la STASI aidera le gouvernement à censurer l’opposition à l’immigration sur internet

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    Anette Kahane, ancien agent de la STASI, la police politique de RDA

    BREIZATAO – URZH BED-NEVEZ (28/09/2015) Le ministre de la justice allemand, Heiko Maas, a manifesté sa colère suite aux réactions d’hostilité de l’opinion publique allemande sur internet face au remplacement de population en cours. Le gouvernement allemand a en effet annoncé vouloir accueillir près d’un million d’immigrés musulmans pour la seule année 2015.

    Le ministre a donc envoyé une lettre au réseau social Facebook pour demander à ce dernier de censurer systématiquement les propos critiquant la position gouvernementale sur l’immigration.

    Il y a deux semaines, le réseau social a mandaté une délégation officielle au ministère de la justice allemand afin de discuter du plan défendu par ce dernier, à savoir la création d’équipes chargées de censurer les propos jugés politiquement déviants par l’Etat.

    “Le but est d’identifier les propos criminels” a déclaré Heiko Maas au journal Bild (source).

    Les membres des équipes sont désignés par le gouvernement et l’entreprise Facebook, mais l’organisation d’extrême-gauche liée à l’appareil sécuritaire allemand “Réseau contre les nazis” y participera également.

    Cette organisation a été fondée en 2007 par Antonio Amadeu Trust et est dirigée par  la cadre d'extrême-gauche  Anette Kahane. Celle-ci, de 1974 à 1982, a travaillé en tant qu’agent secret pour la Stasi (nom de code “Victoria”), la terrible police politique de l’Allemagne de l’Est communiste (source).

    Aujourd’hui, Anette Kahane est une cadre professionnelle de l’antiracisme d’état. L’année dernière sur la chaîne russe d’information Russia Today, elle déclarait que les pays d’Europe devaient accepter de voir leurs populations augmentées par les masses du tiers-monde islamique.

    L’ancien agent de la Stasi sera donc chargée de surveiller et de censurer Facebook.

    Vingt-cinq ans après la chute de la RDA, la population allemande se retrouve donc à nouveau étroitement surveillée par le gouvernement qui entend bien détruire toute forme d’opposition politique. Et emploie donc à cette fin d’anciens cadres de la police politique communiste.

    (source)

     

  • Abasourdis après la gifle de Poutine, les États-Unis sont à la recherche d'une stratégie

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    01/10/15 à 11:09 - Mise à jour à 11:11

    Source : Knack

    The Washington Post parle d'une "insulte". D'autres médias la qualifient de gifle. Des membres du gouvernement se montent abasourdis. Les États-Unis sont à la recherche d'une réponse aux bombardements russes en Syrie, qui d'après les sources américaines visaient surtout d'autres objectifs que l'EI.

     

    Vladimir Poutine et Barack Obama © REUTERS

    Selon des sources américaines, Poutine n'a pas seulement fait bombarder des cibles syriennes, il a aussi fait semblant de viser l'État islamique (selon les Américains), alors que son aviation touchait surtout d'autres opposants du régime syrien, dont certains sont armés et entraînés par les États-Unis. Si c'est déjà suffisamment grave, il y a aussi sa façon d'agir.

    Moins de deux jours après les "entretiens francs" entre les présidents Poutine et Obama, où ils ont discuté de la coordination des actions, et à de la grande ouverture mutuelle, les bombardements ont été communiqués de façon très peu orthodoxe à Washington.

    D'après la BBC, les événements ont eu lieu de la façon suivante: "Tout a commencé par un coup de téléphone d'un diplomate russe basé à Bagdad à un confrère américain. 'Nous avons quelque chose d'intéressant à raconter'. Un peu plus tard, un général russe trois étoiles quitte l'ambassade russe et se rend à l'ambassade américaine, où il demande à parler à l'attaché militaire. Il explique au militaire que les bombardements commencent dans une heure et que les Américains ont intérêt à quitter l'espace aérien syrien et évacuer tous les soldats au sol". Soixante minutes plus tard, les bombardements commencent effectivement.

    "De l'huile sur le feu"

    La presse américaine, qui se base sur des sources au sein du gouvernement, a d'abord réagi d'un ton assez modéré en parlant d'une aggravation du chaos. Le ministre des Affaires étrangères John Kerry a rapidement annoncé des entretiens de coordination entre militaires russes et américains tout en se montrant très inquiet. Le ministre de la Défense Ashton Carter a déclaré que les Russes avaient jeté de "l'huile sur le feu".

    Cependant, le ton s'est rapidement durci. Alors que les Russes annonçaient avoir mitraillé 20 cibles de l'EI, les analystes américains et les opposants syriens ont déclaré qu'il s'agissait de mensonges. The New York Times déclare que, d'après des blogueurs et des analystes, les images diffusées par les Russes de leurs attaques aériennes ne montraient pas les cibles de l'EI qu'ils prétendaient attaquer. The Washington Post cite plusieurs hauts fonctionnaires qui affirment que les Russes ont surtout bombardé d'autres opposants, et pas l'EI. "Parmi les opposants touchés, il y avait des unités entraînées et armées par la CIA".

    "De quel côté se trouvent les États-Unis ?"

    The New York Times écrit que les effets des bombardements sur les opposants syriens sont considérables même s'ils ont plus ou moins l'habitude de se faire mitrailler. Le quotidien donne la parole à Jamil Saleh, le leader d'une milice modérée soutenue par les États-Unis dans la province de Hama, qui comptait 8 blessés après ce qu'il décrit comme un bombardement russe. Le groupe a diffusé une vidéo de 2 chasseurs à réaction russes. Ensuite, la dénotation a été si forte que la caméra s'est éteinte. "Nous nous trouvons sur la ligne de front avec l'armée de Bachar el-Assad. Nous sommes des rebelles modérés sans liens avec l'EI. L'EI est situé à au moins 100 kilomètres d'ici".

    Le Times donne la parole à un activiste issu de Homs, où selon les sources de l'opposition, il y a eu 36 civils tués lors des bombardements russes. "La Russie est complice des crimes d'Assad qui peut nous tuer avec l'approbation des États-Unis et de la communauté internationale", estime l'activiste Khoodair Khusheif. "Je ne comprends vraiment pas comment un grand pays comme les États-Unis laisse la Russie bombarder la Syrie". D'après le journal, il s'agit d'une question récurrente en Syrie : de quel côté sont les États-Unis ?

    À en croire la BBC, Poutine développe une stratégie claire au Moyen-Orient. Il souhaite préserver son port en eau profonde dans la ville syrienne de Tartous. Il désire jouer un rôle au Moyen-Orient, garder Assad au pouvoir. Et dans cette perspective, l'opposition modérée constitue une cible au moins aussi légitime que l'EI. À présent, la question se pose : que font les États-Unis ?

    Lundi, dans son discours aux Nations Unies, Obama a déclaré: "Choisissez la coopération plutôt que le conflit. Ce n'est pas de la faiblesse, mais de la force".

    D'après la BBC, Poutine ne partage pas cet avis: "À présent, il semble que le gouvernement américain doit faire un choix: va-t-il risquer une confrontation avec les Russes ou acceptera-t-il qu'Assad reste où il est et pour longtemps? Ce ne sont pas des choix faciles".

    Il faudra que les États-Unis tranchent. Il y a en effet un groupe croissant de parlementaires et d'Américains qui ne comprennent plus la stratégie du gouvernement Obama.

  • Syrie : l'armée russe a déployé plus de 50 avions et hélicoptères, ainsi que des parachutistes et des unités de forces spéciales

    http://www.levif.be/actualite/international/syrie-l-armee-russe-a-deploye-plus-de-50-avions-et-helicopteres-ainsi-que-des-parachutistes-et-des-unites-de-forces-speciales/article-normal-425679.html?utm_source=Newsletter-01/10/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

     

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  • 10.000 personnes manifestent à Dresde avec PEGIDA contre l'immigration - Pas un mot dans les médias français...

    Lundi, le mouvement Pegida manifestait à nouveau à Dresde. Plus de 10.000 personnes avaient répondu à l’appel.
     Devant l’opéra de Dresde, la foule a écouté les discours dénonçant l’invasion migratoire, ainsi que la complicité des politiciens et des journalistes.

    Bien entendu, pas un mot dans les médias français. Pas plus que pour les gigantesques manifestations contre l’immigration en Pologne.

    L’information officielle doit uniquement vous apitoyer sur le sort de malheureux « réfugiés » et vous faire perdre toute envie de résister à ce torrent migratoire.

    Medias-Presse-Info

     

  • VIDEO - Axel Kahn: "au départ tous nos ancêtres étaient noirs..."

    http://www.fdesouche.com/653097-axel-kahn-au-depart-tous-nos-ancetres-etaient-noirs-puis-ils-ont-conquis-le-monde

    Biographie: https://fr.wikipedia.org/wiki/Axel_Kahn

     

     

  • Le gouvernement va baisser les APL pour compenser une partie des aides aux réfugiés

     

    13h44

    Le gouvernement prévoit de raboter le budget des aides personnalisées au logement pour compenser les dépenses pour l’accueil des réfugiés, notamment.

    Le ministère du Logement [NDLR : Sylvia Pinel, voir photo] va devoir économiser 225 millions d’euros sur les aides personnalisées au logement (APL), selon le projet de budget pour 2016 dévoilé mercredi.

    Ces mesures d’économies compenseront des dépenses supplémentaires prévues l’an prochain : 150 millions d’euros d’ »aides à la pierre » (subventions aux bailleurs sociaux pour la construction d’HLM) en plus, et 120 millions pour renforcer les capacités d’accueil des réfugiés, selon l’entourage de la ministre du Logement Sylvia Pinel.

    Les APL, très connues et octroyées sous conditions de ressources, sont aussi le principal poste de dépenses du ministère du Logement pour un montant de 15,5 milliards d’euros. Selon le projet de budget, elles seront rabotées de 225 millions en 2016 et de 314 millions en 2017 par trois mesures d’économies cibles. (…)

    Le Point

    Merci à guillemette