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Blog - Page 1003

  • Serbie: le président Nikolic s'excuse «à genoux» pour le massacre de Srebrenica

     

    Le président serbe Tomislav Nikolic, à Bruxelles, le 6 février 2013
    Le président serbe Tomislav Nikolic, à Bruxelles, le 6 février 2013
    REUTERS/Yves Herman
    Par RFI

    Le président serbe Tomislav Nikolic, qui avait provoqué une vive émotion en juin dernier en niant le génocide de Srebrenica, a, contre toute attente, fait volte-face en s'excusant «à genoux» pour ce massacre commis par les forces serbes en juillet 1995.

     

    Avec notre correspondant à Sarajevo, Jean-Arnault Dérens

    « Je m’excuse à genoux au nom de la Serbie pour tous les crimes qui ont été commis par des Serbes ». Tels sont les termes du président Tomislav Nikolic, selon une vidéo diffusée par le site d’informations de Sarajevo, klix.ba.

    Ces propos ont été tenus au cours d’un entretien à la télévision publique de Bosnie-Herzégovine et qui doit être diffusé le 7 mai prochain.

    Le président serbe a toujours refusé de reconnaître le massacre de Srebrenica comme un génocide. Relancé par la journaliste, Tomislav Nikolic assure que tout ce qui s’est passé dans l’ancienne Yougoslavie relève du génocide. Malgré cette réserve sur la question de Srebrenica, cette déclaration inattendue du président serbe représente un énorme pas qui pourrait considérablement simplifier les relations entre la Serbie et la Bosnie-Herzégovine.

    Pourtant, il y a un an, peu après son élection, Tomislav Nikolic avait créé le scandale en remettant en doute la réalité des crimes commis à Srebrenica. Il envisagerait désormais de se rendre dans la pette ville martyre où près de 8000 bosniaques ont été assassinés en juillet 1995 par les forces serbes du général Mladic.

    RFI

  • A 43 ans, un Néerlandais est le père de 92 enfants

    Lire: http://www.leparisien.fr/laparisienne/societe/a-43-ans-cet-homme-est-le-pere-de-92-enfants-06-05-2013-2783529.php

  • Pôle emploi dans les zones de combat au nord du Mali

     

    Guilloteau.jpg

    Le député Christophe Guilloteau

     

    maliactu.net 1er mai 2013

    L’armée française a mis la main sur des documents de Pôle Emploi dans les caches des islamistes au nord du Mali.

    «On paie les gars qui nous tirent dessus», s’est esclamé Christophe Guilloteau, député UMP, membre de la Commission de défense de l’Assemblée nationale Française.

    «Vous savez ce que nos soldats ont découvert dans les caches des islamistes, au beau milieu du massif des Ifoghas, dans le nord du Mali ?» demande Christophe Guilloteau, sourire en coin…

    «Peut-être les fusils, les missiles sol-air ou encore les mortiers que la France avait généreusement distribués en 2011 aux insurgés libyens pour détrôner Mouammar Kadhafi ?», lui répond-on.

    «C’est le cas, sourit Christophe Guilloteau. Mais ce n’est pas tout ».

    « En fait, ajoute le député, ils sont tombés sur des circulaires vierges de Pôle Emploi dans les caches des islamistes. »

     
    Par Aurore Boréale
  • Pauline Ducruet, la petite-fille de Grace Kelly

    sans-titre.png Pauline Ducruet.png

    Né(e) le : 04/05/1994 - Monaco

    Pauline Ducruet est la fille cadette de la Princesse Stéphanie de Monaco et de Daniel Ducruet.

    Pauline Grace Maguy Ducruet est née le 4 mai 1994. Elle est la fille cadette de la Princesse Stéphanie de Monaco et de Daniel Ducruet, son ancien garde du corps. Leur mariage civil fût célébré le 1er juillet 1995. Elle a un frère aîné, Louis Ducruet, et un demi-frère, Michaël Ducruet du côté de son père, ainsi qu'une demi-sœur, Camille Gottlieb, du côté de sa mère.

    La jeune fille qui a un an d'avance dans ses études doit d'abord passer son bac, avant de prendre une année sabbatique pour se concentrer sur sa passion : le plongeon. Elle a participé en 2010 aux Jeux Olympiques de la Jeunesse à Singapour dans cette catégorie, concouru en finale, finissant à la douzième place du classement.

    TF1 - 07/05/13

    Lire:  http://fr.wikipedia.org/wiki/Grace_Kelly

  • Harcelée à l’école maternelle par une autre élève, ses parents portent plainte

     

    Céline et Bruno estiment que leur fille de 6 ans est harcelée par une autre élève de maternelle de sa classe à Bussac-Forêt (17). Pour arrêter le cauchemar, ils ont saisi la justice

    Des parents contraints de déposer plainte pour la secourir leur enfant.

    Des parents contraints de déposer plainte pour  secourir leur enfant. (photo M-L. G.)


     
     Ce sont des parents désemparés qui doivent faire face à une déscolarisation de leur petite fille de 6 ans depuis bientôt trois mois. « Pour la protéger, parce qu’elle est harcelée par une autre fillette de sa classe et du même âge qui lui pourrit la vie et la fait souffrir ».

    Bruno et Céline Chaintrier ne veulent pas jeter la pierre à qui que ce soit, estimant que « cette enfant aussi, sans doute, est en souffrance ». Mais à ce jour et depuis la mi-février, leur petite Amandine n’a toujours pas pu rejoindre à Bussac-Forêt, sa classe de grande section maternelle. « Et les faits remontent déjà au mois d’octobre 2012.

    Il est question de crachats, de serrage de cou dans la cour de récréation, chose que les instituteurs ont vue une fois. Il est aussi question de cheveux tirés, de menaces, d’insultes, de coups qui font des bleus », précisent Céline et Bruno Chaintrier qui , au tout départ, ne comprenaient pas pourquoi leur petite ne voulait plus aller à l’école.

    « Le dimanche soir, à l’idée d’y aller le lundi, elle vomissait. Elle mangeait peu. Elle ne dormait plus. Les cauchemars étaient récurrents ».

    « Cette enfant souffre »

    Le médecin de famille qui a reçu l’enfant avec ses parents dès octobre, atteste, dans un certificat médical d’une « enfant en souffrance ». Jusqu’à ce jour de février, un peu avant les vacances, où l’enfant a carrément refusé d’aller à l’école.

    Nouvelle consultation, en urgence cette fois. Le certificat relève « un état de stress avec plaintes somatiques importantes ». Et trois jours plus tard, alors que le praticien revoit l’enfant seule et où elle finit par tout expliquer et mettre des mots sur tout, le médecin conseille aux parents de prendre rendez-vous avec les services de la Protection Maternelle et Infantile, « car cette enfant souffre de harcèlement à l’école ».

    Le certificat médical évoque « un état de santé nécessitant une éviction de l’école », jusqu’au 1er avril dans un premier temps. L’éviction qui a été renouvelée depuis, jusqu’au 13 avril, puis jusqu’au 31 mai.

    Les parents ont également saisi l’Unité de psychopathologie infanto-juvénile de Jonzac (UPIJ) qui a reçu la petite dès le 6 mars pour une évaluation de son état. Et toutes les semaines, l’enfant s’y est rendue. De fait, les parents n’étaient pas restés bras ballants durant tous ces mois. Ils avaient bien tenté d’essayer de résoudre la situation en prenant des rendez-vous avec la mairie. « Quelques parents d’élèves qui s’étaient émus de la situation ont vite été découragés de nous apporter leur soutien ».

    « Boule de neige »

    À ce jour, un seul parent issu du conseil d’école est toujours à leur côté, Jean-Henri Ery, pour lequel « ce problème n’aurait jamais dû prendre des proportions pareilles ».

    Céline le précise, « en janvier avait aussi eu lieu à l’Inspection primaire de Jonzac, une entrevue avec l’inspectrice de l’Éducation nationale, la maire et les parents des deux fillettes, dans un souci de faire cesser l’animosité. Mais rien n’y a fait. Au contraire, au lieu de calmer le jeu, cette rencontre a fait boule de neige et la situation a empiré pour Amandine ».

    Autre rencontre, le 30 avril, au sein de l’équipe éducative de la maternelle avec les parties prenantes: « personne ne niait le harcèlement mais certains disaient qu’Amandine devait faire front, que des situations comme çà, elle en connaîtrait d’autres », se souvient Bruno.

    Une plainte depuis samedi

    Aujourd’hui, c’est Céline, en invalidité, qui « fait la classe » à sa petite. « Je vais chercher à l’école les fiches, les dessins à colorier, les découpages, tout ce qui fait l’activité d’une maternelle. Et la maîtresse vient voir Amandine au moins une fois par semaine ».

    Elle a bien songé à scolariser sa fille ailleurs, « mais Bruno travaille et moi je ne conduis pas. C’est difficile. Et pourquoi Amandine aurait-elle à quitter l’école? ».

    La solution à cette bien triste histoire viendra peut-être de la plainte déposée samedi, auprès de la gendarmerie de Montlieu-la-Garde, par Céline et Bruno pour « harcèlement moral, agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail pouvant porter atteinte aux droits, à la dignité, à la santé ou à l’avenir professionnel d’autrui ».

    Le dossier a d’ores et déjà été transféré au Parquet de Saintes. « Et nous savons que le procureur et la préfecture se sont déjà mis en rapport avec l’Inspection primaire de l’arrondissement de Jonzac ».

    Sud Ouest- 07/05/13

    NdB: On donne le prénom de la petite file harcelée, Amandine, mais pas celui de la méchante "harceleuse"...

  • L'armée syrienne a fixé des cibles en Israël

     

     
    6.05.2013, 18:11, heure de Moscou
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    06.06.2011 израиль сирия израиль война голанские высоты

     
    Photо: EPA

    L'armée syrienne a déterminé des cibles à attaquer si Israël effectue de nouveaux raids aériens contre le territoire de Syrie, a annoncé la télévision syrienne d'Etat.

    Des responsables ont déclaré à la TV syrienne que les troupes ont reçu l'ordre de riposter à toute attaque de la part d'Israël sans attendre des instructions complémentaires du commandement suprême.

    La Syrie a également donné le feu vert aux Palestiniens pour leurs actions contre Israël depuis le plateau du Golan occupé.

  • Louis Aliot dans BFM Soir

  • 7 mai 1954: chute de Dien Bien Phu

    Nous sommes ces soldats qui grognaient par le monde
    Mais qui marchaient toujours et n’ont jamais plié…

    Nous sommes cette église et ce faisceau lié
    Nous sommes cette race éternelle et profonde…

    Nos fidélités sont des citadelles

    Charles Peguy

    Livres sur l’Indo ici

    Contre-info.com

  • Jusqu'à quand les Français qui travaillent vont-ils l'entretenir ?

    sans-titre.png Trierweiler et Hollande.png

    On vient tout juste de l’apprendre en lisant le Journal officiel, les cinq collaborateurs de Valérie Trierweiler nous coûtent, chaque mois, exactement 19.742 €. Et Jean-Marc Ayrault d’ajouter, perfide : « À titre de comparaison, huit collaborateurs étaient affectés au service de la première Dame en janvier 2012, pour une rémunération nette globale de 36.448 €. » On l’aura compris, Carla Bruni nous coûtait les yeux de la tête. Et, finalement, Valérie Trierweiler est une bonne affaire… pour notre porte-monnaie, s’entend.

    Reste que ce n’est pas tout à fait la question. Le problème n’est pas de savoir si la concubine de François Hollande nous coûte plus ou moins cher que Madame Sarkozy, mais ce qui justifie que nous prenions en charge ses frais divers et variés. En clair, certains n’hésitent pas à accuser Valérie Trierweiler d’occuper des locaux à l’Élysée et d’employer du personnel payé par de l’argent public, alors qu’elle n’est dépositaire d’aucune autorité légale. Ainsi, Xavier Kemlin vient de déposer une seconde plainte, la première ayant été déboutée par le parquet de Paris. Il accuse la journaliste de « recel de détournement de fonds publics ». Il estime en effet
 que les impôts qu’il paye en France « ne peuvent servir à loger, nourrir, blanchir, vêtir, payer les voyages ainsi que le personnel d’une dame avec qui la nation n’a aucun lien juridique ». Parce que non mariée avec le chef de l’État mais seulement « concubine notoire » au regard du Code des impôts.

    Une argumentation que partage l’association Contribuables associés. Pour Olivier Bertaux, juriste fiscaliste : « Dépourvue de statut matrimonial officialisant sa relation avec le président de la République, les avantages que lui octroie précisément l’État ne semblent reposer sur aucun fondement juridique ou même institutionnel. » Et d’en conclure : « Le cabinet de cinq personnes ainsi que les avantages matériels dont dispose madame Trierweiler ne sont justifiés ni par un mandat, ni par une fonction, ni par des frais d’emploi. »

    Du coup, affirme Contribuables associés, « on pourrait considérer qu’il s’agit d’avantages en nature qui, à ce titre, seraient imposables sous forme de traitement ou salaire, de revenus distribués ou de revenus innommés assimilables de par la loi à des bénéfices non commerciaux. »

    Il sera intéressant de voir de plus près la déclaration de revenus de Valérie Trierweiler pour l’année 2012…

    Emmanuelle Duverger, le 5 mai 2013
     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Printemps pour tous à Marseille

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    Pâquerettes devant une banque

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    Les roses du consulat d'Allemagne

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    Le déjeuner des pigeons

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    Le callistemon a refleuri dans le jardin

    (Photos EB - 4 mai 2013)

  • Christiane Taubira : « La jeunesse même délinquante a droit à la protection du pays » - 04/05/13

     

    http://troisiemevoie.fr/wp-content/uploads/2013/05/cht.png

    Combien coûte une journée dans un centre éducatif fermé ? 575 euros soit 103.500 euros pour un placement minimum de 6 mois.

    Une famille français avec deux enfants gagne en moyenne 3.694 euros par mois.

    L'état dépense donc les revenus de près de cinq familles françaises pour protéger de jeunes délinquants.

    Bref...

    FN - Fédération de la Loire

     

     "Je suis la haine"
  • Le véritable objectif du "mariage" homosexuel : imposer la théorie du Genre (Gender)

    Publiée le 24 mars 2013

    Intervention de Patrice André au meeting de la Manifpourtous - Ce qu'on vous cache ! Toutes les références des citations sur http://www.alertecivique.info/

  • Rennes: rixe dans le métro, un agent de sécurité gravement blessé

    Un employé d’une société de sécurité chargée de la surveillance du métro a été gravement blessé lors d’une bagarre très violente qui a éclaté dans le métro de Rennes, samedi soir.

    Vers 21 h 30, un groupe de 8 Africains âgés entre 20 et 30 ans et consommant de l’alcool, sème le trouble dans une rame de métro. Quatre agents de sécurité leur demandent alors de descendre à l’arrêt Italie. Une bagarre s’ensuit sur le quai, au cours de laquelle l’un des quatre agents reçoit des coups aux jambes, au bras, et au niveau du ventre.

    La victime a été hospitalisée dans un état jugé « sérieux » par les secours.

    Des investigations sont en cours pour identifier les auteurs des coups, qui n’ont pas été interpellés.

  • Manif pour tous: l’avertissement solennel de Bruno Gollnisch

     

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    Hier, la veille du premier anniversaire de l’élection de François Hollande, et confirmant les sondages catastrophiques pour le chef de l’Etat et le gouvernement, les Français de droite, de gauche et d’ailleurs, étaient dans la rue. Les uns pour poursuivre la mobilisation pour la défense des familles, des enfants et du mariage ; les autres pour dénoncer l’austérité et les promesses trahies du candidat pour lequel les dirigeants des petits partis membres du Front de gauche avaient appelé à voter.

    Concernant le rassemblement parisien de l’ extrême gauche hier, nous croyons bien volontiers Jean-Luc Mélenchon quand il dénonce un trucage de Manuel Valls. En l’espèce l’estimation mensongèrement très basse de cette mobilisation fournie par le ministère de l’Intérieur, soit 30 000 manifestants, six fois moins que le chiffre annoncé par le FG.

    Au même moment, dans le cadre de la Manif pour tous, plus de 125 000 personnes manifestaient à Amiens, Dijon, Lille, Lyon, Montpellier, Paris, Rennes, Toulouse…

    Le Figaro y a vu « un joli tour de chauffe avant la grande démonstration de force du 26 mai » et l’avis du Conseil d’Etat sur la constitutionnalité de la loi Taubira. « Sur le podium, barré d’une banderole Non à la marchandisation des femmes, spécialistes de l’enfance, juristes et parents adoptifs se succèdent ». Vincent Rouyer, « pédopsychiatre qui dit avoir recueilli de nombreux témoignages d’adultes élevés par deux parents du même sexe, profondément perturbés dans leur identité sexuelle, » dénonce «une lente intoxication de la pensée qui a abouti à une sacralisation du désir.»

    Des manifestants « qui non seulement ne lâchent rien, mais s’engagent encore davantage. » Et cet article de rapporter le cas emblématique de « Pascal et Carole ». «La famille, lâche ce couple de quinquagénaires venus de l’Oise, il ne nous reste plus que ça!  Bac + 5 comme son épouse, Pascal, après trois reconversions, est aujourd’hui ambulancier. On n’arrive plus à payer notre loyer, raconte-t-il. Qu’ils s’occupent de l’économie, au lieu de nous chambouler la famille d’un revers de main! L’homoparentalité, ça ne va pas de soi(…) !

    C’est à Lyon, ville où elle a passé son enfance, que Virginie Merle alias Frigide Barjot, était présente dimanche pour s’exprimer devant environ 20 000 participants, dont la plupart des élus frontistes Rhône-alpins (notamment Christophe Boudot, tête de liste FN à Lyon en 2014,) et de nombreux militants nationaux.

    Drapeau arc-en-ciel à la main ( !), symbole des associations dites LGBT (Lesbiennes, Gays, Bisexuels et Transsexuels), la porte-parole de la Manif pour tous a été mal accueillie par les manifestants quand elle a vanté à la tribune le Contrat d’union civile (CUC) préconisé par une très large partie de l’UMP, Jean-François Copé et François Fillon. Nous doutons que ce soit pour voir et entendre cela que les adhérents de l’Association familiale catholique (AFC), par exemple, se sont mobilisés !

    Le Salon Beige rapporte ce témoignage : « Huée, elle (Frigide Barjot, NDLR) a quitté le podium, furieuse, s’est réfugiée au Mac Do de la place Bellecour et réclame la presse… ».

    « Hervé Mariton (député UMP, NDLR) ramène Frigide Barjot sur le podium de la manif pour tous. Mais les sifllets redoublent dès que celle-ci aborde la question de l’union civile ou revient sur la défense intégrale du mariage. Le courant semble ne plus passer du tout

    A l’évidence, l’exaspération monte, devant les compromissions tant doctrinales que politiciennes. Mais n’était-ce pas prévisible ? Avant son déroulement, Bruno Gollnisch a souligné que « cette manifestation est une manifestation contre la défiguration du mariage que constitue le prétendu mariage homosexuel. Elle ne saurait être une manifestation en faveur d’un mariage gay repeint aux couleurs de je ne sais quel Contrat d’Union Civile. Tout autre objectif relèverait de l’arnaque pure et simple. »

    Certes, le dernier sondage Ifop pour Valeurs actuelles, indique qu’au moins 54 % des Français sont opposés à l’adoption pour les couples homos puisqu’ils disent préférer une union civile pour les couples de même sexe, en ce qu’elle offrirait les mêmes droits que le mariage mais sans l’adoption.

    Pour autant, Bruno Gollnisch réaffirme que ce passage à la trappe de la filiation et de l’adoption pour les couples de même sexe dans ce CUC défendu par l’UMP, participe aussi de l’effacement des repères. C’est une attaque directe contre l’institution du mariage qui perdrait ainsi son caractère unique, exclusif comme fondement légal de la vie commune.

    Plus largement d’ailleurs, cette promotion du CUC par Mme Barjot-Merle est assez significative des atermoiements de cette dernière dans son souci apparent d’éviter le conflit, de flatter les minorités progressistes, de viser le consensus, de dépolitiser le débat, pour tenter de rassembler autour du plus petit dénominateur commun, le moins clivant possible.

    Cela est bien évidemment impossible et ne peut être tenté que par l’utilisation de beaucoup de faux-semblants.

    Entendons nous bien : ce vœu de ratisser large contre la loi Taubira, sans agressivité excessive et dans le respect des convictions de tous, est tout à fait légitime. Et Bruno Gollnisch réitère tous ses souhaits de réussite pour les futures mobilisations, avec les réserves exprimées plus haut, comme il l’a répété avec constance depuis les tous premiers rassemblements.

    Pour autant, Bruno Gollnisch n’est pas un naïf, il sait notamment que quand on veut chasser par la porte la « politique », elle entre par la fenêtre car le principe de réalité reprend toujours ses droits.

    Il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas constater que ce mariage pour tous est une question éminemment politique. Et qu’à de notables exceptions prés, mais qui restent assez marginales, il est surtout combattu par le peuple de la droite des valeurs, au sens large, par les électeurs et sympathisants du Mouvement national et de l’UMP.

    De plus, la nature apolitique de cette mobilisation vantée par Frigide Barjot-Valérie Merle ne résiste pas à l’examen puisque les manifestations sont cornaquées par l’UMP de manière de plus en plus évidente et visible.

    Certes à Lyon, sous la pression du FN, les organisateurs, et à la grande fureur des caciques locaux de l’UMP, n’ont pas donné la parole à cette formation comme à aucune autre d’ailleurs.

    A dire vrai, en lieu et place de cette apparente stricte neutralité, Bruno Gollnisch aurait préféré que chaque élu représentant une sensibilité politique puisse s’exprimer. Ce n’est pas l’option qui a été retenue, ce qui est regrettable car «cela aurait pu créer une dynamique politique » dépassant le strict cadre du parti de MM. Copé et Fillon.

    Or, le député européen frontiste a été systématiquement écarté des micros, notamment lors de la manifestation à l’Etoile le 21 avril dernier, tandis que les dirigeants de l’UMP et autres probes amis de l’amateur de peinture Claude Guéant, alors plein de morgue, monopolisaient la parole.

    Pourtant, rappelle Bruno Gollnisch, « au cours de mes 25 années de combat comme parlementaire et élu régional contre les politiques de désagrégation morale, qu’elles viennent de la vraie gauche ou de la fausse droite – théorie du Gender, promotion du LGBT, euthanasie, etc.- je n’ai pas le souvenir d’avoir vu les pontes de l’UMP à mes côtés dans ces combats. Et cela continue chaque mois à Strasbourg et à Bruxelles. En revanche, j’ai des souvenirs très précis et très nombreux de l’action délétère des élus et ministres RPR/UDF, ou, aujourd’hui, UMP… ».

  • Quand Angela faisait du nudisme en RDA

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    Nous observons une jeune et très angélique Fräulein Merkel, bien plus sympathique et élégante en tenue d’Ève qu’habillée aujourd’hui, débarrassée de ses horribles oripeaux multi-colorées, mais tous issus du même patron informe, unique et standard de la République Démocratique Allemande…

    N’oublions pas, qu’à l’époque de la RDA, la charmante Angela était adhérente des FDJ (Freie Deutsche Jügend), le mouvement de jeunesse populaire enrégimenté par le Parti unique (SED). L’État Est-allemand les faisait participer à des camps d’été où la FKK (Frei Köerper Kultur) était de mise, dans le sens philosophico-gymnique d’ « un esprit sain dans un corps sain » ; c’ est d’ailleurs un héritage de la HJ (Hitler Jügend) et des Wandervögel. Une belle propagande bien calibrée pour exposer sous les projecteurs une jeunesse heureuse et saine avant, pendant et après la guerre. Ces schémas idéalistes-naturistes perduraient encore dans les années 70 à l’Ouest…

    Propagandes-info

  • Un gardien du camp d'Auschwitz âgé de 93 ans arrêté en Allemagne

      

    Arbeit macht frei Музей узников нацистский концлагерь Аушвиц-Биркенау Освенцим

     
    Photo: RIA Novosti
    La police allemande a arrêté un homme de 93 ans, qui aurait travaillé comme surveillant au camp de concentration d'Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale.

    Selon la police du Bade-Wurtemberg, le détenu était directeur du camp entre l'automne 1941 jusqu’à 1945 et aurait pu participer aux assassinats de masse des prisonniers dans les camps de concentration.

    Le nom de la personne arrêtée n'a pas été divulgué, mais certains médias ont fait remarquer qu’il pourrait s’agir de Hans Lipschis, répertorié dans la liste des personnes les plus recherchées parmi les criminels de guerre de Simon Wiesenthal.
     

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    La Voix de la Russie - 06/05/13

  • Antisémitisme au stand iranien à la Foire du livre de Buenos Aires

    Revue de presse
    Publié le 6 Mai 2013

     

      
     
     
     Par le Centre Simon Wiesenthal, adapté succinctement par Hanna Lévy

     

    Le Centre Simon Wiesenthal a demandé à M. Gustavo Canevaro, Président de la Fundación El Libro (qui organise la Foire du livre de Buenos Aires) à condamner publiquement la « Casa del Islam » (« Maison de l’Islam »), stand à la 39e Foire du livre de Buenos Aires (du 25 avril au 13 mai), pour sa promotion des théories conspirationnistes antisémites.

     

     

    Parmi les livres exposés, le stand met en avant : « Irán, el país que Estados Unidos quiere destruir - Retrato urgente de un ‘condenado a muerte ». La couverture du livre montre la Statue de la Liberté avec le visage de George W. Bush. Le bras levé de la Statue de la Liberté tient une Menorah, et l’autre main, tient un bouclier avec une étoile de David. À la page 31 du livre, il y a une photo du World Trade Center attaqué et cette explication : « Tours jumelles de New York, la mise en scène la plus tragique et répugnante de la CIA et du Mossad pour avoir le monde à leurs pieds ».

    Crif

  • Racisme anti-blanc: une réalité quotidienne trop longtemps occultée

    sans-titre.png Pichon.png

    06/05/2013 – 12h00
    NANTES (NOVOpress Breizh)
    Accompagné de Fabrice Robert, président du Bloc identitaire (BI), Gérald Pichon (ci-dessus) était à Nantes vendredi soir pour présenter « Sale blanc, chronique d’une haine qui n’existe pas », un essai sur le racisme anti-blanc. Très longtemps ignoré pour des raisons idéologiques évidentes, ce phénomène – lié à la mise en place en France d’une société multiculturelle – est devenu une réalité quotidienne, dont on commence à parler.

     

    Après une introduction de l’animateur local du BI, Fabrice Robert a fait le bilan du travail accompli depuis 10 ans et rappelé les objectifs de son mouvement. Selon lui, en effet, le Bloc identitaire n’est pas un parti mais un réseau rassemblant des associations locales qui agissent dans tous les domaines pour mettre en œuvre une contre-culture et un contre-pouvoir. Une sorte de « lobby » de défense des Français de souche, en quelque sorte. Pour y parvenir, le BI lance des campagnes transversales comme celle sur la viande Halal. Il participe également aux mouvements comme celui qui s’oppose à la loi Taubira . Le BI se veut à la fois un aiguillon et un éveilleur.

    Ces actions, comme les Assises sur l’islamisation, l’opération sur le chantier de construction de la mosquée de Poitiers, le refus du rachat de la France par le Qatar, ont donné à ce mouvement, estime Fabrice Robert, une notoriété remarquable. Le terme « identitaire » est devenu une marque dans le paysage politique, repris par les médias bien au-delà des actions propres au BI. Il est aussi imité dans d’autres pays (Italie, Autriche, Allemagne entre autres) où des groupes s’organisent sur son modèle.

    Avant d’entrer dans le vif du sujet, Gérald Pichon a tenu à préciser qu’il utilise le terme de « blanc » par défaut car cela est trop restrictif pour définir une population qui ne se résume pas à la couleur de sa peau. Il en est de même pour le mot « racisme », la haine développée contre les autochtones dépassant largement cette notion.

    Construit en deux parties, son livre commence par faire un état de l’importance de la réalité cachée de ce racisme anti-blanc qui sévit en France depuis 30 ans dans l’indifférence du pouvoir politique, des médias et des associations censées lutter contre le racisme. Puis il s’interroge sur les raisons de cette situation mais aussi de l’absence de réaction des victimes. Cela provient de la volonté de l’oligarchie d’organiser « le Grand Remplacement », selon la formule de l’écrivain Renaud Camus. Dans ce but, il était nécessaire, selon G. Pichon, de culpabiliser les Français de souche pour détruire leur capacité d’auto-défense.

    Dans la seconde partie, l’auteur analyse comment cette haine de soi a été inculquée aux Français blancs. Il montre comment la promotion d’une société multiculturelle et multiraciale légitime la violence contre les Blancs. Il insiste sur le rôle de l’Education nationale, sur la politique de discrimination positive en faveur des populations d’origine non européenne. Cela relève, rappelle G. Pichon, de ce que le sociologue Guillaume Faye a baptisé « Le système à tuer les peuples ».

    Dans cet esprit, il conclue en insistant sur le danger de réagir en promouvant un « white power » qui ne répond en rien à cette politique. De même, il ne faut pas rentrer dans la logique « victimaire » qui est étrangère à la culture européenne. En conclusion, Gérald Pichon affirme qu’il faut «garder l’espoir car l’histoire n’est jamais figée» et «se battre sur tous les fronts pour promouvoir notre identité.»

    DR

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