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GAELLE MANN - Page 597

  • Fusillade meurtrière à Tunis: 2 Français parmi les 19 victimes

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  • Béziers : drapeaux en berne pour l'anniversaire du cessez-le-feu en Algérie

    18 Mars 2015, 21h38 | MAJ : 18 Mars 2015, 22h58

            
     
     
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    Le maire de Béziers proche du FN, Robert Ménard, mettra les drapeaux de sa ville en berne ce jeudi, date anniversaire du cessez-le-feu en Algérie le 19 mars 1962. Un acte symbolique qui se déroule cinq jours après avoir donné à la rue du 19-mars-1962 le nom d'un partisan de l'Algérie française.

     

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    «Les drapeaux seront en berne jeudi 19 mars», a annoncé mercredi dans un communiqué la municipalité. Un attaché de presse a confirmé que cette initiative était liée à la date anniversaire du cessez-le-feu qui était entré en vigueur en Algérie au lendemain des accords d'Evian du 18 mars 1962.

    Samedi, Robert Ménard avait débaptisé la rue du 19-mars-1962 pour la nommer rue du commandant Hélie Denoix de Saint-Marc, un résistant, déporté à Buchenwald, devenu militaire de carrière et qui avait pris part au putsch des généraux du 21 avril 1961.

    «L'Algérie, c'est notre paradis (...). Oser dire que la guerre d'Algérie s'est terminée le 19 mars, n'est pas seulement un mensonge, c'est une ignominie», avait lancé samedi Robert Ménard, élu grâce au soutien du FN, lors d'une cérémonie devant environ 2000 personnes, dont 500 opposants.

    Robert Ménard est né à Oran

    Né à Bordeaux en 1922 et mort à La Garde Adhémar (Drôme) en 2013, Hélie Denoix de Saint-Marc, traumatisé pendant la guerre d'Indochine par l'abandon des villageois vietnamiens qui soutenaient la France, avait  adhéré au camp de l'Algérie française pour ne pas revivre la même déchirure avec ses harkis. Il avait participé au putsch des généraux à la tête du 1er REP (Régiment étranger de parachutistes).

    L'opération avait échoué, il s'était constitué prisonnier et avait été condamné à 10 ans de réclusion. Après cinq ans de prison, il avait été gracié par le général De Gaulle et réhabilité en 1978. Auteur d'une autobiographie en 1995 et de nombreuses conférences, il avait été élevé en novembre 2011 au rang de Grand Croix de la Légion d'honneur par Nicolas Sarkozy.

    Depuis son élection à la mairie de Béziers en mars 2014, Robert Ménard, ex-président de Reporters sans Frontières lui-même né à Oran, a été à l'origine de nombreuses polémiques, de l'installation d'une crèche de Noël à la mairie à une campagne d'affichage faisant d'un énorme pistolet le «nouvel ami» de la police municipale de sa ville.

    Oran, la ville natale de Robert Ménard, a été le théâtre d'un massacre d'Européens le jour de la proclamation de l'indépendance du pays, le 5 juillet 1962. Des éléments armés se sont livrés à une chasse à l'homme dans les rues de la ville, les commerces, les domiciles, ont arrêté, enlevé, tué ou lynché des Européens. Cet épisode sanglant a achevé de terroriser les pieds noirs dont l'exode s'est intensifiée.

    C'est parce que de nombreux Européens et Harkis ont été tués après le 19 mars 1962 que nombre d'élus et d'associations de rapatriés refusent de faire de cette date un moment de commémoration.

    Le Parisien

  • Damien Rieu relaxé par le tribunal de Lyon

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    18/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    Damien Rieu était poursuivi à Lyon pour provocation à la haine raciale suite à une plainte de SOS-Racisme.

    L’ancien porte-parole de Génération Identitaire a comparu devant le tribunal correctionnel de Lyon pour avoir dit dans un reportage diffusé sur TLM (télé Lyon métropole) le le 22 janvier 2013 :

    Les Français de souche vivent aujourd’hui dans la rue. Ils ne peuvent accéder aux centres d’hébergement et ont des problèmes de logement. C’est le facteur immigration qui est responsable de cette situation.

    “Les propos incriminés n’excèdent pas les limites du débat public dans une société démocratique”, a toutefois estimé le tribunal dans son délibéré.

    Nous avons eu la très agréable surprise d’apprendre que Damien avait été relaxé mardi 17 mars.
    crédit photo : Bloc Identitaire

  • Loïc Liber, tétraplégique, victime de Mohammed Merah et oublié de la République

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    Loïc Liber appartenait au 17e régiment de génie parachutiste ; aujourd'hui, il a tenu à rompre son silence.
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    Loïc Liber appartenait au 17e régiment de génie parachutiste ; aujourd’hui, il a tenu à rompre son silence. Il y a trois ans, ce Guadeloupéen était la cible de Mohammed Merah, à Montauban. Ils étaient trois devant le distributeur de billets de la Société générale, situé à proximité de la caserne Doumerc, ce 15 mars 2012. Ils n’ont pas vu venir l’homme à moto qui, écartant une vieille dame, les a pris pour cible simplement parce qu’ils portaient un béret rouge. Loïc a été grièvement blessé, ses deux camarades de régiment – Abel Chennouf et Mohamed Legouad -, eux, sont morts sur ce trottoir, dans une petite ville française, sans comprendre.

    Le militaire rescapé est resté un temps entre la vie et la mort mais, finalement, cette dernière n’a pas voulu de lui : « Heureusement, la balle a traversé mon corps de travers », explique-t-il à Radio Outre-Mer. « Je me rappelle très bien de la scène, on était trois. Malheureusement cet homme – il refuse de nommer Mohammed Merah – est venu par derrière… C’est un geste lâche, parce qu’il n’a pas eu le cran de nous affronter face à face. Tirer dans le dos de quelqu’un, c’est se montrer lâche… Ça fait beaucoup de peine de savoir qu’on est le seul rescapé de cette tragédie », confie avec tristesse ce soldat.

    En tout, sept personnes dont 3 enfants et leur père de confession juive ont été tuées par Merah.

    Depuis son agression, Loïc Liber est tétraplégique et ne peut bouger que la tête et les épaules. Dans sa chambre de l’hôpital d’instruction des armées (HIA) Percy, une statuette de l’archange Saint-Michel, protecteur des parachutistes, trône sur sa table de nuit. Son béret rouge et une photo de son île natale sont accrochés au mur. « Aujourd’hui, ça fait trois ans que je suis paralysé. Mais je tiens à ce que tout le monde sache que je suis là ! Et que je me bats », a-t-il confié aux journalistes… « Tant bien que mal, je m’accroche à la vie. Cet homme, qui m’a fait souffrir, qui me fait encore souffrir, je ne veux pas le laisser gagner », ajoute-t-il avec rage et courage.

    Il est quand même confondant de considérer que, revêtu pour la circonstance de son uniforme parachutiste, ce jeune Guadeloupéen n’a reçu comme décoration « que » la valeur militaire, remise par Le Drian en personne sur son lit de douleur. Elkabbach et Gérard Holtz, eux, ont été nommés respectivement commandeur et chevalier de la Légion d’honneur en juillet 2014… Pourtant, il faut certainement plus de courage pour vivre tétraplégique depuis trois ans dans un hôpital militaire et continuer à lutter pour se sortir de son état que d’interroger des gens sur le plateau d’Europe 1 ou être journaliste sportif sur France 2 et ami de Manuel Valls.

    Un dernier point : quatre jours plus tôt, le 11 mars 2012, est mort le sous-officier du 1er régiment du train parachutiste, Imad Ibn Ziaten. Celui-ci a rendez-vous avec un jeune homme sur un parking de Toulouse pour vendre sa moto. Ce jeune homme, c’est Merah. Toute la scène est filmée par une mini-caméra portée par le terroriste. Après s’être assuré que le vendeur est bien un militaire, le faux acquéreur sort une arme et s’écrie « Mets-toi à plat ventre. Je rigole pas, mets-toi à plat ventre ! » Le soldat refuse : « Tu ranges ça tout de suite. Je ne me mettrai pas à plat ventre, tu dégages. Je ne me mettrai pas à plat ventre, je reste. » Le terroriste réitère son ordre. Le militaire lui répond « Tu vas tirer ? Vas-y, ben tire ». Il est alors abattu d’une balle de 11,43 mm dans la tête, tirée à bout portant. Que la bravoure de cet homme nous serve aujourd’hui de leçon : ne nous couchons pas devant le terrorisme islamique.

     
    BOULEVARD VOLTAIRE
  • Italie : Des musulmans interdisent à des jeunes filles de monter dans le bus pour la mosquée

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    18/03/2015 – SIENNE  (NOVOpress)
    C’est un communiqué de la Ligue du Nord qui a révélé l’affaire, reprise ensuite par plusieurs sites d’information locaux comme ImolaOggi, Qui News Valdelsa ou encore OK Siena.

    La semaine dernière, à Colle di Val d’Elsa, dans la province de Sienne en Toscane, deux jeunes filles italiennes se sont plaintes à la Tiemme, la Société de transports, pour avoir été empêchées de monter dans l’autobus public qui part du centre ville en direction de la mosquée. Des immigrés musulmans qui se rendaient à la mosquée leur auraient interdit l’accès « car, selon leur religion, les femmes ne doivent pas prendre les transports publics en présence d’hommes de religion musulmane. Après un début d’altercation et des insultes, les jeunes filles se sont vues contraintes de renoncer à monter dans l’autobus ».

    À la suite de cette plainte, des contrôleurs de la Tiemme, épaulés par des membres de la Police municipale de Colle Val d’Elsa, ont effectué vendredi une vaste opération de contrôle, qui a permis d’infliger de nombreuses amendes pour manque de titre de transport. La Police municipale a en outre repéré un individu dépourvu de tout papier d’identité. Les forces de l’ordre alertées l’ont conduit au commissariat pour vérification : il a alors déclaré qu’il venait d’arriver clandestinement en Italie en provenance du Tchad.

     

    La mosquée de Colle Val d’Elsa, construite sur un terrain concédé par la municipalité, est particulièrement controversée. C’est celle que l’écrivain Oriana Fallaci, dans un de ses tout derniers entretiens, juste avant sa mort, avait carrément menacé de faire sauter : « Je ne veux pas voir un minaret de 24 mètres de haut dans le pays de Giotto, alors que moi je ne peux pas même porter une croix ou emporter une bible dans leur pays ».

    Dans son communiqué, le secrétaire provincial de la Lega Nord, Riccardo Galligani, a vu dans l’épisode la preuve « que la mosquée fonctionne comme un catalyseur de personnes parfois violentes, qui méprisent les libertés fondamentales des personnes, et sont en plus en situation irrégulière sur notre territoire ».

    Face à la polémique, la Tiemme a cherché à minimiser les faits. À en croire son président, Massimo Roncucci, les jeunes filles n’auraient pas été empêchées de monter dans l’autobus « pour des motifs ethniques et culturels » mais « seulement en raison de l’encombrement du véhicule ». Quant aux contrôles de vendredi, il s’agirait d’une « opération de routine ».

    On ne peut quand même s’empêcher de penser que, si les jeunes filles avaient été noires et ceux qui les empêchaient de monter des supporteurs de football, l’affaire serait déjà devenue un scandale international.

    Crédit photo : Jean-Marc Pascolo via Wikipédia, (cc).

  • Tunis : 19 morts dans l’attentat du musée Bardo. (MàJ : Photo et identités des terroristes )

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    20h55

    Les 2 jihadistes tués dans l’attaque du musée #Bardo se nomment Jabir al-Khashnawi et Yassin al-Abidi

     


    Selon le journal britannique The Independant, Federica Mogherini, chef de la diplomatie de l’Union Européenne,  accuse le groupe État islamique d’avoir « une fois de plus ciblé les pays méditerranéens et leurs habitants. Charlie Winter, chercheur du Think Tank Quilliam, a quant à lui rapporté les revendications d’un des principaux partisans de l’État islamique au Yemen, annonçant que l’attentat du musée Bardo n’est que le premier d’une série destinée à frapper la Tunisie :

     

     

     


    BREAKING: #ISIS claims responsibility for the #BardoAttack in #Tunisia@SputnikInt

     


    L’information selon laquelle un Français serait mort dans la prise d'otages n’a pas été confirmée pour l’heure. Le président de l’Assemblée nationale l’a néanmoins évoquée ce mercredi après-midi: « Il semblerait que l’on ait déjà plusieurs victimes, dont certainement un de nos compatriotes », a-t-il déclaré.


    Le nombre de personnes tuées dans l’attaque pourrait être plus important qu’annoncé jusqu’ici. Il s’élèverait à « entre huit et une vingtaine », selon une source diplomatique française contactée par L’Express


     

     

  • La ville de Bobigny rend hommage à ses citoyennes Rahma, Sabrina, Yamina, Habiba, Zineb

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    19h41

    Le documentaire de Bouchera Azzouz et Marion Stalens, « Nos mères, les daronnes » donne la parole à Rahma, Sabrina, Yamina, Habiba, Zineb, venues du Maroc, de Tunisie et d’Algérie. A travers le parcours de ces femmes, « de cultures et de religions différentes », ce documentaire propose un autre regard sur celles qui n’apparaissent pas souvent à l’image en les rendant un peu plus lisibles. « Raconter ces vies, construites en France, loin du pays natal, le Maroc, la Tunisie et l’Algérie, c’est rendre un hommage à nos mères, nos daronnes. »

    Dès la première séquence du documentaire, nous sommes invités à prendre le périphérique nord-est de Paris pour arriver à la cité de l’Amitié à Bobigny dans le 93.

    Pourquoi Bobigny ? C’est le quartier où a grandi Bouchera Azzouz et a forgé ses convictions. C’est là où sa mère Rahma a mené son combat de vie. D’abord pour élever ses dix enfants, dont deux fillettes placées chez elle par la Ddass et qui font entièrement partie de la famille. Puis, couturière et assistante maternelle, Rahma a accueilli chez elle durant 40 ans, une soixantaine d’enfants, de jeunes et mères célibataires avec leurs bébés, tous placés par les services sociaux de Bobigny. Aujourd’hui, retraitée, âgée de 75 ans, elle se consacre à sa passion la peinture et l’action sociale dans l’oriental marocain, d’où elle est originaire. [...]

     

    Zineb Doufikar, assistance sociale qui a retrouvé les bancs de l’école à l’âge de 26 ans, a élevé seule ses deux garçons. Son parcours de femme battante et déterminée pour la cause des femmes et des « Chibanis » témoigne de son engagement associatif très fort.
    Sabrina, cette ouvrière, si belle et coquette qui continue à travailler et si fière de son entreprise et son parcours de femme libre et rebelle.
    Habiba, commerçante à la retraite, aimant la vie et savoure joyeusement l’instant présent.
    Yamina, la femme culture qui croque les livres et goûte avec raffinement le verbe.

    Aline, l’institutrice de la cité de l’Amitié, qui a vu grandir les enfants et accompagné les mères les daronnes dans l’éducation de leur progéniture. Présente dans le documentaire pour rappeler le rôle central de l’école publique dans la réussite d’un parcours scolaire.

    atlasinfo

    FDS

  • Un tweet de Jean-Marie Le Pen

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  • EN DIRECT. Attaque à Tunis : 19 morts, dont 17 touristes, 6 Français blessés

    http://www.leparisien.fr/international/en-direct-fusillade-meurtriere-et-prise-d-otages-dans-un-musee-de-tunis-18-03-2015-4614323.php

     

    Plusieurs hommes armés ont mené une attaque meurtrière ce mercredi contre le musée du Bardo, à Tunis, tuant 19 personnes dont 17 touristes. Deux assaillants ont péri dans l'assaut donné par les forces de l'ordre, quelques heures plus tard. 

  • Discours du Dr Udo Ulfkotte, durant une manifestation PEGIDA à Bonn, avec Mélanie Dittmer

    http://ripostelaique.com/discours-du-dr-udo-ulfkotte-durant-une-manifestation-pegida-a-bonn-avec-melanie-dittmer.html

    Publié le par Sylvia Bourdon - Article du nº 399

  • Sartrouville (78) : la suppléante FN de 83 ans violemment agressée alors qu’elle collait des affiches

    17h37

    Ce matin, Marie-Françoise Lagroua, suppléante FN aux départementales sur le canton de Sartrouville, a été menacée, insultée et frappée alors qu’elle collait des affiches.

    Le collage d’affiche peut parfois devenir un exercice périlleux. Marie-Françoise Lagroua, 83 ans, suppléante aux départementales sur la liste FN du canton de Sartrouville, a été agressée mardi 17 mars par un couple de 25, 26 ans, selon plusieurs sources.

    Vers 11h10, cette Mansonnienne collait des affiches sur des panneaux électoraux situés avenue de la Concorde, à deux pas de la gare, quand le jeune homme et la jeune femme s’en sont pris à elle. « Ils lui ont dit, « on va te tuer ». Ensuite, elle s’est faite insulter et frapper », rapporte Didier Palix, tête de liste FN sur le canton. L’intéressée n’a pas pu être contactée.

    Il explique ensuite que la jeune femme a arraché le seau de colle des mains de la suppléante frontiste pour lui asséner « plusieurs coups sur le sommet du crâne » avec, puis, lui « vider la colle » sur la tête. L’arrivée d’une institutrice accompagnant un groupe d’enfants a mis en fuite les agresseurs. « Ils s’en sont pris verbalement à l’enseignante aussi », précise Didier Palix.

    Les lunettes de Marie-Françoise Lagroua ont été brisées durant l’agression et la militante FN présenterait plusieurs bosses à la tête. Elle est allée déposer plainte en fin de matinée et devait subir un examen à l’unité médico judiciaire de Versailles cet après-midi.

    Le tête de liste Front national dénonce « un climat de détestation » mis en place autour de son parti « par les plus hauts représentants politiques du pays ». Une situation qui, selon lui, provoquerait ce type de comportements.

    [...]

    Courrier Des Yvelines

  • Semaine de la langue française : le Secours populaire apprend bénévolement le français aux immigrés

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    17/03/2015 – PARIS (NOVOpress)
    En cette semaine de la langue française, il est surtout question de ceux qui ne la parlent pas ou qui la parlent mal. Même là, la propagande réussit l’exploit d’effacer l’autochtone au profit de celui venu d’ailleurs. Il faut dire qu’au delà d’être aussi invasive que les gens qu’elle chérit, la doctrine multiculturelle ne se fatigue jamais. Et s’il y a une semaine de la langue étrangère, que les Français de souche ne se fassent pas d’illusion : ils en seront absents également.

    Le “vivre-ensemble” n’est pas dyslexique, il est hémiplégique.

    Si les immigrés ont besoin de cours de français gratuits, ils peuvent compter sur le Secours populaire, des bénévoles se sont pressés à Paris pour dispenser cet enseignement. On ne sait jamais, ça peut servir encore quelques temps.

     

  • L’Algérie, par Vincent Revel

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    Lors du conflit algérien, qui a duré de 1945 à 1962, plus de 210 000 algériens ont combattu aux côtés des soldats français pour défendre une Algérie française. Pour nos accusateurs algériens ce ne sont que des renégats qui ne méritent ni considération ni compassion et ceci malgré les crimes violents qu’ils ont eu à subir du Front de Libération Nationale (FLN). Pour notre élite politique déracinée, ces harkis ont été jusqu’à nos jours des personnes fort encombrantes. La République, face à cette guerre appelée pendant longtemps simple maintien de l’ordre, ne sut jamais prendre ses responsabilités. Les jeunes soldats français, envoyés combattre le FLN dans son maquis, n’eurent que très peu de reconnaissance pour leur jeunesse perdue à faire une guerre inutile.

    Sur l’Algérie, nous devrions avoir un discours clair. Expliquer qu’avant la présence française, l’Algérie n’existait pas en tant que pays et nation. Avant l’arrivée de l’islam, au VIIème siècle, la partie nord de ce grand territoire appartenait à l’empire byzantin, héritier de l’empire romain. Les musulmans, lors de leur conquête, réprimèrent avec brutalité la résistance des tribus Berbères qui furent contraintes de subir une arabisation forcée de la part des vainqueurs. Sous la domination ottomane, du XVIème siècle jusqu’à l’arrivée des français en 1830, les barbaresques d’Alger vécurent de façon autonome face à la souveraineté turque. Ils s’enrichissaient grâce aux pillages et à la vente des esclaves qu’ils capturaient le plus souvent sur les côtes européennes. Malgré leur pouvoir de nuisance sur la méditerranée occidentale, les deys d’Alger ne contrôlèrent jamais plus qu’une petite bande côtière. Il fallut vraiment attendre l’intervention des forces armées françaises pour voir l’Algérie prendre forme et être découpée en trois départements français par la IIème République en 1849. De nombreux colons vinrent s’installer en Algérie, mirent en valeur ses terres par un savoir faire agricole et équiperont le pays par leurs ingénieurs (image en Une : le pont El-Kantara à Constantine construit en 1860, photochrome datant de 1899).

     

    A la fin de la seconde guerre mondiale, les Européens représentaient 10% de la population mais élisaient injustement le même nombre de députés à l’assemblée nationale que les citoyens français musulmans. Cette inégalité, renforcée par la faiblesse des dirigeants de la IIIème République, ainsi que le séparatisme attisé par la barrière culturelle et cultuelle de l’islam firent que les débats allèrent rapidement s’envenimer pour laisser la place à la guerre d’indépendance. Malgré la citoyenneté française donnée par Napoléon III en 1865 aux algériens musulmans, ceux-ci restaient « régis, en matière de statut personnel, par la loi coranique ou par les coutumes berbères. » Cette citoyenneté de seconde zone, établie à l’origine pour respecter la culture islamique, ne permit jamais d’unifier pleinement l’Algérie française.

    Très tôt, le cri de guerre du FLN fut, « nous sommes algériens, musulmans et arabes. » Ceci ressemblait beaucoup, sur fond d’indépendance, à un appel au djihad. 16 000 musulmans furent exécutés par les fanatiques du FLN uniquement pour leur appartenance à un autre parti que le leur. L’Armée de Libération Nationale (ALN), branche armée du FLN, sema la terreur aussi bien auprès des civils européens que musulmans. Tortures, viols, égorgements, éventrations, mutilations faciales, rien ne fut épargné à la population algérienne.

    Face à cette violence, l’armée française est accusée d’avoir mené une guerre sale. Des documentaires, des films nous expliquent comment les officiers de renseignement torturaient ces algériens « combattants héroïquement pour la liberté ! » Vu sous cette forme, cela parait émouvant et révoltant. Mais si nous avions le courage de nous pencher légèrement pour renifler l’odeur nauséabonde des fausses communes du FLN, remplies de cadavres anonymes algériens et de pieds noirs lâchement abandonnés, notre écœurement n’en deviendrait que plus tenace. A l’époque où notre président Hollande s’excuse de tout et pour tout, je vous avoue que cet esprit de repentance me devient insupportable et de ce fait je ne peux que féliciter Robert Ménard d’avoir honoré la mémoire d’Hélie de Saint Marc, officier exemplaire de la Légion étrangère.

    Vincent Revel

    Crédit photo : Auteur inconnu, domaine public via Wikipédia,.

     

  • Jean-Marie Le Pen invité de Patrick Cohen sur France Inter


    J-M Le Pen : Un département #FN, "ce serait un... par franceinter

     


    J-M Le Pen : "Je n'ai pas échoué, j'ai... par franceinter

  • Florian Philippot participe à un débat sur RTL-LCI: "le PS ne présente pas un seul ouvrier"

  • Apprentissage du latin et du grec : des racines qui délient les langues

     

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    L'art oratoire à Rome et à Athènes était indissociable du succès politique, publique, social. Aussi son vocabulaire imprégne-t-il non seulement les nombreux discours d'éloquence judiciaire (ceux de Cicéron sont les plus célèbres), mais également la littérature. Crédits photo : 46080321/Erica Guilane-Nachez - Fotolia

    Pour le magistrat honoraire et président de l'Institut de la parole, l'apprentissage du latin et du grec, loin de s'opposer à notre conception du progrès lui donne sens. Il l'enrichit et fournit à la culture de l'immédiateté la profondeur d'une source originelle.

     

     

    Les langues anciennes résistent à tout, et d'abord à leur mort prétendue.

    Accusons leurs fossoyeurs pressés plutôt qu'elles-mêmes.

    Devoir les défendre comme si elles constituaient un passif, une charge, alors qu'elles sont riches d'avenir et créatrices de cultures et de civilisations magnifiques est un comble. Qui révèle moins leur inutilité que le piètre niveau de notre société perdue dans une modernité oublieuse des repères fondamentaux. Des liens essentiels.

    Entre le passé et aujourd'hui, entre les racines et le présent, entre le latin et le grec d'un côté et Internet de l'autre. Le paradoxe est que sur beaucoup de plans superficiels, on nous rebat les oreilles avec ce terme «racines » mais on occulte le fait qu'elles sont constituées d'abord par ces deux langues anciennes et leur assise culturelle et historique. Les racines invoquées sans cesse par le snobisme ignorant valent mieux que celles du savoir et de l'héritage.

    Loin de s'opposer à notre conception du progrès un tantinet naïve, le latin et le grec lui donnent sens. Ils l'enrichissent et fournissent à la culture de l'immédiateté la profondeur d'une source originelle.

    L'apprentissage des langues ­an­ciennes forme à une gymnastique de l'esprit qui sera acquise pour ­toujours

    Entre ces langues fondatrices et la langue, la littérature française. La structure logique du latin, son vocabulaire, sa grammaire, son importance pour l'étymologie, la souplesse et la ductilité de la phrase pour le grec, la finesse des raisonnements et la sophistication des analyses ont directement créé, par une contagion bienfaisante, notre langue maternelle, quand elle est bien parlée et écrite, et irrigué nos grandes œuvres classiques et contemporaines. Sans le latin et le grec qui ont été le terreau, la France et les pays européens seraient orphelins.

    L'apprentissage des langues anciennes forme à une gymnastique de l'esprit qui sera acquise pour toujours.

    Qu'on ne soupçonne pas ce constat irréfutable d'être élitiste alors qu'on sait qu'au collège, les enfants de troisième qui étudient le latin ont en moyenne trois points de plus en français que les autres et que l'histoire et la culture latines offrent, par exemple à de jeunes Maghrébins, l'opportunité de découvrir que leur pays a fait partie de l'Empire romain comme la Gaule.

    Qu'on n'accable pas non plus ces langues anciennes en leur reprochant de faire l'admiration et d'avoir forgé la culture de «réactionnaires» quand tout démontre au contraire que leur caractère universel et l'humanité qu'elles recèlent sont aux antipodes d'une telle régression.

    À rebours, je considère que la relégation du latin et du grec, non seulement par la gauche à cause d'un préjugé politique absurde mais, plus tristement, par la droite, provient sûrement d'une peur face à des citoyens rendus vigilants, critiques, aptes à la contradiction et à la dialectique grâce à eux. Éliminons ces matières dangereuses!

    Les langues anciennes sont moribondes parce que la malfaisance veut les tuer. Il est indécent de s'arroger le droit de les défendre, comme si elles étaient coupables, alors que ce sont elles, à vie dans nos esprits et nos sensibilités, qui nous défendent contre le sommaire, le péremptoire, la bêtise, la pauvreté de la langue et la vulgarité de l'esprit.

    LE FIGARO

  • Essonne : une rame du RER D attaquée par une vingtaine de racailles

     Laurent Degradi et Florian Loisy | 17 Mars 2015, 19h12 | MAJ : 17 Mars 2015, 20h03

            
     
     
                                                                            
    Info le Parisien
    ILLUSTRATION. Une vingtaine de personnes ont attaqué une rame du RER D en gare de Juvisy-sur-Orge (Essonne) dimanche matin. ILLUSTRATION. Une vingtaine de personnes ont attaqué une rame du RER D en gare de Juvisy-sur-Orge (Essonne) dimanche matin. LP/Yann Foreix

    Une rame du RER D a été la cible d’une attaque de grande ampleur dimanche matin en gare de Juvisy-sur-Orge (Essonne). Une vingtaine d’individus se sont introduits à l’intérieur du wagon à double niveau peu après 5 heures du matin.

    Là, ils se divisent en deux groupes et se mettent à importuner puis à dépouiller souvent de façon violente les passagers présents dans les deux niveaux de la rame.

     Plusieurs plaintes ont été déposées. L’enquête est confiée à la brigade des réseaux ferrés (BRF).