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GAELLE MANN - Page 57

  • Marion Maréchal soigne son non-retour en politique

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    >Politique|Valérie Hacot|01 juin 2018, 0h15|0

    Marion Maréchal a beaucoup parlé d’éducation et de formation politique ce jeudi soir. 
     
     

    L’ancienne députée frontiste, qui multiplie les interventions publiques depuis quelques jours, était l’invitée ce jeudi d’une soirée ayant pour thème mai 68.

    Ne surtout pas y voir un retour dans la vie politique. Marion Maréchal - désormais délestée du « Le Pen » de son patronyme - invitée vedette de la soirée « Débranchons 68 » organisée par le magazine de droite conservatrice l’Incorrect et les Eveilleurs d’Espérance, a voulu d’entrée de jeu couper court aux spéculations. « A l’époque de Balance ton porc, il est particulièrement mal venu de vouloir faire dire oui à une fille qui n’arrête pas de dire non », a balayé l’ex-députée du Vaucluse. Et de préciser : « Ce n’est pas un retour politicien. Peut-être un retour à la vie publique, mais pour la métapolitique ».

     

    LIRE AUSSI >La nouvelle vie de Marion Maréchal

    Un non-retour qui suscite toutefois un véritable engouement. Ils étaient près de 1000 participants à avoir acquitté les 15 euros nécessaires pour participer à cette réunion organisée dans la salle un peu kitch de la « Palmeraie » dans le XVe arrondissement. Plutôt jeunes dans l’ensemble, bien habillés et pour certains d’entre eux, des électeurs… traditionnels de droite.

     

    « Je suis adhérent les Républicains », confie ainsi Emmanuel, 44 ans, venu de Sartrouville (Yvelines). Il a beau être un fan de Laurent Wauquiez, la démarche de Marion Maréchal l’intéresse : « Elle veut rassembler des gens de différents horizons. Depuis la Manif pour Tous, on sait que cela n’a pas de sens de rester chacun dans son coin », précise-t-il. Erik Tegner, qui a renoncé à la présidence des Jeunes avec Calmels (NDLR, la numéro deux des Républicains) a lui aussi fait le déplacement : « Ce n’est pas le FN ici », s’amuse-t-il, tout en assénant : « Marion Maréchal-Le Pen a des points communs avec Laurent Wauquiez. »

     

    LIRE AUSSI >Marion Maréchal explique pourquoi elle ne veut plus être appelée Le Pen

    Quelques têtes connues -l’homme d’affaires ex-UMP Charles Beigbeder, le conseiller régional Olivier Bettati, Samuel Maréchal, le père de Marion Maréchal, la députée Emmanuelle Ménard, ou encore Philippe Martel, l’ex chef de cabinet de Marine Le Pen- sont également de la partie. Après avoir poliment écouté la première table ronde sur Mai 68, la salle se réveille vraiment lorsque Marion Maréchal monte sur scène. Son intervention consiste avant tout à vanter les mérites de sa future nouvelle école, l’Issep, qui ouvrira ses portes en septembre. S’emportant au passage contre les grandes écoles « défaillantes » qui forment des « moules à Macron ». Son objectif : sortir « les conservateurs de leur état de zombification ». Histoire d’être, comme elle le résume, « les nouveaux 2068-ards ».

    Le Parisien

  • Immigration: la Hongrie qualifie de stupide la question d'une journaliste française

    Le porte-parole du gouvernement hongrois Zoltan Kovacs qualifie de «stupide» la question d'une journaliste française reprochant au pays de percevoir des fonds de l'UE tout en refusant la solidarité migratoire. - France 24, 29 mai 2018, 11h30

     

  • Bloc-notes : l’Europe se perd, en étouffant les peuples

     

    | 3 Commentaires

    La politique de l’étouffoir, encouragée par l’Union européenne aux abois, ne fera pas taire la colère des peuples. C’est à un jeu dangereux que se prêtent les dirigeants, à commencer par Emmanuel Macron, qui justifient la censure sur Internet, veulent interdire les "fake news"(fausses nouvelles), rejettent les votes des électeurs indociles. Les sermonnaires dénoncent en Vladimir Poutine une injure à la démocratie. Mais eux-mêmes se comportent en autocrates quand ils craignent la parole libérée. Cette intolérance attise les braises. Il faut vouloir être sourd pour ne pas entendre les protestations des réseaux sociaux ou des consultations électorales. Le sommet dans la provocation de la caste a été atteint, dimanche, avec le pied de nez de Sergio Mattarella, le président italien, aux électeurs de la péninsule. Ceux-ci avaient donné, le 4 mars, une majorité parlementaire aux mouvements antisystème : un choix que l’UE et ses soutiens ont jugé inacceptable.

    Il est loisible de parler de coup d’État légal pour qualifier la décision de Mattarella d’entraver la formation du gouvernement issu des urnes. Certes, la Constitution italienne permet au président d’avoir son mot à dire sur la préservation des intérêts supérieurs de l’Italie. Mais lui-même est dépourvu de légitimité : Mattarella a été désigné par l’ancienne majorité parlementaire du Parti démocrate, qui a perdu les élections. Son refus de nommer à l’Économie Paolo Savona, coupable d’avoir qualifié l’euro de "prison allemande", s’est opposé à la volonté des vainqueurs du scrutin (la Ligue et le Mouvement 5 étoiles). La pression de l’UE, c’est-à-dire des marchés financiers et des agences de notation, a été plus forte que l’expression majoritaire. Or c’est ce coup de force que Macron a approuvé en déclarant : "Mattarella a fait preuve de courage et d’un grand esprit de responsabilité"

    Cette violation d’un processus démocratique révèle la dérive autocratique de l’UE, dont le chef de l’État français est l’avocat de moins en moins convaincant. (La suite ici)

    Je participerai, ce vendredi, à L'heure des pros, sur CNews (9h-10h30) puis à Ca se dispute (19h-20h) sur cette même chaîne.

  • Cédric Herrou : la médaille de la honte à Grenoble

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    31/05/2018 – FRANCE (NOVOpress)
    Cédric Herrou, agriculteur français, s’est vu remettre la médaille d’honneur de la ville de Grenoble. Pourquoi ? Pour avoir fait rester clandestinement des migrants sur le territoire français.

    Cette décision a entraîné les représailles de la préfecture de l’Isère, mais le maire de Grenoble, issu du parti Europe Ecologie Les Verts s’est justifié : « La solidarité envers les exilé.e.s est un délit. La Ville de Grenoble enfreint la loi. Condamnez-moi.».

    Ces propos sarcastiques et cet acte, appelant clairement à commettre des infractions et des illégalités, sont proprement inacceptables venant d’un maire, chargé par la République de faire régner l’ordre public.

    Les fameuses valeurs de la République ?

  • JOURNAL DU JEUDI 31 MAI 2018

  • Liège (Belgique) : L’auteur de la fusillade a tué un ancien co-détenu quelques heures avant l’attaque (MàJ : l’EI revendique l’attentat)

    http://www.fdesouche.com/1013827-liege-belgique-fusillade-et-prise-dotage-en-plein-boulevard-deux-policiers-et-un-passant-ont-ete-tues-lacte-terroriste-est-privilegie

  • Meurtre de Tom, 9 ans, dans l'Aisne : ce que l'on sait

     

    Meurtre de Tom, 9 ans, dans l'Aisne : ce que l'on sait
    Le corps de l'enfant a été découvert dans le jardin de cette maison abandonnée d'Hérie-la-Viéville, dans l'Aisne. 

    La garde à vue de l'homme de 27 ans interpellé après la découverte du corps du garçonnet a été prolongée.

    Par L'Obs

     

    Sur une photo publiée ce mercredi dans la presse, ses cheveux, coiffés en crête, sont teints en rose. Jonathan M., 27 ans, est le principal suspect du meurtre du petit Tom, 9 ans. Sa garde à vue a été prolongée ce mercredi 30 mai. Il a été interpellé chez lui, mardi matin, après la découverte du corps sans vie de l'enfant, la veille au soir, dans le jardin d'une maison abandonnée d'Hérie-la-Viéville, dans l'Aisne. Que s'est-il passé, lundi , dans ce village d'un peu plus de 200 habitants, à une trentaine de kilomètres à l'est de Saint-Quentin ? Qui est le suspect ? Où en est l'enquête ?

    Que s'est-il passé ?

    Lundi, vers 18h30, le suspect se trouve en compagnie de l'enfant lorsqu'ils croisent un autre garçon âgé de 11 ans, selon une source proche de l'enquête citée par l'AFP. Cet enfant serait un ami de Tom, selon "le Parisien". Ils lui proposent de les accompagner cueillir des cerises, ce qu'il refuse. Vers 21h30, voyant que Tom n'a pas récupéré son vélo là où il l'a laissé, son ami donne l'alerte.

    De nombreux voisins participent aux recherches, indique aussi "le Parisien". Le suspect aussi, témoigne un habitant qui ajoute au quotidien : "On lui a demandé s'il n'avait pas vu Tom. Il a dit : 'Il est tombé du mur, je l'ai ramassé, et ensuite il est parti.'"

    Ce voisin précise avoir trouvé Jonathan M. "serein". Vers 23 heures, les gendarmes font la terrible découverte : le corps de l'enfant est dissimulé dans un coin peu accessible du jardin de cette maison abandonné, à environ 200 mètres de chez lui. Selon la même source citée par l'AFP, l'auteur des faits aurait tenté de brûler le corps qui, selon le parquet de Laon, portait des "traces de viol".

    Un traumatisme crânien est à l'origine de la mort de Tom, a annoncé mercredi le procureur de Laon.

    "L'autopsie pratiquée mardi a révélé que la mort" du petit Tom "est due à un traumatisme crânien" et "des traces de viol ont été mises en évidence" a déclaré Baptiste Porcher lors d'une conférence de presse.

    "Des traces de commencement de combustion ont été relevées sur certains végétaux à proximité du corps", a-t-il encore précisé, expliquant que l'orage qui s'abattait alors sur le petit village du Hérie-la-Viéville (230 habitants) avait été de "nature à éteindre un début d'allumage."

    Que sait-on du suspect ?

    Dans cette affaire, Jonathan M. est, pour l'heure, le seul suspect. Sans emploi, il vit dans la commune d'Hérie-la-Viéville. Il est connu pour des faits "mineurs" de droit commun, mais n'est pas inscrit au fichier judiciaire des auteurs d'infractions sexuelles (Fijais). Selon France 3 Hauts-de-France, il ne serait connu de la police que pour des faits de délinquance routière.

    En garde à vue, il a refusé, dans un premier temps du moins, de répondre aux questions des enquêteurs. La sœur du suspect, qui a été, un temps, baby-sitter de Tom, témoigne au "Parisien" :

    "Je ne sais pas quoi en penser. Il était un peu marginal. Il a eu des problèmes, il a déjà fait un séjour en hôpital psychiatrique." 

    "Il n'a rien à voir avec ça. [...] Il est incapable de ça", estime quant à lui un frère du suspect.

    "Il ne l'a pas fait", assure de son côté la mère du suspect sur "RTL", expliquant l'interpellation de son fils par son look "parce qu'il avait une crête de couleur, qu'il était toujours habillé en jean..." Evoquant les "crises de schizophrénie" de son fils, elle ajoute : "S'il a fait ça, c'est qu'il a eu un coup de folie." S'il est coupable, dit-elle également, elle souhaite "qu'il se fasse soigner plutôt que d'aller en prison".

    Mercredi, lors d'une conférence de presse, le procureur a précisé que la garde à vue du suspect de 27 ans était prolongée jusqu'à jeudi 6 heures.

    "Le gardé à vue est, en l'état de nos investigations, la dernière personne à avoir vu la victime en vie", a ajouté le magistrat.

    "A ce stade, il conteste son implication."

    Son casier judiciaire est vierge. L'enquête, ouverte du chef de meurtre précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime, a été confiée à la section de recherches d'Amiens.

    Où en est l'enquête ?

    Selon France 3, une enquête a rapidement été ouverte pour "meurtre précédé, accompagné ou suivi d'un autre crime". Le domicile du suspect a été perquisitionné. 

    Le maire de la commune envisage la mise en place d'une cellule psychologique pour soutenir les habitants particulièrement choqués et quatre psychologues de l'Education nationale se sont rendus dans l'école de l'enfant, rapporte "l'Aisne nouvelle".

    Une autopsie du corps de l'enfant a été pratiquée mardi soir. Ce mercredi en fin de matinée, la commune a à nouveau été bouclée et ses accès bloqués par des gendarmes, ont constaté des journalistes du quotidien local. Peu avant 13 heures, un fourgon aux vitres teintées précédé d'un véhicule de gendarmerie a également été vu quitter le périmètre, selon la même source.

    Le procureur de Laon pourrait donner plus de détails, ce mercredi après-midi, lors d'une conférence de presse.

    C. R.

  • JOURNAL TVLibertés du 30 mai 2018

  • Journal TVL du 29 mai 2018

  • Avec l’ISSEP, Marion Maréchal veut lutter contre l’héritage soixante-huitard

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    30/05/2018 – FRANCE (NOVOpress avec le bulletin de réinformation de Radio Courtoisie) : 
    Une semaine après l’annonce du lancement de l’Institut des Sciences sociales, économiques et politiques, Marion Maréchal précise ses intentions dans un entretien accordé au journal « Présent ». 50 ans après les événements de Mai 68, l’ancien député frontiste entend investir le champ de l’éducation.

    Alors qu’un classement BVA place Marion Maréchal 3ème dans le classement des personnalités politiques que les Français souhaitent le plus voir jouer un rôle à l’avenir, celle-ci s’immisce dans le combat culturel.

    Pour l’ex-élue du Vaucluse, les élections ne sont pas l’unique moyen pour servir la France. Elle souligne l’enjeu vital du combat culturel et éducatif. Particulièrement dans l’éducation supérieure, ravagée par le conformisme et l’égalitarisme et formant des élites dociles à la globalisation.

    Cette école a vocation à mettre en relation les bonnes intelligences qui partagent son projet pédagogique et ses valeurs.

    En quoi consistera le cursus proposé par l’ISSEP ?

    L’enseignement sera structuré afin de combiner les savoirs de l’entreprise et des affaires publiques. L’objectif est l’émergence d’une nouvelle génération de meneurs politiques et économiques au service de la France.

    Les diplômés de licence pourront suivre un magistère de deux ans, à l’issue duquel sera remis un diplôme d’école et un titre certifié bac+5 reconnu par l’État. A côté, une formation continue de 10 mois sans critère de diplôme sera proposée.

    C’est donc une stratégie à long terme que va déployer Marion Maréchal.

    Actant la fin du « délire soixante-huitard » et profitant de la prise de conscience général de la faillite du système éducatif, Marion Maréchal est persuadée de la nécessité d’une telle école. Elle entend redonner du sens au monde économique et de la performance au monde politique.

    Pour plus d’information et notamment sur le corps professoral, rendez-vous sur le site officiel : ISSEP.fr.

  • Les Brigandes - Les Colonies

  • Mamoudou Gassama, récupéré par les médias. Le sophisme au pouvoir

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    Jean Ansar ♦
    Journaliste.

    L’idéologie médiatique présente régulièrement une sélection d’immigrés et migrants émouvants ou admirables. Cette fois, ils ont leur héros. Certes Mamoudou Gassama en est un. Il n’a pas réalisé les risques, mais il a eu un réflexe formidable en sauvant un petit enfant suspendu à un balcon pour cause de négligence parentale.

    Gassama est un clandestin, il a été épatant, donc les clandestins et migrants sont épatants. C’est le sophisme qui est l’un des points récurrents de l’idéologie médiatique. Bien sûr qu’il y a amalgame et récupération et donc on jure le contraire. Tous les amalgames et toutes les récupérations ne seraient donc pas mauvais.

    Que l’on régularise Mamoudou ne choquerait personne. Que l’on s’en serve pour en régulariser des centaines de milliers qui n’ont sauvé personne est une autre affaire. Les médias choisissent leurs migrants. Jamais ils ne montrent un clandestin violeur ni ne font de ces cas plus nombreux des généralités, la bien sûr pas d’amalgame.

    On est unanime pour saluer le geste, pas pour l’interpréter politiquement en faveur de l’immigration clandestine, car c’est de cela qu’il s’agit hélas.
    Peu après les faits, le père de l’enfant, né en 1981 et sans antécédent judiciaire, a été placé en garde à vue pour avoir laissé son enfant sans surveillance, selon une source judiciaire. Il devait être déféré au tribunal de Paris. Sa mère n’était pas à Paris au moment des faits.

    La couverture médiatique de cet acte montre bien que l’on veut nous imposer les clandestins et culpabiliser nos réticences. Les réactions politiques sont à la hauteur des arrières-pensées.

    Ceux qui n’aiment pas les migrants sont en fait responsable de non assistance à personne en danger. Nous sommes bien dans la république des sophismes et ils sont nombreux ceux qui préfèrent, au fond d’eux même, l’adulation de Mamoudou aux hommages au colonel Beltrame.
    Le geste du malien va dans le sens du pays qu’ils veulent nous imposer.

    Le président l’a immédiatement reçu en direct devant toutes les caméras des chaînes de déformation continue, après les communiqués de madame Hidalgo.

    Le “héros” n’y est pour rien et les flagorneries orientées ne retirent rien à la beauté de son geste. Il s’agit simplement de ne pas être dupe de l’admiration médiatique qui est tout sauf innocente.

    METAMAG

  • Chemnitz (All.) : un demandeur d’asile syrien de 18 ans viole une jeune fille de 15 ans dans la cave d’un immeuble, la victime a été battue et a dû subir une opération chirurgicale

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    20h31
     

    Chemnitz, Allemagne : une jeune fille de 15 ans a été violée dans la cave d’un immeuble par un demandeur d’asile syrien de 18 ans.

    La victime était si grièvement blessée qu’elle a dû subir une opération chirurgicale.

    Le Syrien de 18 ans est un demandeur d’asile arrivé en Allemagne il y a trois ans, jusqu’ici il n’était connu de la police que pour des infractions mineures.

    La police a été alertée après que l’adolescente ait réussi à s’échapper de la cave où elle était retenue prisonnière. La victime a été hospitalisée suite à ses blessures. Le violeur a été arrêté par la police et est actuellement incarcéré.

    Une voisine témoigne : « Une fois, il y avait une femme avec lui, ils avaient un différend et il semblait l’agripper et probablement la battre aussi, je dois admettre: je n’ai pas appelé la police. »

    Le violeur présumé aurait rencontré sa victime via Facebook. L’Allemande de 15 ans vivait dans une maison pour jeunes.

    BILD

    Merci à Oswald

  • VIDEO - Censure d'un reporter de RT par l'Elysée

    https://francais.rt.com/france/51147-president-a-ete-clair-journaliste-rt-france-nouveau-refoule-elysee-video

  • «Le Président a été clair» : un reporter de RT France à nouveau interdit d'accès à l'Elysée

     

    «Le Président a été clair» : un reporter de RT France à nouveau interdit d'accès à l'Elysée (VIDEO)© Charles Platiau Source: Reuters
     

    Un journaliste de RT France s'est vu privé d'accès à l'Elysée par un gendarme, sur consigne expresse de la présidence et malgré présentation de sa carte de presse. «Vous travaillez pour Russia Today, vous ne pouvez pas rentrer», lui a-t-on expliqué.

    Ce 29 mai, alors qu'il se rendait à l'Elysée pour assister à la conférence internationale sur la Libye, notre reporter Kyrill Kotikov s'est vu refuser l'accès au palais présidentiel. Il était pourtant muni de sa carte de presse, comme le lui avait demandé Marion Beyret, la chargée des relations presse de l'Elysée, avec laquelle il s'était entretenu la veille au téléphone. Bloqué à l'entrée du palais présidentiel, il n'a donc pas pu couvrir l'événement. Un de ses confrères de la BBC, qui se présentait au même moment, muni lui aussi de sa carte de presse, a toutefois été admis à l'intérieur. La raison invoquée par l'Elysée : les journalistes travaillant chez RT France ne sont pas les bienvenus, selon le président de la République.

        
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    «Le Président a été clair» : un reporter de RT France à nouveau interdit d'accès à l'Elysée

    La séquence, intégralement filmée par notre reporter, permet de constater qu'après avoir refusé de s'entretenir avec lui en invoquant un manque de temps, la responsable des accréditations de l'Elysée lui a fait savoir, par l'intermédiaire d'un gendarme, qu'il s'agissait bien d'une «consigne». «Le président a été clair à ce sujet», annonce le gendarme. «Tant que c'est Russia Today, ou que vous travaillez pour Russia Today, vous ne pouvez pas rentrer», confirme-t-il. «C'est pour ça que Madame refuse la discussion», poursuit-il pour expliquer le silence de la responsable des accréditations, qui continue de lui tourner le dos sur le trottoir d'en face.

    Si Emmanuel Macron a tenu des propos plus qu'optimistes quant à l'avenir des relations franco-russes au Forum économique de Saint-Pétersbourg, les journalistes de RT France ne sont toujours pas les bienvenus à l'Elysée. En effet, la justification avancée par la présidence démontre qu'elle campe toujours sur la position qu'avait adoptée Emmanuel Macron à Versailles en mai 2017, lorsqu'il avait accusé RT France d'être un «organe de propagande».

    Un incident qui survient en plein débat autour de la loi anti-fake news

    Ce n'est d'ailleurs pas la première fois qu'un journaliste de RT France se voit refuser l'accès au palais présidentiel malgré sa carte de presse. Ces incidents rappellent le très fort climat de défiance à l'égard de nos journalistes qui règne à l'Elysée. Après avoir dans un premier temps évoqué de prétendues «fake news», sans jamais citer d'exemple précis, l'entourage d'Emmanuel Macron a ensuite sensiblement modifié son discours . Récemment, Mounir Mahjoubi, secrétaire d'Etat au Numérique, avait finalement reconnu que RT ne relayait pas de fausses informations mais que son «état d'esprit» posait problème.

    A quelques jours du début de l'examen par l'Assemblée de la loi de lutte contre les fake news annoncée par Emmanuel Macron, et dont l'exécutif ne nie pas qu'elle vise entre autres notre rédaction, cet incident interroge plus que jamais le rapport qu'Emmanuel Macron entretient avec la liberté de la presse. La veille, le président rappelait pourtant son attachement à la liberté de la presse qui n'avait, selon lui, «pas de prix».

    Lire aussi : Loi anti-fake news : l'exécutif estime que «la capacité de discernement des citoyens ne suffit plus»

    RT

  • « Le voile islamique fait partie de la France » affirme un chef du parti d’Emmanuel Macron qui veut des « femmes voilées à l’Assemblée » (vidéo)

     

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    BREIZATAO – POLITIKEREZH (25/05/2018) Lentement mais sûrement, Emmanuel Macron structure son alliance avec les islamistes, essentiellement les Frères Musulmans, en envoyant des émissaires faire voler des ballons d’essai dans les médias.

    Dernier épisode en date, le député LREM du Val d’Oise Aurélien Taché a fait savoir que des femmes voilées à l’Assemblée Nationale française auraient « son soutien » car le voile islamique « fait partie de la société française » selon ce parlementaire macroniste.

     

    Cette déclaration s’ajoute au numéro de communication orchestré à l’Elysée par Emmanuel Macron et Yassine Belattar, un proche des Frères Musulmans, autour de la réorganisation politique des zones de peuplement afro-islamique en France (lire ici).

    Capter le vote musulman

    Sur fond d’islamisation fulgurante de l’Hexagone – qui compte désormais près de 10 millions de musulmans – Macron entend empêcher la gauche radicale mélenchoniste de capitaliser sur le vote islamique.

    Pour y parvenir, une sous-traitance des zones islamiques est donc accordée aux Frères Musulmans qui auront pour tâche, en échange de la protection du gouvernement, de soutenir électoralement Emmanuel Macron.

    Ainsi se forme, progressivement, la 6ème République française : la république islamique.

  • Crise italienne : Macron salue le «courage» et la «responsabilité» du président Mattarella

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    Image d'illustration : Emmanuel Macron et Sergio Mattarella se serrent la main en janvier 2018
     

    Refusant catégoriquement une présence eurosceptique au ministère des Finances, le président italien a confié à Carlo Cottarelli, ancien du FMI, le soin de former un gouvernement. Le président français a tenu à féliciter son homologue italien.

    Emmanuel Macron a complimenté le président italien Sergio Mattarella après que ce dernier a convoqué Carlo Cottarelli, ancien haut responsable du FMI, pour former une équipe gouvernementale après la démission de Giuseppe Conte

    Le chef de l'Etat français a ainsi déclaré : «Je redis mon amitié et mon soutien au président Mattarella qui a une tâche essentielle à mener, celle de la stabilité institutionnelle et démocratique de son pays, ce qu'il fait avec beaucoup de courage et un grand esprit de responsabilité.»

    Le locataire de l'Elysée a par ailleurs tenu à rappeler que «l'Italie [était] un partenaire important pour la France sur tous les sujets», soulignant tout particulièrement l'importance de Rome «pour les projets européens».

    RT France
     
    @RTenfrancais
     
     

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