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"Il faut protéger les honnêtes gens et sanctionner les crapules. Ce genre d'individus, il faut leur couper la tête, il faut rétablir la peine de mort pour ces salauds !"
Une étudiante aixoise de 21 ans mortellement poignardée à Marseille
Une étudiante aixoise âgée de 21 ans a été tuée au thorax dimanche soir par un homme qui aurait tenté de lui voler son téléphone portable.
francebleu.fr
1 168 personnes parlent à ce sujet
[…] L’agression a eu lieu à proximité de l’entrée du métro. Sitôt l’alerte donnée par des passants, les secours ont immédiatement pris en charge la victime. Transportée dans un état critique aux urgences, la jeune femme n’a pas survécu à ses blessures.
Selon une source proche de l’enquête confiée à la police judiciaire de Marseille, l’étudiante aurait été abordée par un individu cagoulé qui aurait tenté de lui dérober son téléphone portable.
[…]
Un drame qui rappelle la mort de Jérémie Labrousse. Cet étudiant vosgien avait également été mortellement poignardé en août 2013 par un individu près de la gare Saint-Charles
Le 7 mars mourait un penseur français inconnu du grand public : Guillaume Faye. Il n’avait pas 70 ans. Il sera enterré le 13 mars en région poitevine. Nul doute qu’on le classera (les Français ont absolument besoin de mettre une étiquette sur tout et tout le monde) dans les années à venir dans la catégorie des auteurs maudits, de génie mais maudits.
C’était un météore, brûlant sa vie de mille feux. Un météore est un corps céleste qui ne touche jamais terre et qui disparaît en se consumant.
Issu de la grande bourgeoisie, il en rejettera très vite les « idéaux conformistes et matérialistes », comme il le disait lui-même. Dès lors, sa vie sera continuellement en butte aux jalousies et injonctions de rentrer dans le rang ; « les braves gens n’aiment pas que l’on suive une autre route qu’eux », chantait Georges Brassens. Il faut dire que Guillaume Faye n’a rien épargné aux bourgeois et aux censeurs ; il avait le sens inné de la provocation ; il l’avait revendiqué lors de sa dernière apparition télévisée : « Vous me reprochez mes provocations, mais je suis là pour provoquer » ; Guillaume Faye était un messager des forces divines dont la mission consistait à réveiller les esprits européens ramollis par des années de repentance imposée ; il avait créé un terme pour définir cette démission : « l’ethnomasochisme ».
Il était un orateur brillant et passionné, dont le discours souvent improvisé était marqué par des fulgurances géniales qu’il découvrait en même temps que le public et dont il s’émerveillait lui-même. Cette capacité de réinventer le monde à chaque instant, de s’adapter à ses aléas et de s’insérer harmonieusement à son mouvement perpétuel constitue l’un des grands caractères de la culture celte dont Jean Markale avait si bien perçu les contours. Guillaume Faye était né à Angoulême, en pays charentais, pays des Santons et des Pétrocores.
Il n’en allait pas autrement avec la rédaction de ses livres ; sa pensée suivait très exactement l’évolution de la situation et il réagissait comme un général sur un champ de bataille qui maîtrise l’ensemble des paramètres minute après minute et qui prend des décisions que la plupart de ses subordonnés ne comprennent pas. Ses lecteurs ont souvent été désarçonnés par ce qu’ils croyaient être des revirements ; il n’en était rien ; Guillaume Faye se portait à l’assaut exactement là où les défenses faiblissaient et avaient besoin de renfort.
Guillaume Faye s’est constamment battu pour une renaissance européenne, pour la culture, le génie et le patrimoine européens patiemment forgés tout au long des millénaires ; son combat n’était pas lié aux contingences nationales mais à la pérennité de l’Europe dont les peuples constituaient les diverses facettes d’un substrat commun. Il avait repris, pour mener à bien cette mission, la maxime de La Rochefoucauld : « Fais ce que dois, advienne que pourra ».
Comme tous les hommes hors du commun, Guillaume était un homme simple, complètement dépourvu de vanité, il ne se prenait jamais au sérieux – son sens de l’humour et ses blagues étaient devenus légendaires -, mais il affirmait avec force et persuasion ses convictions qu’on pouvait ne pas complètement partager.
Guillaume Faye ne se définissait pas comme un intellectuel ou un philosophe, il était le porteur, le messager, modeste mais talentueux, d’une cause qu’il avait à cœur de défendre ; il n’était pas plus un « rebelle », qualificatif souvent revendiqué – sans grand danger – par des bien-pensants velléitaires. On le définirait plutôt comme un conservateur-révolutionnaire dont – autre terme qu’il a inventé – le concept « d’archéofuturisme » pouvait représenter la singularité.
Il restera pour ses amis le généreux et jovial compagnon dont ils auront essayé de préserver, tant bien que mal, la fragile mais flamboyante destinée.
Déluge de haine de la part de manifestants Algériens face aux jeunes Identitaires Lorrains à cause de leur banderole "Ici c'est #Nancy, pas l'Algérie" !
Le syndicat mixte Baie de Somme-Grand littoral picard a dû modifier le règlement de son équipement aquatique situé à Quend-Fort-Mahon, l’Aquaclub de Belle Dune, afin d’accueillir les femmes vêtues de burkini.
La décision fait suite à un incident survenu le 16 août 2016. Deux clientes se présentent à l’Aquaclub de Belle Dune dans le cadre d’un séjour au village Pierre et Vacances. « Les deux femmes ont montré un maillot de bain intégral, une tenue qui n’était pas autorisée à l’époque pour des raisons d’hygiène », explique le directeur de la structure, Éric Balédent.
C’était la première fois qu’une demande de ce type a été formulée et il n’y en a pas eu d’autres depuis. « Les clientes ont pris cela pour de la discrimination, mais il n’en est rien. Nous accueillons tout type de publics. D’autres demandes ont été refusées comme l’utilisation de combinaison de plongée, de venir surveiller des enfants, habillé au bord du bassin, les shorts de bains pour les hommes… Il est précisé au règlement que toute tenue habillée est refusée, et pas précisément un burkini. C’est toujours une question d’hygiène », poursuit le directeur.
L’une des deux femmes a néanmoins saisi le Défenseur des droits, estimant « avoir été victime de discrimination fondée sur sa religion ». Cette autorité administrative indépendante, créée par la révision constitutionnelle de 2008, veille au respect des lois et des libertés. Après étude du dossier, le Défenseur des droits a assigné le Syndicat mixte, concluant que « le refus d’accès opposé aux deux dames fondé sur le port du burkini caractérise une discrimination fondée sur la religion et le genre au sens des articles 8 et 9 de la Convention Européenne des droits de l’Homme ».
La plaignante avait quitté son lieu de vacances plus tôt que prévu, parce qu’elle ne pouvait pas accompagner ses enfants à l’Aquaclub. « Elle a déjà obtenu le remboursement des nuitées non effectuées par le groupe Pierre et Vacances mais estime que l’indemnisation ne couvre ni les frais engagés pour rentrer précipitamment, ni le préjudice moral subi par elle-même et ses enfants »,explique le président du Syndicat mixte Stéphane Haussoulier.
Compte tenu du risque d’être poursuivi devant le tribunal correctionnel et d’une jurisprudence donnant droit à la plaignante à une indemnisation de 1000 euros, les élus du Syndicat mixte ont considéré la requête du Défenseur des droits et décidé de modifier le règlement de l’Aquaclub. Une indemnisation de 300 euros sera également proposée à la plaignante.
Cette décision a donné lieu à un débat entre les élus, mercredi en conseil syndical. Delphine Damis-Fricourt, conseillère départementale de Gamaches, défend le droit de la femme « pour les rares qui portent le burkini, c’est leur tenue de bain, pas du jour ! » Alain Baillet, maire de Fort-Mahon-plage, n’est pas d’accord : « Il y a en a eu sur la plage l’année dernière, ça a fait peur aux gamins ! Je vote pour parce qu’il le faut, mais ça va faire fuir d’autres clients. » La délibération a été votée avec deux voix contre et six abstentions. « On refuse le short et là on accepte cette tenue, ça m’embête », note Jean-Yves Blondin, maire de Lanchères. Michel Boutin, maire de Boismont trouve « incroyable de pouvoir débattre de ça alors que c’est un vêtement ostentatoire de la religion musulmane ».Le short de bains pour les hommes reste bien interdit.
« Etam est une entreprise engagée en faveur de la diversité́ et de l’inclusion et s’oppose fermement à toute forme de discrimination » >>> [lire la suite]
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« Etam est une entreprise engagée en faveur de la diversité́ et de l’inclusion et s’oppose fermement à toute forme de discrimination » >>> [lire la suite]
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Ce ne sont pas les seuls dégâts relevés dans la cathédrale. Ce mardi, on a découvert que deux vitraux avaient été brisés. Il s’agit de deux éléments de la rose sud, qui fait actuellement l’objet d’une restauration. Deux serrures ont également été forcées.
Ce ne sont pas les seuls dégâts relevés dans la cathédrale. Ce mardi, on a découvert que deux vitraux avaient été brisés. Il s’agit de deux éléments de la rose sud, qui fait actuellement l’objet d’une restauration. Deux serrures ont également été forcées.
Des chercheurs de NRW [Rhénanie-du-Nord-Westphalie] recherchent des dons de sang pour des migrants
*On recherche des donneurs originaires d’Afrique et du Proche-Orient
*De nombreux migrants ne supportent pas le sang européen [Littéralement : Souvent les migrants ne supportent pas les réserves de sang européen]
*Des recherches sont en cours sur les particularités du sang dans les différentes ethnies
Elizabeth Y. de Mettmann appelle publiquement à l’aide. Son fils a une maladie du sang qui met sa vie en danger. Seul un don de cellules souches peut l’aider. Mais le sang européen provoque souvent chez les migrants et réfugiés d’Afrique ou des pays arabes des réactions de rejet avec de graves conséquences pour la santé, pouvant aller jusqu’à la mort.
Un projet de recherche unique en son genre en Allemagne
Le docteur Thomas Zeiler, qui dirige le centre Ouest de transfusion sanguine de la Croix-Rouge allemande à Ratingen, a lancé pour cette raison un projet de recherche de concert avec les hôpitaux universitaires de Düsseldorf et de Essen, ainsi qu’avec l’association Caritas. Il porte le nom de « Blustar.NRW » . Sont recherchés des donneurs de sang et de cellules souches venant des pays africains, mais aussi du Proche et du Moyen-Orient, ainsi que de Turquie.
Subventionné par l’UE
C’est justement avec des patients qui ont immigré ces dernières années qu’on rencontre des difficultés au niveau des soins. Dans le même temps, grâce à ce projet subventionné par l’Union européenne, les recherches doivent être poursuivies sur les propriétés différentes du sang et des cellules souches dans les différentes ethnies.
Les migrants ayant des racines extra-européennes appelés à donner leur sang
C’est pourquoi, grâce à une campagne de communication à grande échelle réalisée en plusieurs langues, tous les partenaires s’adressent aux immigrés ayant des racines extra-européennes. Ils sont invités à faire établir leur profil de donneurs de sang ou de cellules souches pour aider les personnes ayant des origines ethniques particulières.
[Info-Migrants n’a pas apprécié cet article de la WDR. C’est, bien sûr, son droit. Mais accuser Fdesouche, qui n’a fait que le traduire, de diffuser une „infox“, de „biaiser“ et de „détourner“, c’est tout simplement malhonnête.]
« Fin février, le site d’extrême-droite Fdesouche a publié un article intitulé « Allemagne : de nombreux migrants ne supportent pas le sang européen ». Selon le texte truffé d’erreurs et d’approximations, les migrants et réfugiés originaires d’Afrique ou du Moyen-Orient présenteraient « une réaction de rejet avec de graves conséquences sur la santé » lorsqu’ils sont transfusés avec du sang de personnes européennes.
[…]
Comme bien souvent, l’infox de Fdsouche part donc d’une véritable information que le site a biaisée et détournéepour nourrir des préjugés racistes. »
Le président algérien Abdelaziz Bouteflika, confronté depuis deux semaines à une contestation inédite en 20 ans de pouvoir, a annoncé lundi renoncer à briguer un 5e mandat et le report sine die de la présidentielle prévue le 18 avril.
Le président Bouteflika avait regagné l'Algérie dimanche, à l'issue de deux semaines d'hospitalisation en Suisse pour des "examens médicaux".
Dans un message à la nation publié par l'agence officielle APS, il précise lundi que la présidentielle aura lieu "dans le prolongement" d'une conférence nationale" chargée de réformer le système politique et d'élaborer un projet de Constitution d'ici fin 2019.
En s'engageant dans ce texte "à remettre les charges et les prérogatives de président de la République au successeur que le peuple algérien aura librement élu", M. Bouteflika indique implicitement qu'il restera chef de l'Etat à l'expiration de son mandat le 28 avril 2019.
"Il n'y aura pas de cinquième mandat et il n'en a jamais été question pour moi, mon état de santé et mon âge ne m'assignant comme ultime devoir envers le peuple algérien que la contribution à l'assise des fondations d'une nouvelle République", déclare M. Bouteflika dans ce texte.
"Il n'y aura pas d'élection présidentielle le 18 avril prochain", poursuit le président algérien disant ainsi "satisfaire une demande pressante que vous (Algériens) avez été nombreux à m'adresser".
La prochaine présidentielle "aura lieu dans le prolongement de la conférence nationale inclusive et indépendante (...) équitablement représentative de la société algérienne comme des sensibilités qui la parcourent" qui "devra s'efforcer de compléter son mandat avant la fin de l'année 2019", ajoute M. Bouteflika.
De nombreux klaxons commençaient à résonner lundi en début de soirée dans le centre d'Alger.
NdB: Allez maintenant, retour en Algérie, votre vrai pays!
Condé-sur-Sarthe : une conséquence de la soumission à la CEDH On le sait depuis longtemps : armes, téléphones portables et drogue circulent dans des prisons françaises devenues des centres de radicalisation islamiste. Or malgré cette situation alarmante, les juges de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH), qui siègent à Strasbourg, continuent leur travail de sape contre notre institution pénitentiaire. Depuis 1981, suite à une décision de Robert Badinter, la CEDH permet en effet à des criminels en détention de poursuivre la France pour non-respect de la sacro-sainte Convention européenne des Droits de l’Homme. A l’heure actuelle, on compte une quarantaine de procédures en cours visant les conditions de détention dans les prisons françaises : on y infligerait aux plaignants des « traitements inhumains ou dégradants ». « Les repas sont servis tièdes, parfois froids » déclarait récemment au Monde l’avocat d’un de ces détenus mécontents. Rendez-vous compte ! Pourtant, alors qu’il ne devrait y avoir que des parloirs sans contact possible, les détenus ont accès à des « unités de vie familiale » depuis 2009 (merci Sarkozy !). C’est dans un de ces appartements tout confort que Michaël Ciolo, assassin converti à l’islam et radicalisé en détention, a pu être rejoint par sa compagne... et récupérer le couteau avec lequel il a agressé ensuite deux gardiens de la prison de Condé-sur-Sarthe... les fouilles au corps ayant été pratiquement interdites par la CEDH. Dès juin 2017, Macron s’était empressé de recevoir à l’Élysée le président de la CEDH, avant de rendre une « visite de soutien » aux juges de Strasbourg en octobre de la même année, ce qu’aucun président de la République n’avait fait jusque-là. Pire, en avril 2018, Emmanuel Macron et Nicole Belloubet, dignes héritiers de François Hollande et Christiane Taubira, ont ratifié un texte qui, signé en 2013, renforce encore les pouvoirs de la CEDH. Ce qui s’est passé à la prison de Condé-sur-Sarthe n’est donc pas une simple « défaillance », mais bien le résultat de la soumission au droit-de-l’hommisme de la CEDH.
La stèle marquant l'emplacement de l'ancienne synagogue de Strasbourg, détruite par les nazis, a été heurtée accidentellement le week-end dernier par un automobiliste, sans qu'il ne s'agisse d'un acte antisémite.
"En faisant marche arrière, la personne, client d'une boîte de nuit à côté, a heurté la stèle", a indiqué jeudi à l'AFP une source proche de l'enquête, confirmant une information des Dernières nouvelles d'Alsace (DNA).
Samedi matin, cette stèle commémorative, pesant 1,6 tonne, avait été retrouvée renversée, entraînant une vague d'indignations dans un contexte général de recrudescence d'actes antisémites.
L'examen des vidéosurveillances de cette zone du centre-ville de Strasbourg, où se trouvent de nombreux commerces, et l'audition de différents témoins ont permis à la Sûreté départementale d'identifier l'automobiliste, un homme de 31 ans.
Il a été placé en garde à vue mercredi, puis remis en liberté jeudi soir par le parquet de Strasbourg. Il est convoqué devant la justice en juin pour "défaut de maîtrise du véhicule" et "délit de fuite".
"A ce stade, aucun caractère antisémite n'a été retenu", a indiqué cette source proche de l'enquête.
L'automobiliste et ses passagers ont expliqué avoir oublié des affaires dans la boîte de nuit dont ils sortaient, et avoir fait marche arrière pour se garer au plus près de l'établissement. L'un des passagers dit avoir entendu un choc.
"La voiture présente des traces sur l'attelage à l'arrière, qui peuvent correspondre au choc sur la stèle", a-t-on expliqué de même source.
"Il y a un enchaînement logique et cohérent", a-t-on ajouté.
- Rasée par les nazis -
Souvenir de l'ancienne synagogue, la stèle a été installée en 1976 et porte l'inscription: "Ici s'élevait depuis 1898 la synagogue de Strasbourg, incendiée et rasée par les nazis le 12 septembre 1940", lorsque l'Alsace venait d'être annexée par le IIIe Reich. Les décombres de la synagogue avaient été dynamités l'année suivante. Une nouvelle "Synagogue de la Paix" a été inaugurée en mars 1958.
Après la découverte par un passant de la stèle couchée à côté de sa base en béton samedi matin, la police avait ouvert une enquête "explor(ant) toutes les pistes afin de déterminer l'origine intentionnelle ou accidentelle de l'événement", ainsi que son caractère antisémite ou non, avait indiqué samedi une source proche du dossier.
Rapidement, de nombreuses réactions indignées se sont fait entendre, avec des condamnations en France et à l'étranger, y voyant une nouvelle manifestation d'un antisémitisme violent et haineux.
Dans l'attente des conclusions de l'enquête, le Consistoire israélite du Bas-Rhin s'était dit "consterné par la dégradation de cette stèle (...), que ce soit intentionnel ou non".
L'Alsace a été le terrain récemment de plusieurs actes antisémites: dans le cimetière juif de Quatzenheim, au nord-ouest de Strasbourg, 96 tombes avaient été recouvertes de croix gammées, et celui de Herrlisheim, au nord-est de la ville, avait été souillé de graffitis antisémites le 11 décembre, jour de l'attentat du Marché de Noël de Strasbourg.
Lundi, des écrits à caractère antisémite ont été retrouvés devant l'entrée du personnel d'une école maternelle publique de Strasbourg et des croix gammées ont été dessinées sur les murs d'une ancienne synagogue de Mommenheim (Bas-Rhin), devenue une salle d'activités gérée par la commune.
D'après des travaux Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, l'approbation de l'action du chef de l'État recule de trois points.
Le grand débat n’est pas encore terminé que, déjà, Emmanuel Macron n’en récolte plus les fruits. Selon ce qu’indique le dernier tableau de bord Ifop-Fiducial pour Paris Match et Sud Radio, 31% des Français approuvent son action, soit une baisse de trois points.
En baisse chez les sympathisants LR
Si son électorat du premier tour de la présidentiel continue de se remobiliser (72%, + 9 points), Paris Match indique que la baisse est nette chez les personnes de plus de 65 ans (30%, -12 points) et les retraités (30%, -13 points). De la même manière, l’inversion se fait aussi chez les sympathisants Les Républicains (30%, -17 points).
Autre révélation de ces travaux : le « grand débat national » n’est plus l’un des principaux sujets de conversation des Français (32%, -18 points), tandis que les « gilets jaunes » sont un thème cité par 67% des personnes interrogées. A noter également que 46% des sondés (-8 points) estiment que le président « ne défend pas bien les intérêts de la France à l’étranger », écrit Paris Match, précisant qu’il s’agit « peut-être d’un effet de sa discrétion sur deux dossiers : le retour des djihadistes français et la situation en Algérie. »
C’est une prison qui n’a jamais été remplie(…) On a mis de l’argent pour désécuriser cet établissement(…) on a une prison qui est à moitié vide(…) On a même des détenus qui refusent de quitter Condé-sur-Sarthe tellement ils y sont bien
Emmanuel Baudin – Secrétaire Général du Syndicat National Pénitentiaire F.O.
La compagne du détenu qui a poignardé deux surveillants de prison est décédée dans l’assaut du RAID. L’auteur de l’attaque, Michaël C., a pour sa part été blessé lors de l’intervention des forces de l’ordre.
« L’intervention du Raid est en cours » à la prison d’Alençon-Condé, ont indiqué des sources concordantes à l’Agence France presse.
Le secrétaire national de Force ouvrière, Emmanuel Guimaraes, a confirmé qu’il « y avait bien deux couteaux en céramique ». La compagne de Michaël Chiolo est « celle qui a donné les coups en premier », poursuit-il. Lors de l’attaque, le couple aurait crié « Vous êtes des mécréants, vous allez mourir ».
Le profil du détenu qui s’est retranché dans la prison de Condé-sur-Sarthe après avoir gravement blessé deux surveillants est particulièrement inquiétant. L’homme purge actuellement une longue peine pour séquestration, torture et meurtre.
Converti à l’islam depuis 2010, il s’est distingué en 2015 en criant « Bataclan » dans la cour de promenade de la prison et en mimant les attentats qui avaient endeuillé la France le 13 novembre 2015. Il a écopé d’un an de prison pour apologie d’actes terroristes avant d’être transféré à Condé-sur-Sarthe.
Mickaël C., un détenu radicalisé, a donné plusieurs coups de couteau à deux surveillants de la prison d’Alençon-Condé-sur-Sarthe (Orne) ce mardi 5 mars. L’agression s’est déroulée dans une unité de vie familiale, où il venait de passer le week-end avec sa compagne, et où il est toujours retranché. Le Raid est sur place.
La compagne du détenu aurait introduit en détention l’arme de l’agression, un couteau en céramique. « La céramique ne sonne pas au portique. Enceinte, elle n’a pas été fouillée », explique Force ouvrière. Le syndicat indique également qu’elle aurait participé à l’agression sur l’un des surveillants.
Selon nos informations, le surveillant le plus gravement touché serait stabilisé mais souffrirait de deux grosses plaies au torse. Les deux poumons seraient perforés. Il aurait perdu beaucoup de sang. Il était en urgence vitale absolue ce matin #prison#alenconcondé
Depuis 9h45, le détenu est retranché avec sa compagne, Hanane A. et inconnue des services de police, dans une unité de vie familiale (UVF). Selon nos informations, cette dernière est enceinte. L’assaillant dit par ailleurs être en possession d’une ceinture d’explosifs, ce que personne n’a pu vérifier.
« Le caractère terroriste de cette attaque ne fait aucun doute », a déclaré la ministre de la Justice, à propos de la situation à la prison de Condé-sur-Sarthe.
Selon plusieurs médias, le détenu a agressé les surveillants en criant « Allah Akbar ».
« Il y avait du sang partout, c’était une scène de boucherie. Nous avons dû les maintenir éveillés pour qu’ils ne perdent pas connaissance« , a fait savoir à Ouest-Franceun responsable syndical à propos de ses collègues blessés.
« Nous avons un acte terroriste qui s’est déroulé en prison », a vivement réagi Yoann Karar, le secrétaire général adjoint de FO Pénitentiaire, sur l’antenne de BFMTV.
Deux surveillants de la prison de Condé-sur-Sarthe dans l’Orne ont été agressés par un détenu radicalisé muni d’une arme artisanale. Le pronostic vital de l’un des deux agents est engagé.
Les faits se sont déroulés aux alentours de 9 heures, le détenu est actuellement retranché dans la prison. Le Raid et les Eris, les équipes régionales d’intervention et de sécurité, ont été appelés sur place. Inauguré en 2013, le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe abrite des détenus violents et dangereux qui n’ont plus rien à perdre. C’est l’une des deux prisons les plus sécurisées de France, avec Vendin-le-Vieil.
Le centre pénitentiaire d’Alençon-Condé-sur-Sarthe a ouvert un quartier spécial pour détenus radicalisés. La création de ce nouveau QPR avait été annoncée en février par le gouvernement.