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Jeff Koons: les Parisiens ne veulent pas de son "cadeau" hideux !
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« Al-Andalus, l’invention d’un mythe », de Serafin Fanjul. Par Camille Galic
Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Certes, le livre* est énorme, d’apparence austère, parfois touffu et alourdi d’un considérable appareil de notes mais son auteur, historien, islamologue et arabisant, membre de l’Académie royale, est l’un des universitaires les plus titrés et les plus respectés d’Espagne. Comment expliquer, sinon par l’inféodation de notre pays à la pensée unique, que son étude définitive, parue en 2000 à Madrid, ait dû attendre dix-sept ans pour être publiée en France, non par une grosse maison mais par un « petit » éditeur ? Pourtant, ce livre n’était pas inconnu puisque notre ami Arnaud Imatz, qui préface – excellemment – l’édition française, avait signé un long entretien avec Serafin Fanjul dans la Nouvelle Revue d’histoire alors dirigée par Dominique Venner, entretien dont l’intégralité parut dans Polémia le 8 septembre 2012.
Al-Andalus, justification du « vivre-ensemble »
Mais voilà, pour justifier le dogme actuel du « vivre-ensemble » avec des occupants arrivés, non pas le cimeterre, mais la valise à la main, il faut absolument préserver le mythe d’un idyllique Al-Andalus polyethnique et multireligieux, exalté dans maints colloques universitaires. Or, la « réalité historique de l’Espagne des trois cultures » – chrétienne, juive et musulmane – que, documents d’époque à l’appui et fort de lustres de travaux approfondis sur la question, présente Serafin Fanjul, est fort éloignée de cet Eden du métissage racial et culturel.
D’une part, les chrétiens qui refusaient la conversion à l’islam n’étaient pas traités sur un pied d’égalité par les envahisseurs musulmans mais, au mieux, pressurés d’impôts et accablés de brimades, au pis, persécutés et massacrés.
D’autre part, ceux des envahisseurs qui se laissaient finalement tenter par les cultures indigènes et donc hispaniser étaient systématiquement supplantés, détrônés et eux aussi massacrés, par des tribus plus rigoristes franchissant le détroit du Djebel Tarek (Gibraltar) pour mettre un terme à cette dégénérescence dans les délices de Capoue qu’étaient la musique ou la poésie profane. Ainsi finirent les derniers des Almoravides, vaincus par les Almohades fanatiques… eux-mêmes renversés ensuite par les Mérinides.
Qu’ont apporté les « Arabes » ?
Enfin, si les « Arabes » (en fait, pour l’essentiel, des Berbères arabisés) laissèrent en effet des trésors dans le sud de l’Espagne, ces mosquées et palais somptueux, pour la plupart édifiés par des Espagnols ou des esclaves européens razziés, virent le jour dans des zones bénéficiant d’une solide tradition architecturale romaine puis wisigothique – constante que l’on retrouve d’ailleurs dans toute l’aire d’expansion mahométane où l’ « art islamique » tant célébré a prospéré sur le terreau grec, égyptien, perse ou byzantin. Le fameux Sinan, architecte au XVIe siècle des plus fameuses mosquées de Turquie, n’était-il pas un Gréco-Arménien de Cappadoce, enlevé à sa famille par le système du « devşirme » – enrôlement forcé de jeunes garçons chrétiens, convertis à l’islam et versés dans l’armée – et s’étant illustré comme ingénieur militaire avant que Soliman le Magnifique, étonné par ses dons, ne l’envoie, si l’on en croit André Clot, biographe du sultan (éd. Fayard, 1992), étudier l’architecture à Vienne ? Et il en va de même pour l’art d’Hippocrate, Serafin Fanjul montrant que la célèbre école médicale d’Al-Andalus devait moins aux marabouts du Haut-Atlas qu’au Grec Galien, que le Moyen Age ne connaissait pas seulement par les traductions arabes.
Car, avant Sylvain Gougenheim, qui scandalisa la bien-pensance avec son Aristote au Mont Saint-Michel/Les racines grecques de l’Europe chrétienne (Le Seuil, 2008) et Guy Rachet auteur de Les Racines de notre Europe sont-elles chrétiennes et musulmanes ? (Ed. Jean Picollec, 2011), Serafin Fanjul faisait déjà litière des théories complaisantes sur le rôle primordial qu’auraient joué les Arabes dans la transmission de la littérature et de la pensée scientifique de la Grèce classique. Rôle tenu en réalité par les monastères.
Un nouveau mythe : la liberté des chrétiens d’Orient
C’est dire combien la lecture de son livre est nécessaire à l’heure où l’on est prié de s’émerveiller devant l’exposition « Les Chrétiens d’Orient » organisée à l’Institut du Monde arabe que préside l’ancien ministre socialiste Jack Lang, grand passeur de « mythes » devant l’Eternel. Car en exposant des chefs d’œuvre – en effet remarquables, et qui méritent la visite – de l’art chrétien en terre d’islam, l’IMA nous refait le coup d’Al-Andalus : voyez comment, au Proche et au Moyen-Orient, les Evangiles cohabitaient harmonieusement avec le Coran sous l’œil bienveillant de leurs suzerains musulmans ! Voyez combien les artistes chrétiens, y compris les moines, étaient libres, et comment ils pouvaient en toute impunité glorifier Jésus et la Vierge ! Il leur suffisait d’accepter leur statut de Dhimmi : un sytème qui, contrairement à ce que croient les esprits vulgaires, est, nous explique-t-on, protecteur et non pas coercitif et ségrégationniste.
Exposition ou bourrage de crânes préparatoire au Grand Remplacement ? Contre cette lobotomisation rampante, il est un antidote : Al-Andalus, l’invention d’un mythe – un mythe qui, pour notre plus grande honte, dut beaucoup, assure le professeur Fanjul, à Théophile Gautier, Prosper Mérimée et autres littérateurs français du XIXe siècle. Aveugles à la beauté austère mais sans doute trop « européenne » de Ségovie ou de Burgos mais fous d’exotisme, ils se pâmaient devant la Giralda ou l’Alhambra et tiraient de cette luxuriance une considération exagérée pour la conquête arabe, et donc un rejet tout aussi outrancier de la Reconquista par les Rois très catholiques. Décidément, rien de nouveau sous le soleil !
Camille Galic
10/12/2017Note :
*Serafin Fanjul, Al-Andalus, l’invention d’un mythe, L’Artilleur éditeur novembre 2017, traduction de Nicolas Klein avec la collaboration de Laura Martinez, 700 pages plus index.
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Eric Zemmour: Après le théorème d'Archimède, voici le théorème d'Hidalgo" !
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MAISON SQUATTÉE : MIEUX VAUT S’APPELER YOUCEF QU’ODETTE !
Le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long…
Un vieux monsieur, sa maison squattée, occupants sommés de déguerpir, maison récupérée : une fois n’est pas coutume, voilà une affaire rondement menée grâce à un robuste sentiment de solidarité !
Début décembre, monsieur Y apprend par la police que seize Roms se sont emparés de sa maison, à Garches-lès-Gonesse, inoccupée depuis plusieurs années. Arrivé sur place, constatant les faits, il leur ordonne de « dégager ». Les indélicats lui rient au nez et brandissent un « reçu de livraison de pizza » datant de plus de 48 heures. Reçu valant « attestation » de présence, avec l’attestation fournie par un militant des Droits de l’homme, qui fait office, en quelque sorte et le temps qu’une procédure d’expulsion arrive à son dénouement, de titre de propriété ! C’est la fumeuse loi des 48 h, bien connue des squatteurs et des associations gauchistes telles que le DAL (Droit au logement) puisque, passé ce délai, le malheureux propriétaire n’a plus d’autre recours que de faire valoir ses droits auprès du tribunal.
Fin janvier, l’homme de 76 ans raconte ses déboires au Parisien, qui publie l’article le 29. Et, ô miracle, le lendemain, les seize Roms avaient déguerpi sans (presque) demander leur reste ! Grâce à qui ? À Bassem Braiki, un internaute scandalisé par la situation, vivant à Vénissieux (69), qui a encouragé les « jeunes » des cités de Garches à aller ficher dehors le groupe de Roms. « Sortez, là ! Allez, (vous avez) deux minutes, deux minutes ! » Formidable solidarité nationale comme on aimerait la voir se traduire plus souvent, sans usage de violence, en plus, ce qui n’est pas tellement courant chez ce genre de galopins en virée. Sauf que…
Sauf que tout le monde n’a pas la chance de s’appeler Youcef.
Sauf que jamais ces « jeunes » n’ont manifesté la moindre solidarité pour des « Céfrans » dépossédés. Pas de Bassem Braiki ni pour une Odette ou une Maryvonne (84 et 83 ans) ni tous les autres. Une solidarité toute sélective de la part de cette population des cités.
Une solidarité de communauté qui, dans un pays normal, devrait donner à tous les défenseurs des Chances pour la France l’occasion de réfléchir, enfin, sur le sentiment d’appartenance chevillé au corps qui règne dans ces cités. Sur le camp qu’elles choisiront en cas de conflit majeur.
Sauf que le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long, aussi, sur la capacité à impressionner, à terrifier de ces jeunes déboulant en bande bien unie là où des Français de souche doivent respecter cette inique loi DALO (droit au logement opposable) qui les spolie. Et contre laquelle, si eux cherchaient à récupérer leur bien par la force, en vertu de l’article 226-4 du Code pénal, ils encourraient jusqu’à un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende…
Youcef, qui se dit « assez ému » et remercie [Bassem] « d’avoir organisé cette descente-là », a donc récupéré sa maison. Tant mieux pour lui.
D’un côté, des Français puissamment unis par leur origine et leur religion, de l’autre, des Français individualistes, désunis par la puissante idéologie islamo-gauchiste responsable de la destruction du sentiment patriotique. Et on s’étonne du pessimisme des Français sur leur avenir ?
BV
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Marine Le Pen reçue par G. Durand
https://www.dailymotion.com/video/x6dztgl#tab_embed
"ce gouvernement est incapable de voir dans quelle situation d'insécurité se trouve notre pays" Marine Le Pen (31/01/2018)
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Musée d'Orsay: visite et tableaux impressionnistes
A regarder en plein écran. Un art vivant!
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Invasion migratoire : Lancement de l’opération “Themis” pour secourir les migrants en Méditerranée
02/02/2018 – EUROPE (NOVOpress)
Ne l’appelez plus “Triton” mais “Themis”. C’est le nom de la nouvelle opération de l’agence européenne Frontex en Méditerranée. Une mission destinée à secourir en premier lieu les migrants. “Themis” entre en action ce 1er février avec un mandat plus large.Sa nouveauté ? La fin de l’obligation de débarquer les migrants uniquement en Italie. Ceux qui seront secourus en mer, seront déposés dans la zone de sécurité la plus proche, que ce soit en Italie, en Grèce, en Espagne, en Libye ou à Malte.
Par cette initiative, l’Union européenne va donc continuer à inciter les migrants à quitter leur pays pour tenter de s’installer en Europe.
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JT TVL VENDREDI 2 février 2018
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Seyssinet-Pariset (38) : une jeune femme attaquée et défigurée à coups de couteau pendant qu’elle promenait son chien
21h48Une femme âgée d’une vingtaine d’années a été sauvagement agressée, mardi aux alentours de 23 heures, alors qu’elle promenait le chien de son compagnon, rue de Pacalaire à Seyssinet-Pariset.
Deux hommes s’en sont en effet pris à elle et lui ont porté plusieurs coups de couteau au visage avant de s’enfuir en courant. Présentant des plaies, dont certaines profondes qui lui laisseront certainement des cicatrices à vie, la malheureuse a été secourue par les sapeurs-pompiers et conduite à l’hôpital Michallon de Grenoble-La Tronche, dont elle a pu sortir mercredi dans la journée… avec une vingtaine de points de suture.
Les gendarmes de la compagnie de Grenoble ont entendu la victime et ouvert une enquête afin d’établir s’il s’agissait d’une agression gratuite ou si elle était visée personnellement, par qui et pourquoi .Merci à MarcelVincent
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Nanga Parbat, la "montagne du destin"
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VIDEO. "J'ai dû passer une nuit à l'extérieur, sans duvet, sans tente, sans rien" : l'alpiniste Elisabeth Revol raconte son sauvetage sur "la montagne tueuse"
L'alpiniste de 37 ans est soignée à Sallanches (Haute-Savoie), à l'hôpital des Pays du Mont-Blanc, pôle d'excellence en pathologies de la montagne et du froid.
Mis à jour le
publié leElle s'exprime pour la première fois. Elisabeth Revol, l'alpiniste française secourue in extremis sur le Nangar Parbat, a regagné la France mardi 30 janvier. Soignée à Sallanches (Haute-Savoie), c'est depuis son lit d'hôpital qu'elle a raconté, mercredi 31 janvier, son épreuve aux caméras. "Je descendais calmement, quand il y avait trop de vent, , j'attendais un petit peu. J'ai atteint le camp 2 dans la nuit, vers 3 heures du matin et j'ai vu deux frontales qui arrivaient. J'ai commencé à hurler. Je me suis dit, c'est bon quoi", explique-t-elle avant d'éclater en sanglots.
Une nuit sans chaussure
Avant cette délivrance, l'alpiniste de 37 ans a vécu un calvaire. "J'ai dû passer une nuit à l'extérieur [à 6 800 mètres], sans équipement, sans duvet, sans tente, sans rien, raconte-t-elle. J'ai eu des hallucinations pendant la nuit, j'imaginais que des personnes m'amenaient du thé chaud. Une dame m'a demandé : 'Est-ce que je peux prendre ta chaussure ?' A ce moment-là, machinalement, je me lève, j'enlève ma chaussure et je lui donne. Le matin, je me suis réveillée, j'avais simplement ma chaussette."
La rescapée de "la montagne tueuse" (8 126 m) souffre de gelures aux mains et au pied gauche, qui doivent faire l'objet d'un protocole particulier pour tenter d'éviter l'amputation. Elle a dû laisser son compagnon de cordée, Tomek Mackiewicz, dans un état critique, au sommet de la montagne. Elisabeth Revol, une des rares femmes "himalayistes", tentait pour la seconde fois en hiver l'ascension extrêmement engagée du Nanga Parbat, dont le nom signifie "la montagne nue". Tomek Mackiewicz, 43 ans, y revenait lui pour sa septième tentative hivernale.
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Après une semaine de vacances à la plage, ils reviennent les pieds infestés de vers
En vacances en République dominicaine, un couple de Canadiens a été attaqué par la "larva migrans", un parasite qui touche habituellement les chiens ou les chats.
Mis à jour le
publié leLes vacances de l'horreur. Pour échapper aux rigueurs de l'hiver canadien, Eddie Zytner et Katie Stephens avaient choisi de passer quelques jours en République Dominicaine. Mais leur séjour sur les plages paradisiaques de l'île caribéenne a tourné au cauchemar à leur retour chez eux le 18 janvier : ils se sont aperçus que leurs pieds étaient infestés de vers, rapporte CNN (en anglais).
Après avoir ressenti tout au long de leur séjour de simples démangeaisons, le couple a commencé à se tordre de douleurs de retour au Canada. A l'hôpital, le diagnostic tombe : ils ont été attaqués par la "larva migrans", un parasite qui frappe généralement les animaux. Il s'est probablement glissé sous leur peau lorsqu'ils marchaient pieds nus sur la plage.
"Portez des chaussures"
Sur Facebook, Katie Stephens a voulu transformer sa mésaventure en message de prévention. "A tout ceux qui voyagent dans des pays tropicaux, faites attention quand vous êtes dans le sable et portez des chaussures", a-t-elle postée sur le réseau social, photos à l'appui.
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Trump fait à nouveau rêver les Américains quand Macron désespère les Français
Il sera sans doute l'un des plus grands présidents des Etats-Unis
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50 djihadistes prisonniers en Irak et en Syrie : pas de pitié, à mort !
Je ne vais certainement pas m’apitoyer sur le sort des 50 djihadistes faits prisonniers en Irak et en Syrie et qui attendent leur procès.
Ils risquent la peine de mort ? Et alors ? Où est le problème ?
Ces barbares n’ont-ils pas applaudi lors de chaque attentat perpétré en France ?
Pour ces monstres, nous ne sommes que des mécréants qu’il faut détruire et les tueries du Bataclan ou de Nice les ont réjouis.
Certaines bonnes âmes , débordant de compassion pour ces prisonniers, ne doivent lire que des romans à l’eau de rose. Elles devraient s’informer…
Car l’Etat Islamique, c’est ça :
Décapitations au sabre.
Viols de masse.
Femmes enceintes éventrées.
Bébés fracassés contre les murs.
Enfants enterrés vivants ou crucifiés.
Lapidations, amputations, flagellations.
Exécutions sommaires filmées.
Homosexuels jetés du haut des toits.
Pilote jordanien mis en cage et brûlé vif devant les caméras.
Marché aux esclaves et esclavage sexuel.
Et bien pire encore… tout ce qui se fait de mieux en matière de sauvagerie.
Alors, voir ces barbares se souvenir soudain que la France est la patrie des droits de l’homme, par peur d’être condamnés à mort par des Irakiens ou des Kurdes qu’ils ont combattus avec la plus bestiale férocité, ne peut que susciter de la colère et inciter à la plus grande fermeté, sans le moindre état d’âme.
On ne combat pas la barbarie avec les droits de l’homme.
Ces sauvages, coupables ou complices des pires atrocités, doivent payer au prix fort.
En Irak ou au Kurdistan syrien, ils seront jugés pour leurs crimes de guerre.
Mais en France, avec un bon avocat islamo-gauchiste, on sait très bien qu’ils seront d’abord jugés en tant que victimes de la société ou éventuellement en tant que malades mentaux.
Ils ne seront jamais jugés pour haute trahison alors qu’ils ont pris les armes contre la France, leur propre pays.
Aujourd’hui on voit ces monstres déclarer qu’ils regrettent leur engagement pour le djihad et qu’ils font acte de repentance. Quelle mascarade.
Mais la parole d’un barbare aux mains rouges de sang, qui peut y croire ?
On connaît l’art de la dissimulation qu’affectent les musulmans. Le djihad, on n’en sort jamais.
Quant à ceux qui prétextent que ces tueurs seraient une source de renseignement précieuse pour démonter les filières terroristes, ils oublient que nos services de renseignements collaborent avec d’autres réseaux autrement plus sérieux, notamment auprès des services irakiens et kurdes.
Irakiens et Kurdes n’ont pas besoin de nous pour cuisiner leurs prisonniers et nous transmettre les renseignements qui nous intéressent.
300 djihadistes français sont morts en Irak et en Syrie, victimes des combats ou “ciblées” et éliminés par nos forces spéciales. Eliminations ordonnées au plus haut sommet de l’Etat et que j’approuve à 100%.
700 sont encore sur zone, dont une cinquantaine en prison.
Les crimes ayant été commis en Irak et en Syrie, il est parfaitement logique que ces barbares soient jugés sur place.
La thèse du retour pour être jugés en France, n’est donc pas recevable, que ce soit au plan politique, diplomatique, judiciaire ou même moral.
Ces djihadistes ne sont pas récupérables. Ce sont des bombes terroristes en puissance et je partage l’avis de ceux qui s’opposent à leur retour.
Y compris les femmes et les enfants, puisqu’il est dorénavant prouvé que ces derniers ont été entraînés au maniement des armes pour combattre.
“Les djihadistes n’ont jamais eu d’états d’âme, je ne vois pas pourquoi nous en aurions pour eux”. Florence Parly, ministre des Armées.
“Nous devons éviter qu’ils rentrent en France, hommes ou femmes, quelle que soit l’issue… C’est difficile à assumer mais il faut le faire”. Manuel Valls.
Et à la place du procureur Molins, qui s’interroge naïvement sur la sincérité des djihadistes repentis, je me demanderais si après les 250 victimes du terrorisme islamique, depuis janvier 2015, on a le droit de jouer avec la vie des Français en rapatriant des barbares sur notre sol.
La France n’a rien à espérer du retour de ces barbares. Ces djihadistes sont les terroristes de demain. Ne soyons pas leurs complices.
Les traîtres ennemis de la France, qui haïssent nos valeurs humanistes, peuvent très bien se passer de notre pitié et rendre compte de tous leurs crimes devant la justice irakienne ou kurde.
Ce n’est plus notre problème, puisqu’ils ont abandonné et trahi la France pour la combattre.
Aucun de ces combattants de la terreur ne mérite notre pitié. Pas de revenants !
Jacques Guillemain
Riposte Laïque
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Accusé de plusieurs viols, l’islamologue Tariq Ramadan vient d’être placé en garde à vue à Paris
12h56INFO RTL – L’islamologue suisse est entendu depuis mercredi matin à la Police judiciaire de Paris dans le cadre d’une enquête pour viol.
Tariq Ramadan, le théologien musulman visé par une enquête préliminaire pour viol, a été placé en garde à vue mercredi 31 janvier à la police judiciaire de Paris. L’islamologue est visé par deux plaintes pour viol, déposées fin octobre 2017. L’une par Henda Ayari, une ancienne salafiste aujourd’hui militante laïque et féministe qui l’accuse de l’avoir violée un soir de 2010 dans une chambre d’hôtel alors qu’elle venait demander des conseils religieux. L’autre par une femme de 40 ans qui a souhaité rester anonyme et qui a déposé plainte pour des faits qui remontent à l’automne 2009.
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Le vice-chancelier d’Autriche : « Nous devons être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’Union européenne »
13h35Vienne – Le chancelier autrichien conservateur Sebastian Kurz a dit mardi vouloir « bâtir des ponts » pour apaiser les tensions entre Est et Ouest au sein de l’UE, affichant son entente avec le Premier ministre hongrois Viktor Orban en visite à Vienne.
« J’ai fait le constat ces dernières années de tensions croissantes au sein de l’UE, particulièrement en raison de la crise migratoire. Dans ce contexte, notre ambitieux projet en Autriche est de bâtir des ponts avec les pays de Visegrad », a déclaré M. Kurz au cours d’une conférence de presse aux côtés de son homologue.
Les sujets de tensions se sont multipliés ces derniers mois entre la Commission européenne et les pays de l’alliance régionale du groupe de Visegrad (Hongrie, Slovaquie, Pologne, République tchèque). Des différends sur la politique migratoire européenne et les questions d’Etat de droit en Hongrie et en Pologne ont conduit à plusieurs passes d’armes avec Bruxelles.
(…) Le Premier ministre hongrois avait un second rendez-vous en fin d’après-midi avec le vice-chancelier Heinz-Christian Strache, le chef du FPÖ, un parti qui a notamment fait campagne contre l’immigration musulmane.
M. Strache a loué l’attitude de la Hongrie qui avait au pic de la crise migratoire de l’été 2015 érigé des clôtures et déployé les forces de l’ordre pour stopper le passage des demandeurs d’asile.
« J’avais dit à l’époque que nous devions être reconnaissants envers la Hongrie d’avoir protégé les frontières extérieures de l’UE en restant sur le terrain du droit. Nous aurions dû coopérer plus étroitement et aider la Hongrie au lieu de la critiquer », a estimé M. Strache dans des déclarations faites aux côtés de M. Orban à l’issue de la rencontre.
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Djihadistes condamnés à mort : vae victis ! – par François Teutsch
Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
Le gouvernement a tenu des propos sensés à propos des islamistes « français » arrêtés en Syrie et en Irak, ce qui lui a valu une avalanche de critiques de la part de tout ce que la bien-pensance compte de consciences éclairées. C’est sans doute pour se racheter auprès de ceux-là que le ministre de la Justice, une dame Belloubet, a fait part à BFM TV d’une ferme résolution : si des djihadistes français devaient être condamnés à mort, l’État français interviendrait. Ou l’art de dire des énormités.
Quoi qu’en pense cette dame, ces gens ne sont pas français. Leur nationalité théorique ne change rien à l’affaire. Qu’on les laisse donc réfléchir à la question. Mais encore, méritent-ils la moindre commisération de la part d’un pays qu’ils ont renié ? Ces combattants d’Allah ont beau exprimer – pour certains – des regrets de circonstance, ils n’en demeurent pas moins des ennemis qui ont décidé, un jour, de prendre les armes aux côtés d’un groupe terroriste et criminel international. Un peu comme on devenait pirate au XVIIIe siècle, et qu’on attaquait les navires de son pays d’origine. Lorsqu’on prend les armes contre son pays – rappelons que la France était engagée en Irak et que nos aviateurs s’en sont donné à cœur joie -, on ne peut pas réclamer l’assistance de ce même pays une fois vaincu. Vae victis !
La guerre n’est pas un jeu vidéo. Dans ce conflit sont tombés des hommes de chair et de sang. Ils ont souffert dans leur corps et dans leur âme. Ils ont combattu l’hydre islamiste. Ils ont donné leur vie, et avec la leur, trop souvent, celle de leurs familles. Les ressortissants français qui les ont aidés n’ignoraient rien de ce qui se passait là-bas. Soit authentiques musulmans fanatiques, soit petites racailles en quête d’aventure au désert, ils assument leurs actes, un point c’est tout. Et, si l’on nous permet un propos que désavouerait un ministre, nous en débarrasser est une excellente chose.
Alors, pourquoi cette déclaration ? La France étant la patrie des droits de l’homme (c’est bien connu), elle doit faire honneur à sa réputation de lutte sans relâche contre la peine de mort. Sortez les violons. Le ministre n’échappe pas à la règle. Mais son propos est tout bonnement absurde, et pourrait bien ridiculiser son auteur. Voici un pays, la Syrie, avec lequel nous avons rompu toute relation diplomatique. Pour rester fidèle à notre suzerain américain, nous avons renié les liens millénaires qui nous unissaient au Levant. Au sein de ce pays, dont le régime de Macron insulte quotidiennement le président légitime, la zone kurde a fait sécession de fait et n’applique pas la peine de mort. Qui ira donc, en Syrie, discuter et négocier du sort de quelques terroristes justement condamnés, et avec qui ?
En Irak, sous influence américaine, la situation n’est guère plus simple. Notre influence y est nulle, et les Irakiens ont sans doute autre chose à faire que d’écouter un obscur chargé d’affaires français qui plaiderait la cause d’un ou deux criminels promis à la potence à cause de leurs actes. Ce raisonnement est celui d’une puissance coloniale qui croit encore pouvoir agir au Moyen-Orient comme elle le ferait envers un tyranneau africain dont elle soutient le trône vacillant. Il ne fonctionnera pas, parce que les gouvernants locaux ne savent même plus où est la France. Elle s’est lamentablement effacée derrière l’Oncle Sam, lui-même éclipsé par la puissance russe dans la région.
Un peu de bon sens. Laissons ces misérables là où ils sont, là où ils ont voulu aller. C’est la dure loi du vaincu.
François Teutsch
Texte repris du site Boulevard Voltaire
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