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Blog - Page 475

  • La pouponnière belge de Hitler

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    26/09/15 à 17:00 - Mise à jour à 25/09/15 à 16:16

    Source : Le Vif/l'express

    Pendant la dernière guerre, le château de Wégimont, près de Liège, a accueilli la maternité Ardennen. Une cinquantaine d'enfants nés de femmes de SS belges et allemands y ont vu le jour.

     

    © Reuters

    Comment fonctionnait cette fabrique d'enfants "aryens" ? Que sont devenues les chères têtes blondes de Hitler ? Retour sur cette histoire ahurissante tombée dans l'oubli.

     

    Bienvenue à Wégimont ! Le site Internet du domaine provincial liégeois vante ce haut lieu du tourisme familial, avec piscines, aires de jeu, parc, étangs de pêche, arborétum, camping et château aménagé en centre d'hébergement. Autant d'attractions qui drainent, chaque année, à la belle saison, des dizaines de milliers de visiteurs. Mais aucune mention, sur place comme sur le site Web, ne rappelle que le domaine a abrité, pendant la Seconde Guerre mondiale, un projet stupéfiant : la maternité SS Ardennen, la seule fabrique d'enfants "aryens" installée en Belgique.

    C'est pourtant là, en bordure du plateau de Herve, entre Liège et Verviers, que 40 à 50 bébés sont nés d'un père SS allemand, flamand ou wallon et de femmes majoritairement belges. C'est pourtant bien au pied de l'escalier monumental du château que ces bambins de la "race supérieure de Germains nordiques", destinés à constituer la future élite d'un Troisième Reich censé durer mille ans, ont été "baptisés" par le Sturmbannführer-SS Walter Lang, spécialiste des questions raciales et directeur de la maternité, ou par son adjoint, le Hauptmannführer-SS Pletsch, un invalide de guerre, borgne et estropié, chargé de l'administration du domaine de Wégimont.

    Nazisme, sexe et eugénisme

    Les filles-mères qui accouchaient dans l'anonymat au château pouvaient ainsi se soustraire au jugement moral de leur famille, du voisinage ou du prêtre. Les plus démunies voyaient dans l'"institution" la chance d'échapper à une maternité non désirée. Car le nourrisson illégitime pouvait être abandonné à la nurserie SS après douze semaines de séjour. Toutes les traces de son origine étaient alors effacées, y compris le nom des parents et le lieu de naissance. Seuls les responsables nazis connaissaient sa véritable ascendance, consignée dans un registre d'état civil confidentiel, qui n'a jamais été retrouvé. Seule importait l'apparence physique de ces "têtes blondes".

    Nés au château entre le printemps 1943 et l'été 1944, ces enfants "parfaits" sont aujourd'hui à l'âge de la retraite. La plupart d'entre eux se sont mariés, ont eu des enfants à leur tour, mais restent marqués par le sceau de leurs origines. Un secret qu'ils ont découvert sur le tard, le jour où une mère vieillissante a brisé le tabou. Ou lorsqu'ils ont pu, enfin, consulter leur dossier personnel à l'Assistance publique française, à partir des années 1990. Les enfants nés à Wégimont parlant en général le français, ils ont, en effet, été envoyés arbitrairement en France en 1946. Ces dernières années, quelques-uns sont partis à la recherche d'une mère, belge, et d'un père, en général allemand, a priori membre de l'Ordre noir de Heinrich Himmler, chef de la Gestapo, "architecte de la Solution finale" et fondateur des maternités SS.

    Vivants symboles de la Collaboration

    Toutefois, jusqu'aux années 1980, l'existence de l'organisation Lebensborn ("Fontaine de vie", en vieil allemand), la structure des nurseries SS, est largement considérée comme une rumeur en Allemagne. En 1985, Georg Lilienthal, un jeune historien spécialiste de l'eugénisme nazi, consacre une thèse au sujet, mais elle ne retient pas l'attention des journaux. Il faudra attendre sa réédition en collection de poche, en 1994, pour que la question émerge enfin sur la place publique.

    Certains des 9 000 SS-Kinder allemands sortent alors du silence. En Norvège, premier pays où les nazis ont exporté le projet à partir de 1942 - ils y ont ouvert une dizaine de centres, quelques-uns des 12 000 Tyskungar ("enfants de Boches", en norvégien) osent réclamer justice au tournant des années 2 000. Car ces vivants symboles de la collaboration ont été l'objet de sordides vengeances après la guerre.

    Un pan oublié de l'histoire

    La maternité SS de Wégimont, en Belgique, et celle de Lamorlaye, près de Chantilly, au nord de Paris, constituent l'autre pan, encore plus oublié, de cette histoire ahurissante. Un historien français, Marc Hillel, a consacré quelques pages à ces lieux fantômes dans Au nom de la race (1975). Mais le destin des gosses rapatriés en France après la guerre était à peine évoqué dans ce livre. L'auteur s'était surtout lancé sur la piste des responsables SS, toujours en vie à l'époque.

    Jugés en 1948 lors des procès de Nuremberg, quatre des chefs de file de l'organisation L (pour Lebensborn) ont été libérés à l'issue des audiences. Ils ont convaincu le tribunal que les maternités étaient une "£uvre de charité". Seule leur appartenance à la SS sera finalement sanctionnée. Le général Max Sollmann, administrateur en chef, le médecin-chef Gregor Ebner, un intime de Himmler, et Günther Tesch, directeur du département juridique, tous trois détenus depuis 1945, ont été relâchés, leur peine étant purgée. Inge Viermetz, l'assistante de Sollmann et première responsable de la maternité de Wégimont, elle, sera tout simplement acquittée. La nature criminelle de ce que les enfants des nurseries SS ont subi n'est donc pas établie au yeux des Alliés. En 1945, dans les décombres de l'Europe, ces orphelins sont quantité négligeable.

    La plupart des enfants du Lebensborn n'ont jamais retrouvé leurs parents naturels. Après la guerre, les petits ont été confiés à des services sociaux, placés dans des orphelinats, dans des familles d'accueil, en Allemagne, dans le pays d'origine de leur mère, et jusqu'au Canada ou en Australie. Certains ont été adoptés. Beaucoup se sont fait traiter, un jour ou l'autre, d'"enfant de la honte" ou de "sale Boche". Sans bien sûr pouvoir comprendre ce qui leur était reproché.

  • La pauvreté augmente chez les retraités: 39 000 retraités pauvres supplémentaires en 1 an

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    Publié par wikistrike.com sur 26 Septembre 2015, 08:28am

    Catégories : #Social - Société

    Aujourd’hui, dans les médias on vous dit que le taux de pauvreté recule en France. Mais c’est FAUX, avec les mêmes chiffres de l’INSEE, nous nous apercevons que la pauvreté augmente chez les plus âgés. Retenez bien un chiffre : en douze mois 39 000 retraités pauvres supplémentaires ! 7,9% des retraités sont pauvres soit 1 078 000 retraités  pauvres ! Le minimum vieillesse n’a pas été augmenté, les retraités sont gelées, les seniors qui arrivent à la retraite n’ont pas toujours des carrières complètes…tous ces facteurs font que les retraités se paupérisent…en silence…

    Les experts et les journalistes vont vous bassiner que le taux de pauvreté dans notre pays est passé en un an de 14,3% à 14%. Certes, la priorité des gouvernants a souvent été la jeunesse et dans cette tranche d’âge, la pauvreté diminue. Mais comment entendre et comprendre que de plus en plus de retraités sont pauvres. Voulons nous prendre comme exemple la Grèce, où le sort des plus vieux est dramatique ? Est-ce le modèle à suivre ?

    Chez les plus de 50 ans, le taux de pauvreté a augmenté de 2012 à 2013 de 0,3% passant à 9,5% de cette catégorie d’âge soit 101 000 personnes seniors pauvres supplémentaires. Quel gâchis et quel drame !

    Le taux de pauvreté chez les retraités avait baissé de 2010 à 2012 car le minimum vieillesse avait augmenté de 25% à l’époque. Mais là, avec le gel des retraites, des retraites complémentaires et de l’allocation de solidarité pour les personnes âgées, la situation des retraités va s’empirer. 

    Le 1er Octobre, normalement les retraités devraient être revalorisées mais attendons nous au pire. Il faut se préparer à une année supplémentaire de gel des retraites soit 42 mois consécutifs, d’avril 2013 à octobre 2016! C’est scandaleux !

    C’est dramatique, un pays qui ne s’occupe pas de ses anciens est un pays qui …se meurt.

  • L’ambassade de Hongrie remet à sa place SOS Racisme

    http://www.ndf.fr/nos-breves/26-09-2015/lambassade-de-hongrie-remet-a-sa-place-sos-racisme#.VgdIxJXouM8

  • Dans le ciel du matin

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    Marseille le 25 septembre 2015 à 7h30 du matin

    (Photos EB)

     

     

  • Élections régionales 2015 : Christian Estrosi victime d’un complot de l’Élysée au profit du FN ?

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    22h45

    Le candidat Les Républicains en PACA est « persuadé » que la victoire du FN dans la région et dans le Nord arrangerait l’Élysée.

     

    Chef de file Les Républicains pour les élections régionales en Provence-Alpes-Côte d’Azur, Christian Estrosi a pour adversaire le socialiste Christophe Castaner et la députée FN Marion Maréchal-Le Pen. Selon le député-maire de Nice, cette dernière serait par ailleurs favorisée… par l’Élysée. Dans une interview à La Provence, que rapporte Le Point, l’élu aurait en effet déclaré savoir « qu’une cellule a été mise en place par le Parti socialiste à l’Élysée pour faire gagner le Front national dans le nord et en PACA ».

    Une théorie auparavant énoncée par Le Canard Enchaîné dans son édition du 23 septembre indique le quotidien régional. Selon l’hebdomadaire, « certains amis de Cécile Duflot commencent à murmurer que Hollande (…) s’accommoderait d’une victoire du FN en PACA et dans le Nord-Pas-de-Calais, car elle montrerait la désunion de la gauche et lui permettrait de convaincre son camp d’être le seul candidat à la présidentielle ».

    (…) RTL

  • Rennes (35) : manifestation pour l’accueil de TOUS les migrants cet après-midi

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    21h49

    Ils étaient plus de mille manifestants à battre le pavé à Rennes ce samedi après-midi pour défendre l’accueil des migrants en Europe et rappeler la Déclaration universelle des Droits de l’homme.

     

    « Oui à l’accueil de tous les migrants, non aux murs qui les tuent » c’est le mot d’ordre inscrit sur la bannière derrière laquelle ils ont défilé. Plus de mille personnes se sont retrouvées ce samedi après-midi dans les rues de Rennes pour défendre l’accueil de tous les migrants en Europe et dénoncer les murs, barbelés, miradors, contrôles, armée auxquels ils sont confrontés, ainsi que tous les morts causés par cette immigration.

    La manifestation étaient organisée notamment à l’appel du Dal, l’association droit au logement, le Mouvement pour la Paix, le Mrap, le Secours catholique, la Fondation Abbé Pierre… Les partis politiques de gauche, NPA, Lutte Ouvrière et les Communistes étaient également représentés parmi les manifestants.

    Source

    Pauvres crêpes!

     

     

  • En 2014, 37,2% des nouveaux-nés en France étaient originaires essentiellement d’Afrique noire, d’Afrique du Nord …

    http://www.fdesouche.com/651585-drepanocytose-la-carte-du-grand-remplacement-mise-jour

  • Les États-Unis provoquent une nouvelle escalade nucléaire

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    Source : Russie politics
    En annonçant leur volonté de déployer en Allemagne des armes atomiques nouvelle génération, les États-Unis provoquent une rupture de l’équilibre des forces dans la région. La réaction russe est attendue et la réponse américaine est prête. Simplement, personne ne sait où cela va s’arrêter.

    Les médias allemands, la chaîne ZDF en tête, lâchent l’info qui surprend le pays entier : les États-Unis vont déployer très prochainement sur une base navale allemande des missiles nucléaires américains nouvelle génération, qui rompent la frontière entre armes tactiques et stratégiques.
    Cette décision surprenant d’autant plus que, même si des armes nucléaires américaines sont toujours sur le territoire allemand depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la décision avait été prise en 2009 de les faire sortir du pays. Le Parlement allemand ayant pris la décision que le pays ne serait pas en possession d’armes nucléaires. La décision n’a toutefois jamais été appliquée.
    Il semblerait que cela ne dérange pas les plans américains dans un pays souverain, car en fait ce pays, aussi fort et puissant semble-t-il vu depuis la France, n’est qu’un pion de plus dans un jeu qui le dépasse.

    Car la réaction attendue est celle de l’autre grande puissance, qui malheureusement n’est plus l’Europe et ne peut être l’UE. La Russie annonce que si une telle violation de l’équilibre des forces est réalisée par les États-Unis sur le territoire européen, dans ce cas, elle se doit de sortir du Traité sur les forces nucléaires à portée intermédiaire.

    Rappelant avec le réalisme brut qui est parfois le sien, que tout pays qui possède l’arme nucléaire risque une réponse nucléaire !
    Lire la suite

    NOVOPRESS

  • Syrie : l’engagement de la Russie et le fiasco des États-Unis

     

    Alors que l’a Russie officialise son aide à Damas, le programme de formation de rebelles « modérés » qui coûte 500 millions de dollars aux États-Unis est un échec cinglant.

  • Quand Pétain sauva l'or français

     

    Un documentaire (pourtant) de service public

    Comment la Banque de France, nationalisée depuis peu mais avec un statut toujours particulier, s’est organisée pour prendre de court les Allemands qui voulaient mettre la main sur l’or français.

     

    A voir absolument

     

     

  • Le plan d’action russe contre l’État islamique, lundi devant les Nations Unies

     

    Vladimir Poutine a accordé un entretien à la chaîne de télévision états-unienne CBS, à quelques jours de sa prise de parole devant l’Assemblée générale des Nations unies. Il a réitéré son soutien à Damas et indiqué sa position dans le règlement du conflit syrien :

    « Seuls les Syriens sont habilités à décider d’eux-mêmes qui doit gouverner leur pays et de quelle manière. Je suis profondément persuadé que des actions visant à détruire le gouvernement légitime déboucheront sur une situation similaire à celle connue par d’autres pays de la région en question ou d’autres régions comme la Libye, où les institutions publiques sont détruites. Il n’y a pas d’autre solution à la crise syrienne que de renforcer les institutions d’État en place et de les soutenir dans leur lutte contre le terrorisme tout en les poussant à dialoguer avec la partie saine de l’opposition et à mener des réformes. »

    Le président russe devrait renouveler sa proposition de mettre sur pied une large coalition de nations afin de vaincre l’État islamique. L’armée russe a déjà entrepris de muscler son dispositif sur le territoire de son allié syrien, au grand dam de Paris et Londres, qui voient d’un mauvais oeil ce déploiement d’hommes et de matériel. Le ministre des Affaires étrangères britannique, Philip Hammond, a même osé déclarer à ce sujet :

    « Le renforcement militaire russe complique la situation. Ce que les Russes cherchent n’est pas encore très clair. Nous en saurons peut-être davantage après le discours du président Vladimir Poutine devant l’Assemblée générale de l’ONU, lundi 28 septembre. Il y a deux défis différents en Syrie. D’abord la poursuite de la guerre civile et le châtiment que Bachar al-Assad inflige à son peuple. Ensuite la présence de l’État islamique. Nous essayons de gérer ces deux défis distincts. Les Russes affirment que le renforcement de leur base aérienne à Lattaquié est destiné à leur permettre de participer à la campagne contre l’Etat islamique. Mais leur présence, inévitablement, renforce Assad, et cela accroît leur responsabilité morale dans les crimes commis par son régime. »

    Même inquiétude pour la Maison-Blanche où Barack Obama doit s’entretenir avec Vladimir Poutine, en tête-à-tête, le 27 septembre prochain. Le président russe va tenter de convaincre son homologue états-unien de renoncer à vouloir évincer Bachar al-Assad du pouvoir et de s’appuyer sur l’Armée arabe syrienne pour combattre les combattants d’Abou Bakr al-Baghdadi.

  • VIDEO - A 12 ans, il fait sa rentrée à la fac de Perpignan

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    26 Sept. 2015, 15h51 | MAJ : 26 Sept. 2015, 16h19

     
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                                                          A 12 ans, Maximilian résout des problèmes de mathématiques de niveau universitaire.  Capture Radio&Télévision suisse.

    Quand ceux de son âge viennent de faire leur entrée en 5ème, lui est inscrit à l’université ! Maximilian Janisch, un Suisse de 12 ans, est entré cette semaine en maths à l’université de Perpignan, devenant ainsi le plus jeune étudiant de France, raconte l'Indépendant.

     



    Ce petit génie des maths n’en est pas à son coup d’essai : a dix ans, ce fils d’un professeur de mathématiques à la retraite et d’une doctorante en économie d’entreprise avait réussi l'épreuve de maths du baccalauréat suisse en obtenant la meilleure note du pays !

    Suite à cet exploit, le jeune garçon, qui déplorait alors de ne trouver personne pour parler d'Archimède ou du mathématicien du XIXème Gauss à la récré, avait intégré une classe pour lycéens surdoués à l’université de Zurich.  

    Des cours de niveau licence

    Maximilien est inscrit en France sous la forme d’un séjour linguistique d’un semestre. Un «séjour linguistique» qui n'est qu'un prétexte administratif puisque le garçon parle déjà trois langues (allemand, anglais et français). L’université de Perpignan a mis en place un programme spécial pour l’adolescent. Ce qui lui permettra de se perfectionner en «algèbre linéaire, structures algébriques et fonctions de plusieurs variables», explique Le Figaro.

    Puis il reprendra son cursus normal (voire ennuyeux pour ce jeune surdoué) dans son collège, tout en suivant des cours spéciaux de licence à l’université de Zurich. Il devrait passer son bac d’ici trois ans.

    LE PARISIEN

  • L’esprit critique survit - et même prospère - grâce à la blogosphère, refuge de l'information alternative.

     

    Réinfosphère contre médias de propagande : la grande bataille !

              
             

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    Pour la propagande médiatique, 2015 sera un grand cru. « Je suis Charlie », « PADAMALGAME » : 10 jours d’ahurissement en janvier ! « Je suis Aylan », accueillons les  « migrants » rebaptisés « réfugiés » : 10 jours d’ahurissement supplémentaire en septembre. En attendant l’affolement prochain des populations, en décembre, quand il faudra « sauver la démocratie » en Provence et dans le Nord après le premier tour des élections régionales. Car pour s’opposer au succès possible de Marion Maréchal Le Pen et Marine Le Pen les médias de l’oligarchie joueront à nouveau de la grosse caisse.

    Toutes les techniques de propagande sont mobilisées: diabolisation des uns, angélisation des autres, répétition, orchestration, sidération émotionnelle, unanimité obligatoire, novlangue. Et l’exercice permanent de la « pensée intimidante ».

    Avec un seul but : l’anéantissement de l’esprit critique.

    Malheureusement, l’esprit critique survit – et même prospère – grâce à la blogosphère, refuge de l’information alternative : c’est là qu’on a appris que le père d’Aylan ne fuyait pas la guerre (il a d’ailleurs enterré sa famille à Kobane en territoire syrien sous contrôle kurde) mais voulait aller au Canada se refaire les dents (selon les déclarations de sa sœur) ; reprenant des témoignages accordés à la télévision australienne, la blogosphère a aussi révélé que le père d’Alyan était passeur. Un brave passeur qui avait oublié de trouver un gilet de sauvetage… pour sa femme et ses enfants.

    Des révélations qui mettent à mal le conte de fée sur les malheureux « réfugiés » qui fuient la guerre (de jeunes hommes qui laissent souvent sur place femme, enfants et vieux parents). Les médias de propagande montrent les rares enfants. La blogosphère montre la réalité.

    Les médias officiels vivent très mal cette situation qui remet en cause leur monopole et par là même leurs mensonges. D’autant qu’ils constatent que les Français les croient de moins en moins.

    Ils ont donc recruté des armées de policiers du net chargés de traquer les tweets erronés ou approximatifs. De jeunes journalistes d’extrême gauche s’en sont fait une spécialité: les « décodeurs » (en fait les recodeurs) au Monde et le Lab d’Europe 1. Les grands médias audiovisuels font appel à eux comme « experts ». « Expert » : le mot fétiche des radios et des télévisions pour porter la parole officielle.

    Radios et télévisions du système multiplient aussi « les mises en garde » (sic) contre la réinfosphère et appellent leur public à ne faire confiance qu’aux médias officiels en « ne se basant que sur la presse et les vrais sites (re sic) pour la vérification des informations » selon LCI.

    Il y a un côté pathétique dans ces appels – ou plutôt ces rappels à l’ordre – d’organes médiatiques en perte totale de crédibilité.

    On les comprend ! Comme à la fin de l’ère secondaire les petits mammifères de la réinfosphère viendront à bout des gros dinosaures des médias de propagande ! L’enjeu est de taille : abattre le totalitarisme du XXI e siècle : le totalitarisme médiatique.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE

     

     

     

     

     

     

     

     

  • Les pauvres réfugiés jihadistes

    Deux meneurs des affrontements entre « réfugiés » et forces de l’ordre hongroises à la frontière entre la Hongrie et la Serbie ont été identifiés comme des terroristes, dit Valeurs actuelles. Un autre migrant a envoyé à la police des photos de l’un des deux. On le voit en Syrie brandissant une kalachnikov ou prenant un moment de repos au milieu d’un groupe de jihadistes. Il a été arrêté en possession de sept passeports, tous munis de visas Schengen. La police hongroise a découvert qu’il possède une maison à Chypre, un bateau, cinq voitures, et qu’il vient d’investir 90.000 euros dans la construction d’une nouvelle demeure…

    Viktor Orban a confirmé que la police avait arrêté plusieurs terroristes.

    Blog d'Yves Daoudal

  • L’afflux actuel de migrants en Europe est d’environ 8.000 par jour et ne devrait pas diminuer

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    1h13

    L’afflux actuel de migrants arrivant en Europe est d’environ 8.000 personnes par jour et ce nombre ne devrait pas diminuer, a estimé Amin Aouad, coordinateur régional du Haut Commissariat de l’Onu pour les réfugiés (HCR), vendredi.

     

    Le phénomène auquel on assiste pourrait n’être que « la partie émergée de l’iceberg », a-t-il ajouté.

    « Je ne vois pas cela diminuer. Je ne vois pas cela s’arrêter », a poursuivi Amin Aouad. « Tant qu’il n’y aura pas de solution pour la Syrie, tant qu’il n’y aura pas de stabilisation dans la situation des réfugiés dans les pays voisins, il faudra faire des efforts ».[...]

    Selon Dominik Bartsch, coordinateur adjoint de l’Onu pour les questions humanitaires en Irak, quelque 10 millions de personnes auront besoin d’une assistance humanitaire d’ici la fin de l’année dans ce pays où 3,2 millions de personnes ont été déplacées en raison de la guerre.[...]

    Source

  • Selon Berlin, un tiers des "demandeurs d'asile" sont de faux Syriens

    http://www.leparisien.fr/international/migrants-selon-berlin-un-tiers-des-demandeurs-d-asile-sont-de-faux-syriens-25-09-2015-5127221.php

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  • La présence des "visiteurs" russes ravit les Syriens de Lattaquié

    http://www.levif.be/actualite/international/la-presence-des-visiteurs-russes-ravit-les-syriens-de-lattaquie/article-normal-420629.html?utm_source=Newsletter-25/09/2015&utm_medium=Email&utm_campaign=Newsletter-RNBAVULV&M_BT=10384380009393

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  • Poutine : "ne m'appelez pas le tsar"

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    24/09/15 à 19:48 - Mise à jour à 19:53

    Source : Belga

    Le président russe Vladimir Poutine ne veut pas qu'on l'appelle le "tsar", dit-il dans une interview à la chaîne américaine CBS. Lundi aura lieu une rencontre officielle entre Poutine et Obama. Cela n'était plus arrivé depuis 2 ans.

     

    © Reuters

    "Comme vous le savez, certains vous appellent un tsar (...) Ce nom vous convient-il ?", demande le journaliste Charlie Rose au chef du Kremlin, selon l'extrait de cet entretien à l'émission 60 Minutes. "Non cela ne me va pas", lui répond le président Poutine.

    "La manière dont on me désigne n'a pas d'importance, qu'il s'agisse de supporteurs, d'amis ou d'opposants politiques. Ce qui est important, c'est ce que vous pensez de vous, ce que vous devez faire pour l'intérêt du pays qui vous a fait confiance en vous plaçant à la tête de l'Etat russe", a expliqué Vladimir Poutine. Interrogé encore par CBS sur ce qu'il "admire le plus à propos de l'Amérique", le président Poutine répond "la créativité". "La créativité lorsqu'il s'agit de régler vos problèmes", poursuit le chef de l'Etat russe qui loue également "l'ouverture d'esprit" des Américains et leurs "résultats incroyables dans le développement de leur pays". L'intégralité de cet entretien à CBS doit être diffusée dimanche, à la veille de la venue du président russe à New York pour l'Assemblée générale annuelle de l'ONU.

    Rencontre officielle Poutine-Obama lundi

    Le président Vladimir Poutine rencontrera donc lundi son homologue américain Barack Obama à New York, où les deux chefs d'Etat doivent prononcer un discours devant l'Assemblée générale annuelle de l'ONU, a annoncé jeudi le Kremlin. Un responsable américain a confirmé la rencontre entre les deux dirigeants, en soulignant qu'il serait "irresponsable" de rejeter le dialogue avec Moscou face à la situation en Ukraine et en Syrie. Il a précisé qu'elle avait été organisée "à la demande du président Poutine".

    Il s'agit de la première rencontre officielle entre les deux hommes depuis un entretien bilatéral en juin 2013 en Irlande du nord lors d'un G8. Depuis, l'affaire Snowden et surtout la crise ukrainienne ont empêché toute rencontre officielle entre les deux présidents. Ils se sont toutefois entretenus régulièrement au téléphone et ont échangé quelques mots en marge d'événements comme le 70e anniversaire du Débarquement allié en Normandie le 6 juin 2014. "Nous nous sommes mis d'accord pour un entretien avec Obama", a déclaré le porte-parole du Kremlin Dmitri Peskov aux agences de presse russes. Cette rencontre, prévue lundi, aura lieu car rejeter le dialogue avec Moscou serait "irresponsable" face à la situation en Ukraine et en Syrie, a estimé jeudi un responsable américain, en affirmant que la rencontre avait été calée à la demande de la partie russe. Cette rencontre interviendra après le discours du chef de l'Etat russe à l'Assemblée générale de l'ONU.

    Vladimir Poutine vient à New York pour promouvoir son plan pour la Syrie, notamment pour bâtir une coalition élargie, comprenant l'armée de Bachar al-Assad, pour combattre le groupe Etat islamique. Depuis plus d'une semaine, l'activisme de Moscou en Syrie, diplomatique mais surtout, selon Washington, militaire, suscite l'inquiétude des Occidentaux. Les Etats-Unis estiment que Moscou, principal allié du régime de Damas, accroît son soutien à la Syrie en livrant à celui-ci de nouvelles armes. Mais surtout, les Américains s'inquiètent d'un déploiement d'avions, de tanks et de militaires russes dans le nord de la Syrie.

    Moscou dément toute recrudescence militaire, tout en admettant soutenir Damas dans sa lutte contre les djihadistes de l'organisation Etat islamique (EI) et lui livrer des armes, conformément aux contrats existants conclus avec le président Bachar al-Assad. L'armée syrienne a utilisé pour la première fois mercredi des drones fournis par la Russie, a affirmé une source de sécurité à Damas, sans donner davantage de précisions. Au cours de son discours à l'ONU lundi, le premier en une décennie, le président russe devrait consacrer une grande partie de son exposé à la Syrie, estiment les experts. "Pour le moment, le programme de Vladimir Poutine à New York se présente ainsi: il atterrit, il écoute les discours de ses collègues, il fait le sien, ensuite il s'entretient le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon", a précisé M. Peskov. "Puis il rencontre M. Abe et M. Obama".