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GAELLE MANN - Page 241

  • Peine alourdie pour le buraliste de Lavaur : 10 ans de prison ferme : scandaleux!

    http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/peine-alourdie-appel-buraliste-lavaur-10-ans-prison-1152339.html  (lien pour voir la vidéo)

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    http://france3-regions.francetvinfo.fr/midi-pyrenees/haute-garonne/toulouse/peine-alourdie-appel-buraliste-lavaur-10-ans-prison-1152339.html

     

    Luc Fournié, buraliste à Lavaur (Tarn), qui avait tué un jeune cambrioleur, a été condamné vendredi soir en appel à Toulouse à 10 ans de prison, soit 3 ans de plus qu'en 1è instance, par la cour d'assises de Haute-Garonne, qui a exclu la thèse de la légitime défense. Il se pourvoit en cassation

     

    • Publié le , mis à jour le

    © S. Duchampt / France 3 Luc Fournié avec ses avocats devant les assises de la Haute-Garonne

    Après 5H30 de délibéré, le verdict est tombé peu après 23 heures dans une salle d'audience qui n'avait pas désempli : 10 ans de prison ferme, 3 de plus qu'en première instance.

    Ce verdict a aussitôt entraîné une vague d'émotion et de colère chez la famille de Luc Fournié, alors que des pleurs résonnaient du côté des proches de la victime.

    L'accusé, qui comparaissait libre, a semblé assommé.

    Dans son verdict, la cour a écarté la légitime défense, jugeant qu'il y avait une "totale disproportion" dans la riposte de Luc Fournié, avec notamment la mise en place, au cours des jours précédents, d'un "stratagème afin de pouvoir tirer sur tout intrus qui entrerait".

    Jugeant le verdict "absolument aberrant, incompréhensible", Me Georges Catala, avocat de la défense, a indiqué son intention de se pourvoir en cassation.

    La cour a "refusé ce glissement dangereux de la légitime défense à l’autodéfense, que la force l’emporte sur le droit", s'est au contraire félicité Me Simon Cohen, avocat des parties civiles.

    Voir le reportage vidéo de Sylvain Duchampt et de Corinne Carrière

    10 ans de prison ferme pour la buraliste de Lavaur qui avait tué un cambrioleur

    Le buraliste de Lavaur a été condamné en appel à 10 ans de prison vendredi soir pour avoir tué un jeune cambrioleur. Une condamnation plus lourde que la peine requise par le Parquet.


    Dans son réquisitoire, l'avocat général avait exclu la légitime défense mais en requérant "cinq ans d'emprisonnement, en n’excluant pas l’octroi du sursis simple pour une partie, voire pour la totalité de la peine". Il avait demandé aux jurés de retenir une peine "proportionnée, juste, équitable et socialement utile".

    En première instance, le parquet avait demandé implicitement l'acquittement, en retenant la qualification de légitime défense, mais n'avait pas été suivi par la cour d'assises du Tarn: Luc Fournié avait été condamné à sept ans de prison. Il avait été libéré un mois plus tard, après avoir fait appel.

    Il était jugé pour avoir tué d'un coup de fusil de chasse Jonathan, un lycéen de couleur de 17 ans, qui était venu cambrioler son bar-tabac à Lavaur  dans la nuit du 14 décembre 2009, avec un autre adolescent, lui aussi non armé.

    BARREAUX SCIES

    Quatre jours avant les faits, Luc Fournié avait découvert que les barreaux d'une fenêtre de son café avaient été sciés. Il était alors allé chercher le fusil de son père, des cartouches et avait installé un système d'alarme de fortune, après avoir alerté les gendarmes. Il avait aussi décidé de dormir au rez-de-chaussée et de "faire des rondes".

    Vers 2H30 du matin, réveillé par le bruit de la vitre brisée, Luc Fournié était remonté chercher son fusil à l'étage, où se trouvait son domicile, avant de redescendre. Confronté à une silhouette dans la pénombre, il avait tiré à bout portant sur Jonathan, qui s'était effondré, avant de tirer une seconde fois dans la direction de son acolyte, qui s'enfuyait, sans l'atteindre.

    "Luc Fournié, c'est vous, c'est moi, c'est eux", avait plaidé Me Laurent Boguet, autre avocat de la défense. "Il n'avait aucune intention de se faire justice lui-même, c'est un homme apeuré, terrorisé, qui a appuyé sur la détente", avait-il lancé.

    "Je ne le laisserai pas décrire comme quelqu'un qui est en treillis, planqué derrière la porte de la cuisine", avait-il ajouté avant de demander au jury l'acquittement de l'accusé.

    "Nous ne plaidons pas contre Luc Fournié", avait assuré, pour les parties civiles, Me Cohen. "Nous plaidons pour que la légitime défense soit consacrée telle qu’elle est instituée, pour qu'elle ne dégénère pas. Nous plaidons contre l'autodéfense, parce que nous considérons que c'est à la fois une régression et un danger."

    "Madame, depuis le 14 décembre 2009, il n'y a pas un seul jour sans que je pense à votre souffrance", avait déclaré M. Fournié, en pleurs, à l'attention de la mère de Jonathan présente dans la salle. Je n'ai jamais voulu tuer votre fils. Pardon, madame, pardon", avait-t-il ajouté avant la clôture des débats. 

    Luc Founié a quitté la salle d'audience pour la prison.
     
    FRANCE 3
     
    (merci à Dirk)

     

  • Pays-Bas: Geert Wilders jugé coupable d'incitation à la discrimination mais pas puni

    http://www.lemonde.fr/europe/article/2016/12/09/pays-bas-geert-wilders-juge-coupable-d-incitation-a-la-discrimination-mais-pas-puni_5046305_3214.html

    (merci à Dirk)

  • Les agressions se multiplient dans les Caisses d'allocations familiales (vidéos)

    http://www.fdesouche.com/798333-les-agressions-se-multiplient-dans-les-caisses-dallocations-familiales

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    NdB: Vous travaillez, vous payez vos impôts? Ils touchent!

  • "Les personnes situées à gauche n'ont pas le culte de l'argent". Ha ?

     

    C'est ce que l'on peut lire dans un manuel :

    M

    Alors toutes ces affaires n'ont pas eu lieu ou ce sont des personnes de droite égarées dans un parti de gauche ?

    Michel Janva

  • Des organisations juives en guerre contre Donald Trump et Stephen Bannon

     

    Plusieurs organisations juives ont déposé un million de signatures au Capitole contre la nomination de Stephen Bannon au poste de Haut-Conseiller du président élu Donald Trump.

    À l’initiative de J Street, Jewish Voice for Peace, Bend the Arc Jewish Action, IfNotNow et d’autres organisations du même genre, cette pétition demande aux membres du Congrès de s’opposer à la nomination de Bannon. Cette pétition est accompagnée d’une déclaration disant qu’il « n’y a pas de place pour un suprémaciste blanc, antisémite, climato-sceptique et misogyne à la Maison Blanche ».

    Le Rabbin Jason Kimelman-Block, directeur de l’organisation Bend the Arc Jewish Action, a déclaré que Trump avait « fomenté une agression contre nos valeurs les plus fondamentales en tant que Juifs et en tant qu’Américains ». « Trump a invité les promoteurs de visions et de rhétoriques nationalistes et antisémites, comme Steve Bannon, dans son cercle interne, un comportement inacceptable de la part de quelqu’un qui veut unir et diriger notre pays », a-t-il dit.

    Des organisations juives tentent également de mobiliser les musulmans à leurs côtés, comme nous l’avions déjà évoqué.

  • Le PS instaure le droit de vote des étrangers aux Primaires citoyennes !

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    09/12/2016 – FRANCE (NOVOpress) : C’est un vieux rêve du Parti socialiste qui se concrétise : accorder aux étrangers le droit de vote. Si le PS n’est pas parvenu à l’imposer pour les scrutins nationaux, faute de majorité des deux tiers au Parlement, son premier secrétaire, Jean-Christophe Cambadélis, l’a instauré sans rencontrer d’opposition pour les Primaires citoyennes, le nom donné à la primaire de la gauche socialiste qui aura lieu les 22 et 29 janvier prochain.

    Tous les étrangers pourront désigner le candidat du PS à l’élection présidentielle, à la seule condition… qu’ils soient de gauche ! Le règlement des Primaires citoyennes prévoit en effet que peuvent voter les étrangers, qu’ils soient ou non issus des pays de l’Union européenne, dès lors qu’ils sont « adhérents aux partis ou organisations de jeunesse des partis organisateurs », c’est-à-dire membres du Parti socialiste ou de ses satellites.

    Le Grand Remplacement de l’électorat disparu du Parti socialiste, c’est maintenant !

  • Alep : Poutine permet à Bachar Al-Assad de prendre sa revanche

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    09/12/2016 – SYRIE (NOVOpress)
    Plus rien ne semble arrêter l’armée syrienne et ses alliés dans sa reconquête des quartiers rebelles d’Alep. Les forces pro-gouvernementales, appuyées au sol par des combattants venus d’Iran et du Liban, viennent de reprendre la vieille ville et contrôleraient désormais plus de 80% de la deuxième cité du pays.

    Assiégés, les rebelles syriens ont appelé à un cessez-le-feu immédiat. L’urgence est absolue. Mais pour Damas, il est hors de question de lâcher du lest. Fort de ses succès militaires et des soutiens cruciaux russes et iraniens, Bachar Al-Assad a exclu, le jeudi 8 décembre, un cessez-le-feu et a souligné que la « libération d’Alep » sera « une étape énorme vers la fin » du conflit.

    Il semble loin le temps où François Hollande se disait prêt à «punir» le régime syrien…

  • 9 décembre : naissance de Jean Mermoz, un grand Français.

     

    Le 9 décembre 1901 naissait à Aubenton (Aisne), celui qui deviendrait un aventurier, un pionnier et un pilote français de légende.
    Il serait aussi un ardent militant patriote.

    Par son physique (il était surnommé « l’archange »), son audace et son endurance, Jean Mermoz fut le plus populaire des pilotes de l’Aéropostale.
    Cette compagnie aérienne s’illustra entre les deux guerres en établissant au prix d’immenses efforts les premières liaisons postales aériennes entre la France et l’Amérique du Sud.
    Il devint immensément célèbre après sa capture par les Maures le 22 mai 1926, suite à un atterrissage forcé de son Breguet XIV dans le désert au cours d’un vol Casablanca-Dakar. Son interprète et lui furent libérés contre une rançon de… mille pesetas.

    Mais Mermoz, abandonné en plein désert, dut gagner à pied par ses propres moyens le poste d’escale de Cap-Juby, tenu par Antoine de Saint-Exupéry. Plus de détails sur son itinéraire de pilote ici.

    Mermoz rejoignit le mouvement des « Croix de feu » (en tant que « Volontaire national »), une ligue patriotique dirigée par le colonel de La Rocque, tout en menant des activités caritatives.
    Après la dissolution des ligues par le « Front populaire », Jean Mermoz cofonda le puissant Parti Social Français (successeur des Croix de feu) dont il fut vice-président jusqu’à sa mort.
    Il disparut en effet prématurément le 7 décembre 1936, quand son avion s’abîma en mer.

    Citons-le :
    « La vie moderne autorise les voyages, mais ne procure pas d’aventure. »

    Source Thibaut de Chassey

  • JOURNAL TVLibertés DU 09/12/16

  • VIDEO - Marine Le Pen veut la fin de l'école gratuite pour les enfants de clandestins

    http://www.bfmtv.com/politique/marine-le-pen-prone-la-fin-de-l-education-gratuite-pour-les-enfants-etrangers-1068279.html

  • Décret de Valls sur la Cour de cassation : une «insouciance méprisable ou un cynisme absolu»

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    Le décret de Manuel Valls mettant sous le contrôle du gouvernement la Cour de cassation démontre qu'il ne voit en la loi qu'un outil politique. L'historien John Laughland se penche sur les raisons profondes de cette décision contestée.

    Comme cela arrive souvent dans l'histoire, Londres et Paris poursuivent des chemins diamétralement opposés.

    Au moment même où les audiences devant la Cour suprême se déroulent à Londres, où le gouvernement britannique est obligé de défendre devant des juges son droit de déclencher le processus du Brexit, en France, et par simple décret du premier ministre, signé par Manuel Valls seulement quelques heures avant de quitter le pouvoir, l'équivalent français de la Cour suprême britannique vient de se trouver mis sous le contrôle du ministère de la Justice et donc du gouvernement.

    Une telle réforme remet en cause le principe de la séparation des pouvoirs, principe fondamental de toute constitution

    Le premier président de la Cour de cassation et le Procureur général n'ont pas hésité à adresser une lettre au nouveau Premier ministre lui demandant de les recevoir. Ils sont visiblement inquiets devant cette réforme constitutionnelle, qui a été conçue sans aucune consultation avec les organes concernés et sans aucun débat au Parlement : la Cour de cassation elle-même n'en a pris connaissance que par le Journal officiel. Une telle réforme remet en cause le principe de la séparation des pouvoirs, principe fondamental de toute constitution dont l'indépendance du pouvoir judiciaire de l'exécutif est sans aucun doute l'élément le plus important pour un Etat de droit.

    L'abus du système judiciaire par le pouvoir politique est la caractéristique de toute dictature. Les grands procès spectacles des années trente à Moscou, et la Terreur de la Révolution française de 1793 à 1794, en sont sans doute les exemples le plus emblématiques. Pour protéger les citoyens contre ce genre d'abus, les constitutions démocratiques séparent le pouvoir exécutif du pouvoir judiciaire. Ce dernier est censé faire autorité sur l'interprétation des lois dont l'exécutif est le servant et la législature l'auteur.

    Il aurait été préférable de ne pas toucher à l'ancien système qui fonctionnait très bien. Mais la France vient de faire un pas dans le sens inverse, et en cachette

    Au Royaume-Uni, en 2009, après quelques années de discussion, les compétences du Comité judiciaire de la Chambre des Lords, la plus haute instance judiciaire au pays depuis 600 ans, ont été transférées à une nouvelle Cour suprême. Cette réforme constitutionnelle n'était nullement nécessaire, les «lords judiciaires» (Law Lords) ayant fait preuve pendant très longtemps d'un professionnalisme et d'une indépendance exemplaires. Le gouvernement travailliste tenait néanmoins à «moderniser» la constitution britannique en séparant la plus haute instance judiciaire de la législature dont elle faisait partie, la Chambre des Lords étant la chambre haute du Parlement britannique. 

    Une nouvelle instance à connotation américaine a donc été concoctée, et c'est elle qui va statuer sur la procédure du Brexit dans les jours qui viennent. Il aurait été préférable de ne pas toucher à l'ancien système qui fonctionnait très bien. Mais la France vient de faire un pas dans le sens inverse, et en cachette. Il semble que le décret du Premier ministre soumettant la Cour de cassation au contrôle du gouvernement n'a même pas été discuté au Conseil des ministres qui de toute façon a été remanié le lendemain.

    Sans s'accrocher aux principes abstraits, une telle légèreté ne peut qu'être condamnée. Une constitution n'est pas le produit d'une science abstraite mais de pratiques qui ont résisté à l'épreuve du temps. Abolir d'un trait de plume l'indépendance de l'organe qui est censé être le garant et le sommet du système judiciaire semble relever soit d'une insouciance méprisable, soit d'un cynisme absolu. Manuel Valls est capable des deux.

    Depuis plus de vingt ans, au niveau international, le monde a pris la mauvaise habitude de créer des instances judiciaires soumises au contrôle de l'exécutif.

    Qu'une telle chose soit devenue possible n'est pas le fruit du hasard. Depuis plus de vingt ans, au niveau international, le monde a pris la mauvaise habitude de créer des instances judiciaires soumises au contrôle de l'exécutif. C'est le cas notamment pour les deux tribunaux internationaux pour l'ex Yougoslavie et le Rwanda, tous les deux créés ex nihilo par le Conseil de sécurité et dépendants de celui-ci. Or, c'est un principe fondamental qu'un tribunal ne peut être créé que par une loi. Illégaux dans leur conception même, ces deux tribunaux ont exercé une influence néfaste sur la procédure judiciaire, ayant adopté un grand nombre de pratiques douteuses, contestables et pernicieuses qui, hélas, sont devenues la norme au niveau international et qui ont contaminé aussi les systèmes judiciaires nationaux.

    Le monde a accepté ces dérives car les gens ont été aveuglés par les affirmations de crimes de guerre épouvantables dont les personnes accusées par ces tribunaux seraient coupables. Or, tout juriste sait que la gravité du crime allégué est parfaitement hors sujet : il faut toujours respecter scrupuleusement les procédures. Hélas, le vieux concept d'ennemi du peuple, ou ennemi de l'humanité comme on dit plutôt aujourd'hui, a permis aux vielles habitudes révolutionnaires, dont je viens de citer les pires excès, de reprendre leur place.

    Que Manuel Valls ait signé ce décret le dernier jour de son mandat ne devrait étonner personne. Malgré son positionnement droitier sur l'échiquier de la gauche, Valls reste un ennemi acharné de ce qu'il considère être «les forces de la réaction». Quand il était ministre de l'Intérieur, sa police s'en est prise avec une violence rare contre les manifestants opposés au «mariage pour tous» ; Premier ministre, il a fait voter la loi liberticide contre l'entrave numérique à l'IVG. Désormais la dernière instance d'appel contre l'application de cette loi sera ... le gouvernement qui l'a rédigée.

    Pour Valls, comme pour Lénine, le tribunal n'est qu'un instrument de pouvoir

    Pour Valls, comme pour tout révolutionnaire, la loi est un outil politique. Elle n'est pas, comme l'affirment les conservateurs, un élément constitutif du tissu social dont la fonction principale est de régler les conflits inévitables entre citoyens de manière équitable et harmonieuse. Lui-même dépourvu de tout concept de la transcendance, Manuel Valls est incapable de comprendre que le droit est la réalisation de principes universels dans des cas concrets ; la loi est une sorte de pont entre le contingent et l'éternel. Pour Valls, comme pour Lénine, le tribunal n'est qu'un instrument de pouvoir.

    Pauvre France, à genoux après cinq années perdues de gouvernement socialiste, et après tant de décennies de renoncements et de mauvaise gestion ! Elle sera obligée, à cause de la bombe à retardement que vient de poser Manuel Valls sous les fondations mêmes de sa constitution, de tout réinventer, ou plutôt de tout redécouvrir, une fois le nouveau pouvoir élu. Espérons que celui-ci sera à la hauteur de la tâche.

    RT

  • VIDEO - Islamisation: ces quartiers musulmans où il ne fait pas bon être une femme

    http://fr.novopress.info/202277/islamisation-quartiers-musulmans-ou-il-ne-fait-pas-bon-etre-une-femme/

  • Les commissaires politiques de Najat dans les universités

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    L’installation des commissaires politiques et de la propagande antiraciste dans les universités, c’est fait. Najat Vallaud-Belkacem s’est rendue mercredi à la première « Journée des référents racisme et antisémitisme » de l’Enseignement supérieur et de la recherche, organisée avec la Conférence des présidents d’Université (CPU).

    La désignation de ces « référents racisme » avait été décidée dans le cadre de la « Grande mobilisation de l’Ecole pour les valeurs de la République » après les attentats de Charlie et de l’Hyper-Cacher. Comme si on ne savait pas quelle était l’origine très précise de la haine des tueurs.

    Les « référents racisme » ont pour objectif « d’informer et de sensibiliser » le plus grand nombre d’étudiants dans les facs sur les discriminations : âge, sexe, origine, religion et orientation sexuelle. Mais aussi de monter des cellules, de nouer des réseaux au niveau territorial ou national. Leur grand moment est la « semaine dédiée à la lutte contre le racisme et l’antisémitisme » qui se déroule du 21 au 28 mars 2016 : Débats, conférences, projections, concours photo etc.

    Leur très référente mère, Najat, a bien insisté dans son discours sur la « responsabilité de l’Enseignement supérieur et de la recherche » dans la lutte contre le racisme, « sur l’importance de son rôle et de sa place pour répondre à la demande de François Hollande qui a élevé la lutte contre le racisme et l’antisémitisme au rang de Grande cause nationale 2015 ». Dans la débandade généralisée au plus haut niveau du gouvernement, on est encore obligé de répondre aux demandes de Hollande…

    On a bien compris que l’objectif visé, ce n’est pas d’abord la montée de l’islamisme et que les référents ne traquent pas les djihadistes ni leurs recruteurs mais bien « la montée des populismes » qui « doit constituer, pour nos démocraties, une alerte », a martelé le ministre : « si le récent vote des Autrichiens est venu démontrer qu’il n’était pas une fatalité pour l’Europe, ce phénomène doit non seulement nous interroger mais aussi continuer de nous mobiliser sans relâche ». On espère qu’il y aura relâche dès mai prochain.

    Caroline Parmentier

    Article et dessin de Chard parus dans Présent daté du 9 décembre 2016

  • Comment Trump veut passer aoutre l'hostilité de la presse

    http://premium.lefigaro.fr/international/2016/12/08/01003-20161208ARTFIG00275-comment-trump-veut-contourner-une-presse-en-embuscade.php