Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 735

  • Prison: l'obligation de servir des repas halal annulée en appel

    3969679_11-1-220998413.jpg

    http://www.leparisien.fr/societe/prison-l-obligation-de-servir-des-repas-hallal-annulee-en-appel-22-07-2014-4020055.php

  • MH17 : les débris de l'avion parlent sur les circonstances de sa chute

    4019641_44x0065-new.jpg

     Publié le 22.07.2014, 14h39 | Mise à jour : 17h34

     

     

     

                                    

    Les débris de l'avion comportent pour certains de multiples petits impacts. Les experts américains tentent d'élucider les circonstances de la chute de l'appareil.  | LP/YANN FOREIX

                    
     

     

     

    Preuves capitales, les débris du MH17 pourront en dire long sur la chute de l'appareil, dans l'est de l'Ukraine. Depuis plusieurs jours, les experts l'affirment avec certitude : lorsqu'il a chuté de 10 000 mètres dans l'est de l'Ukraine, le 777 de la Malaysia airlines a été la cible d'un missile sol-air de long portée, de type «buk». <btn_noimpr>
    Ce mardi, des spécialistes américains tentent de donner davantage de détails sur la manière dont ce dernier a touché l' qui transportait 298 passagers. Ils attestent la thèse évoquée depuis plusieurs jours, selon laquelle un missile SA 11 aurait frappé l'appareil. De fabrication russe, autopropulsé et guidé, le projectile nécessite un lourd dispositif au sol.  

    L'avion touché par de «nombreux petits impacts»

    Le New York Times cite un expert des questions de défense,  Reed Foster, qui a travaillé à partir de clichés de débris du vol MH17. Ces bouts de carcasse de l'appareil ont été pris en photos par des journalistes à quelques kilomètres du site principal du crash, en Ukraine. Sur les images, on aperçoit des bouts de ferraille criblés de petits impacts. Pour le spécialiste Reed Foster, cité par le NYT, «au vu du contour des impacts et des boursouflures sur la peinture, ce sont des petits éclats qui ont touché l'avion de l'extérieur». Il détaille : les petits impacts pourraient prouver qu'il n'y a pas eu «scission» de l'appareil, mais que l'avion a été touché par de multiples petits éclats d'obus. 


    Un débris du vol MH17, dans un champ à l'est de l'Ukraine, près de la frontière russe. 

    Les SA 11, qui peuvent toucher leur objectifs à plus de 22 000 mètres et contiennent jusqu'à 20 kilos d'explosifs, peuvent en effet intercepter la cible dans un premier temps. Une fois l'objectif en ligne de mire, le missile peut alors exploser dans les airs à plusieurs mètres de la cible sur laquelle il envoie alors une pluie d'éclats d'obus, à une distance de 30 à 90 mètres. Les multiples projectiles envoyés auraient alors pu endommager les parties de l'appareil, à l'image des ailes et du moteur puis entraîner sa chute. Un hypothèse confirmée par plusieurs experts cités dans le Financial Times. Les experts précisent toutefois que la thèse ne peut pas encore être validée, l'expertise ayant été effectuée seulement sur quelques débris de l'appareil. 

    A la tristesse des proches des 298 victimes s'ajoutent désormais la colère. Tous veulent connaître les circonstances du drame qui ont coûté la vie aux touristes ou experts à bord du vol MH17.     

    L'identification des corps pourra parfois prendre «plusieurs mois»
    «Dès qu'une victime sera identifiée, la famille sera informée en priorité, et personne d'autre. Parfois cela peut aller très vite, parfois cela peut prendre des semaines ou même des mois», indique Mark Rutte, Premier ministre Néerlandais. Les dépouilles devraient être transportées mercredi prochain par avion. Pour l'heure, la majorité des victimes sont arrivées à Kharkiv, en territoire loyaliste, les rebelles ayant finalement autorisé leur évacuation dans un train réfrigéré.

    LeParisien.fr

  • Ukraine : le site du crash est altéré "à une échelle industrielle"

    Le Vif

    Source: Belga
    mardi 22 juillet 2014 à 11h13

    Le site du crash de l'avion de Malaysia Airlines dans l'est de l'Ukraine a été altéré "à une échelle industrielle", a déclaré mardi le Premier ministre australien, évoquant "une tentative de maquiller les preuves".

    © Belga Image

    "Il reste un très très long chemin à parcourir", a déclaré devant la presse Tony Abbott, à propos du rapatriement des corps des 28 Australiens tués dans le crash et des efforts pour déférer devant la justice les responsables du tir du missile qui a vraisemblablement abattu l'appareil.
    "Ce que nous avons là, ce sont des indices altérés à une échelle industrielle. Cela doit cesser", a-t-il dit. "Après le crime vient la tentative de maquiller les preuves".

    Menacés de décomposition dans la chaleur de l'été ukrainien, les corps des victimes du crash du vol MH17 ont quitté la zone de la catastrophe et sont arrivés mardi à Kharkiv, ville ukrainienne sous contrôle loyaliste.
    Dans la nuit de lundi à mardi, les rebelles prorusses ont remis à une délégation malaisienne les deux boîtes noires de l'avion de ligne.

    Ils ont en même temps annoncé un cessez-le-feu dans un rayon de 10 km autour du site du crash du vol Amsterdam-Kuala Lumpur de Malaysia Airlines pour faciliter l'enquête sur sa chute, due, selon les Etats-Unis, à un missile tiré de la zone contrôlée par les rebelles.

    Les lieux de la catastrophe "ont été piétinés depuis le tout début et nous n'avons pas vu seulement toute sorte d'individus traîner et ramasser des débris, nous avons vu aussi des équipements lourds venir sur les lieux", a déclaré le chef du gouvernement, qui avait qualifié ce week-end le site du crash de "totalement chaotique".

  • La rose soleil

    photo 1.JPG rose soleil.JPG

    Photo EB - 21 juillet 2014

  • Accident de l'appareil présidentiel polonais à Smolensk (10 avril 2010)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Accident_de_l'avion_pr%C3%A9sidentiel_polonais_%C3%A0_Smolensk

  • Gaza : la majorité des victimes sont des femmes et des enfants

    Le Vif

    Source: Belga
    lundi 21 juillet 2014 à 11h41

    La majorité des victimes sont des femmes et des enfants à Gaza, a affirmé lundi à Genève Médecins sans frontières (MSF). L'ONG demande à Israël de cesser de bombarder les civils et de respecter le personnel médical et les structures de santé.

    Dans-un-h-pital-de-Gaza-le-20-juillet-2014-.jpg

    Dans un hôpital de Gaza, le 20 juillet 2014. © Belga Image

    "Alors que le discours officiel soutient que l'offensive terrestre a pour but de détruire les tunnels, l'on voit sur le terrain que les bombardements sont indiscriminés et que ceux qui en meurent sont des civils", a affirmé Nicolas Palarus, coordinateur du projet de MSF à Gaza, cité dans un communiqué.

    A l'hôpital Al-Shifa où travaille MSF, la plupart des blessés qui arrivent en salle d'urgence sont des femmes et des enfants, selon l'ONG. "En salle de réanimation des urgences, la moitié des cas sont morts dans les minutes qui ont suivi leur arrivée à l'hôpital, l'autre moitié avait besoin de chirurgie d'urgence", a précisé Audrey Landmann, coordinatrice des activités médicales de MSF à Gaza.

    "Au moins la moitié d'entre eux sont des enfants", a-t-elle ajouté. Dimanche matin, une voiture MSF a échappé de peu à une frappe aérienne tombée à 300 mètres du véhicule clairement identifié. Les autorités israéliennes avaient pourtant garanti à MSF un mouvement sécurisé depuis Erez jusqu'à Gaza ville pour transporter sa nouvelle équipe chirurgicale, a indiqué l'organisation.

    A l'hôpital Shifa, l'équipe MSF a vu deux ambulanciers morts et deux autres blessés alors qu'ils tentaient de ramener des blessés depuis le quartier pilonné de Shuja'iyeh.

    "Les bombardements et les frappes aériennes sont non seulement intenses mais aussi imprévisibles, ce qui rend particulièrement
    difficile pour MSF comme pour tous les autres médicaux de se déplacer pour apporter les soins. Les travailleurs médicaux et les structures médicales doivent être respectées, aucun tir ne devrait se produire contre ou à proximité des ambulances et des hôpitaux", a déclaré Nicolas Palarus.

  • Manifestation pro-palestinienne interdite: prison avec sursis pour des émeutiers

    http://www.leparisien.fr/faits-divers/manifestation-pro-palestinienne-interdite-prison-avec-sursis-pour-des-emeutiers-21-07-2014-4017725.php

  • Condamnée à 500 euros d'amende pour avoir nourri des chats errants

    21_07-Un-chat-errant-photo-d-illustration-_-930620_scalewidth_630.jpg

    Le règlement sanitaire de la préfecture de Saône-et-Loire interdit les gestes répétés et continus concernant l’assistance à animal en difficulté.

    Elle ne pensait pas que sa générosité la conduirait devant la justice. Une retraitée originaire de Mâcon a été condamnée à 500 euros d'amende pour avoir nourri des chats errants, rapporte Le Journal de Saône et Loire.

    >>> LIRE AUSSI - Expulsé de chez lui pour avoir nourri des pigeons

    Un déménagement qui dérange. Propriétaire de quatre chats, elle avait pris l'habitude de nourrir quotidiennement ceux du quartier. Mais après son déménagement, les félins ont continué à venir devant l'ancienne propriété de la retraitée, pour réclamer leur repas quotidien. Une situation qui a suscité la colère d'une des voisines. Cette dernière a alors engagé des poursuites, arguant que la retraitée avait abandonné les animaux, désormais "sa" propriété.

    Des raisons d'hygiène et de santé publique. Une enquête a été ouverte et les policiers ont rapidement retrouvé la trace de la retraitée. Sur la base de l'article 120 du règlement sanitaire de la préfecture de Saône-et-Loire, cette dernière a été condamnée à 500 euros d'amende. Selon ce texte de loi, les gestes répétés et continus concernant l’assistance à animal en difficulté sont interdits, notamment pour des raisons d'hygiène et de santé publique, détaille le quotidien régional.

    Europe1 - 21 07 14

  • Florian Philippot invité des "4 Vérités" sur France 2

     NdB: Si "la France" avait été à Londres, De Gaulle aurait été invité à Yalta...

  • Gaza: les Etats-Unis vont pousser pour un cessez-le-feu immédiat

    PHO697fe798-10f0-11e4-b995-d20a35efdc3d-805x453.jpg

    • Plus de 500 morts depuis le début des combats
    • Le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, était attendu ce lundi au Caire
    • La situation est confuse autour de l'enlèvement d'un soldat israélien revendiqué par le Hamas, démenti par Israël
     
     

    Lundi, les raids israéliens ont repris dans la bande de Gaza au lendemain de violents bombardements sur un quartier à l'est du territoire. Dimanche, plus de 120 Palestiniens y ont perdu la vie, tandis qu'Israël a annoncé la mort d'au moins 13 de ses soldats dont deux Américains, ce qui fait de dimanche la journée la plus meurtrière depuis le début du conflit.

    Offensive diplomatique

    Le secrétaire d'Etat John Kerry, actuellement en route pour Le Caire, va pousser pour obtenir un cessez-le-feu immédiat à Gaza et en Israël, a déclaré le président américain Barack Obama.

    «Notre priorité et la priorité de la communauté internationale est d'obtenir un cessez-le-feu pour mettre fin aux combats et préserver la vie de civils innocents, tant à Gaza qu'en Israël», a déclaré Obama lors d'un point de presse depuis la Maison-Blanche.

     

    La position française est plus tranchée. «Tout doit être fait pour mettre un terme immédiat à la souffrance des populations civiles à Gaza», a dit François Hollande à l'issue d'un entretien téléphonique avec le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki-Moon, qui est arrivé en Egypte.

    • Offensive renforcée

    Selon un décompte connu ce lundi à 17h00, plus de 30 Palestiniens sont morts dans de nouveaux raids. Parmi les victimes figure une famille de neuf personnes, dont sept enfants, tous tués dans une frappe près de Rafah (sud) et une autre famille de huit personnes dont 4 enfants tués dans la ville de Gaza, selon le porte-parole des services de secours. Cinq autres personnes sont mortes dans une frappe qui a touché l'hôpital des Martyrs d'Al-Aqsa à Deir el-Balah, dans le centre de l'enclave palestinienne.

    Par ailleurs, l'armée israélienne a annoncé avoir tué lundi matin «plus de 10 terroristes» infiltrés en Israël via un tunnel. Au moins une douzaine de combattants palestiniens ont été tués depuis jeudi dans de tels incidents.

    Le Figaro

  • Gaza: un dimanche particulièrement sanglant, l'horreur à Chajaya

    http://www.bfmtv.com/international/gaza-un-dimanche-particulierement-meurtrier-horreurs-a-chajaya-815975.html

    + VIDEO

  • C’était un 21 juillet…

    21 juillet 2014 par admin4 

    1306 : excédé par leur comportement, le roi Philippe le Bel décide l’expulsion de tous les juifs vivant en France et la confiscation de leurs biens. On parle de 100 000 exilés.

    1861 : première grande bataille de la guerre de Sécession, à Bull Run (Virginie), où les Confédérés battent les troupes de l’Union. Chacun comprend que la guerre sera longue et sanglante.

    1934 : mort du maréchal Louis Hubert Lyautey.
    Ce monarchiste légitimiste a été élu à l’Académie française (1912) et promu maréchal de France en 1921.
    Sa carrière, commencée  à Madagascar, connaîtra son apogée au Maroc où il mènera une politique particulièrement intelligente, en associant l’élite marocaine au développement du pays.

     

    1936 : début du siège de Tolède, dont la défense héroïque est assurée par le colonel José Moscardo (jusqu’au 27 septembre).

    Source : Éphémérides nationalistes

    Contre-info.com

  • Crash en Ukraine : un entretien téléphonique incriminant les rebelles authentifié

    Le Vif

    Source: Belga
    dimanche 20 juillet 2014 à 14h45

    Un entretien téléphonique entre deux chefs rebelles enregistré par les services de sécurité ukrainiens et prouvant que leurs hommes ont abattu un avion civil a été authentifié par des experts américains, a annoncé dimanche l'ambassade des Etats-Unis à Kiev.

    4000694802673.jpg

    © Reuters

    "Les données audio fournies à la presse par le service de sécurité ukrainien ont été examinées par des analystes de la communauté du renseignement qui ont confirmé qu'il s'agissait de conversations authentiques entre des leaders séparatistes connus, en se fondant sur la comparaison entre les enregistrements audio avec des enregistrements de séparatistes connus", a indiqué l'ambassade dans un communiqué.

    Selon ce communiqué, la thèse principale, "fondée sur plusieurs éléments", est que "le vol MH17 a été probablement abattu par un missile sol-air SA-11 (Bouk) tiré depuis le territoire contrôlé par les séparatistes dans l'est de l'Ukraine".

    Les services de sécurité ukrainiens (SBU) avaient publié jeudi soir l'interception de ce qu'ils ont présenté comme une conversation entre deux chefs rebelles après l'examen du lieu du crash.

    - "Ce sont les gars du check-point Tchernoukhine qui ont abattu l'avion. Il s'est désintégré dans l'air", dit l'un d'eux, "Major".
    - "Et alors? " demande l'autre, "Grek".
    - "C'est un avion civil à 100%" (...).
    - "Y a-t-il des armes? "
    - "Non, rien, seulement des affaires civiles".
    - "Des documents? "
    - "Il y en a un d'un étudiant indonésien".

    Cet enregistrement était précédé par une conversation entre le chef rebelle Igor Bezler, un citoyen russe qui parle au colonel du renseignement militaire russe Vassili Guéranine, son officier traitant, selon Kiev.

    - "Nous venons d'abattre un avion (...) On est parti le chercher et prendre en photo", dit Bezler. En présentant ces éléments, le chef des services de sécurité ukrainien Valentin Nalyvaïtchenko avait déclaré qu'il s'agissait de conversations "d'officiers du GRU (renseignement militaire russe) interceptées et transcrites en conformité avec la loi".

    Les rebelles prorusses pourraient avoir les "boîtes noires"

    Les rebelles prorusses ont trouvé "certains matériels qui pourraient être les boîtes noires" de l'avion malaisien probablement abattu par un missile jeudi dans l'est de l'Ukraine, a annoncé dimanche un de leurs chefs, Alexandre Borodaï.

    Il a affirmé être prêt à les remettre aux experts internationaux chargés d'élucider les causes du crash, expliquant que les rebelles "n'avaient pas de spécialistes pour les analyser" et ne faisaient "pas confiance" aux experts ukrainiens. "Ces éléments sont à Donetsk et entre mes mains", a-t-il précisé.

    Poutine doit obtenir des séparatistes un accès total au site du crash

    Le président russe Vladimir Poutine doit "obtenir" des séparatistes prorusses dans l'est de l'Ukraine un accès "libre et total" à la zone du crash du vol MH17, ont "exigé" dimanche le président français François Hollande, la chancelière allemande Angela Merkel et le Premier ministre britannique David Cameron.

    "Ils sont convenus d'exiger aujourd'hui auprès de M. Poutine qu'il obtienne des séparatistes ukrainiens que les secours et les enquêteurs aient enfin libre et total accès à la zone de la catastrophe du vol MH-17 pour accomplir leur mission", indique la présidence française dans un communiqué après des conversations téléphoniques entre le chef de l'Etat français et les dirigeants britannique et allemand.

    "Si la Russie ne prend pas immédiatement les mesures nécessaires, les conséquences en seront tirées par l'Union Européenne à l'occasion du Conseil Affaires Etrangères qui se tiendra mardi", préviennent-ils. "La Russie doit comprendre que le règlement de la crise ukrainienne est plus que jamais un impératif après cette tragédie qui a outragé le monde entier", conclut le communiqué.

    Vendredi et samedi, une trentaine d'inspecteurs de l'OSCE, première équipe internationale arrivée sur les lieux, n'a obtenu qu'un "accès limité" au site étendu sur plusieurs kilomètres où gisent valises éparses, livres, jeux d'enfants et passeports.

    Certains débris "semblent avoir été déplacés" sur le site du crash du Boeing 777 de la Malaysia Airlines, a déclaré samedi soir à Donetsk Michael Bociurkiw, porte-parole de la mission d'observation de l'OSCE.

    Dimanche, l'OSCE a déclaré que ses observateurs ont été informés que 169 corps enlevés du site du crash de l'avion malaisien avaient été placés à bord d'un train réfrigéré en attendant l'arrivée des experts internationaux. Selon un journaliste de l'AFP sur place, plus aucun corps n'était visible sur le site principal du crash de l'avion malaisien sous contrôle des séparatistes. 

    Un chef rebelle s'explique sur le déplacement des corps

    Un chef rebelle, Alexandre Borodaï, a expliqué dimanche à Donetsk que le déplacement des corps de passagers du vol malaisien, qui a suscité de fortes critiques à l'étranger, avait été nécessaire pour les protéger de la chaleur et d'animaux sauvages.

    "Hier, nous avons commencé à déplacer les corps car nous ne pouvions plus attendre, à cause de la chaleur et aussi de la zone où il y a beaucoup de chiens et de bêtes sauvages", a expliqué le "Premier ministre" de la république autoproclamée de Donetsk, lors d'une conférence de presse. "Nous avons bougé les corps par respect pour les familles", a-t-il poursuivi, "car cela devenait inhumain dans ces conditions". "156 corps ont été déplacés à Torez (une ville proche du site du crash - ndlr) dans des wagons réfrigérés" et "ils ne vont nulle part, ils restent à Torez en attendant que les experts arrivent", a-t-il ajouté.

    Un journaliste de l'AFP a vu dimanche après-midi cinq voitures réfrigérées sans fenêtres stationnant en gare de Torez. Le moteur de la locomotive tournait, probablement pour alimenter le système de réfrigération, tandis qu'une employée des chemins de fer déclarait "attendre les ordres" et ne pas savoir si et quand le train pourrait partir.

    Une certaine confusion demeurait sur le nombre des corps placés à bord du train, un porte-parole de l'OSCE ayant indiqué, citant les rebelles, qu'ils étaient 169, alors qu'un responsable ukrainien a évoqué "192 corps et huit fragments de corps".

    Le chef rebelle n'a pas donné de renseignements sur le sort des autres corps, tandis que selon les autorités ukrainiennes, 38 d'entre eux auraient été transportés au service de médecine légale d'un hôpital régional.

    298 personnes avaient péri à bord du vol MH17, dont 192 Néerlandais.
    M. Borodaï s'est également étonné que les experts internationaux ne soient pas encore sur la zone.

  • Plus de 72 heures après le crash, Poutine demande un accès sécurisé au site pour les experts internationaux

    Le Vif

    Source: Belga
    lundi 21 juillet 2014 à 12h01

    Le président russe Vladimir Poutine a assuré lundi que la Russie ferait son possible pour favoriser un règlement négocié du conflit en Ukraine après le crash de l'avion malaisien et demandé qu'un accès sécurisé soit garanti aux experts internationaux sur le site de la catastrophe.

    4000223352794.jpg

    © Reuters

    "La Russie fera tout ce qui est en son pouvoir pour que le conflit passe d'une phase militaire à une phase de négociations pacifiques par des voies exclusivement diplomatiques", a déclaré M. Poutine dans une vidéo diffusée par le Kremlin, sans plus de précision.

    Il a jugé que la catastrophe n'aurait "certainement pas eu lieu si les combats n'avaient pas repris le 28 juin" après la décision de Kiev de mettre fin au cessez-le-feu.

    "Dans le même temps, personne ne doit et n'a le droit d'utiliser cette tragédie à des fins politiques égoïstes", a-t-il estimé.

    "Tous ceux qui sont responsables de la situation dans la région doivent prendre leurs responsabilités devant leur propre peuple comme devant ceux des pays dont des ressortissants ont péri dans la catastrophe", a-t-il ajouté.

    Concernant l'enquête sur le crash, l'homme fort du Kremlin a jugé "indispensable que tout soit fait pour garantir la sécurité du travail des experts internationaux sur les lieux de la tragédie".

    Il a estimé que la présence de représentants des séparatistes, des services de secours ukrainiens et des experts malaisiens n'était "pas suffisante" et jugé "indispensable" l'arrivée d'un "groupe d'experts sous l'égide de l'OACI (Organisation de l'aviation civile internationale, ndlr) constituant une commission internationale".

    "Il faut faire absolument tout pour sa sécurité totale et absolue et garantir des corridors humanitaires nécessaires à ses travaux", a ajouté Vladimir Poutine.

    NdB:  Poutine croit-il à une erreur de tir de la part des serveurs du système de lance-missiles BOUK ?

  • Vol MH17: les corps évacués deux jours après le crash par des pro-russes armés


    Vol MH17 : les corps évacués deux jours après... par leparisien