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Dans une grotte de La Pasiega, en Espagne, sur la paroi, on devine une sorte d'échelle rouge et une silhouette d'animal, puis une bête à cornes, des formes géométriques. Ce serait l'oeuvre du plus vieil artiste de l'humanité découvert à ce jour. "Le plus fantastique, c'est que ce panneau a un âge minimum de 64 000 ans. Il y a 64 000 ans, ici en Espagne, il n'y avait qu'une seule espèce humaine : l'Homme de Néandertal", explique Dirk Hoffmann, de l'Institut Max Planck (Allemagne).
Cette découverte spectaculaire permet de réviser tous nos préjugés sur notre lointain cousin. Sur l'échelle humaine depuis des millions d'années, Néandertal est le dernier avant l'homme moderne, l'Homo sapiens, notre espèce humaine. Néandertal, artiste méconnu de la grotte espagnole, œuvrait ici 30 000 ans avant les peintres des célèbres grottes de Lascaux (Dordogne).
C’est désormais une certitude, confirmée, ce dimanche après-midi par Céline Maigné, vice-procureur du parquet d’Angers. Estelle Veneut est morte. La jeune femme de 34 ans, assistante pédagogique à l’Université catholique de l’Ouest d’Angers (Maine-et-Loire), avait disparu jeudi soir, après avoir assisté à un pot de départ à la retraite d’une collègue.
Au bout de quelques heures, ses proches, sans nouvelles, avaient lancé des appels sur les réseaux sociaux, pour tenter de la retrouver. Son meilleur ami, par exemple. Et, surtout, son ex-compagnon, Badr Smati. « Merci de partager et surtout de donner la moindre nouvelle. Même qui semble insignifiante. Je vous en supplie », écrivait-il, notamment, sur sa page Facebook. Il avait même changé sa photo de profil pour la remplacer par celle d’Estelle Veneut. Souriante.
Badr Smati, 33 ans, s’était d’ailleurs présenté aux gendarmes en audition libre, vendredi matin. Mais selon une source proche de l’enquête, ses déclarations, confuses, avaient semé le trouble dans l’esprit des enquêteurs. Les propos de la fille âgée de 6 ans que le couple avait en commun, recueillis à la Permanence d’accueil pédiatrique de l’enfant en danger (Paped), avaient renforcé leurs doutes. L’ex-compagnon d’Estelle, impliqué dans le cyclisme local, a finalement été placé en garde à vue. Cette dernière a été prolongée samedi matin. C’est en étant entendu dans ce cadre que, selon Céline Maigné, « il a reconnu être impliqué dans le décès d’Estelle Veneut ».
Quoi qu’il en soit, l’enquête se poursuit. Notamment pour faire toute la lumière sur les circonstances du drame qui s’est joué jeudi soir. Le parquet ne divulgue aucune information à ce sujet. Une dispute conjugale serait à l’origine du drame. Son ex-compagnon l’aurait étranglée.
Ce que Céline Maigné confirme, par contre, c’est que Badr Smati a reconnu s’être débarrassé du corps et de la voiture de sa compagne dans la Loire, aux environs de la commune de Béhuard. Les recherches s’y poursuivaient, dimanche, pour retrouver son cadavre.
Selon nos informations, Badr Smati, présenté comme un homme particulièrement jaloux, était séparé de sa compagne depuis trois semaines. Il a été déféré dimanche matin au juge d’instruction, mis en examen et placé en détention.
Sous la tutelle du gouvernement Erdogan, la Diyanet, direction des affaires religieuses, veut façonner « une génération pieuse ». Quitte à affirmer que la Terre est plate ou que Noé avait un téléphone portable.
« L’épilation est-elle un péché ? », « Je me suis fait une teinture des cheveux, mon jeûne est-il valable ? », « Puis-je mâcher un chewing-gum pendant le ramadan ? », « Les rapports sexuels sont-ils autorisés pendant le mois sacré ? » Voici le genre de questions qui arrivent sur le standard d’« Allô Fatwa », une ligne verte disponible 24 heures sur 24 en Turquie, que Diyanet met à la disposition du public. […]
«La Terre est plate », constatait récemment Tolgay Demir, le chef des jeunes stambouliotes au sein du Parti de la justice et du développement (AKP, islamo-conservateur) dans un article publié sur le site du parti. Selon lui, ceux qui pensent que la Terre est ronde « se sont fait mener en bateau» par la « franc-maçonnerie» et par les « photos truquées» de la NASA.
La palme de l’absurde revient sans conteste à l’universitaire Yavuz Örnek, qui s’est illustré en affirmant en direct, le 5 janvier, sur la chaîne turque TRT 1 que Noé avait pu joindre son fils au moyen d’un téléphone portable juste avant le Déluge.
« Noé et son fils se trouvaient à plusieurs kilomètres l’un de l’autre. Le Coran dit que Noé a parlé avec son fils. Mais comment ont-ils pu communiquer ? Par quel miracle ? Nous pensons qu’ils ont utilisé un téléphone portable. » Une théorie que M. Örnek, qui prétend «parler au nom de la science», a tout le loisir d’enseigner aux étudiants de la faculté des sciences de la mer de l’université d’Istanbul, où il donne des cours.
Voilà une histoire inhabituelle. Ferrette est une commune du Sundgau (sud de l’Alsace, à la frontière suisse, notre illustration à la une) de 683 habitants. Le village avait fait la une il y a un an, car c’était un des premiers villages en Alsace à accueillir des migrants. Plus de 80 migrants, soit plus de 10 % de la population du village, y ont été accueillis. Aujourd’hui, loin de l’idylle décrit par les journalistes, les habitants en ont assez. En cause, l’absence d’école pour les enfants du village depuis 5 semaines. Acte I – L’institutrice du village part enseigner le français aux migrantsComme dans beaucoup de centres d’accueil, des cours sont dispensés par l’Éducation Nationale, afin de favoriser une meilleure intégration des nouveaux venus : la langue française est ainsi enseignée, car peu la maîtrisent vraiment. Une vingtaine d’enfants de 4 à 8 ans sont arrivés en début d’année dans ce centre. L’institutrice du village est ainsi affectée à leur instruction. Bien évidemment, une remplaçante vient faire cours aux élèves de Ferrette : pas question en effet d’abandonner ces enfants, leur instruction est obligatoire, rappelons-le. Tout a été prévu. Vraiment ? Acte II – La remplaçante tombe maladeLes aléas de la santé, la remplaçante tombe malade. Visiblement c’est assez grave, puisque voilà 5 semaines que celle-ci n’a pas pu donner des cours. Le problème est ici : rien n’a été prévu pour remplacer la remplaçante, et les enfants de Ferrette n’ont donc pas école depuis 5 semaines. Une situation difficilement acceptable pour les habitants, sachant que les migrants ont eux des cours assurés par l’ancienne institutrice. Acte III – Les habitants en colèrePour les parents d’élèves, la pilule est difficile à avaler. Leurs enfants vont avoir des lacunes à cause de cette interruption longue de l’enseignement. Il faudra rattraper ce retard. Bien évidemment, une telle situation ne renforce guère la sympathie des autochtones pour les migrants. Le maire aurait ainsi fait détruire l’ancienne caserne de pompiers pour éviter qu’on y loge des migrants supplémentaires. L’Éducation Nationale, mise en cause, va devoir trouver rapidement une solution… |
Invité sur RTL ce lundi matin avant la publication du premier tome de ses Mémoires ce 1er mars, Jean-Marie Le Pen a déclaré qu'il ne se rendrait pas au congrès de refondation du Front national dans deux semaines. "Je ne me rendrai pas à Lille car je ne veux pas me rendre complice de l'assassinat du Front national", a-t-il expliqué.
Il appelle ses soutiens au boycott : "Je demande à tous mes amis qui souhaitaient venir à Lille pour me soutenir, de ne pas le faire. Je n'irais pas à Lille, parce que je ne veux pas être complice de l'opération de force qui a été annoncée par Steeve Briois".
L'Obs
Vetlanda (Suède). Un Syrien de 26 ans a été arrêté pour le meurtre brutal d’une jeune femme de 21 ans, ainsi que pour une tentative de meurtre sur la sœur de la victime, âgée de 24 ans, qui est grièvement blessée.
La jeune femme tuée a été atteinte d’une « centaine de coups de couteau ».
Selon les informations parues dans la presse locale, le meurtrier et la victime habitaient une résidence dans la municipalité de Vetlanda, ils étaient voisins, et se sont disputés sur des nuisances sonores supposées dans l’appartement de la jeune suédoise qui jouait parfois de la musique chez elle.
Le meurtrier, né en Syrie et arrivé en Suède en mai 2013, vivait dans l’appartement du dessous et n’aurait pas supporté le volume sonore…
La sœur de la femme assassinée a également été attaquée, elle a survécu au massacre en « faisant la morte », mais elle a été gravement blessée.
Elle a reçu une « trentaine de coups de couteau ».
« C’est un horrible massacre » a déclaré la police.
https://www.facebook.com/search/top/?q=St%C3%A9phane%20Ravier
Vous n'avez qu'à cliquer sur ce lien pour voir la vidéo du sénateur Stéphane Ravier.
Avec cette Loi mortifère, nous sommes au coeur du Grand Remplacement. C'est l'explosion programmée de l'identité française. Ne faisons pas les autruches.
Alors que Bruxelles cherche à faire des économies pour pallier le départ du Royaume-Uni, le président français a proposé de conditionner le versement des fonds européens au respect des «valeurs» de l'UE, pointant du doigt la Hongrie et la Pologne.
Le Brexit devrait laisser un trou d'environ 10 à 13 milliards d'euros par an dans le budget de l'Union européenne : de quoi raviver les tensions entre les Etats membres et notamment entre les pays occidentaux et les pays de l'Est. A l'occasion d'un premier sommet européen consacré à la question budgétaire post-Brexit qui se tenait le 23 février à Bruxelles, le président français Emmanuel Macron a brandi la menace d'une éventuelle diminution des versements de l'UE aux pays ne respectant pas la ligne politique fixée par les 28 Etats, qui ne seront bientôt plus que 27.
Le chef de l'Etat estime en effet que la Pologne et la Hongrie tirent excessivement profit des règles européennes dans leur propre intérêt. «Ils nous prennent un peu pour des imbéciles», a-t-il déclaré au sujet de Viktor Orban et Mateusz Morawiecki, respectivement Premier ministre hongrois et Président du conseil des ministres polonais.
Si le président français tente bien évidemment de s'imposer comme le porte-voix de la refondation de l'UE sur la scène européenne, son irritation reflète bien les tensions qui s'accroissent depuis plusieurs mois entre Bruxelles et ces deux pays. Alors qu'une procédure contre la Pologne a été déclenchée par la Commission européenne le 20 décembre 2017, l'UE estimant que Varsovie commettait une «violation grave» de l'Etat de droit avec sa réforme judiciaire, Emmanuel Macron a fortement condamné les choix politiques du gouvernement polonais, allant jusqu'à évoquer des sanctions : «Il serait de bon sens de suspendre le versement de fonds [...] quand les gens ne respectent pas les valeurs» européennes.
Quant à Viktor Orban, Emmanuel Macron lui a réservé ses propos les plus durs. Si les différends entre Bruxelles et Budapest sur la question des quotas de migrants font régulièrement surface dans le débat politique, le chef de l'Etat français a élargi sa critique de la ligne politique hongroise à la question économique. «Quand on détricote l'Europe, quand on utilise les fonds [européens] pour faire du dumping social et fiscal, on prend les contributeurs nets un peu pour des imbéciles : la solidarité se justifie parce que nous avons des valeurs et des projets communs. Ce n'est pas un self-service», s'est agacé Emmanuel Macron.
La perspective de la sortie du Royaume-Uni de l'UE impose aux 27 pays restants de rogner sur certaines dépenses. Si la Politique agricole commune (PAC) devrait en faire les frais, les fameux fonds de cohésion et les aides territoriales, supposés égaliser les niveaux économiques des différents Etats membres, devraient être les premières dépenses réduites : ils représentent près d'un tiers du budget de l'UE. Or, la Hongrie et la Pologne comptent parmi les premiers bénéficiaires de ces aides, touchant respectivement 25 milliards et 80 milliards d'euros pour la période 2014-2020.
RT
NdB: L'accueil de plusieurs milliers de migrants - une "ligne politique" de l'UE qui coûte des milliards d'euros! Macron se garde bien de parler de cette immigration massive dont les peuples européens ne veulent pas.
Deux fois par an, le 22 février et le 22 octobre, le soleil s'aligne avec l'entrée du temple égyptien d'Abou Simbel et vient caresser le visage de Ramsès II, tout au fond de l'édifice. Un phénomène redécouvert en 1874. Près d'un siècle plus tard, en raison de la construction du barrage d'Assouan, le temple avait dû être déplacé. Se trouvant plus bas, l'événement avait lieu les 21 février et 21 octobre. Décalé d'une journée, le spectacle reste un rendez-vous exceptionnel auquel de nombreux touristes viennent assister.
par NouvelObs
Le journaliste hostile à l’islam radical Pierre Cassen condamné à 3 mois de prison pour ses écrits (vidéo) Lu chez BreizhAtao :
« En France, les libertés fondamentales ont disparu sous la pression conjuguée d’une magistrature marxisante islamophile et d’organisations communautaires dites « antiracistes ». Dernier exemple en date, le journaliste et militant Pierre Cassen de l’association « Riposte Laïque ». Dans une vidéo publiée le 21 février, M. Cassen explique qu’il vient d’être condamné à 3 mois de prison avec sursis lors d’un procès fait en son absence et dont on lui avait caché la tenue. Comble de la perfidie : les tribunaux du régime le jugeaient pour des écrits pour lesquels il avait déjà été jugé et relaxé. Une pratique formellement interdite par le droit international, digne du système communiste du Bloc de l’Est. Pierre Cassen a en outre expliqué être la cible, lui ainsi que son association, de dizaines de procédures judiciaires par le gouvernement afin de briser toute forme d’opposition à l’islamisation fulgurante de la France. »
Retrouvez cet article et l'info alternative sur : http://www.contre-info.com
Une interdiction d’exercer de six mois a été prononcée par la chambre disciplinaire de l’ordre des médecins d’Aquitaine à l’encontre d’un médecin ORL pour un comportement inapproprié envers une femme voilée.
Les faits se sont produits juste après les attentats de Paris en 2015 quand le médecin avait lancé à cette mère voilée d’un jeune patient : «le foulard que vous portez est un signe de non-intégration», avant d’ajouter : «nous sommes en guerre, il faut savoir dans quel camp vous êtes», allant même jusqu’à la dénoncer aux gendarmes pour «dérive islamiste».
Face à ce comportement, l’instance a donc décidé de le sanctionner. Il a un mois pour faire appel. L’ordre des médecins de la Gironde a relevé quelques cas comme celui-ci après les attentats du Bataclan : « C’est peu sur un total de 8.000 médecins mais déjà trop», confie son président Albert Roche à France Bleu Gironde.
La Hongrie souhaite que l’Union européenne lui rembourse au moins 500 millions d’euros sur les quelque un milliard que le pays consacre à la protection de sa frontière sud, a déclaré aujourd’hui le premier ministre hongrois Viktor Orban. « Nous avons dépensé plus d’un milliard d’euros pour la protection frontalière. Nous ne nous protégeons pas seulement nous-mêmes mais également l’Europe. Au moins la moitié de cette somme devrait être remboursée », a expliqué Viktor Orban dans une vidéo publiée sur sa page Facebook avant le sommet de Bruxelles.
Le chef du gouvernement hongrois a également annoncé qu’il allait proposer aux dirigeants des pays européens une procédure de « carton rouge » afin de renforcer les pouvoirs des parlements nationaux. Cette disposition permettrait aux assemblées nationales de chaque pays d’interrompre un débat au niveau européen s’il est jugé comme contraire aux intérêts nationaux.
Ils résultent de vols à la tire « commis lors des marchés hebdomadaires sur les communes du littoral français ou sur le site de grandes manifestations comme les Vieilles Charrues, le Festival interceltique de Lorient ou encore la braderie de Lille », explique la gendarmerie.
Le mode opératoire est toujours le même. « Tout se passe très vite. Les auteurs observent la victime composer son code confidentiel lors d’un paiement par carte bancaire puis profitant de la densité de la foule réussissent par diverses manœuvres à subtiliser le moyen de paiement. Quelques minutes plus tard, des retraits sont réalisés dans des distributeurs », raconte la gendarmerie.
(…) « Affaire d’une dimension assez exceptionnelle »
Après une longue enquête, les militaires ont donc interpellé 20 suspects d’origine roumaine. Onze d’entre eux ont d’ores et déjà été déférés. Six le seront ce vendredi.
Merci à yabonlaseku
Un rendez-vous préparé très en amont. Le président de la République Emmanuel Macron est arrivé ce samedi vers 7h45 au 55e Salon de l'agriculture, son premier en tant que chef de l'Etat, et devrait sauf incident y passer toute la journée. Accompagné du ministre de l'Agriculture Stéphane Travert, il a commencé sa visite par un petit-déjeuner avec les représentants syndicaux du monde rural.
Emmanuel Macron, dont la relation avec le monde agricole est difficile, ambitionne de rester près de douze heures porte de Versailles, et pourrait ainsi battre au passage le record de son prédécesseur François Hollande : ce dernier avait arpenté les allées pendant dix heures en 2013, après avoir atteint les douze heures en février 2012 lorsqu'il était candidat.
Et rien n'a été laissé au hasard : après un premier repérage des lieux par son entourage cette semaine, des dizaines de gardes du corps seront présents sur place, et Emmanuel Macron sera entouré en permanence par une "bulle de protection" constituée de trois cercles d'agents, révèle BFMTV selon qui "une étape est particulièrement redoutée par le service de protection : le stand des éleveurs".
Avant la visite, l'Elysée a fait savoir que le président se déplaçait toujours avec plusieurs costumes de rechange. L'an passé, il avait en effet reçu un œuf sur le crâne, dont il avait plaisanté, affirmant que le jet de projectile relevait du folklore du salon. Jeudi il a d'ailleurs pris les devants en soulignant qu'il se "moquait totalement" de l'ambiance dans laquelle il serait reçu Porte de Versailles, concentré qu'il est sur la construction du "visage de la France agricole des prochaines années".
En début de matinée, le président a été accueilli par des agriculteurs déguisés, mais aussi par des applaudissements. Vers 10h30 toutefois, une dizaine de membres des JA (Jeunes agriculteurs) d'Ile-de-France ont manifesté en sifflant devant le stand d'Inaporc (interprofession porcine), puis de nouveau devant celui d'Inabev (interprofession bétail et viande). En tout, une centaine d'entre eux (éleveurs, maraîchers...) se sont répartis en différents endroits du salon pour interpeller le chef de l'Etat à son passage, selon un cadre du syndicat agricole.
Le président est allé à la rencontre de certains des siffleurs, des céréaliers de la FNSEA qui protestaient contre la fin du glyphosate et contre la viande aux hormones qui risque d'être importée avec l'accord de libre échange en négociations entre l'UE et le Mercosur.
"Je vous engueule parce que j'aime pas qu'on me siffle derrière ; mais après je viens vous voir et on s'explique", leur a-t-il dit, promettant que "personne ne serait laissé sans solution". Dans un échange très vif avec deux céréaliers capté par un journaliste du "Figaro" et les caméras de BFMTV, et mis en ligne sur le compte YouTube d'Emmanuel Macron, on entend ainsi :
Premier céréalier : "Je vous ai entendu dans votre discours à l'Elysée. Ça ne tient pas, ce que vous dites. Dans toutes les études, il n'y a pas de risqué avéré [du glyphosate]."
Macron : "Vous pouvez pas dire ça. Le glyphosate, quels que soient les désaccords qu'il y a pu y avoir, vos représentants se sont engagés. [...] Y'a aucun rapport qui dit que c'est innocent. Y'en a qui disent que c'est très dangereux, d'autres moyennement dangereux. J'aurai à répondre de ce que je fais, demain, après-demain. Dans le passé on a dit que l'amiante c'était pas dangereux. Les dirigeants qui l'ont laissé passer ont eu à répondre. Les ouvriers agricoles, les consommateurs qui demain diront 'Vous aviez le glyphosate, vous le saviez, vous n'avez rien fait', ils me regarderont les yeux dans les yeux, ils iront pas vous chercher !"
Premier céréalier : "Nous on est calmes, alors vous vous calmez s'il vous plaît".
"Non, attendez, vous êtes calmes ? Non non non, vous m'avez sifflé dans le dos depuis tout à l'heure. [...] Donc le calme, c'est pas vous qui le donnez. Deux, vous me donnez des leçons."
"Ouais, ouais. On est chez nous ici."
"On est chez nous, tous. Ça s'appelle la France et c'est une République."
[...]
Deuxième céréalier : "Vous avez dit que vous êtes attentif à l'être humain, à leurs maladies. Et on va tout ouvrir, avec l'accord sur le Mercosur. Vous allez avoir de la marchandise qui va arriver des autres pays, avec des contraintes autres que les nôtres. La viande c'est quoi ? Des hormones. Vous allez avoir des OGM à plein. Demain comment vous allez faire pour fermer les frontières françaises, en disant 'Ces produits-là on n'en veut pas, on prend du produit français' ? Vous n'en êtes pas capable ! Cette alimentation va se retrouver dans l'assiette des Français."
Macron : "D'abord l'avenir de l'agriculture il n'est pas dans la fermeture, quelle qu'elle soit. [...] Vous êtes dans une filière qui exporte. Ça ne marche pas de dire 'On ferme d'un côté et on ouvre de l'autre'. Notre économie, notre agriculture, c'est une de ses fiertés, elle est exportatrice. Elle a besoin d'être ouverte. On est gagnants sur le Mercosur, la négo n'est pas finie, moi j'ai mes lignes rouges."
Un hommage est rendu ce samedi à Valence au maréchal des logis-chef Emilien Mougin, 31 ans natif de Gap, et au brigadier-chef Timothé Dernoncourt, 33 ans, du 1er régiment de Saphis tués au Mali dans l'explosion d'une bombe artisanale. L'hommage de la Nation aura lieu lundi aux Invalides.
Mardi 20 février vers 20 h, sur la promenade du Peyrou, un homme en état d'ivresse aborde un groupe de jeunes gens pour quémander une cigarette...
Migrants à Ceuta
Le dernier sondage paru en janvier 2018 démontre le ras-le-bol des Français face à l’immigration : le rythme d’immigration est trop élevé ? Oui, à 64 % (et jusqu’à 79 % chez les Français les moins diplômés).
Faut-il permettre le vote des étrangers aux élections locales ? Non, à 60 %.
Supprimer le regroupement familial ? Oui, à 57 %.
Mettre fin aux accords de Schengen ? Encore oui, à 66 %.
Tous les gouvernements qui se sont succédé pendant quarante ans ont connu des sondages comparables. Ils savent qu’une majorité de Français n’en peut plus, que les quatre cinquièmes des plus pauvres refusent d’être confrontés à ces flux continuels de pseudo-réfugiés. Pourtant, inlassablement, l’État continue à les accueillir. Et notre Président envisage d’aller plus loin. Il suffit de lire le rapport, validé par le Premier ministre, du député LREM Aurélien Taché.
Mais voyons d’abord qui est ce « macroniste » ?
Président de l’UNEF Limoges dans sa jeunesse, il fut ensuite socialiste et conseiller auprès des ministres du Logement Sylvia Pinel et Emmanuelle Cosse. Élu député du Val-d’Oise après les législatives 2017, il vient de pondre 72 mesures pour intégrer les migrants. Par exemple il propose :
– de doubler le volume des cours de français (400 heures, voire plus pour les réfractaires),
– d’autoriser les demandeurs d’asile « à travailler six mois après le dépôt » de leur dossier, voire plus tôt (cela, alors que la France compte plus de 9 % de chômeurs),
Notre député souhaiterait aussi voir supprimer la condition de nationalité pour les fonctions non régaliennes de la fonction publique. (Bien évidemment, la CGT, FO et les autres syndicats s’inclineront et accepteront ce diktat au nom de l’antiracisme.)
Mais le top du top est la création d’un « crédit d’impôt solidarité »pour les personnes hébergeant gratuitement un « étranger ». Crédit qui pourrait s’élever à 1.800 € par an. Ahurissant, effarant, intolérable, les mots me manquent pour décrire la colère qui s’empare de moi devant ces décisions.
Ainsi, Macron ponctionne les retraités avec la CSG mais favoriserait financièrement les logeurs de migrants jeunes et bien portants. Pendant ce temps, nos anciens, ayant contribué à la richesse du pays, vivotent avec une maigre pension.
Il est honteux d’abandonner des gens dans la rue ou d’ignorer des familles couchant dans des taudis alors que l’on s’inquiète pour des hommes robustes portés par des associations négligeant le prochain pour favoriser le lointain. Honteux, alors qu’il y a deux semaines, une vieille dame dans ma région se suicidait : elle n’avait plus de chauffage, plus de famille et plus de sous. Où étiez-vous, M. Taché ? Où étaient ces associations financées par Soros ? Sûr que, dans quelques années, comme peu de gens veulent des migrants chez eux, l’accueil deviendra obligatoire. Et que dire de la promiscuité de ces quidams pleins de vigueur vivant au milieu d’une famille ?
Enfin, cette opération a un coût : plus de 600 millions d’euros. Après cela, Édouard Philippe, l’escogriffe du gouvernement, peut toujours proclamer : « La France a une longue et belle tradition d’accueil. » Alors, à quand un migrant à Matignon, M. le Premier ministre ?
BV