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Blog - Page 1001

  • La pédocriminalité sataniste en France et en Belgique

     

    Parlons des abus sexuels rituels, en l’occurrence commis contre des enfants, mais les adultes, surtout les jeunes femmes, ne sont pas épargnés. Ce type de violence s’inscrit dans le cadre de rituels « magiques » ou « religieux », dérivés du satanisme. Mais le satanisme est lui-même instrumentalisé par certaines catégories de personnes de pouvoir. Le but ? Il y en a plusieurs, comme améliorer le contrôle mental des populations, créer un climat de terreur grâce à des personnes sous contrôle, ou tout simplement compromettre des personnes clé.

    Petite compilation sur l’existence des abus sexuels de type rituel, en France et en Belgique.

     

    Pour David Shurter, une victime du réseau pédophile US lié à l’affaire Franklin, dont on a déjà parlé, le lien entre le satanisme et la CIA s’appelle MK Ultra, du nom de ce projet militaire qui visait à contrôler mentalement la population [1]. Pour cela, des expériences illégales ont été menées durant des années, officiellement jusque dans les années 70, lors desquelles ont faisait prendre des drogues aux cobayes, on les mettait sous électrochocs, tout en les traumatisant de toutes les manières possible, afin de les rendre malléables.

    Il est rejoint en cela par Ted Gunderson, un ancien agent du FBI qui s’est penché sur la question.

    Lire la suite de l’article sur dondevamos.canalblog.com

    E&R

  • Communisme, RDA: la première vie d'Angela Merkel

    sans-titre.png Angela Merkel.png

    11/05/2013 – 09h00
    BERLIN (via le site de Lionle Baland) - Qui est vraiment la Chancelière fédérale allemande Angela Merkel (59 ans, membre de la CDU) ? Un nouveau livre intitulé « La première vie d’Angela M. » éclaire les citoyens sur le sujet. Il est écrit par Ralf Georg Reuth du quotidien Bild et Günther Lachmann du quotidien die Welt.

     

    Communisme, RDA : la première vie d’Angela Merkel

    Communisme, RDA : la première vie d’Angela Merkel

    L’ouvrage est consacré à la vie d’Angela Merkel en République démocratique allemande (RDA) à l’époque du communisme, à sa jeunesse et à son parcours professionnel. Les auteurs prouvent que la chancelière allemande a été plus proche qu’elle ne le reconnaît du système en place en RDA. Selon ces journalistes, en tant que membre de l’élite scientifique de la RDA imprégnée par l’influence soviétique, elle a dû être consciente des objectifs du système et a développé un comportement conforme aux attentes de celui-ci.

    Lorsque Angela Merkel était active au sein de l’Académie des sciences de la RDA, elle était cadre politique, par exemple en 1981 en tant que secrétaire du FDJ (le mouvement de jeunesse communiste) pour l’agitation et la propagande. Elle était de plus active au sein de la direction du syndicat de l’Académie des sciences

    Lors de la fin du communisme, Angela Merkel, en tant que communiste réformatrice, était opposée à la réunification. Elle était favorable à un socialisme démocratique au sein d’une RDA indépendante.

    Angela Merkel a joué un rôle actif dans le cadre du début de la démocratie en RDA en tant que communiste réformatrice et ne s’est pas engagée en faveur de la réunification : une image de la chancelière conservatrice – Angela Merkel s’est présentée comme étant entrée en politique en décembre 1989 aux côtés des démocrates-chrétiens - qui n’est pas très conforme à celle désirée par son parti.

    Crédit photo : ESMT via Wikipédia (cc).

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  • D’après une étude au niveau international, les musulmans souhaitent très majoritairement l’application de la charia

    D’après une étude au niveau international, les musulmans souhaitent très majoritairement l’application de la charia

     
     

    10/05/2013 – 16h00
    WASHINGTON (NOVOpress) – D’après une étude monstre de quatre ans du Pew Research Center, une majorité de musulmans dans le monde estime que la charia doit avoir force de loi.

     

    Sur le thème « Religion, politique et société », cette enquête de terrain, qui s’est échelonnée de 2008 à 2012, fait ressortir que la conformité à la loi islamique fait consensus auprès du panel représentatif de 38.000 sondés issus de 39 pays.

    On y apprend notamment que dans les pays où les tribunaux religieux tranchent les litiges et rendent la justice, les justiciables musulmans sont unanimes à souhaiter s’en remettre aux prescriptions de la charia pour arbitrer les affaires familiales et foncières.

    Pour ce qui est de la question des châtiments corporels, ceux-ci sont pleinement approuvés, notamment au Bangladesh, en Égypte, en Afghanistan et dans les territoires palestiniens.

    Au sein du foyer, l’étude observe que les femmes comme les hommes partagent le même point de vue sur la notion d’obéissance que doit l’épouse à son mari. Une opinion qui prévaut dans tous les pays, et plus particulièrement en Irak, Maroc, Tunisie, Indonésie, Afghanistan et Malaisie.

    Sur le plan de la polygamie, les avis varient mais 87% des sondés du Niger la jugent par exemple moralement acceptable.

    Enfin, l’étude constate également que les musulmans sondés ne transigeront jamais avec les actes immoraux que sont la prostitution, l’homosexualité et l’alcool.

    Julien Lemaire

    Crédit photo : DR

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  • Syrie : Israël joue avec le feu islamiste – Par Jean Bonnevey

    Syrie : Israël joue avec le feu islamiste – Par Jean Bonnevey

     
     

    Ils sont nombreux les “idiots utiles” des fous d’Allah

    Il est évident que Tel Aviv s’inquiète à juste titre de l’implication de l’Iran dans le conflit syrien et d’un éventuel renforcement du Hezbollah libanais. Il n’en reste pas moins que son intervention militaire directe dans cette guerre civile la transforme en déflagration régionale. Israël prend des risques et joue avec le feu. A quoi servirait d’affaiblir les chiites radicaux du Liban si la conséquence est la prise du pouvoir à Damas par des sunnites fanatiques et proches de la mouvance Al-Qaïda. On pourrait reprendre la formule « ni Allal, ni casher » adaptée de celle de Churchill sur la destruction de l’Allemagne nazie renforçant la menace soviétique: « on a tué le mauvais cochon ».

     

    Syrie : Israël joue avec le feu islamiste - Par Jean Bonnevey

    Raids israéliens

    Selon un nouveau bilan, au moins 42 soldats ont été tués et le sort d’une centaine d’autres est inconnu à la suite du raid israélien“, a déclaré Rami Abdel Rahmane, directeur de l’Observatoire syrien des droits de l’homme (OSDH). Un premier bilan faisait état de 15 morts. Selon Rami Abdel Rahmane, les trois sites visés par les Israéliens “comptent 150 hommes, mais on ignore si tous s’y trouvaient lors du raid“. Les autorités syriennes n’ont, jusqu’à présent, donné aucun bilan officiel, mais le ministère des Affaires étrangères dans une lettre à l’ONU avait affirmé que “cette agression avait causé des morts et des blessés et des destructions graves dans ces positions et dans des régions civiles proches“. L’opposition syrienne s’inquiète donc elle aussi de l’intervention israélienne.

    Le retour des armes chimiques

    La Commission d’enquête internationale indépendante sur la Syrie, mandatée par l’ONU, a affirmé lundi qu’elle «n’avait pas obtenu de résultats permettant de conclure que des armes chimiques ont été utilisées par les parties au conflit». «En conséquence et à ce jour la Commission n’est pas en mesure de commenter davantage ces allégations», ajoute un communiqué qui apparaît comme un désaveu des déclarations dimanche à la presse d’un de ses membres, le procureur suisse Carla del Ponte, qui a parlé d’usage de gaz sarin par les rebelles.

    Syrie : Israël joue avec le feu islamiste - Par Jean Bonnevey

    Carla del Ponte

    Del Ponte, qui dans ses précédents mandats, notamment en tant que procureur du Tribunal pénal international pour l’ex-Yougoslavie (TPIY), s’était faite remarquer par des déclarations radicales aux médias, avait affirmé dimanche soir à la chaîne de télévision publique suisse du Tessin, avoir vu un rapport sur «des témoignages recueillis concernant l’utilisation d’armes chimiques, en particulier de gaz neurotoxique, par les opposants et non par le gouvernement».

    L’idole des traqueurs de criminel de guerre ne devient plus crédible quand elle témoigne en défaveur des « gentils auto-proclamés » !
    Y aurait-il une justice internationale elle aussi politisée ?

    Pour Damas, les raids israéliens prouvent que les rebelles sont «les outils d’Israël à l’intérieur» du pays. Et «la communauté internationale doit savoir que la situation dans la région est devenue plus dangereuse après l’agression», a déclaré le ministre de l’Information Omrane al-Zohbi. «Le gouvernement syrien confirme que cette agression ouvre largement la porte à toutes les possibilités», a-t-il ajouté. La télévision syrienne a annoncé en soirée que «les missiles étaient prêts pour frapper des cibles précises en cas de violation», sans plus de précisions.

    Dans sa lettre à l’ONU, Damas a accusé l’État hébreu d’appuyer les rebelles, notamment le Front Al-Nosra, branche syrienne d’Al-Qaïda. De son côté, l’Armée syrienne libre (ASL, rebelles) a estimé que ses opérations n’étaient «pas liées aux raids israéliens ou à autre chose» tandis que la Coalition de l’opposition a condamné le raid israélien mais accusé le régime d’être responsable de l’affaiblissement de l’armée qu’il utilise «contre la population». L’Iran a aussitôt répliqué par la voix du commandant de l’armée de terre, le général Ahmad-Reza Pourdastan, qui s’est dit prêt à «entraîner» l’armée syrienne.

    Il n’y a pas qu’Israël bien sûr qui joue avec le feu.

    Jean Bonnevey, 09/05/2013

    Source : Metamag. Reproduit avec son aimable autorisation.

    Crédit photo en Une : Israel Defense Forces, via Wikipédia, (cc). Crédit photo Carla del Ponte : UN Photo Geneva, via Flickr, (cc). Crédit de la carte : DR.

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  • Milan : Mada Kabobo, le clandestin « inexpulsable » qui tue les passants à coups de pioche

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    11/05/2013 – 21h30
    MILAN (NOVOpress) - Un mort, quatre blessés, dont deux grièvement, massacrés à coups de pioche. On trouve parmi eux tous les âges et presque toutes les situations : un employé de supermarché de 24 ans qui rentrait du travail, un jeune homme de 19 ans qui vendait des journaux avec son père, un ouvrier de 50 ans, un retraité de 64 ans, un chômeur de 40 ans qui vivait avec sa vieille mère : leur seul point commun est d’être tous Italiens de souche. Ce sont les victimes faites ce matin dans les rues de Milan par Mada ‘Adam’ Kabobo, clandestin ghanéen de 21 ans.

     

    Kabobo s’est acharné sur les malheureux avec une particulière férocité, continuant à les frapper alors qu’ils étaient déjà à terre. L’un d’entre eux, décédé à l’hôpital, a eu la boîte cranienne éclatée de quatre coups de pioche. Le Ghanéen a dépouillé ses victimes de leurs téléphones portables et de leurs portefeuilles « mais, selon les enquêteurs, il est peu probable, compte tenu de son extrême violence, que son mobile ait pu être le simple vol ».

    Les journaux italiens rappellent les étapes de ce qu’Il Messaggero appelle « l’histoire migratoire de Mada Adam Kabobo ». Il est arrivé en Italie en 2011, ayant apparemment débarqué dans les Pouilles avec un bateau de clandestins. Il a fait l’objet d’un signalement photographique et a reçu un avis d’expulsion.

    Milan : Mada Kabobo, le clandestin « inexpulsable » qui tue les passants à coups de pioche

    Bari

    Détenu au centre d’identification et d’expulsion de Bari, il a participé en août à la révolte immigrée qui a dévasté la ville (photo ci-contre). Le bilan avait été de 98 blessés parmi les policiers, les pompiers, des automobilistes qui passaient et avaient été attaqués à coups de pierres, et les passagers d’un autobus pris d’assaut. On avait frôlé, déjà, un massacre puisque les immigrés s’apprêtaient à mettre le feu à l’autobus, où se trouvaient encore le chauffeur et trois femmes, si un policier n’était pas courageusement intervenu tout seul pour les en empêcher. Le gouvernement italien avait alors capitulé devant les émeutiers et promis d’examiner leurs demandes d’asile politique.

    Quoiqu’il ne parle pas l’italien mais seulement « des bribes d’anglais », Mada Kabobo a donc demandé l’asile – quelle association immigrationniste s’est chargée de rédiger sa demande ? Il a obtenu en 2012 « un permis de séjour temporaire, prévu par la loi justement pour ceux qui sont en attente d’une décision quant à leur statut de réfugié ». La commission régionale chargée d’examiner son dossier a ensuite rejeté sa demande et son permis de séjour a automatiquement expiré.

    « Kabobo, cependant, comme beaucoup d’autres immigrés auquel l’asile est refusé, dépose un recours au tribunal contre la décision. En conséquence, “pour des raisons de justice”, quoique en situation irrégulière sur le territoire italien, il devient de fait “inexpulsable” puisqu’il ne peut pas être éloigné du territoire avant que son cas n’ait été tranché juridiquement. Entre temps, il collectionne une petite série de délits qui vont des atteintes au patrimoine au vandalisme et à la résistance violente à agent de la force publique. »

    Il est contrôlé à plusieurs reprises par la police, en particulier dans la région de Milan mi-avril, sans aucune conséquence. Il ne semble pas avoir eu de domicile fixe et il ne fait pas partie des immigrés officiellement recensés et aidés par la municipalité de Milan. « On ne peut cependant exclure, écrit Il Messaggero, qu’il ait pu profiter des services humanitaires d’autres organisations ou associations qui assurent un soutien aux immigrés non-européens ».

    Crédit photo dans le texte : DR.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Anti-corrida: en finir avec ces actes de barbarie - 11/05/13

    NdB: En finir, oui, avec ces actes de barbarie, mais sans oublier l'abattage rituel halal et casher, encore plus cruels que la corrida.

    J'ai assisté à de nombreuses corridas à Arles et à Nîmes: spectacles magnifiques, mais évidemment cruels. Cependant le taureau peut se battre, porter de coups au torero, et il est rapidement achevé à la fin, foudroyé par un coup de poignard dans la nuque. 

    Vu également et posté sur le blog des vidéos montrant ce qu'est l'abattage rituel: pour moi, cet abattage sans étourdissement préalable, égorgement au couteau et longue agonie tandis que l'animal est saigné encore vivant pendant de longues minutes, est infiniment plus cruel et barbare qu'une mise à mort dans l'arène.

    Ceci dit, je suis pour l'interdiction des corridas en France.

     

     

  • Photos placardées à Villeneuve d'Ascq : quand l'inaction conduit à l'exaspération populaire

     

     
    Communiqués / 10 mai 2013

    Communiqué de Presse de Florian Philippot, vice-président du Front National

    La décision d’habitants de Villeneuve d’Ascq de placarder les photos de leurs cambrioleurs présumés témoigne de l’exaspération croissante des Français devant la montée continue de la délinquance.

    L’inaction des pouvoirs publics conduit au pourrissement d’une situation devenue insupportable, et très logiquement à l’exaspération populaire.
    Ce qui se passe dans cette ville du Nord doit alerter l’ensemble des responsables politiques empêtrés dans le laxisme depuis des années, aussi bien à l’UMP qu’au PS.

    La multiplication des campements de Roms partout en France se poursuit alors que le peuple français demande dans l’indifférence générale leur démantèlement.
    Des réseaux criminels nomades étrangers pillent la France mais rien ne change, au contraire.
    Pire, du fait des règles de l’Union européenne, dès janvier 2014 il sera presque impossible de renvoyer chez eux les Roms clandestins.

    Le laxisme doit cesser, la France doit retrouver des frontières face à la criminalité. C’est la condition indispensable du retour à l’ordre, à la tranquillité et à la sérénité dans l’ensemble de notre pays.

  • John Kerry dit avoir une "preuve solide" de l'usage d'armes chimiques par Damas

     
     
    Le secrétaire d'État américain, John Kerry, a indiqué vendredi que son pays pensait détenir une "preuve solide" de l'usage d'armes chimiques par le régime syrien. Pour la Turquie, qui dit s'appuyer sur des examens médicaux, cela ne fait aucun doute.
     
     La fameuse ligne rouge de Barack Obama a-t-elle été franchie ? Le secrétaire d'État américain, John Kerry, a déclaré vendredi 10 mai que les États-Unis pensaient détenir une "preuve solide" de l'utilisation de ces armes par le régime syrien.

    Au cours d'un dialogue avec des internautes organisé par Google+, la télévision NBC News et le département d'État, John Kerry a dénoncé les "choix terribles qu'a faits le régime [du président syrien Bachar al-Assad] par sa volonté de tuer entre 70 000 et 100 000 personnes de son propre peuple, d'avoir recours à des gaz pour lesquels nous pensons avoir la preuve solide de leur utilisation".

    Un pas supplémentaire

    Ces propos du chef de la diplomatie américaine, tout juste rentré d'une tournée à Moscou et à Rome centrée sur la Syrie, marquent un pas supplémentaire dans les déclarations de l'exécutif américain sur le dossier des armes chimiques dans ce pays en guerre.

    La Maison Blanche avait en effet jugé lundi "hautement probable que quelque utilisation d'armes chimiques que ce soit en Syrie (soit) le fait du régime" syrien et non des rebelles. Le président Barack Obama avait promis fin avril une réévaluation des "options" américaines sur la Syrie s'il est prouvé que Damas a utilisé des armes chimiques, mais a mis en garde dans l'intervalle contre des décisions prises sans avoir "tous les éléments" en main.

    La Turquie est formelle

    Pour le Premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, cela ne fait aucun doute : la Syrie a utilisé des armes chimiques et a "franchi depuis longtemps" la ligne rouge fixée par les États-Unis, a-t-il estimé vendredi sur NBC News. Son ministre des Affaires étrangères, Ahmet Davutoglu, a déclaré le même jour, lors d'une visite à Amman (Jordanie), que des examens menés en Turquie sur des victimes de la guerre en Syrie indiquent que des armes chimiques ont été utilisées. D'autres tests seraient en cours pour le confirmer.

    La question des armes chimiques ne cesse de faire l'objet de déclarations depuis plusieurs semaines. Le régime syrien et les rebelles s'accusent mutuellement d'en avoir fait usage. Le 5 mai, la magistrate Carla del Ponte, membre de la commission d'enquête de l'ONU sur les violations des droits de l'Homme en Syrie, a pointé du doigt les insurgés. Elle a aussitôt été désavouée par l'ONU, qui a indiqué ne pas détenir de preuve formelle.

     

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    France 24 - 10/05/13

  • Villeneuve d'Ascq: des habitants affichent les photos de leurs voleurs en pleine rue

    Dans la commune de Villeneuve-d'Ascq dans le département du Nord, des habitants scotchent les portraits de leurs prétendus cambrioleurs sur des panneaux dans les rues d'un quartier touché par une hausse des cambriolages.

    Les habitants du quartier de Triolo dans la commune de Villeneuve-d'Ascq (Nord) en ont ras-le-bol des cambrioleurs. Ils ont donc décidé d'afficher des photos de leurs présumés voleurs dans les rues de leur quartier, selon le quotidien régional La Voix du Nord.

    "Individus recherchés pour une série de cambriolages sur le secteur du Triolo", peut-on lire sur l'une des affiches scotchées sur un panneau de signalisation. A côté d'une brève description physique de ces "individus", deux photos prises avec des téléphones portables.

    A l'origine de cette "chasse à l'homme", deux riverains qui ont été cambriolés. A plusieurs reprises, alors qu'ils promenaient leur chien, ils ont aperçus plusieurs jeunes hommes, reconnus sur une vidéosurveillance après un cambriolage, rôder autour des maisons. Les deux habitants les ont alors pris en photo avec leur téléphone afin de placader leur visage dans tout le quartier.

    Parallèlement, ils distribuent des tracts pour alerter le voisinage. "Sept cambriolages en un mois dans quatre allées de notre quartier... Combien depuis deux ans et combien encore?", indique leur tract, posté dans les boîtes à lettre.

    Le travail "des autorités"

    "Je les comprends, a réagi Maryvonne Girard, la première adjointe du maire. Ils sont arrivés à un tel niveau d'exaspération... Mais il y a des lois. C'est aux autorités de tout faire pour rechercher ces gens-là", a expliqué l'élue dans la Voix du Nord. La police a prévu de leur demander d'enlever leurs affiches, restées placardées pendant trois jours.

    Une initiative du même genre avait été repérée à Bordeaux, où des riverains exaspérés avaient décidé de placarder des affiches invitant à photographier les revendeurs de drogues, dans le but de les poster sur Facebook. "Prenez les dealeurs du quartier en photo et postez-les sur Facebook", pouvait-on lire sur les affiches. Si l'efficacité de cette initiative citoyenne n'a jamais été prouvée, la médiatisation de l'affaire avait, elle, fait disparaitre les vingt dealeurs qui zonaient dans le quartier.

    TF1 - 10/05/13

    NdB: Un camp de roms se trouve non loin...

  • Les Blancs fuient Londres: ils sont désormais minoritaires !

    Etienne Lahyre
    Haut fonctionnaire.

    Ça se confirme : David Cameron change de cap et de braquet. Dans le traditionnel discours du trône, prononcé par le souverain mais préparé par le Cabinet du Premier ministre, Elizabeth II a affiché la volonté du gouvernement conservateur de mieux contrôler l’immigration : limitation de l’accès aux soins et aux prestations sociales des immigrés bénéficiant de titres de séjour de courte durée, facilitation de l’expulsion des délinquants étrangers, implication des propriétaires qui devront s’assurer de la régularité du séjour en Grande-Bretagne de leurs locataires étrangers… Voilà de quoi répondre aux attentes des électeurs UKIP (Parti pour l’indépendance du Royaume-Uni).

    Après deux ans de mandat et une politique libérale-conservatrice aussi prévisible qu’infructueuse, Cameron opère exactement le même tournant que Sarkozy en 2009 lorsque celui-ci lança le débat sur l’identité nationale.

    Le parallèle franco-britannique ne s’arrête pas là : des statistiques rendues publiques et commentées par le Daily Mail montrent que les Britanniques blancs quittent massivement les zones où ils sont devenus minoritaires. Depuis 2001, plus de 600.000 Blancs ont quitté Londres : alors que 58 % des Londoniens étaient blancs en 2001, ils ne sont plus que 45 % en 2011. En France, le géographe Christophe Guilluy décrit un phénomène identique : les anciens quartiers populaires des grandes villes et leurs proches banlieues se vident de leurs populations blanches, qui préfèrent la relative quiétude des zones rurales ou péri-urbaines.

    Les conséquences politiques de ces mouvements sont particulièrement sensibles : métropoles et banlieues immigrées sont devenus des fiefs inexpugnables de la gauche, où la droite parlementaire et le FN sont en chute libre. À l’élection présidentielle de 2012, Paris a majoritairement voté en faveur du candidat de gauche pour la première fois de l’histoire de la Ve République. Alors que la droite avait gagné la totalité des vingt arrondissements parisiens aux élections municipales de 1989, l’est parisien est désormais ingagnable pour elle, la gauche y obtenant régulièrement près de 70 % des voix.

    Cette fuite des Blancs (« White Flight ») s’accélère particulièrement dans les zones où ils sont progressivement devenus minoritaires, dans les zones où les us et coutumes n’ont plus rien de britannique ou d’européen. Dans ces quartiers où un ordre politique et social parallèle s’est substitué à l’État de droit et la culture nationale.

    Face à cela, les élites mondialisées proposent une analyse et une réponse erronées : à leurs yeux, c’est l’économie et elle seule qui mène le monde ; le retour de la croissance et la baisse du chômage entraîneront mécaniquement un reflux des tensions identitaires. Elles plaquent sur l’Europe du XXIe siècle leur diagnostic (déjà simpliste et parcellaire) de la « montée des périls » dans les années 1930, exclusivement due selon elles à la crise économique de l’époque. En oubliant les bouleversements migratoires et démographiques considérables intervenus en Europe depuis la deuxième moitié du XXe siècle et leurs conséquences en matière de cohésion et d’identité nationales.

    Les post-nationaux refusent de voir le monde tel qu’il est : avant d’être un homo œconomicus, un facteur de production ou un consommateur, l’homme est d’abord un animal politique et social, membre d’une communauté et attaché à sa culture spécifique. La coexistence entre groupes, quels qu’ils soient, est systématiquement le fruit d’un rapport de force. Dès lors que des communautés sont façonnées par des valeurs et des cultures trop éloignées, elles ne peuvent pas cohabiter pacifiquement de manière durable : les sociétés européennes désormais multiculturelles sont devenues multiconflictuelles. En niant les frontières pour instaurer, disaient-ils, la paix universelle, en voulant construire de toutes pièces un « citoyen du monde » (superbe oxymore, soit dit en passant) déraciné, les mondialistes sont devenus les docteurs Frankenstein de la guerre de tous contre tous.

    Etienne Lahyre, le 10 mai 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Syrie - Le député Laurent LOUIS dénonce le projet du Grand Israël devant le Parlement belge

     

    Publiée le 8 mai 2013

    La Syrie subit depuis 2011 une tentative de déstabilisation. Il ne s'agit pas d'une guerre civile mais bien d'une invasion étrangère.  Le but est de détruire la Syrie telle que nous la connaissons aujourd'hui pour diviser le pays, affaiblir son allié iranien et permettre au projet du Grand Israël de voir le jour. Ce projet prévoit d'étendre Israël du Nil jusqu'à l'Euphrate recouvrant ainsi la Palestine historique, le Liban, la Syrie, la Jordanie, une partie de l'Irak et une partie de l'Egypte. Le député indépendant belge Laurent LOUIS dénonce pour la première fois devant un Parlement national l'existence de ce projet sioniste.

  • Abolition de l’esclavage : une mise au point de l’historien Bernard Lugan

     sans-titre.png Mémorial repentance.png

    Jean-Marc Ayrault devant le Mémorial de l’abolition de l’esclavage de Nantes, le seul construit en Europe. Un symbole de la repentance chère au Premier ministre. Crédit photo : Jean-Marc Ayrault via Wikimedia (cc)

    10/05/2013 – 12h00
    NANTES (NOVOpress Brezih) –
    Repentance oblige, comme chaque année la municipalité socialiste de Nantes commémore ce vendredi l’abolition de l’esclavage. Une cérémonie - avec jets de fleurs, prises de parole et minute de silence – se tiendra à 17 h 30, à la passerelle Schoelcher puis au Mémorial. Invitée d’honneur : Carole Aston, une Américaine chanteuse de jazz – « Une voix noire et douce comme de la mélasse » selon le Financial Times – “très engagée dans la défense des droits de l’homme”. Sur son blog, l’historien Bernard Lugan, spécialiste de l’Afrique, remet utilement les pendules à l’heure.

     

    Le 10 mai, avec la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions », c’est encore un anniversaire de culpabilisation à sens unique qui est célébré. Sous la présidence de Jacques Chirac les députés votèrent à l’unanimité, (donc tous les élus de « droite »), et en première lecture, la loi dite « Taubira ». Définitivement adoptée le 10 mai 2001, cette loi qualifie de « crime contre l’humanité » la seule traite esclavagiste européenne. Christiane Taubira a insolitement précisé que sa loi passe sous silence la traite arabo-musulmane[1] afin que les « jeunes Arabes (…) ne portent pas sur leur dos tout le poids de l’héritage des méfaits des Arabes » (L’Express du 4 mai 2006).

    Et pourtant, au XIXème siècle, l’abolition décidée par les Européens ne concerna pas les Arabo-musulmans. Depuis la Libye, au nord, ou depuis Zanzibar, à l’est, des caravanes organisées militairement continuèrent en effet à dévaster des régions entières de l’Afrique noire. Au XIXème siècle, au centre comme à l’Est du continent, les réseaux esclavagistes musulmans étaient en pleine extension ; la documentation abonde les concernant.

    Dans la région sahélienne, de la boucle du Niger au Tchad, les esclavagistes puisaient dans le « vivier humain » du bilad al Sudan, Bambara, Sénoufo et Sara étant leurs principales victimes.

    Dans la région du Haut Nil, l’actuel Sud Soudan, Dinka, Nuer et Chillouk étaient pourchassés, les femmes pour leur beauté et les jeunes garçons pour être « transformés » en eunuques gardiens des harem.

    Dans l’Est de l’Afrique, les esclavagistes zanzibarites ravageaient les actuels Etats de Tanzanie, d’Ouganda, de RDC, de Zambie ainsi que tout le Nord du Mozambique. Tirant l’essentiel de ses revenus de la vente des esclaves, le sultan de Zanzibar avait constitué un corps de fonctionnaires chargé de tenir un compte précis du nombre de captifs débarqués sur son île. Grâce aux registres des perceptions douanières, nous savons ainsi qu’entre 1830 et 1873, environ 700.000 esclaves furent vendus sur le seul marché de Zanzibar. Ces chiffres ne valent cependant que pour le commerce officiel du sultanat et ils ne tiennent pas compte de la contrebande.

    Ce fut l’administration coloniale qui mit un terme à ces odieuses pratiques. Certaines ethnies ne survécurent alors que parce que la colonisation sépara victimes et razzieurs, comme au Mali, comme au Niger, comme au Tchad, comme en Centrafrique, comme au Nigeria, comme en RDC, comme en Tanzanie, comme en Ouganda, comme au Soudan, comme au Malawi, comme au Mozambique etc… Ce furent les Européens qui firent fermer le marché de Zanzibar en 1873. Ce furent également eux qui, à partir de 1890, obligèrent les autorités égyptiennes à interdire aux 78 marchands d’esclaves du Caire et aux 73 d’Alexandrie de cesser cette activité[2].

    En 2005, Jacques Chirac décida que le 10 mai, jour de l’adoption de la loi Taubira, serait désormais célébrée la « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions ». Rompant avec une sage pratique voulant, sauf exception, que des dates du passé soient toujours choisies pour célébrer les évènements historiques, le président de la République faisait ainsi d’une date du présent un jour de commémoration d’évènements du passé…

    Et pourtant, le 27 avril, date anniversaire de l’abolition de l’esclavage en France (27 avril 1848) était la date idéale qui aurait permis de célébrer cette « Journée des mémoires de la traite négrière, de l’esclavage et de leurs abolitions » dans un climat d’unanimisme national. Jacques Chirac a préféré une date clivante.

    Tout cela n’est cependant qu’un début car les groupes de pression constituant le noyau électoral de François Hollande, modernes Minotaures à l’insatiable appétit, réclament maintenant des « réparations » sonnantes et trébuchantes. Comme les caisses de l’Etat sont vides, notre « pauvre » président ne va donc pouvoir nourrir ses électeurs que de paroles. Il faudra donc qu’elles soient roboratives. C’est pourquoi nous pouvons nous attendre à de nouvelles rafales de déclarations et de mesures symboliques de repentance.

    Voilà comment le totalitarisme se met en place et comment, lentement mais sûrement, nos « élites » gouvernantes, totalement coupées du « pays réel » se préparent des lendemains difficiles. Notamment parce que Madame Taubira dont les condamnations sont sélectives, ignore probablement, et les Romains l’avaient appris à leurs dépens, que chez les Gaulois « la patience dont on abuse se change en fureur ».

    Bernard Lugan

    [1] L’Afrique réelle du mois de mai 2013 consacre un important dossier aux traites arabo-musulmanes.
    [2] Voir mon livre Mythes et manipulations de l’histoire africaine. Mensonges et repentance. A commander sur ce blog.

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  • L'Ascension dans l'art européen - Les Très Riches Heures du duc de Berry

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    09/05/2013 – 14h00
    PARIS (NOVOPress) –
    La fête chrétienne de l’Ascension, célébrée quarante jours après Pâques, a fait l’objet de nombreuses œuvres d’art dans la culture européenne. Dans la foi chrétienne cette fête marque la montée au ciel de Jésus après sa résurrection. En voici une illustration dans un des plus renommé livre manuscrit enluminé : Les Très Riches Heures du duc de Berry.

    La réalisation de ce livre a eu une histoire complexe.

     

    Commandé en 1410 aux frères Paul, Jean et Herman de Limbourg, par le duc Jean de Berry, l’un des frères du roi Charles V le Sage, il était inachevé à la mort la même année en 1416 du commanditaire et des trois enlumineurs, peut-être du fait d’une épidémie de peste. Le travail fut continué par différents peintres et fut achevé par l’enlumineur Jean Colombe sur commande du duc de Savoie, en… 1485.

    Il est conservé au musée Condé à Chantilly, où l’original n’est qu’exceptionnellement exposé au grand public, pour assurer la bonne conservation de ce document fragile et précieux.

    Scène de vendanges dans Les Très Riches Heures du duc de Berry
    sans-titre.png Vendanges.png

    Crédit images : domaine public, via Wikipédia.

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  • Hollande parle d'"impossible réparation" morale de l'esclavage, le CRAN exige des réparations financières

    Lire: http://fr.news.yahoo.com/françois-hollande-parle-d-impossible-réparation-lesclavage-124457080.html

     

    NdB: Seuls les descendants des armateurs négriers de Bordeaux, de Nantes qui faisaient  le lucratif commerce du "bois d'ébène", pourraient être concernés  par  cette éternelle repentance. Pas les autres Français qui ne tiraient aucun profit de l'esclavage! Nous n'avons pas à battre notre coulpe!

     

  • Chine: la petite-fille de Mao est multimillionnaire

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    Kong Dongmei

    La petite-fille de Mao Zedong a fait son entrée dans la liste des grandes fortunes chinoises : la nouvelle a fait sensation, ce vendredi, illustrant spectaculairement la manière dont les héritiers, directs ou politiques, du Grand Timonier, ont inversé sa politique viscéralement égalitariste.

    Mais c’est aussi la démonstration de la place prise, dans la Chine actuelle, par les « fils et filles de », une nouvelle aristocratie rouge qui occupe les positions clés de l’Etat, de la société et de l’économie, aux dépens de la méritocratie communiste supposée.

     

    Petits-enfants de Mao

     
    Kong Dongmei

    Kong Dongmei, petite fille du fondateur de la République populaire, est donc la 242e fortune chinoise, avec des avoirs, en commun avec son mari Chen Dongsheng, estimés par le magazine financier chinois New Fortune à 620 millions d’euros.

    Cette femme de 41 ans est la seule descendante de l’union entre Mao et sa deuxième femme, He Zhizhen.

    Cette fortune s’est faite dans une maison de vente aux enchères, Guardian, cofondée par le mari de Kong Dongmei.

    Mais la jeune femme se consacre pour sa part à la « culture rouge », le souvenir de l’épopée des pionniers du maoïsme, popularisée au travers d’une société culturelle. Dans le China Daily, le quotidien officiel de Pékin, elle expliquait en 2008 :

    « J’ai démarré cette entreprise dans l’esprit et avec les mêmes objectifs que mon grand-père. »

    Avec une différence : l’article du China Daily précise qu’elle porte ce jour-là un manteau Agnès B., et les « objectifs » du grand-père (qu’elle n’a pas connu) ont été revus et corrigés par Deng Xiaoping quand il a lancé après la mort de Mao : « Enrichissez-vous » !

    Le général Mao


    Le général Mao Xinyu, le petit-fils du Grand Timonier (DR)

    Elle n’est pas la seule descendante de Mao à faire parler d’elle : Mao Xinyu, petit-fils du fondateur de la République populaire et son seul descendant mâle, est devenu d’un seul coup général de l’Armée populaire de libération en 2010, et membre des institutions politiques.

    Le général est devenu la cible favorite des internautes chinois qui manient habilement l’humour pour contourner la censure. Mao Xinyu est régulièrement moqué pour sa corpulence peu militaire et son absence visible d’expérience militaire qui n’empêche visiblement pas sa progression fulgurante.

    Rue89 - 10/05/13

  • Les Hommen à Lille - 4 mai

    ALTERMEDIA FRANCE

  • Nigeria - 17 adolescentes enceintes enfermées dans une "usine à bébés"

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    Onze enfants en bas âge ont également été retrouvés dans cette «usine à bébés» que les voisins prenaient pour un orphelinat ou un refuge pour femmes enceintes. On ne sait pas si les jeunes filles avaient été amenées de force dans la maison.

    Une femme soupçonnée d'avoir organisé ce trafic est toujours recherchée, a déclaré Joy Elomoko, porte-parole de la police de l'Etat d'Imo, dans le sud-est du Nigeria.

    Mal nourries

    Elles ont raconté à la police qu'elles avaient toutes été mises enceintes par un jeune homme de 23 ans, actuellement en prison, ainsi que le garde qui surveillait la maison.

    «Une unité spéciale de la police de l'Etat d'Imo a fait une descente dans la maison illégale à Umuaka mercredi et porté secours à 17 jeunes filles, âgées de 14 à 17 ans, à différents stades de leur grossesse», a indiqué Mme Elomoko.

    «Les jeunes filles ont affirmé qu'elles n'étaient nourries qu'une seule fois par jour et n'étaient pas autorisées à quitter la maison», a-t-elle ajouté. Elles ont indiqué à la police que leurs enfants devaient être vendus à des personnes «désireuses de les acheter».

    Un fléau répandu

    Dans un rapport sur le trafic d'êtres humains publié le mois dernier, l'UE a classé le Nigeria comme le pays où ce fléau est le plus répandu. Ce rapport indique que la vente d'enfants y est courante et que la police a déjà découvert ce qu'on peut appeler des «usines à bébés».

    En mai 2011, dans l'Etat d'Abia (sud-est), la police a libéré 32 jeunes filles enceintes qui ont indiqué qu'on leur avait offert entre 25'000 et 30'000 naira (184 francs) selon le sexe de leur bébé. Un autre groupe de 17 jeunes filles a été découvert en octobre 2011 dans l'Etat d'Anambra (sud) dans des circonstances semblables. (ats/Newsnet)

    Créé: 10.05.2013, 18h10

    La Tribune de Genève

  • Festival de haine sioniste contre Stephen Hawking, par Mounadil Djazaïri

    jeudi, 09 mai 2013 12:07

           

    Festival de haine sioniste contre Stephen Hawking, par Mounadil Djazaïri
     
    IRIB-L’info tourne en boucle sur les réseaux sociaux en ce moment :
    le physicien britannique Stephen Hawking vient de s’associer au boycott académique de l’entité sioniste. En conséquence il a renoncé à participer à une conférence organisée par Shimon Peres prévue pour le mois de juin.Il va de soi que M. Hawking est maintenant voué aux gémonies par les tenants du sionisme ainsi qu’en témoigne le tombereau d’insultes dont il est victime sur les réseaux sociaux. Ces insultes sont d’une bassesse inouïe et réfèrent à la grave maladie, la sclérose latérale amyotrophique (SLA) dont le célèbre savant est atteint.Mais ça, ce sont les insultes qui émanent de la « base » sioniste. Mais les « élites » de Sion n’ont pas grand-chose à lui envier en matière d’abjection.

    Ainsi The Jewish Press est-elle capable de titrer :

    "Stephen Hawking boycotte l’entreprise qui travaille sur le traitement de sa maladie"

    En effet, d’après Jewish Press

    Des avancées scientifiques israéliennes dans l’usage des cellules souches pour traiter toute une série de maladies graves et invalidantes, ont permis le rétablissement miraculeux [souligné par moi] du doyen de la yeshiva [école religieuse juive] Mir, le rabbin Refael Shmuelevich qui souffrait de SLA. De fait, selon ce journal juif, le rabbin que les médecins aux USA estimaient condamné à relativement brève échéance avait été remis sur pied après un mois de traitement à Jérusalem et avait pu reprendre ses activités d’enseignement.Je me demande si ce rabbin n’a pas plagié sa maladie comme un certain autre a plagié même ses souvenirs d’enfance…

    Et c’est là qu’intervient le bon goût caractéristique de la clique sioniste :

    "Il est possible que la prochaine fois que le professeur Hawking viendra à Jérusalem, ce sera pour recevoir des soins médicaux plutôt que pour admonester la communauté scientifique locale.Sauf si, comme l’a commenté en ligne un membre de la direction de The Jewish Press, Hawking préfère peut-être simplement les innovations et les apports que les Palestiniens ont offert au monde… des big bangs." [Hawking est l’auteur de la théorie du big bang, NdT].

    Si les sioniste se payent une bonne tranche de rigolade sur le dos d’un savant très connu et souffrant d’une maladie grave, on peut gager que d’autres, notamment en Grande Bretagne mais pas seulement, vont rire jaune pendant un certain temps et que cela n’ira pas dans le sens d’une amélioration de l’image d’une entité que seule la censure des sondages d’opinion peut laisser croire qu’elle jouit d’un soutien populaire en Occident.Elle a certes le soutien d’une bonne partie de la classe politique et médiatique, mais ces dernières n’empêcheront pas les mouvements venus de la société, comme celui du boycott du régime sioniste, de prendre de plus en plus d’ampleur.Parmi les figures les plus en vue dans le soutien au sionisme, on peut compter des personnalités comme l’écrivain philosophe Bernard-Botul-Henri Lévy, le médecin politicien, consultant pétrolier Bernard Kouchner, la comédienne Véronique Genest ou le cinéaste Romain Goupil. A comparer avec ceux qui soutiennent la cause palestinienne comme Stephen Hawking : le Dr Christophe Oberlin, l’écrivain Henning Mankell, les actrices Vanessa Redgrave et Tilda Swinton, le cinéaste Ken Loach, les musiciens Roger Waters et Elvis Costello etc. Sans parler de tous ceux, chanteurs, comédiens, écrivains, qui ont été muselés en France.

    Comme je le suggérais, l’humour sioniste n’est pas passé inaperçu en Grande Bretagne et le Daily Express y consacre un article qui témoigne d’une indignation froide.Et la meilleur preuve de cette indignation est le vocabulaire utilisé par la journaliste qui parle de «régime» pour désigner l’Etat sioniste et attribue la qualité de président du régime à Shimon Perez, le chef du gang sioniste.Or, comme chacun sait, la presse occidentale réserve le terme régime aux systèmes de gouvernement qui sont réputés non conformes aux valeurs démocratiques. On parle par exemple communément de régime nord-coréen, de régime syrien mais pas de régime français ou italien…

    C’est ce que j’appelle un tournant dans la perception de l’entité sioniste.

    Indignation devant les plaisanteries dégoûtantes sur “Stephen Hawking le handicapé” depuis qu’il s’est associé au boycott d’Israël

    Par Charlotte Meredith, The Daily Express (UK) 8 mai 2013 traduit de l’anglais par Djazaïri

    Stephen Hawking, le spécialiste de physique théorique à la renommée mondiale, a subi un tir de barrage d’insultes aujourd’hui de la part de personnes furieuses de le voir boycotter Israël. La salve de critiques est intervenue après que le très respecté professeur de Cambridge s’est associé à l’embargo académique contre le régime israélien en refusant de participer à une conférence organisée par Shimon Peres, le président du régime.Le professeur Hawking devait participer à la conférence annuelle Facing Tomorrow prévue au mois de juin, mais il s’en est retiré pour protester contre le traitement des Palestiniens par le gouvernement de Tel Aviv.“Hawking a décidé en toute Indépendance de respecter le boycott sur la base de ce qu’il sait de la Palestine et du conseil unanime que lui ont donné ses contacts académiques là-bas,” a déclaré le British Committee for the Universities of Palestine. Réagissant avec colère à la décision du professeur de s’associer au boycott académique, des Israéliens ont exprimé leur indignation sur les réseaux sociaux. "L’antisémite Stephen Hawking ne peut même pas se torcher le c **», a écrit un internaute écœuré. "Il devrait déjà être mort! ", écrit un autre, tandis qu’un internaute affirme que le professeur Hawking – généralement considéré comme l’un des hommes les plus intelligents dans le monde d’aujourd’hui – est " également paralysé dans sa tête " "Quelqu’un devrait desserrer le frein à main au sommet d’une colline," lit-on dans un autre message répugnant.

    Des internautes indignés condamnent ces insultes révoltantes qu’ils qualifient de festival de haine”.

    La démarche du professeur Hawking suit un boycott du régime israélien par le Teachers’ Union [syndicat des professeurs] d’Irlande et par les membres Américains de l’Association for Asian American Studies.En 2009, le professeur Hawking avait également condamné les trois semaines d’agression commise contre Gaza par le régime israélien, affirmant que la réaction de Tel Aviv aux roquettes tirées depuis la bande de Gaza «étaient complètement disproportionnées… La situation est semblable à celle de l’Afrique du Sud [de l’apartheid] avant 1990 et ne peut pas continuer.»