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Blog - Page 999

  • Horreur en Syrie - Le dirigeant d'une brigade rebelle mange le coeur d'un soldat syrien

    Lire: http://lejournaldusiecle.com/2013/05/14/syrie-le-dirigeant-dune-brigade-rebelle-mange-le-coeur-dun-soldat/

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  • Trocadéro: barbarie des racailles et trahison de Manuel Valls !

    Lire: http://ripostelaique.com/trocadero-barbarie-des-racailles-et-trahison-de-manuel-valls.html

    +  PHOTOS, VIDEOS

  • Lyon subventionne le Conseil régional du culte musulman

     

    Lu sur Lyon Mag :

    "Le candidat FN pour les prochaines municipales à Lyon n'a pas digéré le vote d'une subvention lundi lors du conseil municipal. Cette dernière, qui atteint 16 000 euros, sera versé au Conseil régional du culte musulman dont le siège se trouve à Villeurbanne. L'équipe de Gérard Collomb se défend de financer un culte et indique promouvoir "des activités culturelles, de médiation et de cohésion sociale" du CRCM ainsi que leur volonté d'encourager le dialogue inter-religieux.

    " S'il veut financer certains cultes qu'il le dise et qu'il l'assume et qu'il ne trouve pas un vague prétexte culturel ou social à des subventions clairement clientélistes et communautaristes, s'emporte Christophe Boudot, secrétaire départemental du Front National. Le maire de Lyon se moque une nouvelle fois des Lyonnais. (...) La vision de la société de Gérard Collomb n'est pas la mienne. Alimenter l'islam et promouvoir une religion dans une France qui obéit encore, au moins, dans les textes, au principe de laïcité n'est pas ma conception de la France républicaine une et indivisible. La vérité, est que monsieur Collomb et les socialistes, complètement dépassés par le phénomène de violence urbaine, par celui de l'immigration incontrôlée et celui du développement des communautarismes, doivent continuellement acheter la paix sociale pour ne pas voir sombrer les grands centres urbains dans le chaos."

    Philippe Carhon

    Le Salon Beige

  • Marseille capitale de la culture: l'architecte du MuCem mis en examen et placé sous contrôle judiciaire

     

     
    Marseille / Publié le mardi 14 mai 2013 à 22H18
     

    Rudy Ricciotti, l'architecte du MuCEM, le musée des civilisations de Marseille, a été mis en examen ce soir par le juge Rachel Isabey, du tribunal de grande instance de Toulon.

    Comme nous le révélions le 12 avril dernier, l'architecte se trouvait au coeur d'une enquête pour travail dissimulé et construction sans permis depuis quelques semaines, après la mise en cause et l'incarcération d'un entrepreneur toulonnais peu avant. Rudy Ricciotti a finalement été convoqué par les enquêteurs du Groupe d'intervention régional et de la Police aux frontières du Var pour une garde à vue, lundi matin, qui ne s'est achevée qu'en fin de journée à l'hôtel de police de Marseille. Il a finalement été transféré au palais de justice de Toulon, où la magistrate l'a mis en examen et placé sous contrôle judiciaire. Il a dû verser une caution de 80 000 euros.

    Les faits portent sur la construction de sa maison, sur le site classé de la Presqu'île, à Cassis, où il est soupçonné d'avoir fait travailler des ouvriers au noir. Les travaux auraient également été réalisés sans les autorisations nécessaires. Par ailleurs, des éléments nouveaux recueillis par les enquêteurs ont conduit le parquet de Toulon à ouvrir une enquête préliminaire pour fraude fiscale et blanchiment de fraude fiscale, concernant l'activité professionnelle de l'architecte. Plusieurs millions d'euros auraient été détournés des comptes de l'administration fiscale.

    La Provence

  • Fastueux anniversaire à Saint-Tropez pour l'épouse du président du Congo !

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    Entre vendredi et dimanche, Antoinette Sassou-Nguesso a célébré en grande pompe son 70e anniversaire à Saint-Tropez.

     

    Une délégation composée de près de 150 personnes accompagnait l'épouse du controversé président congolais Denis Sassou-Nguesso, qui se trouve impliqué dans l'affaire des "biens mal acquis".

     

    Le programme des Congolais à Saint-Tropez a été clinquant : logés dans des hôtels cinq étoiles, ils ont multiplié les séances shopping dans les boutiques de luxe, les dîners dans les restaurants les plus prestigieux et les sorties en discothèque.

     

    Ce voyage est actuellement au coeur d'une polémique au Congo, un pays où la population est en proie à de graves problèmes de pauvreté. Selon des journalistes congolais opposés au pouvoir en place, le coût de ce fastueux séjour s'élèverait à un million d'euros.

    Nice Matin - 14/05/13

  • UMPS: moins de sécurité, plus d’immigration - Par Bruno Gollnisch

      

    valls

    Trente blessés, des magasins vandalisés, des voitures incendiées, du mobilier urbain détruit, des touristes agressés par des racailles du type de celles qui sifflent la Marseillaise, une cérémonie très rapidement écourtée : le rassemblement « festif » pour célébrer la victoire du PSG en coupe de France hier au Trocadéro a vite dégénéré. Le préfet de police de Paris, Bernard Boucault, a expliqué que des milliers de casseurs étaient présents sur place. Bandes de jeunes qui ont démontré une nouvelle fois l’amateurisme de Manuel Valls qui, à l’instar d’un Bertrand Delanoë, a été bien incapable d’estimer à sa juste valeur l’ampleur et surtout les dangers d’une telle manifestation. Même la candidate bis des bobo à Paris, Nathalie Kosciusko-Morizet, de retour de Londres où elle a été obligée d’écouter son maire Boris Johnson lui expliquer que l’UE ne renouera pas avec la croissance « tant qu’elle gardera l’euro », y a été de sa critique vaguement sécuritaire…c’est dire !

    Chacun a pu remarquer que les consignes données aux forces de l’ordre par l’Etat PS contre les opposants au mariage pour tous dans les manifestations se traduisent par une répression souvent très dure et disproportionnée à leur endroit après la dispersion des cortèges. Or CRS et policiers en sous-effectif et sans ordres clairs n’ont procédé hier aux abords du Trocadéro qu’à 21 interpellations…

    Comme à son habitude et comme ses prédécesseurs, M. Valls a promis d’identifier les casseurs, comme il avait promis de surveiller le militant algérien d’Al-Qaïda Saïd Arif qui s’est fait la belle en Haute-Loire, comme il avait promis de juguler l’insécurité et l’immigration avec l’insuccès dramatique que l’on sait.

    En matière de flux migratoires justement, Manuel Valls multiplie les démonstrations de laxisme derrière les poses de matamore, comme le rappelait Bruno Gollnisch dans un communiqué hier.

    Au nombre des flux officiels composant le torrent migratoire -avec les vrais ou faux étudiants non Européens qui ne rentrent pas chez eux après leurs études, les détenteurs de visas de tourisme qui restent chez eux chez nous et le rapatriement sur notre sol des femmes et enfants restés dans le pays d’origine au nom du regroupement familial-, nous trouvons aussi les demandeurs d’asile.

    Le ministre de l’Intérieur, pour répondre à une promesse électorale du candidat Hollande, vient ainsi d’annoncer une réforme pour « améliorer l’accueil des demandeurs d’asile »,avec notamment la création de 9.000 places d’hébergement.

    Surtout, M. Valls précise que « toutes les démarches seront simplifiées, de la domiciliation jusqu’à l’accueil en préfecture ».Dans les faits le délai de réponse de l’administration au demandeur d’asile serait réduit de seize à neuf mois…ce qui laisse le temps de faire un enfant rendant le demandeur inexpulsable…Sera également mis en place « une procédure d’appel pour les candidats déboutés. »

    D’ores et déjà la France, connue pour la qualité de son accueil et la gratuité de ses prestations sociales et médicales, a gagné une place…puisqu’elle est désormais le deuxième pays européen le plus sollicité par les réfugiés politiques, le plus souvent en réalité des réfugiés économiques fuyant la misère dans leur pays d’origine. Depuis 2007 les demandes d’asile politique ont augmenté de 70% dans notre pays!

    Dans les faits sur les 62.000 demandes d’asiles annuelles, seulement environ 10.000 d’entre elles satisfont aux critères légaux. Mais les déboutés ont droit de résider en France, reçoivent une aide pécuniaire et leurs enfants sont scolarisés.

    Quant aux 52.000 candidats qui, dans notre Etat en faillite et ses 8 millions de pauvres, sont déboutés après de longs mois d’attente constate Bruno Gollnisch, ils ne sont bien sûr jamais expulsés. Ils restent dans l’attente d’une prochaine régularisation, d’un futur mariage ou d’une future grossesse qui leur ouvriront tous les droits….

    La démographe spécialiste de l’immigration, Michèle Tribalat , le rappelait plus largement sur la site Atlantico en avril dernier, contrairement à ce qu’affirme un récent rapport du ministère de l’Intérieur, «il est faux de dire qu’il y a eu une stabilisation de la proportion d’immigrés en France depuis 1975 », « que la France n’est plus à proprement parler aujourd’hui un très grand pays d’immigration »..

    « Le Monde avait déjà chanté cette chanson-là dans un article du 4 décembre 2009 dans lequel il annonçait une stabilisation de l’immigration. Il y annonçait que l’évolution de la population immigrée entre 1982 et 2006 reflétait une stabilisation. C’est évidemment faux. La population immigrée (personnes nées à l’étranger, de nationalité étrangère ou française par acquisition) a augmenté à un rythme voisin de celui de l’ensemble de la population française entre 1975 et 1999. Ce qui revient effectivement à une stabilisation de la proportion d’immigrés sur cette période. Mais la France a, depuis, entamé un nouveau cycle migratoire qui a porté la proportion d’immigrés à son plus haut niveau (8,4 % en 2009). L’accroissement relatif de celle-ci sur la période 1999-2009 est d’intensité voisine à celui connu au cours des Trente Glorieuses »

    Mme Tribalat a bien évidemment raison de le souligner.C’est d’ailleurs de ce laxisme criminel là dont ne veulent plus les Français qui loin d’être sans cœur, savent aussi qu’ils ne peuvent accueillir toute la misère du monde affirme Bruno Gollnisch .Il faudra bien un jour que l’UMPS explique franchement aux Français les raisons de la poursuite d’une immigration de peuplement qui ne se justifie en rien.

     

  • Noah attaque Marine Le Pen pour propos diffamatoires

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    Les avocats de Yannick Noah et de Marine Le Pen ont croisé le fer mardi après-midi devant la cour de la 17e chambre correctionnelle du palais de justice de Paris.

     
     
     

    L'accusée n'est pas là, le plaignant non plus. Après une joute médiatique livrée par télévisions interposées, ce sont les avocats de Yannick Noah et de Marine Le Pen qui ont croisé le fer mardi après-midi devant la cour de la 17e chambre correctionnelle du palais de justice de Paris. Depuis le 9 mars 2012, le chanteur accuse la présidente du Front national d'avoir «gravement porté atteinte à son honneur, sa réputation et son image» en tenant publiquement des propos diffamatoires dans une émission de Canal+, notamment en le qualifiant d'«exilé fiscal» ayant «planqué son argent à l'étranger». «Au lieu de payer ses impôts en France, ce monsieur se permet de donner des leçons de morale, des leçons de charité et de partage alors que lui, il ne partage rien, que son argent est planqué et qu'il n'en fait pas profiter les malheureux Français, je trouve ça lamentable», avait alors dit Marine Le Pen.

    «Marine Le Pen n'ignore pas les engagements publics de monsieur Yannick Noah en faveur d'actions caritatives. Ses propos ont ainsi pour objet d'écorner un des éléments constitutifs de sa notoriété auprès du grand public», justifie Me William Bourdon dans la citation à comparaître, l'avocat de l'ex-tennisman. Pour l'avocat, le «torrent de boue» visant à salir son client avait commencé après sa participation à la campagne de François Hollande quand la vedette était montée sur scène lors d'un meeting pour interpréter une chanson. Des élus UMP s'étaient alors élevé pour dire que le candidat socialiste ne pouvait pas prôner une République exemplaire et convier un chanteur qui était en contentieux avec l'administration fiscale. En effet, Yannick Noah a engagé en 1996 une procédure à l'encontre de cette dernière, qui conteste la domiciliation du chanteur en Suisse pour l'année 1993. Toujours devant le Conseil d'État, cette procédure «a déjà abouti à une réduction de plus de la moitié des sommes réclamées», stipule l'avocat de Yannick Noah. À ses yeux, le préjudice serait aggravé par cet «amalgame» entre les propos diffamatoires de Marine Le Pen et le contentieux existant, «laissant croire à l'opinion que ces accusations seraient parfaitement fondées». Yannick Noah a également intenté un procès en diffamation contre le sénateur UMP Pierre Charon et l'ancienne députée UMP Valérie Rosso-Debord.

    «Ma cliente ne comprend pas le procès de monsieur Noah qui est en vérité bien plus épidermique que légalement fondé», défend Me Wallerand de Saint-Just, avocat de Marine Le Pen. Ses propos n'étaient pas diffamatoires ni même contraires à son honneur car elle n'a jamais dit qu'il était fraudeur. Elle a simplement fait observer sur le plan moral qu'une personne qui planquait son argent à l'étranger n'avait pas la légitimité de donner des leçons de solidarité et d'humanitarisme aux Français. Comme dit le proverbe, quand on veut monter au cocotier, il ne faut pas avoir le caleçon breneux. On est dans la polémique politique, une fois de plus.»

    «Marine Le Pen est une chatte qui s'aiguise les griffes avec gourmandise et qui a la diffamation dans les gènes, soutient pour sa part Me Bourdon. Mon client accepte le débat d'idée mais pas d'être sali en étant jeté dans le sac à linge des grands fraudeurs du fisc.» Au titre des dommages et intérêts, l'accusation demande 50.000 euros à la présidente du Front national et 5000 euros à titre d'indemnité.

    Le Figaro - 14/05/13

  • Allocations familiales: l'incroyable décision

    Exclusif. Quand l’Europe impose à la France d’étendre le bénéfice de sa politique familiale à tous les enfants d’immigrés. Même nés à l’étranger.

     

    En France, la nouvelle est restée confidentielle. Mais pas en Algérie (voir notamment Le Matin DZ) : désormais, tout parent algérien installé en France pourra toucher des allocations familiales au titre de ses enfants, nés en Algérie, qui décideraient de le rejoindre. Et même, précise la Cour de Cassation réunie le 7 avril dernier en assemblée plénière, si les enfants en question ont pénétré en France en dehors de toute procédure de regroupement familial. Ce qui s’applique naturellement, d’abord, aux enfants de pères polygames, puisque les autres peuvent, depuis l’institution du système, en 1976, bénéficier dudit regroupement ! Résultat : les hommes ayant « épousé » plusieurs femmes dans leurs pays vont pouvoir, sans contourner la loi française comme ils le faisaient jusqu’à maintenant (en faisant passer, par exemple, leurs compagnes pour des « mères isolées »), financer légalement le séjour en France de leur descendance.

    Pour appuyer sa décision, la Cour de cassation évoque le principe de « non-discrimination » inhérent à la jurisprudence européenne – laquelle interdit depuis les années 1980 aux Etats de réserver à leurs seuls nationaux le bénéfice de prestations démographiques spécifiques – mais aussi l’accord euro-méditerranéen UE-Algérie du 19 décembre 2001. Dont les termes sont directement transposables aux ressortissants du Maroc et de la Tunisie ayant signé les mêmes accords avec l’Union européenne. Et sans doute demain, à tous les Etats extra-européens avec laquelle la France a signé des traités analogues !

    Cela signifie, en clair, que tous les efforts faits par la France depuis 1993 (gouvernement Balladur) pour limiter les fraudes au regroupement familial viennent de voler en éclat : à quoi bon menacer de poursuites les fraudeurs aux allocations familiales si la fraude elle-même n’existe plus ? La loi peut bien réserver le bénéfice de ces prestations aux enfants d’une seule épouse, tout se passera désormais comme si elle était abrogée…

    On se souvient, en 2010, de l’affaire Hebbadj, du nom de ce français d’origine algérienne soupçonné d’avoir fait subventionner par la caisse d’allocations familiales de Loire Atlantique un foyer composé de quatre femmes et de douze enfants. Finalement mis hors de cause, le 27 mars dernier par le tribunal de Nantes (mais condamné pour des faits connexes à six mois de prison avec sursis), M. Hebbadj ne connaîtrait plus aujourd’hui, tous ces « tracas ». Quand bien même il n’aurait pas acquis la nationalité française, le seul fait de reconnaître les enfants de ses compagnes comme les siens suffiraient à lui accorder de plein droit le bénéfice des prestations familiales…

    A l’heure où le gouvernement s’apprête à revoir à la baisse les aides versées aux classes moyennes au titre de la politique familiale, on imagine l’effet d’aubaine pour des dizaines de milliers de candidats à l’immigration ! En 2010, les services du ministère de l’Intérieur, sollicités par Brice Hortefeux, avaient recensé, au bas mot, 80.000 pères de famille dans le cas de M. Hebbadj. Un chiffre, certes approximatif, comme le sont, par nature, ceux des hors-la-loi présumés, mais qui n’en donne pas moins le vertige. Même en partant d’une hypothèse extrêmement basse (deux femmes pour un homme, et deux enfants par femme), voilà qui désignerait au moins un demi-million de personnes vivant sous un régime que proscrivait jusqu’alors le droit français.

    Or tout indique que la réalité est bien pire. Ecoutons l’ancien député communiste de Seine-Saint Denis, Jean-Pierre Brard, peu suspect de « complicité » avec la droite, cité dans une étude passionnante que la Fondation Montaigne avait consacrée, en novembre 2009, à la polygamie. Maire de Montreuil jusqu’en 2008, celui-ci rapportait la situation de deux frères jumeaux d’origine africaine: «Mariés chacun à deux épouses, ils avaient à eux deux 40 enfants, la plupart inscrits dans la même école. Nous avons mis un an à les convaincre de disperser les gamins dans différents établissements scolaires. Les deux pères voulaient qu’on leur trouve un grand appartement pour continuer à vivre tous ensemble. J’ai refusé fermement : non seulement nous n’avons pas de 15 pièces, mais, en plus, la famille coûtait déjà une fortune à la commune. »

    Nul doute qu’avec la décision du 7 avril, le casse-tête tournera bientôt au cauchemar pour de nombreux maires!

    Eric  Branca - Valeurs actuelles - 14/05/13

  • Avignon: un curé agressé dans la cour du centre paroissial

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    Lundi soir vers 20 heures, le père Grégoire de la communauté de Saint-Jean a été agressé par un individu. Frappé au visage, le religieux était inconscient sur le sol à l'arrivée de deux autres membres de la communauté. Ce mardi matin vers 11 heures, monseigneur Cattenoz, archevêque d'Avignon a tenu une conférence de presse en tapant du poing sur la table. Dénonçant l'insécurité dans le quartier Saint-Ruf et la multiplication des vols et menaces envers les membres de la communauté.

    Vaucluse Matin - 14/05/13

  • "Dissimuler" les racailles du PSG, le lapsus de BFMTV !

    Publiée le 14 mai 2013

    Le 13-05-2013 la journaliste Nathalie Levy de BFM-TV fait un lapsus révélateur employant le mot "dissimuler" au lieu de "distinguer". Le PSG est le QSG : le Qatar Saint-Germain.

     

     
  • Le quartier du Trocadéro saccagé par la racaille, un bus de touristes pillé

    Mardi matin les habitants du quartier du Trocadéro découvrent l’ampleur des dégâts: vitrines brisées, voitures vandalisées voire carbonisées, panneaux de signalisation arrachés. Rien n’a été épargné par les casseurs. Certains abribus ont volé en éclat. Au total 39 personnes ont été interpellées hier soir pour jets de projectiles et dégradations.

    BFMTV - 14/05/13

  • Trocadéro et Delanoë - 13 mai 2013

  • Le Vlaams Belang rejette la proposition de loi visant à poursuivre l’islamophobie

    Le Vlaams Belang rejette la proposition de loi visant à poursuivre l’islamophobie

     
     

    13/05/2013 – 08h00
    BRUXELLES (via le site de Lionel Baland) - Le Vlaams Belang (VB) rejette la proposition de loi visant à poursuivre l’islamophobie. Le VB entend défendre la liberté d’expression et affirme le fait que le terme « islamophobie » est conçu afin de pouvoir poursuivre toute critique de l’islam. Ensuite, il estime que l’islamophobie est un fait démocratique de résistance face à une religion totalitaire.

     

    Le Vlaams Belang dénonce le comportement des socialistes, tant néerlandophones que francophones, qui, par pur électoralisme, sont de plus en plus alliés à l’islam. Filip Dewinter parle même d’« islamo-socialisme ». Selon lui, l’islamophobie n’existe pas au sens littéral du terme : « Le fait d’avoir une peur irrationnelle de l’islam », car il n’est pas irrationnel mais acceptable et justifié d’avoir peur de l’islam, une religion totalitaire, théocratique, à l’attitude discriminante envers le femmes et violente.

    Le Vlaams Belang rappelle enfin que que cette proposition de loi tend à réduire la liberté d’expression. De plus, reprécise le VB, celui qui se sent blessé ou heurté dans ses croyances religieuses peut déposer plainte sur base de la législation actuelle.

    Crédit photo : DR

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • La fête du PSG dégénère au Trocadéro - 13 mai 2013

    Lire:  http://www.leparisien.fr/psg-foot-paris-saint-germain/video-en-direct-le-psg-champion-suivez-la-remise-du-trophee-13-05-2013-2799459.php

    + VIDEOS et TWEETS

    22h40. Marine Le Pen accuse le gouvernement. «Cette razzia commise en toute impunité était pourtant prévisible. Elle est la conséquence de l'indigence du ministre de l'intérieur, Manuel Valls, qui aurait dû interdire ce rassemblement, au vu des débordements qui avaient déjà eu lieu la veille», a estimé Marine Le Pen, présidente du Front national.