
Ni salée ni sablée... la neige devenait une catastrophe
En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Ni salée ni sablée... la neige devenait une catastrophe



Un homme a été interpellé à Paris (XIe), dans la nuit de lundi à mardi, après avoir poignardé une femme qui lui avait offert l’hospitalité.
(…)
La victime, elle, est très grièvement blessée. Son agresseur lui a porté quatre coups de couteau : au cou, à la poitrine, au bras et à l’épaule.


06/02/2018 – FRANCE (NOVOpress)
Depuis le 30 janvier, une centaine d’immigrés clandestins occupent une partie des locaux de l’université Paris VIII à Saint-Denis, défendus bec et ongle par un collectif formé d’étudiants militants. Ces derniers prétendent s’inscrire dans les valeurs de l’établissement surnommé « l’université-monde ».
Le collectif, qui parle au nom des immigrés, a fait savoir que la proposition de relogement ne serait pas acceptée car : « Nous avons fui des prisons, comme en Libye, et le lieu que vous proposez nous remémore les prisons».
« Les exilés du bâtiment A » comme ils se nomment eux-mêmes accusent également le gouvernement d’avoir : « déporté un grand nombre de personne ces derniers temps ».
Les revendications vont plus loin : le collectif a publié une tribune dans Libération dans laquelle il exige, à grand renfort d’écriture inclusive, la fin de la distinction entre réfugiés politiques et migrants économiques ainsi que l’abrogation du règlement de Dublin qui doit entraîner, lorsqu’il est appliqué, le renvoi d’un immigré dans le pays dans lequel il s’est enregistré lors de son entrée dans l’UE.

C’est un fait-divers insolite qui s’est déroulé ce samedi dans le quartier des Beaux Arts à Montpellier mais qui aurait très bien pu tourner au drame. Un homme, dans un état second, a été interpellé par la police alors qu’il était complètement nu.
Arrêté nu à quelques mètres d’un orphelinat. C’est au croisement de la rue Saint Vincent de Paul et de la rue Caizergue, qu’un homme qui se trouvait sous l’emprise de stupéfiants, a été interpellé par la police ce samedi alors qu’il se trouvait complètement nu.
Merci à Andy
Il jette l'argent des Français par les fenêtres ! Pendant ce temps, nos vieux crèvent de faim.

Certains participants laissèrent tomber leur masque de musulmans modérés et révélèrent leurs véritables visages et leurs plans machiavéliques pour leur pays d’accueil.
L’ayatollah Reza Ramezani, le leader du centre islamique demanda, le plus sérieusement du monde, que les partis politiques ne soient pas autorisés à interférer dans les affaires religieuses car selon lui, ils ne devraient pas avoir le droit d’exprimer leurs opinions en matière religieuse. Il souhaiterait, en outre, que les politiciens musellent toute critique de l’islam. Son souhait liberticide n’est-il pas déjà exaucé par Mutti Angela ?
L’érudit islamique sud-africain Farid Esack avait estimé quant à lui que l’idée d’un Etat islamique en Allemagne devrait être sérieusement prise en considération. (Il est vrai que pour les musulmans, toute la terre appartient à Allah, donc à ses fidèles.)
Ce défi agressif de l’Islam à la société démocratique fut relaté par la chaîne N24.
Ramezani critiqua également l’Occident pour avoir approuvé les caricatures, oh combien insultantes de Mahomet– vous savez, l’homme le meilleur au monde, l’exemple à suivre par toute l’humanité– et blâma l’Allemagne pour son islamophobie.
«Le saint prophète fut offensé et les partis politiques allemands eurent l’audace sacrilège de soutenir les caricatures danoises de Mahomet. Est-ce cela la liberté d’expression ?»s’interrogea avec amertume l’ayatollah ?
«Si l’islamophobie progresse en Occident, c’est à cause des fausses interprétations de l’islam par des non-experts. Plus de 80 pour cent des médias répandent de fausses informations.»
En d’autres termes, seuls les experts islamiques doivent être consultés à propos de l’islam. Ainsi, ils pourront séduire les infidèles par la ruse de la taqiyya. Personne ne devrait être autorisé à émettre la moindre critique sur la «religion» d’Allah, afin de permettre à l’islam de régner en maître absolu. Dès lors, la création d’un Etat islamique en Allemagne deviendrait tout à fait légitime.
Des musulmans d’Allemagne ne cachent plus leur impatience de voir la démocratie constitutionnelle se transformer en une dictature fasciste islamique.
Si nous ne voyons pas encore clairement le sort funeste que nous réserve l’avenir, si nous ne remettons pas l’islam à sa place, alors il n’y a plus d’espoir.
Ci-après, quelques déclarations éclairantes d’éminents érudits islamiques qui devraient faire prendre conscience du danger imminent qui menace l’Allemagne, nos pays, notre continent.
Il y eut plusieurs années de froid glacial entre al-Azhar et le Vatican, suite au discours du Pape Benoît XVI à l’Université de Ratisbonne sur le rapport entre la Foi et la Raison, intitulé «Foi, Raison et Université» au cours duquel il cita un passage du 16e siècle relatant l’entretien entre l’empereur orthodoxe Manuel II Paléologue et un musulman cultivé :
«L’empereur connaissait les dispositions développées et fixées dans le coran à propos de la guerre sainte. Il dit avec rudesse à son interlocuteur musulman : montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme sa mission de diffuser par l’épée la foi qu’il prêchait»,
Les relations entre al-Azhar et le Vatican se réchauffèrent depuis l’élection du Pape François.
Près de 40 ans après ses débuts en Allemagne, le Milli Görüs, dont le logo est la carte de l’Europe happée par un croissant islamique est devenu une pieuvre tentaculaire ayant essaimé dans tous les pays d’Europe.
Comme toute organisation islamique, Milli Görus se sert de la démocratie allemande pour y instaurer un état religieux.
Nail Duran, l’ancien président de la Fédération de l’islam avait indiqué que «Vision nationale» (Milli Görus) n’était pas une institution religieuse mais politique :
«L’espace politique de Vision nationale est la Turquie. Elle n’est pas une institution religieuse. L’islam dans sa définition réelle est une religion politique : il s’agit de l’ensemble des lois divines qui régissent les opinions et les actes des gens dans tous les domaines. Comme c’est la réalité, il n’est pas juste de dire que la religion est une chose et l’Etat une autre.»
Et le bouquet final :
«L’islam appartient à l’Allemagne» (Angela Merkel, chancelière, islamo-collabo). L’islam est devenu le 4 septembre 2015 le plus grand risque pour la sécurité du pays depuis la chute du Pacte de Varsovie, en ouvrant les portes de l’Allemagne à une invasion massive de mahométans.
Celui ou celle qui déroule le tapis rouge à l’islam et encourage son chemin vers le pouvoir sans aucun esprit critique devrait être, dans un Etat de droit, jugé pour haute trahison à l’égard du peuple allemand.
Hélas, ce n’est pas l’islamisation en cours de l’Allemagne et de l’Occident qui inquiète, consterne et effraye les évêques allemands Ralf Meister et Norbert Trelle non, mais l’élection de Donald Trump et son slogan «America first». Selon ces prélats, les politiciens doivent être les avocats du vivre ensemble. Ils ne doivent pas construire des murs, mais des ponts entre les peuples.
Tout comme notre bon Pape François, la montée du populisme horrifie ces hommes d’Eglise. Le parti patriote Alternative für Deuschland qualifié de populiste, représenterait donc un danger majeur pour l’Allemagne, mais les discours islamistes suprématistes et haineux des musulmans allemands et leur objectif avoué de faire de l’Allemagne un califat islamique ne semblent guère susciter une frayeur quelconque dans leur esprit perverti par le dogme du multiculturalisme à prédominance musulmane, érigé en nouvelle religion censée apporter bonheur, justice et paix aux Occidentaux.
Ces inquiétudes rejoignent curieusement celles exprimées par le Pape François, qui récemment déclara :
«Du populisme au nazisme, il n’y a qu’un pas.»
Le pape François a appelé à la patience avant de juger Donald Trump sur ses actes. Le Saint-Père avait déjà réagi vendredi à l’investiture du nouveau président américain en espérant que ses décisions soient guidées par des «valeurs spirituelles et éthiques».
«Je crois que nous devons attendre et voir ce qu’il fera. Nous ne pouvons pas être des prophètes de malheur», a déclaré dimanche le pape dans une interview accordée au quotidien espagnol El Pais. «Nous verrons comment il agit, ce qu’il fait et j’aurai alors une opinion. Mais avoir peur ou se réjouir à l’avance de quelque chose qui pourrait advenir est, à mon sens, plutôt mal avisé», ajoute-t-il.
Le chef de l’Eglise catholique met également les Européens en garde contre le populisme, leur enjoignant de ne pas reproduire les erreurs des années 1930 en se tournant vers de prétendus «sauveurs».
«Les crises provoquent des craintes, des alertes. Pour moi, l’exemple le plus typique du populisme européen, c’est l’Allemagne en 1933. Un peuple submergé dans une crise qui a cherché son identité jusqu’à ce que ce dirigeant charismatique (Hitler) se présente et promette de lui rendre son identité, mais qui lui a rendu une identité pervertie et nous savons tous ce qui s’est passé», résume-t-il.
«Hitler n’a pas volé le pouvoir, son peuple a voté pour lui puis il a détruit son peuple. C’est le risque», a encore ajouté le pape. (Tribune de Genève)
Aujourd’hui, c’est l’islamo-nazisme qui constitue le plus grand danger pour le monde libre et non Donald Trump ni les partis patriotes qui s’opposent à l’asservissement de leurs peuples à l’idéologie la plus néfaste qu’ait connu l’humanité : l’islam. En martelant l’unique impératif de l’accueil de masses de migrants majoritairement musulmans, l’Eglise se fait complice de l’invasion, source de chaos.
Idéologie que vous, les chantres du multiculturalisme, soutenez de tout cœur au point de renier vos propres racines judéo-chrétiennes et mettre en péril la survie des peuples européens.

«Je suis sidérée par le peu d'émotion qui les anime» confie l'avocate de la victime, Me Lion en regardant trois personnes dans le box du tribunal correctionnel de Toulouse. La victime, un homme de 43 ans atteint d'une sclérose en plaque, sans l'usage de ses membres, dont l'incapacité s'élève à 80 %, a assisté impuissant à son cambriolage le 4 octobre 2017, route de Launaguet, à Toulouse. Il a été réveillé au milieu de la nuit par un bruit et a aperçu depuis son lit, deux personnes encagoulées dans sa chambre. Éclairés d'une lampe torche, les voleurs se sont emparés de son téléphone (seul moyen pour lui de communiquer avec l'extérieur grâce à une commande vocale), de sa carte bancaire et de sa voiture spécialement aménagée pour son handicap. La victime a expliqué son désarroi aux enquêteurs de la brigade de répression des atteintes aux biens. «J'ai dû attendre l'arrivée de mon infirmière à 8 heures pour prévenir quelqu'un. Ce vol m'a privé des deux choses qui me permettaient d'avoir un tout petit peu d'autonomie : mon téléphone et ma voiture.»
Durant l'enquête, les policiers de la sûreté départementale ont constaté que la porte d'entrée de la victime s'ouvrait avec un code. Ils en ont déduit que le voleur connaissait sa victime. Une salariée d'une association d'aide aux personnes handicapées a été la première identifiée. Lors de l'audience de comparution immédiate, cette femme ne cache pas sa honte : «Je travaillais pour la victime depuis 2014, 2 à 3 fois par semaine. Donc je connaissais le code. Un soir, alcoolisée, j'ai soumis l'idée de lui voler sa carte bancaire, uniquement ça. On est parti à trois. Mon petit ami est resté au volant du véhicule. Je suis rentrée dans la maison avec un ami. Je suis honteuse».
Avec elle sous une cagoule, un garçon de 18 ans. «Voler le véhicule faisait également partie de notre projet. C'est moi qui m'en suis chargé, explique-t-il au tribunal. La même nuit on a essayé de la vendre au Mirail. Un mec nous l'a pris, il devait nous payer plus tard». Le véhicule a en effet été retrouvé au Mirail incendié trois jours plus tard». Le petit ami de la jeune femme, âgé de 23 ans, déjà condamné à quatre reprises, confirme : «Nous connaissions l'état de vulnérabilité de la victime...» Le procureur, Olivier Mouysset, est révulsé. «Les faits sont inacceptables». Il requiert des peines allant de 12 mois dont 6 assortis du sursis simple à 18 mois fermes, toutes assorties d'un mandat de dépôt. En défense, Mes Maury, Leclerc et Djafel insistent sur la reconnaissance des faits par leurs clients et la honte qui les habite. Le tribunal a condamné les trois prévenus à la peine de 1 an de prison avec mandat de dépôt. Un expertise a été ordonnée par le tribunal pour évaluer l'impact de cette agression sur la victime «dont l'état de santé s'est dégradé depuis les faits», dénonce son avocate.

Innocent. Le prénom de l’Africain de 29 ans résonne comme un oxymoron à la lumière de la barbarie déployée contre la jeune Romaine, dont le corps démembré a été découvert sur le bord d’une route à la périphérie de Macerata. Ce meurtre, déjà horrible, prend des contours de plus en plus macabres.
Désormais le soupçon qu’un rituel tribal prend forme dans la maison des horreurs de la rue Split, dans le centre de la ville, où vivent des Nigérians et où les carabiniers ont retrouvé les vêtements ensanglantés de Pamela.
Les premières investigations démontrent que le cadavre de la jeune fille a été martyrisé, avant d’être démembré. Des blessures ont été trouvées sur les membres tranchés. Pour effacer les traces de son ADN, Innocent Oseghale, le tueur a soigneusement rincé ses membres à l’eau de Javel. Mais il y a un détail encore plus effrayant: les intestins et le cœur ont disparu. Ce dernier détail amène les enquêteurs à émettre des hypothèses relatives à un rite vaudou. […]
Merci à Yuri

Innocent. Le prénom de l’Africain de 29 ans résonne comme un oxymoron à la lumière de la barbarie déployée contre la jeune Romaine, dont le corps démembré a été découvert sur le bord d’une route à la périphérie de Macerata. Ce meurtre, déjà horrible, prend des contours de plus en plus macabres.
Désormais le soupçon qu’un rituel tribal prend forme dans la maison des horreurs de la rue Split, dans le centre de la ville, où vivent des Nigérians et où les carabiniers ont retrouvé les vêtements ensanglantés de Pamela.
Les premières investigations démontrent que le cadavre de la jeune fille a été martyrisé, avant d’être démembré. Des blessures ont été trouvées sur les membres tranchés. Pour effacer les traces de son ADN, Innocent Oseghale, le tueur a soigneusement rincé ses membres à l’eau de Javel. Mais il y a un détail encore plus effrayant: les intestins et le cœur ont disparu. Ce dernier détail amène les enquêteurs à émettre des hypothèses relatives à un rite vaudou. […]
Merci à Yuri
Trois mois après la première session du Parlement, l’AfD a pris ses marques et est devenu le principal parti d’opposition.

(….) Plus de trois mois après la première session du Parlement, l’AfD prend ses marques. Mercredi, elle a obtenu trois présidences de commission dont deux des plus importantes: Stephan Brandner va présider la commission des lois et Peter Boehringer la commission des finances, celle qui revient au parti leader de l’opposition. Avant d’être élus, le premier avait jugé que la chancelière devait aller «en prison» pour sa politique migratoire, le deuxième avait tout simplement traité la chancelière de «traînée». Au sein de l’Alternative für Deutschland, on balaie les critiques en assurant que les trois députés ont «les compétences» nécessaires. «Qu’il y ait de la méfiance envers nous n’est pas nouveau, mais nous saurons faire avec», a ironisé mercredi soir Alice Weidel, la présidente du groupe. Le sourire aux lèvres, elle a évoqué les sondages «en hausse»: 3 points séparent dans certaines enquêtes l’AfD du SPD.
Les attaques de l’AfD se concentrent toujours sur Angela Merkel et sa politique migratoire. Pour l’instant, elle a choisi de les ignorer. Jeudi, lors du débat au Bundestag sur la suspension du regroupement familial pour certains réfugiés, elle avait d’ailleurs quitté le banc du gouvernement au moment où l’orateur de l’AfD prenait la parole pour demander le renvoi des demandeurs d’asile dans leur pays d’origine. «Si l’AfD est ici, au Bundestag, c’est pour faire vivre le pluralisme des idées», a ensuite lancé un autre député, Jürgen Braun, en dénonçant au passage les réfugiés «qui font venir leurs deuxièmes épouses en Allemagne». «La polygamie n’a pas sa place ici», a-t-il tonné.
Le texte élaboré par la CDU/CSU et le SPD dans le cadre de leurs discussions de coalition a ensuite été adopté. Les futurs partenaires ont décidé de mettre en place un contingent de 1 000 personnes par mois pouvant bénéficier du regroupement familial. Imparfait, le compromis divise la future majorité. Les sociaux-démocrates assurent avoir emporté une victoire, puisque l’étude des «cas d’urgence» pourra se faire en dehors du quota. Mais, pour les conservateurs, le droit général au regroupement familial doit être supprimé. L’AfD s’est plu à jeter jeudi du sel sur les plaies ironisant sur «toutes les interprétations du texte».(…)
Merci à valdorf
