Déroulez pour voir les photos de toutes les malheureuses victimes des "migrants"...
GAELLE MANN - Page 58
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« Elles pourraient être encore en vie si leurs assassins (des migrants) avaient été expulsés » : le journal allemand BILD « exige des réponses des politiciens »
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JOURNAL TVL DU 28 MAI 2018
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La censure de Facebook continue : la page « Les Identitaires » vient d’être supprimée !
Depuis mercredi 23 mai, la page Facebook « Les Identitaires », qui avait échappé à la censure jusque-là, a été supprimée par Facebook sans avertissement ni explications. Suite à l’action pacifique et symbolique de Génération Identitaire dans les Alpes, une vague de censure sur le réseau social de Mark Zuckerberg s’était abattue sur Génération Identitaire, supprimant notamment sa page Facebook et empêchant les 126 000 internautes qui y étaient abonnés de continuer à suivre son actualité.
Cette censure avait été dénoncée par des personnalités de tous bords, comme Dominique Reynié (tête de liste « Les Républicains » dans le Sud aux élections régionales de 2015) ou Nicolas Dupont-Aignan (candidat DLF aux élections présidentielles). Le 22 mai, Nicolas Bay (Président du groupe Front National au Parlement européen) a également interrogé Mark Zuckerberg lors de son audition par les députés européens à Bruxelles afin de connaître les raisons de cette censure.
Le fondateur de Facebook s’est contenté de répondre : « Nous voulons que les gens continuent de venir et d’utiliser nos services, et qu’ils partagent leurs idées politiques, quelle qu’en soit la sensibilité. […] Je peux l’affirmer devant vous aujourd’hui : nous n’avons jamais et ne prendrons jamais de décision quant au contenu qui doit être mis en avant, et ce en fonction des vues politiques qui y sont diffusées. C’est un sujet fondamental pour moi, sur lequel je suis fier de m’engager. » Le lendemain, malgré les promesses de Mark Zuckerberg, la page des Identitaires était donc supprimée alors même qu’elle se rattache à un mouvement indépendant de Génération Identitaire.
La Dilcrah (Délégation interministérielle à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT) s’était félicitée de la censure des pages de Génération Identitaire, revendiquant ne pas y être pour rien. Cette collusion scandaleuse entre le pouvoir politique et un réseau social en situation de monopole révèle une dérive extrêmement inquiétante concernant la liberté d’expression. La répression pour nous faire taire n’a jamais été aussi forte depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron. Manifestations interdites, comptes twitter supprimés, pages Facebook censurées… ils peuvent tout essayer, le mouvement identitaire continuera de lutter pour notre identité et ne lâchera rien !
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Et allez… encore un peu de manipulation !
C’est une vidéo qui cartonne sur les réseaux sociaux, vue plus de trois millions de fois, qui passe dans vos journaux télévisés pour vous montrer l’acte héroïque d’un jeune Malien, sans papier, arrivé en France en septembre. Celui-ci a en effet escaladé à la vitesse de Spiderman ou presque, quatre étages pour sauver un enfant qui allait chuter d’un balcon, s’assurant une mort inévitable. Hourrah ! Hourrah ! crie la foule en délire. Vive le héros malien, émigré clandestin. Donnons lui des papiers. Tout de suite !
Oui, mais…
Quand on regarde la photo, quelques questions viennent immédiatement à l’esprit pour qui se donne la peine de réfléchir un peu :
• Que fait l’autre homme habillé en blanc ?
• Pourquoi ne remonte t-il pas le gamin ?
• Pourquoi la femme ne l’aide t-elle pas ?
• Comment un enfant, qui semble moins grand que la hauteur de protection du balcon a t-il pu passer de l’autre côté et rester accroché par les deux mains ?
• Comment a t-il pu tenir aussi longtemps à la seule force de ses poignets ?Ce fait divers sent le coup monté à plein nez.
Il n’y a qu’à voir le retentissement et les commentaires qu’il a immédiatement suscités, s’en prenant aux gens qui dénigraient les émigrés clandestins, réclamant pour lui des papiers et plus vite que ça. Après les chirurgiens et les architectes, voilà les secouristes. On nous prend vraiment pour des billes.
Quand montrera t-on avec autant d’insistance les auteurs de viols ?
On apprend qu’Anne Hidalgo a eu le plaisir de s’entretenir avec lui au téléphone, et qu’il sera reçu à l’Élysée par Emmanuel Macron.
Le père de l’enfant, lui, sera présenté au parquet ce matin. Il était parti faire des courses laissant l’enfant seul chez lui. Et l’homme du balcon qui n’intervient pas ? Pas de convocation pour non assistance à personne en danger ? Ou pour complicité ?
La sordide affaire Théo ayant connu son méprisable épilogue, il fallait bien faire verser des larmes aux idiots utiles sur un autre sujet.
Navrant.
Patrice LEMAÎTRE
NICE PROVENCE Info
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Reçu à l'Elysée, Mamoudou Gassama raconte à Macron son acte héroïque
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LE BLASON DE MEGHAN : SEA, SUSSEX AND SUN
Sur fond d’azur, pour rappeler le bleu de l’Océan pacifique, deux bandes d’or symbolisant le soleil de la Californie.
Le conte de fées se poursuit : on apprend que Son Altesse Royale, la duchesse de Sussex, née Miss Rachel Meghan Markle, a désormais son blason. La reine vient de lui concéder cet honneur.
Contrairement à ce qu’on pense généralement, les armoiries ne sont pas un privilège de la noblesse. N’importe qui peut posséder son blason. Du reste, Louis XIV, toujours à tirer le diable par la queue – une constante française -, avait trouvé le filon en décidant, en 1696, de faire réaliser un inventaire héraldique appelé Armorial général de France. La noblesse mais aussi de nombreuses familles bourgeoises, des ecclésiastiques – et pas que des évêques -, des villes, des communautés religieuses, des corporations de métiers firent enregistrer leurs armes. Rien que pour la généralité de Paris c’est plus de 18.000 blasons qui furent ainsi répertoriés. D’ailleurs, Emmanuel Macron devrait y réfléchir pour compenser la suppression de la taxe d’habitation…
Le blason, de l’allemand blasen, dit-on, qui veut dire « sonner » – « parce que ceux qui allaient aux tournois sonnaient de leur trompe, prouvant ainsi leur noblesse pour s’y faire recevoir » -, peut représenter la personnalité pour qui il est confectionné. L’humour n’est, au reste, pas incompatible avec la science héraldique. Ainsi, lorsque Louis XIV anoblit Le Nôtre, son cher jardinier de Versailles, il lui demanda ce qu’il désirait voir figurer sur ses armes. Le Nôtre lui répondit : « Trois limaçons couronnés d’une feuille de chou. » La feuille de chou dut être mangée car il ne reste au Grand Armorial que les trois limaçons !
Mais revenons au blason de la duchesse de Sussex. La tradition aurait voulu que la reine concède des armes au père de Meghan – le grand absent de la noce pour raisons médicales, selon ce qu’il a été convenu officiellement – puisque sa famille n’en possédait pas. C’est ce qui avait été fait en 1999 pour Sophie Rhys-Jones, l’épouse du prince Édouard, quatrième et dernier enfant de la reine Élisabeth, et pour Kate Middleton lors de son mariage avec le prince William en 2011. Mais la reine a concédé en propre des armes à Meghan. Pourquoi ce traitement différent, ce privilège particulier, pour l’épouse du prince Harry ? Les médias se pâment devant cet événement qui rompt avec la coutume. On y verrait une sorte d’hommage au féminisme de l’actrice émérite. Mais aussi une attention toute particulière de la reine pour sa nouvelle belle-petite-fille.
Bon, au fait, et le blason de Meghan ? Pas de limaçons couronnés d’une feuille de chou people ou de caméras posées sur fond d’écran d’argent. Non. Sur fond d’azur, pour rappeler le bleu de l’océan Pacifique, deux bandes d’or symbolisant le soleil de la Californie. To summarize: sea, Sussex and sun. Ah, on allait oublier : aussi trois plumes blanches représentant la communication et le pouvoir des mots. Hollywood ? Peut-être. Et en hommage à celles qui n’ont pipé mot des années durant ? On notera que l’écu repose sur un champ au naturel parsemé de « gold puppies » (en français, des pavots dorés), symbole de la Californie. Et de son mode de vie ?
BV
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VIDEO - La Liberté d'informer - Vincent Lapierre, brut!
A regarder absolument!
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Italie : Giuseppe Conte, en désaccord avec le chef de l’Etat, renonce à devenir Premier ministre
20h42Giuseppe Conte, choisi par le M5S et la Ligue pour occuper la fonction de président du Conseil, renonce finalement à ce poste. Agé de 53 ans, ce juriste novice en politique s’efforçait depuis mercredi de constituer son équipe. ll était reçu dimanche à 19 heures par le président italien Sergio Mattarella, auquel il devait remettre la liste de son gouvernement.
Le chef d’État avait jusque-là refusé d’accepter que l’économiste Paolo Savona prenne le portefeuille des Finances. Si Sergio Matarella ne s’en était pas ouvert en public, ses conseillers s’étaient chargé de faire comprendre que le président ne voulait pas d’un eurosceptique à la tête du ministère de l’Economie et qu’il n’accepterait pas que les partis lui forcent la main.
Les marchés s’inquiètent de la constitution d’un gouvernement eurosceptique dont la politique menacerait les fragiles finances publiques italiennes. […]
Le Figaro
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Génocide Arménien : la Turquie Persiste et Signe par Uzay Bulut
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Le génocide perpétré par la Turquie ottomane contre les chrétiens arméniens, grecs, assyriens et autres minorités chrétiennes a duré 10 ans, de 1913 à 1923. Trois millions de personnes environ ont été anéanties. Malheureusement, l'agression turque contre les Arméniens survivants se poursuit.
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Dans la mythologie turque, des « traîtres » Arméniens ont persécuté les Turcs ; lesquels ont agi en légitime défense pour se débarrasser de ces Arméniens meurtriers. Le slogan turc le plus répandu est : "Ils l'ont bien cherché".
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Les mensonges d'État et la propagande qui transforment les victimes en coupables de leur propre anéantissement, autorisent les Turcs à persécuter aujourd'hui encore, la minorité arménienne survivante, à transformer leurs églises en mosquées, et à autoriser les chercheurs de trésor à saccager les tombes et les églises.
La commémoration annuelle du génocide arménien organisée par la branche stambouliote de l'Association turque des droits de l'homme (IHD) et le Mouvement européen antiraciste de base (EGAM) devait avoir lieu le 24 avril. Cette commémoration, organisée chaque année depuis 2005, a été interdite en 2018 par la police qui a saisi pancartes et bannières, scruté le casier judiciaire des manifestants et arrêté trois militants des droits de l'homme avant de les relacher.
Dans un entretien exclusif accordée à Gatestone, Ayşe Günaysu, un activiste de la Commission contre le racisme et la discrimination de l'IHD, a déclaré que « sur le chemin du commissariat, les manifestants arrêtés ont été forcés d'écouter des chants racistes contenant des propos hostiles aux Arméniens ».
La cérémonie annuelle du 24 avril commémore la rafle, l'emprisonnement et l'assassinat de plus de 200 intellectuels et dirigeants communautaires arméniens à Istanbul par les autorités ottomanes le 24 avril 1915. Cette cérémonie commémore par extension l'ensemble du génocide arménien. Les victimes ont été emprisonnées dans un bâtiment qui abrite aujourd'hui le Musée d'art islamique turc (Türk İslam Eserleri Müzesi). Les Arméniens ont ensuite été conduits à la gare de Haydarpaşa, puis transportés en Anatolie en vue de leur extermination finale. Selon Günaysu:
« Lors de nos commémorations, nous avons montré les scènes de crime. Nous avons pointé le Musée d'art islamique turc et la gare de Haydarpaşa comme lieux de crime, nous avons cité à voix haute les noms de plus de 2000 villes et villages arméniens détruits en raison du génocide. Nous avons écrit leurs noms sur des panneaux d'exposition. Nous n'avons pas seulement commémoré les morts, mais aussi tenté de partager la vérité sur le génocide avec le peuple turc. »
Depuis 2010, l'IHD se réunit à la gare de Haydarpaşa pour la commémoration. Cette année, l'événement devait avoir lieu sur la place Sultanahmet. Günaysu a déclaré :
« Nous ne demandons pas la permission de commémorer le génocide, nous nous bornons à informer le bureau du gouverneur d'Istanbul de l'heure et du lieu de la manifestation. Nos bannières se lisent comme suit :« Génocide ! Reconnaître ! Compenser ! Demander pardon ! » en anglais et en turc. La police nous a dit que nous pouvions organiser l'événement à condition de ne pas utiliser le mot « génocide ». Mais nous avons refusé de nous autocensurer et nous nous sommes rassemblés à Sultanahmet. Nous avions préparé un communiqué de presse mais nous n'avons pu le lire ni le distribuer en raison de l'intervention de la police. Les forces de l'ordre ont confisqué nos banderoles, panneaux et photos des intellectuels arméniens arrêtés le 24 avril 1915 ».
Le communiqué de presse de l'IHD, que la police a empêché d'être distribué, disait entre autres choses :
« Le génocide commis contre les peuples chrétiens de l'Asie Mineure et de la Mésopotamie du Nord, contre les Arméniens, les Assyriens et les Grecs est à la base de tous les maux de ce pays.
« Aujourd'hui, nous nous inclinons de nouveau avec respect en souvenir des victimes arméniennes, assyriennes / syriaques et grecques du génocide. Et nous, les descendants des victimes de ce génocide, nous réitérons notre sentiment de honte de n'être pas en mesure d'empêcher la poursuite de ce génocide à travers son déni et les vagues de destruction qui se suivent à chaque génération. »
Car hélas, l'hostilité active des Turcs contre les Arméniens survivants se poursuit. Le 28 décembre 2012, une Arménienne de 85 ans, Maritsa Küçük a été battue et poignardée à mort dans sa maison de Samatya, un quartier qui rassemble l'une des plus grandes communautés arméniennes d'Istanbul.
Günaysu a déclaré que « lors de l'intervention de la police et à l'occasion des arrestations des participants à la commémoration du génocide à Sultanahmet, la fille de Maritsa Küçük, Baydzar Midilli, a crié : « Ma mère est une victime du génocide, et vous prétendez qu'il n'y a pas de génocide ?! » Alors que des policiers se dirigeaient vers elle, apparemment dans l'intention de l'arrêter, Eren Keskin, un avocat spécialisé dans les droits de l'homme, les a arrêtés et leur a dit que la mère de Midilli avait été assassinée en tant qu'Arménienne. Un responsable de la police a empêché les policiers de l'arrêter. »
Le 24 avril 2011 – à l'occasion du 96e anniversaire du génocide -, Sevag Balıkçı, un Arménien effectuant son service militaire dans l'armée turque, a été abattu par un nationaliste turc. Son tueur attend toujours d'être traduit en justice. Lors de la commémoration du mois dernier, sept ans après son assassinat, la famille et les amis de Balıkçı se sont rendus sur sa tombe à Istanbul pour lui rendre hommage. Selon Günaysu, les policiers ont déclaré aux personnes rassemblées sur la tombe qu'il n'était pas permis dans leurs discours de mentionner le mot « génocide » :
« De nombreux policiers en armes avaient été postés au cimetière. Pendant que les gens priaient, la police a tenté d'intervenir. Mais deux activistes ont demandé à la police de respecter ceux qui priaient et pleuraient. Par chance, ils ont écouté et se sont tenus à distance des participants à la commémoration. »
Le génocide qui a ciblé les chrétiens arméniens, grecs, assyriens et d'autres chrétiens en Turquie ottomane a duré 10 ans - de 1913 à 1923 -. Trois millions de personnes environ ont été anéanties. Après un siècle, la blessure des victimes et de leurs descendants demeure vivace. Le journal en ligne Artı Gerçek a récemment rapporté que les os des victimes sont toujours visibles dans un lac de l'est de la Turquie.
Des civils arméniens, escortés par des soldats ottomans, ont marché à Harput vers une prison proche de Mezireh (aujourd'hui Elazig), en avril 1915. (Source de l'image: Croix Rouge américaine / Wikimédia Commons)
Les habitants du cru nomment ce lac "Gvalé Arminu" (le "lac arménien") après que plus de 1 000 hommes, femmes et enfants y aient été exécutés il y a 103 ans. Selon l'article, seuls deux enfants, cachés par les villageois, ont survécu. Les ossements réapparaissent en été quand le lac s'assèche, mais aucune enquête gouvernementale n'a jamais été ordonnée. Le gouvernement continue de nier le génocide et tente de réduire au silence ceux qui essaient d'en parler.
Le 24 Avril, l'Agence de presse gouvernementale Anadolu (AA) a publié un articleintitulé : « Comment les lobbies arméniens tirent profit de l'industrie du génocide ». L'article alléguait que la diaspora arménienne et la République d'Arménie multiplient les mensonges sur « le génocide arménien » en vue d'en tirer profit.
Le même jour, l'AA a publié une analyse complémentaire : « Les Turcs n'ont pas oublié comment ils ont survécu à l'oppression arménienne. » Dans la mythologie turque, de « traîtres » Arméniens ont persécuté les Turcs qui ont agi en légitime défense pour se sauver des Arméniens meurtriers. Le slogan turc le plus répandu est : « ils l'ont bien cherché ».
Les mensonges et la propagande d'État transforment les victimes en coupables de leur propre anéantissement. Ces mensonges et cette propagande autorisent aujourd'hui la poursuite des exactions turques contre les Arméniens survivants, lesquelles passent par la conversion des églises en mosquées et le saccage des tombes et des églises arméniennes par les chasseurs d'or.
Il est urgent que le gouvernement turc mette un terme à cela.
Uzay Bulut est une journaliste turque, membre du Haym Salomon Centre, un groupe d'information et de politique publique. Elle est actuellement basée à Washington DC.
GATESTONE
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En Juin, l’UE offrira 15 000 billets de train illimités à des jeunes de 18 ans
L’Union européenne va offrir au mois de juin 15 000 billets qui permettront aux jeunes de 18 ans de voyager gratuitement pendant 30 jours dans quatre pays.
Si vous êtes citoyen européen, que vous avez 18 ans et que vous rêvez de découvrir l’Europe et sa culture.
« Discover EU », comment ça fonctionne?
- Près de 15 000 participants voyageront entre juillet et septembre.
- Les candidatures en ligne s’ouvriront entre le 12 et le 26 juin. Ceux n’ayant pas eu l’occasion de s’inscrire pourront retenter leur chance plus tard dans l’année.
- Seuls les citoyens européens âgés de 18 ans au 1er juillet 2018 peuvent envoyer leur candidature lors de la première période.
- Les participants peuvent voyager au maximum 30 jours dans 4 pays de l’Union européenne au plus.
- Les voyages se feront en majorité en train mais d’autres moyens de transport seront mis à disposition dans certains cas (personnes invalides, personnes venant de régions éloignées).
Une page dédiée à cette initiative sera mise en ligne mi-juin sur le Portail européen de la jeunesse. Une page Facebook sera également créée et un quizz permettra la sélection.
Le soutien du Parlement européen
Le Parlement européen a été un fervent défenseur de l’idée d’offrir des tickets de train aux jeunes européens de 18 ans. Trois résolutions soutenant cette initiative ont été votées par le passé. Un budget de 12 millions a été alloué.
Les députés pensent que cette initiative permettra aux jeunes citoyens de découvrir la diversité de l’Europe et de mieux se comprendre l’un l’autre. Ils espèrent promouvoir l’identité européenne et renforcer les valeurs communes européennes en encourageant les jeunes à voyager dans l’Union européenne et à rencontrer des jeunes d’autres États membres.
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2018, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine -
BONNE FÊTE DES MERES
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Écosse : droit de vote pour les réfugiés et les demandeurs d’asile
10h36Le gouvernement écossais a confirmé son intention d’étendre le droit de vote afin d’inclure tous les citoyens non britanniques vivant en Écosse.
Le ministre des Affaires parlementaires, Joe FitzPatrick, a déclaré que toutes les personnes résidant en Écosse, «d’où qu’elles viennent», devraient pouvoir voter.Actuellement, seuls les Britanniques, les Irlandais ou ceux qui sont qualifiés de citoyens du Commonwealth âgés de plus de 16 ans peuvent voter aux élections au Parlement écossais et aux élections locales.
Le ministre a également déclaré que cette extension concernait les demandeurs d’asile et les réfugiés installés en Ecosse.
[…]
(Traduction Fdesouche)
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UE – Un vent mauvais se lève contre les élites néo-mondialistes
Tandis que la marionnette Macron accélère les « réformes » atlanto-mondialistes quasiment jusqu’au point de rupture de la Société française et du Contrat social, d’autres pays européens commencent à s’agacer très sérieusement de la plaisanterie européiste, dont les jours semblent désormais comptés.
- C’est d’abord le Royaume-Uni, qui le premier a décidé de claquer la porte, profitant sans doute de son statut d’îlien et de son histoire très indépendante du continent européen : ce Brexit, qui deviendra effectif fin Mars 2019, sonne le glas de l’aventure européiste pour l’un des plus grands contributeurs nets, ce qui ne pourra que provoquer uns cascade d’impôts de plus en plus insurmontables pour les membres contributeurs restants !
- C’est désormais l’Italie qui s’apprête à former un gouvernement euro-sceptique et qui menace de sortir de l’Euro si sa dette énorme n’est pas effacée,
- C’est enfin l’Allemagne dont les élites économiques s’affolent face aux dettes « kolossales » accumulées au sein de l’UE, notamment par le biais des fameux Target 2, et qui réclament de plus en plus ouvertement l’instillation d’un processus de sortie de l’Euro et sans doute de sortie de l’UE pour préserver les intérêts de l’Allemagne, qui sont menacés par la mutualisation des dettes réclamée par Macron et ses puissants protecteurs atlantistes.
Bref, cette fois-ci ce ne sont pas les seconds couteaux ni les pays peu peuplés de l’UE qui tanguent très sérieusement et qui se préparent à claquer la porte, mais les grands pays contributeurs de cette gabegie historique.
Et cela change tout.
Si les élites de la France infiltrée continuent à accélérer face au mur, les opposants à la base de la pyramide s’organisent et se font de plus en plus pressants pour médiatiser le Frexit.
Aucune erreur, aucun raté ne sera désormais pardonné aux élites par les bas peuples en colère.
Au final, la pression est maximale sur les gouvernements des 4 principaux pays contributeurs de l’Europe : Allemagne, Italie, France et bien évidemment Royaume-Uni.
Ajoutons à cela les rancoeurs très fortes en Grèce et la défiance de certains pays comme la Hongrie, où les activités séditieuses et subversives du comploteur de l’ombre Soros sont désormais combattues avec détermination, et le tableau déjà sombre se noircit encore un peu plus.
Certes, le château de cartes tient encore debout grâce aux facilités monétaires décrétées par la Banque européenne et par la propagande éhontée des grands médias alignés, mais l’édifice tangue de plus en plus sérieusement et le moindre souffle un peu appuyé pourrait tout balayer.
Le peuple de France, beaucoup trop passif après la forfaiture du Parlement contre le référendum de 2005, pourrait avoir à payer le prix fort de son laxisme politique et de son angélisme euro-atlantiste.
Il était pourtant prévenu, mais comme la cigale, il a préféré chanter alors que la bise souffle de plus en plus fort.
Une bise noire, un vent mauvais, qui pourrait bientôt balayer toute la clique euro-atlantiste qui occupe l’avant-scène et les coulisses du Pyramidion, se partageant le gâteau avec les illuminations de pacotille depuis trop longtemps.
Il sera alors crucial pour le peuple de se réveiller de sa torpeur pour opérer les bons choix dans l’urgence, et ne pas replonger aveuglement dans les bras de ceux qui les auront plongés dans la ruine et le chaos.
Chassez le naturel, il revient au galop !
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Val-d'Oise: Un réseau de prostitution dans des foyers d'aide sociale à l'enfance
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Val-d'Oise: Un réseau de prostitution dans des foyers d'aide sociale à l'enfance
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Fréjus : David Rachline gèle les aides d'un centre qui distribue des repas pendant le ramadan
A Fréjus, le maire FN David Rachline s'oppose à la distribution de repas aux plus démunis. L'action est organisée par un centre social de Fréjus pendant le ramadan. La municipalité a gelé sa subvention en dénonçant "une optique communautariste inacceptable".
"Le problème constaté concerne spécifiquement le centre social de la Gabelle", a justifié David Racheline, jeudi 24 mai, citant ce quartier où une nouvelle mosquée, combattue par la mairie malgré plusieurs décisions de justice, a ouvert en 2016.
Au vu de l'affiche représentant un croissant islamique, du jour et de l'heure des repas proposés à la rupture du jeune chaque vendredi d'ici à la fin du ramadan, l'élu d'extrême-droite estime que la distribution est "spécifiquement orientée vers les fidèles de ce lieu". "On est véritablement dans une optique communautariste qui n'est pas acceptable", dit-il.
"Il n'y a évidemment aucune position de principe contre les "repas solidaires" et toute action en faveur des plus démunis, indépendamment de leur religion. Mais la distribution de cadeaux ne se fait pas le soir de Noël durant la messe ! La distribution de cadeaux ou le repas se font de manière totalement laïque à l'adresse de tous les habitants de la commune dans le besoin. Là c'est bien différent et explicite", a-t-il ajouté.
Annoncée sur Twitter, la décision du maire, l'un des bras droit de Marine Le Pen, a déclenché un déluge de réactions, certains s'en félicitant, d'autres dénonçant un choix "haineux". La ville verse depuis 2014 environ 300.000 euros de subvention de fonctionnement à l'association qui gère les trois centres sociaux de la ville (aide aux devoirs, centre de loisirs...).
"Un point sera rapidement fait (...) pour s'assurer, avant toute reprise du financement, que ceux-ci ne dépassent pas le cadre précis de leurs missions en dépensant de l'argent public pour céder aux sirènes du communautarisme dans certains quartiers de la ville", a indiqué David Rachline. Le directeur général des centres sociaux de Fréjus n'était pas immédiatement joignable.France info PACA -
Lille : un père lynché devant ses enfants par une vingtaine de « jeunes » pour s’être opposé à un rodéo, une femme tabassée, d’autres familles volées ou agressées
18h17On en sait plus sur les graves événements de dimanche, aux Bois-Blancs, plaine des Vachers. Parce que des habitants se sont opposés à un violent rodéo, une vingtaine de jeunes ont débarqué au milieu des familles. Ils ont frappé à tout-va et volé des téléphones portables. Un père de famille a été roué de coups.
Stéphane (prénom modifié) a assisté à un déferlement de violences, dimanche. La scène se passe plaine des Vachers. Vers 19 h, du monde profite encore de cette chaude journée. Une quiétude rompue par l’irruption d’une moto-cross pilotée par un jeune.
« Il passait au milieu des enfants. Un père s’est interposé et s’est pris aussitôt une droite au visage. Sa femme est venue l’aider : elle a reçu deux coups de poing en pleine figure. » Une dizaine de témoins se lèvent pour calmer l’excité. Celui-ci les menace et s’en va.
« Trois minutes plus tard, il a débarqué avec une vingtaine d’autres jeunes, avec des voitures et des deux-roues. Ils ont frappé directement tout ce qu’ils pouvaient. » Un père de famille, en train de téléphoner, se fait plus spécifiquement démolir. « Ils ont sans doute pensé qu’il appelait la police. Cinq à six jeunes l’ont roué de coups, devant ses enfants. Il baignait dans son sang. »
Les badauds qui filment ou photographient sont eux aussi attaqués : « ils se sont fait voler leur portable. »
La bande repart au bout de quelques minutes. « C’était la stupeur, les enfants étaient paniqués ! »La police intervient. Quatre plaintes ont pour l’instant été déposées. « C’est peu, les gens ont peur. » Une enquête est en cours. Personne n’a été interpellé pour l’instant.
NdB: Pourquoi ces "jeunes" ne vont-ils jamais faire de rodéos à Deauville, au Touquet, etc... ?
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Macron au plus bas dans les sondages depuis son entrée en fonction
La popularité d'Emmanuel Macron (-3 points) ainsi que celle d'Edouard Philippe (-2 points) connaît un nouveau trou d'air en mai. Les Français sont divisés sur leur gestion des conflits sociaux, selon un sondage BVA publié le 25 mai.
Avec 40% d'opinions positives, le chef de l'Etat retrouve son niveau de mars, le plus bas depuis son entrée en fonction il y a un an, d'après un sondage BVA réalisée en ligne du 23 au 24 mai auprès de 1 000 personnes de 18 ans et plus, selon la méthode des quotas.
56% (+2) des Français interrogés ont une «mauvaise opinion» de lui. La cote d'Emmanuel Macron chute en particulier auprès des sympathisants Les Républicains (-14), selon cette enquête pour Orange, RTL et La Tribune.
La popularité du Premier ministre suit cette tendance : avec 43% de bonnes opinions, Edouard Philippe retrouve également son plus bas niveau. 53% (+2) des personnes interrogées ont une mauvaise opinion de lui en tant que chef du gouvernement. La cote du Premier ministre s'effrite auprès des proches de LR (-7), mais également du Front national (-5) et même de La République en marche (-4).
Environ un tiers des Français considère l'attitude de l'exécutif «trop ferme» dans la gestion des principaux conflits sociaux : mobilisation des fonctionnaires (37% «trop ferme»), cheminots (35%), réforme de l'accès à l'université (36%).
Mais un quart à un tiers la juge «pas assez ferme» : fonctionnaires (26%), cheminots (34%), accès à l'université (34%). Et une part comparable l'estime «comme il faut» : fonctionnaires (34%), cheminots (28%), accès à l'université (27%).
Un Français sur deux (50%) estime par ailleurs que l'exécutif n'accorde «pas assez» de place au dialogue avec les syndicats, contre 36% pour qui il en accorde «suffisamment».
Nicolas Hulot (40%, +2), Xavier Bertrand (33%, +2), Marion Maréchal (32%, +1) et Jean-Michel Blanquer (32%, +2) progressent en tête du classement des personnalités dont les Français souhaitent qu'elles aient «davantage d'influence».
La marge d'erreur de ce sondage est de 1,4 à 3,1 points.
Lire aussi : 60% des Français ne veulent pas qu'Emmanuel Macron se représente en 2022
RT
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JOURNAL TVL DU 25 MAI 2018
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États-Unis : des prisonniers musulmans ont été nourris avec du porc durant le ramadan
L'Association pour les relations américano-islamiques a déposé plainte à l'encontre des responsables de l'administration pénitentiaire locale.
L'Association pour les relations américano-islamiques (CAIR), qui a révélé l'affaire, a dénoncé des "punitions cruelles". Des prisonniers musulmans incarcérés à Anchorage (Alaska) affirment avoir été nourris avec du porc en plein ramadan, rapporte la presse locale. Les autorités judiciaires de cet État du nord-ouest des États-Unis ont ordonné à la direction de leur maison d'arrêt, jeudi 24 mai, de leur fournir des "repas adéquats".
L'association a précisé avoir déposé plainte à l'encontre des responsables de l'administration pénitentiaire locale ainsi que des surveillants de la prison. La CAIR dénonce des règles qui soumettent selon elle les plaignants à des "punitions (…) qui limitent la liberté religieuse, discriminent les plaignants sur la base de leur religion".
"Une envolée des discriminations" avec Trump
Le document affirme que les plaignants se sont vu offrir des repas spéciaux pour le ramadan trop faibles en calories et des sandwichs à la bolognaise contenant du porc, un aliment interdit par l'islam.
L'association demande "un régime nutritionnel équilibré" pour les prisonniers, des changements de pratiques et des dommages-intérêts. L'ONG déplore "une envolée des actes de discrimination envers les musulmans américains et d'autres groupes de minorités (ethniques ou religieuses) depuis l'élection du président Trump".