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Blog - Page 633

  • Rassemblement à Paris pour exiger l’expulsion de tous les islamistes de France : la préfecture l’interdit

     

    Le préfet de police de Paris a interdit le rassemblement pour exiger l’expulsion de tous les islamistes de France organisé par les associations Riposte laïque et Résistance républicaine le 18 janvier prochain à Paris. Les associations ont déposé un recours. L’audience est prévue devant le juge administratif samedi à 10 heures. Affaire à suivre !

    NDF

  • Sur Twitter, des milliers de musulmans écrivent : « #JeSuisKouachi » Marion Maréchal-Le Pen pose la question qui tue

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    NdB: Pour qui sonne le glas ou le tocsin ?

    Nouvelles de France

  • Les oies sauvages (chant militaire)

    Paroles

    Les oies sauvages vont vers le Nord,

    Leurs cris dans la nuit montent,

    Gare au voyage car la mort

    Nous guette par le monde,

    Gare au voyage car la mort

    Nous guette par le monde.

    II

    Au bout de la nuit qui descend,
    Voyage grise escadre,
    L'orage gronde et l'on entend
    La rumeur des batailles,
    L'orage gronde et l'on entend
    La rumeur des batailles.

    III

    En avant vole grise armée,
    et cingle aux mers lointaines,
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène,
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène.

    IV

    Comme toi toujours nous allons,
    Grise armée dans la guerre,
    Murmure-nous si nous tombons
    La dernière prière,
    Murmure-nous si nous tombons
    La dernière prière.

    Version Légion étrangère

    I

    Les oies sauvages vont vers le Nord
    Leurs cris dans la nuit montent.
    Gare au voyage car la mort
    Nous guette par le monde. (bis)

    II

    Au bout de la nuit qui descend
    Voyagent, grises escadres.
    L’orage gronde et l’on entend
    La rumeur des batailles. (bis)

    III

    En avant vole grise armée
    Et cingle aux mers lointaines.
    Tu reviendras, mais nous qui sait
    Où le destin nous mène. (bis)

    IV

    Wildgänse rauschen durch die Nacht
    Mit schrillem Schrei nach Norden.
    Unstete Fahrt, habt acht, habt acht!
    Die Welt ist voller Morden. (bis)

    V

    Pour la victoire de la Légion,
    Avançons dans la guerre.
    Murmurez-nous, si nous tombons
    La dernière prière. (bis)
  • Un souffle d'air frais !

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    Oies sauvages au-dessus des étangs de Ploegsteert

     

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    (merci à Dirk)

     

  • " Nous sommes Charlie", vraiment ?

    FIGAROVOX/CHRONIQUE - Chaque semaine, Alain Destexhe analyse, pour FigaroVox, l'actualité vue de Belgique. Suite à l'attentat de Charlie Hebdo, il dénonce le risque de «tyrannie du silence» qu'engendrerait la mise au tabou de toute critique de l'islam radical.


     

    Alain Destexhe est sénateur belge. Ex Secrétaire Général de Médecins Sans Frontières et ex Président de l'International Crisis Group, il est, entre autres, l'auteur de «Le Mouvement flamand expliqué aux francophones» et «Lettre aux progressistes qui flirtent avec l'islam réac». Lire également ses chroniques sur son blog.


    Je me méfie de ces grands élans de compassion lors des grandes tragédies. Aptes à canaliser la tristesse et l'émotion générale, ils risquent aussi de masquer l'essentiel. Ce n'est pas à «la liberté d'expression», que se sont attaqués les assassins mais à la liberté de blasphémer l'islam et de critiquer et caricaturer le prophète.

    Ce n'est pas à «la liberté d'expression», que se sont attaqués les assassins mais à la liberté de blasphémer l'islam et de critiquer et caricaturer le prophète.

    Si «nous sommes Charlie», tous les journaux de France et d'Europe devraient s'empresser de reproduire les dessins qui ont condamné à mort les journalistes de Charlie Hebdo. Le feront-ils? Probablement pas.

    Si «nous sommes en guerre», il faudrait peut-être songer à dire contre qui et non se contenter, comme le Président de la République, de termes vagues censés nous faire comprendre qui est l'adversaire («l'obscurantisme», «le fondamentalisme»…) sans offenser «la grande religion de paix et de bénédiction» (David Cameron) au nom de laquelle un attentat terroriste est commis tous les jours dans le monde.

    Bien sûr, l'immense majorité des musulmans sont horrifiés, mais on ne peut réduire l'islam radical à une poignée d'égarés, d'illuminés ou de «déséquilibrés». C'est un phénomène de société qui touche un nombre croissant de jeunes. On se demande d'ailleurs si les actes de «déséquilibrés» avant Noël ont bien permis au gouvernement français de saisir la nature et l'ampleur de la menace.

    On ne peut réduire l'islam radical à une poignée d'égarés, d'illuminés ou de «déséquilibrés». C'est un phénomène de société qui touche un nombre croissant de jeunes.

    Les ennuis de Charlie hebdo avec les islamistes radicaux remontent à la reproduction dans l'hebdomadaire des caricatures du journal danois. A l'époque certains qui «sont Charlie» ont jugé cette attitude «provocante» et «inutile».

    Dans un livre récent The Tyranny of Silence, Femming Rose, l'éditeur danois du Jyllands-Posten, revient sur les caricatures de Mohamed qu'il a publié en 2005 et montre le peu de soutien qu'il a reçu dans les sociétés dites libres. Qu'au lieu d'affirmer haut et fort que ces caricatures restaient dans le champ de la liberté d'expression, des sociétés privées et les gouvernements européens ont cherché à se démarquer du Danemark, bien seul en première ligne. Le Haut représentant de l'Union européenne de l'époque, Javier Solana, cherchant à tout prix à apaiser l'ire des gouvernements musulmans et de l'Organisation de la Conférence islamique. En sera-t-il autrement après l'attentat de Paris? J'en doute.

    On voit déjà ceux qui «condamneront le terrorisme» mais dans le même communiqué appelleront à «lutter contre l'islamophobie», un concept qui s'est, hélas, imposé dans les médias, mais qui n'est autre que la liberté de critiquer l'islam en tant que religion.

    N'en déplaise au Président de la République, passé le stade de l'émotion, on va évidemment voir refleurir les divisions dans l'analyse ainsi que sur les mesures à prendre. On va voir -on voit déjà- ceux qui appelleront à «ne pas provoquer» (avec des phrases ou des dessins) car «ce serait mettre de l'huile sur le feu». On voit déjà ceux qui «condamneront le terrorisme» mais dans le même communiqué appelleront à «lutter contre l'islamophobie», un concept qui s'est, hélas, imposé dans les médias, mais qui n'est autre que la liberté de critiquer l'islam en tant que religion (l'islam n'est pas une personne). On voit déjà «dénoncé le risque d'amalgame», une ritournelle chaque fois qu'un incident grave est provoqué par l'islam radical. Certains sujets seraient donc tabous? N'est-il pas temps, au contraire, d'engager un débat sur les sujets qui divisent et par exemple celui-ci: le refus de l'apostasie est-il compatible avec les valeurs de nos sociétés? N'est-il pas temps de reparler d'intégration voire d'assimilation autrement qu'en se balançant des insultes?

    On voit déjà, surtout, comment l'autocensure, qui est -déjà- la règle dans les rédactions, risque de triompher encore un peu plus. Nous aurons peur et c'est bien le but recherché. Les terroristes seront en prison mais le souvenir de la terreur qu'ils peuvent imposer restera et en ce sens ils auront gagné. Pourtant, si nous acceptons l'idée qu'une religion, et une seule, a le droit de ne pas être caricaturée ou offensée, nous aboutirons à cette «tyrannie du silence». Ce sont les soi-disant offensés qui décideront in fine de ce qui se publie ou pas.

    Si nous acceptons l'idée qu'une religion, et une seule, a le droit de ne pas être caricaturée ou offensée, nous aboutirons à cette «tyrannie du silence».

    Certains qui «sont Charlie» voudraient limiter la parole et l'audience d'Eric Zemmour, un autre «provocateur», lui aussi menacé, qui «ne mérite pas d'être lu» selon le Premier Ministre Valls. Défendre Zemmour, c'est aussi honorer la mémoire des journalistes de Charlie Hebdo.

    Zemmour prophétise des guerres civiles en Europe: des propos inacceptables pour d'aucuns. Ironie du sort, cette semaine, le jour de sa visite à Bruxelles, un commissariat de police était attaqué au cocktail Molotov par une cinquantaine de «jeunes», selon la terminologie consacrée. En Allemagne, à Dresde, PEGIDA mobilise 18 000 personnes contre l'islamisation de l'Europe; en Suède quatre mosquées sont visées par des incendies… Ce n'est pas encore la guerre civile mais cela commence à ressembler à des sociétés profondément divisées, en désaccord sur des valeurs fondamentales. Les mêmes qui «sont Charlie» refusent souvent de débattre de ces sujets autrement qu'en disqualifiant ceux qui les abordent en les traitant de racistes ou de fascistes.

    Charb, le directeur de Charlie Hebdo disait: «Je préfère mourir debout que vivre à genoux». Reste à voir comment nos sociétés vont honorer sa mémoire. Mais je crains que Plus ça change*

    *«The more it changes, the more it's the same thing», un épigramme de Alphonse Karr en 1849.

  • Une femme médecin retrouvée égorgée

     

    Vendredi 09/01/2015 à 23H42 Saint-Mitre-les-Remparts

     

     
     
     Le corps sans vie d'une praticienne, âgée de 70 ans, a été découvert en début de soirée à son domicile située dans la commune de Saint-Mitre les Remparts (Bouches-du-Rhône). Elle portait une large plaie à  la gorge. L'enquête, confiée à la Sûreté départementale, s'oriente vers un acte criminel.

    La Provence

  • VIDEO - Coulibaly a affirmé s'être "synchronisé" avec les frères Kouachi

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/terrorisme-coulibaly-affirmait-s-etre-synchronise-avec-les-freres-kouachi-09-01-2015-4433213.php

  • Quand Amedi Coulibaly, le preneur d’otages de l’épicerie casher, rencontrait Sarközy !

     

    Cliquer pour agrandir

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  • A tous les cathos mièvres et aveugles

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    A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.

    Contre-info.com

  • « Liberté d’expression » : quand Charlie Hebdo réclamait l’interdiction du FN

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    Extrait d’un article paru dans Libération en 1996 :

    « Le 26 avril, Cavanna, Val et Charb (trois piliers du journal Charlie Hebdo) débarquent en estafette dans une annexe du ministère de l’Intérieur. Dans leur coffre, des cartons remplis de signatures qu’ils apportent à un conseiller de Jean-Louis Debré. En huit mois, 173 704 personnes ont répondu à l’appel « pionnier » de l’hebdomadaire pour demander l’interdiction du Front national. Loin de l’anonymat des sondages ou de la sempiternelle discussion sur la montée du FN, ces milliers de signataires ont apposé leur nom, profession, adresse, au bas d’un texte réclamant « de dissoudre le Front national, cette ligue dont le but politique est de faire disparaître la République ». Adressé au président de la République et au ministre de l’Intérieur, la pétition est précédée des articles 1, 2, 4, 6 et 7 de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (elle constitue le préambule de la Constitution), avec lesquels « le Front national est en contradiction flagrante ».

    Fin juin 1995, Cabu dessine, à la une de Charlie Hebdo, Jean-Marie Le Pen menottes aux mains entre deux policiers. En titre: « Que faire contre le Front national? L’interdire ! »

     
  • Fontenay-aux-Roses : un joggeur grièvement blessé par balles - Une étrange tentative de meurtre

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    Parc de Sceaux (Hauts-de-Seine)

    V.M. | 08 Janv. 2015, 16h34 | MAJ : 08 Janv. 2015, 21h00

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    Un homme a tiré sur un joggeur mercredi soir à Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine). Le sportif était entre la vie et la mort ce jeudi soir alors que dans un premier temps ses blessures paraissaient peu graves. Comme il en a l'habitude, cet homme de 32 ans a stationné sa voiture à Verrières (Essonne) avant d'aller courir sur la promenade de la coulée verte non loin du Parc de Sceaux.

    Vers 20 h 30, il a croisé un homme qui l'a poursuivi avant de lui tirer dessus à trois reprises. Les projectiles, des balles de 9 mm, l'ont atteint à deux reprises à une jambe et une troisième fois en haut du dos. Malgré les balles reçues, la victime a pu atteindre un pavillon voisin situé à quelques dizaines de mètres. Son occupante a appelé la police. Quand les forces de l’ordre et les sapeurs-pompiers sont arrivés sur place, l’homme était toujours conscient. Il a pu indiquer que son agresseur a tiré à l'arme de poing, qu'il était vêtu d'une doudoune noire à col de fourrure, rabattu sur la capuche. L'homme l'aurait agressé sans raison apparente et a pris la fuite en direction de Sceaux.  Le Service départemental de la police judiciaire (SDPJ 92) est chargé d’enquêter sur cette étrange tentative de meurtre.

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    Le Parisien



     

  • QUI SONT LES 450 MIGRANTS DU CARGO ARRAISONNÉ EN ITALIE ?

     
     
     

    Un nouveau cargo, avec 450 réfugiés à son bord a été arraisonné par les autorités italiennes. C’est le troisième cargo cette semaine.

    Tout le monde connait l’histoire du cheval de Troie. Du moins le pensais-je.

    Les cargos qui accostent ces jours-ci sur les côtes européennes chargés de centaines de « réfugiés » musulmans (près de 2 000 la semaine dernière) sous le regard attendri des responsables européens me font douter.

    Le cheval de Troie fut l’épisode final de la guerre de Troie.

    Ne pouvant rentrer anonymement en Europe après avoir combattu auprès de l’Etat islamique, des guerriers grecs musulmans furent déguisés en réfugiés et cachés dans de grand chevaux de bois voguant sur la Méditerranée. Arrivés sur les cotes italiennes, ils furent accueillis comme un cadeau des dieux : ils offraient une nouvelle occasion aux Européens de réparer leurs abjects crimes coloniaux en ouvrant les bras aux défavorisés. Cette ruse entraîna la chute de l’Europe.

    Qui sont les plus persécutés, en Syrie et en Irak ?

    Ce sont les Chrétiens, les Yezidis, les femmes, les vieillards, les enfants.

    Y a-t-il des Chrétiens, dans les cargo qui « s’échouent » sur les cotes italiennes ? Pas vraiment. Il y a essentiellement des musulmans. Des enfants, des vieillards, des femmes ? Pas beaucoup, presque pas. La grande majorité, ce sont des hommes seuls. Calais en est le témoin. Leurs parents et grands-parents, leurs familles, enfants, femmes, ne sont-ils pas en plus grand danger qu’eux ?

    L’ONU parle d’un million d’enfants n’ayant pas même une couverture à se mettre sur le dos pour affronter l’hiver tandis que des « passeurs » auraient 2 ou 3 millions de dollars pour acheter des cargos et les abandonner ensuite, comme dernièrement ?

    Et ils seraient maintenant devenus marins, capitaines, mécaniciens, ils auraient appris à faire naviguer les cargos qu’ils abandonnent ensuite ?

    Les « réfugiés » – les reportages se succèdent pour décrire leurs terribles conditions de vie, ont tout perdu. Ils ont à peine de quoi se nourrir. La moitié des 22 millions de Syriens tient avec moins de deux dollars par jour depuis deux ans, et ils auraient 3 000 dollars pour payer les passeurs ? Et si quelqu’un finançait plutôt le voyage de djihadistes déguisés en réfugiés ?

    N’y a-t-il aucun pays musulmans où ces « réfugiés » pourraient trouver un abri ?

    49 pays musulmans, la plupart sous habités, dont certains si riches qu’ils s’offrent des entreprises européennes prestigieuses, ne veulent pas les accueillir ? Alors que l’islam est une religion charitable qui fait le bien et apporte la lumière au monde ? Pourquoi se « réfugier » en Europe où leur mode de vie, leur culture, la pratique de leur religion sont si menacés, l’environnement si hostile, si islamophobe que l’UE préoccupée envisage de promulguer des lois pour les protéger, alors qu’ils seraient si bien en terre d’islam ?

    Posons le problème à l’envers.

    L’Etat islamique a d’énormes ressources financières, des banques, des puits de pétrole. Pour quelle raison se priveraient-ils d’affréter des chevaux de Troie, et faire embarquer quelques milliers d’islamistes qui attendront patiemment les ordres, une fois sur le sol européen ?

    N’attendons pas que les médias mènent l’enquête, ils ne sont plus là pour ça. Leur fonction consiste à faire avaler la pilule à une population européenne abandonnée. Quand aux instances européennes, demander une commission d’enquête serait évidemment discriminatoire et raciste.

    Jean-Patrick Grumberg

    Qui sont les 450 migrants du cargo arraisonné en Italie ? | Dreuz.inf

  • Qui était le tueur de Montrouge et preneur d'otages de Vincennes?

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                                                     Les photos figurants sur l'avis de recherche émis par la préfecture de Police de Paris, vendredi. A gauche, Amedy Coulibaly et à droite, sa compagne, Hayat Boumeddiene. - © Préfecture de police de Paris - montage BFMTV
     

    Amedy Coulibaly, soupçonné d'être à la fois le tueur de Montrouge et le preneur d'otages de la Porte de Vincennes, était bien connu des services de police comme un proche de la mouvance islamiste radicale. L'homme de 32 ans était sorti de prison, il y a deux mois. Il a été tué vendredi après-midi par les hommes du Raid.

     
     
  • Affaire Charlie Hebdo : Le blasphème et le sacrilège n’apportent jamais la paix

     in Politique / by / on 8 janvier 2015 at 15 h 06 min /

     

    charlie hebdo-c'est-cela

    A l’annonce d’un décès, les gens ont souvent tendance à parer le défunt de toutes les vertus. C’est encore plus vrai dans le cas d’une mort violente. Le phénomène est donc connu. Mais il prend une proportion quasiment socialement forcée après l’attentat commis contre la rédaction de Charlie Hebdo. Quiconque ne participe pas au concert louangeur est immédiatement perçu comme un monstre sans cœur par une société formatée par le matraquage médiatique univoque.

    Pourtant, il faut oser le dire et l’écrire, Charlie Hebdo était un journal ordurier. Cette publication se plaisait à dépasser toutes les limites de l’outrance et à choquer pour le plaisir de choquer, mais toujours de la façon la plus odieuse possible.

    Charlie Hebdo affectionnait particulièrement d’offenser les croyants par les blasphèmes et les sacrilèges les plus ignobles, avec une obsession manifeste pour la sodomie. Charlie Hebdo ne faisait pas dans le registre humoristique. Charlie Hebdo cherchait à repousser sans cesse les limites de la tolérance de notre société pour le blasphème poussé au paroxysme de l’abject.

    Bien entendu, cela n’excuse ni ne justifie le geste des auteurs de l’attentat meurtrier. Mais cela signifie que tout cela était prévisible. Parce que, dans la grande misère de notre temps, Dieu est la seule consolation de beaucoup d’entre nous, L’offenser avec salacité et perversion entraîne de façon épidermique répugnance et colère.

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    Encore une fois, répétons-le, cela ne diminue pas l’horreur du geste commis par les terroristes. Mais la nature même des auteurs de cet attentat était prévisible. Il était évident, il faut oser l’avouer, qu’un jour ou l’autre, des islamistes franchiraient le pas. Nos politiciens ne peuvent pas encourager et armer des djihadistes en Syrie pour un calcul à courte vue de renverser Bachar el-Assad et feindre de s’étonner ensuite que ce même islamisme nous revienne avec violence sur notre propre sol.

    Revenons-en à Charlie Hebdo. Partout, on nous proclame que ce journal est devenu l’incarnation immortelle de la « liberté d’expression », étendard « sacré » de notre « démocratie ». Ne nous y trompons pas. Si les auteurs de l’attentat avaient visé les bureaux du journal Minute, ou du Front National, il n’y aurait pas eu la même unanimité d’indignation, soyez-en certains.

    Ici ou là, parmi ceux qui en appellent à « l’union sacrée » autour des « valeurs républicaines », on s’aventure déjà à pointer d’un doigt accusateur, soit Alain Soral, soit Eric Zemmour, voire les deux à la fois, comme responsables d’un climat délétère.

    Mais la responsabilité incombe avant tout à une clique de politiciens et journalistes. Qui ont plongé la France dans un multiculturalisme ingérable, à coups de vagues d’immigration incontrôlées et ininterrompues. Qui ont cherché à détruire le respect pour le sacré hormis quand il s’agit des substitutions de sacré imposées par les lobbies au pouvoir. Qui ont imaginé pouvoir manipuler un djihadisme à l’autre bout du monde et s’aperçoivent qu’on ne joue pas avec des explosifs sans le risque qu’ils vous sautent un jour au visage…

    Ni ceux qui s’évertuent à nous présenter Charlie Hebdo et ses plus ignobles blasphèmes comme le modèle de la liberté d’expression et de la liberté de la presse, ni ceux qui s’obstinent à vouloir faire de leur laïcisme républicain la religion universelle de demain, ne peuvent prétendre apporter la paix.

    Médias-Presse-Info

  • Je me refuse à être un "Charlot"

    Le point de vue très pertinent d'un ami : 
    Non, nous ne sommes pas des "Charlots" !!!

    "Je ne me joindrai pas au chœur des pleureuses professionnelles à la compassion sélective pour lesquelles les morts ne se valent pas : de "petits Blancs" sont massacrés chaque jour, auxquels la caste médiatique accorde tout juste une place dans les pages départementales, sans parler des militaires et policiers tués en service, dont on sait qu'"ils sont payés pour ça". Ainsi j'ai cru comprendre que ce journal, qui vilipendait systématiquement la force publique, était gardé par celle-ci, et que des fonctionnaires de Police sont morts pour ceux qui leur crachaient dessus. Ces journalistes ont été d'abord victimes de leur morgue : ils se croyaient intouchables, et ayant représenté impunément les militaires en tortionnaires, Le Pen en uniforme SA, le Pape sodomisant un enfant, etc. ils s'imaginaient que par exemple figurer le Prophète avec  une bombe comme couvre-chef ferait monter le tirage sans tirer à conséquence. Or le côté sympathique de l'Islam est qu'il n'a pas perdu la notion de sacré, et par voie de conséquence celle de sacrilège.
    L'on saura maintenant que les Etats-Unis et Israël n'ont plus le monopole des "assassinats ciblés", et que ceux qui n'ont pas les moyens de s'offrir des drones pour les effectuer à distance ne reculent pas devant des méthodes artisanales qui ont fait leurs preuves.
    Et pour remettre cette affaire en perspective, rappelons qu'en 1944 et dans les années suivantes, on a en France mis à mort, sommairement ou "légalement", un certain nombre de journalistes, et qu'il s'est alors trouvé une majorité pour estimer que c'était eux qui l'avaient cherché. Je ne sais si c'est à ceci que pensait le dessinateur d'"Ouest-France" de ce jour en figurant des fusillés attachés à des crayons en guise de poteau d'exécution. "
    Louis
     
    (merci à Dirk)

  • Je ne suis pas Charlie...

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