Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 897

  • Cinq "bonnets rouges" convoquées au tribunal - 07/11/13

    PHOdcff63a0-47ca-11e3-bbfa-0516bded9d7a-805x453.jpg

    INFO LE FIGARO - Interpellés en marge de la manifestation de samedi dernier à Quimper, ces fauteurs de troubles sont convoqués devant le tribunal correctionnel.

     
     

    Alors que le premier ministre promettait, mercredi, devant l'Assemblée nationale, que les auteurs des violences en Bretagne feraient l'objet de «convocations devant le tribunal correctionnel de Quimper», la justice tente d'identifier les fauteurs de troubles.

    Pour l'heure, la moisson est maigre. S'agissant des infractions commises en marge des manifestations du 2 novembre dernier dans la préfecture du Finistère, cinq personnes ont été interpellées et sont convoquées devant le tribunal correctionnel. Elles devront répondre, respectivement, de violences sur militaires de la gendarmerie sans incapacité, violences en réunion sans incapacité, violences aggravées (jet de bouteilles sur les forces de l'ordre), participation à une manifestation malgré sommations et participation armée à une manifestation (l'arme est une fronde, l'utilisateur était encagoulé).

    Les dégâts se chiffrent en millions d'euros

    Ces audiences doivent, selon nos informations, se tenir d'ici à la fin du mois, mais les autorités tentent, pour éviter d'éventuels débordements et manifestations de soutien, de réduire autant que faire se peut la publicité au sujet de leurs dates, étant entendu que les débats seront publics.

    En ce qui concerne les destructions de portiques écotaxe le 2 août à Guiclan (29), le 7 octobre à Melgven (29), le 2 novembre à Saint-Allouestre (56) et le 3 novembre à Lanrodec (22), le parquet général de Rennes indique que «des investigations sont en cours, sous l'autorité des parquets concernés, afin d'identifier puis d'interpeller les auteurs de ces infractions». En clair: à ce stade, personne n'a été identifié ni interpellé. «Tous les faits susceptibles de revêtir une qualification pénale font l'objet d'investigations poussées de la part des parquets locaux afin de permettre l'identification puis l'interpellation des auteurs», ajoute-t-on.

    À noter qu‘une borne écotaxe a été incendiée dans la nuit de mercredi à jeudi dans le Lot-et-Garonne, à Castillonnès, localité située une soixantaine de kilomètres au nord d'Agen. Appelés sur place, les pompiers ont découvert un tas de pneus en train de brûler au pied de l'appareil. Il s'agit de la seconde action menée en Aquitaine cette semaine contre des installations écotaxe après celle de lundi contre deux bornes installées à Losse près de Mont-de-Marsan, dans les Landes, qui avaient également été incendiées.

    Le coût des destructions de bornes à travers la France se chiffre en millions d'euros.

  • Hommage + video du meurtre des 2 patriotes grecs

     7 novembre 2013

     

    Nous apprenons du RF que :

    « Les militants parisiens du Renouveau français se sont joints ce mercredi à ceux du GUD pour un rassemblement devant le consulat de Grèce.
    Ils ont ainsi témoigné de leur soutien à leurs camarades nationalistes grecs, face à la répression qu’ils subissent et après l’odieux assassinat de deux militants. Ils ont aussi dénoncé l’attitude lamentable du gouvernement prétendument grec. »

    Manolis, Giorgos, présents!

    Par ailleurs, a été rendue publique une vidéo de camera de surveillance, ayant filmé l’odieux assassinat des jeunes militants grecs.

    Nous la mettons ci-dessous mais prévenons formellement : ces images sont choquantes et réservées à un public averti.

     video platformvideo managementvideo solutionsvideo player

    On notera la détermination et le sang-froid dont fait preuve le tueur.

    Est-il un activiste de gauche, abreuvé de haine comme les autres ?
    Est-ce un membre des services secrets grecs (ou autres), missionné dans le cadre d’une stratégie de la tension ?
    Ou est-ce gauchiste manipulé par des services ?

     

    Nous ne le savons pas encore mais une chose est sûre, le gouvernement grec a une lourde responsabilité.

     

    Contre-info.com

  • Yasser Arafat empoisonné au polonium: les expertises le confirment

    MOSCOU, 14 octobre - RIA Novosti
     

    Des traces de polonium-210 ont été retrouvées sur les affaires personnelles et dans l'organisme du dirigeant palestinien Yasser Arafat décédé fin 2004, indique une étude réalisée par des scientifiques suisses, écrit le lundi 14 octobre le quotidien Kommersant se référant à la revue médicale The Lancet.

    Les résultats d’une expertise, menée à la demande de la veuve d'Arafat par des experts légistes de trois pays - dont la Russie - n'ont toujours pas été rendus publics. Selon certaines informations, l'enquête officielle est déjà terminée et montre que le dirigeant palestinien a bien été empoisonné au polonium.

    "Amélioration de la qualité de l'expertise médico-légale en cas d'empoisonnement au polonium" : derrière le titre de cet article publié dans le dernier numéro du magazine Lancet se cachent des conclusions sensationnelles. En effet, l'examen des échantillons biologiques et des effets personnels d'Arafat "confirme la version de son empoisonnement au polonium-210". L'article en question a été écrit par les chercheurs de l'Institut de radiophysique (IRA) et du Centre hospitalier universitaire vaudois (CHUV) de Lausanne. Leurs découvertes, l'an dernier, avaient déjà basé un documentaire diffusé sur Al Jazeera concernant les véritables causes de la mort du premier dirigeant de l'Autorité palestinienne. Cette fois, les chercheurs suisses détaillent leurs conclusions et citent de nouvelles preuves.

    "Nous avons procédé à 75 analyses d’échantillons, dont 38 biologiques ou prélevés sur les effets personnels de Yasser Arafat. Les 37 autres échantillons ont été prélevés pour comparaison et n'étaient pas contaminés artificiellement avec du polonium-210, annonce l'étude. Plusieurs échantillons du sang et de l'urine d'Arafat contenaient un pourcentage plus élevé de polonium-210 par rapport aux prélèvements sélectionnés pour la comparaison et qui n'appartenaient pas à Arafat. Ces conclusions renforcent la théorie d'un empoisonnement d'Arafat au polonium-210."

    Yasser Arafat est décédé en décembre 2004 dans un hôpital de la région parisienne. Il avait 75 ans. Selon l'article du Lancet, les premiers symptômes de sa maladie - nausées, vomissements, maux de ventre, diarrhée - se sont déclarés le 12 octobre 2004. "Son état de santé a commencé à se dégrader et les symptômes de maladie gastrique se sont aggravés en l'absence d'inflammation ou de fièvre, annonce l'article. Son état a empiré jusqu'à l'insuffisance rénale et le coma neurologique. Il a été transféré en réanimation où il est décédé d'une hémorragie cérébrale. En dépit de nombreux examens toxicologiques et cliniques, la cause de la mort restait inconnue jusqu'à présent."

    Aucune annonce officielle sur la cause de la mort d'Arafat n'a suivi, engendrant de nombreuses rumeurs - y compris celle d’un empoisonnement. L'an dernier, la chaîne qatarie Al Jazeera a lancé une enquête sur les circonstances du décès d'Arafat. La famille du dirigeant palestinien a remis aux journalistes plusieurs effets personnels du défunt et des échantillons de tissus qui ont été envoyés à l'IRA et au CHUV pour une expertise médico-légale. Après les analyses préliminaires, les chercheurs ont déclaré que la soudaine détérioration de l'état de santé suivie de la mort du dirigeant palestinien aurait pu être provoquée par un empoisonnement aux isotopes radioactifs.

    Après quoi à la demande des proches d'Arafat le Parquet français a ouvert une enquête officielle sur son éventuel empoisonnement. La veuve d'Arafat, Souha, a donné l'autorisation pour exhumer son corps en automne dernier. Les médecins légistes français ont demandé de l'aide à leurs homologues suisses et russes pour confirmer ou réfuter la version d'un empoisonnement d'Arafat au polonium-210 puis, si cette version était confirmée, tenter de déterminer où avait été fabriqué l'élément radioactif. Les résultats du travail des experts restent confidentiels. Ils devaient être annoncés en septembre mais cela n'a pas été le cas. Les experts pensent que l'information est tenue au secret afin de ne pas perturber les négociations sur le règlement du conflit israélo-palestinien, réactivées depuis une quinzaine de jours.

    Par ailleurs selon les sources qui ont eu connaissance des résultats de l'enquête internationale, "elle confirme la version d'un empoisonnement d'Arafat au polonium". Selon certaines informations, les conclusions de l'expertise ont été d'abord présentées à Souha Arafat. On estime que c'est à elle de décider si elles doivent être rendues publics ou non.

  • Quand le racisme est mis à toutes les sauces

     

    Assiste-t-on à une montée du racisme en France? Deux quotidiens –Libération et Le Parisien- font leur Une sur ce thème, ce mercredi. "La France raciste est de retour", s’alarme le présentateur de TF1, Harry Roselmack, dans Le Monde daté de ce jour. Les réflexions imbéciles d’une ex-candidate FN aux municipales, qui avait comparé Christiane Taubira à un singe, alimentent l’accusation. L’Internet sert aussi de défouloir à des propos indéfendables. Mais dans l’esprit des deux confrères, ce racisme serait exclusivement porté contre les "minorités visibles". Le Blanc serait l’unique responsable de cette régression. Ce qui fait d’ailleurs regretter à la militante du multiculturalisme et du port du voile islamique, Rokhaya Diallo, que votre serviteur soit présent dans les médias : "Des polémistes comme Ivan Rioufol, que personne n’invitait il y a quinze ans, car leurs propos n’étaient pas jugés respectables, sont devenus audibles", se désole-t-elle dans Libération. N’étant pas raciste - je n’ai rien contre Rakhaya Diallo et je la mets au défit de sortir une phrase de moi qui pourrait alimenter ce procès en sorcellerie - j’en conclus que c’est ma propre personne - Français dit "de souche" - qui est insupportable à cette arbitre des élégances. Or je ne l’ai jamais entendue non plus prendre ses distances avec les nouveaux discours "nauséabonds" anti-juifs, anti-français et anti-blancs qui font le fond de sauce de l’idéologie différentialiste et querelleuse qu’elle cautionne.
     
    Je sais bien que de telles remarques sont immédiatement récusées par les "antiracistes", qui ont décidé d’y voir la marque de l’extrême droite. Mais ce petit jeu ne trompe personne. Le racisme anti-gaulois et l’antisémitisme qui s’observent dans les cités mériteraient la même vigilance des sonneurs de tocsin. Or leur silence les décrédibilise. Pour ces sectaires et ces fanatiques, est raciste celui qui ne leur ressemble pas. Je suis vu comme raciste aux yeux des inquisiteurs, car je mets en garde, en effet, contre la salafisation des esprits, la montée des communautarismes, les atteintes portées à la laïcité par l’islam politique, le nouveau fascisme qui dresse ses listes noires d’indésirables. Je suis vu comme raciste car je dénonce le refus de s’intégrer de ceux qui n’estiment pas devoir faire l’effort de devenir français. Je suis vu comme raciste car j’estime qu’il ne revient pas à la république de se soumettre aux exigences des minorités, mais l’inverse. Dans Le Parisien, Alain Jakubowicz, président de la Licra,  voit même du racisme dans le fait que "les Français sont 73% à penser que les étrangers viennent en France pour profiter de son système de protection sociale". Cette opinion serait-elle aussi délictueuse ? Tout ceci me fait dire que le pire danger qui nous menace est moins ce racisme-là, indéfini et mis à toutes les sauces, que le totalitarisme qui le porte, pour l'exhiber unilatéralement.
     
    Yvan Rioufol

  • Caen : une étudiante de 24 ans tuée à coups de couteau

    06/11

     

    Une jeune femme, âgée de 24 ans, a été retrouvée morte au pied de son immeuble à Caen, dans le Calvados.

    C'est un voisin qui a fait la macabre découverte mardi soir.
    Cette étudiante en master 1 à l'école de management de Normandie, d'origine chinoise, a été tuée de 4 coups de couteau.

    Ces coups de couteau sont placés de telle façon "qu'elle peut les avoir portés elle-même" a indiqué le parquet. L'autopsie devrait permettre de savoir s'il s'agit d'un meurtre ou d'un suicide.

    La victime, qui n'aurait pas subi de violences sexuelles, était arrivée en septembre à Caen.

     
     
    FAITS DIVERS
  • Au plus bas dans les sondages, la gauche nous ressort les gros sabots d’un supposé racisme des Français

    propagande-racisme-600x378.jpg

     

     

     06/11/2013 – 20h25
    PARIS (NOVOpress) –
    La crise sociale et économique s’accentue, l’exécutif et la majorité législative n’ont jamais été aussi impopulaires, la crainte d’une contagion de la révolte des Bonnets rouges associant révolte sociale et fiscale et problématique identitaire n’a jamais été si forte, mais que fait le gouvernement ? Eh bien, ils nous ressort les gros sabots d’une propagande d’un supposé racisme de la société française et des Français.

    Cela a commencé hier avec la tribune publiée par Le Monde du journaliste vedette de TF1 Harry Roselmack.

     

     

     

    La Une du "Parisien" qui s'interroge sur une France raciste.

    La Une du “Parisien” qui s’interroge sur une France raciste.

    Un Harry Roselmack qui fustige « la France raciste », mais qui doit son poste à TF1 à un lobby très efficace quant à la discrimination positive, le Club Averroes, suite à une promesse de Nicolas Sarkozy. Et Harry Roselmack est lui-même membre de ce lobby qui vise à faciliter l’intégration des minorités au sein des postes d’influence.

    Dans cette tribune Harry Roselmack indique s’insurger contre le « racisme » dont serait victime Christiane Taubira. Et là patatras, Libération fait sa Une aujourd’hui avec un entretien où le garde des Sceaux fait aussi part d’un supposé racisme des Français. Sans oublier la Une du Parisien d’aujourd’hui.

    Entretien avec Libération au cours duquel elle s’insurge contre une soi-disant libération de la parole, et de politiques responsables de la montée de ce prétendu racisme.

     

    Et pis que tout, Christiane Taubira s’offusque du peu de réactions face aux attaques « racistes » qu’elle aurait subies depuis les manifestations contre le mariage gay. Et si c’était cela le vrai fond de l’affaire ? Trouver l’argument ultime pour sauver le soldat Taubira. Surtout quand les conséquences délétères de ses réformes laxistes, positives pour les bourreaux et négatives pour les victimes, vont se faire sentir.

    Oui, trouver la parade sidérante comme le décrit si bien la fondation Polémia. Celle qui vous oblige à justifier à chaque fois que vous critiquez un fait ou un projet que vous n’êtes pas raciste. Justification qui malgré tout vous rend suspect.

    Et cet énième procès en racisme des Français arrive opportunément face à une réaction des Français, qui confrontés à la réalité hyperviolente du Grand remplacement veulent tenter autre chose. Pourtant le réel est bien là, et comme l’indique Gabriel Maztneff dans sa tribune pour Le Point : « La première fois que, regagnant ma garçonnière après un dîner chez des amis, je me rendis compte que dans le wagon de métro (entre la station Gare-de-l’Est et la station Odéon) j’étais l’unique voyageur blanc, que tous les autres étaient soit noirs soit café au lait, cela me surprit tant, je sortis mon carnet, mon stylo, et je le notai. C’était en 1977 ou 1978. Je le notai sans acrimonie, comme j’aurais noté n’importe quelle autre bizarrerie ou curiosité, mais aujourd’hui cette phrase, lue par un oeil malveillant, pourrait assurément être interprétée comme un aveu de racisme. En effet, si nous avions été tous blancs, je n’aurais rien noté. Je n’ai sorti mon carnet et mon stylo que parce que j’étais le seul et que c’était la première fois. »

    Et comme le fait remarquer Fabrice Robert ce combat contre le racisme sert aussi à nier la réalité de sociétés multiraciales.

     

    Et ce d’autant que Christiane Taubira expliquait lors de la dernière élection présidentielle que le mot race allait disparaître (ce qui a été fait). Mais alors si le mot race n’existe plus, cela voudrait-il que le racisme n’a plus de raison d’exister, et qu’il n’a plus à être utilisé ?

    Arnaud Naudin

     

  • L’Italie surveillera les frontières Sud et Est de la Libye

     

    Le Premier ministre libyen, Ali Zeidan, a indiqué, le 3 novembre 2013, que l’Italie avait proposé d’assurer le contrôle des frontières du pays, y compris la zone d’Al-Awaynat, à la jonction du Soudan et de l’Égypte.

    La campagne dans la presse occidentale, discrètement conduite par l’Otan, sur le naufrage d’une embarcation de réfugiés au large de Lampedusa, le 3 octobre, a donc porté ses fruits.

    L’opinion publique européenne a admis la nécessité de prévenir le flux de migrants en provenance de Libye, sans que les journaux s’interrogent sur les accusations portées par les survivants : les navires de l’Otan n’auraient pas répondu à leurs appels au secours, laissant mourir plus de 300 d’entre eux pour les besoins de cette campagne.

    Le plan initial, présenté par l’Italie dans une lettre à Catherine Ashton, prévoyait que Rome encadrerait la police et l’armée libyennes défaillantes, de manière à tarir les départs. Cependant, le chaos est tel en Libye que ce travail paraît pour le moment impossible.

    On se dirige donc vers un contrôle des frontières Sud et Est du pays par l’Italie, ancienne puissance coloniale. Concrètement, cela signifie que l’Union a admis l’immigration de Libyens et cherchera à stopper celle en provenance d’Afrique noire.

     

    À lire sur E&R pour en savoir plus : « L’Otan va conseiller la Libye pour renforcer ses "institutions de défense" »

     

    E&R

  • Marine visite le Salon du chocolat

  • Descente de police sur des maisons de juifs français à Herzliya en Israël

     

    Les enquêteurs de l’unité 443 de la police israélienne Lahav ont investi plusieurs maisons luxueuses détenues par des juifs français fortunés à Herzliya Pituah.

    Cela a été fait à la demande d’Interpol, après une enquête menée par l’administration fiscale française qui soupçonne les propriétaires des maisons de s’être rendus coupables de fraude et d’évasion fiscale à grande échelle en France, et d’avoir blanchi l’argent « sale » en Israël, par l’acquisition de ces propriétés.

    Les résidents de Herzliya Pituah ont eu la surprise la semaine dernière de voir dans les rues de leur quartier résidentiel des voitures de police banalisées, et des dizaines d’enquêteurs faire irruption dans certaines maisons.

    La collaboration a commencé quand Interpol en France contacté l’Unité Interpol de la police israélienne. Interpol a présenté une demande officielle d’assistance pour l’enquête démarrée en France, et en vertu d’accords de collaboration entre les différentes organisations policières à travers le monde, l’assistance a été fournie par les policiers israéliens.

    Lire la suite de l’article sur tribunejuive.info

    E&R

  • Israël détruit une maison sur un terrain appartenant à l’Eglise

     Des bulldozers de la municipalité de Jérusalem, escortés par des militaires israéliens, ont détruit une maison construite sur un terrain proche du barrage entre Jérusalem et Bethléem, appartenant au patriarcat latin depuis avant l’occupation israélienne. La maison abritait une famille de 14 personnes qui vivent désormais sous une tente de la Croix Rouge.

    Le patriarche S.B. Fouad Twal, accompagné de deux autres évêques et plusieurs prêtres, de juristes, et des consuls de Belgique et d’Italie, s’est rendu sur les lieux et a vivement protesté :

    « Il n’existe pas de justification à la démolition et lorsque la municipalité de Jérusalem et le gouvernement d’Israël ordonnent des démolitions et chassent les personnes de leurs maisons, ces actions alimentent la haine et minent l’avenir de la paix. Nous sommes les légitimes propriétaires et vous entendrez notre voix devant tous les gouvernements du monde. Nous entreprendrons des actions légales devant les cours compétentes afin de gommer cette injustice, de rétablir la justice et de reconstruire cette maison. »

    (Fides)

     

    Blog d'Yves Daoudal - 06/11/13

  • Arafat a bien été empoisonné au polonium

    195776392.jpg

    RIA NOVOSTI  Moscou 6 octobre 2013

    Yasser Arafat est mort empoisonné au polonium en 2004, a déclaré mercredi sa veuve Souha à l'agence Reuters après avoir reçu un rapport de l'Institut de radiophysique (IRA) de Lausanne concernant les analyses effectuées sur la dépouille de l'ancien leader palestinien.

    "Il s'agit d'un vrai crime, d'un assassinat politique", a dit Souha Arafat, qui réside à Paris. 

    La dépouille du fondateur et premier chef de l'Autorité palestinienne a été examinée pendant un an par l'IRA. Les résultats de l'expertise effectuée par l'Agence fédérale russe des analyses médico-biologiques ont été remis aux Palestiniens samedi dernier.

    Yasser Arafat, fondateur de l'Autorité palestinienne et lauréat du prix Nobel de la paix pour sa participation aux négociations avec Israël, est décédé le 11 novembre 2004 dans un hôpital militaire en région parisienne.  

    L'enquête officielle sur les causes de sa mort a commencé à l'été 2012 quand la chaîne qatarie Al Jazeera a annoncé la découverte, dans les effets personnels d'Arafat et dans son organisme, de polonium-210 radioactif. Les journalistes ont alors demandé aux chercheurs de l'Institut de radiophysique auprès du Centre hospitalier universitaire vaudois (Lausanne) d'effectuer des analyses.  

    Les Palestiniens ont évoqué à de nombreuses reprises l'implication d'Israël dans la mort de Yasser Arafat. L'Etat hébreu a toujours nié ces accusations.

  • Taubira insultée et traitée de "guenon" à Angers: une militante embarrasse l'UMP !

    http://www.lefigaro.fr/politique/2013/11/06/01002-20131106ARTFIG00321-taubira-insultee-a-angers-une-militante-embarrasse-l-ump.php

     + VIDEO

     De quoi rire!

    La Manif pour tous des bobos, c'est l'UMP, pas le FN !

  • Les bonnets rouges se cherchent un avenir

    PHO9281ee8a-46fb-11e3-96c6-6417404927fe-805x453.jpg

    Alors que le gouvernement a rejeté leur ultimatum, les bonnets rouges s'interrogent sur la meilleure façon de faire perdurer le mouvement. Et sur d'éventuelles nouvelles actions.

                                                 

    Après l'échec de l'ultimatum qu'ils avaient lancé au gouvernement, les bonnets rouges doivent se trouver un nouvel horizon. Alors qu'ils avaient menacé «de nouvelles actions» si leurs exigences n'étaient pas satisfaites, ils ont concédé mercredi que rien n'était encore décidé.

    Christian Troadec, maire divers gauche de Carhaix, s'est cantonné à déclarer que «le collectif va se réunir pacifiquement» et que ce serait à lui de «déterminer les actions à mener dans les jours et les semaines à venir». «Dans les prochains jours, on va réunir le collectif pour décider de ce que l'on va faire», a acquiescé Thierry Merret, président de la FDSEA du Finistère, membre du collectif «Vivre, décider et travailler en Bretagne» qui est à l'initiative de la manifestation des bonnets rouges à Quimper.

    Pas d'accalmie en vue

    Le discours tranche avec celui que les bonnets rouges avait jusqu'à présent adopté: dur et teinté de menaces. Joignant le geste à la parole, ils avaient endommagé plusieurs portiques écotaxe. Après ce premier revers essuyé face à un gouvernement qui leur avait jusque-là cédé, ils pourraient privilégier un mode de négociation plus modéré, comme l'ont fait d'autres groupes contestataires.

    Mais si le discours des leaders se veut apaisant, il n'est pas forcément partagé par tous les membres du collectif. Alors que Jean-Marc Ayrault a assuré vouloir signer le «pacte d'avenir» sur la Bretagne avant la fin du mois de novembre, les bonnets rouges ne sont pas prêts à renoncer à la suppression de l'écotaxe. Sur leur compte Twitter, ils ont posté une série de messages qui ne laissent pas présager d'accalmie dans le conflit les opposant au gouvernement.

     
     
     

    Alors que François Hollande a prévenu que toute négociation ne pourrait se dérouler que dans le «dialogue» et le «respect de la loi», l'ultimatum des bonnets rouges a donné des idées à d'autres. Fabrice Lerestif, secrétaire départemental de FO en Ille-et-Vilaine, a prévenu mercredi matin que si aucun engagement n'était pris par le gouvernement en faveur d'un gel des licenciements en Bretagne, le syndicat boycotterait la réunion prévue l'après-midi même. Ce qu'il a effectivement fait en quittant la table des discussions sur la crise bretonne au milieu de la réunion. Au risque de contribuer à la radicalisation d'un mouvement déjà virulent.

     

                            

                                    

    La rédaction vous conseille :

     

    LE FIGARO - 06/11/13

  • C’était un 6 novembre 1917 : la « Révolution d’octobre »

    6 novembre 2013

    La prise du Palais d’Hiver en octobre 1917

    Dans la nuit du 6 au 7 novembre 1917, les bolcheviques s’emparent des principaux centres de décision de la capitale russe, Petrograd (anciennement Saint-Pétersbourg).
    Dans la terminologie bolchevique (on dira plus tard communiste), ce coup de force sans véritable soutien populaire est baptisé « Révolution d’Octobre » car il s’est déroulé dans la nuit du 25 au 26 octobre selon le calendrier julien en vigueur dans l’ancienne Russie jusqu’au 14 février 1918.

    «Jamais une échauffourée de si petite envergure (une dizaine de victimes, d’après les historiens soviétiques) n’a eu des conséquences aussi prodigieuses, et une fois de plus, le sort de la capitale décida de celui du pays tout entier», écrit Léon Poliakov.

    Avec seulement quelques milliers d’activistes et une préparation au grand jour, les communistes – farouchement déterminés – arrivent à prendre le pouvoir dans un empire de 130 millions de personnes.

    Avis aux amateurs…

    Contre-info.com

  • Un horrible double crime raciste choque la Suède

    6 novembre 2013

    Un immigré venu du Congo a battu à mort deux personnes dans une allée d’un quartier résidentiel.
    Le suspect a d’abord kidnappé un adolescent. Une femme a entendu les cris du garçon et a essayé d’intervenir. Les deux sont morts. Ils étaient blancs.

    Les médias européens qui ont évoqué l’affaire ont censuré l’identité du suspect. Pas de photo, pas de nom, pas de précision sur sa provenance.
    Seul un média a donné son nom, et de là, des blogueurs ont pu récupérer des photos de lui par les réseaux sociaux.

    Les médias scandinaves sont très réputés pour censurer les crimes raciaux commis contre les Blancs. Toutefois, si les rôles étaient inversés, ils crieraient au « meurtre raciste ».

    Source

    Contre-info.com

  • Mali : les journalistes français ont été égorgés selon le New-York Times

                      

    Les journalistes, Ghislaine Dupont, 51 ans, et Claude Verlon, 58 ans, travaillaient pour Radio France Internationale, un radiodiffuseur soutenu par l’Etat français. (…)

    Leurs corps ont été retrouvés peu après, avec la gorge tranchée, à environ huit miles à l’extérieur de Kidal dans le Sahara a déclaré par téléphone le colonel Didier Dacko.

    Suite et source : New-York Times, merci à Marine

     

    Défrancisation

  • Philippe Martel, un proche d'Alain Juppé, rejoint Marine Le Pen

    Ancien chef de cabinet d'Alain Juppé au RPR et ancien directeur général du domaine de Chambord, Philippe Martel affirme que «l'UMP aujourd'hui n'offre aucune véritable solution».

    C'est un transfert pour le moins inattendu, révélé par L'Express mardi. Philippe Martel, 57 ans, qui fut l'un des plus proches collaborateurs d'Alain Juppé, rejoint Marine Le Pen. Ce haut fonctionnaire au ministère des Finances (contrôle général) a été le chef de cabinet d'Alain Juppé lorsque celui-ci était secrétaire général du RPR et l'a suivi au ministère des Affaires étrangères entre 1993 et 1995. Il fut également directeur général du domaine de Chambord, directeur général du Forum Grimaldi à Monaco (qui était à l'époque le nouveau centre culturel et de tourisme d'affaires de la principauté) et conseiller culturel en Indonésie.

    C'est par l'intermédiaire du souverainiste Paul-Marie Coûteaux, président du parti Souveraineté, indépendance et libertés (SIEL) et ancien camarade de promotion à l'ENA (1979), que Philippe Martel a rencontré Marine Le Pen en décembre 2012. Il est aujourd'hui le nouveau directeur de cabinet de la présidente du Front national et sa nomination à ce poste illustre l'ambition de «professionnalisation» du mouvement.

    Philippe Martel confie au Figaro qu'il entend mettre au service de Marine Le Pen «moins (son) expérience de l'État que celle du fonctionnement d'un parti politique». «J'y vais parce que la chose publique m'intéresse. Je n'ai jamais été à gauche et j'estime que l'UMP aujourd'hui n'offre aucune véritable solution», affirme-t-il. «Des hauts fonctionnaires, on en trouve assez facilement. Moi j'avance à découvert mais je ne suis pas du tout le seul. Beaucoup envoient déjà des papiers et donnent des conseils. En revanche, l'expérience de la gestion de l'intérieur d'un parti politique est quelque chose de plus rare», fait-il valoir.

    Car Martel en est convaincu, «au fur et à mesure du nombre croissant de Français adhérant aux idées du Front national, ce mouvement ne fera pas l'économie d'une structuration et d'une professionnalisation». Il estime que le FN est «sous-staffé». «Je pense d'ailleurs qu'Europe Écologie - Les Verts compte plus de personnes» travaillant pour le parti.

     

    LE FIGARO - 05/11/13