Florian Philippot: "Il serait de bon ton que... par franceinter
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Florian Philippot sur France Inter - 16/05/13
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Assemblée: Marion Maréchal-Le Pen a failli faire passer un amendement FN
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Jean de La Fontaine (1621-1695)
Le Loup et le Chien
Un Loup n'avait que les os et la peau,
Tant les chiens faisaient bonne garde.
Ce Loup rencontre un Dogue aussi puissant que beau,
Gras, poli, qui s'était fourvoyé par mégarde.
L'attaquer, le mettre en quartiers,
Sire Loup l'eût fait volontiers ;
Mais il fallait livrer bataille,
Et le Mâtin était de taille
A se défendre hardiment.
Le Loup donc l'aborde humblement,
Entre en propos, et lui fait compliment
Sur son embonpoint, qu'il admire.
"Il ne tiendra qu'à vous beau sire,
D'être aussi gras que moi, lui repartit le Chien.
Quittez les bois, vous ferez bien :
Vos pareils y sont misérables,
Cancres, hères, et pauvres diables,
Dont la condition est de mourir de faim.
Car quoi ? rien d'assuré : point de franche lippée :
Tout à la pointe de l'épée.
Suivez-moi : vous aurez un bien meilleur destin. "
Le Loup reprit : "Que me faudra-t-il faire ?
- Presque rien, dit le Chien, donner la chasse aux gens
Portants bâtons, et mendiants ;
Flatter ceux du logis, à son Maître complaire :
Moyennant quoi votre salaire
Sera force reliefs de toutes les façons :
Os de poulets, os de pigeons,
Sans parler de mainte caresse. "
Le Loup déjà se forge une félicité
Qui le fait pleurer de tendresse.
Chemin faisant, il vit le col du Chien pelé.
"Qu'est-ce là ? lui dit-il. - Rien. - Quoi ? rien ? - Peu de chose.
- Mais encor ? - Le collier dont je suis attaché
De ce que vous voyez est peut-être la cause.
- Attaché ? dit le Loup : vous ne courez donc pas
Où vous voulez ? - Pas toujours ; mais qu'importe ?
- Il importe si bien, que de tous vos repas
Je ne veux en aucune sorte,
Et ne voudrais pas même à ce prix un trésor. "
Cela dit, maître Loup s'enfuit, et court encor. -
Marie-France Garaud: Jean Monnet était un agent américain payé pour détruire les nations européennes
Publiée le 11 mai 2013
CSOJ : Marie France Garaud: Jean Monnet était un agent américain... payé par les Américains pour détruire les états européens...
Emission du 10 mai 2013
NB : Informations révélées en 2007 par François Asselineau - Union Populaire Républicaine (UPR). -
Belgique : 7.000 clandestins capturés chaque année pour des faits criminels
15/05/2013 -14h00
BRUXELLES (via le site de Lionel Baland) - Au cours des quatre dernières années en Belgique, 28.412 clandestins ont été capturés pour avoir commis des faits criminels, soit une moyenne de 7.003 par an. Ces personnes viennent principalement d’Algérie, du Maroc, de Roumanie, de Tunisie, des Territoires palestiniens, de Serbie, de Pologne, de Bulgarie et d’Albanie.Les informations fournies proviennent de la réponse à une question parlementaire posée le 17 décembre 2012 par le sénateur du Vlaams Belang Filip Dewinter au secrétaire d’État pour l’Asile et l’Immigration à propos des délits commis par les clandestins. Le secrétaire d’État ne sait cependant pas répondre à la question de savoir combien ont été condamnés en conséquence de ces faits, ni combien ont été expulsés du pays.
Crédit photo : DR
[cc] Novopress.info, 2013. Les dépêches de Novopress sont libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine. La licence creative commons ne s'applique pas aux articles repris depuis d'autres sites [http://fr.novopress.info/]
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Vidéo: le clip des «Français en révolte»
Générique des Français en Révolte ! par actuclipNouvelles de France vous dévoile le clip des « Français en révolte ». Il revient sur les manifestations d’exaspération des Français qui ont lutté contre le «mariage » homosexuel. Manifestants, Campeurs, Hommen, Veilleurs, Salopards… tous se sont mobilisés pour défendre la famille. Une question est alors posée dans le clip : « Combien serez-vous pour sauver le mariage ? ». Une « sortie nationale » est prévue pour les « Français en révolte » le 26 mai prochain. Une vidéo qui en dit long sur les tensions sociales provoquées par le projet de loi Taubira. Un événement Facebook donnant rendez-vous jeudi 16 mai à 19 heures place de la Sorbonne a été créé. Il réunit pour l’instant 756 personnes.
Nouvelles de France
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Le délit d’offense au chef de l’Etat supprimé - Création du crime d'esclavage (moderne) et de servitude
PARIS (Reuters) – Les députés français ont adopté mercredi un amendement abrogeant le délit d’offense au chef de l’Etat deux mois après la condamnation de la France par la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) pour violation de la liberté d’expression.
Les élus du palais Bourbon ont également adopté un amendement créant un crime d’esclavage et de servitude puni de 15 à 20 ans de prison.
Ces amendements ont été votés dans le cadre d’un projet de loi adaptant la législation pénale française à sept textes de l’Union européenne et à diverses mesures de droit international.
Le premier amendement, déposé par la socialiste Marietta Karamanli et adopté à l’unanimité par la commission des lois, abroge le délit d’offense en supprimant un article d’une loi de 1881 sur la liberté de la presse.
« Si le président de la République mérite évidemment le respect de ses concitoyens, une telle disposition dérogatoire au droit commun n’apparaît plus justifiée dans une démocratie moderne », est-il expliqué dans l’exposé des motifs de l’amendement.
Marietta Karamanli juge « parfaitement contreproductive » cette disposition « dans la mesure où l’utilisation de la répression pénale (45.000 euros d’amende) est loin d’être le moyen le plus adéquat pour gagner le respect des citoyens ».
La députée PS rappelle que le chef de l’Etat pourra toujours défendre son honneur s’il s’estime insulté « en ayant recours aux incriminations de droit commun telles que l’insulte publique punie d’une amende de 12.000 euros ».
Le 14 mars dernier, la CEDH a condamné la France pour « violation de la liberté d’expression » pour avoir condamné Hervé Eon qui avait brandi un écriteau sur lequel on pouvait lire « Casse-toi pov’con » lors d’une visite en août 2008 à Laval (Mayenne) de Nicolas Sarkozy, alors chef de l’Etat.
Cette petite phrase avait été adressée par Nicolas Sarkozy lui-même à un inconnu lors d’une visite le 28 février 2008 au Salon de l’agriculture à Paris.
ESCLAVAGE MODERNE
Les députés ont également adopté mercredi en séance publique un amendement de la socialiste Axelle Lemaire qui interdit « l’esclavage moderne » par la création de nouvelles infractions pour « esclavage et servitude ».
L’amendement, qui met notamment la législation française en conformité avec un article de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l’homme, « interdit l’esclavage, la servitude et le travail forcé ».
L’infraction, précise l’amendement, prévoit une peine de réclusion criminelle de quinze ans et une peine de vingt ans en cas de circonstances aggravantes.
Le projet de loi, qui comporte une vingtaine d’articles, et les deux amendements adoptés mercredi, seront examinés le 27 mai par le Sénat.
Le gouvernement ayant décidé d’utiliser la procédure dite accélérée, une commission mixte paritaire (CMP) Assemblée-Sénat sera convoquée dans la foulée afin de mettre au point un texte commun qui sera soumis aux deux assemblées pour son adoption définitive prévue vers la mi-juin.
Le projet de loi porte sur plusieurs sujets, de la traite des êtres humains à la lutte contre les abus sexuels en passant par la lutte contre la violence à l’égard des femmes et le fichier national automatique des empreintes génétiques pour la protection de toutes les personnes contre les disparitions forcées.
Emile Picy, édité par Marine Pennetier
BOULEVARD VOLTAIRE - 15/05/13
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Ce grand nettoyage qui s’impose, par Bruno Gollnisch
Les acteurs de notre Système politique ont décidément perdu tout sens de la mesure et de et de la retenue, mais ne dit-on pas que Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre ? Alors qu’il était annoncé officiellement que notre pays entrait en récession, Pierre Moscovici s’auto-congratulait hier dans Le Monde pour sa premier année passée à Bercy. Le député UMP Sébastien Vialatte se sentait pour sa part obligé de pondre un tweet peu finaud pour faire oublier les propres turpitudes de son parti en avançant que « Les casseurs (du Trocadéro le 13 mai, NDLR) sont sûrement des descendants d’esclaves, ils ont des excuses #Taubira va leur donner une compensation.»
Trop heureux de bondir sur cette diversion et malgré les excuses de M. Vialatte qui s’est immédiatement auto-flagellé pour ce moment d’égarement, le Parti socialiste a demandé à l’UMP « qu’une sanction sévère soit prononcée » contre le député, en raison des « propos nauséabonds et racistes ».
« Ces propos sont inadmissibles. Ils révèlent l’extrémisation d’une certaine droite égarée et perdant tout repère, et sa volonté de remettre en cause le vivre-ensemble au sein de notre société » (sic), ont estimées les socialistes Marc Coatanéa, secrétaire national aux questions de société et Elsa Di Meo, secrétaire nationale aux adhésions.
Pas en reste, la Fondation du Mémorial de la traite des Noirs, établie à Bordeaux, a dénoncé « une insulte inacceptable à la mémoire des victimes de la traites des Noirs et de l’esclavage » ainsi qu’ « une incitation à la haine ». Elle a décidé de porter plainte contre le député auprès de la justice varoise pour « fausse accusation, diffamation et incitation à la haine raciale. »
Le PS et l’UMP se sont accordés pour le coup pour ne pas communiquer sur les derniers déclarations d’un chef rebelle syrien qui a le bon goût d’être dans le camp du bien américano-centré puisqu’il fait la guerre au « régime monstrueux » de Bachar-el Assad, dixit le phare de la pensée Bernard-Henry Lévy et ses disciples MM. Fabius, Juppé, Fillon, Copé et consorts
Dans un vidéo largement diffusée depuis le 12 mai dans le monde entier via les réseaux sociaux, et que même le magazine américain Time affirme être véridique, on aperçoit le chef d’une milice rebelle, Khalid Al-Hamad, mutilant le cadavre d’un soldat syrien fidèle au régime laïc en place pour lui arracher le cœur avant de le manger.
« Moi-même j’ai une autre vidéo (…) J’y découpe un chabih (combattant pro-régime, NDLR) avec une scie. La scie qu’on utilise pour couper des arbres. Je l’ai découpé en petits et en grands morceaux », a encore confessé ce valeureux défenseur des droits de l’homme et de la démocratie au Time.
Autre domaine dans lequel droite et gauche savent se serrent les coudes, celui des « Affaires » sur lesquelles chacun prend bien soin de ne pas trop dénoncer le petit camarade du camp d’en face au nom du « je te tiens, tu me tiens par la barbichette »
L’un des fils de l’actuel ministre des Affaires étrangères, Thomas Fabius, propriétaire d’un appartement estimé à 7 millions d’euros à Paris, est non imposable, puisqu’il qu’il n’a pas de revenus officiels. Son papa affirme ne pas lui avoir donné un sou mais il a tout de même obtenu un prêt bancaire…quand on connaît la difficulté pour de très nombreux Français d’en obtenir un de nos jours.
Cela a tout de même attiré l’attention de Tracfin, l’organisme chargé de la lutte contre le blanchiment et la fraude fiscale…mais curieusement, et cela ne semble pas étonner l’UMP, le ministère des Finances de Bercy n’a pas procédé à un contrôle fiscal de M. Fabius junior qui affirme désormais avoir gagné son argent en jouant…
Au sein du parti de MM. Copé et Fillon, l’ancien ministre Claude Guéant, qui a eu dernièrement des mots peu courtois dans le cortège de la Manif pour tous à l’adresse de la délégation frontiste, défraye lui aussi la chronique depuis plusieurs jours.
Après les factures réglées en liquide, « après les 500 000 euros retrouvés sur son compte en banque et qui proviendraient selon lui de la vente de deux tableaux d’un artiste pourtant évalués à un prix bien moindre, après que la presse ivoirienne a repéré dans son cabinet d’avocats une autre toile, offerte lors d’une visite officielle et qu’il aurait dû restituer en quittant son ministère (…)selon L’Express, M. Guéant aurait (aussi) reçu un autre virement suspect, cette fois de 25 000 euros, en provenance de Jordanie. »
Nous sommes attachés comme il se doit à, la présomption d’innocence et ne doutons pas que M Guéant fournira des explications convaincantes ( ?) pour répondre à cette cascade de « révélations ». Mais force est de constater que si l’adage populaire dit qu’«il n y a pas de fumée sans feu », les nuages s’accumulent au dessus de l’UMP.
Le 15 août dernier, le site Mediapart mettait en ligne à destination de ses abonnés le dernier volet d’une enquête au sujet de ce qu’il considère comme un des plus gros scandales politico-financiers français de ces dernières décennies.
A savoir les interventions de Jean-François Copé, Nicolas Sarkozy ou encore de François Léotard dans l’affaire du financement de la campagne présidentielle d’Edouard Balladur qui renvoie aussi au volet financier de l’affaire de Karachi, parfois appelé également l’affaire Takieddine, du nom de cet homme d’affaires ami de nombreux pontes de l’UMP.
« D’après les derniers développements de l’enquête, la religion du juge semble faite pour ce qui concerne le financement politique » résumait le site Rue 89 : « L’argent, après avoir été blanchi dans une nuée de paradis fiscaux (Luxembourg, Ile de Man, Iles Vierges britanniques, Liechtenstein, Suisse…), provient des commissions occultes des marchés d’armement du gouvernement Balladur avec le Pakistan et l’Arabie Saoudite (…) »
Qu’il nous soit permis de douter une nouvelle fois de la réelle volonté de la classe politicienne de lutter contre les paradis fiscaux! –voir l’article publié à ce sujet sur le site de l’AEMN.
C’est dans ce climat pour le moins délétère que Jérôme Cahuzac envisagerait de se présenter à sa propre succession dans sa circonscription de Villeneuve-sur-Lot, malgré la mise en lumière de son mensonge après la révélation de l’existence d’un compte en Suisse lui appartenant.
Le site du Point a d’ailleurs mis en ligne une liste d’hommes politiques qui ont été réélus malgré leurs démêlés avec la justice, souvent très lourds.
Et de citer notamment le chiraquien Gaston Flosse, Patrick Balkany (UMP), Harlem Désir (PS), Jean-François Mancel (UMP), Jacques Mellick (PS), Pierre Bédier (UMP), Henri Emmanuelli (PS), Alain Juppé (UMP).
Tête haute et mains propres, Bruno Gollnisch constate aussi que les électeurs ont une responsabilité dans la permanence de la corruption et des affaires touchant le monde politique en assurant la réélection des corrompus et la position dominante des partis dont ils sont les représentants. 2014 doit être l’occasion de commencer ce grand nettoyage de printemps dont la France a besoin.
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Après les tableaux flamands, la toile ivoirienne de Claude Guéant
L'ancien ministre aurait conservé une toile d'un grand peintre ivoirien qui lui avait été offerte lorsqu'il était en fonction. C'est la presse ivoirienne qui a découvert l'affaire à la télé, lorsque Claude Guéant a fait visiter son cabinet d'avocats à des journalistes.
Claude Guéant devant le tableau ivoirien de James Houra © Capture d'écran BFM
Décidément, les tableaux ne réussissent pas à Claude Guéant. Après l'affaire des tableaux du Flamand Andries van Eertvelt, l'ancien ministre de l'Intérieur est accusé par la presse ivoirienne d'avoir sur ses murs, la peinture de James Houra. L'artiste est un des peintres les plus célèbres en Côte d'Ivoire. Le pot aux roses a été découvert il y a 15 jours par des journalistes ivoiriens, lorsque Claude Guéant a ouvert son nouveau cabinet d'avocats à des chaînes de télé. Il voulait donner des explications sur les deux tableaux flamands qui intéressent la justice...
Sur les images de l'interview diffusée par plusieurs chaines de télé, on aperçoit sur le mur, derrière l'ancien ministre, un tableau africain naïf et coloré. Vérification faite, ce tableau a été offert au ministre Guéant par le président Ouattara lors d'une visite officielle en 2011.
La presse ivoirienne s'en mêle et retrouve une note adressée par François Fillon à ses ministres en 2007 concernant la gestion des cadeaux offerts par des personnalités étrangères. Elle stipule que tous les cadeaux devront revenir à l'Etat, au service du mobilier national. "Les cadeaux offerts aux membres du Gouvernement ou à leur conjoint, dans le cadre de l'exercice des fonctions gouvernementales" s'adressent à l'Etat, "il est en conséquence normal qu'ils n'entrent pas dans le patrimoine personnel du ministre ou de sa famille" notre le Premier ministre de l'époque.
Contacté par France Info, l'auteur du tableau, le peintre James Houra a indiqué que ses toiles valaient entre 2.500 et 25.000 euros. Un proche de Claude Guéant tente de désamorcer la nouvelle polémique : "Les tableaux de James Houra, ce ne sont tout de même pas les diamants de Bokassa".
FRANCE INFO
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Qui sont les casseurs du Trocadéro ?
47 gardes à vue, aucun "ultra" du PSG. La police travaille désormais sur les bandes de vidéosurveillance.
Deux jours après les incidents qui ont émaillé la célébration du titre de champion de France du PSG au Trocadéro, vient maintenant le temps de l'enquête. Et c'est un long travail d'investigation qui s'annonce pour la police afin de retrouver les auteurs de ces délits. On commence déjà à en savoir plus sur la quarantaine de suspects arrêtés dès lundi soir.
Aucun "ultra" en garde à vue. Mardi soir, ils étaient 47 casseurs présumés à être toujours en garde à vue. Pour la plupart, ces suspects sont âgés d'une vingtaine d'années mais quelques-uns sont mineurs. La moitié d'entre eux réside à Paris et en Seine-Saint-Denis. Les autres venaient pour leur part de la "grande banlieue". Leur point commun : aucun d'eux n'est répertorié comme supporter ultra du PSG. D'ailleurs, une petite majorité n'a même jamais eu affaire à la police jusqu'à présent.
Des polos "tombés" du camion. C'est le cas notamment de quatre adolescents âgés de 13 et 15 ans arrêtés en rentrant chez eux à Noisy-le-Sec. Ils étaient en possession de polo de la marque Abercrombie & Fitch."volés" sur les Champs-Élysées. En réalité, les quatre copains ont expliqué les avoir seulement ramassés dans un carton qui restait sur le trottoir après le pillage d'un camion de livraison de la marque. Leurs parents sont tombés des nues. Résultat : un simple rappel à la loi pour l'un et un stage de réparation pour les trois autres. Le préjudice du pillage du camion pour le fabricant de vêtements a été évalué à 13.000 euros au total.
Portable volé et cartes de presse. Plus loin, à Argenteuil, quatre suspects âgés de 18 à 20 ans ont été arrêtés avec un téléphone portable, volé au Trocadéro à un jeune supporter qu'ils ont roué de coups. Les agresseurs avaient aussi des cartes de presse dérobées à des journalistes.
Long travail sur la vidéo. Manuel Valls l'avait assuré dès mardi dans un communiqué : "tous les moyens d'enquête disponibles seront mis en œuvre dans les jours à venir pour identifier et confondre les casseurs à partir des bandes de vidéoprotection recueillies". Alors, depuis 24 heures, les policiers parisiens du service d'investigation transversale mènent un travail de fourmis : récupérer et décortiquer toutes les vidéos des caméras de surveillance, des magasins ou des distributeurs de billets. Le tout sur un vaste secteur. Le but ? Isoler des visages et identifier des casseurs dans l'espoir d'en retrouver un maximum. Les premières comparutions immédiates devraient avoir lieu mercredi après-midi.
Europe 1 -15/05/13
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Marine Le Pen lie les émeutes et les pillages à la politique d'immigration - 15/05/13
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Printemps français: encore 52 opposants au mariage gay interpellés
Dans la nuit de mardi et mercredi, de jeunes opposants pacifiques au mariage pour tous ont été arrêtés dans Paris après une partie de cache-cache avec les forces de l'ordre pour «manifestation non-déclarée».
Après la «fête gâchée» du PSG, les policiers ont vite retrouvé des cibles plus faciles… Au jeu de la «téléportation pour tous», ils semblent encore plus habiles que les opposants au mariage gay. Ce nouveau concept, imaginé par des jeunes militants ulcérés par le «deux poids-deux mesures» entre les traitements réservés aux «manifestants pacifiques» et aux "hooligans", consiste à scander, dans des endroits fréquentés, des slogans contre la loi Taubira. Quand la police arrive, la bande se disperse, pour se «téléporter», par petits groupes, ailleurs. Dans la nuit de mardi à mercredi, selon la préfecture, «52 personnes sur... une cinquantaine» ont été interpellées pour «manifestation non-déclarée». Sans incident, précise un porte-parole, ni dégradations.
«L'opération a commencé près des Invalides, à la station Varenne, raconte Louis, qui «court plus vite que la police». Des policiers étaient là, visiblement au courant de l'opération, alors certains sont allés à Sèvres-Babylone, d'autres gare de Lyon, et on s'est retrouvés place de Carrousel, entre le Louvre et les Tuileries». Ce conseiller en défiscalisation de 29 ans, qui a déjà été arrêté 9 fois en marge de manif pour tous, a réussi à échapper aux CRS ce soir-là. Mais pas Roch, un étudiant de 21 ans, qui lui «ne faisait que regarder», à l'écart, en parlant avec deux amis. «On a vu des gens courir dans tous les sens, raconte le jeune homme. Moi, je n'ai pas compris pourquoi on m'attrapait et me menottait, mais un CRS m'a dit ‘on vous expliquera ensuite'».
Pas même le temps, pour Roch et ses deux amis, de mettre un antivol sur leurs motos. Au commissariat du XVe arrondissement, ils apprennent qu'ils sont appréhendés pour «participation à une manifestation non autorisée et entrave à la circulation». «Devant mes protestations, poursuit Roch, le capitaine, une femme, m'a dit qu'ils avaient des instructions pour ratisser large, et que je pourrais toujours porter plainte, mais cela n'aboutirait pas…»
«Créer un climat d'insubordination» parmi les policiers
Même mésaventure pour Cyril, un informaticien de 28 ans. «Je buvais un verre après le sport avec cinq amis, indique-t-il. Alors oui, on était en jogging, mais pas de la manif pour tous!». A travers les vitres du bar, ils voient arriver une dizaine de camions de CRS, gyrophares en action. «Ces clients sont sortis au mauvais moment, témoigne José, le patron du Vauban. On a eu beau dire qu'ils étaient restés chez nous à consommer, les six ont tout de même été embarqués». En compagnie de participants à la partie de cache-cache, qui évoluaient aux alentours. «Les agents de police nous ont indiqué qu'ils ne faisaient «qu'exécuter les ordres», rapporte Cyril. Au commissariat, on a passé trois heures. Il n'y a rien de grave en soi, mais on va porter plainte».
Les initiateurs de ce nouveau «jeu de potaches», eux, ne porteront pas plainte pour arrestations abusives. Ils savent très bien qu'en narguant ainsi les policiers, ils risquent de finir au poste. «L'objectif, c'est de provoquer une prise de conscience chez les policiers, explique Louis. Cette nuit-là, nous étions manifestement infiltrés par des policiers en civil n'ayant rien de mieux à faire. Ils ont été jusqu'à envoyer la BAC (brigade anticriminalité) pour courir derrière après une cinquantaine de gamins qui ne commettaient aucune dégradation!» Et selon Louis, «cela commence à marcher». «Les gendarmes et CRS nous disent qu'ils ne nous en veulent pas à nous, mais aux ordres qu'ils trouvent de plus en plus ridicules, affirme-t-il. Certains nous encouragent. On est en train de créer un climat d'insubordination: bientôt, ils diront, «stop! Je pose mon bouclier et je m'occupe des vrais criminels».
Le Figaro - 15/05/13
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PSG: un million d'euros de préjudices en deux nuits d'émeutes à Paris !
50 voitures dégradées, 3 brûlées
Le Figaro a reconstitué la facture des pillages et des violences au Trocadéro et sur les Champs-Élysées.
De 750.000 à un million d'euros de préjudice en seulement deux nuits d'échauffourées à Paris! Le Figaro a chiffré les dérapages de la «fête» pour le titre du PSG dans la capitale, les dimanche 12 et lundi 13 mai.
L'inventaire des dégâts a été fourni par les services municipaux et les élus des arrondissements concernés, après qu'ils ont effectué un recensement des sinistres auprès des riverains, des commerçants et des acteurs publics ou privés concernés par ces débordements.
La liste tient de l'inventaire à la Prévert. «Plus de 15 vitrines de commerces détruites (place du Trocadéro, avenue Kléber et rues adjacentes)»: 150.000 euros de dégâts, «dont 50.000 à 70.000 pour le seul Café Kléber». Auxquels il faut ajouter plus de 50.000 euros de préjudice pour quatre enseignes des Champs-Élysées: Peugeot (25.000 euros), Vuitton, mais aussi Hugo Boss.
Le jardin du Trocadéro saccagé
Dans le XVIe, outre une papeterie et un supermarché Carrefour City, victimes de pillages, deux belles bijouteries de l'avenue Victor-Hugo ont subi des razzias. Coût estimé des vols: 70.000 euros au bas mot.
On a dénombré 50 véhicules dégradés pour une facture prévisible de 150.000 euros, trois voitures brûlées, pour 30.000 euros de plus, sans parler d'une dizaine de scooters, pour environ 20.000 euros.
Le mobilier urbain cassé ou détérioré (bancs, panneaux, grilles de protection des pelouses) coûtera 20.000 euros à remplacer ou à réparer. Le jardin du Trocadéro a été «saccagé, côté Musée de l'homme», aggravant encore la note pour le contribuable parisien. «Peut-être 10.000 euros de réfection», estime un élu. Sans parler du coût de sécurisation des échafaudages autour du Palais de Chaillot. Ces mêmes échafaudages que les casseurs jetaient sur les forces de l'ordre.
Coût médical des blessés
«Songez que la Mairie de Paris avait réclamé aux responsables de la pacifique Manif pour tous la coquette somme de 100.000 euros pour avoir seulement foulé la pelouse du Champ-de-Mars, le 13 janvier dernier!», rappelle un élu UMP de la capitale.
Il faut y additionner les surcoûts liés au ramassage des multiples débris, mais aussi le coût de la sécurité privée qu'il a fallu mettre en place pour parer aux vols après l'événement: 100.000 euros de plus.
Le seul coût estimé dans le XVIe arrondissement de Paris est de près de 500.000 euros. Député UMP de Paris, Pierre Lellouche, élu du VIIIe, livre «l'estimation basse» pour son propre quartier: «250.000 euros sans être exhaustif», confie-t-il, après avoir contacté ses administrés mais aussi le commissariat de police d'arrondissement, aujourd'hui dessaisi du dossier au profit d'un service spécialisé de la Préfecture de police.
Total général pour les deux arrondissements théâtres des émeutes: 750.000 euros. Auxquels il faut encore ajouter le coût médical des blessés (une trentaine), le pretium doloris et les surcoûts d'emploi des forces de sécurité. Car il a fallu ramener jusqu'à 9 unités des forces mobiles pour parer à ces deux nuits de violence.
Les CRS ont un coût que la Préfecture de police n'oublie pas de facturer, notamment aux acteurs des rencontres sportives, quand cela s'impose. Un agent des forces mobiles touche en heures supplémentaires 12 euros de l'heure, au-delà de huit heures de service. S'il est dépêché de province, il faut lui verser également de copieuses indemnités journalières d'absence temporaire (Ijat). La part des traitements et salaires des fonctionnaires et militaires engagés se facturait au taux horaire de 9,10 euros en 2005. In fine, une note à un million d'euros est loin d'être fantaisiste.
Le Figaro - 15/05/13
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Récession: "Le pire est passé" assure Hollande
Le président français s'est montré optimiste sur la conjoncture française, lors de sa visite à Bruxelles, alors que la France est officiellement en récession. Et que l'agenda de réformes piétine aux yeux de Berlin et Bruxelles.
François Hollande ne s'est pas laissé impressionner par les mauvais chiffres de la croissance française, tombés mardi, jour de sa visite à Bruxelles, où il rencontrait le collège des Commissaires pour défendre son agenda de réformes. «La récession est confirmée mais tous les États membres sont touchés» s'est défendu le président français, rappelant que l'Allemagne n'affichait qu'une croissance de 0,1% au premier trimestre, après une chute de PIB de 0,7% fin 2012. Autrement dit: la première économie de la zone euro n'aura échappé à la récession que de justesse…
«En 2013 la croissance sera nulle en France, mais elle sera sans doute inférieure dans le reste de l'Europe», a ajouté le président français, qui n'aime pas s'entendre dire que la France est aujourd'hui le «malade de l'Europe»
«Nous avons passé le moment le plus difficile» , a assuré François Hollande , à propos des mauvais chiffres du premier trimestre. «Il y a urgence à agir, et mon objectif c'est de relancer la croissance», a martelé le chef de l'État. François Hollande a promis à la Commission européenne, qu'il mettrait à profit les deux ans de délais accordés par la Commission pour réformer la France. C'est là qu'il est le plus attendu, notamment à Berlin.
José Manuel Barroso a estimé qu'en matière de compétitivité, il y avait «urgence», car la France devait «rattraper vingt ans de retard». Mais la France ne semble pas prête à se faire dicter le rythme des réformes par Bruxelles, ni par Berlin.
«Sur les réformes, nous faisons notre travail, au bon rythme», a assuré François Hollande. «Nous devons réduire notre écart de compétitivité avec l'Allemagne», a-t-il ajouté, rappelant, au passage, que «l'Allemagne avait mis des années à se réformer». Et de citer: les réformes à venir des retraites, des allocations chômage et de la formation professionnelle. «Mon objectif c'est de maintenir le sérieux budgétaire, et de réformer, pour être compétitif et relancer la croissance», a-t-il assuré à la Commission.
«La France a l'ambition et les moyens d'accomplir les réformes crédibles», a estimé José Manuel Barroso, visiblement convaincu par le plaidoyer pro-européen de François Hollande. «En juin, je tâcherai aussi de convaincre Angela Merkel», a ajouté le chef de l'État, conscient que c'est surtout, à Berlin, que le bât blesse…
Le Figaro - 15/05/13
NdB: Quel enfumage ! C'est honteux de tromper ainsi les Français!
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Valls "fragilisé" par les casseurs...
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Le footballeur Loïc Rémy en garde à vue pour une afffaire de viol collectif à Londres
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L'inquiétante montée des actes anti-chrétiens
Communiqué de Marion Maréchal Le Pen, Député du Vaucluse
L’insupportable agression dont a été victime un moine de la communauté Saint Jean lundi 13 mai en Avignon est symptomatique de l’ «ensauvagement » galopant dont souffre notre société.
Aujourd’hui après l’apparition d’un racisme anti-blanc nié par le Gouvernement, une nouvelle forme de discrimination est en train de prendre une ampleur tout aussi inquiétante: la haine anti chrétienne.
Ces comportements menacent directement l’un des fondements de la République, à savoir la liberté de culte. J’aimerais que M. Valls, si prompt à condamner les dégradations de mosquées ou « l’islamophobie », fasse également son travail à l’égard de la communauté chrétienne.
Je ne peux que m’indigner d’attaques aussi virulentes au sein même de la cité des Papes. Elles traduisent le mépris et le rejet de notre culture par certains jeunes issus de l’immigration, dépourvus des codes sociaux les plus élémentaires, le plus souvent Français, et qui ne se reconnaissent pas dans notre nationalité mais s’identifient à une forme d’Islam radical.
15/05/13
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Avignon - Un religieux tabassé par la racaille dans l’indifférence générale
15 mai 2013Lundi soir, vers 20 heures à Avignon, le père Grégoire de la communauté de Saint-Jean a été agressé « en pleine rue, par quatre voyous d’origine nord-africaine. Tabassage en règle, fracture du nez, perte de connaissance, nuit à l’hôpital ». Le religieux, qui était en habit, a été trouvé inconscient sur le sol.
Aucun titre dans la presse. L’information laisse les médias indifférents. Leur attention se concentre ailleurs en effet : sur les actes dits « homophobes ». Une attention qui a des visées idéologiques puisqu'elle a pour but de disqualifier la mobilisation des opposants au « mariage » gay, avec lesquels les médias font systématiquement le lien. Monter en épingle des faits divers, leur associer des perspectives politiques ou sociétales, susciter une émotion, nourrir et favoriser ainsi l’amalgame… Bref, les médias français sont passés maîtres dans l’art d’ériger des lois générales à partir de faits singuliers. On imagine déjà les centaines de milliers de familles qui ont défilé dans la rue, armées de battes de baseball pour faire la peau aux homos. Mais bien sûr…
En attendant, les journaleux sont bien peu émus de ce que les hommes d’Église se fassent tabasser par la racaille. S’il s’était agi d’un rabbin ou d’un imam tabassé par des crânes rasés, il est plus probable que cela eût séduit la presse. Mais il était blanc et catholique, il n’appartenait à aucune « minorité » (pas encore…), donc il lui restait le droit de fermer sa gueule…
Contre-info.com
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Le député socialiste Galut nous prend pour des cons
Yann Galut, « Socialiste républicain et citoyen », député PS du Cher, signe sur twitter une grosse blague même pas drôle : « Les casseurs du Trocadéro sont les anciens ultras du PSG qui sont liés aux nationalistes et aux extrémistes de Droite… » Pour vous, lecteurs de Contre-Info, et en exclusivité, nous avons retrouvé l’étendard des nationalistes "français", brandi au Trocadéro :
Monsieur Galut, les personnes qui brandissent ainsi leur drapeau sont sans doute nationalistes, mais ce ne sont sûrement pas des nationalistes français…
Contre-info.com - 15/05/13
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La France est entrée en récession