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GAELLE MANN - Page 61

  • Le passeur Cédric Herrou, condamné pour aide à l’immigration clandestine, monte les marches du Festival de Cannes avec des migrants

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    22h44

    Venus du Soudan, du Mali, une poignée de réfugiés ont monté jeudi les marches du Festival de Cannes avec l’agriculteur défenseur des migrants Cédric Herrou, dont le combat est retracé dans le documentaire « Libre » projeté en soirée.

    (…) Il a été condamné l’été dernier à quatre mois de prison avec sursis pour aide à l’immigration clandestine, mais il continue à accueillir des migrants.

    Le documentaire « Libre », réalisé par Michel Toesca, suit le trentenaire barbu à lunettes au fil des mois. Il raconte la façon dont il s’est organisé pour accueillir des migrants de plus en plus nombreux. Les actions auxquelles il a participé pour aller chercher des réfugiés en Italie ou squatter un bâtiment désaffecté pour les abriter. Ses nombreux passages devant le juge, dont il fait à chaque fois une tribune médiatique.

    Cédric Herrou, en les accueillant, « se substitue à l’État », estime pour sa part Michel Toesca.

    TV5 Monde

    Cédric Herrou, qui oeuvre pour le GR, va-t-il être nommé ministre par Macron? 

  • “LE GOUVERNEMENT VEUT BANALISER L’HORREUR ET LES ÉGORGEMENTS MENSUELS DE NOS CONCITOYENS”

     

     

    Après l’attentat de samedi, dans le quartier de l’Opéra à Paris, qui a fait un mort, plus l’assaillant, et quatre blessés, Nicolas Dupont-Aignan réagit au micro de Boulevard Voltaire. Il pointe du doigt l’inaction du gouvernement qui s’exonère de toute responsabilité. Des mesures concrètes devraient être prises pour combattre le terrorisme, propositions figurant dans son projet de référendum d’initiative populaire sur l’immigration. À ce jour, seule Marine Le Pen l’a signé. Le député de l’Essonne revient sur cette nécessité d’union des droites, les réticences de Laurent Wauquiez et l’aveuglement des responsables LR.

    Suite à l’attentat dans le quartier de l’Opéra ce week-end, vous avez exprimé sur les réseaux sociaux votre lassitude et pointez l’inaction du gouvernement.
    Pouvez-vous développer ?

    C’est très simple. Le gouvernement veut banaliser l’horreur et les égorgements mensuels de nos concitoyens. Le gouvernement veut interdire tout débat de fond sur la situation.
    Or, je sais qu’il y a des mesures concrètes, solides et sérieuses qui pourraient être prises et permettraient de resserrer les mailles du filet.
    Je suis effrayé de cette espèce d’esprit totalitaire de la pensée unique qui voudrait qu’on se laisse égorger sans rien dire.

    Faites-vous allusion aux paroles de Benjamin Griveaux qui soutenait qu’on ne pouvait pas prévoir ce genre d’action ?

    Oui. Si on regarde les 16 attentats depuis celui de Charlie Hebdo, on s’aperçoit que les terroristes auraient dû être, soit à l’étranger après avoir été expulsés, soit en prison.
    La plupart étaient fichés S, naturalisés ou rentrés sur notre sol sans avoir été contrôlés aux frontières. Bref, nous sommes dans une démission de l’État. L’État a une responsabilité et le gouvernement a une responsabilité. Cette manière de s’exonérer de toute responsabilité est indigne d’une démocratie.

    Vous proposez des solutions concrètes dont cette idée de référendum national sur les questions d’immigration. Que voulez-vous apporter de nouveau ?

    J’avais proposé à François Hollande 25 mesures très précises après Charlie Hebdo. Vous pouvez les retrouver sur mon site internet.
    La première est d’interdire tout retour de djihadistes de Syrie. Il faut savoir que près de 320 sont revenus et un certain nombre sont en liberté.
    La deuxième mesure fondamentale est de contrôler nos frontières.
    La troisième mesure est d’appliquer le Code pénal, dont l’article 411 est beaucoup plus sévère.
    Et enfin, il est nécessaire de mettre en rétention les fichés S les plus dangereux, de mettre des bracelets électroniques à ceux qui représentent un risque et d’expulser les délinquants et les fichés S étrangers. Si tout cela était fait, alors nous irions mieux.
    J’ai effectivement proposé un référendum sur l’immigration, parce que c’est le seul domaine où les Français n’ont jamais eu leur mot à dire. Je propose dans ce référendum cinq décisions fondamentales sur lesquelles les Français voteraient.

     

    Valeurs Actuelles a relevé que Marine Le Pen a signé ce référendum. Ils y ont vu un signe de bon augure pour l’union des droites.
    Pensez-vous que cela va dans ce sens ?

    Oui, je suis sensible qu’elle ait signé. Je regrette que Les Républicains ne le fassent pas alors qu’ils proposent le même référendum, mais sans l’avoir déposé devant l’Assemblée.
    Monsieur Wauquiez a repris mon idée, j’en suis ravi. En revanche, il demande au président de la République de convoquer un référendum. On sait qu’Emmanuel Macron ne va pas convoquer un référendum.
    Dans ce cas, la seule solution est qu’il y ait 185 signatures de parlementaires pour permettre de lancer une procédure de référendum d’initiative partagée ou populaire.
    4 600 000 signatures permettraient ensuite de mettre sur le tapis, devant l’opinion, une vraie question référendaire.
    Je demande à Laurent Wauquiez de donner la possibilité à ses parlementaires du groupe LR de signer ma proposition. Je sais que beaucoup d’entre eux veulent la signer.

    Que pensez-vous de la sortie de Virginie Calmels sur le fait que vous êtes toujours persona non grata et que vous représentez la ligne rouge à ne surtout pas franchir ?

    Je remarque de mon côté que les responsables jeunes de Virginie Calmels viennent de la quitter parce qu’ils en avaient assez de son sectarisme. Cette remarque est incompréhensible.
    Ces gens-là veulent-ils qu’Emmanuel Macron reste au pouvoir éternellement ?
    Être capable de s’unir, ne veut pas dire de se fusionner. Chacun reste avec son identité.
    En soutenant Marine Le Pen, Debout La France est resté totalement indépendant du Front National. Les gens le savent bien. Je ne demande pas à LR de fusionner avec Debout La France ou avec le Front national. Je demande que nous travaillions ensemble à un travail commun et à une alternative politique.
    Je demande aussi que le pays passe avant les partis. C’est la seule solution, sinon nous serons spectateurs de notre action. Je demande à la base, c’est-à-dire aux électeurs, de faire l’union sur le terrain puisque les grands chefs n’en veulent pas.

  • Trèbes-les-Capucins bientôt Trèbes-les-Muezzins ?, par Francoise Monestier

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    « Je mettais mes courses sur le tapis de la caisse la plus proche de l’entrée du magasin quand j’ai entendu simultanément des coups de feu puis “Allah Akbar” suivi immédiatement de ces mots : “Tout le monde à terre. Vous avez tué mes frères en Irak et en Syrie. Vous allez payer”. » Près de deux mois ont passé quand Paul, un des otages de Radouane Lakdim, le tueur islamiste de Trèbes, dans l’Aude, accepte pour la première fois de confier à un quotidien – en l’occurrence Présent – ses sentiments sur les heures tragiques qu’il a vécues le 23 mars dernier dans le Super U de Trèbes. Et qu’il vient de revivre, bien malgré lui, après la nouvelle attaque meurtrière au couteau perpétrée samedi dernier en plein Paris par un migrant tchétchène, également fiché S, mais que le pouvoir avait jugé bon de laisser bien tranquille. Sauf que, là aussi, il y a eu mort d’homme.

    Une tuerie méthodique

    Aussitôt allongé avec quatre autres personnes dont la caissière, Paul se rend compte que le client qui le suivait dans la file a été touché par le tueur. Sa balle a atteint Henri Sosna, qui succombera quelques minutes plus tard. Des années plus tôt, il avait été opéré à cœur ouvert… mais tout allait bien ! En attendant que les gendarmes arrivent – ce qui a paru une éternité à Paul –, Lakdim poursuit le massacre. Il tue Christian Medves, le boucher qui ne vendait évidemment pas de viande halal sur son étal et dont la veuve ne sera officiellement avertie de l’assassinat qu’en toute fin d’après-midi. Vingt minutes après le début du carnage, arrivent les gendarmes qui se répartissent entre les rayons. Notre témoin, par ailleurs trésorier du Front national pour le département de l’Aude, verra le lieutenant-colonel Arnaud Beltrame voler au secours de la caissière qui avait été prise en otage et également poser son arme et son téléphone. On connaît la suite.

    Le FN ostracisé

    Ce que souligne Paul est le manque de coordination entre la police et la gendarmerie. Après l’élimination du terroriste, tout le monde est évacué vers le fond du magasin et, via des échelles, quitte l’enceinte du Super U. Le tout sous le sourire goguenard des jeunes Maghrébins de la cité de l’Aiguille toute proche, où s’entasse une importante communauté musulmane. Repoussés par les forces de police, les voyous, se comportant comme s’ils étaient au spectacle, prennent force photos avec leurs téléphones portables. Conduits dans le Club House du tennis voisin, Paul et ses compagnons d’infortune subissent d’abord une fouille corporelle avant d’être longuement interrogés. Pas la moindre nourriture apportée entre-temps, juste de l’eau, histoire de ne pas mourir de soif. Ils ne rejoindront le parking du supermarché qu’en milieu d’après-midi. Quant à leurs voitures, ils les récupéreront seulement après 22 heures, après que ces dernières eurent été soigneusement examinées. Et les responsables du magasin ? Ils sont restés bien discrets et ne se sont même pas manifestés auprès des otages forcés. Tout comme d’ailleurs les autorités socialistes de la ville (le maire est l’époux de la gérante maghrébine du Super U) et du département, qui ne fuiront cependant pas les caméras et seront très présentes lors des obsèques des victimes, au point même d’éclipser les proches de celles-ci.

    En revanche, le frontiste Christophe Barthès, conseiller régional et secrétaire départemental du mouvement, dont le siège est à Trèbes, sera tenu soigneusement écarté et se verra même refuser l’entrée de la mairie de la commune, dont il est pourtant l’élu et où Marine a réalisé 48,5 % des suffrages au second tour des présidentielles ! Lors de la messe d’hommage aux victimes, le dimanche des Rameaux, à l’église Saint-Etienne, interdiction pour lui de rejoindre les officiels – il restera à l’écart près de ses camarades. On murmure même que Mgr Planet, l’évêque de Carcassonne, qui célébrait la messe, n’était pas ravi de sa présence.

    En 2010, après la profanation de l’église du Viguier à Carcassonne par de jeunes musulmans, celui-ci avait invité des imams à la messe de réparation. Quant aux francs-maçons, il les considère comme « des hommes de bonne volonté », et condamne fermement la théorie du Grand Remplacement. En 2007, il avait refusé qu’une salle paroissiale de Limoux soit accordée au Front national local qui accueillait Jean-Marie Le Pen.

    Le vrai parcours du tueur

    Mais revenons à Lakdim, qui avait soigneusement organisé son carnage. Il lui a fallu peu de temps pour grimper aux Aigles de la Cité, ce promontoire qui domine la cité Ozanam où il résidait à Carcassonne. Il repère alors l’Opel Corsa blanche dans laquelle se trouvaient Jean Mazières et un jeune Portugais. Le viticulteur de Trèbes est mortellement blessé. Lakdim prend la place du conducteur après l’avoir sorti du véhicule et lui avoir tiré dessus. Ce n’est d’ailleurs que de nombreuses heures plus tard que le malheureux sera découvert par la police, grâce à son téléphone portable, après qu’il eut réussi à lancer un appel de détresse à sa mère. Mission de reconnaissance à proximité de la caserne du 3e RPIMA, tirs contre des CRS qui revenaient d’un entraînement sportif, Lakdim poursuit son parcours avant de parvenir à Trèbes où il avait ses habitudes.

    Deux cités de l’islam

    Il suffit de traverser Carcassonne pour constater le poids de l’islam dans la ville. Près de la cité Ozanam où des journalistes seront la cible des musulmans, j’ai pu croiser de nombreuses mères de famille voilées, des grappes de gamins accrochés à leurs basques. Même chose dans les cités de La Conte et du Viguier, quartier où les catholiques n’ont qu’à bien se tenir s’ils ne veulent pas être lapidés. A Trèbes, un couvent du XVIIe siècle atteste de la longue présence des capucins dans la ville et l’église Saint-Etienne est un modèle du gothique méridional. Ce temps est malheureusement révolu et la cité de l’Aiguille abrite un bon millier de musulmans – algériens pour la plupart – qui peuvent se targuer de deux associations, l’Association islamique et l’Association cultuelle islamique de l’Aiguille. S’il n’y a pas de mosquée officielle, les pratiquants peuvent fréquenter les trois mosquées de Carcassonne toutes proches. En outre, Eric Ménassi, le maire socialiste, a mis à leur disposition le Staff, sorte de maison des jeunes, dont les caméras de surveillance ont, bien sûr, été vandalisées. Quant aux voitures stationnées aux abords de l’Aiguille, elles brûlent régulièrement et un des derniers pyromanes a fini en prison. Pour compléter le tableau, signalons l’existence d’une communauté tzigane de plusieurs centaines de personnes en provenance directe de Croatie et qui sont logées dans une résidence privée. Ses membres se battent régulièrement avec les Gitans locaux qui leur reprochent leur comportement.

    Le Super U a rouvert ses portes, changé la signalétique des caisses et renforcé le nombre de ses vigiles, et il ne dispose pas de rayon halal, contrairement à son voisin, un Carrefour Contact Marché, fréquenté par les habitants de l’Aiguille.

    Dans les restaurants et les bistrots qui longent le canal du Midi et où le bon vin de l’Aude a tout de même droit de cité, les gens sont amers et comprennent difficilement que le Front national ait été muselé. « Ce n’est pas le moment de faire de la politique », a répondu aux récriminations un journaliste qui a passé plusieurs jours à prendre le pouls de la ville meurtrie. Sauf que son stéthoscope était aux abonnés absents. Comme d’ailleurs Gérard Collomb, nouveau pantin du système mondialiste qui semble se réveiller après chaque carnage puis retombe dans une léthargie coupable à l’égard de tout ce qui est allogène.

    Francoise Monestier

    Article paru dans Présent daté du 17 mai 2018

  • « Le ramadan : une vieille coutume allemande » (Deutschlandfunk, radio publique)

     

    13h21

    Ce matin , un certain nombre de gens se sont levés pour déjeuner avant l’aube, à une heure plutôt inhabituelle. Car, à partir d’aujourd’hui, ces gens vont suivre pendant un mois une coutume allemande : à l’occasion du ramadan, ils vont jeûner de l’aube au coucher du soleil.

    Oui, vous avez bien lu : le ramadan est une vieille coutume allemande, répandue ici depuis plus longtemps que la Fête de la bière. […] Le ramadan est plus allemand et plus enraciné dans ce pays qui est le nôtre que beaucoup de choses qui passent pour de la culture allemande […] : Halloween par exemple ou les enterrements de vie de garçon. […]

    […] le jeûne du mois de Ramadan est depuis longtemps devenu une composante du paysage religieux allemand. C’est une réalité allemande. […]

    Eren Güvercin

    (Traduction Fdesouche)

    Deutschlandfunk

     NdB: Les bras vous en tombent! Mais les plus jeunes risquent de le croire!

  • LE JOURNAL TVL DU 17 MAI 2018

  • Laura Flessel et Marlene Schiappa luttent contre l'homophobie

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    La lutte contre l’homophobie est un combat que nous poursuivons avec . Je la félicite également pour le vote sa loi

  • L'Avenue, le restaurant parisien qui refuse les Arabes et les femmes voilées

     

    L'Avenue, le restaurant parisien qui refuse les Arabes et les femmes voilées
    L'Avenue, brasserie chic du 8ème arrondissement de Paris aurait mis en place un système discriminatoire. 

    Selon BuzzFeed, la brasserie aurait mis en place un système discriminatoire visant à exclure "les Arabes" et les "femmes voilées".

    Par L'Obs

     

    Elle est devenue la cantine des célébrités. De Rihanna à Sienna Miller, en passant par Cyril Hanouna, L'Avenue, brasserie chic du 8e arrondissement de Paris soigne son image glamour. Et pourtant. Le restaurant situé au 41 avenue Montaigne aurait mis en place un système discriminatoire visant à exclure "les Arabes" et les "femmes voilées", révèle ce jeudi 17 mai BuzzFeed.

    Le site a ainsi rencontré quatre serveuses qui ont travaillé à la brasserie pendant plusieurs années. Selon ces quatre femmes, la direction leur faisait régulièrement passer la consigne de ne prendre aucune réservation de personnes au nom "d'origine arabe" ou de touristes venant du Moyen-Orient. Pire, si une femme voilée se présentait, les serveuses devaient la refuser, prétextant que le restaurant était plein, même s'il ne l'était pas. Une discrimination qui serait toujours à l'œuvre aujourd'hui, selon les employées.

    "Le tri est systématiquement fait"

    Interrogée par BuzzFeed, Anaïs (tous les prénoms ont été modifiés), serveuse, explique que le directeur "dit souvent qu'il préfère avoir deux personnes blondes, belles, en terrasse, avec deux cafés, plutôt que des femmes voilées, même si elles sont riches". Enfin, si une cliente "d'origine arabe" insistait trop au téléphone, "on devait proposer les derniers services, par exemple 15 heures ou 22 heures".  "De toute façon, le tri est systématiquement fait dans les noms. On en est réduit à ça, et cela nous mine."

    Flore, une autre serveuse, raconte que les clients du Moyen-Orient étaient les plus discriminés, devant les Asiatiques ou les Noirs, qui peuvent être acceptés "même s’il ne faut pas qu’il y en ait trop". Une troisième employée, Claire, qui a été serveuse à L'Avenue pendant plus de cinq ans, précise enfin que "si les hôtesses ne sont pas parvenues à refuser la personne, elle sera alors installée à l'étage".

    "C’est déjà complet"

    Pour vérifier ce système discriminatoire, BuzzFeed a tenté de faire une réservation depuis le Qatar au nom de "Ahmed". Une table pour 4 personnes, le mardi 1er mai à 12h30. Réponse de l'hôtesse : "Malheureusement, mardi, c’est déjà complet, mais j’ai 22h30". Et une réservation pour le déjeuner du lendemain ? Impossible, répond-elle, le restaurant étant complet.

    Pour autant, un journaliste rappelle un peu plus tard depuis Paris, au nom cette fois de "Yann". Et là, comme par magie, la réservation pour 4 personnes du mardi 1er mai a immédiatement été acceptée.

    Selon le site, six anciennes serveuses ont alerté l'inspection du travail de manière anonyme en février dernier pour révéler ces pratiques. Elles envisageraient de saisir une association pour "dénoncer ces discriminations". L'inspection du travail n'a pas souhaité répondre à BuzzFeed. De leur côté, les employées de L'Avenue n'ont pas reçu de nouvelles.

    Joint par BuzzFeed, le patron du restaurant, Alexandre Denis, balaye les accusations : "Il y a toutes les cultures, toutes les nationalités qui viennent ici. Il y a des gens du Moyen-Orient, il y a tout ce que vous voulez. Si vous voulez mettre le feu en nous dénonçant comme des gens racistes, voilà..."

    Des accusations de harcèlement sexuel et moral

    Enfin, ce n'est pas la première fois que le gérant de l'établissement est accusé de recourir à des méthodes de management répréhensibles. En 2010, une serveuse avait porté plainte contre lui pour harcèlement sexuel et moral, révèle encore BuzzFeed.

    Une plainte classée sans suite. Dans cette même affaire, les prud'hommes avaient toutefois condamné L'Avenue en 2013, et reconnu l'existence d'un harcèlement sexuel contre l'ancienne serveuse et demandé la requalification de son licenciement en licenciement nul.

    M.C.

    L'Obs

  • La fondation Soros quitte la Hongrie!

    Pour s'installer à Berlin...

  • Marine Le Pen interviewée par Marina Grim

    Marine Le Pen demande que tous les fichés S qui sont étrangers soient expulsés du territoire. La présidente du Front National dénonce également le gouvernement qui continue à autoriser l'arrivée en France de centaines d'imams en provenance de pays étrangers, notamment à l'occasion du ramadan. Ces imams prêchent dans leur pays l'idéologie du fondamentalisme islamiste.

     

  • Ouistreham (Normandie) : La présence massive de migrants musulmans soutenus par l’extrême-gauche fait s’effondrer l’activité commerciale

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    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (16/05/2018) À Ouistreham (Normandie) alors que la saison touristique a démarré, la présence des migrants clandestins musulmans – essentiellement soudanais – dans cette station balnéaire de 9 500 habitants menace les commerces d’une grave dépression économique. Les autorités n’ont pris aucune espèce de mesure, se contentant d’appeler à « accueillir » les clandestins.

    Premier facteur, l’extrême-gauche qui se déchaîne pour fixer le plus grand nombre de migrants clandestins possible sur place à des fins d’agitation (lire ici).

    Ils sont entre 120 et 150 migrants, en grande majorité des Soudanais, selon le Collectif de l’Aide aux Migrants de Ouistreham, organisation d’extrême-gauche en charge de l’agitation sur le secteur (Camo).

    L’image de la Ville de Ouistreham est ternie et les conséquences pour la station balnéaire sont « dramatiques » , selon le maire.  « Notamment pour les commerçants sur le port de Ouistreham, là où les clandestins stationnent pour pouvoir monter dans les camions, certains ont enregistré un chiffre d’affaires de moins 70 %. L’un d’eux m’a expliqué qu’il a l’habitude de doubler ses effectifs pour la saison, passant de quatre à huit. Cette année, il pense qu’ils ne resteront qu’à trois salariés ! » souligne-t-il. 

    L’Union des Commerçants confirme : « Les mauvais retours ont démarré entre décembre et mars. Oui, certains commerçants sont menacés et Ouistreham ne tient que par l’équilibre de la diversité de ces commerces. Si certains ferment, d’autres seront impactés. »

    Pour le secrétaire des commerçants, « entre décembre et février, j’ai compté dans la presse 103 articles sur le sujet des migrants à Ouistreham. La ville a été stigmatisée. Nous avons des retours de clients déclinant une réservation en disant qu’ils viennent à Ouistreham sur un lieu de vacances, ce qui ne correspond plus à l’image que l’on donne de notre station aujourd’hui ! ». 

    Une réunion avec la préfecture et les commerçants a eu lieu lundi 14 mai compte tenu de la situation.

    L’extrême-gauche organisera une manifestation contre « les rafles des migrants » à Ouistreham, samedi 19 mai. Objectif : empêcher toute action de nettoyage de la présence des clandestins musulmans.

    (Source : Actu.fr)

  • « Liberté, égalité, camembert ! » : des chefs s’opposent à l’utilisation de lait pasteurisé dans la fabrication du camembert de Normandie AOP

     

    19h38

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    « C’est le camembert de Normandie AOP au lait cru qu’on assassine » : des chefs étoilés ont signé, mardi 15 mai, dans Libération, une tribune pour dénoncer un accord conclu entre les fabricants de ce fromage, qui pourra désormais être fabriqué avec du lait pasteurisé. Pour eux, le risque est que le camembert normand devienne « une vulgaire pâte molle sans goût ».

    Le texte rédigé par la présidente de l’association Fromages de terroirs, Véronique Richez-Lerouge, compte parmi ses premiers signataires une trentaine de chefs, dont Olivier Roellinger, Sébastien et Michel Bras, Anne-Sophie Pic, Michel et César Troisgros, Emmanuel Renaut, Christophe Bacquié et Guy Martin.

    Le plus populaire des fromages tricolores, le calendos, né dans les limbes de la Révolution française au cœur du bocage normand, va basculer dans la pasteurisation.

    Le texte fustige comme « une victoire pour l’industrie agroalimentaire, un risque fatal pour les fermiers et les consommateurs » l’accord trouvé le 21 février par les acteurs de la filière pour mettre un terme à dix ans de bataille autour de l’étiquette. D’ici à 2021, il n’y aura plus qu’un seul et unique camembert de Normandie AOP (appellation d’origine protégée), qui pourra désormais être élaboré au lait pasteurisé.

  • JOURNAL TVL DU 16 MAI

  • Le Hamas, véritable bourreau de Gaza

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    Les "élites" palestiniennes se servent du peuple à des fins politiques

     

    Le Hamas, qui pousse les Gazaouis à mourir en martyr, est le véritable ennemi du peuple palestinien.


    Les unes des journaux se suivent et se ressemblent dans un concert de condamnations. Des condamnations idéologiques et donc à sens unique. Des événements tragiques qui ont lieu en ce moment en Israël, les médias procèdent comme à leur habitude, friands des effets d’annonces : « bain de sang »« massacres »

    Avant de se laisser emporter par la vague de panurgisme que beaucoup de médias affectionnent tant, revoyons la scène au ralenti.

     

    Droit au retour de bâton 

    Depuis six semaines, le Hamas appelle les Gazaouis à aller manifester « pacifiquement » devant la barrière de sécurité pour le « droit au retour ». Les experts en décryptage auront rectifié d’eux-mêmes. Pour les autres, quelques précisions s’imposent.

    Le « droit au retour » vise le retour des « réfugiés » palestiniens qui ont fui les combats de la guerre d’indépendance en 1948, poussés par les leaders arabes de l’époque. Les exemples sont légion. Deux peuvent l’illustrer :

    – « Nous écraserons le pays avec nos fusils et nous détruirons tous lieux où les Juifs chercheront refuge. Les Arabes devront emmener leurs femmes et leurs enfants à l’abri pendant le danger, après quoi toute la Palestine sera à eux» (Déclaration du Premier ministre d’Irak, 15 mars 1948)

    – « Nous jetterons à la mer les bandes sionistes criminelles et il ne restera plus ainsi un seul Juif en Palestine. Pour que nos armées victorieuses puissent accomplir leur mission sacrée sans s’exposer à faire des victimes parmi nos frères arabes, il faut que ceux-ci quittent provisoirement le pays, afin que nos combattants exercent, dans une liberté totale, l’œuvre d’extermination» (Déclaration du recteur de la mosquée d’Al Azhar, 24 mars 1948).

    Le Hamas ou le terrorisme des palaces

    Les « réfugiés » pour lesquels le Hamas et l’Autorité palestinienne réclament un « droit au retour » sont aujourd’hui les descendants des deuxième, troisième ou quatrième générations de ces Palestiniens pour lesquels l’ONU a créé l’UNRWA et accordé, fait unique dans l’histoire de l’Organisation, un statut dérogatoire de réfugié trans-générationnel. On ne compte plus, pourtant, le nombre de réfugiés à travers le monde depuis 1948, qui ne bénéficient pas de la manne financière d’une telle agence onusienne. On précisera, à leur décharge, que les Palestiniens de la rue ne profitent pas beaucoup de ces fonds, les « élites » palestiniennes, toutes tendances confondues, ayant capté les richesses et accéléré la corruption. A Gaza, le Hamas a détourné le matériel livré pour construire des tunnels offensifs contre Israël et les fonds pour acheter des armes. Le peuple est resté dans la misère tandis que les chefs du groupe terroriste se réfugiaient, c’est le cas de le dire, dans les palaces et les villas de luxe en Turquie, en Jordanie ou au Qatar, loin de la plèbe gazaouie. Terroristes, oui, mais loin de l’indigence et du danger.

    Pas vraiment la « fête à Netanyahou »…

    Ce qui ne les empêchent pas d’appeler à manifester « pacifiquement ». Et le pacifisme, pour le Hamas, est une notion toute relative. 50 000 Gazaouis qui se pressent contre la barrière de sécurité, des dizaines de terroristes qui se cachent dans la foule et tentent de pénétrer en Israël. Des centaines de pneus enflammés pour que la fumée empêche l’armée israélienne de les identifier et l’usage de grenades, cocktails Molotov, d’armes automatiques, de couteaux de boucher pour, une fois la barrière passée, assassiner ou enlever des civils israéliens.

    A lire aussi: « Le mot ‘manifestation’ ne correspond pas du tout à ce qu’il se passe entre Israël et Gaza »

    Qui, aujourd’hui, est encore dupe ? Qui peut croire que l’armée israélienne laissera la barrière de sécurité être franchie par des Palestiniens armés et hystérisés par les discours de haine dont ils sont nourris depuis des décennies ?

    Ces « manifestants »-là, pour reprendre les éléments de langage des médias, ne viennent pas faire la « fête à Netanyahou » sur l’air des lampions. Ils ne sont pas des « black blocs » venus saccager un Mc Donald’s ou un abribus. On l’aura compris, ceux-là ne viennent pas manifester. Ils viennent détruire. Et si on les laisse faire, ils viendront tuer. Israël avait pourtant prévenu. Elle ne laisserait passer personne.

    Le Hamas est l’ennemi des Gazaouis

    Contrairement à ce qui se répand sur les réseaux sociaux, le déplacement de l’ambassade des Etats-Unis de Tel-Aviv à Jérusalem n’a rien à faire dans ces affrontements. Cela fait des semaines que le Hamas compte les morts en se frottant les mains. Plus il y a de morts, plus la communauté internationale condamne Israël. Ce calcul morbide et cynique est toujours le même. Et les chancelleries occidentales, comme d’habitude, moutonnent.

    Ce n’est pas contre Israël que les Gazaouis devraient se tourner mais contre les terroristes du Hamas qui les asservissent depuis plus de 10 ans.

    Ce ne sont pas « les violences des forces armées israéliennes » qu’Emmanuel Macron devrait condamner mais celles des terroristes du Hamas et des parents indignes, saoulés par une haine recuite, qui envoient leurs enfants, parfois leurs bébés, devant la barrière parce qu’ « il n’y a pas de plus belle mort que celle d’un martyr », et qui empochent ensuite, en faisant le V de la victoire, la somme promise aux familles des « shahid ».

    C’est aussi cela qu’il faut oser dire et surtout oser entendre afin d’arrêter d’infantiliser les Palestiniens et de les entretenir dans cet assistanat perpétuel qu’ils relancent régulièrement à grands coups de morts dont ils sont responsables.

    Israël défendra son territoire comme n’importe quel autre État souverain. Les condamnations hypocrites de l’ONU et des chancelleries occidentales n’y changeront rien.

    CAUSEUR

  • Marion Maréchal-Le Pen revient pour «débrancher» Mai 68

     

    L’ex-députée du Vaucluse, redevenue « Marion Maréchal », reprend pour la première fois la parole en France, au cours d’un événement organisé par le magazine L’Incorrect

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    L’ancienne députée du Vaucluse, le 22 février 2018 devant les conservateurs américains
    © Sipa Press

    Si ça ne s’appelle pas faire de la politique, on en perd son latin : le 31 mai, Marion Maréchal (qui ne s’appelle plus Le Pen sur l’affiche de l’événement) participera à une soirée-débat sur le thème « Débranchons mai 1968 », alors que le FN a finalement renoncé à organiser un colloque sur le sujet.

    Décidément, Mai 68 les travaille. Marine Le Pen et le Front national devaient organiser, le 28 avril, un colloque intitulé « Pour en finir avec Mai 68 » qui a été annulé, officiellement à cause des grèves dans les transports. Finalement, ce n’est pas la tante mais la nièce, Marion Maréchal-Le Pen, qui s’exprimera dans le cadre d’une soirée intitulée « Débranchons Mai 68 », organisée le 31 mai par l’association Les Eveilleurs d’espérance et le magazine L’Incorrect, les uns et l’autre étant proches de l’ancienne députée FN du Vaucluse. Sur l’affiche annonçant l’événement, la jeune femme a retiré le nom de son-grand-père, ajouté lors de son élection en 2012, pour redevenir simplement Marion Maréchal.

    L’Incorrect a d’ailleurs mis le sujet à la Une de son neuvième numéro : « Quitter 68 ». Le directeur de la rédaction, Jacques de Guillebon, y écrit notamment que cet épisode quinquagénaire, qu’il qualifie de « régression », a été le prélude à des réformes considérées par lui comme autant de fléaux : « légalisation de l’avortement, galvaudage de la contraception chimique et mécanique, divorce à la va-comme-je-te-pousse, industrialisation de la pornographie, dépistage embryonnaire, mariage de personnes homosexuelles et toutes ces sortes de délicieuses choses qui vous condamnent à la sortie de l’histoire. » Une manière de mettre dans le même sac les réformes de Giscard et celles de François Hollande.

    Jacques de Guillebon veut « effacer, oublier, gommer, rayer ces deux chiffres diaboliques que de génération en génération l’on se transmet comme un objet magique, un petit fétiche pour heures d’ennui lycéen ». Ce sera l’objet de cette « conférence-cocktail-soirée », organisée autour de deux débats successifs. Le premier analysera ce qu’il reste de Mai 68, avec Elisabeth Lévy, Gérard Leclerc et Jean Sevillia ; le second évoquera les manières possibles de « débrancher » Mai 68, autour de Jacques de Guillebon, Charlotte d’Ornellas et, donc, Marion Maréchal-Le Pen. Entre 500 et 1 000 personnes sont attendues.

    Ecole. Marion Maréchal-Le Pen, qui avait fait une apparition très remarquée à la soirée de lancement de L’Incorrect, le 6 septembre 2017, prendra donc publiquement la parole pour la première fois en France depuis qu’elle a renoncé à son mandat de députée, en mai 2017. Le 22 février, elle s’était exprimée devant des conservateurs américains dans le cadre de la Conservative political action conference. Elle avait notamment déclaré, en anglais : « Je ne suis pas choquée quand Donald Trump dit “l’Amérique d’abord”. Je veux l’Amérique d’abord pour les Américains, la Grande-Bretagne d’abord pour les Britanniques, la France d’abord pour les Français ! » avant d’ajouter que la France, « fille aînée de l’Eglise catholique », était « en train de devenir la petite-nièce de l’islam ».

    Le 31 mai, Marion Maréchal-Le Pen viendra bien parler de Mai 68 et non présenter l’école qu’elle va créer et qui devrait ouvrir ses portes en septembre à Lyon. Mais elle l’évoquera, puisque cette école, destinée à former les futurs cadres de la droite nationale conservatrice, fait partie de l’arsenal destiné à « débrancher » les événements d’il y a cinquante ans. Une école en guise d’antithèse à Mai 68.

    L'OPINION

  • Séville, fille du Guadalquivir

    Un magnifique reportage, à regarder jusqu'au bout !

  • Gaza : pour Marine Le Pen, «Israël a envoyé un message clair sur l’inviolabilité de sa frontière»

     

     

    Alors que la gauche a condamné la répression israélienne de manifestants palestiniens qui a fait des dizaines de morts à Gaza, Marine Le Pen a apporté une analyse différente, estimant qu'Israël avait fait respecter la sécurité de ses frontières.

    Interrogée par LCP ce 15 mai au sujet de la mort de 59 Palestiniens tués par des tirs israéliens au cours d’une manifestation tenue la veille dans la bande de Gaza, Marine Le Pen s’est refusée à condamner l’Etat hébreu.

    Marine Le Pen
     
    @MLP_officiel
     
     

    « Israël a envoyé un message clair sur l’inviolabilité de sa frontière : on peut le juger excessivement, inutilement brutal, mais c’est un message clair. » @LCP

     
     

    Un message clair

    «Si chacun peut évidemment déplorer le nombre important de morts palestiniens, on ne peut pas ne pas constater qu'il y a un message, là aussi, de la part d'Israël», a-t-elle déclaré. «Un message que certains trouveront inutilement excessif, peut-être inutilement brutal, mais qui est un message clair : ils ne transigeront pas sur la sécurité de leurs frontières», a-t-elle ajouté.

    La chef de file du mouvement frontiste a en revanche déploré l’utilisation par les manifestants palestiniens d’une«méthode [...] qui consiste à emmener dans des manifestions, où on sait qu'il va y avoir des violences, et même des violences importantes, des femmes et des enfants».

    Par ailleurs, elle a critiqué la position du président de la République qui a condamné «les violences des forces armées israéliennes contre les manifestants». Il s’agit selon elle, d’une position «étrangement très unilatérale» qui «méritait d’être plus équilibrée».

    Quelques heures auparavant, le vice-président du parti Louis Aliot, avait également justifié l'action israélienne. Le député FN des Pyrénées-Orientales a estimé sur les ondes de Sud Radio qu'Israël avait «défendu [sa] frontière» face au Hamas qu’il accuse d’avoir «poussé les masses palestiniennes à franchir la frontière».

    Radicalement différente, la réaction de Jean-Marie Le Pen témoigne à nouveau, si besoin était, d'une ligne de fracture idéologique entre le fondateur du parti et son actuelle présidente. «A Gaza, les médias parlent d’affrontements entre Palestiniens et Israéliens mais les dizaines de morts et les centaines de blessés sont tous Palestiniens. Il faut que cesse ce massacre !» a écrit le père de Marine Le Pen dans un tweet.

    Jean-Marie Le Pen
     
    @lepenjm
     
     

    À Gaza, les médias parlent d’affrontements entre Palestiniens et Israéliens mais les dizaines de morts et les centaines de blessés sont tous Palestiniens. Il faut que cesse ce massacre !

     
     

    La veille, plusieurs personnalités politiques, majoritairement de gauche, avaient fermement condamné l'agression israélienne. Parmi elles, figurait Jean-Luc Mélenchon qui avait alors exigé la convocation à l'Elysée de l'ambassadeur israélien à Paris. 

    RT

  • Un jeune Tchétchène tue sauvagement une fillette à Vienne (Autriche) : il était « dans un mauvais jour »

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    19h11

    Toute l’Autriche est bouleversée. Commis de sang-froid, le meurtre de la petite Hadishat à Döbling (arrondissement de Vienne) provoque la stupeur la plus totale. Des heures après la découverte du corps dans un conteneur à poubelles […], d’innombrables questions restent sans réponse.

    Krone (1)

    Comme notre journal l’a appris ce mardi matin, un homme fortement soupçonné d’être l’auteur du crime a été arrêté dans la nuit de lundi à mardi. Il s’agit d’un voisin de la famille originaire de Tchétchénie. Cet homme, qui vient également de Tchétchénie, est passé aux aveux lors de son premier interrogatoire.

    Krone (2)

    Hadishat, qui connaissait bien son meurtrier depuis des années, était allée d’elle-même vendredi après-midi dans l’appartement de Robert K. […] Mais Robert K. – comme il le dit lui-même – était « dans un mauvais jour ». Il était « dans une rage folle », il n’a pas pu expliquer pourquoi aux enquêteurs. […]

    Ce jeune homme de 16 ans […] a conduit la fillette de 7 ans dans la salle de bains. Il avait avec lui un couteau de cuisine – « un couteau à pain avec une lame dentelée d’environ 20 centimètres« , a-t-il indiqué plus tard face à la police. Dans la salle de bains, ce lycéen – il passe pour un bon élève très discret – a poussé la fillette dans le bac à douche. Puis il l’a attaquée au couteau, lui donnant de violents coups à la gorge, séparant « presque la tête du tronc » […]

    Krone (3)

    (Traduction Fdesouche)

    HALLUCINANT !

  • Attaque au couteau à Paris : l’ami du terroriste est marié à une islamiste « radicalisée » et travaillait à l’Office français de l’immigration et de l’intégration

     

    16h41

    L’ami de Khamzat Azimov, auteur de l’attaque au couteau à Paris samedi qui a fait un mort et quatre blessés, était en CDD à l’Office français de l’immigration à Strasbourg depuis janvier.

    L’ami de Khamzat Asimov interpellé après l’attaque au couteau qui a fait un mort et quatre blessés samedi à Paris était employé en CDD à l’Offi (Office français de l’immigration et de l’intégration) à Strasbourg, a indiqué à l’AFP le directeur général de l’Office, Didier Leschi.

    Abdoul Hakim A. « travaillait depuis janvier en CDD à l’accueil de l’Ofii, un poste qui n’était pas à responsabilités, et son contrat avait été renouvelé jusqu’à décembre », a indiqué M. Leschi, en précisant qu’il avait été mis à pied lundi.

    Lors de son embauche « tous les contrôles légaux ont été effectués, notamment la vérification du casier judiciaire » mais il « n’avait pas de casier », a-t-il ajouté.

    Né à Grozny en 1997, Abdoul Hakim A. avait obtenu la nationalité française à l’âge de 13 ans, en même temps que sa mère, a précisé M. Leschi.

    Selon l’académie, il avait effectué sa scolarité dans le même lycée de Strasbourg que Khamzat Azimov, qui a tué un homme et blessé quatre personnes avant d’être tué à Paris samedi soir.

    Interpellé dimanche à Strasbourg, Abdoul Hakim A. a été transféré lundi au siège de la DGSI à Levallois-Perret près de Paris et le parquet a prolongé sa garde à vue. Il était suivi par les services de renseignement depuis son mariage religieux avec une Francilienne radicalisée de 19 ans qui avait tenté de partir en Syrie.