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GAELLE MANN - Page 1270

  • Masochisme colonial français... masochisme colonial allemand... - Par Bernard Lugan

    Le "politiquement correct" frappe également en Allemagne où l’équivalent du « massacre des Algériens » le 17 octobre 1961, est la guerre des Herero, ce conflit qui ensanglanta le Sud-Ouest africain, l’actuelle Namibie, au tout début du XX° siècle.

    Le 11 janvier 2004, pour le centenaire du début de la guerre, M. Wolfgang Massing, ambassadeur d’Allemagne à Windhoek, exprima ses regrets « pour la conduite de l’armée allemande à l’égard du peuple herero ». Depuis, tous les superlatifs ont été employés, certains allant jusqu’à parler de « génocide ».
    Or, dans cette affaire, l’acte d’accusation contre l’Allemagne est un montage datant de la Première guerre mondiale quand Français et Britanniques qui avaient besoin d’arguments « moraux » pour s’emparer de ses colonies, accusèrent l’Allemagne d’avoir failli à son « devoir de civilisation » en prenant pour exemple la manière avec laquelle elle avait réduit la révolte des Herero.
    .
    Le dossier passait totalement sous silence les actes atroces commis par les révoltés: familles de colons massacrées, torturées, les femmes violées puis dépecées vivantes sous les yeux de leurs enfants, les hommes émasculés puis éventrés... Le « traitement » que les Herero réservèrent à certaines femmes allemandes tombées vivantes entre leurs mains mérite d’être décrit : suspendues par les pieds à un arbre, jambes écartées, elles furent éventrées et éviscérées, comme des bêtes de boucherie… Ensuite, à ces mêmes arbres, les Allemands pendirent ceux qui s’étaient rendus coupables de ces meurtres abominables. Alors que nous n’avons que des témoignages concernant les premiers crimes, les exécutions judiciaires furent quant à elles photographiées et les clichés ensuite utilisés par la propagande alliée pour « démontrer » la « culpabilité coloniale allemande » (die koloniale Schuldluge).

    Pour la gauche allemande et pour les Eglises qui soutiennent son combat, tous les militaires qui participèrent, de près ou de loin, à la guerre des Herero sont par définition des criminels. Y compris Paul Emil von Lettow-Vorbeck (1870-1964), légendaire officier colonial qui devrait pourtant figurer au Panthéon des gloires allemandes.
     
    En 1904, il servait comme capitaine au Sud-Ouest africain quand il fut blessé au visage lors d'un engagement contre les Herero. Commandant les forces d’Afrique orientale durant le premier conflit mondial, il résista jusqu’après l’Armistice de 1918. Au mois de mars 1919, il rentra en Allemagne où il fut accueilli en héros, paradant triomphalement sous la Porte de Brandebourg. Il reçut ensuite le commandement d’une division de la Reichwehr avec laquelle il intervint à Hambourg en soutien du corps franc du capitaine de corvette Hermann Ehrhardt et contre l’insurrection communiste. Là est peut-être la vraie raison de la haine que lui portent aujourd’hui les héritiers des spartakistes.
    Impliqué dans le putsch de Kapp, il fut mis à la retraite sans pension. Elu député du Parti National allemand en 1929, il siégea au Reichstag jusqu'en 1930, puis il écrivit ses Mémoires, voyagea en Europe et fut chaleureusement reçu en Grande-Bretagne. En 1935, il refusa le poste d'ambassadeur à Londres qu'Hitler lui proposait.
     
    La Seconde Guerre mondiale terminée, il subit une épuration aussi injuste qu’infondée. Privé une nouvelle fois de sa retraite, il fut contraint de s’employer comme jardinier. Quand il apprit le sort indigne qui était réservé à son ancien valeureux adversaire durant la campagne d’Afrique orientale, le maréchal Smuts, organisa une souscription à laquelle participèrent nombre d’officiers britanniques et sud-africains qui firent publiquement part de leur méprisante indignation aux autorités allemandes.
    En 1953, à l’invitation du Colonial Office, Paul von Lettow Vorbeck entreprit un voyage dans l'ancienne Afrique Orientale allemande. A Dar es Salam, lorsqu’il se présenta à la coupée du navire, la fanfare des King’s African Rifles joua en son honneur la marche de la Schutztruppe, le fameux Heia Safari, pendant que plusieurs centaines de ses anciens askari ayant revêtu leur tenue militaire lui faisaient une ovation. Il mourut à Hambourg le 9 mars 1964, à l'âge de 94 ans.

    Aujourd’hui, en Allemagne, les quatre casernes de la Bundeswehr qui portaient le nom de Paul Emil von Lettow Vorbeck, à Brême, à Bad Segaberg, à Hambourg-Jenfeld et à Leer ont été débaptisées, de même que plusieurs rues. Des ouvrages indigents et d’une rare malhonnêteté intellectuelle ont été publiés afin de salir sa mémoire.
    Mais que pèsent la petitesse et la bêtise face au mythe ? Le Heia Safari résonne en effet encore du Kilimandjaro à la Rufidji, portant les échos d’une Europe simplement endormie et dont le réveil sera douloureux pour les hypnotiseurs vicieux qui pensent la tenir définitivement en leur pouvoir.

    Pour tout connaître de la colonisation allemande, de la guerre des Herero et du premier conflit mondial en Afrique, voir le livre de Bernard Lugan Cette Afrique qui était allemande, 268 pages, cartes, cahier photos. Offre spéciale 30 euros franco de port.
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    - Par chèque à : Bernard Lugan, BP 45, 42360 Panissières


    Bernard Lugan
    28/02/2012

  • 110 000 patriotes russes manifestent à Moscou pour soutenir Poutine

    Posté par le 4 mars 2012

     

    Quelque 110.000 personnes se sont rassemblées sur la place du Manège dans le centre de Moscou pour exprimer leur soutien au premier ministre et candidat à la présidentielle 2012, Vladimir Poutine, a annoncé la police de la capitale.

    « D’après les données disponibles à 21h50 (heure de Moscou) le meeting de soutien à Vladimir Poutine a réuni plus de 110.000 personnes », a annoncé la source.

    D’après les organisateurs, 15.000 manifestants devaient prendre part au rassemblement.

    L’élection présidentielle s’est tenue en Russie dimanche 4 mars. Le scrutin s’est achevé à 17h00 UTC, avec la fin du vote à Kaliningrad. D’après les résultats préliminaires publiés par la Commission électorale centrale, Vladimir Poutine, mène la course présidentielle avec 61,77 % des suffrages.

    Source : RIA Novosti

  • Marine Le Pen "rêve de Marseille sans règlements de comptes"- Les Marseillais lui font un triomphe !

    Publié le dimanche 04 mars 2012 à 16H11

     

    Environ 3000 personnes étaient réunies cet après-midi au Parc Chanot de Marseille pour assister au meeting de la candidate du Front National. Retrouvez les temps forts de son discours

    A la fin du meeting, Jean-Marie Le Pen est venu féliciter sa fille et saluer le public.

    Photo Thierry Garro

    16h57 : Le candidate du FN a conclu son discours en s'écriant : "Le peuple abandonne le sortant parce que le sortant a oublié le peuple. Et le peuple est le seul espoir de la France !". Jean-Marie Le Pen est alors venu embrasser sa fille sous les acclamations du public, avant d'entonner "La Marseillaise". "Vive Marine, vive la France !", a lancé l'ancien président du parti devant des centaines de drapeaux tricolores et sous les "Marine presidente" brièvement chantés par les militants. Gilbert Collard, présent au meeting, n'a pas pris la parole.

    16h42 : Marine Le Pen poursuit son message sur "l'autorité" en évoquant "l'importance de restaurer celle des professeurs, le "maître" qui ne doit pas avoir honte de gifler un enfant qui ne le respecte pas". "Famille et école doivent aller dans le même sens pour le bien de nos enfants. Sinon, la France sombrera dans la tyrannie", martèle-t-elle en citant Platon. "Mai 68 fut une catastrophe à tous ces niveaux", condamne-t-elle.

    16h35 :
    "J'écoute Sarkozy faire les même promesses qu'en 2007 et je rajeunis de cinq ans à chaque fois que je l'écoute", se moque la candidate frontiste, évoquant "l'énorme fil blanc avec lequel il essaye de recoudre sa réélection", sous les huées du public qui est progressivement monté en puissance. Elle se gausse des "flotteurs de l'UMPS" , à l'instar du "travailler plus pour gagner plus" de Nicolas Sarkozy et de la promesse de François Hollande d'embaucher 60 000 fonctionnaires.


    16h28 :
    La présidente du FN insiste sur la disparition des remises de peine, en cas d'élection en mai prochain : "10 ans, c'est 10 ans", assène-t-elle. Les délinquants étrangers devront effectuer leur peine à l'étranger et "sans espoir de retour", car la "trahison de la confiance mise en eux serait trop lourde". Marine Le Pen lâche même : "Et pourquoi pas une double peine ?". Enfin, elle précise que les juges ne doivent devenir que "les esclaves de la loi", être libérés des influences syndicales et politiques. Ils devront aussi pouvoir être "responsables individuellement en cas de faute".

    16h11 :
    Marine Le Pen place comme prévu l'insécurité au centre de son discours : "Partout en France, ce sera "tolérance zéro", assure la candidate frontiste, qui condamne l'économie parallèle de la drogue et se pose en défenseur des forces de l'ordre. Elle déclare vouloir "aggraver les peines pour toute agression" et supprimer toute "prestation sociale aux récidivistes délinquants".

    15h54 :
    La candidate frontiste hausse le ton : "Vous, Marseillais, vous en savez quelque chose. Marseille est le symbole de l'échec de Sarkozy sur l'insécurite. Où est-il, le Kärcher ?", ironise-t-elle sous les cris approbateurs des partisans. Marine Le Pen a fait "un rêve" : "Celui de ne plus voir Marseille en proie aux pires règlements de comptes. Ras le bol des zones de non-droit. La République doit récupérer chaque mètre carré perdu. Le FN parle peu mais fera beaucoup", assène-t-elle.

    15h41 : Marine Le Pen a débuté son meeting en lançant un "Moi aussi Marseille, je t'aime !", dans une ambiance assez calme. Le présidente du Front National se déclare "candidate de l'ordre républicain, de l'autorité publique légitime contre l'anarchie, la loi des bandes et des banques et la violence". "Car une société sans autorité se délite", poursuit-elle.

    15h25 : Environ 3000 personnes sont réunies au Parc Chanot de Marseille pour assister au meeting de Marine Le Pen, qui doit débuter aux alentours de 15h30. La candidate du Front National à l'élection présidentielle, qui ne disposerait toujours pas de ses 500 signatures, présentera un peu plus en détails son programme électoral.

    La Provence - 04/03/12

  • Vladimir Poutine retrouve son fauteuil au Kremlin avec 61,80 % des voix

    Publié le 4 mars 2012 à 18h23Mis à jour le 4 mars 2012 à 18h58

     

    L'opposition a déjà prévu une nouvelle manifestation dès lundi. © REUTERS

    Comme attendu, il serait dispensé de second tour. L'opposition dénonce un scrutin "de voleurs".

    Sans surprise, Vladimir Poutine a remporté dimanche l'élection présidentielle russe dès le premier tour. Il aurait obtenu 61,8% des voix, selon des résultats partiels. Les résultats officiels du scrutin seront diffusés lundi.

    L'actuel chef du gouvernement russe, déjà président de 2000 à 2008, est donc élu pour un mandat de six ans.

    "Une élection de voleurs"

    "C'est une élection de voleurs, absolument malhonnête et indigne", a réagi le candidat communiste à la présidentielle russe, Guennadi Ziouganov, tandis que l'opposant libéral Vladimir Rijkov jugeait que "pas un paramètre ne permet de considérer cette élection comme légitime".

    L'issue du scrutin laissait peu de place au doute. Tous les observateurs estimant que ce "simulacre d'élection" – selon l'expression de la politologue Hélène Blanc au Figaro – assurait à Vladimir Poutine, au pouvoir depuis 2000, de retrouver le fauteuil qui était le sien au Kremlin.

    Dmitri Medvedev Premier ministre annoncé

    En 2008, à l'issue de ses deux mandats légaux, Vladimir Poutine avait, en effet, abandonné son siège… en y plaçant Dmitri Medvedev, son fidèle lieutenant. Lequel fit aussitôt appel à lui pour prendre la tête du gouvernement.

    Avant même l'élection, Vladimir Poutine avait fait savoir que Dmitri Medvedev deviendrait son Premier ministre.

    Le scrutin a été dénoncé par l'opposition, Vladimir Poutine ayant bénéficié dans sa campagne du soutien de tous les médias d'Etats et organes du pouvoir.

    Une manifestation est déjà prévue lundi

    L'opposition craint que le pire soit à venir : de nombreux activistes de l'opposition redoutent un changement d'attitude du Kremlin après les élections et le début d'une répression à grande échelle. L'ancien maître-espion du KGB a fermement démenti ces rumeurs : "et pourquoi le ferais-je ? Pourquoi ces craintes, alors que nous faisons exactement l'inverse ? Nous n'avons rien prévu de tel", a-t-il martelé. Il a, toutefois, refusé de répondre favorablement à la tenue de législatives anticipées.

    Après les manifestations sans précédent de décembre et février visant à dénoncer des fraudes présumées lors des législatives de décembre et la mainmise de Poutine sur le pays, l'opposition a déjà prévu une nouvelle manifestation dès lundi.

    Europe1 - 04/03/12

  • Marine Le Pen: "Pour la France l'heure est grave" - 04/03/12

    Lire l'article + 2 vidéos: 

    http://provence-alpes.france3.fr/info/presidentielle2012/pour-la-france-l-heure-est-grave-marine-le-pen-72780098.html

     

    A Marseille, pour les Marseillais, un discours merveilleux et bouleversant, le plus beau peut-être de Marine Le Pen ! Nombreuses ovations du public, 4000 personnes au Parc Chanot !

     

  • Meeting de Marseille: Marine Le Pen tacle Sarkozy !

    Chiffre réel : 4000 personnes au meeting!

    Enfin des images!

  • Marine Le Pen ovationnée par 3000 personnes à Marseille !

    Le 4 mars 2012 à 16h20

     

     

    La candidate du FN à la présidentielle, Marine Le Pen, a demandé dimanche, lors de son meeting de Marseille, "où est le Kärcher" promis par Nicolas Sarkozy pour lutter contre l’insécurité et a promis la "tolérance zéro", devant une salle de 3.000 personnes pleine à craquer.

    Dans un discours axé sur l’autorité, la leader frontiste a moqué "ces ministres et présidents" qui viennent "pleurer des larmes de crocodile" dans la cité phocéenne, à la veille d’une visite de Claude Guéant, ministre de l’Intérieur.

    "Où est-il le Kärcher, ou est-elle la lutte promise contre la violence ?", a-t-elle lancé, avant de promettre la "tolérance zéro" et plusieurs mesures sécuritaires déjà évoquées durant la campagne.

    "Plus aucune prestation sociale ne sera versée aux récidivistes délinquants et aux criminels, j’en prends l’engagement devant vous", a-t-elle promis, suscitant une ovation de ses sympathisants.

    Refusant toute remise de peine —"lorsque la condamnation est de 10 ans, elle est de 10 ans—, Marine Le Pen a aussi proposé que "les délinquants étrangers effectuent leur peine dans leur pays d’origine".

    "Double peine ? Oui ! Une peine pour le délit commis et une peine pour cette trahison" à "l’hospitalité" de la France, a-t-elle déclaré.

    Alors qu’elle évoquait les peines de prison, un groupe de sympathisants dans le public a lancé : "A Cayenne ! A Cayenne ! A Cayenne !".

    Marine Le Pen a poursuivi son discours en estimant "impossible d’assimiler une immigration aussi massive que celle que nous vivons depuis maintenant des décennnies".

    LCP

  • Saint-Mitre-les-Remparts: des tags racistes anti-Français

    Publié le dimanche 04 mars 2012 à 12H44

     

    Quelque 70 tags à connotation islamiste ont été retrouvés sur les murs de Saint-Mitre-les-Remparts.

    Photo Serge Guéroult

    Difficile d'y échapper, tant ils polluent visuellement le paysage : hier matin, le haut de Saint-Mitre-les-Remparts s'est réveillé avec quelque 70 tags racistes, écrits sur les murs d'édifices publics ou des habitations privées, manifestement vendredi en fin de soirée en un laps de temps record et par un petit groupe très mobile, circulant peut-être en scooter. Un choc pour une population paisible, pas habituée à ces agissements mais qui, pourtant, a su faire preuve de discernement, qu'elle soit directement affectée ou non.

    Si elle n'aura spontanément échappé à personne, la dimension "anti-Français" et "islamiste" des inscriptions, truffées de fautes d'orthographe, a été généralement relativisée par des habitants qui, lucides, se rappellent être en période électorale, propice à toutes les manipulations. En venant de Martigues, une fois le panneau d'entrée "Saint-Mitre" dépassé, certains des slogans déployés sur les murs de villas donnent la nausée, entre injures et vulgarité. En montant vers la poste, l'interpellation, par bombe de peinture interposée, fait clairement référence à de récents propos nationaux sur la nourriture hallal.

    Même sur le camion-pizza

    Stationné en permanence devant le centre sportif René-Jauras, le camion-pizza Lola en a aussi fait les frais. "C'est dégueulasse, lâche Bruno, son propriétaire, qui tente en vain d'effacer l'inscription "Pizz Halal sa paye plus !" C'est mon outil de travail, j'ai pas que ça à faire. Au-delà d'une réaction un peu facile, on se demande bien qui a intérêt à faire ça en ce moment".

    Plus loin, Arthur, un paisible retraité, passe du dissolvant sur son portail blanc où est écrit "Algérie NLF". Ce que lui inspire ce geste ? "Ça m'inspire que la France est mal barrée, sourit-il. J'ai découvert ça en sortant ce matin pour aller faire mes courses. NLF, c'est pas FLN à l'envers ? On va essayer de réparer ça sans trop faire de dégâts. En tout cas, ils ont dû s'amuser avec tout ce qu'ils ont eu le temps d'écrire", lâche-t-il, philosophe, en riant.

    "Hallucinant !"

    En descendant vers le vieux village, on croise l'inscription "St Mitre = facho". Rien n'est moins sûr, à l'image d'Anthony, un jeune homme déjà occupé à repasser de la peinture fraîche sur le mur de sa maison, en bas de la rue du Moulin Rout, où le mot "Algeria" et le symbole du drapeau du pays ont été étalés. Un voisin, juste en face, ouvre sa fenêtre et lui lance, grinçant : "Alors, Antho, on sort les fusils ?". Et le jeune homme, prenant plutôt les choses avec ironie, de lui répondre : "Ben là, on sort déjà les pinceaux. Mais c'est quand même hallucinant..."

    La boulangerie Au fournil provençal n'a pas été épargnée, son véhicule utilitaire, garé devant, ayant lui aussi été tagué du mot "Algérie" sur le côté, vitre passager comprise : "Ça sent plus la manipulation électorale qu'autre chose", analyse pourtant avec calme Alexis, le boulanger. L'hyper-centre, en revanche, à l'image de la mairie ou de la Manare, a évité les souillures : "Apparemment, les fautifs connaissaient les quatre endroits où il y a des caméras de surveillance à Saint-Mitre. C'est en tout cas ce qu'a relevé la police municipale", souligne le commandant Eric Laizé, de l'hôtel de Police de Martigues, tandis que l'enquête ne fait que commencer.

    La Provence

  • Holocauste et libre recherche: les tabous sont toujours là

    Le français Paul-Eric Blanrue est à son tour poursuivi en justice par la LICRA (ligue « antiraciste » et antifrançaise) pour son film documentaire sur le professeur Faurisson, au motif de « contestation de crimes contre l’humanité ».

    Aux États-Unis, un candidat républicain au Congrès défraye la chronique pour avoir déclaré haut et fort que « l’Holocauste n’a jamais eu lieu ». Arthur Jones (Illinois, 3e district) a ajouté que ce « n’est rien de plus qu’un racket international organisé par les juifs ».

       Source & détails.

     

    Contre-info.com - 03/03/12

     

  • Exclusivité - Le gouvernement italien rouvre Lampedusa à l'invasion migratoire

     

    Exclusivité : le gouvernement italien rouvre Lampedusa à l’invasion migratoire
     
     
    03/02/2012 – 21h30
    LAMPEDUSA (NOVOpress) — Incendie du centre d’accueil par les Tunisiens, scènes de guérilla dans l’île, le maire assiégé dans l’hôtel de ville par les autochtones exaspérés et contraint de mettre en sourdine son immigrationnisme, la coopérative « Lampedusa accueil », qui avait copieusement fait son beurre de l’invasion, réduite à licencier son personnel, et pour faire bonne mesure sans le payer : on en était resté là cet automne dans le feuilleton de Lampedusa.île avait été déclarée port non sûr et les garde-côtes italiens, qui continuaient imperturbablement à ramasser des clandestins en haute mer, s’étaient mis en novembre à les remorquer jusqu’en Sicile. L’hiver était alors survenu et, la navigation devenue trop difficile, l’invasion, du moins maritime, s’était interrompue. Situation évidemment très préoccupante pour le gouvernement de la Goldman Sachs, pour qui l’accueil des « migrants », comme ils disent, est une priorité.
     
     Le ministre de l’Intérieur, Annamaria Cancellieri, s’est donc rendue vendredi matin à Lampedusa. Elle était accompagnée, pour que les choses soient bien claires, du ministre de la Coopération internationale et de l’intégration sociale, le catho-communiste Andrea Riccardi, fondateur de la communauté mondialiste Sant’Egidio, dévot de « l’esprit d’Assise » et partisan déclaré de l’importation de toujours plus d’immigrés pour « rajeunir le pays ». Les deux ministres sont allés visiter le centre d’accueil brûlé par les Tunisiens pour vérifier que tout avait été remis en état.

    « Il est nécessaire, ont-ils déclaré ensemble, de ne pas être pris au dépourvu ». En six mois l’année dernière, plus de 50 000 immigrés avaient débarqué à Lampedusa depuis l’Afrique du Nord. Avec l’arrivée du printemps et du beau temps, les « charrettes de la mer » pourraient recommencer à affluer – fuyant ou prétendant fuir le nouveau gouvernement libyen comme celles de l’année dernière fuyaient le vilain Kadhafi.

    « Nous espérons, a poursuivi le bon apôtre Riccardi, qu’il n’y aura pas de nouvelle urgence migratoire mais nous devons être prêts, pour qu’elle ne nous prenne pas par surprise ». Pour finir sur une touche larmoyante, les deux ministres se sont ensuite rendus au cimetière « pour rendre hommage aux tombes des migrants morts durant la traversée du canal de Sicile et ensevelis sur l’île ».

    Comme pour répondre à cet appel – ou faut-il dire cet appel d’air ? – les débarquements ont repris à Lampedusa précisément le lendemain. Samedi peu après 12h30, sont arrivés sur l’île 69 « réfugiés », qui avaient été repérés alors qu’ils se trouvaient à un demi-mille des côtes et que la capitainerie du port s’est hâtée d’aller chercher. L’agence ANSA parle seulement de « réfugiés », mais sa consœur Adnkronos précise qu’il s’agit de « réfugiés subsahariens »

    Photo : été 2011, les vedettes des garde-côtes italiens amarées à Lampedusa. Crédit : Nicola Licata via Flickr (cc)

    [cc] Novopress.info, 2012, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
  • Abattage rituel: pas de débat à l'Assemblée sur la traçabilité !

    Alors que Nicolas Sarkozy s’est prononcé aujourd’hui lors d’un meeting à Bordeaux en faveur d’un étiquetage précisant les méthodes d’abattage…

    Pour la seconde fois en moins d'un an et demi, les députés UMP ont dû renoncer à débattre de l'étiquetage des viandes abattues en France. Cette fois, c'est une proposition de loi déposée le 21 février par Françoise Hostalier (UMP) qui a fait les frais des réticences du gouvernement : la députée du Nord a retiré son texte, jeudi 1er mars. Comme son collègue Nicolas Dhuicq en 2010, Mme Hostalier souhaitait que soit précisé sur les emballages si l'animal avait été tué "après étourdissement" ou "sans étourdissement", cette dernière pratique correspondant aux rites juif et musulman.

    Au nom de la "souffrance animale, de la traçabilité, de l'hygiène et de la laïcité", Mme Hostalier voulait "mettre les choses au clair". "Il est normal que le consommateur sache ce qu'il achète et qu'il ait le choix", insiste la députée, qui souligne le développement de la viande halal, et sa présence dans la filière classique.

    Cette préoccupation, récurrente chez un certain nombre de députés, a été reprise par Marine Le Pen le 19 février. "Alors que j'y travaille depuis plusieurs mois, la proposition de loi a été concomitante avec la polémique lancée par le Front national", regrette Mme Hostalier. L'UMP lui a fait comprendre qu'il ne fallait pas donner "l'impression d'embrayer sur le discours du FN". Une offensive du parti majoritaire aurait aussi pu brouiller le message du ministre de l'agriculture, Bruno Le Maire, qui vient de publier un décret destiné à limiter les abus de l'abattage rituel. Enfin, le calendrier électoral tuait dans l'oeuf toute discussion.

    Ce mauvais timing ne suffit pas à expliquer que Mme Hostalier ait retiré son texte, comme l'avait fait avant elle M. Dhuicq. Le gouvernement ne tient pas à une discussion sur l'étiquetage et l'a fait savoir plusieurs fois, y compris au niveau européen. Le ministère de l'agriculture a récemment rappelé qu'il ne souhaitait pas "stigmatiser" les communautés concernées.

    Interrogé par Mme Hostalier en février 2011, le secrétariat d'Etat au commerce répondait : "Le gouvernement français n'est pas favorable à la mention obligatoire de l'abattage sans étourdissement, (...) qui pourrait stigmatiser des pratiques ayant des fondements relatifs à la liberté religieuse et serait de nature à déstabiliser les marchés de la viande de manière durable."

    "PRESSIONS DE L'INDUSTRIE"

    Dans ce contexte, certains députés évoquent, sous couvert d'anonymat, les "pressions des religieux ou de l'industrie agroalimentaire". Mme Hostalier ne nie pas des pressions. "De peur d'être taxés de racisme ou de colonialisme, nous sommes idéologiquement paralysés", assure M. Dhuicq.

    La communauté juive - davantage que la communauté musulmane, divisée sur ce sujet - ne cache pas son opposition à un étiquetage jugé "stigmatisant, restrictif et susceptible d'avoir des conséquences sur l'approvisionnement et le coût de la viande". Ses responsables s'efforcent à un "dialogue constructif" avec les députés, selon le conseiller du grand rabbinat de France, le rabbin Bruno Fiszon, qui conteste aussi la dénonciation de la "souffrance animale" accolée à l'abattage rituel.

    S'ils sont réélus, M. Dhuicq et Mme Hostalier assurent qu'ils reviendront à la charge. "Aucun gouvernement n'échappera à cette problématique", prédit aussi Lionnel Luca, l'un des 38 signataires du texte de Mme Hostalier.

    Stéphanie Le Bars

    Le Monde - 03/03/12

     

  • Guéant, les étrangers, la délinquance... Mais de qui et de quoi parle-t-il ? (Interview)

    Vendredi soir en meeting près de Nancy (Meurthe-et-Moselle), le ministre de l’Intérieur Claude Guéant a associé dans son discours "la délinquance" et "les étrangers" et ce, chiffres à l’appui : "Il y a 5,8 % d'étrangers en France alors que 13 % des condamnations concernent les étrangers", a-t-il soutenu. D’où viennent ces chiffres ? Sont-ils "justes" ? Quelle est la réalité de la délinquance "étrangère" ? Laurent Mucchielli, sociologue, directeur de recherches au CNRS, répond aux questions de "France-Soir".

     Claude Guéant à Velaine-en-Haye (Meurthe-et-Moselle), vendredi 2 mars
     

    France-Soir Que pensez-vous des chiffres avancés par le ministre de l’Intérieur qui assure que « les étrangers » sont plus condamnés que le reste de la population ? D’où proviennent ces chiffres ?
    Laurent Mucchielli Ces chiffres ne sont que la justification d’une stratégie politicienne et en rien l’expression du réel.
    Ces chiffres sont ceux de la police, ceux du « fichier Etat 4001 ». Ce sont les chiffres fournis par les services de police, de gendarmerie et la préfecture de police de Paris, qui comprennent les crimes ou délits portés à la connaissance de ces services ou découverts par ceux-ci. Ça n’est qu’une partie du réel mais ça n’est pas « le » réel. La grande majorité de la réalité échappe à cette comptabilité.

    "Ces chiffres servent le pouvoir politique au moment opportun"

    D’autant que l’on sait que – puisque l’on parle des étrangers ici – que ceux-ci sont davantage ciblés par l’action policière pour « faire du chiffre » – intensifié par le phénomène du « contrôle au faciès » – et que ceux-ci sont écrits d’avance. On dit à tel ou tel service de façon claire et écrite de « rapporter » un certain nombre d’infractions du terrain, d’aller chercher tant d’étrangers en situation irrégulière pour pouvoir ensuite présenter les bons chiffres en matière de reconduite à la frontière par exemple… Eh oui parce que le seul fait d’être un étranger en situation irrégulière fait de vous un « délinquant » en France.
    Cela fait quarante ans que le problème se pose sur la solidité de ces chiffres qui servent le pouvoir politique au moment opportun, que l’on arrange et que l’on politise au lieu d’avoir des évaluations techniques justes avec un classement scientifique.

    "L'échelle régionale est pertinente pour étudier les phénomènes de délinquance"

    F. –S. Y a-t-il un moyen de connaître « réellement » la réalité de la délinquance ?
    L. M. Il n’y a à l’heure actuelle aucun moyen indépendant aucun outil scientifique piloté par des chercheurs pour évaluer les réalités de la délinquance. En région PACA j’ai créé l’Observatoire régional de la délinquance et des contextes sociaux (ORDCS) dans un cadre universitaire avec un Conseil scientifique de 8 membres dont 6 personnalités du monde universitaire et scientifique, un commissaire de police et un magistrat. Une organisation indépendante et régionale parce que c’est la bonne échelle pour étudier ces phénomènes complexes. La « délinquance » à Marseille n’a évidemment rien à voir avec celle qui a lieu dans la campagne bretonne…

    "L’ONDRP est complètement affidé au pouvoir"

    F. –S. Il y a pourtant l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) qui existe et présente des rapports annuels à l’échelle nationale ?
    L. M. L’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP) n’a aucune indépendance vis-à-vis du pouvoir politique, comme par ailleurs du pouvoir économique… Cette instance n’est pas reconnue par le monde la recherche. Son dirigeant est nommé par le Président de la République ! En 2000, Lionel Jospin avait commandé un rapport à deux députés, un de droite et un de gauche, pour mettre fin à la polémique sur ces chiffres et aborder avec sérieux ces questions. Il en ressortait la nécessité d’une instance indépendante… Trois ans plus tard Nicolas Sarkozy est ministre de l’Intérieur et créé l’ONDRP qui est complètement affidé au pouvoir.


    F. –S. Comment Claude Guéant peut-il alors présenter ces chiffres sur les étrangers ? Les statistiques ethniques ne sont-elles pas interdites ?
    L. M. Sur les fiches de police on inscrit trois caractéristiques qui « sortent » : l’âge, le sexe et la nationalité. C’est sur cette base qu’existent ces chiffres présentés.

    "Est étranger celui qui ne possède pas la nationalité française. Ça fait du monde"

    F. –S. Qui sont les « étrangers » dont parle le ministre de l’Intérieur Claude Guéant ?
    L. M. C’est la question. De qui parle Claude Guéant ? Qui désigne-t-il ? Les immigrés ? Les Français d’origine étrangère ? Est étranger celui qui ne possède pas la nationalité française. Ça fait du monde. Il n’y a pas que les migrants, il y a donc aussi les touristes et ceux qui séjournent temporairement sur le territoire.

    "Le Qatari qui rachète le PSG...est étranger aussi"

    F. –S. Il y aurait donc une « diversité » ?
    L. M. Oui ! Que je sache tous ne sont pas délinquants ! « Les étrangers » ça ne veut rien dire. Il y a ceux, discrets, qui vivent dans les beaux quartiers et sont conduits dans des luxueuses berlines Mercedes derrière des vitres fumées et il y en a d’autres plus visibles qui sont dans la rue – dont la figure caricaturale est le roumain. La population « des étrangers » est extrêmement variée, elle va du Qatari qui rachète le PSG au passager clandestin qui vient de débarquer à Marseille faisant la manche sur le Vieux Port. On voit bien qu’il n’y a pas d’unité. En réalité les problèmes sont infiniment plus complexes il y une réelle diversité à faire comprendre. La « population étrangère » ça n’existe pas c’est une construction mythique. Comme si il y avait les Gaulois et les Barbares…

    "Il faut réfléchir aux mots utilisés par les politiques"

    F. –S. Et pour ce qui est de la délinquance ?
    L. M. C’est pareil pour « la délinquance ». Qu’est ce que cela veut dire ? Rien. Il n’y a pas « une » délinquance. On ne peut pas mesurer « la délinquance » parce qu’il n’y a aucun rapport entre un vol de carte bleue et le séjour irrégulier sur le territoire.
    Ce n’est pas sérieux d’utiliser les mots comme cela sans prendre du recul. Il ne faut pas accepter ces abus de langage, le faire c’est accepté d’être infantilisé par les pouvoirs publics.

    "Le discours de Claude Guéant est xénophobe"

    Par contre on peut mesurer d’autres choses. Des choses précises et concrètes parce qu’il y a des activités précises et concrètes. Le vol par exemple. Il y aussi le proxénétisme ou le trafic de stupéfiants. Sur chacun de ces phénomènes on devrait pouvoir appliquer indépendamment des autres phénomènes nos connaissances, avec les bons indicateurs et les dernières évolutions des recherches menées pour comprendre ces réalités et lutter contre. Cela exige des techniciens, des scientifiques indépendants des pouvoirs politiques.
    Il faut réfléchir aux mots utilisés par les politiques – comme « la délinquance » ou « les étrangers » ici – parce que ceux-ci disent tout et n’importe quoi et sont utilisés à des fins électorales. Le discours de Claude Guéant est xénophobe et vise, en période de crise, à ratisser les voix du Front national pour le premier tour de l’élection présidentielle. C’est assez clair, non ?

     

    France-Soir - 03/03/12

  • Marseille: le gérant d'une discothèque tué par balles - Guéant attendu lundi

    Publié le samedi 03 mars 2012 à 09H47

     

    Le gérant de l'établissement est mort une heure après s'être fait tirer dessus, malgré les multiples tentatives de réanimation des marins-pompiers.

    Photo Cyril Sollier

    Mise à jour : 11H01

    Un homme de 49 ans, gérant du Taxi Brousse, un restaurant-discothèque afro-antillais située au Panier, rue de l'Observance (2e) à Marseille, est décédé ce matin vers 5h s'être fait tirer dessus une heure plus tôt. A l'origine, le videur de l'établissement avait refusé l'entrée à deux clients.

    L'un des deux a alors sorti une arme de poing de gros calibre et a tiré trois fois à travers la porte d'entrée, atteignant le gérant à l'abdomen. L'homme est mort une heure après, malgré les multiples tentatives de réanimation des marins-pompiers.

    Claude Guéant attendu lundi

    Ce nouveau meurtre arrive un jour seulement après le double homicide survenu dans la nuit de jeudi à vendredi dans la cité Air-Bel. Un jeune homme de 26 ans, cible d'un tireur armé vraisemblablement d'un fusil d'assaut de type Kalachnikov, et une femme de 42 ans, "victime collatérale", ont été tués dans un local associatif de la cité du quartier de La Pomme (11e).

    Ces décès interviennent alors que le ministre de l'Intérieur Claude Guéant est attendu lundi pour un bilan, six mois après la nomination du préfet délégué à la sécurité Alain Gardère.

     

    La Provence - 03/02/12

  • En meeting à Bordeaux, Sarkozy plagie sans vergogne Marine Le Pen !

    "Notre système d'intégration ne fonctionne plus. Il est submergé", a lancé samedi le candidat UMP Nicolas Sarkozy, en meeting à Bordeaux.

     
    Le candidat UMP Nicolas Sarkozy en meeting à Bordeaux samedi

    « Notre système d'intégration ne fonctionne plus. Il est submergé », a lancé samedi Nicolas Sarkozy, en meeting à Bordeaux. Dès lors, « nous devons réduire le nombre des arrivées sur notre territoire. Il n'y a pas d'autre choix possible ».

    « La République ne peut accueillir dignement que si elle n'est pas submergée par une immigration incontrôlée », a insisté le candidat UMP. « Pourquoi ne pas reconnaître que l'immigration peut être aussi un problème. Pourquoi mentir? (…) Ne pas le reconnaître, c'est cacher la vérité aux Français ». Pour Sarkozy, « il faut contrôler l'immigration pour qu'elle soit compatible avec nos capacités d'accueil » et « même avec l'équilibre de notre protection sociale ».

    Pour l'étiquetage des viandes halal

    Revenant sur la polémique autour de la viande halal lancée par la candidate du FN Marine Le Pen, Sarkozy a « condamné les polémiques offensantes qui blessent inutilement », tout en « reconnaissant à chacun le droit de savoir ce qu'il mange ». Il a donc prôné « l'étiquetage des viandes en fonction de la méthode d'abattage ».

    De même, il s'est opposé à des cantines halal, dans une allusion à la polémique lancée par des propos de son ministre de l'Intérieur Claude Guéant la veille: la laïcité doit selon lui s'appliquer dans les cantines scolaires, et « je m'opposerai à toute évolution qui irait dans un sens contraire ». « Il n'y a pas de place dans République pour la xénophobie », et « le racisme » mais pas non plus « pour des piscines où il y aurait des horaires pour le femmes et des horaires pour les hommes », a-t-il martelé.

     

     France-Soir - 03/03/12
  • Libye post-Kadhafi: des islamistes vandalisent un cimetière militaire de la Seconde Guerre Mondiale et s'attaquent à la croix !

    Leur façon de remercier l'OTAN !

    Vidéo pénible à regarder, mais il faut le faire tout de même.