Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Blog - Page 1000

  • Très violents incidents aux Champs-Elysées après la victoire du PSG - 12 mai 2013

    Lien: http://www.youtube.com/watch?v=T5xomrO-7oA&oref=http%3A%2F%2Fwww.youtube.com%2Fwatch%3Fv%3DT5xomrO-7oA&has_verified=1

    (le code embed a été désactivé pour cette vidéo)

    VIDEO à regarder absolument !

     

     

     

     

     

  • Les petits métiers d'autrefois

    Métiers oubliés, métiers de nos ancêtres sur une musique du XIXème siècle " Les cris de la rue" de Edouard Deransart par l'ensemble Clément Janequin

  • Quand la France bien élevée contraste avec la France Orange mécanique

     

    Un billet de Nicolas Pralude

    Quand la France bien élevée contraste avec la France Orange mécanique

    Dimanche soir, les veilleurs ont décidé de s’approcher du Palais de l’Élysée, mais toujours de manière pacifique. Un comité d’accueil policier était présent, leur demandant de quitter les lieux, certains menaçant d’une peine de prison d’un an. Ne vous méprenez pas, le policier n’est pas un juge, il peut connaître le Code de procédure pénale, ce n’est pas lui qui rend les sanctions, et il est encore moins apte à agir s’il n’est pas OPJ (officier de police judiciaire).

    Au niveau des Champs-Élysées, les supporters du PSG quant à eux fêtent la victoire de leur équipe. Le cortège fêtera la victoire de manière de plus en plus sportive, jusqu’à renverser et casser des scooters, brûler des poubelles, briser des vitrines mais aussi piller des magasins !

    Cette fois-ci, il n’y a pas de nervis, pas d’excités que le gouvernement pourrait condamner par la parole, seulement des casseurs, qui n’ont pas de but politique, pas de but tout court, l’idée en elle-même se résumant à la destruction matérielle.

    Le 24 mars, sur les Champs-Élysées, des centaines de milliers de personnes souhaitaient se retrouver symboliquement quand leur firent face des centaines de policiers équipés de matériel anti-émeutes (un camion avec canon à eau sera disposé en bas des Champs) : aucune vitrine brisée, pas de scooter ou de voiture abîmée, aucune dégradation de biens.

    Hier soir, presque une dizaine de vitrines brisées, sans compter les autres dégâts: 16 policiers blessés, et l’on ne comptera que 21 interpellations, dont 3 seulement mèneront à une garde à vue. Nous sommes bien loin des 67 gardés à vue qui ont seulement voulu planter une tente devant l’Assemblée nationale comme il est coutume de faire quand une revendication tient à se faire à cet endroit.

    Ne gaspillons pas notre salive, les élites et les médias ont forcément une bonne raison pour les légitimer, une raison que nous ne pouvons pas comprendre…

    Nouvelles de France

  • Un loup flashé par un radar en Ardèche: c'est la preuve que les éleveurs attendaient

     

    sans-titre.png Loup.png

    Le cliché est en noir et blanc, pris de nuit. L’animal est un peu flou, avec les yeux éblouis par le flash, mais on reconnaît malgré tout la silhouette du loup. La photo a été prise dans la nuit du 11 au 12 avril à Cellier-du-Luc (Ardèche) par un radar automatique installé par la Direction départementale des territoires. Depuis, la photo a été expertisée et le loup officiellement identifié.

     
     

    SUR LE MÊME SUJET



    Si ces radars automatiques ont été installés, c’est que la présence du loup était fortement soupçonnée en Ardèche. « Depuis juin 2012, 18 attaques sur des animaux domestiques ont fait l’objet d’un rapport d’expertise du Centre national d’études et de recherche appliquée de l’Office national de chasse et de la faune sauvage », rappelle la préfecture d’Ardèche, qui détient maintenant la preuve matérielle de sa présence.

    « Le loup était présent dans les départements limitrophes, ce n’est pas étonnant qu’il arrive chez nous », considère Laurent Hilaire, qui élève 300 brebis à Saint-Julien-du-Gua. Il se dit « très inquiet » et surtout sceptique sur les mesures de protections proposées par les pouvoirs publics : barrières électriques, chiens de berger dressés pour protéger les troupeaux, mise à l’abri des animaux la nuit. « Mes moutons sont dehors du 1er juin au 1er novembre, il m’est impossible de les rentrer tous les soirs », confie l’éleveur.

    Scepticisme sur les mesures de protection

    Pour Mickaël Giraud, éleveur d’ovins à Saint-Joseph-des-Bancs, et de la des éleveurs d’ovins de Rhône-Alpes, ce cliché confirme ce qu’il savait déjà. « En un an, on a eu 80 moutons tués et 62 blessés », avance-t-il. Cette photo est néanmoins très importante, dans la mesure où elle constitue une reconnaissance officielle. Avec la mise en place de solutions à la clé. Pour Mickaël, comme pour ses collègues éleveurs, les mesures de protection préconisées par la collectivité sont « impossibles à mettre en place et inefficaces », tranche-t-il.

    Pour lui, la seule solution est politique et européenne. « Il faut revoir d’urgence la directive Habitat Faune sauvage qui classe le loup parmi les animaux hautement protégés. » Cette directive s’est récemment assouplie en faisant passer de 11 à 24 le nombre de loups autorisés à être abattus. « C’est ridicule », estime le président de la fédération. Il considère surtout que c’est à la collectivité, et non aux éleveurs de prendre en charge la limitation des loups sur le territoire.

    « Les pouvoirs publics ont laissé le loup conquérir le territoire, c’est à eux de l’assumer aujourd’hui », estime-t-il, rappelant que le plan Loup, doté actuellement de 10 M€ par an, destiné à protéger les éleveurs et à les indemniser, pourrait vite passer à 25 M€.


    Le Parisien

  • Défilé de Jeanne d’Arc : discours de Thibaut de Chassey

     

    L’allocution de Thibaut de Chassey, président du Renouveau français, à l’issue du défilé du mouvement pour la fête de Jeanne d’Arc 2013, fait le point sur la situation française, et place notre combat sous l’égide la sainte de la patrie, peu perméable aux compromissions.

    Contre-info.com

  • Ce que l'on sait sur la disparition de Fiona à Clermont-Ferrand

    sans-titre.png Fiona.png

     

    Par , publié le 13/05/2013 à 13:16, mis à jour à 14:09

    Accident? Enlèvement? A cette heure, toutes les pistes sont envisagées dans l'enquête sur la disparition de la fillette de 5 ans, dimanche, dans le parc Montjuzet. Un appel à témoins a été lancé.

       

    La police a lancé un appel à témoins après la disparition, dimanche, de la petite Fiona, 5 ans.

     

    Pour retrouver la fillette de 5 ans, disparue dimanche dans le parc Montjuzet à Clermont-Ferrand, les enquêteurs travaillent sans relâche. "Est-ce que quelqu'un a vu Fiona" interroge le commissaire Fernandez, en charge des opérations. Pour répondre à cette question, un appel à témoins a été lancé ce lundi matin et deux numéros de téléphone ont été mis à la disposition des personnes susceptibles de détenir des informations. Il s'agit du 04 63 05 22 21 (commissariat) et du 07 77 97 08 59 (portable de l'officier de police judiciaire en charge du dossier).

    "Nous avons besoin de l'aide de la population clermontoise, a lancé le procureur de la République de la ville, Pierre Sennes, lors d'une conférence de presse. Toute personne qui a vu Fiona est priée d'appeler la police."

    Une enfant "sociable"

    Dans le cadre de l'appel à témoin, la photographie de la fillette et un signalement détaillé ont été diffusés. D'une "corpulence moyenne", Fiona, 5 ans, décrite comme "sociable" par ses proches, mesure 110 cm, a le " teint clair", les "cheveux blonds en carré" et les yeux "vert clair".

    Au moment de sa disparition, elle était vêtue d'un tee-shirt blanc avec un logo noir à l'effigie de "Hello Kitty". Elle avait par ailleurs une "paire de socquettes" et une "paire de tennis noires à attache velcro". Détail qui a son importance: elle portait autour du cou une chaîne avec un "médaillon plaqué or" sur lequel était gravé son "signe zodiacal, sagittaire".

    Un parc "très fréquenté"

    Comment Fiona a-t-elle pu échapper à la vigilance de sa mère? "Elle était assez fatiguée car enceinte de six mois. Elle s'est assoupie un bref instant et lorsqu'elle s'est réveillée, Fiona n'était plus là", a relaté le procureur Sennes. Après avoir cherché sa fille aînée pendant "quarante-cinq minutes", faute de posséder un téléphone portable, elle se serait rendue en personne au commissariat le plus proche pour alerter les services de police.

    A 18h, le parc était "très fréquenté, il y avait beaucoup de monde". Des personnes se seraient d'ailleurs jointes aux recherches de la mère, en vain. Les enquêteurs espèrent tirer de précieuses informations de l'audition de ces "nombreux témoins". Certains ont-ils constaté un "comportement suspect", voire "anormal"?

    Les proches entendus

    Par ailleurs, tous les proches de la fillette, dont sa soeur, Eva, 2 ans et demi, présente au moment des faits, ont été entendus au commissariat de Clermont-Ferrand. Le père de l'enfant, séparé de la mère, a lui aussi été interrogé. Selon Pierre Sennes, son témoignage est "en cours d'exploitation", tout comme celui du nouveau compagnon de la femme enceinte. Mais il n'y a "pas grand-chose à faire savoir sur la famille de Fiona", a d'ores et déjà averti le magistrat.

    Toutes les pistes sont retenues

    Pour l'heure, l'alerte enlèvement n'a pas été déclenchée car les enquêteurs ne disposent pas "d'éléments avérés" sur un quelconque enlèvement ni "d'informations précises" sur la localisation de l'enfant, ou celle d'un éventuel ravisseur.

    Accident, rapt... "Toutes les pistes sont retenues", a martelé le procureur. "Nous avons pensé qu'on aurait pu la retrouver dans le parc, mais vues les investigations très approfondies qui ont été menées [sans succès, NDRL], on s'oriente désormais vers l'extérieur du parc." C'est devant une grille de Montjuzet que l'équipe cynophile a perdu la trace olfactive de Fiona. 

    L'Express - 13/05/13

     
  • Esclavage : pour le CRAN, tout se monnaye...

    Une fois de plus, les dingueries continuent : n’en jetez plus ! Et Louis-Georges Tin, président du CRAN (Conseil représentatif des associations noires), équivalent surmélaniné du Ku Klux Klan, d’exiger des réparations financières de la Caisse des dépôts et consignations, au motif qu’en 1804 cette banque aurait encaissé 16 milliards d’euros versés en dédommagement de l’affranchissement des esclaves haïtiens et prix à payer pour leur fraîche indépendance. Certes. Et alors ? Tout cela n’a plus grand sens en 2013, ce que même François Hollande a reconnu. Un François Hollande qui, par ailleurs, hésiterait à supprimer le terme de « race » de notre Constitution, à rebours de ses promesses présidentielles. La sagesse vient à toute heure dans la vie d’un homme ayant peut-être compris que biffer le mot n’équivalait pas à éradiquer les maux.

    Plus sérieusement, cette course à la repentance est tout simplement grotesque, d’autant plus grotesque que rétroactive. Car, à ce compte, les descendants de Chouans devraient aussi demander réparation : le premier génocide scientifiquement programmé les concernant au premier chef fut le fait de cette République célébrée chaque 14 juillet. Sur le sujet, les travaux de l’historien Reynald Secher paraissent définitifs. Injures et autres noms d’oiseaux lui ont été balancés dans la face ; mais de contre-arguments, point.

    D’ailleurs l’esclavage, depuis remplacé plus sûrement par le salariat, ne date pas d’hier. Tous les peuples « forts » ayant empiété sur les peuples « faibles » l’ont pratiqué. De la démocratie athénienne à nos premiers rois de jadis, des présidents américains aux princes saoudiens, tout en passant par quelques rois nègres heureusement défaits par nos armées ; la colonisation française aura au moins servi à ça.

    Ainsi, l’ubuesque démarche du CRAN, triste photocopie des « class action » si en vogue aux USA et dont la législation française est malheureusement en train de s’inspirer, butte sur un obstacle majeur : la dignité de nos compatriotes du lointain. Ainsi, pour le Collectifdom, rassemblant Antillais, Guyanais, Réunionnais et Mahorais, « la diversité des ethnies composant les populations ultramarines commande de ne pas jouer avec le feu ». Plus ferme encore est le Comité Marche du 23 mai, date commémorative des victimes de l’esclavage, fermement opposé à « toute réparation financière parce que les souffrances de nos aïeux esclaves ne sont pas monnayables ». En effet, pas plus « monnayables » que d’autres « souffrances » du passé, qu’elles soient chouannes, cheyennes, arméniennes ou autres.

    Le pire est que ce « happening », dénoncé par l’écrivain guadeloupéen Claude Ribbe, pourrait bien faire écran de fumée vis-à-vis d’autres souffrances tout aussi réelles et, surtout, bien plus actuelles : celles des Palestiniens par exemple.

    Alors qu’en Israël les fous de Dieu hassidiques entendent pratiquer l’apartheid dans les bus, les hommes devant et les femmes à l’arrière, d’autres entendent séparer Juifs et Arabes dans les mêmes moyens de locomotion. Ma très chère consœur Gabrielle Cluzel s’en faisait l’écho sur ce site en prédisant qu’un jour on en viendrait là en France, dans le 9-3 ; nonobstant, elle commettait une confusion géographique, politique et temporelle. Car si les Français ont vocation à demeurer chez eux en France, les Palestiniens l’ont aussi à l’être sur leurs propres terres, dont ils ont été expropriés, terres d’oliviers dévastées, terres propres aux trois religions abrahamiques désormais encerclées d’un nouveau mur, quelques années après la chute de celui de Berlin ; comme si Deir Yassine faisait écho à Oradour-sur-Glane. Quelle terrible ironie… Se focaliser sur les drames d’antan et être volontairement aveugle devant la détresse qui devrait crever les yeux de quiconque possède encore un peu de cœur.

    Nicolas Gauthier, le 12 mai 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Les nazis après le 8 mai 1945… histoire de secrets

     

    Laurent Brayard, Rédaction en ligne
    12.05.2013, 17:42, heure de Moscou
           
    null
       

    Officiellement après la signature de la paix les 8 et 9 mai 1945, l’Allemagne nazie vaincue n’était plus qu’un mauvais souvenir. Hitler avait mis fin à ses jours le 30 avril 1945 préférant la mort à un tribunal qui sera celui de Nuremberg. Lorsqu’il se termine par l’exécution de la plupart des dirigeants nazis, de nombreuses questions restaient en suspens et d’autres allaient apparaître, notamment à propos des fameux secrets des nazis.

    Cette guerre d’ailleurs ne s’est pas terminée véritablement un 9 mai 1945. Dans les poches de l’Atlantique, les dernières forces allemandes ne capitulèrent que les 10 et 11 mai, à l’exemple de Lorient et de Saint-Nazaire. Cinq poches ainsi que Dunkerque avaient été défendus par les Allemands avec acharnement, la plupart étant des bases de sous-marins vitales pour la suite de la guerre tout en immobilisant d’importants effectifs et moyens franco-américains. Alors que tout était fini et que les derniers Allemands déposaient les armes, une grande chasse commençait. Elle fit l’objet d’une âpre concurrence entre les alliés pour s’emparer des chercheurs nazis notamment ceux ayant mis au point les fameux V1 et V2.

    Cette chasse aux scientifiques et aux secrets des nazis fut orchestrée essentiellement par les USA et l’Union Soviétique. Leurs premiers succès dans la conquête spatiale sont dus pour une large part dans les savoirs transférés par les scientifiques allemands. Les services secrets, y compris français s’attachèrent avec plus ou moins de succès à mettre la main sur un maximum de secrets nazis. L’enjeu était de taille et pouvait décider de l’avenir. C’est ainsi que d’un obscur centre de recherche dans le centre de la France est née la première fusée française qui a été l’ancêtre de la fusée Ariane. Les alliées se ruèrent sur les chercheurs allemands et s’emparèrent quand ils le purent de documentations et de matériels. Dans certains domaines les allemands notamment au niveau des sous-marins ou des avions avaient technologiquement des décennies d’avance.

    La fameuse aile-volante fut l’un de ces projets qui a donné naissance au bombardier B-2 américain, bien que ces derniers se défendent d’avoir bénéficié des recherches nazies en la matière. Ce cas emblématique ne fut qu’un des nombreux exemples de technologies allemandes qui furent avidement recherchées par les alliés. Le domaine des sous-marins ne fut pas en reste, les Allemands étaient dans ce dernier très en avance manquant par ailleurs de gagner la guerre grâce aux fameux loups de l’amiral Dönitz. A la fin du conflit, l’Allemagne était capable de produire des sous-marins révolutionnaires, les U-boats de type XXI et XXIII qui servirent de modèle aux puissants sous-marins américains et soviétiques d’après-guerre.

    Deux U-boats ont marqué l’histoire à travers l’épopée de l’U-530 et de l’U-977 qui refusèrent de se rendre en dépit des ordres donnés par Dönitz. Les deux sous-marins furent poursuivis par toute la flotte alliée mais traversèrent à leur barbe l’Atlantique pour rejoindre l’Argentine. L’U-530 atteignit Mar del Plata le 30 juillet 1945 et l’U-977 seulement le 17 août... Ils firent couler beaucoup d’encre sur la possibilité que ces unités purent transporter des secrets inavouables, des dirigeants nazis et même Adolf Hitler en personne ! L’histoire fut plus simple, les deux commandants décidèrent seulement d’échapper à la captivité et au déshonneur de la reddition mais furent de fait emprisonnés et livrés aux Américains à leur arrivée. Ils ne découvrirent absolument rien dans les entrailles des deux sous-marins mais la légende persiste toujours à l’heure actuelle.

    Le cas de Martin Bormann, le numéro 2 du parti nazi désigné par Hitler en personne comme son successeur reste l’une des plus grandes énigmes. Enfermé dans Berlin, il tenta avec quelques compagnons une sortie pour s’enfuir de la ville encerclée par les Soviétiques mais fut tué officiellement dans la nuit du 2 mai 1945. Déclaré en fuite, il fut condamné à mort par contumace au procès de Nuremberg. C’est en 1972 que furent découverts à Berlin deux corps dont l’un fut attribué à Martin Bormann, fait confirmé par un test ADN en 1998. Il fit l’objet d’un des plus importants dossiers du fameux chasseur de nazis, Simon Wiesenthal. Des témoins affirmèrent en effet que l’homme était vivant dans les années 50 et 60 au Paraguay et de nombreuses thèses troublantes entourent toujours sa destinée.

    Malgré la difficulté des sources et de l’enquête, une estimation basse indique la fuite en Amérique du Sud d’environ 60 000 Allemands dont les deux tiers dans des pays tels que l’Argentine, le Paraguay la Bolivie ou le Chili. Parmi, eux se cachaient environ un demi-millier de criminels de guerre et d’authentiques nazis, les autres ne seraient que de simples migrants. Certains purent s’enfuir aux Etats-Unis, tandis que d’autres préférèrent la Syrie, l’Irak ou l’Egypte avec l’aide du réseau ODESSA, réseau d’exfiltration des nazis vers des pays d’accueil. Si ce réseau joua un rôle important, il est à noter que les USA et d’autres pays alliés permirent l’évasion de nombreux criminels en échange de secrets, de données ou de services comme ce fut le cas de Klaus Barbie qui longtemps échappa aux recherches des Français alors qu’il fut un agent de la… CIA. Au niveau des Etats, la Syrie et l’Egypte, mais aussi l’Argentine de Peron aidèrent puissamment à cette migration si particulière en passant par des pays neutres notamment la Suède ou la Suisse qui a bien des égards joua le rôle de plaque tournante…

    L’implication de ce pays nous amène à parler de l’or des nazis, ou du trésor des nazis qui a fait fantasmer des générations de romanciers. Plus prosaïquement il semblerait bien que le trésor caché des nazis fut écoulé en partie via les mêmes routes de fuites des SS : la Suisse, mais aussi l’Espagne de Franco, le Portugal, le Vatican ou encore la Suède et la Turquie. Ce trésor fut constitué par les nazis surtout grâce à l’extermination des Juifs mais aussi grâce au pillage de l’Europe. Les timides enquêtes menées sur son contenu font état de milliards de dollars en or ou en devises qui transitèrent pour l’essentiel par les banques suisses. La cartographie des destinations reste incomplète et fut d’ailleurs entourée par le secret d’Etat. A ce jour personne ne peut véritablement faire la lumière complète sur le devenir de ce fabuleux trésor.

    En 1998, la Suisse fut contrainte sous la pression des USA de verser des indemnités d’un montant d’1,25 milliard de dollars, à la fois aux Juifs victimes de l’holocauste et refoulés aux frontières ou persécutés sur place. La Suisse paya aussi des indemnisations aux pays dont les trésors en or furent pillés par les nazis et qui firent indirectement la fortune de ses banques, notamment ceux de la Belgique, des Pays-Bas, de l’Autriche ou de la Tchécoslovaquie. A l’heure actuelle si les secrets des nazis se sont effondrés à l’exemple du lac Toplitz en Autriche, quelques découvertes d’archives pourraient bien toutefois nous apprendre un de ses jours un de ces secrets si convoités.

    La Voix de la Russie

  • Le pape François a canonisé les 800 martyrs d’Otrante qui avaient refusé de se convertir à l’islam

    sans-titre.png Cr^nes des 800 martyrs d'Otrante.png

     
     

    Les crânes des 800 martyrs dans la cathédrale d’Otrante. Crédit photo : Laurent Massoptier via Wikipédia (cc)

    12/05/2013 – 15h00
    ROME (NOVOpress) - Bien que cela soit un “héritage” de son prédécesseur Benoît XVI, la première canonisation du pape François n’en reste pas moins symbolique. Ce dimanche 12 mai 2013, il a en effet canonisé les 800 martyrs d’Otrante (Italie du Sud).

     

    Le 13 août 1480, au lendemain du saccage d’Otrante par ses troupes, le commandant turc Gelik Achmet Pascia avait ordonné que tous les hommes survivants à partir de l’âge de quinze ans soient conduits à son campement et obligés de renier leur religion.

    La réponse immédiate avait été donnée par le seul des 800 martyrs à être aujourd’hui connu, un modeste cordonnier du nom d’Antonio Primaldo . Il aurait déclaré au nom de tous ses compagnons : “Nous considérons Jésus-Christ comme notre seigneur et le vrai Dieu. Nous préférons plutôt mille fois mourir que de le renier et devenir turcs”.

    Ils furent alors tous passés au fil de l’épée et décapités. Lors de la libération d’Otrante en 1481, leurs corps suppliciés a été découvert à l’église nommée ”A la source de la Minerve”.

    Leur martyre a commencé d’être honoré à partir de 1485. Les premières pièces du dossier en canonisation sont versées en 1539 par l’évêque local, recueillant les témoignages de survivants. En 1771, le pape Clément XIV acceptait un décret reconnaissant la béatification de fait des martyrs.

    C’est la guérison d’une religieuse en 2011 – un cancer en phase terminale qui a disparu suite à l’invocation des martyrs -, reconnue comme valide par la congrégation vaticane pour la cause des saints, qui a permis de canoniser ces 800 chrétiens fidèles.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Assigné à résidence en Haute-Loire : le militant islamiste Saïd Arif est en fuite

    sans-titre.png Said Arif.png

    Saïd Arif

     

     

    12/05/2013 – 18h40
    BRIOUDE (NOVOpress) - Assigné à résidence aux frais des contribuables français, le militant islamiste Saïd Arif s’est enfui samedi soir grâce à une voiture volée. L’alerte a été donné par le fils du gérant de l’hôtel où l’islamiste résidait.

     

    Saïd Arif était assigné à résidence à Brioude depuis octobre 2012. Condamné en 2007 pour terrorisme, il avait été mis en examen et écroué en 2004 pour “appartenance à une association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste” par le juge anti-terroriste Jean-Louis Bruguière, dans le dossier des filières de recrutement de combattants en Tchétchénie. Il était également poursuivi et condamné pour pour tentative d’attentat à l’arme chimique sur la Tour Eiffel.

    Pis, déjà placé en résidence surveillée à Millau (Aveyron), Saïd Arif avait pris la fuite avant d’être retrouvé en Suède. Le tribunal de Rodez (Aveyron) l’avait alors condamné à six mois de prison pour non-respect d’assignation à résidence. À l’issue de cette détention, il avait été transféré à Langeac puis à Brioude.

    Lieutenant déserteur de l’armée algérienne, c’est au nom d’un abus sidérant de la notion des droits de l’homme qu'on avait obligé la France à garder Saïd Arif, bien qu’il fût condamné à quitter l’Hexagone…

    Et son assignation à résidence ne l’avait pas empêché d’être à nouveau poursuivi. En effet, mardi 14 mai, il devait être entendu par la gendarmerie dans le cadre d’une enquête pour “apologie de terrorisme”. Interrogé par l’hebdomadaire local Renouveau , il avait déclaré : “Les attentats suicide ayant une dimension économique sont le meilleur moyen de lutte pour les islamistes”, en ajoutant : “Avec une voiture piégée, vous tuez 150 à 200 personnes.”

    Dans un communiqué de presse, le secrétaire départemental de la Haute-Loire-du Front national, Pierre Cheynet, a rappelé que son mouvement avait demandé dès 2012 l’incarcération de Saïd Arif. Incarcération à laquelle s’étaient opposés le député UMP Jean-Pierre Vigier et le maire de Brioude Jean-Jacques Faucher, comme le précise dans son communiqué Pierre Cheynet.

    Il est certain que, malgré un tel pedigree, Saïd Arif n’était pas prioritaire pour Manuel Valls et Christiane Taubira, qui préfèrent se concentrer sur les opposants pacifistes au mariage dit pour tous….

    Crédit photo : France 3

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Comment les leçons d’antiracisme accentuent l’intolérance chez les élèves en « suscitant leur animosité à l’égard des autres cultures »

    sans-titre.png mail onlne.png

     

     

     

    Une étude néerlandaise arrive à la conclusion que les débats touchant à des préoccupations ethniques sensibles peuvent être contreproductifs.
    Le ministre de l’Education [du Royaume-Uni] Michael Gove se trouve sous le feu des critiques pour avoir envisagé de mettre un terme à l’enseignement de sujets multiculturels aux adolescents.

    Une importante étude a révélé hier que les enfants à qui l’on donne des cours d’antiracisme à l’école ont davantage tendance à être intolérants hors de leur classe.

     


     

    Selon cette étude, accuser les élèves blancs de racisme est source d’animosité et discuter de questions ethniques sensibles comme les crimes d’honneur c’est dépeindre sous un mauvais jour les enfants appartenant à des groupes minoritaires.

    L’enquête souligne que les enfants qui vivent dans des quartiers mixtes sont souvent dénués d’hostilité envers les autres groupes raciaux.

    Mais, en revanche, elle constate que « lorsqu’en classe on accorde davantage d’attention à la société multiculturelle, l’effet de libéralisation que ce contact positif exerce dans les classes sur les attitudes xénophobes des jeunes diminue. »

    Cette étude réalisée aux Pays-Bas arrive en pleine controverse sur la place du multiculturalisme – qui reproche à la Grande-Bretagne son racisme historique et exige d’elle qu’elle encourage les cultures minoritaires – dans les programmes et l’enseignement national des écoles britanniques.

    Le secrétaire à l’Education Michael Gove s’est trouvé sous le feu des critiques d’universitaires de gauche pour avoir envisagé de stopper l’enseignement aux adolescents de sujets tels que « la grande diversité culturelle, sociale et ethnique de la Grande-Bretagne du Moyen Age au XXe siècle et sa contribution à la formation de l’identité de la Grande-Bretagne ».

    Au lieu de cela, à l’avenir les élèves auront davantage de cours d’histoire de la Grande-Bretagne.

    L’étude néerlandaise, publiée dans la European Sociological Review (Revue d’histoire sociologique), se fonde sur une enquête menée auprès de 1.444 élèves âgés de 14 et 15 ans dans dix écoles de la ville de Nimègue.

    Les adolescents, issus de différentes classes et origines raciales, et de capacités scolaires distinctes, ont été interrogés sur leur attitude vis-à-vis de ceux qui ont des origines ethniques différentes et sur l’enseignement multiculturel de leur école.

    L’étude a retenu que les garçons avaient tendance à être plus intolérants que les filles vis-à-vis d’autres groupes, et que l’intolérance la plus marquée se trouvait chez ceux qui se réclamaient d’une forte identité religieuse ou ethnique, chez ceux provenant des milieux turc ou marocain, et chez ceux dont les résultats scolaires étaient les plus faibles.

    Mais elle affirme que l’enseignement du multiculturalisme exerce un « effet négatif inattendu ».

    Elle ajoute: «L’impact du contact inter-ethnique positif dans les classes disparaît ou même s’inverse lorsqu’il est davantage mis l’accent sur le multiculturalisme pendant les cours. Parler de discrimination et des us et coutumes des autres cultures pendant les cours affecte indirectement les attitudes xénophobes des jeunes. »

    Le rapport ajoute que l’animosité chez les groupes minoritaires pourrait provenir de discussions sur des sujets comme les crimes d’honneur ou l’excision. Cette animosité pourrait aussi avoir pour cause une « approche unilatérale du racisme dans un rapport délinquant-victime ».

    Les conclusions font écho aux points de vue de Ray Honeyford, directeur d’école à Bradford, qui a été chassé de son emploi il y a près de 30 ans pour avoir affirmé que l’enseignement multiculturel était nocif aux élèves.

    M. Honeyford disait que les performances des élèves étaient freinées par «la notion de ce programme multiracial imposé par les autorités, et le fait de faire dans les classes, de la couleur et de la race, des questions importantes et cruciales ».

    Patricia Morgan, auteur d’ouvrages sur la famille et l’éducation, a déclaré hier : «Si mettez le nez des enfants dans leur racisme supposé, ils n’aiment pas cela.
    On accuse les élèves de choses qu’ils n’ont ni pensées ni faites. Le multiculturalisme tente de manipuler les pensées, les croyances et les émotions des enfants, cela revient à les endoctriner, et ça ne marche pas. C’est contreproductif.
    Cette étude montre que lorsque les gens essaient de manipuler les esprits des enfants, ça leur retombe dessus. »

    Steve Doughty,
    Correspondant affaires sociales

    Mail Online
    26 avril 2013

    Titre original :
    How anti-racism lessons INCREASE pupil intolerance by ‘causing animosity to other cultures’

    Traduction pour Polémia : René Schleiter

    Source : Polémia– 11/05/2013.

    [cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]

  • Bad Reichenhall : un livre revient sur un "épisode tragique" de la 2ème DB de Leclerc

     

    BadReichenhallLe 8 mai 1945, douze Waffen SS français sont fusillés par d'autres soldats français, appartenant à la 2ème DB du général Leclerc. L'affaire se passe non loin de Bad Reichenhall, une bourgade bavaroise au sud de l'autoroute Munich-Salzbourg. L'affaire est connue des spécialistes, mais elle l'est peu et mal, en général rapidement évoquée dans les biographies de Leclerc. Pour la première fois, un livre très bien documenté est entièrement consacré à cet "épisode tragique". Il va faire grincer des dents. Ce fut le cas des miennes...

    Disons le d'entrée : les préférences des deux auteurs ne sont pas, loin s'en faut, celles du "pacha" de ce blog, admirateur inconditionnel de l'épopée de la France libre. Eric Lefèvre fut un proche collaborateur de l'écrivain d'extrême-droite Jean Mabire et Olivier Pigoreau est un jeune journaliste passionné par le PPF de Doriot. Ils n'aiment visiblement guère les gaullistes de la France libre et sont plus attirés par le destin des 15.000 Français qui revêtirent volontairement l'uniforme nazi. Mais, pour y avoir consacré deux ans d'enquête, ils connaissent l'épisode de Bad Reichenhall mieux que quiconque. Et les faits sont là, assurémment dérangeants.

    Au pied du nid d'aigle d'Hitler, les combats ont cessé la veille. La guerre est finie. Le PC de Leclerc est installé à Bad Reichenhall. Des soldats américains, qui les avaient fait prisonniers, viennent déposer douze hommes, des Waffen SS, dans la rue où est installé l'état-major de la 2ème DB. Stupeur chez les Français : ces SS sont, eux aussi, français - issus de la Division Charlemagne ! Leclerc passe les voir quelques minutes et une altercation a lieu. Alors qu'il leur demande s'ils n'ont pas honte de porter l'uniforme allemand, l'un des prisonniers fait remarquer au libérateur de Paris qu'il porte bien, lui, l'uniforme américain. C'en est trop. Leur destin est scellé. Dans l'après-midi du 8 mai, ils sont fusillés par la 4ème compagnie du Régiment de marche du Tchad (RMT), dans une clairière proche de Bad Reichenhall. Les corps sont abandonnés là et ne seront inhumés que trois jours plus tard par l'armée américaine.

    Qui sont-ils ? Seuls cinq des douze ont pu être identifiés. Leur vie, chaotique et misérable, est longuement racontée dans le livre : tous sont des volontaires, parfois issus de la LVF, qui voulaient combattre le "bolchevisme" au nom de "l'Europe nouvelle". Dans quel cadre juridique ont-ils été fusillés ? Apparemment, cela n'a pas été une question trop longtemps débattue. S'agit-il d'une méprise, de la mauvaise compréhension d'un ordre ? Les auteurs n'y croient pas et il pointe la responsabilité directe du général Leclerc. D'autres historiens contesteront sans doute leur interprétation, mais ils devront le faire à partir des éléments avancés dans ce livre.

    Après guerre, cette affaire a fait l'objet de plusieurs enquêtes, dont une confiée à la Gendarmerie nationale. Enquêtes enterrées pour ne pas porter atteinte à la mémoire de Leclerc, concluent les auteurs. Les circonstances de la mort du Maréchal en 1947 sont évoquées, notamment parce qu'un "scénario", auquel les auteurs n'adhèrent pas, expliquerait l'accident de l'avion de Leclerc par un sabotage d'un proche d'un SS français fusillé à Reichenhall...

    L'endroit de la fusillade est devenu un lieu de pelèrinage pour les nostalgiques du IIIème Reich ; on apprend ainsi que Franz Schonhuber, leader (aujourd'hui décédé) des Republikaner allemands, un temps allié du Front national, en fut l'un des plus actifs promoteurs.

    On accusera sans doute les auteurs de ressortir une histoire "nauséabonde" à des fins politiques. Peu importe : l'historien ou le journaliste ne doit pas se demander quelle cause sert tel ou tel fait qu'il relate- et qu'il faudrait, c'est selon, exposer ou bien taire - , mais uniquement de savoir si les choses sont vraies ou fausses. Et, en l'occurrence, elles semblent vraies.

    L'image de Leclerc en ressort-elle salie, abîmée ? Philippe de Hauteclocque n'était pas un saint. C'était un homme, avec ses faiblesses - ses péchés, aurait dit ce grand chrétien - au premier chef desquels la colère et pas mal d'orgueil. Ce que montre surtout ce livre, c'est d'abord que la guerre n'est jamais une jolie chose, même si la cause pour laquelle on la fait est, sans l'ombre d'un doute, la bonne.

    Eric Lefèvre et Olivier Pigoreau "Bad Reichenhall. 8 mai 1945. Un épisode tragique". Editions Grancher. 28,50 euros

    Secret Défense - Un blog de Libération - 30/06/10

  • Un responsable local du FN agressé à l'occasion d'un rassemblement à Nantes

     ...Un rassemblement était organisé pour commémorer Jeanne d'Arc © Photo PO

    C'était ce matin, vers 10h30. Une trentaine de membres du FN venait déposer une gerbe de fleurs au pied de la statue, pour commémorer Jeanne d'Arc, devant l’église Saint-Donatien à Nantes.

    Gauthier Boucher, responsable local du FN, s'y rendait quand il a été agressé.

    Drapeau bleu, blanc, rouge à la main, il marchait vers le lieu du rendez-vous quand il a vu cinq personnes, aux visages masqués, débouler. Le jeune homme, âgé de 25 ans, a aussitôt fait demi-tour. Mais un coup de poing lui a été porté au niveau du visage.

    Moins de deux heures plus tard, Gauthier Boucher racontait déjà son agression sur sa page facebook : "Près de l'église Saint-Donatien de Nantes, avant d'arriver à l'hommage pour Jeanne d'Arc, accueilli aux cris de "Nazis raus!", "Bleu-Blanc-Rouge, t'as rien à foutre ici !", "Cours !" par cinq gauchistes. Dans la foulée l'un me poursuit et me frappe la tête contre une vitre de voiture, dent ébréchée et un peu de sang. Dépôt de plainte ce jour", pouvait-on lire.

    Ses agresseurs n'ont pas pu être rattrapés.

     

     Presse Océan 12/05/13

  • Après la loi Taubira, la polygamie

     sans-titre.png Mayotte.png

    Posté le 11 mai 2013 à 13h42 | Lien permanent|

    Les hypocrites qui s'indignaient quand certains (comme le cardinal Barbarin) indiquaient il y a quelques mois que, à partir du moment où l'on redéfinit le mariage, il n'y a plus de limite, peuvent ravaler leur indignation. A Mayotte, la population demande désormais la légalisation de la polygamie :

     Michel Janva

    Le Salon Beige

  • Manuel Gaz est-il le nouveau maquereau des Femen ?

    sans-titre.png Pyramides.png

    On peut se poser la question après la lamentable provocation de ces prostitués, ce dimanche matin à Paris.
    Juste après que le Renouveau français ait terminé son hommage devant la statue de Sainte Jeanne d’Arc et avant que d’autres ne prennent le relais, les quelques « militantes » (en réalité salariées) « féministes » (en réalité capitalistes et libertaires) ont déployé seins nus une banderole du haut de l’hôtel Regina, avec un slogan débile en anglais (!).

    Ce qui est le plus lamentable dans cette affaire, c’est que tout le monde était au courant de ce projet, depuis la veille au soir, mais que la police d’une part n’a pas voulu l’empêcher, et d’autre part a protégé les prostituées des manifestants nationalistes mécontents (matraques et jets de gaz lacrymogène à l’appui), et elles ont ainsi pu rester un bon moment perchées sur leur balcon.

    A quoi joue la police ?!
    La collusion entre elle et ces activistes stipendiées ne fait maintenant aucun doute.
    Seront-elles poursuivies pour les divers délits dont elles se sont rendues coupables ce matin (trouble à l’ordre public, atteinte à la pudeur, etc.) ? Gageons que non.
    Devront-elles rembourser l’intervention des pompiers venus les déloger avec leur échelle ? Gageons que non.

    Le milliardaire mondialiste Soros, soupçonné de financer les Femen, a-t-il le bras assez long pour diriger la préfecture de police ?

    Précisons par ailleurs que la sécurité de l’hôtel Regina s’est aussi opposée aux nationalistes (voulant les livrer à la police) et a protégé les Femen. Hotel Regina : 01 42 60 31 10.

    Contre-info.com - 12/05/13

    NdB: Quand on pense que la police de Valls a gazé des enfants, des femmes, des personnes âgées, qu'elle n'a pas hésité à frapper de jeunes Français qui manifestaient pacifiquement en faveur de la Famille, on a envie de vomir !

    Qul dégoût ce Paris livré avec complaisance à l'obscénité et aux insultes basses de prostituées étrangères! Quelle tristesse par un matin de printemps! 

  • Les Femen injurient impunément les nationalistes place des Pyramides

    sans-titre.png Femen.png

    http://www.ndf.fr/nouvelles-deurope/12-05-2013/les-femen-injurient-les-nationalistes-place-des-pyramides