Extrait du film "Tranches de vie" de Gérard Lauzier. C'était il y a 26 ans. Avec Josiane Balasko.
18/09/11
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Extrait du film "Tranches de vie" de Gérard Lauzier. C'était il y a 26 ans. Avec Josiane Balasko.
18/09/11
BANI WALID/SYRTE, Libye (Reuters) - Les forces du conseil intérimaire au pouvoir en Libye se sont repliées dans le plus grand désordre dimanche après un nouvel assaut avorté contre le bastion kadhafiste de Bani Walid, où elles se sont heurtées à une vive résistance.
Les troupes du Conseil national de transition (CNT) ont également lancé de nouvelles attaques sur Syrte, la ville natale de Mouammar Kadhafi et l'une des dernières poches de résistance loyalistes avec l'oasis de Sabha.
Depuis plusieurs jours, les combattants du CNT s'efforcent de prendre Bani Walid, à 150 km au sud-est de Tripoli, puis se retirent sous le feu des défenseurs de la ville.
Après l'offensive ratée de dimanche, les récriminations se sont multipliées dans les rangs des anciens rebelles face au manque d'organisation et aux errements tactiques du commandement.
"Les fantassins courent en tous sens", a déclaré Zakaria Touham, membre d'une unité basée à Tripoli. "Nos chefs nous ont dit que des unités d'artillerie lourde étaient déjà devant, mais quand nous avons progressé vers Bani Walid, nous n'avons vu personne."
"Les forces de Kadhafi nous frappaient durement à coups de roquettes et de mortiers, alors nous nous sommes repliés."
Un journaliste de Reuters a vu les combattants reculer de deux kilomètres après avoir pénétré dans la localité.
DISSENSIONS
Les anti-kadhafistes de Bani Walid accusent leurs camarades venus d'autres villes du pays de refuser toute coordination. Ceux-ci répliquent que certains combattants locaux sont des traîtres et transmettent des informations aux loyalistes.
"Les commandants de la tribu Warfalla nous disent une chose puis les commandants des autres villes nous disent autre chose. On ne comprend rien", déplore un combattant, Mohamed Saleh.
"Alors, on entre puis on se retire sans aucune raison. C'est impossible de prendre la ville de cette façon. Cela continuera jusqu'à ce qu'ils envoient des troupes plus expérimentées qui savent se servir de leurs armes."
Certains combattants ont choisi de désobéir ouvertement aux ordres.
Un officier de Bani Walid a ainsi été interpellé bruyamment par des hommes venus de Tripoli alors qu'il tenait de les empêcher de tirer en l'air pour célébrer la prise d'un mortier aux forces kadhafistes.
"Tu n'es pas le chef. Ne nous dis pas ce qu'on doit faire", lui a lancé un des soldats.
Les combattants du CNT ont aidé quelques familles à évacuer la ville à bord de leurs pick-up.
"Les deux dernières semaines ont été atroces mais la nuit dernière a été particulièrement horrible", a raconté Zamzam al Taher, une mère de quatre enfants, âgée de 38 ans. "On était pris au piège là-bas, sans voiture et sans nourriture. Il y avait des snipers partout."
LENTE PROGRESSION VERS SYRTE
Parallèlement, les anciens rebelles, appuyés par des avions de l'Otan, ont repris leur lente progression vers Syrte, la ville natale de Mouammar Kadhafi, au lendemain de leur conquête d'Heraoua, une localité située à 60 km à l'est.
Ils ont tiré dimanche des roquettes de l'entrée sud de Syrte et échangé des tirs nourris avec les troupes loyales à Mouammar Kadhafi retranchés dans un centre de conférences.
"La situation est extrêmement dangereuse", a déclaré un soldat du CNT, Mohamed Abdoullah, en bordure de la ville natale du "guide de la révolution".
"Il y a énormément de snipers et tous les types d'armes imaginables", a-t-il dit.
Dans un hôpital de campagne installé dans une station-service à la périphérie ouest de Syrte, un médecin a déclaré que seize combattants anti-Kadhafi et un ambulancier avaient péri dans les affrontements de samedi. Il dit avoir également admis 62 blessés.
De nombreuses voitures de civils ou de 4x4 quittaient la ville en sens inverse. Les habitants en fuite parlaient de pénuries d'eau et d'électricité et de combats de rue.
"La situation est très mauvaise. Les gens vivent dans la terreur", a déclaré Taher al Menseli, un habitant de 33 ans dont les forces du CNT fouillaient le véhicule à un point de contrôle.
"Les partisans de Kadhafi essaient de persuader la population que les révolutionnaires sont des criminels et qu'il faut les tuer. Même si on n'y croit pas, il faut apparaître convaincu", a-t-il expliqué.
Plus au sud, les forces anti-kadhafistes ont dit avoir capturé la petite localité de Birak au cours de leur avancée vers Sabha, à 700 km au sud de Tripoli.
Depuis la chute de la capitale le 23 août, le mystère demeure sur la localisation de Mouammar Kadhafi. Son porte-parole Moussa Ibrahim a assuré samedi que le "guide de la révolution" se trouvait en Libye et dirigeait la "résistance".
Près de quatre semaines après la chute de la capitale, le conseil intérimaire au pouvoir en Libye n'est toujours pas en mesure de déclarer le pays "libéré" et de lancer le processus de transition démocratique promis par les nouvelles autorités.
Jean-Stéphane Brosse pour le service français
Yahoo! Actualités - 18/09/11
Le prince Aloïs
18/09/11 – 16h00
VADUZ (NOVOpress)- Voici un résultat électoral démocratique qui risque fort de contrarier les tenants de la bien pensance contemporaine, pour qui le droit à l’avortement est devenu un droit quasi-sacré et les IVG de masse qui en découlent l’incarnation de la “liberté” et du “progrès”.
En effet, au cœur de la vieille Europe, un petit État refuse encore ce catéchisme que l’on avait fini par croire obligatoire.
Le Liechtenstein a ainsi rejeté aujourd’hui la légalisation de l’avortement, en votant majoritairement “non” à une initiative populaire soumise à référendum.
Ce résultat est un satisfecit pour le prince Aloïs von et zu Liechtenstein, qui avait affirmé son opposition à cette initiative.
Selon les premiers résultats officiels, 52,3% des votants ont rejeté le projet de légalisation intitulé “aider plutôt que punir”.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
C'était l'un des engagements du gouvernement néerlandais pour obtenir le soutien de l'extrême-droite, indispensable pour conserver la majorité au gouvernement. Le Premier ministre de centre-droit, Mark Rutte, avait promis de réduire le nombre d'immigrés dans son pays. Et un peu plus d'un an après la formation de cette coalition, le chef du gouvernement tient parole. Il a annoncé vendredi que la politique d'asile du royaume allait devenir plus sélective et plus restrictive.
Avec notre bureau de Bruxelles
Il faudra désormais que tout immigré qui veut obtenir la nationalité néerlandaise prouve qu’il ne menace pas l’ordre public, qu’il gagne suffisamment sa vie, et qu’il a renoncé à sa nationalité d’origine ou pris ses distances avec elle.
La naturalisation ne sera possible qu’au bout de cinq ans contre trois ans aujourd’hui, et elle sera soumise à un strict examen de connaissance de la langue néerlandaise.
De la même façon, la politique de regroupement familial des immigrés sera largement restreinte, et désormais réservée aux enfants mineurs ou aux conjoints.
Le gouvernement affirme vouloir lutter contre l’illégalité et contre la criminalité d’origine étrangère. Du coup, un étranger résidant depuis moins de trois ans aux Pays-Bas sera expulsé de manière rapide.
L’immigration clandestine va quant à elle devenir un délit passible de 3 800 euros d’amende ou d’une peine de prison.
Le gouvernement néerlandais regroupe les libéraux et les chrétiens démocrates, en coalition avec le PVV, le Parti de la liberté, du populiste islamophobe Geert Wilders, qui réussit ainsi à faire appliquer son programme hostile à l’immigration.
RFI - 17/09/11
Lors du débat opposant hier soir sur France 2 les six candidats à la primaire socialiste, Arnaud Montebourg, qui n’a aucune chance de remporter cette compétition, a repris à son compte un certain nombre d’analyses formulées par le FN. Il a évoqué la nécessité de mettre au pas les banques et le rapaces du capitalisme spéculatif, il s’est indigné de la toute puissance et nuisance du FMI, des ravages de l’Europe ultra libre échangiste. Des propos qui n’étonneront pas les lecteurs de son livre sur la démondialisation, mais extrêmement hétérodoxes au sein d’un PS qui considère toujours que la parole de DSK est d’or…
Pour le reste, le mot « liberté » a été très souvent prononcé au cours de l’émission par les différents protagonistes…Un concept singulèrement abstrait à l’évidence pour les jeunes électeurs de gauche embrigadés dans les structures qui ont manifesté mercredi contre le retour de Bruno Gollnisch à son poste de professeur de japonais à l’université Lyon III.
Le PS était en effet représenté lors de ce rassemblement anti-Gollnsich, lancé également à l’appel de la LDH et de l’association extrêmiste universitaire lyonnaise Hippocampe, par deux de ses pseudopodes, l’UEJF et SOS racisme, tandis que quelques militants de l’Unef Lyon, dirigé par un soutien de Martine Aubry, Matthieu Landau , des mélenchonistes et des communistes avaient aussi fait le déplacement. Relevons aussi qu’une officine proche de la majorité présidentielle avait appelé à ce rassemblement, la Licra de Me Jakubowicz.
Un article paru sur le site de Valeurs Actuelles hier relevait que Me Gilbert Collard, président du Comité de soutien de Marine Le Pen pour la présidentielle, a rédigé le formulaire d’adhésion à celui-ci dans lequel les personnalités qui en sont membres doivent obligatoirement « (réaffirmer leur) attachement aux valeurs républicaines et à la défense des droits de l’homme. » Des droits que la gauche droit-de-l’hommiste n’accorde pas à un homme libre comme Bruno Gollnisch…
Une évidence amplement démontrée par les slogans de haine scandés par le troupeau réuni mercredi, qui a cependant trouvé face à lui des étudiants et militants nationalistes qui ont clamé leur amour de la France et dénoncé le totalitarisme d’une gauche qui n’a cessé de vouloir politiser l’université et d’y imposer ses dogmes fous.
Même l’article paru dans l’édition lyonnaise de Libération, donnant la parole à trois jeunes , relève la considération et le respect de la très grande majorité des étudiants pour le professeur Gollnisch: «On n’est pas là pour faire de la politique. On est là pour faire des études, expliquent-ils. Bruno Gollnisch est très respecté au niveau de son enseignement. Avoir quelqu’un d’aussi éminent comme prof, c’est quand même important.» . «Je ne parle pas politique dans l’enceinte de l’université, je suis ici pour faire cours»a rappelé de son côté celui-ci à la journaliste, fidèle en cela à l’attitude qui a toujours été la sienne dans une enceinte universitaire.
Il est à noter qu’outre le soutien amical reçu par Bruno de nombreuse personalités du FN et/ou du monde universitaire, les communiqués du FNJ et de notre ami Pierre Cheynet, les commentaires laissés sur les grands sites d’information faisant état de cette mobilisation anti-Gollnisch condamnaient quasi unanimement, qu’ils émanent ou non de sympathisants du FN, les pulsions inquisitoriales des militants de gauche dans cette affaire.
Blog de Bruno Gollnisch - 16/09/11
Gravure sur bois - 1489
L'Epitaphe de Villon ou la "Ballade des pendus"
Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les coeurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s'en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
Se frères vous clamons, pas n'en devez
Avoir dédain, quoique fûmes occis
Par justice. Toutefois, vous savez
Que tous hommes n'ont pas bon sens rassis.
Excusez-nous, puisque sommes transis,
Envers le fils de la Vierge Marie,
Que sa grâce ne soit pour nous tarie,
Nous préservant de l'infernale foudre.
Nous sommes morts, âme ne nous harie,
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
La pluie nous a débués et lavés,
Et le soleil desséchés et noircis.
Pies, corbeaux nous ont les yeux cavés,
Et arraché la barbe et les sourcils.
Jamais nul temps nous ne sommes assis
Puis çà, puis là, comme le vent varie,
A son plaisir sans cesser nous charrie,
Plus becquetés d'oiseaux que dés à coudre.
Ne soyez donc de notre confrérie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
Prince Jésus, qui sur tous a maistrie,
Garde qu'Enfer n'ait de nous seigneurie :
A lui n'ayons que faire ne que soudre.
Hommes, ici n'a point de moquerie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre !
DSK veut "enfumer l'opinion publique" par Europe1fr
17/09/11
Le suspect numéro un dans l'affaire de la tuerie de Maurepas (Yvelines), un Algérien de 32 ans, a été interpellé vendredi soir à l'aéroport d'Orly alors qu'il débarquait d'un vol en provenance de son pays natal. Les enquêteurs de la direction régionale de la police judiciaire de Versailles qui travaillaient en liaison avec un agent en Algérie, l'attendaient à la sortie de l'avion.
Le jeune homme a aussitôt été conduit dans leurs locaux où il a été placé en garde à vue.
«Les policiers savaient que notre homme avait acheté avec de l'argent liquide un billet aller-retour avec un retour prévu ce 16 septembre, précise une source proche de l'affaire. Il s'était envolé vers Alger le vendredi 2 septembre soir au moment même où les corps des victimes ont été découverts dans leur maison».
Vendredi 2 septembre vers 20h30, avenue du Roussillon, les corps sans vie de Marie-Louise Michenaud, 77 ans, et de son mari Gilbert, 72 ans, sont retrouvés par les pompiers, baignant dans leur sang, dans le salon. Gilbert est ligoté à un meuble avec du fil de fer et son épouse gît à côté de lui. Le bureau est entièrement retourné. Les secours sont forcés d'enfoncer la porte car elle était fermée à clé.
L'autopsie a révélé que Gilbert et Marie-Louise ont été torturés la veille au soir. «Ils ont été piqués à plusieurs reprises avec la pointe d'un couteau et pour finir, ils ont été égorgés». Selon toute vraisemblance, l'objectif du ou des tortionnaires étaient d'obtenir le code de leur carte bancaire. Le suspect a été identifié car il a utilisé la carte bancaire des victimes pour faire de nombreux achats le jour de la découverte des corps.
Le Parisien - 17/09/11
DSK et Sinclair dans la cour de leur demeure place des Vosges - (Cliquez sur la photo)
L’ex-patron du FMI donne dimanche soir sa première interview depuis le début de l’affaire.
L’intervention fait déjà grincer des dents. L’entretien que Dominique Strauss-Kahn donnera au 20 heures de TF1 dimanche soir suscite de multiples critiques, tant sur la forme choisie que sur le fond des propos attendus. Et les médias sont particulièrement critiqués. L’association de l’avocate et militante féministe Gisèle Halimi a ainsi estimé samedi que ceux-ci devraient "faire preuve de réserves et attendre que justice se fasse".
Elle "s’indigne que certains médias français et leurs décideurs, sourds et aveugles à l’exigence d’une dignité des femmes, fassent l’honneur à DSK, au même titre qu’à un chef d’Etat ou à une star du show business, de lui accorder un temps de parole au 20 h". "C’est devant la justice qu’il va falloir qu’il s’explique, pas devant les journalistes", estime l’association.
Claire Chazal en cause
Les avocats de Nafissatou Diallo, la femme de chambre du Sofitel de New York qui a porté plainte contre DSK pour agression sexuelle, se sont également émus de cet entretien très attendu. En cause selon eux, la journaliste qui interviewera DSK : il s’agit en effet de Claire Chazal, amie de l’épouse de DSK, Anne Sinclair.
"Comme tout le monde le sait, Mme Diallo a rencontré des journalistes indépendants et d’investigation qui ont eu la possibilité, sans aucune condition, de lui poser des questions", écrivent dans un communiqué Kenneth Thompson et Douglas Wigdor.
Dominique Strauss-Kahn peut en tout cas s’attendre à un comité d’accueil dimanche soir : le groupe militant féministe "La barbe" a appelé à un rassemblement devant le siège de la chaîne dimanche.
17/09/11
BANI WALID/SYRTE, Libye (Reuters) - Mouammar Kadhafi est en Libye et dirige la résistance contre ses ennemis, a affirmé samedi son porte-parole en accusant l'Otan d'avoir causé la mort de 354 habitants de Syrte lors d'une série de raids aériens la nuit dernière.
Moussa Ibrahim a joint l'agence Reuters par téléphone satellitaire au lendemain d'un assaut avorté des troupes du Conseil national de transition (CNT) contre Bani Walid, l'un des derniers bastions fidèles au colonel libyen avec sa ville natale de Syrte.
Ibrahim a déclaré que les avions de l'Alliance atlantique avaient bombardé un immeuble d'habitation et un hôtel, faisant 354 morts, plus de 700 blessés et 89 disparus, des informations invérifiables car les communications avec la ville côtière sont restreintes depuis la chute de Tripoli le 23 août.
"Nous sommes au courant de ces allégations", a déclaré le colonel Roland Lavoie, porte-parole de l'Otan à Bruxelles. "Ce n'est pas la première fois que l'on entend de telles allégations. La plupart du temps, elles se révèlent infondées ou peu probantes."
Selon Moussa Ibrahim, plus de 2.000 habitants de Syrte ont péri dans des raids de l'Otan au cours des 17 derniers jours.
Le porte-parole de Kadhafi, qui a déclaré se trouver lui-même aux environs de Syrte, a assuré que l'ancien dirigeant libyen était confiant dans la victoire de son camp.
"Nous sommes en mesure de poursuivre la lutte et nous avons suffisamment d'armes pour les nombreux mois à venir", a déclaré Moussa Ibrahim.
TRAITRES ET SNIPERS
Les forces kadhafistes viennent de repousser des attaques des forces du CNT sur Syrte et Bani Walid, lancées après l'échec de négociations visant à la reddition des deux villes.
"C'était difficile, on s'y prendra de manière complètement différente la prochaine fois", a déclaré un combattant anti-kadhafiste, encore surpris d'avoir survécu aux roquettes et aux balles des tireurs embusqués quand sa brigade est entrée vendredi dans Bani Walid.
Après des heures de combat, les hommes du CNT se sont repliés pratiquement aussi vite qu'ils s'étaient rués à l'assaut de la ville.
Au lendemain de ce revers humiliant, ils s'en prenaient aux traîtres, aux tireurs embusqués et au pétrole déversé, selon eux, par les défenseurs de Bani Walid sur les rues escarpées qui mènent au centre-ville.
"Quand nous sommes entrés, des snipers nous ont tiré dessus et des traîtres nous ont tiré dans le dos", déclarait un combattant, Abouchoucha Bellal.
Mais ses camarades ont dénoncé aussi le manque de coordination et de discipline entre les différentes brigades.
Nouraldine Zardi a raconté que son unité n'avait pas été prévenue de l'ordre de repli et qu'elle s'est retrouvée bloquée et isolée pendant plusieurs heures à l'intérieur de la localité, située à 150 km au sud-est de Tripoli.
Plus au nord, un journaliste de Reuters présent sur la grande route à l'ouest de Syrte a dit qu'il entendait les coups de feu et les déflagrations au fur et à mesure de l'avancée des forces du CNT.
"Les troupes de Kadhafi sont dispersées entre les maisons. Il y a beaucoup de snipers sur les toits", a déclaré un combattant du CNT, Mabrouk Salem.
Près de quatre semaines après la chute de Tripoli, le conseil intérimaire au pouvoir en Libye n'est toujours pas en mesure de déclarer le pays "libéré" et de lancer le processus de transition démocratique promis par les nouvelles autorités.
Le CNT a promis l'envoi d'un millier de renforts aux portes de Bani Walid.
Jean-Stéphane Brosse pour le service français
Yahoo! Actualités - 17/09/11
Les partisans de Mouammar Kadhafi ont infligé de lourdes pertes vendredi aux forces du Conseil national de transition (CNT) qui tentaient de prendre la ville de Bani Walid, a affirmé le porte-parole du "Guide" libyen.
"La bataille de Libye est loin d'être terminée (...) Nous nous sommes préparés à une longue guerre, nous avons des armes et du matériel", a dit Moussa Ibrahim dans un enregistrement audio diffusé par la chaîne de télévision syrienne Arrai.
Des colonnes de combattants et de véhicules des forces révolutionnaires libyennes se sont retirées en désordre vendredi soir de Bani Walid, après des heures de violents combats qui ne leur ont pas permis de déloger les soldats de Kadhafi. Ces derniers ont pilonné les positions des forces du CNT à l'intérieur de la ville et dans sa périphérie, à 180 km au sud-est de Tripoli, ont rapporté des journalistes de Reuters.
16/09/11
16/09/11
Les faits se sont déroulés lundi matin à Limoges, en Haute-Vienne.
Aux environs de 10H00, une femme, âgée de 47 ans, se trouvait sur un parking derrière un immeuble lorsqu'un individu s'est jeté sur elle et l'a entraînée dans un box.
Il a agressé sexuellement la victime puis a tenté de la violer en lui baissant son pantalon.
La quadragénaire a crié et s'est débattu de toutes ses forces. L'agresseur a fini par lâcher prise et a pris la fuite.
« Elle a crié trois fois, très fort, avant que je me penche à la fenêtre. Et là, j'ai vu la scène. Une bagarre avec cette femme qui se débattait et qui continuait à crier. Finalement, grâce à son énergie, elle s'est dégagée elle-même. L'homme, je n'ai vu que ses grosses fesses. Il avait le pantalon baissé. » a témoigné une femme qui travaillait dans l'immeuble.
Un portrait robot a été diffusé par la police et des prélèvements ADN devraient être effectués sur les ongles de la victime qui a réussi à griffer son agresseur.
Source Faits divers - 16/09/11
Avigdor Lieberman - (Cliquez sur les photos)
15/09/11
PARIS (NOVOpress)– Les autorités israéliennes réagissent de plus en plus violemment à la volonté affichée des Palestiniens de déposer une demande d’adhésion à l’ONU.
Le vice-ministre israélien des Affaires étrangères, Danny Ayalon, a notamment annoncé qu’une telle démarche signifierait la caducité de tous les accords conclus avec les Palestiniens.
De son côté, le chef de la diplomatie, le très controversé et poursuivi judiciairement Avigdor Lieberman, a menacé les Palestiniens de “conséquences dures et graves” à la demande que doit présenter Mahmoud Abbas la semaine prochaine à l’ONU.
Le climat se tend donc de plus en plus à l’approche de l’échéance, et les efforts diplomatiques des uns et des autres – notamment la chef de la diplomatie de l’Union européenne Catherine Ashton en séjour prolongé en Israël – ne semblent nullement porter leurs fruits.
L’un des points les plus aigus des frictions concerne Jérusalem-est qu’Israël a annexée et dont les Palestiniens veulent faire la capitale de leur futur État, ce que refuse catégoriquement le gouvernement de Benyamin Nétanyahou.
[cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
La cour de cassation a remis en liberté mercredi soir le principal suspect du meurtre d'un jeune homme, poignardé en août 2009 lors d'une fête de village dans les Pyrénées-Atlantiques. La cour, saisie par la défense du suspect, a rendu son arrêt mercredi en fin d'après-midi et le suspect, âgé de 19 ans et demi et mineur au moment des faits, a été relâché vers 21 heures sans aucune mesure de contrôle judicaire, a indiqué l'un de ses avocats, Me Thierry Sagardoytho.
Pourquoi une telle remise en liberté ? La plus haute juridiction française a souligné, selon Me Sagardoytho, que la chambre de l'instruction de la cour d'appel de Pau n'avait pas audiencé à temps une requête déposée par la défense. Selon une source judiciaire au sein de la cour de cassation, il est inexact de parler d'une erreur de la chambre de l'instruction sur l'observation du délai : "Il y avait un débat juridique, c'est une question d'interprétation de ce délai", a-t-on ajouté, précisant que la décision n'était pas disponible dans l'immédiat.
"On nous a tué notre fils une deuxième fois"
Selon l'article 221-3 du code de procédure pénale (un texte issu de la réforme de la procédure pénale consécutive à l'affaire d'Outreau) la cour d'appel dispose dans les affaires criminelles de trois mois pour tenir une audience publique de mise en état du dossier au cours de laquelle sont examinées les charges pesant sur le suspect, a expliqué Me Sagardoytho. Passé ce délai, la personne en détention provisoire est relâchée. Dans ce dossier, la demande d'audience a été faite le 25 octobre par la défense mais la chambre de l'instruction de la cour d'appel ne s'est réunie qu'en avril, a poursuivi l'avocat, expliquant que la cour avait rejeté le 7 juin la demande de remise en liberté de son client, soupçonné d'avoir tué le 22 août 2009 d'un coup de couteau Jérémy Censier, un jeune Gersois de 19 ans, lors des fêtes de Nay, un village situé à une vingtaine de kilomètres de Pau.
Selon l'avocat du suspect, "c'est la première fois en France que la cour de cassation se prononce sur l'inobservation du délai" de trois mois, expliquant que cette "réforme de 2007 était très peu utilisée". Selon une source judiciaire, le suspect devrait comparaître libre au futur procès qui n'a pour l'instant pas été audiencé. "Dans le cadre du présent dossier, il ne peut plus être placé en détention ni même sous contrôle judiciaire", a-t-on ajouté.
"Je trouve scandaleux qu'aujourd'hui, pour un vice de procédure (...), on occulte totalement la gravité de ce qui a été commis à l'égard de notre garçon", a réagi sur France 3 Aquitaine Joël Censier, le père de la victime. "On nous a tué notre fils une deuxième fois (...) On n'a plus l'espoir de se dire qu'un jour, Jérémy, on lui rendra justice", a renchéri son épouse Corinne. "En droit, c'est une décision parfaitement légitime et qui respecte le code de procédure pénale", a commenté leur avocat Me Edouard Martial, jugeant que cette décision "est la conséquence d'une bourde administrative ou judiciaire". La défense a fait appel du renvoi devant les assises. La cour d'appel de Pau examinera cet appel le 4 octobre. Le 27 septembre, la cour de cassation examinera également la validité des gardes à vue dans ce dossier. Sur ce point, Me Martial redoute que "le dossier soit réduit à une peau de chagrin", avec "un risque d'annulation de la procédure des gardes à vue, donc d'une partie du dossier".
TF1 News- 16/09/11
Selon nos informations, Jack Lang sera prochainement convoqué par les policiers de la sécurité publique de Paris suite à l'agression de membres de la famille de Bernadette Chirac dans le métro mercredi soir.
L'ancien ministre de la Culture était présent au moment des faits et sera convoqué en tant que témoin. Selon une information du Parisien, le frère et la nièce de Bernadette Chirac ont été agressés mercredi soir sur la ligne 1 du métro parisien à la station Champs-Elysées Clemenceau.
Ils ont été pris à partie par un groupe de huit jeunes gens, alors que le métro arrivait. Secourus par la police des transports, le frère et la nièce de l'ancienne Première dame se sont vus délivrer 12 jours d'ITT. Cinq des huit agresseurs ont été interpellés avant d'être placés en garde à vue, selon le quotidien.
TF1 News - 16/09/11
En juin, j'enquêtais sur Claudy Siar, nouveau délégué interministériel pour l'égalité des chances des Français d'outre-mer. Je cherchais à me faire une idée de la façon dont il était perçu par la communauté ultramarine. Devant la boîte de nuit antillaise « Titan » de la place de Clichy (Paris), j'alpaguais des gens.
Christophe, ambulancier martiniquais dans un hôpital de banlieue parisienne, ne pensait pas grand-chose de Claudy Siar. Mais il m'a dit :
« J'ai plein de collègues antillais autour de moi à l'hôpital qui vont voter FN. C'est nouveau. »
Deux hypothèses à vérifier : le vote FN montait en milieu hospitalier ou dans la communauté antillaise. Ou les deux.
J'ai exploré la première hypothèse, en passant l'après-midi à l'hôpital Louis-Mourier de Colombes. Un centre à taille humaine avec ses problèmes, les autres hôpitaux ne vivent peut-être pas du tout la même chose.
Ici, personne ne peut assurer que le vote FN est en progression. Mais tout le monde admet qu'il se passe quelque chose, que « des idées » – xénophobes, identitaires – circulent dans les couloirs.
Le personnel hospitalier a changé ces dernières années. Il y a trente ans, à l'hôpital, il y avait surtout des Bretons, des Normands et des Antillais, dit Daniel Dalin, Martiniquais, agent hospitalier et syndicaliste CFDT de l'hôpital. Celui qui est aussi président du collectif DOM explique :
« En plein boom économique, ces métiers n'intéressaient pas les autres. Au même moment, le taux de chômage aux Antilles était délirant : notamment parce que la coupe de la canne avait été automatisée. Ils ont organisé notre venue en France en promettant l'eldorado. »
Puis, il y a eu des Portugais et des Espagnols « avec la même culture chrétienne ». Depuis, une dizaine d'années, des jeunes issus de l'immigration, d'origine africaine ou maghrébine, ont commencé à être embauchés à l'AP-HP.
L'hôpital a toujours été un lieu de mixité, les nouvelles arrivées ne dérangent pas. Mais depuis quelques années, des tensions apparaissent et des clans se forment.
Le contexte économique est difficile. La restructuration de l'AP-HP crispe les relations. L'hôpital Louis-Mourier, par exemple, a découvert ce qui l'attendait en 2008. Depuis, l'hôpital a entamé sa fusion avec quatre autres établissements d'Ile-de-France, pour créer un pôle d'activité « aux compétences transversales ».
Les départs à la retraite ne sont pas remplacés. De source syndicale, environ 160 postes ont disparu et il n'y a plus qu'un DRH pour 8 500 personnes. S'il y a un problème avec une fiche de paye, il faut aller à l'hôpital Beaujon.
Daniel Dalin :
« Alors, l'ambiance est tendue et le personnel se fout sur la gueule. »
Au centre de long séjour de Louis-Mourier, les conditions de travail sont particulièrement difficiles. Pas un jour ne se passe sans un incident communautaire. Une infirmière du Cap-Vert engueule une Portugaise (lui rappelant les désastres de la colonisation). Une autre traite une infirmière de singe.
Les aides-soignants d'origine maghrébine pestent contre les congés bonifiés des Antillais. Les Domiens s'énervent du rythme de travail amoindri de ceux qui font le ramadan.
D'autre part, côté patients, la laïcité est de plus en plus bousculée au sein de l'hôpital. C'est sans doute la cause de ras-le-bol numéro un, qui finit par se répercuter sur les relations entre les personnels d'origines différentes.
Il y a des conflits avec des conjoints, qui ne veulent pas que leurs femmes se fassent soigner par une femme noire – par racisme – ou un homme.
Un technicien se souvient d'être entré dans une chambre en néonatalogie pour réparer une ligne téléphonique. Un homme a caché le visage de sa femme et lui a demandé de partir. Il s'en est ensuite pris à l'infirmière qui lui avait promis qu'il n'y aurait aucune présence masculine dans la pièce.
Christelle, cadre administratif de garde à l'hôpital, se souvient :
« J'ai été confrontée à un couple musulman dont l'épouse était en crise d'éclampsie, son pronostic vital était engagé ainsi que celui de son enfant. Elle ne voulait pas se faire soigner par l'aide-soignant masculin qui était de garde à cause de son mari. J'ai dû expliquer longuement au mari qu'il y avait un risque de décès. Il a fini par entendre raison. »
A la maternité, on voit arriver de plus en plus de femmes voilées des pieds à la tête, ce qui inquiète les infirmières, et « des Témoins de Jéhovah qui ne veulent pas de péridurale », explique une syndicaliste de la CGT.
Une aide-soignante du service maternité :
« Il y a une recrudescence du voile intégral chez les jeunes femmes. Cela nous met mal à l'aise, quand il faut leur demander de tout enlever. On trouve ça pas normal de ne pas savoir à qui on a affaire. Entre collègues, on en parle. »
Tout le personnel rencontré pense que l'administration doit prendre ses responsabilités et imposer des règles claires. Isabelle Lévy, formatrice en hôpital, a écrit un livre sur le sujet. Elle pense que le non-respect de la laïcité entraîne un vrai ras-le-bol du personnel hospitalier et entrave de plus en plus le soin (des extraits de son livre sont souvent repris pas des sites FN).
En repensant à la phrase de Christophe, on se demande si au sein de l'hôpital, le personnel antillais est particulièrement sensible aux idées de Marine Le Pen. Une aide-soignante guadeloupéenne du local CGT :
« J'en parle avec des collègues de l'hôpital. C'est vrai, il y en a de plus en plus qui adhérent aux idées. Pas forcément au parti. Il se passe quelque chose.
Moi-même, quand je suis en colère, j'y pense, certaines idées sur l'insécurité ou la sortie de l'euro me parlent. C'est l'euro qui nous a mis dedans. »
Maryse, aide-soignante martiniquaise, toute petite avec un chignon grisonnant :
« On entend beaucoup dire : “Il faudrait que Marine Le Pen passe pour six mois, pour faire le ménage et après elle pourrait laisser la place à quelqu'un d'autre.” Il y a un vrai mal-être, un ras-le-bol au sein de la communauté. Mais ce n'est pas propre à l'hôpital. Au contraire, les Antillais de l'hôpital sont plus tolérants. On a l'habitude d'être mélangés. Ici, les Antillais fêtent l'aïd par exemple. »
C'est finalement une infirmière de nuit de l'hôpital Corentin-Celton (Issy-les-Moulineaux, dans les Hauts-de-Seine) de 57 ans, rencontrée quelques jours plus tard, qui nous parle de Marine Le Pen avec espoir. Mais elle n'est pas d'accord avec tout : elle ne pense pas, par exemple, qu'on puisse sortir de l'euro.
Sa bouche tremble. Elle est scandalisée par le « gâchis » dont elle est témoin à l'hôpital. Elle considère que la Sécurité sociale est mal gérée : « On garde des jours et des jours des gens qui n'ont rien à faire dans les services. » Elle regrette qu'il n'y ait plus beaucoup d'Antillais à l'hôpital, le personnel a changé.
Elle estime enfin qu'on ne peut pas « continuer à faire entrer des gens qui n'ont pas de quoi vivre et cassent les boîtes aux lettres » :
« On en a marre d'être amalgamés avec eux alors qu'on est français. En 2007, j'ai voté Sarkozy. Cette fois, je vais voter une sanction de la France. On sera beaucoup à faire pareil. »
Rue89 - 16/09/11
La France tente de renforcer ses agents (en Libye) et la Grande-Bretagne à favoriser des figures politiques qui lui sont alliées, face à ceux qui tournent autour des Etats-Unis et du Qatar », a déclaré Moussa Ibrahim, le porte-parole de Mouammar Kadhafi après la visite de Nicolas Sarkozy et David Cameron en Libye jeudi.
Au cours d'une intervention téléphonique sur la chaîne Arraï - basée en Syrie - le fidèle du Guide a déclaré que les deux hommes cherchent à « transformer la Libye en fief de l'Occident ». D'après lui, « la visite inaugure le projet de colonisation en Libye et constitue l'annonce officielle du début de son application ». Toujours selon ses dires, le chef d'Etat français et le Premier ministre britannique se dépêcheraient actuellement de « récolter les fruits de la chute de Tripoli » car ils redouteraient « l'arrivée de l'Amérique et d'autres Etats pour prendre leur part du gâteau ».
Si Mouammar Kadhafi demeure introuvable, la communauté internationale et le Conseil national de transition (CNT) ont d'ores et déjà entamé « l'après-Kadhafi ». Alors que le pays est entièrement à reconstruire, Nicolas Sarkozy et David Cameron ont profité de leur déplacement en Libye pour réaffirmer leur volonté de l'aider. « Vous avez voulu la paix, vous avez voulu la liberté, vous voulez le progrès économique, la France, la Grande-Bretagne et l'Europe seront aux côtés du peuple libyen », a en effet assuré le président français. Des propos qui n'ont pas convaincu Moussa Ibrahim. Celui-ci a même accusé les deux dirigeants de se comporter comme des vautours. « Ils se sont dépêchés de venir à Tripoli pour conclure des accords secrets avec les collaborateurs et les traîtres et mettre la main sur le pétrole et les investissements sous prétexte de la reconstruction », a-t-il ainsi déclaré.
Actu France-Soir - 16/09/11
“Les Liechtensteinois vont se prononcer dimanche lors d’un référendum d’initiative populaire sur la légalisation de l’avortement, mais le prince Alois, profondément attaché à la religion catholique, a annoncé qu’il opposerait de toute façon son veto à la loi.
Le texte soumis au vote populaire prévoit la légalisation de l’avortement dans un délai de 12 semaines. Actuellement, l’avortement est interdit au Liechtenstein, et puni par une peine de prison d’un an, même s’il a été effectué à l’étranger. Le prince Alois du Liechtenstein, 43 ans, a d’ores et déjà averti qu’il userait de tous ses pouvoirs pour s’opposer au texte. Concrètement, il refusera d’y apposer sa signature, une formalité indispensable pour l’entrée en vigueur d’une nouvelle loi.
Le prince a expliqué son refus par une disposition du texte soumis au vote, qui prévoit une interruption de grossesse sans délai imposé, soit au-delà des 12 semaines, en cas de risque de handicap de l’enfant à venir. Le parlement du Liechtenstein et le gouvernement se sont aussi déclarés opposés au texte. Les initiateurs du projet ont relevé à l’appui de leur demande, que les pays voisins du Liechtenstein, la Suisse et l’Autriche, autorisent l’avortement. En outre, l’ONU a demandé à plusieurs fois au Liechtenstein d’adopter une telle loi”.
source: Le Salon Beige
ALTERMEDIA INFO - 16/09/11
Au sommaire de ce numéro :
NPI - 16/09/11