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GAELLE MANN - Page 1375

  • Le retour de Bruno Gollnisch à Lyon III

    14/09/11

  • Talence: le MRAP veut poursuivre en justice le Bloc Identitaire

    14/09/2011 – 09h58
    BORDEAUX (via
    Info Bordeaux) — Décidément, il ne fait pas bon s’opposer à la construction de mosquée dans la région. Les plaintes des ligues de vertus se multiplient. Après la Licra et Sos-Racisme qui portent plainte contre les auteurs d’une vidéo jugée « islamophobe », c’est au tour du Mrap d’entrer dans la course.

    Le Mouvement contre le racisme et pour l’amitié entre les peuples (MRAP), connu pour sa proximité avec la gauche et l’extrême-gauche, a annoncé sur son site internet qu’il allait poursuivre en justice le Bloc identitaire.

    « Suite à la diffusion d’un tract ordurier diffusé dans les boîtes à lettre de la ville de Talence et visant les musulmans, le MRAP s’associe à l’indignation du Maire de la ville, du Conseiller Général, et des responsables musulmans stigmatisés.

    Ce tract s’inscrivant dans les campagnes ordurières du Bloc identitaire menée sur l’agglomération bordelaise – notamment par de faux appels du muezzin – constitue une incitation à la haine raciale. Il est reproduit et approuvé sur les sites internet de la nébuleuse identitaire.

    Le terreau de la haine entretenu en toute impunité par les diverses variantes de la droite extrême ne peut que conduire au pire, l’exemple norvégien en atteste.

    Le Maire de la ville a déposé plainte pour incitation à la discrimination et à la haine raciale en raison de l’appartenance à un groupe religieux. Le MRAP entend aussi poursuivre en justice les auteurs de ce tract et le Bloc identitaire Aquitaine qui relaie les mêmes appels à la haine sur internet ».

    Reproduit avec l’aimable autorisation de info-bordeaux.fr

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Lieberman met vivement en garde contre la reconnaissance d'un Etat palestinien

    Lire l'article: http://fr.euronews.net/2011/09/14/lieberman-met-vivement-en-garde-contre-un-etat-palestinien/

    + VIDEO

    14/09/11

     

  • Rumeurs d'alliance Bloc Identitaire/Front National : Fabrice Robert répond à Minute

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    (Cliquez sur la photo)

    14/09/2011 – 19h00
    PARIS (NOVOpress) -
    Depuis samedi dernier, les rumeurs bruissent d’une alliance entre le Front national et le Bloc Identitaire. On évoque même le ralliement de certains cadres identitaires au FN. Fabrice Robert, dans un entretien accordé à l’hebdomadaire Minute donne son point de vue.

    Fabrice Robert a d’abord indiqué, au sujet du retrait de la candidature d’Arnaud Gouillon à la présidentielle : Ce n’est pas un échec, car la logique électoraliste n’est pas au cœur de la démarche politique du Bloc. (…) Sur le plan pratique, nous ne renonçons que pour des raisons financières, mais, en quelques mois, en faisant avec les moyens du bord, nous avons réuni 76 promesses de signatures: c’est autant que le NPA d’Olivier Besancenot. Pour une petite structure comme le BI, c’est franchement une belle victoire !”

    Le président du Bloc Identitaire insiste également sur la primauté de l’action dans la rue : “Nous voulons surtout développer notre mouvement au niveau de la base. Nous allons prochainement lancer une nouvelle vague d’actions, sur le modèle de l’apéro saucisson-pinard ou des Assises de l’islamisation…(…) Sans nous, Marine Le Pen ou les députés de la Droite populaire n’auraient jamais abordé ce cas concret d’islamisation. Nous préférons empêcher la création d’une mosquée que faire 2 % à une élection ! Nos actions futures vont encore créer le débat et faire bouger les choses. C’est ça, notre vrai objectif.”

    Revenant plus précisément sur l’idée que le retrait du candidat identitaire de la présidentielle aurait été négocié avec le FN, Fabrice Robert affirme : “Je vous garantis qu’il y a eu des éclats de rire, à notre université d’été, lorsque nous avons eu vent de cette rumeur. Il n’y a pas d’accord avec le Front. Nous travaillons sur le terrain depuis huit ans, en toute indépendance. Ce n’est pas pour négocier quelques petites circonscriptions… D’autant, je le répète, que les élections sont un domaine secondaire de notre action. Et quels que soient nos accords ou contacts éventuels – aussi bien avec Jacques Peyrat, à Nice, pour les dernières cantonales, que, dans le futur, avec d’autres partenaires – notre action est soumise à un impératif : nous ne changeons pas d’un iota  l’ADN identitaire. Dans le cadre d’une alliance électorale, le Bloc identitaire est à prendre à 100 % ou à laisser.

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine 

  • Rétrospective des agressions et des meurtres commis à l’encontre des militants du FN entre 1978 et 1995 - Avignon: l'assassinat de Françoise Combier, une affaire oubliée

    (source Le racisme anti-français, Henri de Fersan) :

    Les assassinats :


    Depuis 1978, 15 militants du Front National ont été assassinés. Certaines années noires verront plusieurs morts : trois en 1985, 1988 et 1994, deux en 1986 et 1995. Dans la plupart des cas, les assassins ont été acquittés, quand la police s’est donnée la peine de les rechercher .

      - Le 18 mars 1978, à Caudebec-en-Caux (76), François Duprat, vice-président du Front National, est assassiné. Son épouse Jeannine est grièvement blessée.

     

        - Le 13 mars 1985, en Guadeloupe, le restaurant du responsable frontiste Jean-Claude Muller est la cible d’un attentat à la bombe: trois morts et huit blessés graves.

     

        - Le 5 mars 1986, à Beaucaire, Patrick Dhaine est massacré à coups de bouteille par des “jeunes” pour avoir déclaré «le vote Le Pen». Le 19 mai 1986, sept “jeunes” attaqueront la maison de son beau-frère, M. Dextera, où s’étaient réfugiés Sylvie Dhaine, sa veuve, licenciée à cause de cette affaire, et son enfant de 2 ans. À noter le comportement si chrétiennement charitable de l’évêque local, Monseigneur Cadilhac, qui refusera que la cérémonie d’enterrement ait lieu à l’église.

     

        - Le 9 mars 1986, rue Hoche à Saint-Gilles (30), Pierre Fouchard est assassiné par Saïd Sacem, qui sera laissé en liberté provisoire.

     

        - En mars 1988, à Tours, une personne âgée de 82 ans sera assassinée par les hyènes à la sortie d’un meeting du Front.

     

        - En juin 1988, à Thio (Nouvelle-Calédonie), Albert Sangarté est tué à coups de machette par des terroristes du F.L.N.K.S. lors de l’assaut mené par les Kanaks contre la ferme de Marcel Dubois. Ses assassins seront acquittés.

     

        - Le 31 octobre 1989, Avignon. Françoise Combier, 44 ans, femme d’élu (son mari est conseiller municipal FN), est assassiné par Mohammed Mettellaoui. Elle avait résisté à une tentative de viol. Mohammed Metallaoui qui avait également violé une jeune fille de 20 ans et agressé deux femmes, était défendu par Maitre Gilbert Collard. Ce dernier a demandé «un verdict qui ne soit pas une déferlante de sévérité, mais un instant de justice de France qui n’en fait pas trop, pour un homme qui est le symbole de l’immigration qui fait peur». II sera condamné à 20 ans de prison.

     

        - Le même mois, Steve Taillepied, 25 ans, est volontairement renversé par une voiture à la sortie d’un meeting à Rouen. Il sera tué sur le coup.

     

        - En juin 1994, à Saint-Maur-des-Fossés (94), Aurélien Mathieu, 17 ans, responsable du FNJ, est tué par un revendeur de drogue.

     

        - En mai 1995, à Andrézieux-Bouthéon (42), un colleur d’affiches du Front National est tué par une voiture qui le renverse. Le conducteur prend très exactement neuf mois avec sursis. Cependant, on ne lui a pas décerné la Légion d’honneur.

     

      - Le 9 août 1995, à Toulon, Jean-Claude Poulet-Dachary, adjoint au maire de Toulon (FN), est assassiné dans la cage d’escalier de son domicile d’un coup de barre de fer en pleine tête.
        Lire la suite (agressions) :

    http://lyon.novopress.info/2543/lyon-une-bagarre-qui-tombe-a-point-nommer/

      NOVOpress Politique - 13 avril 2007
  • Cuincy - Le restaurant scolaire confronté à sa première crise sur fond de doléances religieuses

    mardi 13.09.2011, 05:10- La Voix du Nord

     Un nouveau logiciel installé à la rentrée permettra d'adapter le service aux régimes des enfants. Un nouveau logiciel installé à la rentrée permettra d'adapter le service aux régimes des enfants.

     CUINCY 

    Tout a commencé lundi dernier, le jour de la rentrée scolaire. À la cantine, ...

     

    des enfants ne mangent pas les raviolis au boeuf servis. Après l'école, cinq mamans musulmanes découvrent que leurs enfants (sept) ont juste une pêche dans le ventre. Deux d'entre elles appellent le responsable de L'Auberge verte, le restaurant scolaire. Le ton monte. S'en suit une rencontre avec l'adjoint de Cuincy, mais elle n'apaise pas totalement la situation. Mme Al Haddadi explique que leurs enfants mangent uniquement de la viande halal. Elle demande à ce que lorsque le menu prévoit de la viande, celle-ci soit remplacée par un oeuf ou du poisson « comme c'était le cas l'an dernier, quand Sin-le-Noble préparait le repas, pendant les travaux de rénovation de L'Auberge verte ».

    Pourtant Michel Delamotte, est formel. « La prestation était identique à la nôtre. Le porc était remplacé, mais pas les autres viandes », assure-t-il. La liste des menus, préparée à l'avance, permet d'informer les parents de ce qui sera servi, mais la cantine est soumise à certains aléas. « Ça dépend des arrivages ou des effectifs. » Le jour de la rentrée est souvent plein de surprise. C'est pourquoi le menu de lundi a été modifié. Celui qui est aussi le gestionnaire de la cantine reconnaît les propos vifs, mais il affirme que Mme Al Haddadi aurait fait feu la première. « Quand on s'en prend à la collectivité, je m'emporte », s'excuse-t-il.

    Le responsable explique que, pour l'instant, le restaurant ne peut pas répondre aux demandes d'aménagements de régimes. « Il faudrait plus de personnel, plus de matériel... Nous servons entre 500 et 520 couverts chaque jour. Et il y a une quarantaine de petits musulmans. En vingt ans, il n'y avait jamais eu de problème. » Alain Carlier, le directeur général de services de Cuincy, confirme les propos de Michel Delamotte. « Nous avons modifié le fonctionnement de la cantine cette année. Avant, nous utilisions des tickets. Les enfants ne s'inscrivaient pas et les donnaient à chaque passage. Maintenant, il faut s'inscrire 15 jours à l'avance. »

    Nouveau système

    En parallèle, la cantine teste un logiciel. Une fois opérationnel, il permettra de connaître assez tôt le nombre de repas à servir pour un jour J et de séparer les régimes. « À ce moment-là nous pourrons adapter le service aux demandes en fonction des religions et des allergies... », annonce celui qui pensait que l'incident était clos depuis que Mme Al Haddadi avait été informée de cette évolution.

    Pourtant, rien n'oblige une cantine à substituer tel ou tel aliment.

    Quant à la crainte, dont faisait part cette dernière, de voir le salarié du restaurant sanctionné pour avoir informé les mamans de l'incident du lundi midi, il n'en sera rien. « Les sanctions sont exceptionnelles ici et passent par moi. Je ne suis au courant de rien », rassure Alain Carlier. Alors, on fait la paix ? 

    CATHY GERIG

    PHOTO SAMI BELLOUMI

  • Gollnisch à Lyon III, un plus pour l'université française

     

    Communiqué de Julien Rochedy, membre de la Direction nationale du FNJ

    Le Front National de la Jeunesse tient à féliciter Bruno Gollnisch pour son retour à l’université Jean Moulin Lyon III. Non seulement le féliciter, mais surtout le remercier : Bruno Gollnisch est un excellent professeur qui avait été soutenu par la grande majorité de ses élèves lors de sa suspension illégitime il y a cinq ans. En plus de son activité politique très prenante, ses sessions au parlement européen, il assurera à nouveau des cours de langue et de civilisation japonaise.

    Les organisations qui appellent à manifester contre son retour à l’université font fi de la loi, du droit, du mérite et de l’honneur. Bruno Gollnisch, de l’avis de tous, a toujours garanti une neutralité et une objectivité politique irréprochable dans ses cours, ce qui n’est pas le cas de nombreux professeurs de gauche.

    Ces organisations piétinent donc encore une fois la probité et l’honnêteté, tout ceci pour des médiocres et risibles objectifs politiciens.

    Quoiqu’il en soit, nous savons que Bruno Gollnisch assurera à nouveau des cours d’une grande qualité, que ses élèves lui en seront gré, et que tous les actes et tentatives malveillantes de ces organisations feront en définitive un flop. Pour le plus grand bien de l’université française.

    NPI - 14/09/11

  • Il y a trois millions de Juifs à New York

    Article paru dans "bondyblog.fr"

    LES 10 ANS DU 11. Mehdi et Badroudine se promènent dans le quartier juif de Brooklyn. Ils rencontrent le rabbin Mikhael Cohen originaire de Créteil et installé aux Etats-Unis depuis 1999. Il se livre sur la communauté juive de New York, le 11 septembre, le Moyen-Orient…

    770 Eastern Parkway. C’est une ancienne bâtisse ombragée, dans ce quartier juif de Brooklyn, plantée au bord de la route. « C’est le QG de Habad Loubbavich (ndlr : branche de l’hassidisme un mouvement religieux juif), 500 élèves étudient ici », informe le rabbin Mikhael Cohen. Il porte une barbe blanche foisonnante, un chapeau et un costume sombre. « Depuis 1999, je vis à New York, avant j’habitais à Créteil ».

    Vendredi matin, le ciel est d’un bleu resplendissant. « Aujourd’hui, on prépare le shabbat du samedi, prévient le rabbin. Le shabbat, c’est un jour de repos qui dure 25 heures ». Il serre la main à un homme. « Il y a 3 millions de juifs à New York. Cela représente un homme blanc sur deux ». Et de nous prévenir : « Là, on est dans le quartier général de Habad Loubavitch du monde entier ».

    A l’angle de la rue, une voiture de police campe. Les flics veillent : « Depuis le 11 Septembre, dit-il en pointant la voiture à l’arrêt, nos libertés sont de plus en plus menacées. On est une cible, comme d’autres sont une cible ». Le 11 Septembre, il s’en souvient. Il l’a même vécu ici, « sur le toit de cette maison ». « J’ai vu les tours tomber depuis chez moi », fouille le rabbin dans sa mémoire.

    « Ces extrémistes ont donné une mauvaise image de l’islam. D’ailleurs, la seule solution à l’extrémisme, c’est que les modérés s’opposent fermement. Mais malheureusement, les              modérés n’ont pas la parole chez les musulmans », affirme  Mikhael Cohen. Et de soutenir : « Chez nous, les extrémistes n’existent pas. Et si ça existait, on s’y opposerait très vite. C’est contre nos principes ». « Et puis, un juif ou un chrétien qui s’explose dans un bus, ça n’a jamais existé. C’est un fait », dit-t-il.

    Il nous embarque dans le sous-sol de la maison. Il y a beaucoup de fidèles, les regards se braquent sur nous. Tous portent des chapeaux et costumes sombres. Quelques uns prient, la Torah entre les mains, en s’enroulant une lanière de cuir autour du bras et en fixant leurs tefillins (deux cubes noirs qui relient la tête et la poitrine « parce que les deux sont liés » et où sont inscrits des extraits de la Torah).

    On ressort. Le quartier juif s’éveille doucement. Les femmes portent des tailleurs sombres et des perruques. « La femme doit montrer ses cheveux qu’à son mari. C’est une partie sacrée de son corps  », explique le rabbin. Un homme récolte quelques dollars, au coin d’une rue. « Il va se marier, on va l’aider. C’est la charité juive ».

    Sur le trottoir, une autre voiture de police. Avec des inscriptions en hébreu. C’est une voiture de la shomrim, la police privée du quartier juif. « Ils constatent les délits, interviennent et font appel à la police d’Etat. D’ailleurs, pour moi, si on veut arranger les choses, il faudrait privatiser le social ». Dans le magasin face à la boulangerie, les kippas s’arrachent comme des petits pains. Les livres religieux tapissent la bibliothèque et les tableaux juifs se vendent quelques centaines de dollars.

    Douze ans maintenant que le rabbin Mikhael Cohen a traversé la mer, qu’il a quitté la France, sans pour autant qu’elle lui manque tant. Il analyse : «Quand il n’y a plus eu l’Eglise en France, la laïcité est devenue la nouvelle religion d’Etat. Mais ici, on ne reconnaît aucune religion plus qu’une autre et la laïcité est la même pour tous. C’est ce qu’il y a de positif dans le communautarisme à l’américaine ».

    On s’attable dans un café du quartier. «Vous êtes chez moi, je vous invite ». Il prend un café. Il nous raconte son passé, se souvient : « J’étais en Judée-Samarie (Cisjordanie) dans les années 70. A cette époque, on s’arrêtait et on discutait sans problème avec les Arabes. Parfois, ils m’invitaient à prendre un thé ». On évoque l’Etat palestinien qui compte justement être proclamé la semaine prochaine à l’ONU, à New York.

    « Non » s’oppose le rabbin. « Ça permettra à des gens mal famés d’avoir des tanks et des missiles. Le Hamas, c’est une organisation terroriste. Et si les Palestiniens qui vivent autour d’Israël arrêtent d’envoyer des bombes je suis sûr que tout irait bien. On n’a pas besoin d’un Etat palestinien. ». Pour la proclamation , ce n’est pas gagné...

     

  • Meurtre des retraités à Maurepas: le suspect identifié a pris la fuite en Algérie

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    Entrée du pavillon - (Cliquez sur la photo)

    Un suspect a été identifié dans l’affaire de la tuerie de Maurepas. Un homme de 22 ans, recherché par les enquêteurs de la direction régionale de la police judiciaire de Versailles a pris la fuite en Algérie, son pays natal. « Il s’agit du fils d’un vieil homme avec qui il vivait au foyer Adef, situé juste derrière la maison des victimes, précise une source proche de l’affaire.

    Il les connaissait parce qu’il était domicilié postalement chez eux et venait chercher son courrier tous les deux ou trois jours. Il avait sans doute été mis en relation avec eux par son père. »

    Vendredi 2 septembre vers 20h30, avenue du Roussillon à Maurepas, les corps sans vie de Marie-Louise Michenaud, 77 ans, et son mari Gilbert, 72 ans, sont retrouvés par les pompiers, baignant dans leur sang, dans le salon. Gilbert est ligoté à un meuble avec du fil de fer et son épouse gît à côté de lui. Le bureau est entièrement retourné. Les secours ont dû enfoncer la porte car elle était fermée à clé. Les enquêteurs ne relèvent aucune trace d’effraction. Ce sont les voisins, intrigués par le fait que la voiture ait été inhabituellement mise au garage, qui ont alerté une nièce du couple. « Les volets du pavillon étaient fermés depuis jeudi soir et c’est probablement ce soir-là que le drame s’est noué. » « Comme il connaissait les victimes, le meurtrier a pu pénétrer chez eux sans problème », ajoute une autre source.

    L’autopsie a révélé que Gilbert et Marie-Louise ont été torturés. « Ils ont été piqués à plusieurs reprises avec la pointe d’un couteau et pour finir, ils ont été égorgés. » Selon toute vraisemblance, l’objectif du ou des tortionnaires était d’obtenir le code de leur carte bancaire. « Ces deux personnes ont vécu un véritable calvaire et leur meurtrier a agi avec un sang-froid méthodique », ajoute la même source.

    L’enquête a permis d’établir que cet homme, entré clandestinement sur le territoire français, a utilisé la carte bancaire de Gilbert et Marie-Louise pour régler un voyage vers l’Algérie peu après les faits. « D’autres personnes ont été vues en sa compagnie, notamment au magasin Giga Store, situé non loin de la maison des victimes où il a fait des achats avec la même carte bancaire. Mais il est encore trop tôt pour savoir s’ils sont impliqués dans le meurtre des personnes âgées. » L’enquête se poursuit…
     
     
    Source Le Parisien - 14/09/11

  • Sarkozy prêt à partir pour la Libye avec BHL et Cameron, 160 policiers mobilisés

    L'Elysée a tout fait pour conserver la surprise jusqu'au dernier moment. prépare depuis plusieurs jours déjà, dans le plus grand secret, une visite surprise en Libye ce jeudi. «Rien n'est fait encore», temporise son entourage, car la visite est à hauts risques et sera très sécurisée. Le chef de l'Etat, qui fut l'initiateur de l'intervention de l'OTAN contre le colonel Kadhafi, veut se rendre à Benghazi, fief des insurgés dans l'est du pays, mais aussi à Tripoli, la capitale libérée fin août.

    Dans le pays, des combats sporadiques se poursuivent, mais il n'y a plus guère de snipers à Tripoli.

    160 policiers volontaires mobilisés


    Cent soixante policiers, en majorité des CRS, étaient par ailleurs en partance pour la Libye mercredi. Objectif : une mission de «sécurisation» à Tripoli. Ces CRS, tous volontaires, partiront sur deux vols distincts. Ils ont reçu pour consigne d'être en civil  : «pantalon jean, pas de treillis, des chaussures souples» - et d'avoir pour bagage un sac à dos contenant notamment «trois litres d'eau, une ration de combat, six barres de céréales».

    Les instructions, selon des sources policières, mentionnaient que les fonctionnaires ne devaient pas être munis de carte professionnelle, ni d'appareil photo ou de téléphone portable mais d'un gilet pare-balles. Le retour est prévu vendredi et les policiers auront la charge de sécuriser notamment un hôtel, un hôpital et un troisième point de passage à Tripoli.

    Sur place, Sarkozy sera accompagné par le Premier ministre britannique David Cameron. Le philosophe Bernard-Henri Lévy sera également du voyage. Ils visiteront d'abord l'hôpital de Tripoli, puis rencontreront les nouvelles autorités du Conseil national de transition: le président du CNT Moustapha Abdeljalil et le Premier ministre Mahmoud Djibril, tous deux venus à Paris le 1er septembre pour le sommet «des amis de la Libye libre». Le chef de l'Etat entend leur faire passer un message sur le choix de la démocratie et le refus du péril islamiste.

    Sarkozy et Cameron s'envoleront ensuite vers Benghazi pour tenir un grand discours sur la place de la Liberté.

    Des arrières-pensées de politique intérieure

    Si Sarkozy a décidé de ne pas attendre la capture du «Guide suprême» Kadhafi, comme il l'avait d'abord indiqué, c'est aussi parce que la compétition s'annonce acharnée pour les entreprises françaises, notamment avec les Etats-Unis, qui lorgnent sur les juteux contrats pétroliers.

    A sept mois de la présidentielle, cette visite n'est pas exempte d'arrière-pensées de politique intérieure. Si elle est maintenue, elle tombera le jour même du premier débat télévisé entre les candidats à la primaire socialiste. Pour le «chef de guerre» Sarkozy, elle aura de petits airs de tournée de récolte des lauriers. Une image n'a pas échappé àl'Elysée ces dernières semaines: celle d'un panneau publicitaire en Libye, montrant le visage du président français, avec le slogan «thanks France».
     
    Source Le Parisien  - 14/09/11
  • Guerres de Sarkozy: l'Algérie dans un an, l'Iran dans trois! (selon al-Manar)

     

    Dans un article publié sur le site internet en langue arabe d’al-Manar, intitulé « Sarkozy à Mustafa Abdul Jalil : l’Algérie dans un an, l’Iran dans trois », le journaliste Nidal Hamadé évoque les rôles respectifs des deux principaux alliés-acteurs des USA dans les événements au Proche-Orient, à savoir la France et le Qatar !

    Selon des sources françaises, citées par Nidal Hamadé sur une conversation qui a eu lieu entre le président français Nicolas Sarkozy et le Président du Conseil de transition de la Libye Mustafa Abdul Jalil, et ce à l’occasion de la visite de ce dernier en France, Sarkozy a affirmé à son hôte, qui se plaignait de l’Algérie : « patientez et vous verrez ce qui va se passer en Algérie dans un an et l’Iran dans trois ans ».

    Des propos qui prouvent bien que ce qui se passe au Proche-Orient actuellement, surtout après la révolte des jeunes de l’Egypte, c’est-à-dire la chute du régime de Moubarak, est soumis à un agenda étranger à travers lesquelles les puissances occidentales « colonisatrices » veulent redessiner un Proche-Orient à leur taille !

    En effet, selon Nidal Hamadé, le timing des menaces françaises contre l’Iran et celui de la campagne virulente du Qatar contre la Syrie ne sont pas innocents !

    Lire la suite de cet article »

    NPI - 13/09/11

  • Livre de Laurence Parisot contre Marine Le Pen: l'hommage du vice à la vertu

     

    Communiqué de Marine Le Pen, Présidente du Front National

    Le projet de Marine Le Pen trouve la confirmation de sa pertinence dans les violentes attaques de la présidente du Medef, dans un livre à paraître.

    Laurence Parisot s’est toujours trompée, elle est la meilleure représentante d’un vieux monde en train de disparaître : le monde de la dérégulation à tout-va, le monde des grandes banques folles de cupidité, le monde des marchés financiers et des puissances d’argent.

    Laurence Parisot, c’est l’incarnation de l’argent roi qui écrase les peuples et les soumet à la dictature des marchés. C’est la représentante parfaite d’une caste qui éprouve un plaisir assez pervers à toujours enfoncer les petits, ceux qui n’ont que leur salaire ou leur retraite pour vivre.

    Bref, Laurence Parisot, c’est l’exact opposé du projet démocratique et républicain de Marine Le Pen, un projet d’espérance qui remet l’homme et la nation au centre de la politique.

    C’est donc un honneur que d’être la principale adversaire d’une personne qui incarne aussi bien la faillite du système ultralibéral.

    C’est aussi un motif de fierté parce que Laurence Parisot c’est l’incompétence personnifiée. Elle a toujours prôné les vieilles recettes qui nous ont conduits à la crise : plus de marché, moins de protection.

    Elle a encore démontré son incompétence économique sur Europe 1 ce matin en avançant un chiffre totalement fantaisiste au sujet du montant de la dette de la France (« 1.300 milliards », quand il excède 1.650 milliards d’euros).

  • Europe, euro: la fin d'un tabou, les voeux de Gollnisch...

    Rappelez-vous: il y a encore quelques semaines, la quasi totalité des chroniqueurs, analystes, spécialistes,  hommes politiques  invités dans les médias,    juraient de l’unité inébranlable  de l’UE, de sa solidarité sans faille avec les pays membres  pris dans la tourmente financière, de la nécessité de ne laisser aucun pays sur le bord de la route et  s’affranchir de  l’euro. En un mot, pas question pour la Grèce de quitter l’euroland, même si le remède de cheval administré à Athènes était très grandement susceptible d’achever le malade… Les choses ont bien changé depuis avec la chute continue des places boursières européennes, les attaques contre les banques françaises fragilisées par leurs investissements en Grèce. Et surtout avec les doutes exprimées à haute voix en Allemagne  sur la pérennité de la présence d’Athènes au sein de la zone euro.

    Dernier épisode visible  de cette guerre, qui est aussi psychologique,   lancée par certains milieux d’affaires, voire par le gouvernement américain lui même  contre la France, selon les propres dires de Laurence Parisot que nous citions  dernièrement,   la Société Générale a porté plainte pour diffamation contre le tabloïd anglais Mail on Sunday. Ce journal   avait publié début août  un article   annonçant que cette banque française était au bord du krach financier…

    L’Europe, la France sont elles en mesure d’enrayer la gangrène  sans couper la branche  grecque? Hier, interrogé sur le site de   l’Express, Thibault Mercier, économiste chez BNP Paribas,  se voulait optimiste  quant aux capacités d’Athènes à  sortir du marasme sans rétablir sa monnaie nationale. Pour autant, il   résumait  les conséquences du traitement imposé à ce pays avec l’aval de son gouvernement : «Le niveau de vie a baissé fortement en quelques mois. (La Grèce) a voté de nouvelles mesures d’austérité en juin dernier avec le risque d’accentuer la spirale austérité-récession. La demande intérieure a flanché, la récession s'est accélérée. Conséquence: les mesures d’économie portent de moins en moins leurs fruits. »

    Aujourd’hui,  le site libéral contrepoints relevait très justement que «l’un des derniers tabous de la zone euro est tombé» hier. Dans un entretien accordé au journal Die Welt «le ministre allemand de l’économie Philipp Rösler a estimé que « pour stabiliser l’euro, il ne doit plus y avoir à court terme d’interdiction de penser à certaines options », dont celle d’une « insolvabilité ordonnée ». En d’autres termes, la Grèce va bientôt devoir être mise en faillite pour restructurer sa dette. Certes Bruxelles a rejeté à nouveau cette possibilité le jour même, après les déclarations du ministre. Mais pour combien de temps ? On murmure déjà à Berlin qu’il pourrait s’agir d’une question de semaines, voire de jours.»

    Et de relever  qu’« en Allemagne, le scepticisme qui a accueilli l’annonce des différents plans de sauvetage est en train de se transformer en hostilité affichée. Le 9 septembre dernier, un sondage (…) révélait que trois Allemands interrogés sur quatre se déclarait hostiles à l’élargissement des garanties allemandes en faveur des pays surendettés de la zone euro, de €123 à €211 milliards, soit 27% du montant total. Autant dire qu’un retrait allemand priverait la zone euro tout entière de son principal sauveteur.»

     Des sauveteurs qui sous la pression de leurs opinions publiques, sont contraints de lâcher du lest et d’évoquer des scenarii qualifiés  jusqu’alors d’improbables:  « en dernier lieux, on ne peut plus exclure que la Grèce doive sortir de la zone euro », a déclaré Christian Lindner, le secrétaire général du FDP, parti allié de la CDU d’Angela Merkel.»

    L’article de contrepoints cite encore  Hans-Werner Sinn, «économiste et président du très influent think tank Institut for Economic»  qui estimait le 12 septembre (…) qu’une faillite grecque serait une « libération » pour le pays. L’économiste a par ailleurs affirmé que « la seule issue pour la Grèce est de dévaluer au moins de 20% à 30% » sa monnaie, a-t-il dit. « Pour cela il faut quitter la zone euro, ce serait le scénario le moins grave . Mais cette décision revient à la Grèce seule.»

    Cette accélération de la crise que traverse l’Europe de Bruxelles et de la zone euro, anticipée, prévue de longue date par le FN et sur laquelle il  avait mis en garde nos compatriotes, donne  en retour une grande légitimité au programme  alternatif  à l’européisme béat  porté par Marine Le Pen dans cette campagne présidentielle. C’est pourquoi Bruno Gollnisch a estimé cette fin de semaine, propos rapportés sur le site du Point, qu’il préfèrerait  que  le projet présidentiel du FN  «définisse exactement ce que l’on veut faire»  vis-à-vis de la construction européenne, afin que le cap fixé  par les nationaux apparaisse clairement aux yeux des électeurs.

     «Je souhaite évidemment que mon point de vue soit pris en compte lors de la campagne présidentielle » a-t-il ajouté. Car il y a un  risque, paradoxal peut être, qui pèse sur la candidature de  Marine et qui a été pointé par Bruno Gollnisch,  rapporte encore Le Point.  A savoir que cette crise suscite un réflexe légitimiste,  conservateur,  de mauvais aloi, pouvant faire redouter   aux Français un vrai  changement de  politique; une  crainte  qui serait susceptible de favoriser le pouvoir  en place.

    Blog de Bruno Gollnisch - 13/09/11

  • Du Congo au "bois de Boulogne", offensive sarkozyste

    L’ avocat libanais Robert Bourgiassumant son rôle de porteur de valises des années Chirac, celles des   dirigeants africains alimentant certains partis et dirigeants politiques -phénoméne amorcé sous Pompidou, qui s’est poursuivi sous Giscard, Mitterrand et le prédecesseur de l’actuel chef de l’Etat-  a accusé MM. Chirac et Villepin d’avoir bénéficié de ses largesses financières là. 

     Me Bourgi, successeur de Jacques Foccart, cheville ouvrière de la françafrique mise en place par le  Général De Gaulle,   a également accusé -pour faire bonne mesure?- Jean-Marie Le Pen d’avoir touché de l’argent d’Omar Bongo lors de la présidentielle de 1988!   Dimanche, à Nice, Marine Le Pen  dénoncait l’immigration- invasion… Claude Guéant faisait quelques heures plus tard une sortie très méditiasée sur le lien entre immigration et délinquance. 

    La candidate du FN pointait pareillement la corruption de la classe polticienne et,  comme par hasard, Me Bourgi tente lui aussi maladroitement de court-circuiter le discours de la présidente du FN en  mouillant  Jean-Marie Le Pen dans les détournements financiers évoqués plus haut… 

    Ami de longue date de Nicolas Sarkozy (depuis 1983), conseiller de l’ombre de ce dernier sur les questions africaines,  Robert Bourgi fut décoré  des insignes de chevalier dans l’ordre national de la Légion d’honneur par le président de la République  le 27 septembre 2007.  Celui-ci  avait alors prononcé  l’éloge de Me Bourgi,  en utilisant un tutoiement normalement interdit par le protocole… Le site Rue 89 souligne malicieusement que « des ambassadeurs et représentants personnels de pays accusés par Robert Bourgi d’avoir financé Jacques Chirac» (Angola,Congo-Brazzaville, Cote d’Ivoire, Gabon,  Guinée équatoriale,  Sénégal…) assistaient à cette cérémonie.

    Si Henri Guaino, conseiller officiel du Président, déclarait  lundi sur France Info  ne pas connaître Me  Bourgi, tandis que le chiraquien et secrétaire général de l’UMP  Jean-François Copé, se refusait à tout commentaire,  «Claude Guéant, qui a oeuvré pour que Bourgi soit décoré, déclarait dimanche que Nicolas Sarkozy savait  dans les grandes lignes ce que Bourgi a dit dans les médias. Le président de la République a donc remis la Légion d’honneur à un homme qui lui a raconté avoir commis des actes délictueux» affirme Rue 89 .

    Sur le Président d’honneur du FN, Robert Bourgi pousse le bouchon très très loin, ce qui lui vaut aujourd’hui d’être logiquement attaqué en diffamation par ce dernier.  « Je le dis aujourd’hui, affirme sans rire Bourgi,  je n’aime pas faire parler les morts, M. Jean-Marie Le Pen a été reçu par le président Bongo et le président Bongo a financé la campagne électorale de M. Jean-Marie Le Pen en 1988 ». « J’affirme aujourd’hui que M. Jean-Marie Le Pen, avec le discours xénophobe et raciste qui est le sien, a fait le détour de Libreville et d’Abidjan avant les élections présidentielles de 1988. Peu de Français savent que ce raciste et ce xénophobe était allé à Libreville et à Abidjan. »

    Mêlant l’odieux au ridicule, ce soutien actif à a  la candidature de Nicolas Sarkozy a encore persiflé:  « le président Bongo m’a dit, moi, et monsieur Foccart  était présent, s’adressant à monsieur (Jacques Foccart) il lui a dit: ‘doyen’, comme tout le monde l’appelait, ‘le Le Pen il a été content de partir avec l’argent d’un nègre ». Dans un communiqué, comme sur l’antenne de BFM-TV notamment, Jean-Marie Le Pen a relevé que les propos  « totalement faux et ridicule» de Robert Bougri sont ceux d’un  « malade mental ou  (d’un) voyou »

    Le président d’honneur du FN  a rappelé cette évidence, à savoir qu’en 1988, il n’était pas un candidat «qui caressait l’espoir d’être élu» et que dans ces conditions, il n’y  avait aucune raison pour un quelconque  dirigeant africain de tenter de  l’arroser. Bref,  si  Robert Bourgi « était chargé de me remettre de l’argent il a  du garder les fonds pour lui! (…)  La source   des informations est la même que celle qui dit que Monsieur Bourgi fait des  passes au bois de Boulogne mais je ne l’ai jamais cru .. compte-tenu de la tête qu’il a, il ne ferait pas de clients! »

     Et Jean-Marie le Pen de  relever  encore  que Robert  Bourgi  « qui donne des brevets d’accusation, donne aussi des brevets d’honnêteté à toute une série  de gens . Sachant les liens qui unissent monsieur Bourgi à monsieur Sarkozy, sachant qu’il fait partie du premier cercle, on peut se dire que, sans doute, tout cela est téléguidé.  C’est ridicule!»

    De basses manoeuvres qui ne sont pas pour étonner Bruno Gollnisch, lequel sait parfaitement de quoi  sont capables les adversaires  de l’opposition nationale quand celle-ci menace directement leurs prébendes, leurs magouilles, le systéme  qu’ils ont patiemment mis en place pour se maintenir au pouvoir.

    Blog de Bruno Gollnisch - 13/09/11