Y a quelqu'un qui m'a dit… par Europe1fr
Beurk!
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Y a quelqu'un qui m'a dit… par Europe1fr
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Hongrie. Selon Libération de vendredi, « près de » 250 000 « partisans de la droite populiste (en fait conservatrice, ndlr) au pouvoir » ont défilé jeudi à Budapest pour la fête nationale avant d’écouter un discours de Viktor Orbán prononcé place du Parlement. Évoquant devant une foule aux couleurs magyares (rouge, blanc et vert) des héros comme Sándor Petőfi, le poète inspirateur du nationalisme hongrois, le Premier ministre a insisté sur l’indépendance et la fierté de son pays. « Nous ne serons pas une colonie », a-t-il averti, des fois que Bruxelles écouterait aux portes… 2 000 partisans de la droite polonaise avait également fait le voyage, motivés par notre confrère conservateur Gazeta Polska. Un vieux proverbe ne dit-il pas « Hongrois et Polonais sont frères, ils se battent et boivent ensemble » ?
Côté opposants, rapporte Libé, 40 000 personnes se sont rassemblées séparément à l’appel d’un groupe né sur Facebook, un peu trop ambitieusement nommé « Un million pour la liberté de la presse »… Représentant le Parti socialiste européen et François Hollande, Harlem Désir a fait son intéressant et dénoncé un « gouvernement ultra-autoritaire » (mais qui laisse ses opposants manifester) ainsi qu’« une complicité coupable de la part du Parti populaire européen et de l’UMP qui continuent à soutenir Viktor Orbán » (qui ne font en fait rien d’autre que de respecter le choix du peuple hongrois aux dernières élections).
Nouvelles de France
Vincent Mongaillard | Publié le 17.03.2012, 10h26
Le Parisien
John Demjanjuk, ancien gardien de camp d'extermination, condamné en 2011 à cinq ans de prison, est mort ce samedi.
La police allemande a annoncé ce samedi la mort de John Demjanjuk à 91 ans dans une maison de retraite de la région de Rosenheim, en Bavière. L'ancien gardien de camp d'extermination avait été condamné en 2011 à cinq ans de prison. La justice allemande avait estimé qu'il avait bien été gardien au camp de Sobibor en Pologne où sont morts plus de 27.000 personnes. Son procès qui s'est achevé en mai 2011 fut l'un des derniers procès des crimes nazis, avec celui du Hongrois Sandor Kepiro, à Budapest. Il avait toutefois remis en liberté, Demjanjuk ne représentant aucun danger et ne risquant plus de se soustraire à la justice, en raison de son âge et de son statut d'apatride qui l'empêchait de quitter l'Allemagne.
Ancien ouvrier automobile aux Etats-Unis, né en Ukraine, il avait reconnu avoir été capturé par les Allemands en 1942 alors qu'il servait dans l'Armée rouge. Il avait assuré avoir été transféré d'un camp de prisonniers à un autre jusqu'à la fin de la guerre. Puis, il avait été recruté pour travailler comme garde et transféré dans le camp SS de Trawniki, dans le sud-est de la Pologne, avant de partir pour Sobibor.
Pendant son procès, l'accusation se fondait sur une carte d'identité verte de SS émise à Trawniki d'un Ukrainien nommé Ivan Demjanjuk, avec une photo en noir et blanc qui ressemble indiscutablement à ce qu'il a dû être jeune homme. Sur cette même carte, un revolver fumant indiquerait son transfert de Trawniki à Sobibor au printemps 1943. Les avocats de Demjanjuk ont clamé qu'il s'agissait d'un faux et affirmé qu'il n'était ni à Trawniki, ni à Sobibor. Ce procès hautement médiatique n'était pas le premier pour Demjanjuk. En 1986, il fut jugé à Jérusalem, accusé d'avoir été « Ivan le Terrible », un garde ukrainien du camp de Treblinka (est de la Pologne) réputé pour sa cruauté. Condamné à mort en 1988, il fut libéré 5 ans plus tard lorsqu'il apparut qu'un autre homme était « Ivan le Terrible ».
Demjanjuk avait alors regagné sa banlieue de Cleveland, la ville de l'Ohio (nord des Etats-Unis) où il s'est installé en 1952 et a élevé trois enfants. Mais après des informations attestant qu'il avait été garde dans un autre camp, il fut déchu de sa nationalité américaine en 2002 pour avoir menti sur son passé lors de sa demande d'immigration. Les Etats-Unis voulaient l'expulser, mais aucun pays n'en voulait. Jusqu'à ce que l'Allemagne décide de le poursuivre. Après une véritable bataille judiciaire, il fut expulsé en mai 2009 vers Munich où il avait vécu après la guerre.
La ville de Montauban est toujours sous le choc après l'assassinat en pleine rue de trois militaires, jeudi à Montauban. L'enquête progresse et on sait qu'il s'agit de la même arme qui avait tué un autre militaire à Toulouse.
Qui en veut aux militaires dans la région de Montauban ? Pourquoi un tel acte ? Y-a-t-il un seul et même tireur ? Alors que l'émotion est toujours vive à Montauban, les enquêteurs cherchent toujours à savoir ce qui s'est passé jeudi. Quatre jours plus tôt à Toulouse, un autre militaire avait déjà été tué. Ce que l'on sait désormais, c'est que dans les deux cas, il s'agit de la même arme, un 11,43, un calibre apprécié dans la grande criminalité. Le tireur a agi en plein jour et en pleine rue avant de prendre la fuite en deux-roues. Il a exécuté de sang-froid ses victimes : un soldat de 30 ans du 1er Régiment du train parachutiste de Francazal (Haute-Garonne) et deux hommes de 24 et 26 ans du 17e Régiment de génie parachutiste. Un troisième parachutiste âgé de 28 ans atteint à Montauban est entre la vie et la mort.
Le meurtrier - puisqu'on recherche plutôt un seul et même homme même s'il a pu bénéficier de complicités - est aujourd'hui traqué par cinquante enquêteurs et tous les services de police judiciaire. « Un lien de connexité indiscutable est établi entre les deux affaires. Il est possible de dire que la balle tirée à Toulouse et les balles tirées à Montauban proviennent d'une seule et même arme », a dit le procureur de Toulouse, Michel Valet, devant la presse. Le recours à la même arme, la similitude des modes opératoires, la fuite sur des scooters de grosse cylindrée de couleur sombre, l'appartenance de toutes les victimes aux paras ont convaincu la justice de dessaisir Montauban et de regrouper les deux procédures à Toulouse, a-t-il dit.
Mais pourquoi le tireur, habillé en noir et casqué, a-t-il vidé son arme jeudi à Montauban sur trois parachutistes qui retiraient de l'argent à un guichet à deux pas de leur caserne ? Treize douilles selon le procureur, 17 selon des enquêteurs, et un chargeur ont été retrouvés sur place. Selon des témoins, le tueur a écarté une personne âgée pour ne pas la blesser. Selon d'autres témoignages encore, il a retourné l'une des victimes qui rampait et lui a logé trois balles supplémentaires. Selon le ministre de l'Intérieur Claude Guéant, le chargeur retrouvé sur les lieux du crime a été « nettoyé » de toute empreinte par son utilisateur.
Puis il s'est enfui sur un puissant scooter en se désintéressant de l'argent. Montauban sous le choc essayait de comprendre. Crime de droit commun ou acte politique visant « le 17 », unité qui a été déployée en Indochine, Algérie, au Liban et dernièrement en Afghanistan ? Le procureur refusait de considérer une autre similitude entre les victimes: les trois morts sont d'origine maghrébine. Le blessé est noir. « Pour moi, j'ai quatre citoyens français qui ont été victimes dans cette affaire et je m'en tiendrai là », a-t-il dit.
Sinon, aucune hypothèse n'est écartée, par exemple celle d'un règlement de comptes, a-t-il dit, même si les victimes étaient toutes de « très bons citoyens » dont un seul s'était signalé par un excès de vitesse. A priori, les paras de Montauban et Toulouse ne se connaissaient pas. Ils ont eu des parcours militaires très différents, a dit le procureur: certains ont été déployés sur des théâtres extérieurs, l'un en Afrique, un seul est allé en Afghanistan, d'autres ont effectué la plus grosse partie de leur carrière en France.
Marine Le Pen : "si je suis venue ici c’est pour... par BFMTV
17/03/12
En meeting à Ajaccio, samedi 17 mars, Marine Le Pen a tenu à s'adresser à "l'âme corse" mais aussi aux militants nationalistes indépendantistes insulaires. Dans un développement assez inhabituel au Front national, avec, en fond sur la tribune, le drapeau corse et deux drapeaux français, la candidate du FN a loué, en conclusion de son discours, "les valeurs ancestrales qui sont aussi les valeurs primordiales de notre civilisation".
Mme Le Pen a voulu parler "à ce peuple français, corse, qui lui n'a pas oublié l'importance et la valeur fondamentale de la famille (...) qui a su préserver sa forte identité empêchant ainsi de sombrer dans une uniformisation culturelle mondialiste encouragée par l'oligarchie."
Celle qui se présente volontiers comme "jacobine", a même eu un mot pour les indépendantistes : "Je voudrais m'adresser aussi à ceux qui ont pensé que la France était leur ennemi. (...) Je leur dit que tout en réprouvant la violence viscéralement, je peux comprendre que la déception envers l'Etat ait pu à un moment les détourner du patriotisme national. C'est une erreur."
"AIDEZ-NOUS À CONSTRUIRE NOTRE DESTIN COMMUN"
Le FN est peu implanté en Corse, même si en 2002 l'extrême droite (FN et MNR mégrétiste) avait atteint plus de 17 % au premier tour de l'élection présidentielle. Avec un discours orienté sur l'identité - ce qui lui permet d'accrocher les wagons de la dénonciation de l'Union européenne et de l'immigration - elle entend conquérir un nouvel électorat. Comme lorsqu'elle affirme, qu'"à travers la préservation de sa langue et de sa culture, la Corse est entrée en résistance contre la culture mondialiste". Puis de continuer : "Je voudrais dire à tous les Corses que la France aime tous ses enfants, que nous allons vous aider à construire votre région mais aidez-nous à construire notre destin commun".
La prétendante à l'Elysée promet ainsi la mise en place de programmes d'enseignement "incluant l'apprentissage du territoire dans lequel nous vivons" tout comme la mise en place d'un institut national de préservation du patrimoine. Toujours dans cette entreprise de séduction des Corses, Marine Le Pen a même terminé son discours non seulement par la traditionnelle Marseillaise, mais aussi par l'hymne insulaire, Dio vi Salvi Regina. Du jamais vu pour un meeting du candidat du FN à la présidentielle. En tout cas, la présidente du Front national n'a pas convaincu les quelques indépendantistes de Scelta Para - mouvement très peu connu qui se présente comme de "gauche" et "révolutionnaire" -, venus protester devant le Palais des congrès d'Ajaccio, contre la venue de la candidate.
Abel Mestre
L'intervention de Marine Le Pen samedi 17 mars était aussi marqué par une ligne très dure envers l'islam. Elle est ainsi revenue sur la viande halal, affirmant que "50 % de la viande abattue en France" était halal et avançant que ce mode d'abattage représentait un danger sanitaire. "Deux rapports de l'Union européenne et un de la Cour des comptes en 2008 évoquent les dangers de ce type d'abattage sur la sécurité alimentaire", évoquant un "risque de contamination par la bactérie E-coli - bactérie qui a fait 48 morts en Europe ces dernières années. On va continuer à nous cacher cela ?" Le sujet du halal est toujours un succès dans un meeting du Front national. L'un de ces thèmes qui "chauffent les militants", comme celui, samedi qui, lorsque le sujet était abordé criait "Au bûcher !" puis "On l'étourdit, Sarkozy !"
Le Monde - 17/03/12
Les débats de la présidentielle du 16 mars 2012 par franceinter
16/03/12
Posté par NP Info Franche-Comté le 17 mars 2012
Lorsque les élus UMP agissent, ils s’efforcent toujours de récidiver et de le faire contre l’expression du peuple. C’est dans le Jura qu’il y a eu le plus honteux déni de démocratie cette semaine.
Dimanche dernier 11 mars 2012, la municipalité a organisé un « vote citoyen » pour que les habitants de la commune de Saint-Julien-sur-Suran s’expriment pour ou contre la construction d’une prison expérimentale de nouvelle génération, sans portes, totalement ouverte vers l’extérieur, surnommée « la prison Botton », du nom de son concepteur, Pierre Botton, cet homme d’affaires connu pour son ascension fulgurante et son soutien à la carrière politique de son beau-père le RPR Michel Noir dans les années 1980 puis pour ses démêlés judiciaires dans ce qui sera appelée l’« affaire Botton » dans les années 1990. Condamné à la prison pour abus de biens sociaux, il œuvre aujourd’hui à une « amélioration » (sic) des conditions pénitentiaires…
54 % des électeurs ont voté CONTRE ce projet de prison Botton. Aussi, le Conseil municipal en a pris bonne note … puisqu’il s’est réuni dans la semaine pour statuer POUR !
Hélène Pélissard, conseillère générale UMP et porteuse du projet n’y va pas par quatre chemins sur France 2. L’UMP de Sarkozy délivre encore une fois un message clair, concernant sa perception de la démocratie. Que ce dernier s’exprime ou pas, le résultat sera toujours le choix du plus fort. Même Enver Hoxha, Staline, Mao, Pol Pot et autres grands « démocrates » de cet acabit n’y avaient pas pensé…
En 2012, un seul choix s’impose : le projet de bon sens de Marine Le Pen qui s’engage à respecter scrupuleusement et sans condition, la voix du peuple de France. A Saint-Julien-sur-Suran, le peuple votera Marine Le Pen sans concession au premier et au second tour.
Le site, voisin de la porte de Brandebourg, est l'un des plus visités de la capitale fédérale. Selon les tests effectués par des ingénieurs, 14% des 2.711 blocs qui le composent présentent un risque d'effondrement dû à des fissures. Ils seront renforcés à l'aide de colliers en acier.
La conception et la construction du site a donné lieu à de multiples controverses. Le chantier a notamment été suspendu en 2003 lorsqu'il est apparu que Degussa, fournisseur de la peinture antigraffiti, appartenait au groupe qui fabriquait le gaz utilisé dans les camps d'extermination.
16/03/2012
16/03/2012
Lire l'article: http://www.slateafrique.com/84079/traite-mabanckou-tabou-africain-esclave
SlateAfrique - 16/03/12
Assises "La France en danger" — Yves-Marie Laulan par Agence2Presse
Le 10 mars 2012 à Paris, intervention d’Yves-Marie Laulan, démographe, lors des Assises “La France en danger” organisées par l’association Nationalité, Citoyenneté et Identité, présidée par Catherine Blein.
La carrière d’Yves-Marie Laulan, universitaire de longue date à Sciences Po, à l’université de Paris II, mais aussi à l’ENA et à l’École supérieure de guerre, l’a amené dans des horizons très divers. Après un passage dans les cabinets ministériels au temps du général de Gaulle, il a occupé le poste de haut fonctionnaire international à l’Otan pendant la Guerre froide. Il a également assumé les fonctions d’économiste en Afrique au service du développement durable et de banquier attaché au crédit social au service des plus déshérités. Par ailleurs, il est fort d’un engagement actif dans la vie associative en faveur des jeunes.
Il est l’auteur d’une bonne quinzaine d’ouvrages, dont plusieurs ont été primés, ainsi que de centaines d’articles dans la presse française ou étrangère. Mais n’évoquer que sa carrière bien remplie serait oublier un autre parcours : celui d’alpiniste de haut niveau, qui compte une tentative d’ascension de l’Everest en hiver ainsi que des expéditions au Groenland et au mont Kenya entre autres.
Yves-Marie Laulan est aujourd’hui consultant et président de l’Institut de géopolitique des populations.
Crédit photos : Novopress, licence CC.
[cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [http://fr.novopress.info/]
16/03/12
16/03/12