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Blog - Page 88

  • LE JOURNAL TVL 30/01/18

  • Nouvelles révélations sur l'affaire Théo

    https://fr.novopress.info/209341/nouvelles-revelations-au-sujet-de-laffaire-theo/?utm_source=feedburner&utm_medium=email&utm_campaign=Feed%3A+novopressfrance+%28%3A%3A+Novopress.info+%7C+Agence+de+presse+ind%C3%A9pendante%29

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  • Patrice Quarteron s’excuse d’avoir accusé à tort les policiers dans l’affaire Théo: « j’ai hurlé avec les loups »

    http://www.fdesouche.com/946475-patrice-quarteron-sexcuse-davoir-accuse-a-tort-policiers-laffaire-theo-jai-hurle-loups

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  • Dossier d’un magazine pour les 8-12 ans : « C’est quoi l’amour ? »

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    21h51
     

    Tout Comprendre N°62 – Février 2018 – Publié le 24/01/2018 / Mensuel Jeunesse

      

    Merci à Manu

     
  • Affaire Théo: la vidéo de son interpellation contredit sa version des faits

    http://www.fdesouche.com/946059-exclusif-affaire-theo-l-la-video-de-son-interpellation

  • Des activistes israéliens de droite distribuent aux migrants les adresses des domiciles de gauchistes : « c’est là qu’il faut aller »

     

    19h57

    Le Dr Michael Ben-Ari et Baruch Marzel sont arrivés aujourd’hui dans le sud de Tel-Aviv et ont distribué des tracts aux infiltrés en Tigrinya, la langue parlée par les natifs de l’Erythrée et de certaines parties de l’Ethiopie.

     
     
     
     

    Les tracts contiennent des adresses et des numéros de téléphone d’activistes de gauche et de membres du parti Meretz qui ont soutenu la demande de certains infiltrés d’obtenir un statut légal en Israël. Marzel et Ben-Ari ont encouragé les infiltrés à se prévaloir personnellement de «l’hospitalité» des militants de gauche en leur fournissant les coordonnées personnelles des activistes lors de simulacres d’invitations.

    «C’est l’adresse où aller,» Marzel dirige un infiltré intrigué qu’il a approché. «Un très bon endroit pour vivre, une belle maison, des repas gratuits, tout est gratuit, vous pouvez tout faire. ils sont prêts Vous pouvez vivre dans un très bon endroit gratuitement avec la famille, avec vos amis, vous pouvez y aller, y vivre quand vous le voulez.  »

    (…) Israel National News

  • FOLHUMOUR

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  • Shoah : une loi polonaise provoque la colère d'Israël et de l'Ukraine

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    Le Parlement polonais à Varsovie, le 12 décembre 2017. 

    Cette loi vise à éviter qu'on utilise l'expression "camps de la mort polonais" à propos des camps installés par l'Allemagne d'Hitler.

    Par L'Obs

     

    Une loi destinée à défendre l'image de la Pologne, y compris par des peines de prison pour ceux qui parlent de "camps de la mort polonais", a suscité la colère d'Israël et de l'Ukraine, l'Etat hébreu allant jusqu'à accuser Varsovie de nier l'Holocauste.

    Depuis son arrivée au pouvoir en octobre 2015, le parti conservateur nationaliste Droit et Justice (PiS) a mis en place une "politique historique" pour réveiller le patriotisme polonais. Elle cherche notamment à exalter les souvenirs d'actions d'éclat face aux Allemands nazis, au régime communiste, aux nationalistes ukrainiens ou à l'Armée rouge, ou encore de Polonais qui ont risqué leur vie pour sauver des juifs. Mais elle vise aussi à empêcher la diffusion de versions de l'Histoire que Varsovie juge injustes et blessantes.

    Une loi concernant la Shoah fait monter la tension

    La tension est montée avec l'adoption vendredi par la chambre basse du Parlement polonais d'une loi concernant la Shoah – l'extermination des juifs par les Allemands survenue en grande partie en Pologne occupée. Aux yeux des conservateurs au pouvoir en Pologne, l'objectif premier de ce texte est d'éviter qu'on n'attribue "à la nation ou à l'Etat polonais" des crimes commis par les nazis allemands, et notamment d'empêcher l'utilisation de l'expression "camps de la mort polonais" à propos des camps installés par l'Allemagne nazie. Six millions de Polonais, dont trois millions de juifs, ont été tués pendant la Seconde Guerre mondiale, selon les chercheurs polonais de l'Institut de la mémoire nationale (IPN).

    Mais le gouvernement israélien a vu dans un passage de cette loi une tentative de nier la participation de certains Polonais à l'extermination des juifs, voire la possibilité de poursuivre en justice des survivants de la Shoah évoquant de tels cas.

    "Nous ne tolérerons pas qu'on déforme la vérité et réécrive l'Histoire ou qu'on nie l'Holocauste", a lancé le Premier ministre Benjamin Netanyahou.

    Le même jour, Kiev a dénoncé un autre volet de la loi. Celui-ci permet de poursuivre en justice ceux qui nient les crimes des nationalistes ukrainiens commis entre 1925 et 1950, y compris de ceux qui avaient collaboré avec les nazis. L'Ukraine "s'oppose catégoriquement à une nouvelle tentative d'imposer un traitement unilatéral d'événements historiques", a déclaré le ministère dans un communiqué, exprimant sa "grande inquiétude face à l'intention de présenter les Ukrainiens uniquement comme des 'nationalistes criminels' et 'collaborateurs du Troisième Reich'". 

    "Nous ne changerons aucune disposition dans la loi"

    Le président Andrzej Duda a cherché à surmonter cette crise en promettant d'examiner les passages de la loi dénoncés par Israël. Pour entrer en vigueur, la loi doit être votée par le Sénat – qui pourrait la modifier – et promulguée par le chef de l'Etat. Le Premier ministre polonais Mateusz Morawiecki s'est entretenu par téléphone dimanche soir avec Benjamin Netanyahou. Selon un communiqué du bureau de ce dernier, ils sont "tombés d'accord pour ouvrir immédiatement un dialogue" et "tenter de parvenir à une compréhension au sujet de la législation" polonaise.

    En revanche, la porte-parole du parti au pouvoir, Beata Mazurek, a adopté un langage moins conciliant. "Nous ne changerons aucune disposition dans la loi [...] Nous en avons assez des accusations contre la Pologne et les Polonais pour les crimes allemands", a-t-elle écrit sur son compte Twitter.

     

    Nie będziemy zmieniać żadnych przepisów w ustawie o IPN.Mamy dosyć oskarżania Polski i Polaków o niemieckie zbrodnie.

     

    L'ambassadrice d'Israël à Varsovie Anna Azari, a déclaré dans un discours à l'occasion de la Journée de la mémoire de l'Holocauste, que son pays "veut corriger, avec la Pologne, les erreurs historiques et ne parler que de camps de la mort nazis".

    "Il est triste de voir que la querelle qui a éclaté est en quelque sorte un triomphe de l'idéologie du nazisme", a-t-elle ajouté.

    Le Congrès juif mondial a, de son côté, critiqué la loi polonaise, qualifiée d'"acte de brouillage historique et attaque contre la démocratie". La France, pour sa part, "rappelle son attachement à la mémoire de la Shoah, à sa préservation, à sa transmission et à son respect partout dans le monde", a indiqué une porte-parole du ministère des Affaires étrangères.

  • N’Guessan validé, Drec’hen recalé : les prénoms à apostrophe acceptés pour les immigrés , interdits pour les Bretons

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    21h00
     

    Les autorités refusent à des parents le droit de donner à un enfant un prénom breton à cause d’une apostrophe. Mais acceptent des prénoms étrangers dans le même cas…

    Le procureur de la République de Rennes a-t-il décidé de gonfler les voiles du vote Front national? On peut se le demander en observant ses étranges décisions concernant l’état-civil. Ouest-France a en effet révélé que le magistrat avait refusé d’accéder au désir de parents qui souhaitaient donner à leur enfant un prénom breton traditionnel, Drec’hen, né en août 2017, en raison d’une apostrophe. Mais, dans le même temps, il a accepté des prénoms d’origine étrangère possédant eux aussi une apostrophe. (…)

    3. Enfin et surtout, la même ville de Rennes a accepté plusieurs prénoms comprenant une apostrophe, et ce après l’entrée en vigueur de la circulaire de 2014: N’Guessan et Chem’s, en 2015, D’jessy en 2016, N’néné et Tu’iuvea en 2017. Cinq appellations d’origine africaine et polynésienne, en l’occurrence. La situation est donc ubuesque. Sur le sol breton, des prénoms d’origine étrangère seraient donc admis tandis que des appellations traditionnelles seraient refusées. On marche évidemment sur la tête.

    (…) Gênée, la municipalité de Rennes a depuis avancé un autre argument, encore plus surréaliste. « Les officiers de l’état-civil ont en effet accepté des prénoms contenant une apostrophe, car ils ont considéré que, dans ces cas précis, l’apostrophe ne changeait pas la prononciation du prénom. Alors qu’en Breton, le C’h change la prononciation. » Inventant ainsi un « délit de sonorité » qui n’existe dans aucun texte officiel. (…)

               

    Le procureur, lui, a depuis fait savoir qu’il allait « procéder, de manière précise et détaillée, à un nouvel examen de cette situation juridique, en lien avec l’administration centrale ». On ne saurait le lui déconseiller. (…)

    (Merci à 

  • Laura Laune: "la prof"

    On ne peut pas s'empêcher de rire avec Laura!

  • La guérilla ethnique s’aggrave. Par Guillaume Faye

     

    25 JANVIER 2018 PAR GUILLAUME FAYE

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    Chaque année, pendant la nuit du Nouvel An, les incidents provoqués gratuitement par les ”jeunes” d’origine immigrée sont de plus en plus graves et s’apparentent à ce que Marine Le Pen a décrit dans un communiqué du 1erjanvier 2018 : « ces scènes d’une rare violence viennent rappeler que perdure et s’amplifie dans notre pays, à côté de la menace terroriste, une insécurité confinant parfois à la guérilla urbaine ». Elle n’a pas osé désigner, politiquement correct oblige, l’origine des auteurs des faits. On lui pardonne, elle est tenue. De son côté, le ministère de l’Intérieur a reconnu que la soirée avait été « un peu chaude », mais que les festivités se sont globalement « bien passées » avec « très peu d’incidents ». Ah bon ?

    Tentative d’homicide filmée et diffusée

    Essayons d’interpréter les faits d’agression en prenant du recul.  À Champigny–sur–Marne, une bande de voyous, pas vraiment Français de souche, tente d’entrer dans un lieu où se déroule un réveillon privé, dont ils défoncent la porte. Appelée, la police les expulse. Mais deux policiers, un homme et une femme, se font isoler et cerner pendant l’émeute qui s’ensuit. Ils sont lynchés et tabassés par des dizaines de ”jeunes” (devinez leur origine…). La jeune policière, à terre, est rouée de coups de pieds, surtout au visage. La scène, insoutenable, est filmée au smartphone par un des agresseurs et les images, comme un exploit à imiter, seront diffusées sur les réseaux sociaux. Appelés en renfort d’autres policiers viennent les secourir. Deux voyous seulement ont été placés en garde à vue. Les deux fonctionnaires, gravement blessés, sont hospitalisés avec dix jours d’interruption de travail.

    Ce sont des miraculés car l’intention de les tuer était manifeste. Patrice Ribeiro, patron du syndicat de policiers Synergie–officiers a analysé : « Cela témoigne de l’explosion exponentielle des violences perpétrées contre les policiers, avec une volonté homicide décomplexée. Cette scène de lynchage est digne des pays où les mœurs les plus barbares ont cours »(1)Sans réponse judiciaires fermes, nous courrons à des drames ». Une autre attaque du même type, avec double agression a été perpétrée à Aulnay–sous–Bois contre des policiers. Il faut dire que l’État est objectivement complice des voyous, en dépit des communiqués pro–police tonitruants, martiaux, indignés et creux de ses plus hautes autorités  –MM. Macron et Collomb, le ministre de l’Intérieur – qui n’envisagent pas une seconde de rétablir les peines planchers, abrogées en 2014, pour les agresseurs de policiers ! Bidon, mensonge et spectacle, au sommet d’un État qui est gouverné par des… [je vous laisse choisir le terme].

    Essayer de tuer un policier si l’on est d’une certaine origine… est, objectivement, dans la France en décomposition d’aujourd’hui,  nettement moins puni par des magistrats gauchisés que si, Français de souche, on tire sur un agresseur à domicile d’origine immigrée. 

    Aggravation constante des troubles du Nouvel An

    Mais tout va bien ! Cette même nuit de la Saint–Sylvestre 2017–2018, on a aussi vu 1031 véhicules incendiés, contre 935 l’année précédente, dont 250 en Ile–de–France, surtout évidemment près des zones où se concentrent des jeunes d’origine immigrée.

     510 délinquants ont été arrêtés dans toute la France contre 456 fin 2016. (L’immense majorité est relâchée.) Il y eut aussi 10 policiers et militaires agressés et blessés par nos amis les ”jeunes”.  Eh oui, ça augmente et ça augmentera. Soyez–en sûrs : pratiquement aucun des délinquants ne fera de la prison ou ne supportera la moindre amende.  Les magistrats sont antiracistes…

    Les agressions et émeutes de la nuit de la Saint–Sylvestre ont encore gagné en intensité par rapport à l’an passé et cette montée en puissance se poursuit chaque année depuis 10 ans. À Paris et dans la petite couronne (92, 93, 94), pendant la nuit du Nouvel An, 213 interpellations ont eu lieu contre 202 en 2016 ; 163 véhicules ont été incendiés contre 134 à la Saint Sylvestre 2016. On a enregistré 6 tirs de mortier contre les forces de l’ordre contre 2 en 2016.

    La nouveauté c’est que, maintenant, les agressions et les incendies de véhicules gagnent Paris intra-muros. Les ”jeunes” s’enhardissent. À 20.50 h sur les Champs Élysées les gendarmes mobiles ont arrêté sept individus qui jetaient des canettes pleines dans la foule dans l’intention de faire  des victimes. Les auteurs de cet acte d’hostilité, de guérilla ? Des immigrés clandestins…afghans. Un employé du Fouquet’s a été blessé à l’arme blanche en s’interposant dans une bagarre. Dans le XIe, une serveuse de bar a  été victime d’une agression sexuelle.

    Partout, dans la banlieue parisienne, selon un rapport du ministère de L’Intérieur,  violences et agressions ont été d’un niveau nettement supérieur à l’an passé.  Pour se dégager de guet–apens, notamment à Stains (93), la police a dû utiliser des lanceurs de balles de défense et des grenades. Des guet–apens ont aussi eu lieu à Sevran, à Houilles. À Clichy, ce sont les chauffeurs de bus qui ont été agressés. Toujours par la même population… Ce qui démontre que le niveau de la ”délinquance” est dépassé et que le seuil de la guérilla est franchi. Dans le reste de la France, le niveau de violence de la Saint–Sylvestre a suivi la même progression qu’en région parisienne.

     Selon l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), le nombre de violences « à dépositaire de l’autorité publique »  (policiers, gendarmes, militaires, etc) a triplé en 30 ans, de 10.000 en 1995 à 32.000 en 2016. C’est la France qui est visée par ces symboles et il s’agit bien d’une logique de guerre intestine par des agresseurs qui s’envisagent comme des envahisseurs. Le nombre de policiers blessés en mission est passé de 4.197 en 2008 à 5.767 en 2016, avec une forte hausse récente de ceux blessés par arme, 430 en 2015, 687 en 2016. 

    Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb, a fait cette déclaration qui laisse rêveur : « J’étais à Champigny hier. Quand on voit ces grandes barres, on se dit qu’il y a un aspect totalement inhumain qui ne peut générer que de la violence ». Ridicule. Dans les années soixante, quand seuls des Français de souche habitaient ces ”grandes barres”, tout était calme.

    Taire et censurer la réalité des faits

    Cette délinquance en bandes ethniques organisées est un prélude, un préparatif à une guerre civile ethnique d’agression, dont la corrélation avec l’islamisme est claire. C’est évidemment une des conséquences du laxisme migratoire total qui règne depuis un demi–siècle. La classe politique et les dirigeants français taisent ou travestissent les faits. Aucun média n’a osé révéler l’origine des auteurs des agressions – des ”chances pour la France ”. La totalité des agresseurs et des émeutiers du 31 décembre, comme à chaque épisode semblable (ce que savent bien les services de police qui ont ordre de ne jamais le mentionner dans leurs rapports), était d’origine maghrébine et surtout africaine. Leurs motivations sont non seulement crapuleuses –pillages et vols culturellement ataviques – mais aussi antifrançaises, c’est–à–dire racistes et politiques, avec l’islam en embuscade.  Les grands médias, dans notre pays de très relative ”liberté de la presse”, (35e rang mondial sur 180 pays selon Reporters sans frontières) sont lourdement dissuadés de révéler la vérité sur l’origine ethnique des auteurs des exactions précitées. Ce  qui est stupide, puisque tout le monde sait qui pille, vole, parasite, trafique, agresse, assassine, viole, incendie et éventuellement pose des bombes et égorge à l’arme blanche.

     La lucidité de G.W Goldnadel

     La réponse pénale n’est pas à la hauteur. Les voyous d’origine immigrée se sentent totalement impunis. 100.000 peines de prisons ne sont pas exécutées chaque année. Et pas plus l’actuelle Garde des Sceaux , pas plus que la calamiteuse Taubira n’envisage de créer de nouvelles places de prison.

    Le seul à avoir osé dire la vérité sur le lynchage du capitaine de police et de la gardienne de la paix a été l’avocat Gilles–William Goldnadel, dans Le Figaro du 3 janvier 2018 («Lynchage des deux policiers  à Champigny : nommons les faits »). Il laisse entendre tout d’abord ce qu’aucun journaliste apeuré (pléonasme) n’a osé mentionner, mais ce qui est parfaitement visible dans les vidéos de l’agression : les auteurs  étaient tous de jeunes Noirs. Il estime que l’agression était à caractère raciste anti–Blancs et anti–Français.  Et enfin, il accuse les médias et le système politique de dissimuler ces évidences, avec leur utopie totalement échouée du ”vivre ensemble ”.

    Il écrit : « Cette haine sauvage des policiers français n’est pas issue mystérieusement d’une génération spontanée ». Il dénonce la complicité des intellocrates et des médias, de Mathieu Kassovitz et de Médiapart (le site d’Edwy Plenel) avec les agresseurs et les émeutiers. Comme d’ailleurs chez Le MondeLibérationFrance Télévision et Radio France, le tropisme masochiste collaborationniste ou sympathisant avec tout envahisseur – nazi  est un mal français. Du nazisme à l’islam, on adore. La vulgate ”antiraciste” (attention, pas le racisme anti–Blancs, autorisé) règne sans entraves.

    GWG remarque : « les jeunes en groupe déchaînés semblaient habités d’une impression d’impunité. Je ne suis pas le plus mal placé pour écrire qu’elle est largement fondée. […] Ces jeunes de Champigny –sur–haine sont manifestement issus de l’immigration ». Il évoque « le bacille de la haine des policiers français mais celui tout bonnement de la France prétendument raciste. Et du racisme, parlons–en à la fin. On n’entend guère ce mot à propos du lynchage de Champigny. Or supposons un instant, dans une autre affaire, dix Blancs s’acharnant sur deux Noirs à terre ». La médiatisation et l’indignation seraient énormes. Deux poids, deux mesures

    Quand le Noir Théo, voyou délinquant,  avait prétendu avoir été ”violé”  par les matraques de policiers, Hollande, (le président de la République !) était allé le visiter à l’hôpital. Antiracisme oblige. Ni Macron  ni son ministre de l’Intérieur n’ont visité à l’hôpital la jeune policière  tabassée par des Noirs et qui a échappé de peu à la mort. GWG s’interroge : « il n’est que temps de questionner le racisme anti–Blanc, le racisme antifemme et le racisme antipolicier qui sévit dans les quartiers. Sans trembler »

    En réalité, le point de non–retour est atteint. Jamais, l’utopique ”vivre ensemble” ne pourra s’installer. Jamais l’”insertion” ou l’”inclusion” (nouvelle lubie) ne pourront se réaliser. Jamais la haine raciste et jalouse de la France – et des autres peuples européens comme des Juifs– ne pourront s’éteindre dans des  populations en augmentation numérique constante. La guerre civile ethnique se profile de plus en plus clairement.  Et pourtant, ce que nous voyons se dérouler aujourd’hui est bien peu de choses et ressemble à des échauffourées par rapport aux affrontements gigantesques qui se préparent.   

  • Copulation bestiale dans le RER D

    Attention, images très choquantes!  La SNCF annonce avoir transmis la vidéo aux autorités judiciaires.

     

    Une utilisatrice de Twitter a publié, le 25 janvier, la vidéo d’un couple en pleins ébats dans le wagon du RER avec la légende suivante : “Le RER ça a changé” Dans la localisation de son tweet, cette même internaute révèle que les images ont été prises dans le RER D au niveau de la gare d’Épinay-sur-Seine, en région parisienne.

     

    D’après le site gouvernemental Legifrance, “l’exhibition sexuelle imposée à la vue d’autrui dans un lieu accessible aux regards du public est punie d’un an d’emprisonnement et de 15.000 euros d’amende”.

     

  • Selon un récent sondage, l’immigration est la première préoccupation des Français, devant la menace terroriste et le chômage

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  • Le candidat eurosceptique et anti-immigration Miloš Zeman réélu président de la République tchèque (màj VIDEO)

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    19h05

    Le président tchèque sortant pro-russe Milos Zeman a été réélu ce samedi 27 janvier 2018, devançant l’académicien pro-européen Jiri Drahos de 4 points, après le dépouillement d’environ 95 % des bulletins de vote.

     

    Milos Zeman, 73 ans, est crédité de 51,9 % des suffrages contre 48 % pour Jiri Drahos, 68 ans, selon la télévision publique tchèque.

    Miloš Zeman, vétéran de la politique tchèque, ancien du parti social-démocrate (ČSSD), a axé sa campagne sur son hostilité à l’immigration  et au multiculturalisme et sur la critique des institutions européennes.

       
     Face à lui, le novice Jiří Drahoš, ancien président de l’Académie des sciences, faisait figure d’intellectuel libéral pro-européen. Une image qui l’a pénalisé et dont il n’a pas réussi à se défaire, malgré sa position conservatrice sur la question migratoire imposée par son adversaire. (Courrier d’Europe centrale)

    Miloš prend la parole. Il remercie sa femme et sa fille. "Mes chers amis, permettez-moi de vous remercier tous du fond du cœur pour votre soutien dans cette élection", dit-il.

     

    Miloš remercie les électeurs pragois qui lui ont apporté leur voix... Puis ceux de tous les autres régions. Il se félicite ensuite d'avoir obtenu plus de suffrages qu'en 2013 (2,8 millions contre 2,7 millions).

     

    Ouest-France

    Merci à anonimo

  • Ces écoles où l’on ne parle plus français : « La cour de récré est scindée en plusieurs groupes définis par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké »

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    18h25

    Loin des regards du monde politique, des parties entières du territoire font lentement sécession. Un processus inquiétant qui se manifeste dès l’école.

     

    (…) Dans une cité d’une petite ville au nord de Paris. On y arrive par le train. Dès la sortie de la gare, le regard découvre les magasins fermés, les stores baissés et l’impression que l’activité qui subsiste malgré tout a changé de visage : enseignes de restauration rapide, maisons à vendre, boutiques de téléphonie, supérettes bas de gamme, coiffeurs exotiques… Dans la rue, on croise des groupes de jeunes, maghrébins ou turcs, beaucoup d’Africains aussi, et des jeunes filles voilées. Cette ville, parmi les plus pauvres de France, compte une cité qui a longtemps défrayé la chronique avant d’être l’objet d’un programme de réhabilitation qui, si elle a changé la forme, n’a rien réglé sur le fond. C’est dans les écoles de cette cité qu’enseigne Hélène.

     
     
    Sophie Est Finalement Démasquée Auprès Des Fans Après Cette Fuite D'information
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    « Dans ma classe, il n’y a aucun primo-arrivant, mais les origines sont pour un tiers africaine, un tiers turque et un tiers maghrébine, explique-t-elle. J’ai quelques Picards, souvent issus de familles très défavorisées, des “cas sociaux”, comme ils disent eux-mêmes, et aussi quelques enfants de “gens du voyage” qui se sont sédentarisés. Pour la religion, c’est 90 % de musulmans. En tant qu’institutrice, ce qui m’inquiète au plus haut point, c’est que ces enfants, qui sont tous français, sont de moins en moins capables de comprendre notre langue. » Et de décrire une cour de récréation scindée en plusieurs groupes, définis non plus par l’ancestrale séparation entre le football, la marelle ou l’élastique, mais par la langue parlée : le turc, l’arabe ou le soninké. Le français a presque disparu. Les parents d’élèves, très impliqués, ont d’ailleurs récemment émis le souhait que le compte rendu du conseil de classe, qui leur est adressé, soit désormais rédigé en trois langues.

    (…)

    Valeurs Actuelles

    Merci à Simone

     
  • Marseille : cohabitation explosive dans les quartiers Nord entre migrants et immigrés (Màj : « Libérez-nous de cette prison » implore Houda)

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    12h26
     

    27/01/2018

    « Libérez-nous de cette prison ! », implore Houda, locataire dans un immeuble insalubre des quartiers Nord de Marseille investi depuis cet été par plus d’une centaine de migrants en errance. Une cohabitation explosive qui « empire » dans une quasi-indifférence, estiment les habitants.

    Devant la barre H de la cité des Kalliste (15e arrondissement), la misère s’étale au grand jour. Des migrants font leur lessive dehors grâce à une canalisation d’eau détournée, des déchets s’amoncellent, des câbles électriques pendent le long de la façade, des prostituées attendent le client devant la cage d’escalier, des trafiquants de drogue guettent… […]

    Depuis 2011, le bâtiment, décrépi, est promis à la démolition dans le cadre d’un programme de rénovation urbaine de la mairie. Le bailleur social, Marseille Habitat, dont la ville est le principal actionnaire, a acquis un à un les appartements de cette co-propriété privée, mais 15% des propriétaires refusent de vendre au prix proposé, a expliqué l’adjointe au logement du maire de Marseille, Arlette Fructus (LR), vice-présidente de Marseille Habitat.

    « Mes parents ont acheté près de 200.000 euros leur T5 et la mairie leur propose 30.000 euros !« , s’exclame Hamid Benyhia qui s’occupe de sa mère depuis que son père de 85 ans est hospitalisé à la suite d’une chute dans l’escalier plongé dans le noir par une énième coupure d’électricité.

    Treize familles, locataires ou propriétaires, cohabitent dans un climat explosif avec des migrants dirigés depuis cet été pour certains par des marchands de sommeil dans les appartements vides, acquis par le bailleur social. La mairie a recensé 141 occupants illégaux dans 39 logements, mais ils pourraient être beaucoup plus nombreux, tous les appartements n’ayant pu être visités, reconnaît Mme Fructus.

    « On ne sait pas où aller, on arrive au moins à se coucher un peu ici. C’est un ami qui a eu pitié de moi qui m’a indiqué l’endroit« , raconte un jeune migrant ivoirien qui dormait auparavant à la gare Saint-Charles. « On ne peut pas se payer un logement, on attend d’avoir des papiers », poursuit l’homme, arrivé il y a quatre mois en France.

    Le week-end dernier, une rixe au couteau entre migrants a éclaté. Sur place, les pompiers ont relevé les risques d’incendies en raison des branchements sauvages sur les compteurs qui provoquent des surchauffes.

    Pour Roger Ruze, maire (PS) d’arrondissement, l’état des lieux était déjà « catastrophique » en 2011, mais Marseille Habitat « n’a rien fait pour les sécuriser » et la mairie a « laissé la situation se détériorer ». […]

      
     
     

    « C’est affreux ! La nuit, ils cassent des murs pour entrer dans les appartements, se branchent sur notre compteur électrique et nous menacent », s’exaspère Houda. A Noël, les habitants sont restés pendant deux semaines dans le noir. Enedis est intervenu une vingtaine de fois en trois semaines, mais aussitôt résolu, le problème resurgit, souligne la mairie.

    La mère de Houda, inquiète pour sa fille cadette, a refusé que celle-ci continue de travailler comme vendeuse et rentre tard. « Dès que la nuit tombe, on ne sort plus et on fait en sorte qu’il y ait tout le temps quelqu’un dans l’appartement pour éviter qu’on le squatte », raconte Houda. « Partir de Kalliste et de cet enfer, c’est tout ce qu’on veut. Mais comment faire ? Ma mère, malade, n’a pas de bulletin de salaire et personne ne voudra nous louer un appartement », dit-elle.

    La mairie a saisi mardi le tribunal administratif afin qu’un expert constate « un danger imminent et donne des préconisations » qui permettront de prendre un arrêté municipal afin de procéder à l’évacuation des lieux.

    « Mais pourquoi avoir attendu aussi longtemps ? Le danger est permanent pour tout le monde« , fustige la sénatrice socialiste Samia Ghali, ex-maire des 15 et 16e arrondissements.

    La Provence


    26/01/2018

     

    Merci à BB92

  • "Pas vus comme des êtres humains" : portraits de Noirs en Inde

    http://www.nouvelobs.com/galeries-photos/photo/20180126.OBS1281/grand-format-pas-vus-comme-des-etres-humains-portraits-de-noirs-en-inde.html#xtor=EPR-2-[ObsActu17h]-20180127

    En Inde, depuis des millénaires, il y a toujours eu des castes, dont celle des intouchables

  • Attendez le printemps...

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