GAELLE MANN - Page 798
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Afrique du Sud: un meurtrier cannibale en cavale arrêté
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C’était un 28 avril…
28 avril 2014
1945 : les troupes allemandes en Italie ont capitulé mais les dernières troupes italiennes de la RSI se battent encore.
Une course-poursuite s’engage entre services secrets britanniques et américains pour enlever Mussolini.
Winston Churchill, qui veut faire oublier son admiration pour Mussolini jusqu’en 1939, a décidé de le faire disparaître afin d’éviter qu’il ne soit jugé et qu’il ne parle.
Ce samedi 28 avril, Mussolini et Clara Petacci, qui l’a de nouveau rejoint, sont soustraits des partisans locaux par une équipe de tueurs qui agissent sur ordre de Londres. Sans avertissement, ils sont abattus à la lisière du village de Mezzagra. Les deux cadavres, ainsi que ceux de six dignitaires fascistes, sont emmenés à Milan où ils sont outragés puis pendus par les pieds à la façade d’un garage, place Loreto, face à une foule haineuse.1946 : décès, à Croissy, du colonel de La Rocque, né en 1885, des suites de sa déportation par les Allemands en mars 1943, puis de son internement ne France en 1945 par le gouvernement français de la Libération. Le colonel de La Rocque fonda le Parti social français (PSF) et se rallia au Maréchal Pétain. Il est enterré à Saint Clément (Cantal), près du hameau de La Rocque.
Contre-info.com
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600 millions d’euros déversés sur les banlieues ethniques
28 avril 2014
Quelque 600 millions d’euros du programme d’investissement d’avenir (PIA) seront accordés aux « zones sensibles », a annoncé lundi le ministre de la Ville Najat Vallaud-Belkacem qui souhaite « mettre le paquet sur l’emploi » dans les « quartiers populaires » (c’est-à-dire immigrés).
Préférence étrangère ? Maintien de la « paix sociale » par l’argent ?
Il s’agit quoiqu’il en soit de créer encore une quantité d’emplois bidons pour contenter les déracinés venus en France pour des raisons économiques…Contre-info.com
L'argent de nos impôts est jeté par les fenêtres!
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Rome : canonisations médiatiques en 3 D
Jean XXIII et Jean-Paul II sont-ils des saints ?
Michel Lhomme
le 27/04/2014
modifié le 27/04/2014 à 15:23hJean XXIII et Jean-Paul II ne sont pas des saints catholiques et il est tout de même curieux qu'il faille un théologien païen pour le rappeler à l'Eglise. La vérité ne saurait être relative. Dès lors pourquoi Jean XXIII et Jean-Paul II sont-ils sanctifiés et canonisés ?
Ce furent des papes politiques, des papes « modernes », des papes mondialistes. Jean XXIII initia et Jean-Paul II médiatisa l'hérésie suprême : le dialogue interreligieux. Chacun sait que les religions sont facteurs de division (Cf un récent sondage australien du The Sydney Morning Herald), mais Jean XXIII et Jean-Paul II voyaient les choses autrement. En saints sécularisés et laïcisés, ils trouvaient dans toutes les religions, de la compassion, de l'hospitalité, de l'amour du prochain, de la paix universelle (ce cosmopolitisme kantien sur lequel Benoit XVI rédigera sa thèse de philosophie) et même, comme le Pape François aujourd'hui, du respect de l'environnement et sans doute demain, la reconnaissance de l'orientation sexuelle invertie.
C'est à partir de Jean XXIII que l'Eglise catholique se lancera dans son affaire du siècle : le dialogue interreligieux. Bouddhistes, chrétiens, hindous, musulmans et bien d'autres - sauf les païens - uniront leurs forces pour combattre la pauvreté (parfois même avec les communistes dans le cadre de la Théologie de la libération), défendre les droits de l'homme, ou alerter le public sur les problèmes sociaux ou écologiques. Depuis, diverses religions, toujours sous l'égide de l'Eglise catholique, se réunissent dans des forums ou des rencontres comme celles d'Assise. Des prêtres ou moines de toutes obédiences s'y assemblent pour discuter de la façon dont ils peuvent favoriser une compréhension mutuelles et célébrer ensemble leur communauté d'esprit par des fêtes, des prières, des cérémonies, en somme des shows spectaculaires pour préparer le futur gouvernement mondial totalitaire.
Le dialogue interreligieux va-t-il apaiser les conflits religieux ?
Poser la question, c'est y répondre. L'une des plus grandes organisations interreligieuses, Interfaith Youth Core, présente à Rome ce week-end, se vante de compter parmi ses membres des représentants de plus de 200 religions et d'être active dans 76 % des pays. Elle répond à l'appel de Jean-Paul II : « favoriser entre les religions une coopération quotidienne et durable ». Les fondateurs de cette organisation s'empressèrent de rédiger une charte commune qui ne devait offenser aucune des religions associées. Ils mirent du temps à rédiger cette charte mais surtout à la faire signer. Pourquoi ? Parce que personne n'était d'accord sur le nom de Dieu. On trancha alors abruptement : aucune référence à Dieu n'y serait faite. Dieu est mis de côté. Dieu est ainsi mort au sein des religions. C'est exactement l'aboutissement théologique de nos deux « saints » du dimanche : tuer Dieu au cœur même du sanctuaire, retourner l'autel.Peut-on encore parler à Rome de catholicisme ?
Quel rôle peut encore jouer la Foi catholique (Jean 3 : 16 ) si le nom même de Dieu n'y apparaît plus ? En quoi, dans ce cas, l'Eglise charismatique, œcuménique diffère-t-elle d'un quelconque organisme de bienfaisance ou philanthropique ? Jean XXIII et Jean-Paul II seront ce dimanche célébrés à Rome par les hommes politiques comme les premiers fondateurs des ONG, non pas en tant que religieux catholiques mais en tant qu'humanitaristes ce qui ne les empêchera pas de verser le sang en Ukraine ou en Syrie et demain, en Iran.
Selon le Dalaï-lama, autre partisan du rapprochement interreligieux, « toutes les grandes religions délivrent plus ou moins le même message: un message d'amour, de compassion et de pardon. L'important, c'est que ces qualités fassent partie de notre quotidien ». Admettons mais nous ne pouvons nous empêcher de poser une question aux Bouddhistes comme aux Catholiques sans Dieu : la vraie foi ne consiste-t-elle qu'à encourager au Bien ? La seule raison d'être de la religion n'est-elle que morale ? Qu'en est-il alors effectivement de l'Eveil ou de la Sainteté ? Faut-il dès lors rappeler aux chrétiens les principes de leur fondateur Paul (Romains 10:2, 3; Mathieu 7:21-23; 2 Corinthiens, 6:14-17) ?
Il y a des cultes vains. Il y a certes du « Heureux les pacifiques » dans le message évangélique qui, soit-dit en passant, nous rappelle surtout le roman de Raymond Abellio , mais il n'est pas du tout de la fonction de l'Eglise de créer des ponts entre toutes les religions pour qu'elles puissent vivre en paix. Le Christ ne s'est jamais associé aux autres dans leurs pratiques religieuses. Jésus face aux Pharisiens, face aux Sadducéens, s'est refusé à tout partenariat religieux (Mathieu 15:14). L'Eglise n'est pas une entreprise humanitaire, une société œcuménique d'entraide. Jusqu'aux « gentils papes » (Jean XXIII et sa suite), l'Eglise a toujours condamné le rapprochement interreligieux car on ne saurait parvenir à l'Unité par le patchwork ou le mélange des rites. Après plus de cinquante ans d'église conciliaire, le dialogue interreligieux est en panne.En religion, la doctrine et la morale resteront toujours des sources de conflit car chaque texte sacré comporte ses normes de Dieu et en appelle, certes à l'unité mondiale mais par le triomphe de ses valeurs, par son purisme propre.DansChesterton face à l'Islam qui vient de paraître chez Via Romana, Philippe Maxence décrit la nature profonde de cette religion. Chesterton faisait un rapprochement entre l'Islam et l'hérésie unitarienne, qui consistait aux débuts du christianisme à nier la Trinité pour ne considérer Dieu que comme une seule personne. Cela rejoint totalement le dogme intangible de l'affirmation de la foi musulmane d'un « Allah Akbar», d'un Dieu-Un, d'un Dieu Unique et Très-Haut. Cette théorie forte et puriste du Dieu Unique, dans sa substance et sa personne, manifeste forcément une volonté conquérante intrinsèque, inscrite profondément en lui. Car comme l'écrit Chesterton, « la conquête est permise et si l'on peut dire, elle est naturelle pour les disciples d'un Dieu qui étant seul ne peut pas aimer et ne connaît dès lors que la loi de la soumission ».Tous ces Chrétiens œcuméniques réunis ce dimanche, finissent par n'adorer que ce Dieu-Un, cette unicité abstraite de Dieu, en ignorant au nom de la tolérance et du dialogue interreligieux et sous la bannière mondialiste de l'amitié des peuples, le caractère quasi polythéiste du catholicisme.L'insistance, dans ces cérémonies de canonisation sur l'unicité d'un Dieu-concept des religions, d'une sorte d'Absolu, fondement universel de toutes les religions, est bien celle d'un Dieu, très proche de celui des disciples de Mahomet ou de la fin hégélienne de l'Histoire. Le Dieu des Chrétiens et des Musulmans, comme celui des Juifs et des Bouddhistes, des Rastafaristes ou des Hindous n'est pas le même et toutes les répercussions théologiques de cette différence sont politiques et participent de la politisation du monde. La cérémonie de ce week-end sera bien une grande messe mais ce sera celle de la dépolitisation du monde.METAMAG -
Louis de Bourbon : "Je suis prêt à servir la France"
Marseille / Publié le Dimanche 27/04/2014 à 05H17L'héritier du trône de France était à Aigues-Mortes pour célébrer Saint Louis
Le prince Louis et son épouse la princesse Marguerite sont venus à Aigues-Mortes à l'occasion du 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis.Photo Maxppp
Si la France était encore une monarchie, le prince Louis de Bourbon, duc d'Anjou, serait notre souverain sous le nom de Louis XX. Le prince, qui s'est rendu vendredi à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis, a accepté de répondre aux questions de La Provence.
Monseigneur, vous vous êtes rendu, vendredi, à Aigues-Mortes pour commémorer le 800e anniversaire de la naissance de Saint Louis. Que représente ce roi, majeur dans notre histoire, pour vous ? Et pourquoi célébrer sa naissance, qui est aussi le jour de votre quarantième anniversaire, à Aigues-Mortes ?
Louis de Bourbon : C'est vrai que la concordance des dates et des prénoms est amusante : Saint Louis est né le 25 avril 1214, je suis né 760 ans plus tard et nos épouses se prénomment Marguerite... Mais plus sérieusement, oui, il m'a paru important de venir à Aigues-Mortes à l'occasion du 800e anniversaire de Saint Louis. J'ai accepté cette invitation des autorités civiles et religieuses car honorer ce saint roi, bon époux et bon père de famille, est tout un symbole. Il fonda cette cité en 1240, ouvrant à la France une porte sur la Méditerranée qui ne s'est jamais refermée depuis. Roi réformateur, bâtisseur, juste, il était très aimé car il avait grand souci du faible. Tout cela est présent à Aigues-Mortes, mais j'irai cette année dans d'autres lieux, tant en France qu'à l'étranger, à commencer par le Grau-du-Roi pour la restauration d'un reliquaire.Alors que notre pays semble de plus en plus divisé, quel serait, selon vous, l'intérêt d'une restauration de la monarchie ?
Louis de Bourbon : L'avantage de la royauté, c'est précisément de faire l'union. D'ailleurs, ce fut tout au long de l'Histoire le leitmotiv de nos rois : unir, rassembler, lutter contre les intérêts particuliers au profit de l'intérêt général. Un roi, par nature, est au-dessus de tous les partis. Il est au service de tous. Au service de son pays et c'est naturellement qu'il mettra tout en oeuvre pour le transmettre à son successeur en bonne santé. C'est la concordance commune d'intérêts qui est l'un des secrets de la réussite du système, et cela est unique et irremplaçable.Peut-on encore concilier modernité et monarchie, notamment en ce qui concerne les problèmes de société ?
Louis de Bourbon : Déjà, on peut constater que des monarchies existent en Europe et, en général, les pays concernés révèlent une adaptation plus dynamique, tant sur le plan social qu'économique. La France est très attachée à son système de protection sociale que Saint Louis aurait sûrement soutenu, lui qui, à l'époque, créait les grands hôpitaux et les premiers fonds de retraite pour les soldats. Mais pour garder cette protection, il faut être vigilant et lucide. Rien n'est pire que l'utopie. La royauté, elle, s'est construite sur du réel, c'est-à-dire, au départ, une famille, des fiefs, des communes, des artisans, des commerçants, des entrepreneurs, etc. Tout un tissu social travaillant chacun pour soi et pour le bien de tous, grâce à un contrôle minime mais efficace exercé par le minimum d'État qu'est la royauté. Ce système donnait ainsi beaucoup de libertés aux individus. Où en sommes-nous avec les libertés ?Dans la France actuelle, quel rôle entendez-vous jouer ?
Louis de Bourbon : Un rôle à la fois discret et concret. Les autorités, tant civiles que religieuses, qui m'ont invité savent très bien qui je suis et c'est bien en tant qu'aîné de la Maison de Bourbon, descendant direct de Saint Louis, que je suis venu à Aigues-Mortes. Les choses sont claires et je suis très heureux de pouvoir incarner cet attachement profond des Français à leur Histoire. Chaque année, le programme des Célébrations nationales présente beaucoup d'occasions d'évoquer ce lien si particulier qui existait entre le Roi et son peuple, un lien à la fois charnel et spirituel, là encore quelque chose d'irremplaçable. Que vous dire d'autre ? J'existe, je suis là et si je peux un jour oeuvrer plus concrètement pour la France, je prendrai mes responsabilités. J'ai aujourd'hui 40 ans, trois enfants, une vie active, je sens bien que ma génération et celle qui suit attendent un changement profond et pacifique.La Provence
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Saint Jean-Paul II embrasse le Coran au Vatican - Rome 14 mai 1999
(Alexandre Simonnot sur Facebook)
http://www.catholique-sedevacantiste.com/article-32851059.html
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Hermann Van Rompuy au sujet des élections européennes : « les vraies décisions sont prises ailleurs »
27/04/2014 – BRUXELLES (NOVOpress) - Le Président du Conseil européen Herman Van Rompuy a récemment reconnu que le manque d’intérêt des citoyens européens pour les élections européennes est l’expression d’un sentiment instinctif. Dans une interview accordée au Süddeutschen Zeitung, il a confié que « les vraies décisions sont prises ailleurs », c’est à dire pas au Parlement européen. Cette affirmation démontre que l’Union européenne est une institution opaque et autoritaire, sur laquelle les citoyens n’ont que très peu de prise.
Source :deutsche-wirtschafts-nachrichten.de – crédit photo : Guillaume Paumier via Wikimedia (cc)
Mais alors où sont-elles prises? Et par QUI ?
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L'histoire de Paris - Sur la place du Châtelet, il y avait jadis la forteresse du Grand Châtelet
(Musée Carnavalet)
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Allemagne : un candidat de la CDU (droite) modifie le logo de son parti pour séduire l’électorat musulman
27/04/2014 – NEUSS (NOVOpress)
Des élections locales vont avoir lieu le 25 mai prochain dans la ville de Neuss et la chasse aux électeurs musulmans vient de franchir une nouvelle étape.Cette chasse désespérée au vote immigré devient évidente quand le candidat CDU (Union chrétienne démocrate), Yasar Calik – lui-même d’origine turque et musulman -, a rajouté un croissant et une étoile sur le logo de son parti, qui paradoxalement est chrétien-démocrate (photo ci-dessous)… Il convient aussi de noter que son principal adversaire, le candidat du SPD (Parti social-démocrate), Hakan Temel, est aussi Turc et musulman. -
Repentance et ethnomasochisme à propos de l’esclavage : le FN dit non !
27/04/2014 – VILLERS-COTTERETS (NOVOpress via Kiosque courtois)
Alors que la doxa dominante entend culpabiliser les Français pour mieux les contraindre à se résigner au Grand Remplacement, Franck Briffaut, le nouveau maire Front national de Villers-Cotterêts a quant à lui refusé d’organiser une commémoration le 10 mai prochain pour l’abolition de l’esclavage. « Je perçois cette commémoration comme étant un peu à la mode, dans le cadre d’une auto‑culpabilisation permanente, d’une culpabilisation systématique, alors que l’esclavage existe encore ailleurs dans le monde » a ainsi déclaré Franck Briffaut.Une décision que l’association des amis du général Dumas, mort à Villers‑Cotterêts, a déplorée, rappelant que le père du grand écrivain Alexandre Dumas était descendant d’esclaves par sa mère. Franck Briffaut a répliqué en déclarant qu’il était prêt à célébrer la personne et les exploits du général Dumas dans une démarche positive, mais pas à entretenir la culture de repentance.
Photo : Château François Ier à Villers-Cotterêts où François Ier signa probablement l’ordonnance de Villers-Cotterêts en 1539, faisant du français la langue officielle du droit et de l’administration, en lieu et place du latin. Sans doute le plus ancien texte encore directement en vigueur en France. Crédit : Benjism89, via Wikipédia, (cc).
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Le 27 avril 1702 : mort de Jean Bart, corsaire dunkerquois au service du Roi Louis XIV.
Statue de Jean Bart à Dunkerque
Né à Dunkerque le 21 octobre 1650, Jean Bart commence à naviguer dès l'âge de 12 ans, comme mousse dans l'escadre hollandaise commandée par Ruyter, dont il observe le savoir-faire tactique. Il fait ses premières armes durant la guerre de Hollande. A partir de 1672, il navigue en course pour le compte de la France et s'y révèle. Le 2 avril 1674, il s'empare de sa première prise, un dogre hollandais, le premier d'une longue série. Pour la seule l'année 1676, ses prises s'élèvent à dix-sept. Il commence alors à attirer l'attention du ministre de la Marine, Colbert, et du Roi lui-même. Ce dernier lui envoie une chaîne en or en guise de récompense. Il accumule plus de 50 prises entre 1674 et 1678. Admis dans la Marine royale avec le grade de lieutenant de vaisseau en janvier 1679, il se bat en Méditerranée contre les Barbaresques et est promu capitaine de frégate en août 1686.
En 1689, il est chargé, en compagnie de Forbin, un autre corsaire du Roi, de conduire un convoi de Dunkerque à Brest, il est fait prisonnier par les Anglais, mais le convoi est sauvé par son sacrifice. Il s'évade et revient à Saint-Malo en traversant la Manche à la rame. Il est promu capitaine de vaisseau en juin 1689, en récompense de cette action.
De 1690 à 1697, Jean Bart devient la terreur des mers pour les ennemis de la France. En 1694, la France subit le blocus de la Ligue d'Augsbourg. Cela fait monter le prix du grain, car les négociants spéculent. Pour éviter la famine, Louis XIV achète alors cent dix navires de blé norvégien.
Le lendemain de son départ de Dunkerque, Jean Bart rencontre cette flotte de 130 navires marchands entre le Texel et la Meuse. Le problème est qu'elle a été capturée par huit vaisseaux de guerre hollandais, dont l'un porte pavillon du contre-amiral Hidde Sjoerds de Vries.
Malgré un rapport de force qui lui est défavorable, car il ne dispose que de sept bâtiments de rang inférieur, Jean Bart engage le combat. Après une lutte acharnée, au cours de laquelle l'amiral hollandais est grièvement blessé et capturé, il parvient à reprendre la flotte et la ramène en France.
C'est en sauvant ainsi le Royaume de la famine, qu'il devient un véritable héros. Cette victoire du Texel, de 1694, car il y en aura une autre au même endroit 3 ans plus tard, lui vaut l'anoblissement et la reconnaissance personnelle de Louis XIV. Sa popularité est telle que les Grands du royaume, comme le duc de Bourgogne, le duc d'Anjou, le prince de Conti, participent à l'armement de ses vaisseaux en contrepartie d'un tiers des prises.
Ainsi Jean Bart « … sauva la France en lui donnant du pain » comme le chante une « Cantate à Jean Bart » de l'époque. Pour cet exploit, Jean Bart reçoit des mains du Roi, la croix de chevalier de l'Ordre de Saint-Louis, institué l'année précédente. Une médaille est frappée en souvenir du combat du 29 juillet 1694, et Jean Bart est anobli. Dans les lettres de noblesse qu'il lui envoie, Louis XIV autorise Jean Bart à porter une fleur de lys d'or dans ses armes ; le Roi écrit :
« De tous les officiers qui ont mérité l'honneur d'être anoblis, il n'en trouve pas qui s'en soit rendu plus digne que son cher et bien-aimé Jean Bart. »
Trois ans plus tard, il est nommé chef d'escadre pour avoir préservé Dunkerque des bombardements anglais.
En 1702, Jean Bart commande le Fendant, en rade de Dunkerque, lorsqu'une pleurésie l'oblige à débarquer à la veille de la guerre de succession d'Espagne. Il meurt à Dunkerque le 27 avril 1702, à l'âge de 52 ans. Il est inhumé en l'église Saint-Éloi dans sa bonne ville de Dunkerque. "Le Renard des Mers" comme on le surnomme, a capturé 386 bâtiments au cours de sa carrière. La France a, depuis, rendu hommage à Jean Bart en donnant son nom à 9 bâtiments de la Marine.
Le Salon Beige
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Alstom abandonné par le gouvernement français au profit d'un dépeçage américain ou allemand !
Communiqués / 27 avril 2014 / Mots-clés : Alstom, Montebourg, Ultralibéralisme /
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Catastrophe de Tchernobyl 26 avril 1986
http://www.dissident-media.org/infonucleaire/special_tcherno.html
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Prisonniers du FLN : Raphaëlle Branche nous parle de son livre-enquête
L’historienne Raphaëlle Branche, spécialiste de la guerre d’Algérie, présente le contenu de son dernier ouvrage « Prisonniers du FLN ». Première enquête historique sur les prisonniers de Front de Libération Nationale, page méconnue de la guerre d’Algérie.
Ces prisonniers du FLN furent aussi bien des militaires que des civils.
Réalisation vidéo : Jeanne MenjouletRaphaëlle Branche : Prisonniers du FLN, essai, 284 pages, éditions Payot, décembre 2013, Paris
ALTERMEDIA
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Manuel Valls hué à Rome pendant la double canonisation
Le premier ministre était en déplacement au Vatican dimanche pour représenter la France. Des pèlerins français ont sifflé son image lorsqu'elle apparaissait sur des écrans géants.
Interrogé par France Info, Manuel Valls a indiqué avoir fait samedi soir une petite visite de Rome «pour mieux sentir l'ambiance de cette ville incroyable», au sortir de son dîner avec son homologue italien Matteo Renzi. Une ambiance rapidement refroidie par l'hostilité de pèlerins français réunis dimanche matin place Saint-Pierre.
Par deux fois, certains parmi les milliers de catholiques français présents au Vatican (le centre pastoral d'accueil parle d'au moins 15.000) ont hué le premier ministre lorsque son image est apparue sur les écrans géants. Les cris ont retenti une première fois alors que Manuel Valls s'approchait de la tribune place Farnèse, avant le début de la cérémonie.
Selon notre envoyé spécial Jean-Marie Guénois, le premier ministre a été une nouvelle fois hué quand l'écran géant l'a montré saluant le pape François après la messe de canonisation. La présence de Manuel Valls avait été présentée comme un geste d'apaisement envers les catholiques français après les tensions cristallisées autour de la Manif pour tous et du Printemps français, deux mouvements qui comptent de nombreux croyants dans leurs rangs.
Manuel Valls devait initialement se rendre à Rome en tant que ministre de l'Intérieur et du Culte, le calendrier gouvernemental en aura décidé autrement. Mais devenu premier ministre, il a maintenu cette visite «pour représenter la France et son gouvernement (...) un État laïc mais respectueux de l'Église».
Des voix se sont élevées à droite pour dénoncer une manipulation des religions:
A gauche, Jean-Luc Mélenchon interrogé jeudi sur la chaîne KTO avait estimé que la présence du premier ministre n'était pas une bonne idée, estimant «que la circonstance ne le concernait pas», au nom du respect du principe de neutralité de l'État face au culte.
LE FIGARO - 27 04 14
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Évacuation du camp de Roms à Lezennes : 3 jours de travaux pour sortir 400 tonnes de déchets
26 avril 2014Lu dans La Voix du nord :
« Vingt-quatre heures après l’évacuation du camp de Roms du boulevard de Tournai, les entreprises mandatées pour assainir le site poursuivaient leur tâche ce mercredi.
Près de 400 tonnes de détritus devraient être mises en décharge et le site sécurisé. De l’autre côté de la route, les riverains ne cachent pas leur soulagement.
De la ferraille, du bois, du carton, de vieux appareils électroménagers, des câbles mais aussi des vêtements [sortis d'où ?! - NDCI]. Après une première journée de nettoyage mardi, les entreprises chargées par LMCU et le conseil général de faire place nette boulevard de Tournai étaient à pied d’œuvre ce mercredi encore pour remplir plusieurs dizaines de bennes. »
Des riverains qui évoquent en vrac :
« Des rats de belle taille dans le jardin »
« Des nuits très agitées »
« Nos maisons étaient invendables tout ce temps »
« On a subi un tas de nuisances »Contre-info.com
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Conducteur d'un "go fast" abattu : des centaines de kilos de cannabis à bord du véhicule
Lançon-Provence / Publié le Dimanche 27/04/2014 à 16H32Autour de trois cents kilos de résine de cannabis ont été découverts à bord du Porsche Cayenne ayant tenté de forcer le barrage douanier au péage de Lançon-Provence vers 13 heures.
Alors que le véhicule fonçait sur une voiture des douanes, un fonctionnaire a ouvert le feu occasionnant le décès du trafiquant qui serait "un peu connu" des services de police.La Provence
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Jean-Marie Le Pen : "Je veux une Europe des nations souveraines"
Publié le Dimanche 27/04/2014 à 12H31"Nous ne pouvons accepter les arrivées massives d'immigrés alors que nous n'avons pas de travail à leur donner. Nous ne pourrons pas les assimiler", a soutenu hier Jean-Marie Le Pen, lors de la présentation de ses colistiers pour les européennes.Photo DR
Jean-Marie Le Pen, tête de liste du Front national dans le grand Sud-Est pour les élections européennes du 25 mai prochain, était hier à Marseille pour présenter ses colistiers. À bientôt 86 ans, le président d'honneur du FN compte bien être réélu pour la 3e fois dans cette eurorégion. Pour conserver son siège à Bruxelles, Jean-Marie Le Pen multiplie les déplacements et les meetings. Pour le moment, sa liste est donnée très largement en tête dans les sondages.
Votre slogan c'est "Non à Bruxelles, oui à la France". Pourquoi êtes-vous anti-européen ?
Jean-Marie Le Pen : Je ne suis pas anti-européen. Je suis l'adversaire de l'Union européenne. Je l'accuse d'avoir vidé la société française de sa substance et de nous avoir, en quelque sorte, réduits en servitude. Les Français l'ignorent généralement, mais 80 % des lois qui s'appliquent en France sont seulement transcrites par l'Assemblée nationale. Elles viennent de Bruxelles ou de Strasbourg.Quelle est l'Europe que vous souhaitez ?
Jean-Marie Le Pen : Mon Europe, c'est une Europe des nations souveraines, capables de se coordonner comme nous l'avons fait pour Ariane ou Airbus, pour lesquels l'Union européenne n'a joué aucun rôle.Les nations peuvent être dangereuses. On va peut-être avoir une guerre entre l'Ukraine et la Russie pour une question territoriale.
Jean-Marie Le Pen : Non, si la Russie devait intervenir, ce qu'à Dieu ne plaise, ce serait pour protéger ses minorités, pas pour une question de conquête. Il faut se souvenir que la Russie est née à Kiev et que l'Ukraine faisait partie de l'Empire russe avant 1917.Dans votre programme, vous voulez toujours revenir au franc alors qu'une majorité de Français, selon les sondages, préfèrent conserver l'euro.
Jean-Marie Le Pen : Pour l'instant, nous ne sommes soutenus que par une minorité très importante, de 30 ou 40 %. Mais surtout, beaucoup d'économistes ont changé d'avis. Ils mettent aujourd'hui en doute la viabilité de l'euro. L'euro est surévalué, ce qui nuit énormément à la compétitivité de nos entreprises et à la possibilité d'exporter. Nous sommes prisonniers de cette monnaie. Or, je vous signale que le jeu de nos adversaires consiste à décrire de façon apocalyptique ce qui se produirait si jamais on revenait à la monnaie nationale. Alors que beaucoup d'autres pays ont gardé la leur sans problème. Par exemple, la Grande-Bretagne et la Suisse.Vous avez connu les dévaluations constantes du franc, cette guerre monétaire entre les pays européens. Vous voulez revivre ça ?
Jean-Marie Le Pen : Il faut que la monnaie corresponde à l'état de l'économie, faute de quoi, un jour ou l'autre, il y aura une remise en ordre qui sera extrêmement brutale. Les États-Unis ne pourront pas continuer à imprimer des dollars comme ça impunément sans relation aucune avec leur capacité économique et nous de même. L'euro est trop fort et c'est vrai que nous voulons retrouver les composantes de notre souveraineté, la possibilité d'écrire nous-mêmes notre destin et ça comprend une souveraineté monétaire, une souveraineté budgétaire, militaire et diplomatique.Propos recueillis par Olivier Mazerolle et Farida Setiti (extraits)
La Provence
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Eric Zemmour: "La France n'est plus réformable car il n'y a plus de modèle français"
NOUVELLES DE FRANCE - 26 04 14
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Agression du métro de Lille: l'abjection
« J’avais peur. Il m’a dit que j’étais une pute, qu’il allait appeler son cousin, qu’ils allaient me violer à plusieurs. » C’est ainsi que s’exprimait, sur RTL et sous le choc, la jeune femme victime d’une agression dans le métro de Lille. Le mercredi 23 avril 2014, à 22 h 30, l’innommable se produit. Plus de 30 minutes d’agression, sans aucune aide extérieure : un film d’horreur.
Cette femme, mère de quatre enfants, est entrée dans une station de métro, située au sud de Lille, afin de rentrer à son domicile de Tourcoing. Les menaces ont immédiatement commencé. Monsieur Abdelnour B., Marocain de 19 ans, est saoul, lubrique, bien décidé à faire vivre un enfer à sa victime. Dans son esprit – désinhibé par l’alcool et probablement un mode de vie dans lequel les mâles sont tout puissants –, les femmes n’appartiennent même plus au genre humain, elles sont destinées à satisfaire les envies sexuelles les plus basses et les plus immédiates, ni plus ni moins que des bouts de viande. Il se sent fort, il est un dominant, personne n’osera s’opposer à lui ; d’ailleurs, les autres passagers empruntent volontairement l’autre rame, laissant la jeune femme à son sort. Son témoignage est édifiant et révélateur : « Les gens sont partis dans l’autre rame tout au fond. Ils m’ont laissée toute seule et ils me regardaient me faire agresser ! »
Quel genre d’hommes et de femmes peuvent laisser une femme apeurée, seule auprès d’un voyou violent et en état d’ébriété, au risque d’être assassinée et violée ? Où en sommes-nous quand, dans la France du XXIe siècle, plus personne n’a le courage de s’opposer à l’arbitraire de la rue ? Pas un n’a même tiré le signal d’alarme à disposition dans la rame, pas un n’a eu ce sens civique élémentaire ! Ce fait est tristement révélateur d’une époque abjecte, où tout altruisme a disparu, dans laquelle plus personne ne prend le parti d’une femme sans défense. La France devrait être mortifiée de honte par ces actes ignobles, qui ont cours tous les jours dans les établissements scolaires, les transports en commun et les boîtes de nuit.
Les jeunes identitaires ont été traités de tous les noms, pour avoir effectué des tournées de sécurisation dans les transports en commun, et notamment dans le métro de Lille. Accusés d’alimenter l’insécurité, le traitement journalistique les a dépeints en milice d’un genre nouveau, alors qu’à l’aune de cette affaire, on peut estimer qu’ils ont justement dénoncé une insécurité invivable pour les usagers des transports en commun. Mais aussi, et c’est peut être plus grave encore, le silence coupable des gens, trop lâches et égoïstes pour même tirer sur un signal d’alarme.
Français, réveillez vous, car ça n’arrive pas qu’aux « autres », et demain ce seront peut-être vos enfants ou votre femme qui subiront cela ! Quant au ministère de l’Intérieur, il doit prendre la pleine mesure de cette insécurité et arrêter de mettre des pansements sur une jambe de bois. Nous serons vigilants.
Gabriel Robin
BOULEVARD VOLTAIRE
NdB: ce triste fait-divers peut se résumer d'un seul mot: "immigration"