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Blog - Page 895

  • Les Russes se moquent de Depardieu-Raspoutine

    http://blog.lefigaro.fr/russie/2013/11/les-russes-se-moquent-de-depar.html

     La version cinématographique de Raspoutine, sortie sur les écrans russes jeudi 7 novembre, dans laquelle Gérard Depardieu incarne le conseiller démoniaque de la dernière famille impériale, provoque la risée de la critique russe... (lire la suite)

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  • Gabriel Matzneff : un dégénéré toujours honoré

     

    L’écrivain Gabriel Matzneff a été encore récemment honoré il y a  quelques jours, d’un prix Renaudot, pour son dernier essai.

    L’homme est parfois apprécié et cité dans certains milieux « nationaux », pour la finesse de sa plume ou certaines remarques ou fréquentations « réacs ». Il collabore d’ailleurs à la revue-phare de la « Nouvelle-Droite », Éléments.

    Or ce pervers ne cache pas son goût pour les jeunes de « moins de 16 ans », « enfants » et « jeunes gens ».
    Il y revient dans plusieurs de ses ouvrages, avec des passages autobiographiques écœurants. C’est un véritable prosélyte.
    Ci-dessous la lettre indignée de la présidente d’une association de défense des enfants.

    « Une insulte à tous les enfants victimes !

    Sous le couvert d’argumentaires littéraires, il sera relayé par les médias, invité sur les plateaux de télévision, et soutenu dans le milieu littéraire.

    Dans son essai, » Les Moins de seize ans », Gabriel Matzneff expose son goût pour les mineurs des deux sexes.

    Il use du terme « enfant » pour désigner indifféremment les enfants et les jeunes adolescents, sans évoquer la notion de puberté. Il écrit : « Ce qui me captive, c’est moins un sexe déterminé que l’extrême jeunesse, celle qui s’étend de la dixième à la seizième année et qui me semble être — bien plus que ce que l’on entend d’ordinaire par cette formule — le véritable troisième sexe. En revanche, je ne m’imagine pas ayant une relation sensuelle avec un garçon qui aurait franchi le cap de sa dix-septième année. (…) À mes yeux l’extrême jeunesse forme à soi seule un sexe particulier, unique. ».
    Gabriel Matzneff revendique pour lui-même la qualification de « pédéraste », soit un « amant des enfants ».
    Il dénonce par ailleurs le fait que le « charme érotique du jeune garçon » soit nié par la société occidentale moderne « qui rejette le pédéraste dans le non-être, royaume des ombres ». « Un enfant dit-il, appartient à ses parents et à ses maîtres. Ce sont eux qui en ont l’usage exclusif. Pourtant, c’est nous que ces nauséabonds personnages accusent de détournement de mineur ». Sommes nous donc de nauséabonds personnages, pour vouloir protéger nos enfants des gens que moi, je qualifie de prédateurs sexuels et d’abuseurs de nos jeunes enfants, naïfs de ce que représente une telle perversion?

    Saviez-vous que Matzneff estime qu’« il n’y a pas un homme normalement constitué qui lise le croustillant récit des amours de Tonton Lucien (histoire d’un quinquagénaire qui avait, au cours de « ballets roses », abusé de fillettes âgées de onze à quinze ans), sans bander et songer qu’il aurait bien aimé être à sa place ». Quand on lit ce genre d’affirmations, je me demande comment réagissent les hommes à la lecture de telles accusations et comment Matzneff, n’a pas encore eu de procès en bonne et dû forme de la part de la gente masculine. Ne peut-on pas le qualifier de consommateur du sexe quand il affirme « En outre, si violence il y a, la violence du billet de banque qu’on glisse dans la poche d’un jean ou d’une culotte (courte) est malgré tout une douce violence. Il ne faut pas charrier. On a vu pire ».

    Présidente de l’association La Mouette, association de défense et de protection de l’enfant, j’ai été scandalisée et je reste scandalisée par ses propos fallacieux qui ramènent l’enfant à un « prostitué potentiel », une honte diffamatoire sur la moralité et les désirs propres d’un enfant.
    Le psychiatre Bernard Cordier estimait en 1995 qu’« un écrivain comme Gabriel Matzneff n’hésite pas à faire du prosélytisme. Il est pédophile et s’en vante dans des récits qui ressemblent à des modes d’emploi.

    Or cet écrivain bénéficie d’une immunité qui constitue un fait nouveau dans notre société. Souvenez-vous, lorsque la Canadienne Denise Bombardier l’a interpellé publiquement chez Pivot, rappelant le « Droit à la personne ». C’est elle qui, dès le lendemain, essuya l’indignation des intellectuels.

    Lui passa pour une victime : un comble ! (…) On ne prétend pas que ce type d’écrits sème la pédophilie, mais il peut la cautionner et faciliter le passage du fantasme à l’acte chez des pédophiles latents. Ces écrits rassurent et encouragent ceux qui souffrent de leur préférence sexuelle, en leur suggérant qu’ils ne sont pas les seuls de leur espèce et leur donnent un statut de victimes. D’ailleurs, les pédophiles sont très attentifs aux réactions de la société française à l’égard du cas Matzneff. Les intellectuels complaisants leur fournissent un alibi et des arguments : si des gens éclairés défendent cet écrivain, n’est-ce pas la preuve que les adversaires des pédophiles sont des coincés, menant des combats d’arrière-garde ?

    Pour l’universitaire américain Julian Bourg, la distinction opérée ainsi par Matzneff relève d’un désir de défendre « les pédophiles bien intentionnés comme lui », ainsi tout est dit.

    C’est une insulte à tous les enfants victimes et cela me choque .

    Annie GOURGUE
    présidente de l’association la Mouette

    Contre-info.com

     

    Lire:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Gabriel_Matzneff

     

  • Algérie : Un mouton de l’Aïd tue son acheteur

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    Le douar Hamadcha situé sur le plateau qui surplombe l’agglomération de Hassi el Ghella (16km de Témouchent) a connu un atroce drame.

     

    En effet, BA, âgé de 60 ans, père d’une famille nombreuse, a été tué par le mouton qu’il venait d’acheter pour le rituel sacrifice de l’Aïd el adha.

    La bête a donné un coup si violent de ses cornes à la tête de son nouveau propriétaire qu’elle l’a étalé dans une mare de sang. Transportée en urgence aux UMC, la victime ayant perdu trop de sang en est morte.

    El Watan

    Source

     

    Source C'est la meilleure

     

  • Verdun 1916, l’armée française sous les ordres du général Philippe Pétain résista aux soldats du Kronprinz

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    Philippe Pétain  (1856-1951)

     

    À Verdun, on ne passe pas !.. Dixit Philippe Pétain.

    Lundi 26 juin 2006, par Paul Vaurs // L’Histoire

    De famille modeste, Philippe Pétain sortit de Saint-Cyr en 1876. Après avoir été professeur à l’École de guerre, il était colonel commandant un régiment d’infanterie à Arras à la déclaration de guerre de 1914. Ses idées stratégiques favorables à la guerre de position en un temps où les stratèges officiels prônaient l’offensive, jointes à certains traits de caractère, l’avaient fait noter comme un esprit trop indépendant. En août 1914, il se distingue dans la région de Guise. Promu général, il commande la 6e division dans le 33e corps d’armée en Champagne. En mai 1915, il commande un corps d’armée en Artois. En septembre 1915, il est à la tête d’une armée en Champagne. En février 1916, on lui confie le secteur défensif de Verdun. Prudent, énergique et calme, il est très attaché à des conceptions défensives.

    Sa présence exceptionnelle parmi ses soldats fit de lui un héros national. Cette bataille fantastique le fit nommer le « vainqueur de Verdun ». Au mois de mai, il était nommé au commandement des armées du Centre. En 1917, à la suite de l’échec de la sanglante offensive de Nivelle sur le Chemin des Dames, il fut nommé commandant en chef des armées et appelé par le gouvernement Ribot pour faire face aux inquiétantes mutineries qui se développaient dans certains régiments de première ligne. Il réussit, réduisant les sanctions même si parfois il se montre impitoyable, améliorant l’organisation et l’intendance : les soldats sont soignés, nourris convenablement, les permissions rétablies ; surtout, les troupes ne sont plus jetées à l’attaque sous le feu ennemi en de meurtrières et inutiles offensives. Pétain ménage le sang des hommes. En mars 1918, c’est Foch qui est désigné comme généralissime des armées alliées, Pétain restant commandant en chef de l’armée française.

    À l’aube de l’année 1916, le commandement allemand, décidé à user complètement l’armée française en l’obligeant à s’engager à fond, choisit d’attaquer Verdun, saillant vulnérable dans la ligne de défense allemande, pivot du front fortifié et ville historique que les Français voudront défendre coûte que coûte. Le plan du Kronprinz, commandant la V° armée allemande, est de rompre le front nord du saillant dans la plaine de la Woëvre et d’exploiter le succès par les ailes, d’abord sur la rive droite de la Meuse pour refouler les Français sur la rivière, puis sur la rive gauche pour leur couper la retraite.

    Les troupes françaises sous le feu des canons, à Verdun, en 1916.

    Les Français, qui ont relevé des indices d’attaque prochaine sur Verdun, renforcent l’infrastructure routière et ferroviaire de cette région, dès janvier et le dispositif des troupes en février.

    Le lundi 21 février, après une courte mais violente préparation d’artillerie, le Kronprinz lance une attaque brusquée avec trois corps d’armée. Les deux divisions françaises qui défendaient les seize kilomètres de la première position sont submergées. Le 25, les Français évacuent la Woëvre et reportent leur défense sur les hauts de Meuse, en restant sur la rive droite où le général Joffre a prescrit à la IIe armée (Pétain) d’arrêter l’ennemi à tout prix. Les Allemands ne reprennent l’offensive que deux jours plus tard (le 27), le temps de déplacer leur artillerie et en vertu du principe, ancré dans les esprits depuis les combats de Champagne, que « l’artillerie conquiert et l’infanterie occupe ». La lenteur de l’exploitation du succès allemand permet aux Français d’amener des renforts. Leur front résiste.

    En mars et en avril, le Kronprinz s’acharne à progresser sur les deux rives de la Meuse, mais n’obtient que des succès partiels. C’est alors que Pétain adresse à ses troupes l’ordre du jour fameux se terminant par ces mots  : « On les aura ! »

    Constatant que les Français ont engagé à Verdun plus de divisions que lui-même (40 contre 26), le haut commandement allemand en déduit qu’ils s’épuisent et ne tarderont pas à s’effondrer. Il se trompe : si les divisions françaises passent si nombreuses sous Verdun, c’est que le commandement français y a établi une « noria » de toutes ses grandes unités, qu’il relève avant qu’elles ne soient trop éprouvées.

    Le 23 juin, les Allemands lancent un assaut qu’ils espèrent décisif. Le fort de Souville est bordé. S’il tombait (comme vient de le faire le fort de Vaux le 6 juin après une longue résistance), les Français seraient contraints à un repli sur la rive gauche. Le 24 juin, la II° armée jette et refoule l’ennemi ; lui aussi est épuisé, et il doit se renforcer désormais vers la Somme, où les Alliés préparent une offensive depuis six mois. Le déclenchement de cette offensive en juillet et une nouvelle offensive des Russes sur le front oriental obligent les Allemands à relâcher leur pression sur Verdun. En décembre, Mangin reprendra les forts perdus, mais d’ores et déjà Verdun est sauvé. Près de sept cent mille combattants français ou allemands sont morts sur ce champ de bataille.

    Innovation Démocratique

     

  • Un camp rom menace l'alimentation en chauffage de Paris

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    Chassés de leurs campements par les expulsions de l'été, 900 Roms regroupés à Saint-Ouen bloquent l'approvisionnement ferroviaire de la Compagnie de chaufferie parisienne. Des hôpitaux, des crèches et 110.000 foyers pourraient être privés de chauffage.

    Plus aucun train n'approche de la centrale de chauffage de Saint-Ouen en Seine-Saint-Denis. L'immense campement illégal de Roms qui recouvre une partie des docks depuis cet été bloque cent mètres de voie ferroviaire, compliquant l'approvisionnement en charbon de ce maillon essentiel de la distribution de chaleur de Paris.

    Depuis le début du mois de juillet, au rythme des expulsions survenues en Seine-Saint-Denis ou dans le Val-d'Oise, le campement rom de Saint-Ouen n'a cessé de grossir. «Ils étaient 500 en juillet, 800 début octobre, 900 maintenant, dont un tiers d'enfants», explique le cabinet du maire, qui se dit «totalement incapable de gérer la situation».

    La voie ferrée qui mène à la centrale de la Compagnie parisienne de chauffage urbain (CPCU) est complètement bloquée, couverte de cabanons, de caravanes et de détritus. Cette chaufferie représente pourtant, à elle seule, le quart de l'activité de la CPCU, qui alimente tous les hôpitaux publics de la capitale, une grande partie des crèches et 110 000 foyers parisiens.

    «S'il y a un pic de froid à partir de la mi-décembre, la Compagnie de chauffage ne pourra pas faire face», confie au Figaro Jean Tilloy, attaché de presse de la mairie de Saint Ouen.

    La voie ferroviaire étant impraticable, des dizaines de camions se relaient quotidiennement pour acheminer jusqu'à la centrale les tonnes de charbons nécessaires à son fonctionnement. Une solution temporaire car «beaucoup trop coûteuse», selon les responsables de la chaufferie.

    La maire en appelle à Manuel Valls

    Vendredi, la maire Front de gauche de la ville, Jacqueline Rouillon, en a appelé à Manuel Valls. Dans un courrier adressé au ministre de l'Intérieur, elle dit craindre «un grave accident» et demande l'expulsion rapide du campement. La mairie propose aux villes voisines d'accueillir des groupes de Roms dans des «villages d'insertion», sur le modèle de celui qu'elle avait mis en place entre 2008 et 2012. Contacté par Le Figaro, le ministère de l'Intérieur n'avait pas donné suite samedi après-midi.

    Le chantier est immense. «Soyons clairs, c'est un bidonville, souligne Jean Tilloy, de la mairie. Des centaines de familles s'approvisionnent en eau via une simple bouche d'incendie. Certaines auraient même bricolé des branchements électriques de fortune, c'est très dangereux».

    Propriétaire des terrains, Réseaux ferrés de France a obtenu début octobre l'évacuation du campement dans un délais de deux mois. L'État pourra donc procéder à l'expulsion du campement à partir du 12 décembre prochain. «Beaucoup trop tard», aux yeux des responsables de la chaufferie, qui estiment qu'il faudra «au moins un mois de plus» pour rendre la ligne ferroviaire à nouveau opérationnelle. La saison de chauffe, où la centrale devra tourner à plein régime, démarre le mois prochain.

    LE FIGARO - 09/11/13

     

  • Villepinte: remis en liberté parce que souffrant de la gale

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    Sarcopte de la gale

    Un individu de 20 ans sous le coup d’un mandat d’arrêt, pour purger un an de prison, a été interpellé jeudi 7 novembre à Villepinte (Seine-Saint-Denis) puis remis en liberté dans la nuit de jeudi à vendredi. Son état de a été jugé incompatible avec une mesure judiciaire de contrainte, a expliqué le parquet. Cet homme souffrirait de la gale, une affection de la peau bénigne mais très contagieuse.

     

    Il avait été transféré à l’hôpital Jean-Verdier à Bondy par les pompiers, escortés de la police, dans la soirée de jeudi.

     

    L’homme a été condamné le 21 octobre par le tribunal correctionnel de Bobigny à un an de prison ferme pour des violences contre une habitante de Saint-Ouen qui faisait signer une pétition pour réclamer le droit de vivre paisiblement dans ce quartier régenté par le trafic de drogue.

    Deux hommes l’avaient intimidée avec du white spirit et des papiers enflammés. L’un comparaissait détenu, l’autre libre. C’est lui qui était recherché. Il avait pris la fuite avant le délibéré.

     

     

    LeParisien.fr - 08/11/13

  • Une tête de porc découverte au centre culturel turc d' Amboise

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    Amboise. Hier après-midi, les ouvriers travaillant sur le chantier du centre culturel turc ont découvert une tête de cochon mort. Une plainte a été déposée.

     
                    

    Un porc décapité, posé près des étais, en contrebas du chantier du centre culturel turc : c'est la découverte qu'ont faite les ouvriers en revenant sur le chantier, ce vendredi, en début d'après-midi, avenue Léonard-de-Vinci à Amboise.

    C'est la troisième fois qu'un tel incident se produit, rapportent Kazim Oflu et Ismail Ozdemir, respectivement secrétaire adjoint et président de l'association Acta, l'association culturelle turque d'Amboise, qui est le maître d'ouvrage délégué de ce chantier (lire ci-contre). « Une autre tête de cochon a été posée ici récemment. Et le 29 septembre 2012, nous avons trouvé une tête de sanglier, dans les mêmes conditions : au retour de la prière du midi, un vendredi. »
    L'association avait alors déposé plainte auprès de la compagnie de gendarmerie d'Amboise. La mairie d'Amboise et la préfecture d'Indre-et-Loire avaient également été informées. « En revanche, nous n'avions pas souhaité alerter la presse, à ce moment-là, pour ne pas mettre de l'huile sur le feu », enchaîne Kazim Oflu. Hier, après cette troisième découverte, l'association a changé d'avis : « Nous ne sommes pas en colère, mais nous sommes très tristes. Ce geste est une provocation, car dans la religion musulmane, la viande de cochon, animal considéré comme impur, est interdite. »
    Les responsables de l'association Acta ont de nouveau déposé plainte contre X et ils ont aussitôt informé le consulat turc à Paris, hier après-midi. « On attend que les institutions nous apportent leur soutien et qu'elles condamnent publiquement ces actions. Personne ne nous a rien dit après la première plainte, on ne sait pas ce que l'enquête a donné, on ne sait même pas si la plainte a été classée sans suite », déplorent-ils.

    " Nous sommes très tristes "

    Les gendarmes ont été informés de ce nouvel incident. « Si personne n'a rien vu au moment des faits, les enquêtes sont difficiles », explique-t-on à la compagnie de gendarmerie d'Amboise. De son côté, le préfet, Jean-François Delage, parle d'événement « regrettable et condamnable ». Et le maire d'Amboise, Christian Guyon, se dit « écœuré » : « C'est comme si quelqu'un pissait dans un bénitier ou déféquait dans une église. »

    repères

    > La construction du centre culturel turc d'Amboise a commencé en février 2012. Elle a été financée par des donations, notamment celles des adhérents de l'Acta (Association culturelle turque d'Amboise), qui compte 500 familles adhérentes.
    > Avec ce centre culturel, l'association souhaite créer un lieu d'échanges et faire connaître la culture turque en organisant des ateliers, des expositions, des projections, etc. « Il y aura un espace de culte, mais ce ne sera pas qu'une mosquée », explique Kazim Oflu.
    > Le bâtiment comportera un dôme de 8 mètres de diamètre, avec trois petits dômes en façade. « Ce sera une architecture simple, avec très peu d'identité culturelle. »

    Magalie Basset
     
    La Nouvelle République - 09/11/13
  • Maisons-Alfort: un homme poignardé dans le RER D - 09/11/13

    Un homme de 41 ans a été poignardé dans une rame du RER D au niveau de la gare de Maisons-Alfort (Val-de-Marne), vendredi soir un peu avant 23 heures. Un individu âgé de 24 ans, accompagné de quatre compagnons, l’aurait blessé au bras. L’agression serait consécutive à une tentative de . La rixe aurait pour prétexte une cigarette.

     

    La police ferroviaire est intervenue. Les cinq agresseurs présumés ont été interpellés. Samedi après-midi, la victime, dont le pronostic vital n’est pas engagé, devait être opérée à l’hôpital Pompidou de (XV e). L’auteur des faits est toujours en garde à vue car la victime n’a pas encore pu être auditionnée. Les quatre autres ont été relâchés.

     

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  • La camerounaise Leonora Miano, prix Femina 2013, nous promet le "Grand Remplacement"

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    http://www.defrancisation.com/n-ayez-pas-peur-etre-minoritaire-culturellement/

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  • Un Somalien arrêté en Italie pour viol et séquestration de migrants

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    PALERME, Italie (Reuters) - Un chef de gang somalien, accusé par des migrants érythréens de viols, enlèvements et extorsion de fonds, a été arrêté en Italie, a dit la police vendredi, révélant une affaire édifiante sur le trafic d'êtres humains entre l'Europe et l'Afrique.

    L'affaire a pu être mise au jour à partir des récits des survivants du naufrage d'un bateau de migrants africains qui a fait au moins 366 morts au large de l'île italienne de Lampedusa le 3 octobre dernier.

    L'homme arrêté, Elmi Mouhamud Muhidin, 24 ans, était l'un des chefs d'un gang d'une cinquantaine d'hommes, Somaliens et Soudanais, qui ont enlevé 130 migrants érythréens en juillet après les avoir trouvés marchant dans le Sahara entre le Soudan et la Libye, selon un mandat d'arrêt consulté par Reuters.

    Les Erythréens ont été emmenés par le gang à Sabha, en Libye, et entassés dans une pièce pendant deux semaines. Ils y ont été torturés, la plante des pieds frappée au marteau. Ils ont également été soumis à des décharges électriques. Les 20 femmes du groupe ont été violées à plusieurs reprises et offertes à des "visiteurs" libyens "comme une tasse de thé".

    Les Erythréens ont ensuite été forcés à payer 3.300 dollars chacun (2.500 euros environ) pour être libérés et transportés dans la capitale, Tripoli, où ils ont été remis à d'autres trafiquants qui géraient un camp de 600 personnes.

    PRATIQUEMENT LYNCHÉ

    Les 130 Erythréens, avec des centaines d'autres, ont été entassés sur un petit bateau de pêche qui a coulé à moins d'un kilomètre de Lampedusa. Ils avaient payé chacun 1.600 dollars supplémentaires pour la traversée.

    Elmi Mouhamud Muhidin a, semble-t-il, ensuite voulu à son tour faire la traversée de Libye à Lampedusa, but ultime de nombreux migrants africains. Quand il est arrivé dans le centre où sont réunis les migrants à Lampedusa, le 25 octobre, il a été assailli et pratiquement lynché par ses victimes.

    C'est ainsi que l'enquête policière a été déclenchée.

    Muhidin, qui encourt 30 ans de prison, a été transféré à Palerme jeudi.

    "Ils étaient traités comme des esclaves", a déclaré à Reuters le procureur de Palerme responsable de l'enquête, Cologero Ferrara, à propos des migrants kidnappés. "On leur donnait une poignée de riz tous les trois jours. Ils ont été brutalement battus à de nombreuses reprises."

    La Libye, pays particulièrement incontrôlable où le Premier ministre lui-même a été brièvement enlevé le 10 octobre, est le point de départ des deux tiers des bateaux de fortune qui partent d'Afrique du Nord pour l'Europe via l'Italie.

    Depuis le drame du 3 octobre, l'Italie a augmenté ses patrouilles maritimes et utilise des drones pour localiser les bateaux qui tente cette dangereuse traversée.

    Parmi les prisonniers, seul un petit garçon de quatre ans a été épargné par les tortionnaires, ont raconté les témoins aux enquêteurs, mais il est mort noyé dans le naufrage.

    Danielle Rouquié pour le service français, édité par Gilles Trequesser

    Yahoo! Actualités 09/11/13

  • Fille voilée et violée aux Mureaux : c’était faux !

     

      Fille voilée et violée aux Mureaux : c'était faux !

    08/11/2013 – 19h25
    LES MUREAUX (NOVOpress) –
    La jeune fille voilée de 17 ans qui affirmait avoir été victime d’un viol le 30 septembre dernier aux Mureaux, dans les Yvelines, a finalement reconnu avoir menti.

    Cette adolescente avait alors prétendu avoir été agressée par trois personnes. Selon ses déclarations, le premier lui avait arraché son foulard islamique puis l’avait tirée par les cheveux tandis que les deux complices la violaient.
    Des voix s’étaient élevées pour dénoncer un “acte islamophobe”.

    Ces révélations interviennent quelques jours à peine après celles concernant une militante de l’UNEF qui avait inventé une agression à caractère raciste.

    Lire la suite

  • Les pieds dans la boue...

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    « Comme la première fois à Heidelberg, j’eus le sentiment douloureux et fier d’être plus étroitement attaché à ma patrie par le sang que j’avais versé pour sa grandeur. Et -pourquoi le tairais-je ?- à la pensée de tous les exploits dont j’avais été le témoin, je me mis à pleurer à chaudes larmes. J’étais parti en campagne avec l’idée de faire une guerre joyeuse ; je n’avais pas approfondi l’idée pour laquelle j’allais me battre. Maintenant je regardais en arrière : quatre années de croissance passées au milieu d’une génération destinée à la mort, dans des cavernes, dans des tranchées noires de fumée, dans des champs d’entonnoirs remplis d’éclairs, quatre années coupées seulement par les maigres joies du lansquenet, des nuits sans fin dans lesquelles les gardes succédaient aux gardes -bref un monotone calendrier plein de peines et de privations, partagé par les lettres rouges des batailles. Et de tous ces sacrifices s’étaient dégagée, sans même que je m’en fusse aperçu, l’idée de patrie toujours plus pure et plus brillante. C’était ce que j’avais gagné à ce jeu dont le gage avait, si souvent, été mon existence même : la nation n’était plus pour moi un concept vide, et voilé par des symboles -comment aurait-il pu en être autrement, alors que j’en avais vu tant mourir pour elle et que j’avais moi même été dressé à risquer ma vie pour son existence, sans hésiter, à toute minute du jour ou de la nuit ? Ainsi, si étrange que cela puisse paraître, de ces quatre années passées à l’école de la violence, de toutes les fureurs de la bataille de matériel, je rapportais précieusement cette notion que la vie ne reçoit son sens profond qu’engagée pour une idée ; qu’il y a des idéals auprès desquels la vie de l’individu, et même la vie de tout un peuple, sont sans importance. Si le but pour lequel j’ai combattu comme individu, comme atome, dans le corps de l’armée ne devait pas être atteint non plus ; si, en apparence, la matière nous avait jetés à terre -qu’importe. Nous avons toujours appris, comme il convient à des hommes, à combattre pour une cause et, au besoin, à mourir pour elle. Durcis au feu et à la flamme, nous avons pu, au sortir de cette forge du caractère, aborder la vie, l’amour, la politique, la carrière, tout ce que nous réservait la destinée, dans des conditions qui ont été données à bien peu de générations.
    Si on devait nous reprocher un jour d’être issus d’une époque de rudesse et de violence, nous répondrions : nous avons combattu les pieds dans la boue et dans le sang ; mais notre visage était tourné vers des choses d’une grande et haute valeur. Et aucun des innombrables que nous avons perdus, au cours de notre assaut, n’est tombé en vain ; chacun d’eux a rempli sa destinée. A chacun d’eux s’adresse cette parole, de Saint Jean que Dostoïevski a mis en tête de son grand roman :
    « En vérité, en vérité je vous le dis : si le grain tombé en terre ne meurt pas, il demeure seul ; mais s’il meurt, il porte beaucoup de fruits. » »

    Ernst Jünger. Orages d’Acier. Payot.

     

    Le chemin sous les buis - 8 novembre 2013

  • Des milliers de terroristes fuiraient la Syrie pour regagner la Tunisie

    http://www.egaliteetreconciliation.fr/Des-milliers-de-terroristes-fuiraient-la-Syrie-pour-regagner-la-Tunisie-21204.html

  • Les réseaux secrets du Front National

    http://www.lefigaro.fr/politique/2013/11/08/01002-20131108ARTFIG00341-les-reseaux-secrets-du-front-national.php