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GAELLE MANN - Page 1374

  • Alain Juppé échappe à la justice pour cause de voyage en Libye!

    Le voyage de communication de Nicolas Sarkozy en Libye était prévu depuis un certain temps, le président dans ses bagages a emporté les « grands hommes » de notre Etat : Alain Juppé et BHL ! Coup de chance pour Alain Juppé, ce voyage lui a permis d’éviter de comparaitre devant le Tribunal correctionnel de Paris comme ancien adjoint au Maire, Jacques Chirac !

    Le 15 septembre, Alain Juppé devait se présenter devant le Tribunal correctionnel comme ancien adjoint de Jacques Chirac dans l’affaire des emplois fictifs de la Ville de Paris. Chirac, selon les médecins, ne peut se présenter en personne au tribunal, ce dernier est représenté par ses avocats. Mais voilà que c’est au tour d’Alain Juppé de sécher le tribunal, non pas pour cause de problème de santé mais pour cause de voyage en Libye.

    Les magistrats de la 11e chambre correctionnelle de Paris auraient pu reporter l’audition de l’ancien adjoint de Jacques Chirac, mais ils ont préféré purement et simplement abandonner l’idée de l’auditionner. Rappelons qu’Alain Juppé avait été condamné en 2004 dans le cadre de l’un des volets des emplois fictifs de la Ville de Paris…

    NPI - 16/09/11

     

  • Prières de rue à Paris, le spectacle continue!

    Lors de l’émission « Parole Directe » sur TF1, interrogée sur l’interdiction des prières musulmanes de rue organisées à grand coup de communication par le ministre de l’Intérieur et des Cultes, Claude Guéant, force est de constater qu’encore une fois Marine Le Pen a vu juste.

    En effet, en octroyant une caserne aux associations cultuelles, le gouvernement a ouvert la voie à de nouvelles revendications. On apprend, au lendemain de l’émission, ce vendredi 16 septembre, que la disparition des prières de rue tant voulue n’est pas respectée : il y a toujours 200 fidèles qui prient sur leurs tapis dans le XVIIIe arrondissement de Paris dans le quartier de la Goutte d’or !

    Après des semaines de palabres, d’arrangements entre pouvoirs publics et imams, les autorités par la voix de Claude Guéant, le ministre de l’Intérieur et des Cultes, nous avaient expliqué que les prières dans les rues étaient désormais finies à Paris.

    Ils étaient certains, l’imam de la rue Myrha et Claude Guéant, d’avoir trouvé le bon arrangement pour mettre un terme aux prières dans les rues. Les contribuables parisiens ont même mis la main à la poche pour la rénovation et l’aménagement d’une ancienne caserne, louée à 1,40 euros le mètre carré. Un record vu le prix du mètre carré dans la capitale… Tout ceci contrevenant et enterrant la loi centenaire de 1905 qui stipule que l’Etat ne peut reconnaître, ni subventionner aucun culte !

    A 14h00, à la Goutte d’Or, 200 fidèles sont venus prier dans la rue, malgré toutes les solutions soi-disant trouvées !

    NPI - 16/09/11

     

  • DSK admet qu'il a voulu "embrasser" Tristane Banon

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    (Cliquez sur la photo)

    Entendu par la police au sujet des accusations portées contre lui par la jeune femme, l'ancien patron du FMI Dominique Strauss-Kahn a nié la tentative de viol mais il a admis, pour la première fois, avoir essayé de l'embrasser et s'être heurté à un refus. 

    Entendu le 12 septembre par la police judiciaire parisienne à la suite de la plainte de Tristane Banon pour tentative de viol, Dominique Strauss-Kahn a livré, selon les informations de LEXPRESS.fr, un récit inédit qui marque un tournant dans cette affaire.  

    D'après lui, lors de l'entretien accordé à la journaliste en février 2003, il aurait tenté de l'embrasser pensant qu'elle était consentante. Tristane Banon l'aurait alors repoussé. DSK n'aurait pas insisté et la jeune femme serait partie, d'après lui, tout à fait normalement. 

    Cette version est très différente de celle de la journaliste. Interrogée par L'Express en juillet dernier, celle-ci décrivait une scène beaucoup plus violente: "Quand j'ai voulu m'en aller, il m'a attrapé la main puis le bras, je lui ai demandé de me lâcher, et c'est de là qu'est partie la bagarre. Il m'a tiré vers lui, on est tombés par terre et on s'est battus." La jeune femme évoquait aussi "les détails sordides, de ses doigts dans ma bouche, de ses mains dans ma culotte après avoir fait sauter le jean et le soutien-gorge sous mon col roulé".  

    Plus surprenant: la version de DSK diverge aussi de celle avancée dans le livre de son biographe "officiel", le journaliste Michel Taubmann. Dans Le Roman vrai de Dominique Strauss-Kahn (éditions du Moment ), Taubmann écrit en effet: "Quand je prononce le nom de Tristane Banon, le ton se fait plus grave. DSK dément totalement le récit de la jeune écrivaine et déclare en substance: "C'est complètement faux! La scène qu'elle raconte est imaginaire. Vous me voyez, moi, jetant une jeune femme à terre, et lui faisant violence comme elle le raconte? (...) L'entretien s'est déroulé normalement et, à son issue, j'ai passé un coup de fil à Michel Field afin qu'il lui accorde à son tour une interview. Quand j'ai appris qu'elle m'accusait d'agression, j'ai été stupéfait." 

    "Vous me voyez, moi, jetant une jeune femme à terre, et lui faisant violence comme elle le raconte?" 

    L'appartement du soupçon

    Avant d'entendre l'ancien patron du FMI, les enquêteurs ont souhaité obtenir des précisions sur le lieu de sa rencontre avec Tristane Banon. Cette dernière a décrit un appartement situé au 13, rue Mayet, à Paris (6e). Un appartement "quasi vide, blanc, et poutres apparentes, une machine à café, une table ronde, avec à droite de la partie salon, une bibliothèque vide et, tout au fond, une chambre avec un lit (...)". DSK lui aurait expliqué que "cet appartement lui était prêté par un ami souvent à l'étranger". Comme L'Express l'a révélé en août, cet "ami" est Alex-Serge Vieux, un ancien universitaire, spécialiste des nouvelles technologies, qui vit actuellement aux Etats Unis. 

    Ce proche de Dominique Strass Kahn, qui fut membre de son cabinet au ministère de Economie, avait loué l'appartement en question en 2003, DSK servant de caution auprès de l'agence immobilière. Alex-Serge Vieux, de retour des Etats-Unis, a, lui aussi, été entendu par la PJ la semaine dernière. Il a confié aux enquêteurs, qu'à l'époque, Dominique Strauss-Kahn connaissait des problèmes de couple avec son épouse, Anne Sinclair, et cherchait un endroit où loger quelque temps. A en croire Alex-Serge Vieux, DSK aurait bel et bien habité les lieux qui ne seraient donc pas, selon lui, une "garçonnière".  

    A la suite de ces auditions, le Parquet de Paris peut prendre plusieurs décisions. Il peut ordonner une confrontation entre Tristane Banon et DSK, nommer un juge d'instruction afin d'enquêter plus avant sur cette affaire ou classer purement ou simplement le dossier au motif que la tentative de viol ne serait pas établie. Dans ce cas, il peut estimer que les faits s'apparentent plus à une agression sexuelle qu'à une tentative de viol. Mais ceux-ci seraient alors prescrits.  

    16/09/11 

     

  • François VILLON (1431-1463 ?)

    Ballade des Dames du temps jadis

    Dites-moi où, n'en quel pays,
    Est Flora la belle Romaine,
    Archipiades, ne Thaïs,
    Qui fut sa cousine germaine,
    Echo, parlant quant bruit on mène
    Dessus rivière ou sur étang,
    Qui beauté eut trop plus qu'humaine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Où est la très sage Héloïs,
    Pour qui fut châtré et puis moine
    Pierre Esbaillart à Saint-Denis ?
    Pour son amour eut cette essoine.
    Semblablement, où est la roine
    Qui commanda que Buridan
    Fût jeté en un sac en Seine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    La roine Blanche comme un lis
    Qui chantait à voix de sirène,
    Berthe au grand pied, Bietrix, Aliz,
    Haramburgis qui tint le Maine,
    Et Jeanne, la bonne Lorraine
    Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
    Où sont-ils, où, Vierge souvraine ?
    Mais où sont les neiges d'antan ?

    Prince, n'enquerrez de semaine
    Où elles sont, ni de cet an,
    Que ce refrain ne vous remaine :
    Mais où sont les neiges d'antan ?

     

     

  • Italie: les élèves étrangers ont augmenté de 400% en dix ans

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    (Cliquez sur la photo)

    14/09/2011 – 16h00
    ROME (NOVOpress) -
    Après l’Angleterre, c’est en Italie que de nouvelles statistiques attestent l’accélération de la substitution de population depuis dix ans. Entre l’année scolaire 2000-2001 et l’année scolaire 2009-2010, les élèves non-italiens ont augmenté de presque 400 % dans les écoles italiennes, passant de 147 406 à 673 000. L’augmentation s’est encore poursuivie durant l’année scolaire 2010-2011 où l’on a dépassé le seuil des 700 000 élèves étrangers (il s’agit des élèves soumis à l’obligation scolaire, jusqu’à 16 ans).

    Dans plus de 2000 classes, les élèves étrangers dépassent les 30% de l’effectif. L’augmentation est particulièrement marquée dans les villages de la campagne lombardo-émilienne et des Appenins tosco-émiliens, en Vénétie, et dans les banlieues des grandes villes, partout où se concentrent les familles immigrées. On compte désormais plus de 180 nationalités différentes dans les écoles italiennes.

    Ces chiffres sont d’autant moins suspects qu’ils sont publiés par l’association « Migrantes », fondée par la Conférence épiscopale italienne pour favoriser l’accueil des immigrés, sous le titre « Les élèves étrangers : une valeur ajoutée ». Le directeur général, Mgr Giancarlo Perego, appelle à cette occasion à mettre en place « un enseignement interculturel, pour reconnaître la valeur ajoutée que les élèves étrangers apportent à notre école ».

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine [htt

  • L'Eglise lui refuse sa dernière messe

     

    Les dernières volontés de Jeanne Grégoire n'ont pu être respectées. Le prêtre qui a officié,  membre de la fraternité dissidente de Saint-Pie X, décline toute responsabilité.

    Les dernières volontés de Jeanne Grégoire n'ont pu être respectées. Le prêtre qui a officié, membre de la Fraternité sacerdotale de Saint-Pie X, décline toute responsabilité.

     SISSONNE (Aisne). Le curé de la paroisse de Liesse a refusé d'ouvrir les portes de l'église de Sissonne pour accueillir les funérailles d'une octogénaire. La défunte souhaitait une messe en latin. Impossible, selon l'évêché et le père Kerjean. L'office a eu lieu. Sur le trottoir et célébré par un prêtre jugé comme "renégat".

    À 3 h 20, le téléphone a sonné. Noël Grégoire s'est arraché au sommeil avec à l'autre bout de la nuit la voix de l'hôpital qui lui annonçait le décès de sa mère et, sans doute, qu'il fallait maintenant organiser la suite. C'était un vendredi, la semaine dernière. Jusque-là, triste mais banal. « On a appelé les uns et les autres. Mon frère du côté de Tarbes, ma sœur ici, l'autre près de Vendôme. J'ai commencé à demander des devis aux pompes funèbres le lendemain. »
    Quand il raconte ça, Noël, l'ancien ambulancier est dans la pénombre de sa salle de séjour, à Sissonne. Il y a un pot de sucre en poudre sur la table, un cendrier plein, un paquet de « News » à côté. Sous la fenêtre, quelques papiers de la mère. Jeanne avait 83 ans. Elle avait fait un accident vasculaire en début de semaine.

    L'Évêché absent


    Jeanne Grégoire avait laissé une feuille, rangée dans le tiroir d'une commode de sa maison. Écriture soignée, en tête majuscule. Un « CECI EST MON TESTAMENT » refermé par une signature discrète, trois ans plus tôt, « le 20 mars 2007 à Sissonne ». Quelques lignes pour demander « des obsèques religieuses selon les rites du missel romain de Saint-Pie V ». Jeanne voulait que son corps soit présent dans l'église, et que « la messe soit suivie de l'absoute et de la sépulture, comme de coutume ».
    Ça ne s'est pas passé du tout comme ça. « Mon frère de Tarbes a trouvé un prêtre du prieuré de Prunay. On a demandé à l'abbé Kerjean d'avoir l'église ouverte mais il a refusé. Alors, on a contacté le maire pour savoir si ça ne dérangeait pas que l'office se déroule à l'extérieur. Il nous a donné son accord. »
    Ce jour-là, il pleuvait. Une vingtaine de personnes de la famille et une trentaine de la commune ont assisté à la messe célébrée par le prêtre Girod. Le même nom que l'évêque de Soissons mais pas la même orthographe. L'office a été dit en latin et en français, « pour que les gens comprennent. Ça a bien duré une heure et demie ». Noël avait confectionné un panonceau avec une lettre explicative scotchée dessus et à côté, des feuilles en liasse, comme pour une pétition. Rozelyne Rouzé, Monique Lobjeois, la famille Tatin, Micheline Berthe et quelques autres ont écrit que c'était honteux, pas chrétien de laisser dehors une âme qui se voulait dans l'église.
    « Quand on nous a appelés, on est tout de suite entré en contact avec le diocèse et l'évêché », commente le prêtre Girod. « J'ai laissé un message le dimanche. Le lundi, j'ai eu quelqu'un, qui ne savait pas quoi répondre… mais jamais on ne nous a rappelés. L'évêché est resté aux abonnés absents. »

    En 2007, Benoît XVI a diffusé un texte, le motu proprio. Le latin, ça redevenait possible. Les évêques devaient y veiller et trouver des solutions. Quatre ans et depuis, quoi ?

    L'Union - L'Ardennais - 14/09/11

  • Le franco-israélien Arno Klarsfeld nommé à la tête de l'Office de l'immigration

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    Au temps de l'idylle - (Cliquez sur la photo)

    Après Catherine Pégard, l'ex-conseillère de Nicolas Sarkozy recasée fin août au château de Versailles, l'avocat Arno Klarsfeld a été nommé, mardi 13 septembre, président de l'Office français de l'immigration et de l'intégration (OFII) par décret présidentiel. Il remplace Dominique Paillé, un proche de Jean-Louis Borloo qui avait pris des positions critiques au sujet de la politique du ministre de l'intérieur, Claude Guéant, dont il dénonçait le "durcissement".

    Fils de Serge et Beate Klarsfeld, infatigables chasseurs de nazis, Arno Klarsfeld, 46 ans, s'est fait remarquer en tant qu'avocat lors de ses participations au procès de l'ancien milicien Paul Touvier, en 1994, puis à celui de Maurice Papon, en 1997, où il représentait l'Association des fils et filles de déportés juifs de France.

    Ancien compagnon de Carla Bruni, avec laquelle il avait officialisé sa liaison dans les pages de Paris Match, l'avocat médiatique se rapproche de Nicolas Sarkozy en 2005. Ce dernier, alors ministre de l'intérieur, le sollicite pour rédiger des rapports sur l'enseignement de l'histoire, la mémoire et la délinquance.

    En juin 2006, M.Klarsfeld est nommé médiateur national dans le conflit des familles étrangères en situation irrégulière menacées d'expulsion alors que leurs enfants étaient scolarisés. Il laissera plutôt un mauvais souvenir aux responsables associatifs qui le côtoient à cette époque.

    ECHEC AUX LÉGISLATIVES

    Jérôme Martinez, secrétaire général de la Cimade, association de défense des sans-papiers, se souvient: "La première fois qu'on l'a vu débarquer, c'était trois jours après sa nomination comme médiateur dans le dossier de régularisation des familles sans papiers en 2006. Il est arrivé au siège de la Cimade en rollers, suant, une bouteille d'eau sous le coude, mais aucun dossier. Il ne connaissait rien."

    Même critique de la part d'Armelle Gardien, militante du Réseau éducation sans frontières (RESF), à l'origine du mouvement de régularisation des familles ayant des enfants scolarisés. Selon elle, "au début de sa nomination comme médiateur, il était très empathique, puis, quand Nicolas Sarkozy a changé de ligne, il est devenu insensible à toutes les sollicitations".

    En décembre 2006, M.Klarsfeld est chargé de résoudre la crise provoquée par la mobilisation des SDF avec l'association des Enfants de don Quichotte. Partisan de M.Sarkozy à l'élection présidentielle de 2007, il se voit attribuer par l'UMP, aux élections législatives de juin, une circonscription dans le 12e arrondissement de Paris, où il échoue, face au PS, avec 44,1 5% des suffrages exprimés.

    Dans la foulée, il est récupéré à Matignon comme conseiller de François Fillon, pour lequel il écrit quelques notes sur des sujets de société. Il fait deux voyages en Haïti après le séisme de janvier 2010. En octobre de la même année, Arno Klarsfeld est nommé, au tour extérieur, conseiller d'Etat.

    15/09/11

  • Arno Klarsfeld est fier d'être bi-national

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    Le 26 décembre dernier nous signalions que Nicolas Sarkozy avait décidé de confier une “mission” après la polémique née autour de la loi du 23 février sur le rôle positif de la colonisation à un certain Arno Klarsfeld dont la famille s’est fait un nom dans “la chasse aux criminels de guerre nazis”. Lui même ayant joué un rôle dans le procès Papon où il représentait la Fédération française des fils et filles des juifs déportés de France.

    Nous indiquions de même que notre bel Arno était un bien étrange Français qui avait fait son service militaire dans … l’armée israélienne !

    Depuis, nous avons trouvé sur le site de l’agence de presse sioniste d’extrême droite Guysen Israël News l’entretien qui suit que nous publions non modifié (les gras sont de notre rédaction) :

    Brèves réflexions d’Arno Klarsfeld sous l’uniforme de Tsahal (Propos recueillis par téléphone par Ray Archeld pour Guysen Israël News, Jeudi 4 décembre 2003 à 00:20)

    GIN : Bonjour, Me Arno Klarsfeld. Notre photographe vous a surpris dans la rue en uniforme de Tsahal. Pourriez-vous faire partager aux lecteurs de GIN vos impressions et motivations ?

    AK: En tant que citoyen ayant la double nationalité, française et israélienne, je tenais par cet engagement à accomplir mon devoir, tout simplement.

    GIN : Vous servez maintenant dans une unité de Tsahal…

    AK : On peut accuser ma famille et moi même, de beaucoup de choses, sauf de ne pas être attachés à la défense de l’être humain, de la liberté et de la démocratie.

    Depuis le début de l’Intifada II, nous entendons et voyons dans de nombreux médias des accusations graves concernant Tsahal et Israël
    Certes, il y a peut être eu des bavures, regrettables, condamnables. Mais ces bavures doivent être resituées dans le contexte : Israël lutte pour sa survie depuis 55 ans, de plus son armée a une éthique remarquable,  ce qui est unique dans la région !

    Aujourd’hui je peux témoigner et affirmer qu’à tous les instants la démocratie, le respect de l’autre et de la vie sont des objectifs essentiels.
    Un autre point très remarquable : la haine est un sentiment banni des rangs de Tsahal.

    Oui, je suis fier de servir au sein de l’armée d’Israël.

    GIN : Maître, nous vous remercions.

    Photo : Daniel Cohen © 03/12/2003

    ALTER MEDIA INFO - 2 janvier 2006

  • Un sujet tabou: le coût de l'immigration clandestine en France

    Près de 4,6 milliards d’euros : c’est ce que coûte à la France, chaque année, l’immigration clandestine.

    Jean-Paul Gourévitch, consultant international, spécialiste de l’Afrique et des migrations, complète ses trois monographies précédentes rédigées pour l’association Contribuables Associés par une analyse de ce que coûte à l’État l’immigration irrégulière, un sujet jusqu’ici tabou.

    La France compte en métropole environ 550 000 immigrés clandestins (plus 131 500 en Outre-Mer) qui occasionnent à l’État un déficit de près de 4,6 milliards d’euros : 5 666 millions de dépenses, 1 077 millions de recettes provenant essentiellement des impôts, taxes et amendes.

    Les postes de dépenses les plus importants sont les soins de santé (662 millions, dont 630 pour l’aide médicale d’État), les coûts des retours et reconduites (788 millions), le travail illégal et l’emploi d’étrangers sans titre (1 745 millions), les coûts liés à l’économie informelle (1 562 millions).

    L’immigration irrégulière est proportionnellement plus coûteuse pour l’État que l’immigration légale. 4,6 milliards d’euros, c’est plus de 15% du déficit annuel généré par l’ensemble de la population d’origine étrangère (7,8 millions de personnes) que Gourévitch a estimé, en 2010, à 30,4 milliards. C’est aussi un très mauvais rapport recettes/dépenses puisqu’il s’établit à 19% alors que, pour l’ensemble de l’immigration, il était de 61,7%.

    La France est le pays européen le plus attractif pour les migrants irréguliers et le plus généreux à leur égard en matière de santé, d’éducation, de soutien social et de retours volontaires. Une reconduite sur cinq prononcées est réellement effectuée alors que garder les migrants irréguliers coûte 6 fois plus cher que les faire partir. Une  politique européenne commune à l’égard des migrants irréguliers ferait économiser à la France près d’un milliard d’euros par an.  À méditer, en ces temps de crise…

    Source Le Cri du contribuable - Juin 2011


  • Sarkozy et Cameron en Libye - Les combats continuent, Kadhafi introuvable...

    Première étape d'une visite éclair qui les conduira également à Benghazi, fief de l'insurrection libyenne, a annoncé la présidence de la République.

    LE PATRONAT FRANÇAIS CONVOITE UN MARCHÉ DE 200 MILLIARDS DE DOLLARS EN LIBYE

    Près de Zlitan, à l'est de Tripoli. Un pays en ruine...

    Reuters

    Nicolas Sarkozy et le Premier ministre britannique David Cameron sont arrivés jeudi à Tripoli, première étape d'une visite éclair en Libye qui les conduira également à Benghazi, fief de l'insurrection libyenne, a annoncé la présidence de la République.

    Les deux hommes, principaux animateurs de la coalition qui a soutenu militairement les insurgés libyens, sont les premiers chefs d'Etat et de gouvernement occidentaux à se rendre dans ce pays depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi.

    Ils ont cependant été devancés mercredi à Tripoli par le secrétaire d'Etat adjoint américain Jeffrey Felman, qui a été reçu par le numéro un du Conseil national de transition (CNT) libyen, Moustapha Abdeljalil.

    Ils devaient eux-mêmes rencontrer les dirigeants du CNT dans la capitale libyenne, avant de se rendre à Benghazi, dans l'est du pays, où ils doivent prononcer un discours sur la Place de la Liberté.

    Paris et Londres ont maintenu mercredi le black out sur cette visite hautement symbolique, pour des raisons de sécurité, alors que les combats continuent autour des trois derniers bastions des fidèles de Mouammar Kadhafi.

    L'ancien dirigeant libyen reste introuvable, alors que de nombreux hauts responsables de son régime ont fui le pays depuis l'entrée des forces du CNT à Tripoli le 23 août.

    Nicolas Sarkozy, qui a été le premier dirigeant occidental à reconnaître le CNT, avait dit qu'il irait en Libye "quand toutes les conditions seront réunies".

    Au moment où se pose la question de la transition démocratique de la Libye et de la nature de son futur régime, ainsi que de l'influence des islamistes, le discours du président français portera "sur les valeurs", précise une source familière du dossier.

    "Le peuple libyen l'attend depuis longtemps pour lui exprimer ses remerciements", a déclaré à Reuters Mansour Saïf al-Nasr, émissaire du CNT en France.

    Source La Provence - 15/09/11

  • Le frère et la nièce de Bernadette Chirac agressés dans le métro parisien

    Le frère et la nièce de Bernadette Chirac ont été victimes d'une violente agression, mercredi soir, vers 23 heures dans une rame du métro parisien. Ils ont été pris à partie par un groupe de huit jeunes gens, alors que le métro arrivait à la station Champs-Elysées-Clémenceau ,sur la ligne 1.

    Les deux parties auraient échangé des «paroles vives» avant que l'invective ne se termine par des coups de poings et de pieds.

    Le frère et la nièce de Bernadette Chirac ont été secourus par la police des transports parisiens avant de se voir délivrer 12 jours d'interruption totale de travail (ITT). La belle-soeur de Bernadette Chirac, également présente au moment des faits, n'a pas été blessée. Cinq des huit agresseurs ont été interpellés avant d'être placés en garde à vue.
     
     
    Le Parisien - 15/09/11