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Blog - Page 890

  • Hollande, "l'ami d'Israël", s'attaque à l'Iran, "une menace pour le monde entier"

    Allocution intégrale

     

    Dans une courte allocution, M. Hollande, à peine le pied posé sur le tarmac de l’aéroport de Tel-Aviv, a déclaré "fidélité", "cohérence" et "soutien indéfectible de la France" envers Israël. Il en a par ailleurs profité pour s’attaquer à l’Iran, "une menace pour le monde entier."

     

    "Sur le dossier iranien, la France considère que la prolifération nucléaire est un danger, une menace, et en Iran, tout particulièrement, une menace sur Israël, sur la région, à l’évidence, une menace pour le monde entier", a d’entrée affirmé le président.

    "Nous cherchons un accord. Nous voulons un accord. Car nous pensons que la diplomatie est préférable à toute autre voie ou issue. Mais cet accord ne sera possible que si l’Iran renonce définitivement à l’arme nucléaire", a poursuivi le président français.

    Hollande voulant visiblement faire honneur à M. Nétanyahou et à Israël, a clamé en hébreu : "Je resterai toujours un ami d’Israël". Chose que n’avait fait aucun des présidents français en visite dans ce pays.

    Sources : Youtube / Le JDS

  • ' Nous sommes tous des singes français" : Jeanne Moreau, 85 ans, prend la défense de Taubira

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    Sous le titre "Nous sommes tous des singes français", l'actrice Jeanne Moreau signe avec plusieurs personnalités une tribune dans le Journal du Dimanche contre le racisme après les attaques dont à fait l'objet la ministre de la Justice, Christine Taubira.

     

     

    "Nous aurions dû réagir plus vite et plus fort", estime la comédienne jugeant que non seulement la ministre ou les Noirs sont visés, mais "nous tous, quelles que soient nos origines et la couleur de notre peau". "Christiane Taubira a été blessée par cette injure dégradante, tous nos compatriotes noirs l'ont été. Mais nous aussi, nous nous sommes sentis salis", écrit-elle, co-signant une tribune dans le Journal du dimanche du 17 novembre avec Florence Malraux, le metteur en scène Bernard Murat, Denis Olivennes, président de Lagardère Active, l'historien Benjamin Stora et la cinéaste Danièle Thompsom.
    "Comment se peut-il qu'au XXIème siècle, certains de nos concitoyens, nos semblable, éduqués comme nous dans un grand pays que nous aimons, apprennent encore à leurs enfants l'humour nauséeux, la barbarie, la haine de l'autre et le mépris ?", s'interrogent les signataires.
    Taubira présente à la manifestation
    Par ailleurs la Règle du Jeu, la revue du philosophe Bernard-Henri Lévy, a annoncé une mobilisation d'intellectuels et d'écrivains lors d'une réunion qui devait se tenir dimanche après-midi à Saint-Germain-des-Prés. Christine Angot, Yann Moix, Caroline Fourest, Dominique Sopo et la présidente de SOS Racisme Cindy Léonie y sont notamment attendus. La revue annonce en outre la venue de la Garde des Sceaux. "C'est dans la société toute entière qu'il faut réanimer l'indignation, la colère et la vigilance anti-raciste", écrit la Règle du jeu.
     
     
    TF1- 17/11/13
  • Habitants et parents défilent contre la violence à Villiers-le-Bel

     

      Bénédicte Agoudetsé | Publié le 17.11.2013, 18h22

    LP

                            

                  

                                                  

    Depuis le 27 octobre, c’est la quatrième fois que les mamans de Villiers-le-Bel descendent la rue contre la violence. Accompagnées de nombreux papas, à l’appel de l’union des locataires de la ville et du Collectif du 29 juin, qui incite à dialoguer contre la violence, elles ont encore défilé dimanche après-midi entre le Puits-la-Marlière et les Carreaux, deux quartiers sensibles de la ville.

     

    «Tous les jours, j’ai peur pour mes enfants, confie une participante, Mariam, 45 ans, mère de sept enfants. On en a marre des bagarres.» « Je quitte tard mon travail, acquiesce Rachid, 46 ans, qui manifeste pour la première fois. Cela ne me posait pas de problème autrefois, mais aujourd’hui, j’ai peur d’être agressé en rentrant.» «Tous les dispositifs existants ne peuvent pas tout, estime le maire () Jean-Louis Marsac, présent dans le cortège. Il est essentiel et positif que la population témoigne et se saisisse de cette question de la violence.»

     

        LeParisien.fr

     

     

  • Hollande ne cédera pas sur le nucléaire iranien !

    En difficulté en France, François Hollande entame ce dimanche sa première visite présidentielle en Israël, fort du satisfecit que lui vaut à Jérusalem la fermeté française sur le nucléaire iranien. Le président de la République doit également rencontrer, à Ramallah, son homologue palestinien, Mahmoud Abbas.

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    De notre correspondant à Jérusalem

    François Hollande a entamé ce dimanche sa première visite présidentielle en Israël et dans les Territoires palestiniens sous des cieux qui, au regard de la tension qui domine en France, s'annoncent étonnamment sereins. Peu après son arrivée, le chef de l'État a prononcé un discours depuis l'aéroport Ben Gourion de Tel-Aviv. En hébreu, il a assuré: «Je suis votre ami et je le resterai toujours.» Il a également été ferme sur le dossier du nucléaire iranien et les négociations de paix avec les Palestiniens.

     

    Ces dernières semaines, les diplomates français se sont attachés à déminer le terrain afin de conjurer tout risque de dérapage. Une prudence qui, à entendre son entourage, n'empêchera pas le chef de l'État d'évoquer l'actuel processus de paix, dont la France et l'Europe sont tenues à l'écart, «avec le souci d'encourager chacune des deux parties au compromis, aux efforts et au courage nécessaire à l'élaboration d'une solution acceptable par tous».

    Fort du satisfecit que lui vaut, en Israël, la fermeté de la position française sur le nucléaire iranien, François Hollande peut s'attendre à y recevoir un accueil d'autant plus chaleureux qu'il a donné le sentiment de prendre en compte les attentes de ses hôtes. Figure imposée, son séjour débutera par le dépôt d'une gerbe sur la tombe de Théodore Herzl ainsi que sur la sépulture d'Yitzhak et Leah Rabin, suivie d'une visite au mémorial Yad Vashem. Avant de repartir pour la France, il se rendra au cimetière de Givat Shaul, où reposent les victimes juives de Mohamed Merah. Sans rancune, il prononcera aussi un discours devant la Knesset, malgré l'accès de colère récent de son président, Yuli Edelstein, qui avait menacé de boycotter la visite en apprenant que François Hollande envisageait plutôt de s'exprimer dans une grande université.

     

    Dans le cadre des échanges visant à préparer cette visite, les responsables israéliens ont fait passer un certain nombre de messages. «Ils nous ont demandé de ne pas être ceux qui relèvent le niveau d'exigence des Palestiniens», confie une source française. «Dans le climat de grande tourmente qui secoue la région, il serait positif que la France encourage l'Autorité palestinienne à jouer l'apaisement», confirme un diplomate israélien. Les Israéliens ont aussi manifesté l'espoir que François Hollande reconnaisse le caractère juif de l'État d'Israël - tout en sachant qu'ils ont peu de chance d'être entendus.

    Le volet palestinien de la visite, bien que plus modeste, emmènera François Hollande au palais de la Mouqataa, à Ramallah, où il se recueillera sur le tombeau de Yasser Arafat et rencontrera le président Mahmoud Abbas. Un temps de dialogue avec un panel de jeunes, dont certains devraient s'exprimer par visioconférence depuis la bande de Gaza, lui permettra aussi de mesurer les frustrations de la population palestinienne. La France, qui l'an dernier a aidé l'Autorité palestinienne à acquérir le statut d'État observateur aux Nations unies, versera enfin une aide d'environ 20 millions d'euros.

    Ambitions économiques

    Sur le terrain économique, l'un des objectifs affichés de la visite est d'élever le niveau de la relation entre la France et Israël, que les diplomates jugent «peu brillante» au regard de leurs liens politiques. La valeur de ses exportations vers Israël, estimée à 1,15 milliard d'euros en 2012, place la France en onzième position seulement, loin derrière l'Allemagne et l'Italie. En dépit de certains projets d'envergure, tels l'usine de dessalinisation d'Ashkelon, les centrales électriques d'Alstom ou le centre de recherche et développement d'Alcatel-Lucent, elles ne représentent que 2 % des investissements étrangers en Israël.

    Cette médiocre performance tient en partie à des facteurs politiques, dans la mesure où la France a longtemps jugé que travailler avec ce pays était incompatible avec la préservation de ses intérêts dans le monde arabe. Un réflexe dont nombre de chefs d'entreprise et d'investisseurs, conscients qu'Israël bénéficie d'une croissance de 3,5 % et d'immenses ressources gazières, seraient en train de se départir. Une importante délégation économique, comprenant notamment les responsables d'Ariane Espace, de Bouygues Telecom, d'Orange ou de la SNCF, fera partie du voyage.

    (avec Le Figaro.fr pour les mises à jour)

  • Hollande au peule d'Israël: " Je suis votre ami et je le serai toujours" - 17/11/13


    Hollande au peuple d'Israël: "Je suis votre ami... par BFMTV

     

  • Après son évasion, l'ex-otage Francis Collomp quittera le Nigéria dans la soirée

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    http://www.leparisien.fr/international/hollande-annonce-la-liberation-de-francis-collomp-otage-au-nigeria-17-11-2013-3323049.php

  • "L'Europe risque de disparaître" : entretien avec René Marchand

    Publiée le 8 nov. 2013

    « L'Europe risque de disparaître » : entretien avec René Marchand, journaliste, essayiste, spécialiste de l'islam, réalisé à Lyon le 25 octobre 2013.

  • Agression du préfet de Haute-Savoie par la voyoucratie : un signal d’alerte très grave

     16 novembre 2013   Victor De Bann                                  

    Marine Le Pen

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    L’agression du préfet de Haute-Savoie lors d’un contrôle de la BAC dans la nuit de jeudi à vendredi est un événement très grave que le gouvernement semble vouloir minimiser par son silence alors qu’il devrait l’alerter au plus haut point.

    Un nouveau seuil a en effet été franchi dans le remplacement de la loi de la République par la loi des caïds. Outre l’agression du premier représentant de l’État dans le département, un policier a été roué de coups par la trentaine de voyous qui ont fondu sur la BAC.

    A travers cette agression du préfet de Haute-Savoie, c’est l’État et la République qui sont défiés, c’est le bilan désastreux de Manuel Valls qui est mis en cause, grand ministre dans la parole et le mensonge mais tout petit ministre dans l’action.

    La spirale de la violence qui frappe notre pays depuis des années n’a jusqu’ici trouvé face à elle que le laxisme et les effets de manche de l’UMP et du PS.

    L’agression du préfet nous montre qu’il est plus que temps de tourner le dos à ces années de mollesse pour choisir la tolérance zéro, la réhabilitation de la sanction et le rétablissement de l’ordre républicain partout en France.

  • Des mères du 93 protestent pour garder le voile lors des sorties solaires

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    «Avec ou sans foulard, mamans toutes égales !»... «Sorties scolaires, avec nous !» : tels étaient les slogans que criaient mercredi une trentaine de mères de famille voilées devant la direction académique, à Bobigny (Seine-Saint-Denis). Venues pour la  plupart du Blanc-Mesnil, mais aussi de Noisy-le-Sec ou Montreuil, elles manifestaient contre l’interdiction pour les mères voilées d’accompagner des sorties scolaires.

     

     

                   



     Une circulaire datant de 2012 préconise l’interdiction de tout foulard lors des sorties, mais sans caractère contraignant, selon le collectif Mamans toutes égales, qui dénonce une « application arbitraire » dans certains établissements.

    Une délégation du collectif Mamans toutes égales, soutenue par la députée Marie-George Buffet, a été reçue pendant une heure par le directeur académique, Jean-Louis Brison, qui s’est refusé à tout commentaire. «Il a été attentif à nos problèmes. Il nous a demandé de lui laisser une semaine pour réunir les directeurs et tout mettre en règle», a indiqué Feirouz, l’une des mamans.

     

    LeParisien.fr - 16/11/13

     

  • Yann Moix exige une "Marianne métisse"


    Pour une Marianne métisse - la pétition lancée... par laregledujeu

     

    16/11/2013 – 23h00


    PARIS (NOVOpress) - Titulaire du prix Renaudot 2013, l’écrivain Yann Moix d’est lancé dans une offensive remplaciste et pro-métissage. Il vient de lance une pétition, via “la Règle du Jeu” (la revue de Bernard-Henri Lévy), pour une Marianne métisse, représentant la France d’aujourd’hui. Cette pétition fait suite à sa lettre ouverte à Christiane Taubira, “victime d’injures racistes”:

     http://laregledujeu.org/2013/11/07/14619/lettre-ouverte-a-madame-christiane-taubira-garde-des-sceaux/

    .

     

     

     

  • Marine Aubry plébiscitée par la gauche (sondage)...

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    Selon notre sondage exclusif BVA (*) à paraître dimanche dans «Le Parisien - Aujourd'hui en France», 88 % des sympathisants de gauche ont une bonne opinion de . Et 59 % d’entre eux pensent qu’elle ferait mieux que si elle était à l’Elysée. Une petite revanche pour celle qui a perdu contre lui lors de la primaire il y a deux ans.

     

     

     

    Avec 46 % de bonnes opinions chez l’ensemble des Français, elle fait même partie du carré de tête des personnalités que notre journal a déjà testées, derrière Manuel Valls, Nathalie Kosciusko-Morizet et François Fillon.

    Comme pour Ségolène Royal la semaine dernière, les Français prêtent à Aubry des qualités qui, selon eux, font défaut à Hollande : autoritaire (73 %), courageuse (64 %) et sachant où elle va (60 %). Alors que son nom revient sur la table à chaque rumeur de remaniement, notre enquête démontre que 63 % des Français de gauche souhaitent qu’elle soit nommée à Matignon et 78 % qu’elle devienne ministre.

    La Dame des 35 heures

    Toutefois, si l’on interroge l’ensemble des Français, le tableau est moins valorisant pour Aubry, puisqu’une large majorité (64 %) ne veut pas d’elle comme Premier ministre et 51 % non plus à un poste de ministre. C’est la très mauvaise opinion des personnes de droite qui fait chuter la maire de Lille. « Elle est, comme Nicolas Sarkozy, adorée par les gens de son bord, mais exécrée par ceux du camp adversaire », analyse Gaël Sliman, directeur général adjoint de BVA.

    Les 35 heures continuent de peser sur son image : 55 % des Français jugent aujourd’hui que c’est une mauvaise loi. Mauvais point également pour elle, plus d’un Français sur deux (54 %) ne la trouvent pas sympathique…

    Une consolation, en revanche, à quelques mois des municipales : à l’instar de Bertrand Delanoë à Paris, Aubry a capitalisé sur sa ville. 73 % des Français (et 95 % des sympathisants de gauche) jugent en effet positivement son action à Lille.

    * Enquête réalisée auprès d'un échantillon de Français recrutés par téléphone et interrogés par internet les 14 et 15 novembre 2013. Echantillon de 1075 personnes représentatives de la population âgée de 18 ans et plus.

      

    LeParisien.fr  - 16/11/13

    Du fromage de Hollande à la pointe de (Au) Brie ? 

  • Hollande en quête d'un peu de paix en Israël...

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    http://www.lefigaro.fr/international/2013/11/15/01003-20131115ARTFIG00527-hollande-en-quete-d-un-peu-de-paix-au-proche-orient.php

     + VIDEO

     

  • Marseille: des asticots servis aux enfants à la cantine

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    "Y a un truc bizarre dans mon assiette!" Ce "truc", plusieurs enfants de CM1-CM2, dégoûtés, l'ont signalé vendredi aux cantinières de l'école Nationale (3e), à la Belle de Mai. Vers 13h, les femmes de service ont fini par prêter attention aux récriminations des élèves et mis un nom sur le "truc", ou plutôt les trucs, puisque la bébête était venue en groupe : le riz de Camargue servi au menu du jour était en effet... truffé de vers de farine (ou tenebrio molitor de son nom savant; on déconseille aux petites natures de taper ce nom sur google images). Une bestiole inoffensive, certes, mais bien peu ragoûtante.

    Que s'est-il passé alors ? "Rien! C'est ce qui nous révolte le plus!, s'indigne Dalila Douhou à la FCPE. Les tatas ont continué à servir ce repas qu'elles savaient bon pour la poubelle." Pire, selon les témoignages réunis par l'association de parents d'élèves, il semble que les cantinières aient su dès le premier service, avant midi, que le riz était infesté. "Quand on les interroge, les tatas disent : Et alors ? Vous vouliez qu'on les laisse sans manger vos enfants ?, s'offusque la FCPE. Mais quand vous trouvez des vers dans un paquet de riz à la maison, vous faites quoi ? Vous le servez à vos enfants. Bien sûr que non !"

    Hier, nous avons tenté de joindre les cantinières de l'école Nationale : sans succès. Leur réaction demeure en tout cas "inadmissible" pour la Ville, qui vient d'envoyer une circulaire salée à l'école de la Belle de Mai, mais aussi à quatre autres établissements, où, vérifications faites, des vers ont été également détectés. "Il existe un repas de secours, rapidement préparable, dans chaque cantine. En cas de problème, les cantinières doivent le servir aux enfants, reconnaît Danièle Casanova, l'adjointe UMP en charge de l'éducation. Mais la première chose à faire, car c'est une procédure bien établie, c'est de nous alerter afin que nous prévenions rapidement le prestataire." Or ce n'est qu'après le déjeuner, dans l'après-midi, que les écoles ont rapporté l'incident dans l'habituel "cahier de retour qualité" rempli après chaque repas dans les cantines.

    "Aucune de ces cinq écoles n'a servi le repas de secours", affirme Danièle Casanova. Ce qui signifie aussi que des centaines d'enfants y ont donc bien dégusté... le tenebrio molitor. Miam. "Ce qui m'inquiète, reprend l'élue, c'est ce que cela risque de se reproduire: en développant le bio (le riz provenait cependant d'une exploitation locale et non bio, NDLR) dans nos cantines, nous savons que nous servons des produits sans pesticide ni conservateur. De la vermine peut donc plus facilement, comme cela semble être le cas cette fois, s'y développer."

    Alors que la FCPE réclame que ce repas "indigne" soit remboursé aux familles, la Ville s'est, elle, retournée contre la Sodexo, afin de "lui réclamer des comptes"; elle lui imputera aussi une "amende conséquente" pour ce manquement à l'exigence de qualité et de contrôle à laquelle le prestataire a souscrit. "Quelque part, la chaîne de contrôle a été défaillante", atteste Danièle Casanova. À la Sodexo, l'affaire, on s'en doute, s'avère gênante: "Ce qu'il faut bien dire, c'est que le problème a concerné six écoles (et non cinq, comme avancé par la Ville, NDLR) sur 312, explique-t-on d'emblée. C'est la première fois qu'un incident tel que celui-ci nous arrive: ce fournisseur de riz nous a livré quatre fois depuis la rentrée sans qu'un problème remonte. Nous nous sommes en tout cas tout de suite rapprochés de lui, afin qu'il nous explique ce qui s'est passé."

    La Sodexo insiste également sur le fait que "la procédure prévoit qu'en cas de souci, la responsable de cantine nous alerte tout de suite: si cela s'était passé ainsi, nous aurions demandé aux écoles de ne pas servir le riz et d'utiliser le stock de secours. Or, nous n'avons été alertés qu'après coup, dans l'après-midi" du vendredi.

    Comment les vers ont-ils pu échapper au contrôle du géant de la restauration collective ? "Il semble que de part leur taille et leur couleur, ils n'ont pas été distingués des grains de riz", admet-on à la Sodexo. Qui précise que la filière bio et/ou locale, promue depuis deux ans par les cantines marseillaises, n'a pas "présenté de problème significatif jusqu'ici"."

     

    LA PROVENCE - 14/11/13

  • Eric Zemmour répond à Rama Yade: "ce n'est pas moi qui ai été nommé ministre parce que j'étais noir et femme"

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  • Des loups entre eux

     

    Synthèse sur l’affaire du "trésor nazi"

    Tout ce qu’il faut savoir sur l’affaire des 1 406 œuvres découvertes dans l’appartement munichois de Cornelius Gurlitt, deux semaines après la divulgation de l’affaire par le journal allemand Focus. Six experts viennent d’être nommés par l’État fédéral et la Bavière. Seules 25 œuvres ont été rendues publiques.

    L’affaire du trésor nazi, tel que la presse a fini par la surnommer, est complexe à plus d’un titre. Et elle n’a pas fini de soulever les questions. Sous la pression des médias, des associations juives, de l’opinion internationale et du département d’État via l’ambassade américaine à Berlin, le gouvernement allemand a affirmé vouloir accélérer les recherches d’éventuels ayants droit. L’État fédéral et la Bavière ont convenu de la création d’un groupe d’au moins six experts alors qu’une seule historienne était active jusqu’à présent. On ne sait si des membres de groupes de restitution juifs y figureront. [...]

    [La maison d’enchères Lempertz] continue de focaliser les regards. The New York Times par exemple ne s’est pas fait faute de rappeler l’implication de l’enseigne dans la plus grande escroquerie en matière de falsification d’œuvres d’art en Allemagne depuis 1945 : l’écoulement de tableaux du célèbre faussaire Wolfgang Beltracci. Il y a un an Lempertz a été reconnue coupable à ce propos de « manquement au devoir de diligence » par le parquet de Cologne. [...]

    Pourquoi le Congrès juif mondial veut-il faire monter la pression ?

    Le président du Congrès juif mondial a appelé Berlin. Il réclame la publication d’un inventaire complet des œuvres concernées. « S’il ne se passe rien, nous ferons monter la pression », a-t-il ajouté. Déjà, une pétition circule sur l’Internet. Treize des pièces de la liste des 25 communiquées du fonds Gurlitt viennent d’être revendiquées comme ayant appartenues à Fritz Salo Glaser, avocat juif de Dresde (le ville de Hildebrand Gurlitt) qui a survécu à la déportation et est mort en 1956… L’avocat de sa belle-fille se demande quand et comment ces treize œuvres sont sorties de la collection. Pendant l’époque nazie ou après, quand la famille a vendu pour payer nourriture et logement. Dans ce cas serait-ce un cas de spoliation postwar ?

    Comment et pourquoi Anne Sinclair est-elle mêlée à l’affaire Gurlitt ?

    Auparavant d’autres héritiers potentiels s’étaient encore plus rapidement manifestés. Comme Anne Sinclair, petite-fille de Paul Rosenberg, collectionneur et galeriste, grand marchand de Picasso entre 1918 et 1939. En 1939, ce dernier avait dû fuir à New York en laissant beaucoup de ses biens. L’avocat d’Anne Sinclair réclame au moins Femme assise de Henri Matisse [photo en tête d’article]. Une des rares toiles dont l’image sur écran a été brièvement montrée lors de la conférence de presse du 5 novembre, à Augsburg.

    Lire l’intégralité de l’article sur lefigaro.fr

     

    E&R

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Bruxelles valide le budget national : la France réduite à l’état de province

     

    Front National flammeCommuniqué de Florian Philippot, vice-président du Front National

    Ce jour est un jour noir pour la France. La Commission européenne vient de valider le budget de la nation conformément aux nouveaux pouvoirs que lui ont transférés l’UMP et le PS – depuis les votes du Two-Pack et du Pacte budgétaire (TSCG) – et plaçant de fait la France sous tutelle budgétaire.

    Outre la forme, qui rappelle que les Français ont été dépossédés de leur souveraineté, cette validation révèle sur le fond une réalité particulièrement inquiétante. Elle confirme que ce n’est pas l’intérêt du peuple qui a été défendu dans ce budget mais bien celui des banques et de la grande finance.

    Tous les efforts financiers engagés l’ont été pour sauver l’euro et le système bancaire en général (plans de renflouement à répétition, Mécanisme européen de stabilité, etc.), au détriment des ménages, des entreprises et de l’État.

     

    C’est donc un budget frappé de sceau de l’austérité et de l’hyperfiscalité qui a été validé par la Commission européenne, sa véritable inspiratrice.

    Comme si cela ne suffisait pas, cette humiliante validation annonce également des sacrifices futurs toujours plus importants. La Commission européenne estime en effet que les « réformes structurelles » engagées par la France sont encore trop « limitées » et que les coupes budgétaires dans les grands ministères devront se poursuivre, mettant en péril le fonctionnement normal de l’État.

    Le Front National se battra pour rendre à la France sa pleine et entière souveraineté budgétaire. Nul ne peut décider à la place du peuple français les grandes orientations de son budget et donc de sa politique. Il en va du consentement à l’impôt, principe républicain élémentaire. De même, nous procèderons aux économies nécessaires sur la mauvaise dépense publique à commencer par le coût de l’Union européenne, l’immigration, la fraude sociale, la fraude fiscale mais aussi les dérives des collectivités territoriales.

  • Florian Philippot invité d'Europe 1 : "Le quinquennat de Hollande est déjà fini" - 16/11/13


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