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20/02/2015- PARIS (NOVOpress)
Orchestrer le déferlement de plus de 500 000 clandestins sur les côtes italiennes : telle est la nouvelle menace proférée par l’EI à l’encontre de Rome, au moment où celle-ci parle d’une éventuelle intervention en Libye. Un véritable tsunami humain auquel doit d’urgence se préparer une Europe qui, par laxisme et par angélisme, a depuis des années été incapable de répondre à la multiplication des « Camp des Saints ».
C’est le quotidien Il Messagero qui, citant des conversations téléphoniques interceptées par la police italienne, a révélé cette semaine que « les djihadistes émettent l’hypothèse d’envoyer à la dérive direction l’Italie, des centaines de barques remplies de migrants, dès le moment où notre pays évoquerait une intervention armée en Libye ». Une réponse en effet au ministre italien des Affaires étrangères, Paolo Gentiloni, et à celui de la Défense, Roberta Pinotti, qui affirmaient respectivement lundi qu’il n’y a « pas une minute à perdre » en Libye et que le pays est prêt à mobiliser 5 000 soldats pour lutter contre l’EI.
Et Il Messagero ajoutait que « l’objectif serait de créer un nouveau drame (décès en mer, port bloqué) provoquant un impact dévastateur sur l’opinion publique ».
Rompre avec l’angélisme
C’est que les djihadistes suivent de près tout ce qui se fait, se dit et s’écrit en Europe. Ils ont parfaitement entendu le ministre italien de l’Intérieur expliquer que « si les milices du Califat avancent plus vite que les décisions de la communauté internationale, nous avons le risque d’un exode sans précédent ». Ils ont vu, depuis des années, comment l’Europe a été impuissante face au déferlement de clandestins sur ses côtes. Son incapacité à repousser, militairement s’il le fallait, ces bateaux remplis de migrants. Par lâcheté et par excès de « bons sentiments ». Or, comme l’écrivait Clausewitz, « dans un état aussi dangereux que la guerre, les pires erreurs sont celles que nourrissent les bons sentiments ».
Au fond, dans cette guerre que nous a déclarée l’EI, la question est aujourd’hui de savoir jusqu’où l’Occident est prêt à aller pour assurer sa survie ?
Franck Delétraz

10/02/2015 – LYON (NOVOpress)
Malgré les déclarations mensongères du gouvernement de Manuel Valls sur la sécurité en France, la situation ne cesse de se dégrader. Un chiffre donné par la chaine d’information LCI montre l’ampleur de ce phénomène : 200 incidents ont été recensés depuis les attentats du 7 et 9 janvier autour des lieux sensibles. Selon le général Charpentier, il y a eu « des agressions armées avec arme de guerre d’hommes cagoulés la nuit » !
A Nice, à Villeurbanne, à la Seyne-sur-Mer,… et dans la banlieue parisienne, plusieurs militaires ont été menacés et attaqués par des individus faisant clairement référence aux frères Kouachi et Amédy Coulibaly.
Après les attaques meurtrières de Charlie Hebdo et l’Hyper Cacher de la Porte de Vincennes à Paris, la société française est entrée dans une phase de djihadisme de moyenne intensité (attaque quasi-quotidienne à l’arme blanche) qui débouchera si les mesures préconisées par le Bloc Identitaire ne sont pas appliquées (déchéance de la nationalité et remigration), sur des situations comparables à la Bosnie, au Kosovo, à la Libye, à la Syrie ou à l’Irak.
L’heure n’est plus à l’indignation et aux tergiversations, mais à l’action !
Bloc Identitaire Lyon
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https://twitter.com/BI_Lyon

Arnaud Montebourg a été hospitalisé à l'hôpital Bellevue de Manhattan à New York. D'après les informations de Paris Match, l'ancien ministre petit-déjeunait dans un restaurant de Soho, le Balthazar, lorsqu'un miroir géant s'est effondré sur plusieurs clients de l'établissement. Sa compagne, l'ancienne ministre de la Culture Aurélie Filipetti, se tenait à ses côtés lorsque l'accident est survenu. Arnaud Montebourg s'est vu poser une minerve avant d'être transporté à l'hôpital.
Selon le New York Post, qui précise qu'Arnaud Montebourg a quitté le Balthazar sur une civière, son pronostic vital n'est pas engagé.
D'après le Figaro, l'ancien ministre de l'Economie donne des cours à l'université de Princeton, New York, depuis le 16 février. Mercredi, Aurélie Filipetti y avait donné une conférence à laquelle Arnaud Montebourg avait assisté. Lui-même devrait être en mesure d'assurer son cours prévu lundi, précise Paris Match. (6Medias)

NDF

Encore un brillant produit de l’École Nationale de la Magistrature ce David Charmatz, procureur de la République près le Tribunal de grande instance de Narbonne, aussi perspicace que son collègue de Nantes… Ces gens prennent vraiment les Français pour des pélicans ! Faut dire que ce sont des cadors. Vous rendez-vous compte ? Le procureur de Narbonne sait déjà tout sur cette affaire : c’est une « imitation » de ce qui s’est produit à Sarre-Union. Un vrai magicien. Point barre. Circulez, ya rien à voir !
Des croix ont été brisées et des plaques renversées sur douze tombes du cimetière de Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (Aude), une profanation dénuée de caractère raciste ou religieux selon les premiers éléments de l’enquête, a indiqué aujourd’hui le procureur de Narbonne à l’AFP. Ces dégradations ont été commises « dans la semaine » [découvertes mercredi 18 février au soir] dans ce village audois de moins de 800 habitants. Leurs auteurs n’avaient pas été retrouvés ce jeudi. « Les 12 tombes elles-mêmes n’ont pas été abimées. Ce sont les plaques commémoratives et les croix qui ont été jetées au sol », a dit le procureur David Charmatz, confirmant des informations de France 3 Languedoc-Roussillon et du journal L’Indépendant. « Ces faits n’ont aucun caractère religieux ou raciste. Il s’agit d’individus ayant bêtement voulu imiter les profanations dans l’Est de la France », a-t-il ajouté, en référence à la profanation de 250 tombes dimanche dans le cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin).
Source : Le Figaro (19 février)
Observatoire de la christianophobie

«Mein Kampf» peut-il devenir un livre à fins pédagogiques ? C'est en tout cas le projet de l'Institut d'histoire contemporaine de Munich (IFZ), qui a annoncé sa volonté de rééditer une version commentée du livre de propagande d'Adolf Hitler afin, notamment, de le «démystifier».

Hier, il a été conseillé aux Italiens de quitter la Libye, et l’ambassade d’Italie à Tripoli a été fermée. Le pays est complètement hors contrôle, c’est une vraie poudrière. A quelques centaines de kilomètres de chez nous.
Ces fanatiques du califat ont commencé à menacer notre pays. Il y a quelques heures, un de ces fanatiques expliquait sur les réseaux sociaux que notre pays se trouve à portée des missiles. « Tirons un scud » proposait-il à ses sbires.
La Libye est pleine à craquer d’armes et, quand le régime du colonel Kadhafi s’est écroulé, qui sait en quelles mains ces armes sont tombées.[…]
Les djihadistes ont déclaré : « Vous nous avez vus sur les collines syriennes, mais maintenant nous sommes au sud de Rome. En Libye ». Traduisez : « Nous arrivons ».
Ce message a été divulgué en même temps que la vidéo, tournée en Libye, face à la mer, montrant la décapitation de 21 coptes égyptiens.
Source en italien (trad. D. Borer)
Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2015, dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d’origine.
Merci BHLévy, Sarkozy, Kouchner & Co !
(merci à Dirk)



Marine Le Pen, invitée de Renaud Blanc avec LCI par radioclassique
Stéphane Sellami | 19 Févr. 2015, 14h10 | MAJ : 19 Févr. 2015, 16h59
Une directrice d’école maternelle a été poignardée, ce jeudi 19 février, vers 12 h 30, rue de la Briqueterie dans le XIVe arrondissement à Paris par un inconnu en pleine rue. LP/O.ARANDEL19 février 2015 par CharlotteO - Contre-info.com
Le profanateur du cimetière juif de Sarre-Union s’appelle Pierre, mais pas de bol pour tous ceux qui voyait déjà l’extrême-droite cachée derrière cette profanation surmédiatisée, il est… antifa !
C’est Le Monde qui nous l’apprend dans son édition du jour :
» (…) A Sarre-Union, 3 000 habitants, tout le monde se connaît. Et personne ne comprend. Gaëtan Wilsius, élève de 1re L au lycée Georges Imbert, a organisé dans la ville une marche silencieuse « de solidarité et d’indignation » qui a rassemblé dans la ville des centaines de lycéens, mardi. Sur les cinq suspects, il en connaît quatre. Ils étaient tous ensemble au collège Pierre-Claude de Sarre-Union, deux d’entre eux sont comme lui au lycée situé juste à côté. Il a beau chercher des signes distinctifs, il n’en trouve pas. Sauf peut-être qu’ils étaient « fans de metal », et « se tenaient un peu à part à cause de ce centre d’intérêt ».
Pierre, précise Gaëtan, « c’était la personne juste un tout petit peu bizarre parmi des gens normaux. Mais rien de méchant. »
Les cinq mineurs n’ont aucun antécédent judiciaire. La justice ne leur connaît pas « de convictions idéologiques qui pourraient expliquer leur comportement » note le procureur. Ils sont issus de « familles bien », qui « ne posent pas de problèmes particuliers et ne sont pas dans le besoin », affirme-t-on à la mairie de Sarre-Union. L’un est le fils d’une institutrice, l’autre le petit-fils d’un proviseur.
Tous sont « calmes, discrets, pas bagarreurs, n’ont rien de spécial », disent leurs camarades. Quatre sur les cinq habitent Sarre-Union, trois y sont scolarisés dans l’unique lycée. Les élèves de catégorie socio-professionnelle (CSP) favorisée y sont légèrement en dessous de la moyenne académique, les CSP défavorisés sont légèrement au-dessus, mais le taux de réussite au bac se situe entre 90 % et 100 %. « Un établissement sans problèmes particuliers », assure Jacques-Pierre Gougeon, recteur de l’Académie de Strasbourg. »
Pierre B. avait un ennemi déclaré : « le fascisme ». Il portait des slogans antifascistes sur ses vêtements.
« On ne parlait pas politique mais si on évoquait le Front national, il se mettait sur ses deux pattes arrière et se mettait à grogner, raconte Gaëtan. Il prétendait se battre contre le fascisme et était très remonté contre la police. Il traitait les policiers et les militaires de fascistes, avec une hargne qui me mettait mal à l’aise » raconte un des lycéens de Sarre-Union.

En 2014