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GAELLE MANN - Page 1691

  • Manifestations à Athènes un an après la mort de Grigoropoulos

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    Athènes le 6 décembre 2009

    Des heurts entre groupes de jeunes et policiers ont éclaté dimanche dans plusieurs grandes villes de Grèce après les manifestations commémorant la mort d'un adolescent tué il y a un an par un policier à Athènes, qui ont rassemblé des milliers de personnes.

    Selon des sources policières, près de 230 personnes -- 130 à Athènes et une centaine à Salonique -- ont été arrêtées lors de ces rassemblements en mémoire d'Alexis Grigoropoulos, 15 ans, dont la mort avait déclenché l'hiver dernier des violences urbaines inédites dans le pays.

    A Athènes, des heurts ont opposé des groupes de quelques dizaines de jeunes et la police après la fin de la manifestation, selon la police et les médias.

    Aux abords de la place Syntagma, dans le centre de la capitale, des jeunes vêtus de noir et cagoulés ont lancé des pierres sur les forces de l'ordre qui ont riposté à coups de gaz lacrymogènes et de matraques.

    Une vingtaine de personnes, dont une femme de 55 ans battue par la police, ont été blessées lors de ces affrontements, selon les médias.

    Avant le début de la manifestation, le recteur de l'université d'Athènes, Christos Kittas, a été légèrement blessé lorsqu'un groupe de jeunes a occupé le bâtiment du rectorat. Il a été hospitalisé pour "irrégularité du rythme cardiaque".

    Des drapeaux rouges et noirs de groupes de la mouvance anarchiste étaient visibles sur le toit du rectorat, mais celui-ci a été evacué par les occupants dans la soirée.

    En fin de soirée, dans le nord d'Athènes, une centaine de jeunes ont attaqué des policiers devant le stade olympique où se jouait un match de football de première division entre les équipes athéniennes Panathinaikos et Atromitos, endommageant plusieurs véhicules.

    Le match a été interrompu pendant 30 minutes à la suite de tirs de gaz lacrymogènes par la police.

    Des incidents ont également éclaté à Salonique, la grande ville du nord de la Grèce, où quelques milliers de personnes ont manifesté. Une dizaine de magasins ainsi que des véhicules ont été vandalisés.

    Plusieurs milliers de manifestants, dont de nombreux jeunes, avaient répondu à l'appel d'organisations d'étudiants et de lycéens et de partis de gauche pour commémorer la mort jeune Alexis, tué par balles dans la soirée du 6 décembre 2008 par un policier lors d'un contrôle dans le quartier contestataire d'Exarchia, au centre de la capitale grecque.

    Sa mort avait déclenché des violences urbaines qui avaient duré près d'un mois, radicalisant une frange de la mouvance contestataire.

    L'un des banderoles portées par les manifestants portait l'inscription "la jeunesse n'oublie pas"; une autre tendue devant l'université affirmait: "l'Etat et le capital assassinent tous les jours".

    Lors d'une cérémonie privée dimanche matin sur la tombe de l'adolescent, dans la banlieue sud de la capitale, la mère de l'adolescent avait appelé les manifestants à défiler dans le calme pour honorer la mémoire de son fils.

    Les quelque 6.000 policiers déployés dimanche pour encadrer les défilés devaient rester sur le qui-vive lundi dans l'attente d'autres manifestations, organisées par des coordinations étudiantes et lycéennes, des organisations de gauche et des syndicats.

    Placé en détention provisoire, le policier auteur des tirs fatals à Alexis Grigoropoulos doit être jugé à partir du 20 janvier pour homicide volontaire. Il affirme avoir tiré en l'air alors qu'il était assailli par un groupe de jeunes gens.

    AFP. 06.12.09

     

  • Malika Ménard n'est du tout d'origine beur: tant pis pour les maghrébins!

    Questionnée sur son prénom "Malika", elle a expliqué sur RTL qu'elle était "100% française. "Je suis surtout le symbole de la tolérance de mes parents. Ils trouvaient que c'était un joli prénom, avec une jolie signification. Il n'y a pas d'origine, c'est un symbole d'ouverture d'esprit".
     Elle ajoute: "Ma mère et ma grand'mère ont vécu au Maroc".

    RTL - 06.12.09

    Il y a comme une embrouille! Quelle est son origine réelle? Malika serait un prénom judéo-arabe.

  • Clandestins afghans: la réaction du général Salvan

    28/09/2009 - Nous vous livrons ci-dessous la la réaction du Général Salvan à l’affaire des clandestins de Calais. C’est le texte qu’il a envoyé au journal Le Monde pour le courrier des lecteurs.
    "J’étais révolté en regardant les informations le 27 septembre. A Calais et diverses villes de France, de jeunes Afghans, en pleine forme, venus chercher fortune en Europe, sont contrôlés par la police et remis en liberté par la justice française.

     Général SALVAN afghans déserteurs.jpg

    Tous les jours, de jeunes militaires américains, britanniques, français etc. se font tuer pour défendre en Afghanistan les droits de l’homme et de la femme.

    Pendant ce temps, des Français dont la générosité dépasse le bon sens, entretiennent ces jeunes Afghans qui ont refusé de participer au combat que nous menons. Cela porte un nom : ils sont insoumis ou déserteurs.

    Si notre gouvernement croit sérieusement à l’engagement occidental en Afghanistan, pourquoi ne pas avoir embarqué ces jeunes gens dans des avions pour Kaboul, et les avoir confiés aux centres de formation des polices et des armées afghanes ?

    Si au nom des droits de l’homme, de jeunes Afghans doivent rester paisiblement en Europe pendant que nos soldats se font tuer à leur place, il vaudrait mieux rapatrier nos troupes, et vite.

    Général (2e section) J.G.Salvan
    Soldats de France.fr


  • JEUX - Devinette "clé"

    Quelle est la plus précieuse des clés?

  • La "charlotte islamique" pour remplacer le voile

    Une couvrant la d’une femme médecin de confession musulmane et remplaçant un voile peut-elle être considérée comme un signe religieux ? Le syndicat du centre hospitalier spécialisé (CHS) de Bassens (Savoie) estime que la question mérite d’être posée.
    En juin dernier, une femme souhaitant travailler dans cet établissement situé dans la banlieue de Chambéry, qui accueille des malades souffrant de problèmes psychiatriques, se présente voilée lors de son entretien de recrutement.

    « Elle a été reçue par la directrice des ressources humaines, qui lui a aussitôt indiqué que, dans le cadre de son activité professionnelle, il ne pouvait être question qu’elle porte ce voile. Le médecin a alors fait une proposition consistant à porter une charlotte. Nous l’avons acceptée, car le port de la charlotte est répandu dans le milieu médical », explique le directeur, Jean-Maurice Lasserre.
    Pas convaincue, la CGT souligne que, « contrairement à un hôpital traditionnel, le CHS de Bassens ne compte aucun bloc opératoire, et donc pas de chirurgien. Aucun autre médecin ne porte d’ailleurs de charlotte pour s’occuper de patients souffrant de troubles psychiatriques », insiste le syndicat. Son secrétaire adjoint, Jacky Piggio, a écrit au directeur : « Ce couvre-chef, pour le moins original et inattendu en service de soins, n’a pas manqué de choquer certains patients et personnels. Si, au premier degré, la charlotte ne peut être assimilée à un voile islamique, elle ne fait pas pour autant disparaître le caractère ostentatoirement religieux ou communautariste, si elle est investie en tant que telle par la personne qui la porte. En conséquence, ce consensus alambiqué appliqué à ce médecin, avec l’aval de votre autorité, pourrait s’opposer, selon nous, au principe de neutralité du service hospitalier. »

    La réponse de Jean-Maurice Lasserre n’a pas tardé : « Le port de la charlotte ne peut en aucun cas être perçu comme un signe religieux. Le principe de laïcité est selon moi respecté. Et, contrairement à ce que dit la CGT, le port de cette charlotte ne pose pas de problème dans le service où travaille cette femme médecin. » Quant à la principale intéressée, elle préfère pour l’instant garder le silence…


    La CGT, qui affirme ne pas vouloir tomber dans un débat populiste, à l’heure où la Suisse a interdit toute nouvelle construction de minarets, attend toujours que les autorités prennent position. Saisie, l’agence régionale de santé Rhône-Alpes n’a pas voulu le faire.

    Jacky Piggio, le responsable de la CGT, s’adresse donc une nouvelle fois à sa direction : « Que diriez-vous, Monsieur le directeur, si, demain, les membres du personnel venaient travailler avec un chapeau de paille, un béret basque, un béret savoyard ou le béret de Che Guevara ? »

    Le parisien - 03.12.09

     

  • L'enseignement du français n'a plus de valeur formatrice - le règne d'un jargon ridicule - les élèves ne lisent plus

    Les termes techniques ont envahi les cours de collège et de lycée. Au risque de dégoûter les jeunes des œuvres littéraires et de décourager les parents qui gardent comme référence le «Lagarde et Michard».

    Mais pourquoi diable ne lisent-ils pas ? C'est la question qui taraude aussi bien les professeurs de français que les parents soucieux de la culture de leurs enfants. «Quand je les récupère, le bac en poche, observe Clélia Barrier, jeune enseignante dans le supérieur, ils sont incapables de situer Ronsard ou Victor Hugo. Ils ne lisent pas. Et quand je leur fais étudier le plus beau texte écrit sur la démocratie, le «Discours aux morts» de Périclès, dans La Guerre du Péloponnèse, leur seul commentaire est : “C'est de la propagande.” Aucune émotion, aucune adhésion, aucune analyse.» Tout ce travail des professeurs, toutes ces heures de cours, pour en arriver là ?

    En août 2006, le journaliste alors chargé des pages éducation de Libération, Emmanuel Davidenkoff, publiait un livre étonnamment critique, au vu de ses articles, sur le système éducatif. La raison de cette soudaine prise de conscience ? Son impuissance à comprendre les cours abscons que subissait sa belle-fille en sixième. Tous les parents ont ainsi vécu des moments de solitude face à des «déictiques», des «focalisations internes» et des «schémas actanciels». Les plus lettrés ont osé se souvenir des Précieuses ridicules de Molière. Car ces notions importées de la linguistique et du structuralisme tels qu'on les étudie à l'université, ont peu de sens pour des gamins de 12 ans, qui plus est maîtrisant mal la langue. «C'est une étrange entreprise que d'équiper de béquilles des êtres à qui l'on n'a pas appris à marcher», écrivait, il y a dix ans, Michel Leroux, professeur de français, dans un texte publié par la revue Commentaire et intitulé «De l'élève à l'apprenant». De ce jargon, ils ne retiennent qu'une masse de mots savants qui peineront à masquer une incompréhension totale des textes. Les sujets du bac de français en 2009 confinaient ainsi à la pédanterie. Ceux qui demandaient, pour la série économique et sociale : «Dans quelle mesure le spectateur est-il créateur de la représentation ?», et, pour les bacs techno : «Le théâtre est-il seulement un art de l'artifice et de l'illusion ?» avaient sans doute oublié que très peu d'élèves fréquentent les salles de théâtre.

     

    Réformateurs technicistes

     

    Pour Agnès Joste, auteur en 2002 de Contre-expertise d'une trahison (Éd. Mille et Une Nuits), qui analysait l'évolution des programmes de français au lycée, «voilà vingt ans que l'on abreuve les enfants de termes techniques, certes passionnants, mais sans jamais se pencher sur le sens des œuvres. Alain Boissinot, inspecteur général de l'éducation nationale, s'était fait le chantre de ce qu'il appelait les “contenus objectivables” dans les programmes de français.» Autrement dit, des notions quasi scientifiques qui permettraient à l'étude de la littérature de sortir d'un flou jugé gênant. La bête noire de ces réformateurs aux aspirations technicistes ? Le vieux Lagarde et Michard, avec ses questions sur les «valeurs du héros» et la «morale» du texte. Un psychologisme, et donc un endoctrinement, inacceptable, qu'on a préféré remplacer, dans les années 1990, par l'analyse des «progressions à thème constant» ou à «thème éclaté». «Il ne s'agit surtout pas de dire que c'était mieux il y a quarante ans, nuance Cécile Revéret, auteur d'un petit livre, La Sagesse du professeur de français (L'œil neuf Éditions), racontant ses trente années d'expérience. On demandait de juger un texte, ce qui pouvait être paralysant. Il n'y a rien de plus difficile que de dire “pourquoi c'est beau”. Mais la linguistique et les figures de style ont pris toute la place. Pire, cette typologie des discours dont on leur rebat les oreilles, narratif, descriptif, argumentatif, incite les élèves à se méfier de l'auteur, à le soupçonner. Sous prétexte d'esprit critique, il s'agit de comprendre comment il cherche à nous influencer et de déjouer ses pièges. Or la littérature, ça nécessite de se laisser aller.»

     

    Susciter le désir de lire

     

    Ces professeurs de français en révolte contre l'enseignement que leur imposaient les programmes jusqu'en 2008 ne se veulent pourtant pas rétrogrades. «Les programmes de lycée, précise Agnès Joste, nous disent que l'étude du roman a pour but de “faire apparaître le fonctionnement et la spécificité du genre narratif”. Avec mes élèves, j'étudie Bel Ami, de Maupassant. Je leur montre qu'il y a dans le début du roman une double focalisation, d'abord externe, puis interne (on voit d'abord le personnage de l'extérieur, puis on pénètre ses pensées). Mais je n'utilise pas le texte comme prétexte pour étudier la focalisation. Au contraire, j'utilise cette notion pour leur expliquer qu'en entrant dans la tête du personnage, Maupassant nous le démasque.» Jean-Paul Brighelli, auteur de la Fabrique du crétin et professeur en classe préparatoire, renchérit : «Ce dont les élèves ont envie, c'est qu'on leur raconte des histoires, qu'on leur dise comment on raconte des histoires et pourquoi un auteur éprouve le besoin de raconter ces histoires. Quand on leur fait remarquer un procédé littéraire, surgit immanquablement cette question : “Vous êtes sûr que l'auteur l'a fait exprès ? ” Ils ont besoin qu'on leur montre qu'écrire relève d'un travail.»

    Rien de plus compliqué pour une institution comme l'éducation nationale que de susciter le plaisir de lire. Au point que les professeurs de français s'interdisent d'en rêver. Mais l'instrumentalisation de la littérature pour définir des situations de communication a peu de chances d'y parvenir. Le structuralisme dont se réclament les anciens programmes de collège et les actuels programmes de lycée prescrit que les sentiments d'un personnage sont «des sentiments de fiction et de langage». Comme un message envoyé aux jeunes lecteurs : tout cela n'a rien à voir avec la réalité et ne sert, bien sûr, à rien. «Au contraire, proteste Agnès Joste, les livres sont pour les jeunes autant de propositions d'existence, et même d'autorisations à penser.»

    Encore faut-il ne pas en effacer toute valeur formatrice ni toute dimension humaine, et - osons le terme - morale. À l'heure où certains professeurs font étudier 99 F, de Frédéric Beigbeder, à leurs élèves de troisième, l'auteur de Contre-expertise d'une trahison plaide pour des programmes qui tout simplement se focaliseraient sur la culture que doivent acquérir les élèves, et sur ces auteurs qu'ils ne devraient pas avoir manqués à leur sortie du système scolaire. Une suggestion lancée vers la Rue de Grenelle, à l'heure où la réforme du lycée implique une refonte des programmes.

    Le Figaro - 03 décembre 2009

  • Carla Bruni a pour ami un SDF...

     

    La première dame de France a accordé un long entretien au journal Macadam à l’occasion du numéro de Noël. Elle y livre quelques confidences, dont celle, étonnante, d’entretenir une amitié avec un SDF nommé Denis. Voici l’a rencontré.

    Assis sur un trottoir du XVIè arrondissement de Paris, Denis, la cinquantaine aux yeux verts, fume tranquillement une Gitane brune. Les voisins le connaissent bien. « Dix ans que je suis là ! » raconte le garçon en prenant une petite rasade de vin rouge et en saluant les gens du quartier.

    « Vous venez pour Carla, c’est ça ? » demande-t-il, comme si de rien n’était. Ben oui. « Je la connais bien. Elle passe me voir de temps en temps et on discute musique, jamais de politique. On a les mêmes goûts musicaux. Elle m’a même proposé de chanter sur son album » raconte-t-il avec une voix grave, qui devient douce lorsqu’il se met à entonner une chanson triste. « Elle m’a offert un MP3, mais je l’ai perdu… C’est une grande dame vous savez, Carla, même si elle n’en a pas l’air », insiste-t-il.

    Entre deux silences, il raconte : « Elle m’a proposé de me loger à l’hôtel pendant l’hiver, mais j’ai refusé. Qu’est ce que je ferai entre quatre murs ? ». Voir le ciel dans une chambre, comme dans les chansons de Carla Bruni, il s’en moque. Il ajuste sa couverture sur ses genoux et termine l’entretien : « Allez laisse-moi maintenant, je veux lire mon bouquin ».

    S.M.


    VOICI.fr - Vendredi 04 Déc 2009 - 16:59

     

     

  • VIDEO Miss France 2010 est musulmane!

    http://www.wat.tv/video/miss-france-est-normandie-1yyv9_1lyib_.html

    Malika Ménard, 22 ans, faisait le buzz sur Internet, à quelques heures de l’élection de Miss France 2010. La jeune femme de 22 ans, qui vit à Caen, a été inscrite par une ami.

    Miss Normandie 2009, Malika Ménard est devenue la première Miss France d’origine maghrébine. La France a eu des Miss blanche, métisses et noire, mais pas encore une Miss d'origine maghrébine et musulmane. Sur le site officiel de Miss France, Malika Ménard menait le jeu, devançant largement les 36 autres filles.

    En plus de son physique de rêve, Malika Ménard a une tête bien remplie. La jeune femme est en troisième année de droit et voudrait travailler plus tard comme journaliste. A son palmarès, elle peut se targuer en plus d’être Miss Normandie 2009, d’avoir été Miss Calvados 2009. ©Culturefemme.com

     Elle a été choisie par le vote du public parmi cinq finalistes: Miss Rhône-Alpes, Miss Bretagne, qui devient deuxième dauphine, Miss Provence, troisième dauphine, et Miss Quercy-Rouergue, quatrième dauphine.

    Pour la première fois cette année, Miss France a été choisie par un vote effectué intégralement par le public parmi les cinq finalistes qui ont elles-mêmes été désignées lors d'un vote mixte partagé 50/50 entre le public et le jury présidé par l'actrice et chanteuse Arielle Dombasle.

     AFP. 05.12.09

    Elle est habillée en vert islam!

  • L'église Saint-Germain de Charonne fermée par précaution

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    Eglise Saint-Germain de Charonne (XXème)
    PARIS, 5 déc 2009 (AFP) - Paris: l'église Saint-Germain de Charonne fermée par précaution

    L'église Saint-Germain de Charonne à Paris (XXe arrondissement), aux assises fragilisées, a été fermée au public, de même que son cimetière et le trottoir qui la longe, a annoncé samedi la Ville de Paris dans un communiqué.

    La décision a été prise par la préfecture de Police, a précisé la mairie, propriétaire de l'édifice.

    Construite à flanc de colline sur un sol argileux, l'église "présente, depuis sa construction au XIIe siècle, une instabilité chronique qui a justifié des travaux récurrents", explique la mairie.

    Ainsi, au XIXe siècle, des arcs-boutants ont renforcé sa façade sud.

    La mairie avait engagé en 2007 une étude approfondie sur la stabilité de ce monument classé. Des sondages géologiques et archéologiques ont "confirmé la médiocre qualité du sol et la faible assise des fondations".

    "Pour minimiser les risques liés à la nature argileuse du sol, des travaux de dévoiement des descentes d'eaux pluviales ont été réalisés cet automne par la Ville", poursuit la mairie.

    Cependant, des signes inquiétants sont apparus. Des dispositions de confortation provisoire ont été décidées, avant "des travaux de consolidation définitive des fondations".

    "Consciente des conséquences inévitables sur les célébrations et les activités paroissiales, de plus à la veille de Noël", la Ville "assure les fidèles de sa détermination à tout mettre en oeuvre pour que l'église puisse être rouverte" dans "les meilleurs délais".

    L'église, qui était celle de l'ancien village de Charonne, est une des deux dernières de Paris (avec celle du Calvaire) à avoir gardé son cimetière.

    Ce dernier abrite 650 tombes, dont celles des deux fils d'André Malraux (morts dans un accident de voiture en 1961) et de leur mère Josette Clotis (happée par un train en 1944), ainsi que de Robert Brasillach, l'écrivain fusillé à la Libération pour collaboration le 6 février 1945.

    La Croix.com

  • GB : violente manifestation contre l'islamisme

    Onze hommes ont été arrêtés et une policière légèrement blessée dans des échauffourées lors d'une manifestation contre l'islamisme organisée par un mouvement d'extrême droite aujourd'hui dans le centre de l'Angleterre, a annoncé la police locale.

    Une policière de 29 ans a été transportée à l'hôpital après avoir été blessée au bras en tentant d'établir un cordon de sécurité autour de ce rassemblement de la Ligne de défense anglaise (EDL) dans la ville de Nottingham, selon la police de la ville, qui n'a déploré aucun autre blessé.

    Près de 500 membres de l'EDL, un groupe marginal qui a organisé plusieurs manifestations contre l'islam radical ces derniers mois, s'étaient rassemblés dans le centre ville en chantant l'hymne national et des chants de supporters de football.

    "Nous voulons récupérer notre pays", criaient notamment les manifestants, qui s'étaient pour beaucoup couverts le visage de foulards et de cagoules, en brandissant des pancartes barrées des slogans "Protégez les femmes, dites non à la charia" (loi islamique, ndlr) et "Résistance".

    Une contre-manifestation à l'appel de l'Union contre le fascisme (Unite Against Fascism), a été lancée dans les environs, en dépit des appels de la police à quitter les lieux.

    Les inquiétudes de la population britannique à propos des conséquences de l'immigration et de l'islamisme radical ont été soulignées cette année par le succès aux élections européennes du Parti national britannique (BNP), anti-immigration, qui compte pour la première fois deux élus au Parlement européen.

    En septembre dernier, alors que le chômage au Royaume-Uni avait atteint un niveau jamais vu depuis 1996, la centrale syndicale britannique du Trades Union Congress (TUC) s'est alarmée d'une possible percée du BNP aux élections législatives attendues à la mi-2010.

    Le Figaro - 05.12.09

  • Jeux - Devinette "citron"

    Un citron est perplexe: pourquoi?

  • Pascal Dumay, le nouveau directeur du Conservatoire de Paris nommé par Frédéric Mitterrand, téléchargeait des images pédopornographiques

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    Le nouveau directeur du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, le pianiste Pascal Dumay, 53 ans, nommé par le ministère de la Culture, a été déféré mercredi au parquet de Versailles. La justice lui reproche d’avoir téléchargé et diffusé une centaine d’images à caractère pédopornographique.
    Il est convoqué devant le tribunal correctionnel le 22 janvier.

    Des photos d’enfants de 7 ou 8 ans

    En février dernier, les logiciels de surveillance d’Internet repèrent un internaute français qui télécharge et diffuse des fichiers à caractère pédophile sur un site belge. L’ordinateur suspect appartient au musicien Pascal Dumay, qui vivait à ce moment-là dans les Yvelines près de Montfort-l’Amaury. « Il s’agissait de photos mettant en scène des enfants : des filles et des garçons, âgés de 7 ou 8 ans, précise une source proche de l’affaire. Il y avait aussi des photos pornographiques avec des adolescentes de 14 ou 15 ans. » L’enquête est confiée aux gendarmes.

     Mais à la fin de l’été Pascal Dumay, nommé au conservatoire, emménage à Paris (XIXe) dans son logement de fonction. Les militaires ne peuvent plus intervenir et l’enquête est transmise à la direction régionale de la police judiciaire de Versailles. Lundi matin Pascal Dumay est interpellé à son domicile et son ordinateur sur lequel figure une centaine de fichiers interdits est saisi.

    Lors de sa garde à vue, le pianiste assure qu’il télécharge des fichiers pornographiques et que ceux impliquant des enfants sont arrivés par erreur. Puis il finit par passer aux aveux, mais, « selon ses explications, il n’avait pas conscience que, derrière ces images, se cachent des réseaux qui exploitent et violent des enfants », ajoute une autre source. La justice l’a remis en liberté sous contrôle judiciaire avec interdiction d’entrer en contact avec des enfants.

    (Source : Le Parisien)

    Nations presse info - 05.12.09

  • JEUX - Devinette "Carla"

    Lorsque Carla Bruni voit un ascenseur, que lui dit-elle?

  • Dans les archives de la Securitate, le cauchemar communiste

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    Pendant 40 ans, le régime communiste roumain a espionné ses citoyens dans les moindres détails. Deux millions de dossiers sont conservés aujourd'hui par le conseil national pour les archives de la Securitate...
     
    Les dossiers sont soigneusement rangés sur les étagères. Des dizaines, parfois des centaines de feuilles jaunies, où sont décrits à l'encre bleue les moindres faits et gestes de ceux que la Securitate, la police politique roumaine, considérait comme suspects.
     
    Tout y est consigné: les enregistrements des conversations téléphoniques, les discussions captées par les micros, les déplacements, la correspondance. «A 14h10, l'objectif écoute radio Bucarest. A 16h, il revient dans la chambre et écoute une émission de football. A 18h02, il règle son poste sur Radio Free Europe (radio anticommuniste financée par les Etats-Unis, ndlr)» note, le 26 mars 1980, un agent de la Securitate.
     
    Plusieurs centaines de milliers
     
    Une surveillance de chaque instant, qui a atteint son paroxysme sous le règne de Nicolae Ceausescu. De 1965 à 1989, l'autoproclamé «Génie des Carpates» a assis son pouvoir sur une Securitate tentaculaire et omniprésente. On estime que plusieurs centaines de milliers de citoyens roumains ont collaboré, de gré ou de force, avec la terrible police politique.
     
    Dans les archives du Conseil national pour les archives de la Securitate (CNSAS), on les retrouve classés sous la lettre «R». «Chaque informateur avait un nom de code» explique Ancuta Median, la porte-parole du CNSAS. «Lorsqu'une personne qui a été surveillée par la Securitate consulte son dossier, c'est ce nom de code qui apparaît. Si elle le souhaite, nos chercheurs peuvent essayer de retrouver le dossier de son informateur».
     
    Trahis par leurs proches
     
    Mais la découverte est parfois cruelle. Ancuta Median en a fait elle-même l'expérience, lorsqu'elle était encore archiviste. «C'était il y a quatre ou cinq ans, j'ai apporté à un vieil homme le dossier de son informateur. Il s'est alors rendu compte que c'était sa femme qui l'avait trahi. Il n'y a pas de mots pour décrire l'expression de son visage à ce moment» se souvient-elle. La Securitate, comme toute police politique, recrutait en effet en priorité les proches de sa «cible»: conjoints, amis, frères ou sœurs. Argent, chantage, menaces, tout était bon pour les inciter à trahir.
     
    Malgré le risque de voir leur vie bouleversée, près d'un million de Roumains ont consulté leur dossier depuis 1999. Une ouverture au public qui n'a pas été facile. Créé il y a dix ans, le CNSAS ne fonctionne vraiment que depuis 2007. Les services de renseignement roumains, héritiers de la Securitate, refusaient en effet de transmettre leurs archives. Il aura fallu l'obstination de plusieurs historiens et l'intervention du président Traian Basescu pour que deux millions de dossiers soient finalement divulgués.
     
    Mais il reste encore beaucoup d'archives introuvables. Vingt ans après la révolution qui a renversé le régime communiste, la police, l'armée, ou le ministère de la défense refusent encore de dévoiler leur passé. Et beaucoup de documents ont été détruits. Malgré ces difficultés, le CNSAS continue de se battre pour rassembler les traces de ce passé douloureux. Ancuta Median, elle, veut y croire: «nos archives ont une valeur inestimable, elles sont le témoin de l'histoire récente de notre pays. S'ils veulent progresser, les Roumains doivent clarifier leur passé».
    20minutes.fr - 04.12.09

  • Polanski bien au chaud dans son chalet

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    Le cinéaste Roman Polanski, libéré sous caution par la justice suisse, a retrouvé vendredi la chaleur familiale de son chalet de Gstaad où il est désormais assigné à résidence dans l'attente d'une éventuelle extradition vers les Etats-Unis. (Gstaad est à 67 km de la frontière française)

    Le réalisateur franco-polonais est arrivé sous un grand soleil, dans un convoi de deux grosses berlines noires aux vitres teintées qui a déboulé peu avant 13H00 (12H00 GMT) par le petit chemin glacé menant au chalet de la station huppée des Alpes suisses, a rapporté un journaliste de l'AFP.

    Les deux voitures se sont ensuite engouffrées dans le garage souterrain de la villa en bois décorée de guirlandes de Noël électriques, et dont les volets, jusqu'à présent fermés, se sont peu à peu ouverts dans la matinée, laissant apparaître une jeune femme aux cheveux châtains clairs.

    Selon une source proche du dossier, la femme du réalisateur, Emmanuelle Seigner, et ses deux enfants, Morgane et Elvis, devaient accueillir le réalisateur primé pour "Le Pianiste" qui vient de passer plus de deux mois en prison.

    Roman Polanski avait été arrêté le 26 septembre à Zurich sur mandat des Etats-Unis, où il est poursuivi pour des "relations sexuelles illégales" avec une mineure de 13 ans en 1977.

    Peu après son arrivée dans le chalet "Milky Way" ("Voie lactée"), un des agents de sécurité ayant remplacé la police helvétique en faction depuis le matin, est entré brièvement dans la villa et en est ressorti avec un message à l'intention des dizaines de journalistes agglutinés devant la clôture en bois entourant la propriété.

    "M. Polanski et sa famille disent que ça ne sert à rien d'attendre, il ne sortira pas de toutes les façons", a-t-il assuré.

    Son fils Elvis est toutefois apparu brièvement pour chercher des bûches afin d'alimenter la cheminée du chalet qui fumait doucement en fin de journée tandis que les journalistes désertaient lentement les lieux.

    Après des semaines de bataille avec la justice suisse, Roman Polanski a obtenu sa libération contre une caution de 3 millions d'euros.

    Le Tribunal pénal fédéral, estimant le risque de fuite "élevé", a également exigé qu'il porte un bracelet électronique. Un dispositif de surveillance électronique a ainsi été installé dans son chalet pour "garantir un contrôle permanent, une alarme se déclenchant en cas de tentative de fuite ou de retrait du bracelet électronique", a précisé le ministère de la Justice.

    Mais le cinéaste "s'est engagé à ne franchir à aucun moment les limites de sa propriété", a-t-il assuré, prévenant: "s'il advenait que Roman Polanski ne respecte pas ses engagements, la caution reviendrait à la Confédération suisse".

    Après plus de deux mois d'emprisonnement, l'arrivée à Gstaad devrait en tout état de cause être un soulagement pour le réalisateur, âgé de 76 ans, éprouvé par sa détention.

    Il doit désormais y attendre la décision de Berne sur la demande d'extradition officielle reçue fin octobre des Etats-Unis, un processus qui pourrait prendre plusieurs mois.

    Le ministère de la Justice dispose de fait de plusieurs semaines pour prendre sa décision. Une fois celle-ci rendue, Roman Polanski aura lui-même 30 jours pour s'y opposer auprès du Tribunal pénal fédéral de Bellinzone (sud). Puis, en dernière instance, il pourra encore faire un recours auprès du Tribunal fédéral de Lausanne.

    La défense de Roman Polanski a d'ores et déjà prévenu que le cinéaste se battrait jusqu'au bout contre son extradition.

    Les avocats ont également l'intention de réclamer la relaxe de leur client à l'occasion d'une audience en appel à Los Angeles, le 10 décembre, selon des sources judiciaires américaines.

    AFP. 04.12.09

    Il y a un prisonnier de 89 ans, malade, présumé coupable, qui est également très éprouvé par sa détention... Mais il est pauvre, ainsi que sa famille, et il est de plus apatride...

  • VIDEO André Valentin, le maire de Gussainville

    http://www.dailymotion.com/video/xbckvt_ils-sont-deja-10-millions-un-maire_news

    Interrogé par les caméras de France 2, André Valentin, maire UMP de Gussainville (Meuse), 19 habitants selon le recensement de 1999, a jugé le débat sur l'identité nationale «indispensable». Selon lui «on va se faire bouffer», «ils sont déjà dix millions», «dix millions que l'on paye à rien foutre» dit-il, dans une allusion aux immigrés.

    (En 2009, la commune de Gussainville compte 40 habitants)

    02.12.09

     

  • Lefebvre: le maire de Gussainville a exprimé l'inquiétude de la France

    Le porte-parole de l'UMP, Frédéric Lefebvre, a estimé jeudi que le maire de Gussainville (Meuse), André Valentin, avait exprimé "l'inquiétude" de la France par ses propos controversés sur l'immigration, regrettant la manière dont "tout le monde lui tombe dessus".

    "Je ne partage pas les propos qu'il a tenus, mais en même temps, ce que je veux dire, c'est qu'il est maire d'une commune de 40 habitants. Il y a beaucoup de petits villages comme ça qui font la France. Il y a une inquiétude en France", a-t-il déclaré sur LCI.

    "Ce que je n'aime pas, c'est la manière dont tout le monde lui tombe dessus", a poursuivi M. Lefebvre, reprochant à ses détracteurs de ne pas vouloir "aborder cette inquiétude".

    Selon le porte-parole de l'UMP, "il ne faut pas faire comme si cette inquiétude là n'existait pas, notamment dans la France profonde. C'est une réalité".

    M. Lefebvre s'est démarqué ainsi de la position de Gérard Longuet, patron des sénateurs UMP et président de la fédération UMP de la Meuse, et Bernard Pancher, député UMP du département, qui ont réclamé jeudi la suspension du parti présidentiel du maire.

    De son côté, le porte-parole adjoint de l'UMP, Dominique Paillé, avait aussi souhaité la "suspension provisoire" de l'élu.

    "D'après ce qu'on m'a relaté des propos, nous ne voulons pas de cela à l'UMP. Donc il serait de bon ton que le secrétaire général de l'UMP (Xavier Bertrand) suspende provisoirement ce personnage", a-t-il dit dans un entretien au Post.fr.

    M. Paillé a toutefois précisé qu'"une justice, pour être crédible, doit respecter les droits de la défense." (Il veut lui faire un procès?)

    "Il n'y a pas de place à l'UMP pour des propos xénophobes et racistes ou pour ceux qui les tiennent. Ce cas là sera étudié en fonction des règles intérieures de notre mouvement", a-t-il dit.

    Interrogé lundi par RTL et France 2 sur l'opportunité d'organiser un débat sur l'identité nationale, le maire de Gussainville l'avait jugé "indispensable" avant de déclarer: "Il est temps qu'on réagisse parce qu'on va se faire bouffer".

    "Par qui?", lui avait alors demandé un journaliste. "Y'en a déjà dix millions, dix millions que l'on paye à rien foutre". Et lorsqu'on avait demandé à l'élu s'il pensait qu'il "y a trop d'immigrés", il avait précisé : "Sérieusement, je le crois".

    M. Lefebvre a également déclaré que le maire avait précisé par la suite qu'il ne parlait pas des immigrés mais "des chômeurs". "Ce qui ne veut pas dire que c'est mieux d'ailleurs, je ne tiendrais pas non plus ces propos là", a affirmé le porte-parole de l'UMP.

    AFP. 04.12.09

    Il n"y a pas que dans les petits villages que l'on est inquiet! Mais aussi dans les grandes villes envahies par les "dix millions" d'immigrés qui ne sont en France que pour manger, car ils sont incapables de développer leurs pays décolonisés et indépendants