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Blog - Page 630

  • Découvrez les plus jeunes grands-parents du monde

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    Certaines personnes pensent qu’avoir des enfants jeunes est une bonne chose ; mieux que d'en avoir trop tard, et ce n’est pas cette famille anglaise qui va les contredire. Kelly et Shem Davis ont 29 ans, et ils sont les heureux parents de Tia, 14 ans.  Cette dernière a donc vu le jour alors que ses géniteurs n’étaient âgés que de 15 ans.

    C’est désormais à son tour d’entretenir la tradition puisqu’elle vient d’accoucher de son premier enfant. A la maternité, les infirmières ont cru que le grand-père était en réalité le père de 15 ans. A ce rythme, ils sont bien partis pour devenir les plus jeunes arrières grands-parents de l’histoire.
    Tous nos vœux de bonheur pour le bébé et sa famille!
     
    Mag Buzz
  • IGNACE

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  • Les « Je suis Charlie » prennent les Français pour des Charlots

     

     
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    Michel Geoffroy, essayiste.

    ♦ Cette doxa fonde la matrice onirique dans laquelle l’oligarchie voudrait nous faire croire que nous vivons.

    Avec le dramatique attentat terroriste contre Charlie Hebdo la France légale, c’est-à-dire, pour le dire autrement, l’oligarchie politico-médiatique, veut une nouvelle fois nous enfoncer dans le déni de réalité. Pour son plus grand profit.


    La doxa du Système

    Il faut reconnaître au président du Conseil français du culte musulman, Dalil Boubakeur, d’avoir donné sobrement le ton dès le 8 janvier.

    Pour lui, cet attentat sanglant « est un coup porté à l’ensemble des musulmans » et « il ne semble pas que c’est au nom de l’islam » qu’il ait été commis car il s’agissait d’une « attaque contre la démocratie et la liberté de la presse ». En quelques mots cette autorité morale incontestée a remarquablement défini la doxa du Système.

    L’écrivain Tahar Ben Jelloun a aussi signé de son côté un article dans Le Monde du 9 janvier intitulé « L’islam victime des tueurs », pour l’édification de l’oligarchie qui lit ce « journal de référence ».

    Et, pour jouer dans la cour des grands, Alain Juppé s’est empressé d’affirmer, le 8 janvier à Bordeaux, que « Nous (sic) nous battons contre ces fous, ces barbares, ces fanatiques qui ne peuvent se réclamer d’aucune religion ».

    La doxa du Système

    Depuis bientôt vingt ans le Système politico-médiatique nous enferme dans une doxa simple qui repose sur trois affirmations, sur trois tabous :

    -l’immigration est une chance pour la France ;

    -il n’y a aucune relation entre immigration, islamisme et terrorisme ;

    -tous ceux qui doutent des deux précédentes affirmations sont des racistes qu’il faut mettre hors d’état de nuire.

    Cette doxa fonde la matrice onirique dans laquelle l’oligarchie voudrait nous faire croire que nous vivons.

    Car, si on comprend bien : quand on tire à la kalachnikov en criant « Allah Akbar » ou « Nous avons vengé le Prophète », c’est bien le signe indubitable que l’on n’est pas musulman ; on est seulement un fou qui s’en prend à la liberté de la presse. Et quand on tue des journalistes athées, c’est parce qu’on veut s’en prendre aux musulmans.

    Les larmes de crocodile

    Tout le Système politique institutionnel communie dans ce déni de réalité, avec bien entendu les larmes de crocodile et minutes de silence de circonstance.

    Mais ces crocodiles ne font que déplorer les conséquences dont ils chérissent les causes. Ils font mine de découvrir l’horreur du djihadisme comme si celui-ci tombait brusquement du ciel alors qu’ils lui ont ouvert toutes grandes les portes de l’Europe.

    Car ce sont les crocodiles de droite qui, sous Giscard d’Estaing, ont cédé au patronat qui réclamait toujours plus d’immigration pour réduire les salaires et qui nous ont précipités dans l’aventure du regroupement familial, transformant l’immigration de travail en immigration de peuplement. Ce sont les crocodiles de gauche qui ont transformé les immigrés en prolétariat « défavorisé », objet de toutes les sollicitudes compassionnelles et budgétaires : mais c’était pour masquer le fait que la gauche trahissait les classes populaires européennes en se ralliant au capitalisme mondialiste.

    Tous ensemble ils n’ont cessé de réduire les moyens de la Défense et de la Police et ils ont mis en œuvre l’abolition de nos frontières. Et, tous en cœur, ils nous ont fait croire qu’en repeignant les cages d’escalier, en organisant la « société multiculturelle » ou en « luttant contre les discriminations » on réglerait tout.

    Les Diafoirus du terrorisme

    En réponse à l’attentat, les crocodiles brandissent maintenant des pancartes où il est écrit « Je suis Charlie ». Ils organisent une « marche républicaine » ou bien préconisent un « jour de jeûne » avec la « conférence des responsables de culte en France » (sic). Ils allument des bougies. Tous les corps constitués ont invité à signer force motions pleines de belles intentions. On nous ressort les valeurs de la République de la naphtaline en nous invitant à défiler entre Nation et République. La moraline, comme les larmes, coule à flots !

    Voilà qui va assurément faire trembler les djihadistes ! Comme les 14 lois prétendument « antiterroristes » que les crocodiles ont fait voter en France depuis vingt ans, à l’évidence sans grand effet.

    Non seulement ces Diafoirus nous mentent sur le diagnostic mais en outre ils préconisent un traitement à base d’incantations, à l’efficacité des plus douteuses contre les kalachnikov et les roquettes.

    Les impuissants cyniques

    En réalité les crocodiles « Je suis Charlie » ne se limitent pas au rôle de pompiers incendiaires. Ce sont surtout des politiciens retors et cyniques.

    Car à l’évidence la gauche entend bien surfer sur ce drame pour tenter de reprendre l’initiative politique et idéologique. On pourrait même dire qu’elle s’y était bien préparée, manifestement…

    Le Monde du 9 janvier titre gravement « Le 11-septembre français ».

    François Hollande se rêve en effet sans doute dans la peau de G. Bush junior déclarant la guerre au terrorisme devant Ground Zero – et, plus prosaïquement, jouant la carte de l’union nationale, avec la complicité de toute la classe politique institutionnelle jusqu’en 2017, puisque cette prétendue union nationale doit exclure, bien sûr, le Front national, conformément au troisième principe de la doxa évoqué précédemment.

    Une belle liberté en effet

    Les « Je suis Charlie » ont en effet une conception particulière de la Liberté d’expression que, paraît-il, les djihadistes voulaient tuer. Car les « Je suis Charlie » forgent tous les jours les interdits médiatiques et judiciaires qui composent le carcan politiquement correct imposé à notre pays.

    Les « Je suis Charlie » proclament « Pas d’amalgame » sur l’air des lampions. Mais cela ne les gêne pourtant pas du tout de pratiquer l’amalgame contre leurs concitoyens qui refusent l’islamisation, qu’ils traitent de fascistes, de racistes et de xénophobes et qu’ils traînent devant les tribunaux dès qu’ils le peuvent.

    Et les « Je suis Charlie » qui vantent l’irrespect de Charlie Hebdo ne supportent aucune irrévérence à l’égard de l’idéologie cosmopolite qui les anime. On peut d’ailleurs douter que, si l’attentat avait visé le journal Présent ou l’hebdomadaire Valeurs actuelles, ils affirmeraient « Je suis Présent » ou « Mes valeurs sont actuelles » avec autant de bravade.

    ***

    Ces « Je suis Charlie », en réalité, prennent les Français pour des Charlots.

    Michel Geoffroy
    9/01/2015

    Correspondance Polémia – 9/01/2015

  • Le désarroi des profs après les attentats

    http://www.leparisien.fr/societe/le-desarroi-des-profs-depuis-les-attentats-15-01-2015-4446849.php

    Voir la vidéo de NVB!

  • Le 11 JANVIER 2015, UNE DATE DANS l’HISTOIRE ? NON, UNE HONTE FRANCAISE. Par Pierrz-Emile BLAIRON .

     

    Maintenant que l’émotion, pourtant savamment entretenue, est retombée (on le sait, les Français ont la mémoire courte !), les journalistes du Système (mainstream en anglais mondialiste) s’évertuent à répéter ad nauseam que cette journée de manifestation « Je suis Charlie » du 11 janvier 2015 restera dans l’Histoire, et la comparent à celle de la libération de Paris en 1944. Mais qu’en savent-ils, de l’Histoire ? Ils n’ont que des connaissances approximatives de l’Histoire passée (ils n’apprennent dans leurs écoles que ce qui est nécessaire à leur formatage idéologique), ils croient fabriquer l’Histoire présente du fond de leur microcosme parisien, sans jamais pratiquer leur véritable mission, qui est celle de l’investigation, et ils voudraient nous faire croire qu’ils ont des informations sur le jugement que portera sur cette journée l’Histoire future ?

    Car l’Histoire est un un nuage transparent, lucide et limpide, qui forme lentement son implacable vérité au-dessus de nos têtes et des contingences aléatoires que nous ne maîtrisons pas. Et il lui faut bien des siècles quelquefois pour digérer, analyser les événements avant de rendre son jugement ; les petits hommes (les derniers, disait Nietzsche) s’imaginent qu’ils peuvent lui cacher quelques faits avilissants dont ils portent la responsabilité. Mais on sait bien qu’on n’efface pas d’un « clic » les mémoires archétypales.

    En dépit des nombreux chefs de gouvernement étrangers qui auront participé à cette grande marche, ou plutôt à cette grande illusion, la France ne sortira pas grandie de cette affaire, d’autant plus que la grande majorité des pays représentés, y compris par les chefs d’Etat français, l’actuel et le précédent, ont soutenu, voire créé, en Irak, en Libye, en Syrie, la monstruosité islamiste dont la tuerie de Charlie Hebdo n’est que l’une des premières manifestations dans notre pays.

    Après tout, cette tuerie (qu’il faut évidemment déplorer, mais, qui a laissé en liberté ces terroristes dûment répertoriés ?) aura fait moins de morts qu'une jolie guerre où l'on partait la fleur au fusil et où l'on pouvait dire : "Messieurs les Anglais, tirez les premiers", en saluant l’ennemi avec son chapeau d’un mouvement vaste et élégant.

    Car la tradition française, ce n’est pas comme on nous le rabâche, « les droits de l’homme » et l’accueil de tous ceux qui veulent bien venir y vivre, en profiter, et l’outrager impunément, s’ils n’ont pas envie de la respecter.

    L’Histoire de France n’a pas commencé en 1789.

    L’une des piliers de la tradition française, sa grandeur et sa noblesse, c’est justement ça, ce geste, et cet appendice qui accompagne le chapeau dans son mouvement : le panache.

    Cette manifestation du 11 janvier est censée représenter l’esprit de la France à travers les caricaturistes de Charlie-Hebdo. Mais la France, ce n’est pas Charlie-Hebdo. La France est, traditionnellement, telle qu’on diffuse son image dans tous les manuels scolaires du monde, la patrie de l'élégance, de la distinction, de la courtoisie, du bon goût, du savoir-vivre, de la finesse d'esprit et cette manifestation, monstre et monstrueuse, deviendra, aux yeux du monde (plus futur qu’actuel), le symbole même de notre déchéance.

    Ces Français qui ont défilé étaient donc des "Charlie", s’identifiant à ces dessinateurs bobos-gauchos sine nobilitate, sans noblesse, (qui ont au moins eu le courage, c’est vrai, de ne pas épargner les islamistes dans leurs dessins haineux), et cette foule est devenue ainsi la caution de l'abject, de la grossièreté, de la vulgarité, de la scatologie - fonds de commerce des journalistes de Charlie-Hebdo - « journalistes-caricaturistes », autrement moins talentueux qu'un Daumier, par exemple. À cette époque, la caricature n’avait pas besoin d’être vulgaire pour être transgressive.

    Les Français ont réagi, en masse, dans l’émotion, qui est l’une des formes utilisées par le Système pour manipuler l’opinion ; ils ont suivi comme des moutons leurs bergers qui n’étaient pas revêtus d’une belle houppelande toute blanche, mais savaient jouer d’une flûte bien séductrice.

    Oui, l’Histoire jugera. Mais restera-t-il encore un monde lucide pour en témoigner quand nous serons, nous, Français et Européens, sortis de cette terrible épreuve ? Mourir pour mourir, plutôt que de plonger dans le précipice où les faux bergers entraînent leur troupeau, autant mourir dans une arène que dans un abattoir (halal)… avec panache.

     

    Pierre-Emile BLAIRON

     

      

    Pierre-Émile Blairon, journaliste, écrivain,réside près d’Aix-en-Provence.  Il partage ses activités littéraires entre deux passions :

      - La Provence – il anime la revue Grande Provence, il a écrit deux biographies sur deux grands provençaux : Jean Giono et Nostradamus et Le Guide secret d’Aix-en-Provence.

      - Les spiritualités traditionnelles - Il anime la revue Hyperborée qui se consacre à l’histoire spirituelle du monde et à son devenir. La Roue et le sablier résume la vue-du-monde de l’auteur et des collaborateurs de la revue.

      

    Du même auteur :

     

    La Roue et le sablier, éditions Hyperborée, 2015 (en cours d’édition)

     Le Guide secret d’Aix-en-Provence et de ses environs, éditions Ouest-France, 2013

     Jean Giono, la nostalgie de l’ange, éditions Prolégomènes, 2011

     Jean Giono, collection Qui suis-je, éditions Pardès, 2009

     Nostradamus, collection Qui suis-je, éditions Pardès, 2007

     Nostradamus, astrologico, alchimista, medico, profeta, traduit en italien par Laura Cespa, éditions l’Età dell’Acquario, Turin 2008

     La Dame en signe blanc, éditions Crusoe, 2006 (épuisé)

     

     

     

     

     

     

  • Instructions relatives à l’insertion des multirécidivistes pendant les attentats islamistes : Madame Taubira doit démissionner !

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     Communiqués / 14 janvier 2015 / Mots-clés : /

     

    Communiqué de Presse de Nicolas Bay, Secrétaire général du Front National, Député français au Parlement européen

    Dans un document de deux pages et demi adressé aux 40 procureurs généraux et aux 160 procureurs de France le 9 janvier dernier, la Garde des Sceaux, Christiane Taubira, préconise « d’aligner le régime des récidivistes sur celui des non-récidivistes en matière de réductions supplémentaires de peines (RSP) ». En d’autres termes, il s’agit de placer sur un pied d’égalité le récidiviste et le primo-délinquant.

    Ainsi, au moment où la France était frappée par des actes terroristes islamistes, le jour même où se déroulait, à la Porte de Vincennes, la prise d’otages de l’épicerie Hypercacher par un multirécidiviste condamné 7 fois en moins de 12 ans à 22 années de prison au total, et qui en a effectué moins de 5, Madame Taubira poursuivait nonchalamment la mise en oeuvre de sa politique laxiste.

    Le Front National appelle le gouvernement à revoir intégralement sa politique pénale. La réforme pénale de Christiane Taubira instaurant la suppression des peines plancher, l’institution de la contrainte pénale qui va réduire considérablement les emprisonnements réels, ainsi que la généralisation des libérations anticipées, doit être immédiatement jetée aux oubliettes. Il en va de la sécurité de tous nos compatriotes, aujourd’hui menacés sur leur propre sol par des djihadistes qui ont profité d’un laxisme judiciaire absolument inouï.

    Il apparaît d’autant plus essentiel d’alourdir les peines pour les multirécidivistes que, si Amedy Coulibaly avait été maintenu en détention pour purger l’ensemble de ses peines, il n’aurait pas été en mesure d’accomplir ses desseins terroristes. Directement responsable de la libération d’individus dont la dangerosité pour la société est pourtant avérée, Madame Taubira doit démissionner !

    NPI

  • 1,5 million de personnes à Paris le 11 janvier ? Et un parcours symbolique ?

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    Avant de parler chiffres, un œil sur les tracés de la manifestation, qui selon certains ressemblent furieusement aux contours de l’Etat israélien.

     

    Voilà une analyse proposée par un lecteur du Salon Beige, dédiée à la Préfecture de police, mais aussi aux décodeurs du Monde, qui avaient pris soins de s’emmêler dans des calculs de superfice et de densité… :

    « Quelques chiffres pour commencer : la place de la République, c’est un tout petit 3,4ha, celle de la Nation 6 ha  et entre les deux 3 km. Les boulevards font 30 m de large. Il y avait deux itinéraires soit une surface totale de manifestation d’environ 27 ha. C’est à peine plus que le Champs de Mars (24,5 hectares)  qui est réputé contenir 300 000 personnes…

    Selon la préfecture de police la place de la République a une contenance de 40 000 personnes, un peu plus d’une personne par m2 environ (30 personne dans un salon de 30 m2, 500 dans un jardin de 500 m2 c’est déjà dense). Donc si on veut se représenter 1,5 millions de personne, c’est 40 places de la République pleines à craquer, ou encore 6 fois la zone de manifestation remplie au même moment !

    Lire la suite

  • Aymeric Chauprade: "La France est en guerre aves des musulmans"

    On nous dit qu’une majorité de musulmans est pacifique. Certes mais une majorité d’Allemands l’était avant 1933 et le national-socialisme allemand. Une majorité de Russes, de Chinois, de Khmers étaient pacifiques avant qu’ils ne réalisent d’abominables crimes au nom du communisme. Quand le totalitarisme s’empare d’une minorité conséquente et active, l’argument de la majorité pacifique ne tient plus.

    Je refuse de faire ce pari là sur le dos de nos enfants et c’est tout le sens de mon engagement au Front national parce que je vois dans le Front national le seul recours possible pour stopper l’islamisation de la France.

    Nous devons, de manière ferme et claire, engager la lutte pour la dé-islamisation de notre pays. Sinon notre fière civilisation française mourra, démocratiquement, comme nous le conte le roman tragique de Houellebecq, lorsqu’une sorte d’Henri IV musulman aux apparences paisibles finira par convaincre une majorité de Français qu’il est la solution de compromis idéale pour sortir du conflit entre l’islam radical et le réveil identitaire.

    FDS

  • Apologie du terrorisme : Dieudonné sera jugé en correctionnelle. Liberté d'expression ?

     

    Le Monde.fr | 14.01.2015 à 09h08 • Mis à jour le 14.01.2015 à 19h49

                 

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    Dieudonné, en janvier 2014. Dieudonné, en janvier 2014. | GONZALO FUENTES/REUTERS

    A l'issue sa garde à vue, Dieudonné M'Bala M'Bala va être convoqué devant le tribunal correctionnel à une audience ultérieure pour répondre des faits d'apologie d'acte de terrorisme, a fait savoir au Monde le parquet de Paris. Il avait été placé en garde à vue à Paris, mercredi, après que le parquet a ouvert, lundi 12 janvier, une enquête pour « apologie du terrorisme » à la suite de propos tenus par l'humoriste sur sa page Facebook, dans lesquels il disait se sentir « Charlie Coulibaly », en référence à Amedy Coulibaly, l'homme qui avait pris des clients d'un supermarché casher en otage et avait tué quatre d'entre eux.

    Dieudonné M'Bala M'Bala ne s'étant pas rendu à une convocation, les enquêteurs se sont déplacés, a expliqué une source judiciaire. Selon un de ses avocats, Sanjay Mirabeau, « ils ont été impatients, ils sont venus le chercher à 7 heures du matin à son domicile ». « Nous sommes dans le pays de la liberté d'expression ? Ce matin, le gouvernement vient d'en fournir la démonstration », a déclaré un autre avocat de Dieudonné M'Bala M'Bala, David de Stefano, qualifiant cette interpellation de « proprement scandaleuse ».

    Dans sa déclaration sur Facebook, qui a été supprimée depuis, Dieudonné M'Bala M'Bala assurait avoir participé à la manifestation historique de dimanche en hommage aux victimes du terrorisme,  la qualifiant ironiquement d'« instant magique égal au Big Bang qui créa l'Univers ».

    Lire aussi le décryptage : De « Charlie » à Dieudonné, jusqu'où va la liberté d'expression ?

     

    SPECTACLE DÉPROGRAMMÉ

    « Ces propos sont une abjection », a déclaré le ministre de l'intérieur, Bernard Cazeneuve, en marge d'une visite à la communauté juive rue des Rosiers à Paris. « Il ne faut pas confondre la liberté d'opinion et l'antisémitisme, le racisme et le négationnisme », a réagi, lundi, le premier ministre, Manuel Valls.

    « Terriblement outré par le commentaire de Dieudonné », Marc Ladreit de Lacharrière, l'actionnaire de plusieurs salles de spectacle Zénith en France, a de son côté donné pour instruction, lundi, à ses équipes de « ne pas programmer le spectacle de Dieudonné » intitulé La Bête humaine.

    Plusieurs mairies, comme à Limoges et à Nice, ont elles aussi annoncé leur volonté de l'interdire. Les autorités municipales de Strasbourg ont demandé l'annulation du spectacle prévu samedi, sollicitant un arrêté du préfet. La ville de Metz, où un spectacle de Dieudonné est prévu vendredi, a expliqué qu'elle étudiait l'opportunité d'une interdiction. « Le Groupe Vega, gestionnaire des arènes de Metz par délégation de service public, envisage d'annuler la représentation du spectacle de Dieudonné M'Bala M'Bala prévue ce vendredi 16 janvier », a indiqué la municipalité. Dominique Gros, maire (PS) de la ville, « encourage » cette annulation.

     « L'esprit qui a présidé au formidable rassemblement républicain du 11 janvier 2015 ne doit pas être entaché par des dérapages viciés et toxiques. »

    Cette enquête pour apologie du terrorisme est la deuxième à frapper le polémiste. En septembre 2014, le parquet de Paris avait été saisi après la diffusion d'une vidéo où Dieudonné M'Bala M'Bala ironisait sur la décapitation du journaliste américain James Foley par l'Etat islamique.

    Parmi d'autres déboires judiciaires, Dieudonné M'Bala M'Bala a été mis en examen en juillet par le juge financier Renaud Van Ruymbeke pour « fraude fiscale », « blanchiment de fraude fiscale » et « abus de biens sociaux ».

    Lire le décryptage : « Charlie », Dieudonné, réseaux sociaux... la foire aux questions de la liberté d'expression


  • Lettre ouverte du Général Martinez à François Hollande

    http://la-dissidence.org/2014/12/30/lettre-ouverte-du-general-martinez-a-francois-hollande/

    (merci à Dirk)

  • Pour Philippe Tesson, “ce sont les musulmans qui amènent la merde en France aujourd’hui !”

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    13/01/2015 – FRANCE (NOVOpress)
    Dans Le Grand Direct de l’Actu sur Europe 1, Philippe Tesson a fait savoir qu’il en avait assez du discours “Pas d’amalgames” quand il est question d’islam en France.

    “D’où vient le problème dans les atteintes à la laicité ? Des musulmans. C’est les musulmans qui amènent la merde en France.On le dit ça ? Moi je le dis ! Les fanatiques, ils sont quoi ? Ils sont musulmans, zut quoi !”


    (Pas de code d'intégration. Mais on peut écouter la vidéo!)

  • Valls: "des mesures exceptionnelles, mais jamais des mesures d'exception"

    Manuel Valls a estimé que, face au terrorisme, il fallait prendre "des mesures exceptionnelles", mais "jamais des mesures d'exception qui dérogeraient au principe du droit et des valeurs".

    Quel distinguo subtil dont ne s'embarrassent pas nos ennemis!

  • VICTOR HUGO (1802-1885)

    Je prendrai par la main les deux petits enfants

     

    Je prendrai par la main les deux petits enfants ;
    J'aime les bois où sont les chevreuils et les faons,
    Où les cerfs tachetés suivent les biches blanches
    Et se dressent dans l'ombre effrayés par les branches ;
    Car les fauves sont pleins d'une telle vapeur
    Que le frais tremblement des feuilles leur fait peur.
    Les arbres ont cela de profond qu'ils vous montrent
    Que l'éden seul est vrai, que les coeurs s'y rencontrent,
    Et que, hors les amours et les nids, tout est vain ;
    Théocrite souvent dans le hallier divin
    Crut entendre marcher doucement la ménade.
    C'est là que je ferai ma lente promenade
    Avec les deux marmots. J'entendrai tour à tour
    Ce que Georges conseille à Jeanne, doux amour,
    Et ce que Jeanne enseigne à George. En patriarche
    Que mènent les enfants, je réglerai ma marche
    Sur le temps que prendront leurs jeux et leurs repas,
    Et sur la petitesse aimable de leurs pas.
    Ils cueilleront des fleurs, ils mangeront des mûres.
    Ô vaste apaisement des forêts ! ô murmures !
    Avril vient calmer tout, venant tout embaumer.
    Je n'ai point d'autre affaire ici-bas que d'aimer.

    L'art d'être grand-père

  • Discours de Manuel Valls: " La France est en guerre contre l'islamisme radical"

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    Mardi, devant une Assemblée nationale qui l'a ovationné, le premier ministre a salué la mémoire des victimes des attentats et annoncé des mesures pour répondre à la nouvelle menace terroriste.Voici les principales mesures annoncées par Matignon pour répondre à la nouvelle menace terroriste.

     
     

    Quatre standing ovations pour le premier ministre, sur tous les bancs. Une séance sans précédent dans les annales de l'Assemblée nationale. Manuel Valls a enflammé mardi l'Hémicycle, en prononçant un discours qualifié d'«historique», même dans les rangs de l'opposition, en hommage aux victimes des attentats de la semaine dernière.

    Avant son intervention, le président de l'Assemblée, Claude Bartolone, a cité les noms des dix-sept victimes des attaques à Charlie Hebdo, à Montrouge et dans l'hypermarché kasher de la porte de Vincennes, soulignant que «l'unité nationale est le bouclier qui protège notre société de la division». À l'issue d'une minute de silence, les députés, exceptionnellement nombreux, se sont levés pour chanter à l'unisson La Marseillaise, ce qui n'était pas arrivé depuis le… 11 novembre 1918. Soit il y a près d'un siècle!

    Dans un silence fiévreux, Manuel Valls s'est exprimé pendant quarante minutes, pour «rendre à nouveau l'hommage de la nation à toutes les victimes». Pour la première fois, le premier ministre a lancé: «Oui, la France est en guerre contre le terrorisme, le djihadisme et l'islamisme radical (…) mais pas contre une religion.» «La France n'est pas en guerre contre l'islam et les musulmans (…) La France protégera tous ses concitoyens, ceux qui croient et ceux qui ne croient pas», a insisté Valls, sous des trombes d'applaudissements. «L'islam est la deuxième religion de France, elle a toute sa place en France», a poursuivi le premier ministre.

    «Des risques très élevés demeurent, liés à d'éventuels complices»

    Manuel Valls

    Manuel Valls a tout aussi fermement fustigé «les actes antisémites (qui) connaissent en France une progression insupportable». Face à des députés dont certains avaient du mal à réprimer des larmes d'émotion, Valls s'est exclamé: «Comment accepter qu'en France, terre d'émancipation des Juifs, il y a deux siècles, mais qui fut aussi, il y a soixante-dix ans, l'une des terres de leur martyre, comment peut-on accepter que l'on puisse entendre dans nos rues crier“Mort aux juifs”?»

    Le premier ministre a encore réaffirmé que «sans les Juifs de France, la France ne serait plus la France». Et il a appelé la justice à être «implacable à l'égard de ces prédicateurs de la haine», faisant référence, sans le nommer, au polémiste Dieudonné, soulignant que «le blasphème n'est pas dans notre droit, il ne le sera jamais». Là encore sous les applaudissements de tous les députés, y compris du Front national, Manuel Valls a rendu un hommage appuyé au ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, assis à sa droite pour la circonstance, ainsi qu'aux «forces de sécurité qui ont, au péril de leur vie, mené un travail remarquable». Il a poursuivi: «À aucun moment nous ne devons baisser la garde (…) Des risques sérieux demeurent (…) Des risques très élevés liés à d'éventuels complices.»

    Sous le signe de l'unité nationale

    «Après le temps de l'émotion et du recueillement - il n'est pas fini, vient le temps de la lucidité et de l'action», a encore déclaré Manuel Valls, qui a annoncé toute une série de mesures destinées à lutter contre le terrorisme, dont le renforcement des moyens humains et matériels des services en charge du renseignement intérieur et de la justice antiterroriste, et la généralisation de l'isolement en prison des «détenus islamistes radicaux».

    Dans les couloirs, une pluie d'éloges a accueilli ce discours «historique, empreint de l'esprit républicain», s'est félicité le radical Yves Jégo. Le patron des députés UMP, Christian Jacob, qui continue à réclamer la création d'une commission d'enquête sur les attentats de la semaine dernière, a jugé que «les intentions» de Manuel Valls «sont louables. Mais attendons le passage aux actes», a-t-il prévenu.

    En séance, Bruno Le Roux, le président du groupe PS, a invité tous les députés à «travailler ensemble pour que notre société ne fabrique pas en son sein ces “égarés de la République”, qui cèdent à la haine et à la pulsion de mort, à la barbarie et à l'antisémitisme».

    Très applaudi sur tous les bancs, Philippe Vigier, le président du groupe UDI, a mis en garde, à l'instar d'André Chassaigne, au nom du groupe communiste, contre «le repli sur soi, l'amalgame, l'engrenage de l'intolérance». Même tonalité chez Barbara Pompili, coprésidente du groupe des Verts, qui a affirmé: «Être la France dans de telles circonstances, c'est tenir bon sur le principe de laïcité.» Cette rentrée parlementaire, exceptionnelle, a été placée sous le signe de l'unité nationale. Mais pour combien de temps?


    ● Nouveau fichier pénal terroriste

    Aussi surprenant que cela puisse paraître, il faut constituer un nouveau fichier pour connaître l'ensemble des terroristes condamnés ou ayant des comptes à rendre à la justice. Justice et Intérieur vont «étudier» la question. Ce fichier ressemblerait à celui existant pour tracer les délinquants sexuels. Le suspect terroriste devrait indiquer ses changements d'adresse sous peine de poursuites. Qui vérifiera et comment? «La loi Taubira sur la probation est déjà en mal d'effectifs. Il faudra faire des choix», dit un syndicaliste policier.

    ● Loi sur le Renseignement

    Une loi encadrant toute l'activité du Renseignement, au-delà même du terrorisme, chemine. Elle sera prête «dans une poignée de mois», dit Renaud Vedel, conseiller du premier ministre. Elle était prévue. Elle ne sera pas vraiment accélérée mais suivie de près et très débattue, c'est certain.

    ● Renfort en personnels de la DGSI

    Outre le plan sur cinq ans de recrutement de 432 spécialistes lancé il y a un an, quelques dizaines d'agents vont être embauchés pour renforcer les cellules judiciaires et analyse de la Direction générale de la sécurité intérieure.

    ● Données des passagers aériens

    Pour un meilleur traçage des déplacements, une plate-forme française de centralisation des données des passagers dès la réservation des billets va être créée pour les vols au départ de la France vers les pays extérieurs à la zone Schengen. «Pas besoin d'attendre l'Europe», dit-on à Matignon. Problème: c'est d'Espagne, par exemple, qu'a décollé la compagne d'Amedy Coulibaly…

    ● Un décret sur les djihadistes

    Le décret sur la mesure d'interdiction de sortie du territoire (pour les nationaux) ou d'accès (pour les étrangers) va entrer en vigueur à la fin de la semaine. Il s'agit de faire vivre la loi Valls-Cazeneuve du 13 novembre dernier sur le terrorisme. Question: quid des binationaux qui veulent partir? «Sauf entorse au droit international, on ne peut empêcher un Marocain de partir, par exemple, ni un Français de rentrer», assure un officier de la Police aux frontières.

    ● Mesures carcérales antiradicaux

    Quatre quartiers spéciaux, en plus de celui de Fresnes, déjà en place, tenteront une politique ciblée d'isolement ou de regroupement des islamistes durs, selon les profils. La «professionnalisation» des imams et aumôniers en prison doit s'accentuer.

    ● Renseignement au sein de la PJJ

    Une formation à la détection et à la prise en charge du radicalisme sera dispensée aux services de la Protection judiciaire de la jeunesse (PJJ) et une unité de Renseignement créée pour centraliser les informations nominatives, comme cela existe déjà dans les prisons. Le gouvernement ne semble pas tenté par le retour de la double peine (expulsion des étrangers condamnés les plus dangereux) ni par les centres de rétention de sûreté pour les cas lourds qui échappent à la prison. Le débat est lancé.

    NdB: Toujours la même rengaine, toujours les mêmes incantations, et des mesures  sans efficacité, irréalistes... tandis que les Kalach et les lance-missiles s'accumulent dans les caches des cités.  

     

  • LA NOUVELLE PENSEE UNIQUE

    Les dessous de l’opération « Charlie ».

     
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    Bruno Mégret

    « Jamais, en effet, on n’avait assisté à une telle opération d’endoctrinement des masses. »

    Les événements dramatiques que vient de connaître notre pays revêtent une dimension particulièrement spectaculaire. Celle-ci cependant ne résulte pas des attentats eux-mêmes mais de l’exploitation ahurissante qui en a été faite par le Système. Jamais, en effet, on n’avait assisté à une telle opération d’endoctrinement des masses. Exploitant l’émotion légitime de nos compatriotes, la classe politique et médiatique a manipulé les esprits au point d’abuser beaucoup de Français sincères. Elle a aussi instrumentalisé tous les patriotes qui s’étaient mobilisés contre l’islamisation de notre pays.


    Car les faits eux-mêmes, aussi abjects et condamnables qu’ils soient, n’ont hélas rien d’exceptionnel. Notre pays a malheureusement déjà connu de nombreux attentats, comme ceux perpétrés par Merah et, sauf à considérer les journalistes comme une caste supérieure, rien ne justifiait l’opération de propagande déclenchée par les médias et par les autorités politiques sur le thème « Je suis Charlie » : une action de lavage des cerveaux d’une ampleur encore jamais égalée et qui constitue à ce titre un événement particulièrement inquiétant. Rappelons quelques vérités.

    Comment, d’abord, ne pas être choqué d’entendre les commentateurs et les responsables politiques déclarer que la France aurait été frappée au cœur ? Cela revient à affirmer que Charlie Hebdo serait en quelque sorte le cœur de la France. Et là réside sans doute la première imposture de cette vaste opération « Je suis Charlie ». Car ce journal satirique, anarchiste et d’extrême gauche n’a cessé depuis sa création de vilipender tous les principes qui fondent notre civilisation. Comment, dès lors, prétendre défendre nos valeurs sous la bannière d’un tel drapeau ? En réalité, les idéologues de Mai-68 viennent de remporter leur ultime victoire dans l’entreprise de destruction de notre nation : réduire les valeurs de la France à celles de Charlie Hebdo.

    Autre imposture : la réaction des politiques et des médias s’est faite au nom de la défense de la liberté d’expression. Or, dans ce matraquage médiatique auquel nous avons été soumis pendant plusieurs jours, la liberté d’expression a été totalement bafouée. Le Front national a été écarté de la manifestation à laquelle il souhaitait manifestement participer et aucune voix dissonante n’a été autorisée à s’exprimer. Nous avons dû subir un unanimisme écœurant digne des régimes dictatoriaux, laissant entendre que la liberté d’expression serait menacée par des terroristes alors qu’elle est constamment mise en cause par les tenants du politiquement correct qui imposent dans notre pays une pensée unique d’essence totalitaire.

    Rappelons, par ailleurs, que Charlie Hebdo a été victime de cet odieux assaut parce qu’il avait publié des caricatures d’Allah et de Mahomet. Si donc les adeptes de Charlie Hebdo voulaient réellement défendre cette forme extrême de la liberté d’expression qui consiste à blasphémer, ils auraient dû brandir sur leur pancarte ces fameuses caricatures. Or, il n’en a rien été. On a pourtant invité les Français à se dresser contre les terroristes et à ne pas leur céder un pouce de terrain, mais ceux-ci ont d’ores et déjà gagné : personne ne publiera plus jamais de telles caricatures offensantes.

    Par ailleurs la France est sous le coup d’une attaque en règle menée par un ennemi qui, sous le nom « d’Etat islamique », est clairement identifié. Or jamais, lors des discours ou des manifestations, cet ennemi n’a été désigné, jamais aucune action n’a été annoncée pour le combattre. Quelles initiatives vont être prises pour mettre hors d’état de nuire tous les djihadistes en puissance, pour saisir tous les dépôts d’armes de guerre dans les banlieues, pour bombarder les camps d’entraînement d’Irak et de Syrie ?

    Et, surtout, rien n’est fait pour tirer les leçons de ces événements. Car ces tueries sont la conséquence directe de la politique d’immigration menée depuis des décennies par la classe politique. En faisant venir des millions de musulmans sur notre sol, on les a amenés à considérer qu’ils étaient chez eux chez nous, ce qui conduit certains à penser qu’ils peuvent nous imposer leurs normes et leurs valeurs. En important l’islam, on a importé l’islamisme. Car, si tous les musulmans présents en France ne sont évidemment pas des terroristes, en revanche, tous les terroristes sont des musulmans et tous les actes de terrorisme sont perpétrés au nom d’Allah. Sans la montée en puissance de l’islam dans notre pays, il n’y aurait pas de progression de l’antisémitisme ni de danger terroriste.

    Au lieu de cela, la classe politique et médiatique, refusant d’affronter la réalité, s’en prend de façon abstraite et théorique à tous ceux qu’elle dénonce comme extrémistes, plaçant sur le même plan les islamistes et ceux qui défendent notre identité et qui s’inquiètent de l’islamisation de notre nation. Ce faisant, elle utilise une technique classique de manipulation des masses, celle de la fausse symétrie. Demandons à notre tour que l’on évite l’amalgame car, de tous les extrémistes désignés par la classe politique, seuls les islamistes pratiquent la prise d’otages, l’égorgement, l’assassinat et l’attentat à la bombe.

    Bruno Mégret
    12/01/2015

    Correspondance Polémia – 12/01/2015