GAELLE MANN - Page 88
-
Brigitte au Sénégal
-
Des villes allemandes disent STOP aux migrants (RT 05/01/18)
-
« À tout moment, quelqu’un peut nous frapper ou nous insulter » : une prof et une lycéenne témoignent des violences au lycée Gallieni de Toulouse
-
JT TVL DU LUNDI 5 FEVRIER 2018
Il jette l'argent des Français par les fenêtres ! Pendant ce temps, nos vieux crèvent de faim.
-
Un Etat islamique en Allemagne ? Warum nicht ! (Pourquoi pas !)
Le Centre islamique d’Hambourg a organisé le dimanche 15 janvier une réunion sur la hausse inquiétante de l’islamophobie en Allemagne.
Certains participants laissèrent tomber leur masque de musulmans modérés et révélèrent leurs véritables visages et leurs plans machiavéliques pour leur pays d’accueil.
L’ayatollah Reza Ramezani, le leader du centre islamique demanda, le plus sérieusement du monde, que les partis politiques ne soient pas autorisés à interférer dans les affaires religieuses car selon lui, ils ne devraient pas avoir le droit d’exprimer leurs opinions en matière religieuse. Il souhaiterait, en outre, que les politiciens musellent toute critique de l’islam. Son souhait liberticide n’est-il pas déjà exaucé par Mutti Angela ?
L’érudit islamique sud-africain Farid Esack avait estimé quant à lui que l’idée d’un Etat islamique en Allemagne devrait être sérieusement prise en considération. (Il est vrai que pour les musulmans, toute la terre appartient à Allah, donc à ses fidèles.)
Ce défi agressif de l’Islam à la société démocratique fut relaté par la chaîne N24.
Ramezani critiqua également l’Occident pour avoir approuvé les caricatures, oh combien insultantes de Mahomet– vous savez, l’homme le meilleur au monde, l’exemple à suivre par toute l’humanité– et blâma l’Allemagne pour son islamophobie.
«Le saint prophète fut offensé et les partis politiques allemands eurent l’audace sacrilège de soutenir les caricatures danoises de Mahomet. Est-ce cela la liberté d’expression ?»s’interrogea avec amertume l’ayatollah ?
«Si l’islamophobie progresse en Occident, c’est à cause des fausses interprétations de l’islam par des non-experts. Plus de 80 pour cent des médias répandent de fausses informations.»
En d’autres termes, seuls les experts islamiques doivent être consultés à propos de l’islam. Ainsi, ils pourront séduire les infidèles par la ruse de la taqiyya. Personne ne devrait être autorisé à émettre la moindre critique sur la «religion» d’Allah, afin de permettre à l’islam de régner en maître absolu. Dès lors, la création d’un Etat islamique en Allemagne deviendrait tout à fait légitime.
Des musulmans d’Allemagne ne cachent plus leur impatience de voir la démocratie constitutionnelle se transformer en une dictature fasciste islamique.
Si nous ne voyons pas encore clairement le sort funeste que nous réserve l’avenir, si nous ne remettons pas l’islam à sa place, alors il n’y a plus d’espoir.
Ci-après, quelques déclarations éclairantes d’éminents érudits islamiques qui devraient faire prendre conscience du danger imminent qui menace l’Allemagne, nos pays, notre continent.
- «La loi laïque reste valable aussi longtemps que nous, les musulmans, sommes minoritaires.» (Nadeem Elyas, fondateur et président du Conseil central des musulmans en Allemagne de 1995– 2006).
- «L’engagement islamique à la charia est éternel et non négociable.» (Mustafa Ceric, ancien Grand Mufti de Bosnie-Herzégovine) Encore un pays musulman modéré officiellement candidat à l’entrée dans l’UE.
- «Nous devons détruire tout ce qui entre en conflit avec le véritable islam… Nous devons éradiquer tous les Etats et toutes les organisations érigées par les hommes. Nous devons prôner la rébellion absolue à l’encontre de tout ce qui sur terre est en conflit avec l’islam. C’est un devoir. Nous devrions exterminer de toutes nos forces tout ce qui s’oppose à la révolution d’Allah.» (Sayyd Outh, l’un des grands penseurs des Frères musulmans, amis de Barack O. et des dirigeants de l’UE)
- «Les fondements de la foi musulmane et la loi islamique (charia) montrent la supériorité quasi totale de la religion sur les personnes et la Société.» (Ayyub Axel Köhler, Président du Conseil central des musulmans d’Allemagne de 2006-2010)
- «Nous avons besoin de trois générations pour réaliser nos plans : une pour être à l’écoute, une pour combattre, et une pour vaincre. C’est dans la nature de l’islam de dominer et non d’être dominé, d’imposer ses lois à toutes les nations et d’étendre son pouvoir et sa force à toute la planète.» (Hassan al-Banna, fondateur très vénéré des Frères musulmans)
- «Les chrétiens sont comme une maladie maligne et contagieuse. Les musulmans doivent les traiter de manière injuste, les mépriser, les boycotter, ne pas les toucher, afin de les forcer à accepter l’islam.» (Cheikh Abd al-Halim Mahmud, 1973 –. 1978 recteur de l’Université Al-Azhar au Caire, l’une des plus hautes autorités religieuses de l’islam). Al-Azhar, cette université islamique du Caire si respectée par l’Occident et le Vatican à laquelle Marine Le Pen a rendu visite.
- «Oui, il y a la contrainte d’imposer l’islam comme un système politique, tout comme les armées d’Allah ont conquis les empires romain et perse. Ce commandement est naturellement offensif. Trêve de politesses. La conquête du Dar al-Harb, la Maison de la guerre, se fait par l’épée, non par l’idée ou la pensée.» (Cheikh Omar al-Bakri dans un sermon Sheikh Omar al-Bakri dans un sermon en septembre 2006 à Tripoli, au nord du Liban, en réponse à la question de Benoît XVI «Montrez-moi ?»
Pour rappel :
Il y eut plusieurs années de froid glacial entre al-Azhar et le Vatican, suite au discours du Pape Benoît XVI à l’Université de Ratisbonne sur le rapport entre la Foi et la Raison, intitulé «Foi, Raison et Université» au cours duquel il cita un passage du 16e siècle relatant l’entretien entre l’empereur orthodoxe Manuel II Paléologue et un musulman cultivé :
«L’empereur connaissait les dispositions développées et fixées dans le coran à propos de la guerre sainte. Il dit avec rudesse à son interlocuteur musulman : montre-moi donc ce que Mahomet a apporté de nouveau, et tu y trouveras seulement des choses mauvaises et inhumaines, comme sa mission de diffuser par l’épée la foi qu’il prêchait»,
Les relations entre al-Azhar et le Vatican se réchauffèrent depuis l’élection du Pape François.
- «Notre objectif est de nous enraciner sur le continent et d’y vivre tranquillement, conformément aux lois, et un jour peut-être, inch Allah, toute l’Europe sera enfin musulmane.» [Necmettin Erbakan, ministre-président turc, de 1996 à 1997 prédécesseur d’Erdogan]
- «Le mouvement islamique doit prendre le pouvoir dans tous les Etats européens. Une fois devenu moralement et numériquement fort et puissant, il pourra renverser le pouvoir existant et mettre en place un pouvoir islamique.» [Alija Izetbegovic, 1990–1995 Président de la République de Bosnie et d’Herzégovine et candidat à l’adhésion à l’UE]
- «Le coran nous enseigne que nous devons traiter en frères les vrais musulmans qui croient en Allah. Il nous demande de frapper les autres, de les jeter en prison, de les tuer.» [L’ayatollah Khomeiny, fondateur de la République islamique d’Iran et 1979-1989 chef religieux des chiites]
- «Ce pays est notre pays. Il est de notre devoir de le changer de manière positive. Avec l’aide d’Allah, nous le transformerons en un paradis sur terre, afin de le mettre à la disposition de l’Oumma islamique et de l’Humanité. Le coran partage notre vision parfaite du monde. Nous croyons que c’est la parole d’Allah.» [Ali Kizilkaya, président du conseil islamique pour l’Allemagne] Qu’il cite un seul pays musulman, qui soit un paradis sur terre pour ses habitants ?
- «Les Européens s’imaginent que les musulmans sont venus et viennent en Occident tout simplement pour gagner de l’argent. Mais Allah a un plan différent.» [Mehmet Sabri. Erbakan, 2001-2002 président et secrétaire général de la communauté turque Milli Görus]
- «Les Européens sont malades… Nous leur donnerons les médicaments. L’Europe entière deviendra islamique. Nous conquerrons Rome.» (Necmettin Erbakan, ancien Premier ministre turc et fondateur du Milli Görüs (Vision nationale).
Près de 40 ans après ses débuts en Allemagne, le Milli Görüs, dont le logo est la carte de l’Europe happée par un croissant islamique est devenu une pieuvre tentaculaire ayant essaimé dans tous les pays d’Europe.
Comme toute organisation islamique, Milli Görus se sert de la démocratie allemande pour y instaurer un état religieux.
Nail Duran, l’ancien président de la Fédération de l’islam avait indiqué que «Vision nationale» (Milli Görus) n’était pas une institution religieuse mais politique :
«L’espace politique de Vision nationale est la Turquie. Elle n’est pas une institution religieuse. L’islam dans sa définition réelle est une religion politique : il s’agit de l’ensemble des lois divines qui régissent les opinions et les actes des gens dans tous les domaines. Comme c’est la réalité, il n’est pas juste de dire que la religion est une chose et l’Etat une autre.»
Et le bouquet final :
«L’islam appartient à l’Allemagne» (Angela Merkel, chancelière, islamo-collabo). L’islam est devenu le 4 septembre 2015 le plus grand risque pour la sécurité du pays depuis la chute du Pacte de Varsovie, en ouvrant les portes de l’Allemagne à une invasion massive de mahométans.
Celui ou celle qui déroule le tapis rouge à l’islam et encourage son chemin vers le pouvoir sans aucun esprit critique devrait être, dans un Etat de droit, jugé pour haute trahison à l’égard du peuple allemand.
Hélas, ce n’est pas l’islamisation en cours de l’Allemagne et de l’Occident qui inquiète, consterne et effraye les évêques allemands Ralf Meister et Norbert Trelle non, mais l’élection de Donald Trump et son slogan «America first». Selon ces prélats, les politiciens doivent être les avocats du vivre ensemble. Ils ne doivent pas construire des murs, mais des ponts entre les peuples.
Tout comme notre bon Pape François, la montée du populisme horrifie ces hommes d’Eglise. Le parti patriote Alternative für Deuschland qualifié de populiste, représenterait donc un danger majeur pour l’Allemagne, mais les discours islamistes suprématistes et haineux des musulmans allemands et leur objectif avoué de faire de l’Allemagne un califat islamique ne semblent guère susciter une frayeur quelconque dans leur esprit perverti par le dogme du multiculturalisme à prédominance musulmane, érigé en nouvelle religion censée apporter bonheur, justice et paix aux Occidentaux.
Ces inquiétudes rejoignent curieusement celles exprimées par le Pape François, qui récemment déclara :
«Du populisme au nazisme, il n’y a qu’un pas.»
Le pape François a appelé à la patience avant de juger Donald Trump sur ses actes. Le Saint-Père avait déjà réagi vendredi à l’investiture du nouveau président américain en espérant que ses décisions soient guidées par des «valeurs spirituelles et éthiques».
«Je crois que nous devons attendre et voir ce qu’il fera. Nous ne pouvons pas être des prophètes de malheur», a déclaré dimanche le pape dans une interview accordée au quotidien espagnol El Pais. «Nous verrons comment il agit, ce qu’il fait et j’aurai alors une opinion. Mais avoir peur ou se réjouir à l’avance de quelque chose qui pourrait advenir est, à mon sens, plutôt mal avisé», ajoute-t-il.
Le chef de l’Eglise catholique met également les Européens en garde contre le populisme, leur enjoignant de ne pas reproduire les erreurs des années 1930 en se tournant vers de prétendus «sauveurs».
«Les crises provoquent des craintes, des alertes. Pour moi, l’exemple le plus typique du populisme européen, c’est l’Allemagne en 1933. Un peuple submergé dans une crise qui a cherché son identité jusqu’à ce que ce dirigeant charismatique (Hitler) se présente et promette de lui rendre son identité, mais qui lui a rendu une identité pervertie et nous savons tous ce qui s’est passé», résume-t-il.
«Hitler n’a pas volé le pouvoir, son peuple a voté pour lui puis il a détruit son peuple. C’est le risque», a encore ajouté le pape. (Tribune de Genève)
Aujourd’hui, c’est l’islamo-nazisme qui constitue le plus grand danger pour le monde libre et non Donald Trump ni les partis patriotes qui s’opposent à l’asservissement de leurs peuples à l’idéologie la plus néfaste qu’ait connu l’humanité : l’islam. En martelant l’unique impératif de l’accueil de masses de migrants majoritairement musulmans, l’Eglise se fait complice de l’invasion, source de chaos.
Idéologie que vous, les chantres du multiculturalisme, soutenez de tout cœur au point de renier vos propres racines judéo-chrétiennes et mettre en péril la survie des peuples européens.
-
Un handicapé cambriolé par sa propre assistante de vie: un fait-divers révulsant
«Je suis sidérée par le peu d'émotion qui les anime» confie l'avocate de la victime, Me Lion en regardant trois personnes dans le box du tribunal correctionnel de Toulouse. La victime, un homme de 43 ans atteint d'une sclérose en plaque, sans l'usage de ses membres, dont l'incapacité s'élève à 80 %, a assisté impuissant à son cambriolage le 4 octobre 2017, route de Launaguet, à Toulouse. Il a été réveillé au milieu de la nuit par un bruit et a aperçu depuis son lit, deux personnes encagoulées dans sa chambre. Éclairés d'une lampe torche, les voleurs se sont emparés de son téléphone (seul moyen pour lui de communiquer avec l'extérieur grâce à une commande vocale), de sa carte bancaire et de sa voiture spécialement aménagée pour son handicap. La victime a expliqué son désarroi aux enquêteurs de la brigade de répression des atteintes aux biens. «J'ai dû attendre l'arrivée de mon infirmière à 8 heures pour prévenir quelqu'un. Ce vol m'a privé des deux choses qui me permettaient d'avoir un tout petit peu d'autonomie : mon téléphone et ma voiture.»
Durant l'enquête, les policiers de la sûreté départementale ont constaté que la porte d'entrée de la victime s'ouvrait avec un code. Ils en ont déduit que le voleur connaissait sa victime. Une salariée d'une association d'aide aux personnes handicapées a été la première identifiée. Lors de l'audience de comparution immédiate, cette femme ne cache pas sa honte : «Je travaillais pour la victime depuis 2014, 2 à 3 fois par semaine. Donc je connaissais le code. Un soir, alcoolisée, j'ai soumis l'idée de lui voler sa carte bancaire, uniquement ça. On est parti à trois. Mon petit ami est resté au volant du véhicule. Je suis rentrée dans la maison avec un ami. Je suis honteuse».
Avec elle sous une cagoule, un garçon de 18 ans. «Voler le véhicule faisait également partie de notre projet. C'est moi qui m'en suis chargé, explique-t-il au tribunal. La même nuit on a essayé de la vendre au Mirail. Un mec nous l'a pris, il devait nous payer plus tard». Le véhicule a en effet été retrouvé au Mirail incendié trois jours plus tard». Le petit ami de la jeune femme, âgé de 23 ans, déjà condamné à quatre reprises, confirme : «Nous connaissions l'état de vulnérabilité de la victime...» Le procureur, Olivier Mouysset, est révulsé. «Les faits sont inacceptables». Il requiert des peines allant de 12 mois dont 6 assortis du sursis simple à 18 mois fermes, toutes assorties d'un mandat de dépôt. En défense, Mes Maury, Leclerc et Djafel insistent sur la reconnaissance des faits par leurs clients et la honte qui les habite. Le tribunal a condamné les trois prévenus à la peine de 1 an de prison avec mandat de dépôt. Un expertise a été ordonnée par le tribunal pour évaluer l'impact de cette agression sur la victime «dont l'état de santé s'est dégradé depuis les faits», dénonce son avocate.
-
Italie : derrière le massacre de la jeune Pamela, plane l’ombre d’un rituel vaudou
16h47Bien que le Nigérian arrêté nie toujours avoir assassiné Pamela Mastropietro, l’enquête progresse à Macerata. Le cadavre de jeune femme de 18 ans aurait été martyrisé avant d’être coupé en morceaux.Innocent. Le prénom de l’Africain de 29 ans résonne comme un oxymoron à la lumière de la barbarie déployée contre la jeune Romaine, dont le corps démembré a été découvert sur le bord d’une route à la périphérie de Macerata. Ce meurtre, déjà horrible, prend des contours de plus en plus macabres.
Désormais le soupçon qu’un rituel tribal prend forme dans la maison des horreurs de la rue Split, dans le centre de la ville, où vivent des Nigérians et où les carabiniers ont retrouvé les vêtements ensanglantés de Pamela.
Les premières investigations démontrent que le cadavre de la jeune fille a été martyrisé, avant d’être démembré. Des blessures ont été trouvées sur les membres tranchés. Pour effacer les traces de son ADN, Innocent Oseghale, le tueur a soigneusement rincé ses membres à l’eau de Javel. Mais il y a un détail encore plus effrayant: les intestins et le cœur ont disparu. Ce dernier détail amène les enquêteurs à émettre des hypothèses relatives à un rite vaudou. […]
Merci à Yuri
-
Italie : derrière le massacre de la jeune Pamela, plane l’ombre d’un rituel vaudou
16h47Bien que le Nigérian arrêté nie toujours avoir assassiné Pamela Mastropietro, l’enquête progresse à Macerata. Le cadavre de jeune femme de 18 ans aurait été martyrisé avant d’être coupé en morceaux.Innocent. Le prénom de l’Africain de 29 ans résonne comme un oxymoron à la lumière de la barbarie déployée contre la jeune Romaine, dont le corps démembré a été découvert sur le bord d’une route à la périphérie de Macerata. Ce meurtre, déjà horrible, prend des contours de plus en plus macabres.
Désormais le soupçon qu’un rituel tribal prend forme dans la maison des horreurs de la rue Split, dans le centre de la ville, où vivent des Nigérians et où les carabiniers ont retrouvé les vêtements ensanglantés de Pamela.
Les premières investigations démontrent que le cadavre de la jeune fille a été martyrisé, avant d’être démembré. Des blessures ont été trouvées sur les membres tranchés. Pour effacer les traces de son ADN, Innocent Oseghale, le tueur a soigneusement rincé ses membres à l’eau de Javel. Mais il y a un détail encore plus effrayant: les intestins et le cœur ont disparu. Ce dernier détail amène les enquêteurs à émettre des hypothèses relatives à un rite vaudou. […]
Merci à Yuri
-
Allemagne : au Bundestag, le parti anti-immigration AfD a pris ses marques et devient le principal parti d’opposition
15h17Trois mois après la première session du Parlement, l’AfD a pris ses marques et est devenu le principal parti d’opposition.
(….) Plus de trois mois après la première session du Parlement, l’AfD prend ses marques. Mercredi, elle a obtenu trois présidences de commission dont deux des plus importantes: Stephan Brandner va présider la commission des lois et Peter Boehringer la commission des finances, celle qui revient au parti leader de l’opposition. Avant d’être élus, le premier avait jugé que la chancelière devait aller «en prison» pour sa politique migratoire, le deuxième avait tout simplement traité la chancelière de «traînée». Au sein de l’Alternative für Deutschland, on balaie les critiques en assurant que les trois députés ont «les compétences» nécessaires. «Qu’il y ait de la méfiance envers nous n’est pas nouveau, mais nous saurons faire avec», a ironisé mercredi soir Alice Weidel, la présidente du groupe. Le sourire aux lèvres, elle a évoqué les sondages «en hausse»: 3 points séparent dans certaines enquêtes l’AfD du SPD.
Les attaques de l’AfD se concentrent toujours sur Angela Merkel et sa politique migratoire. Pour l’instant, elle a choisi de les ignorer. Jeudi, lors du débat au Bundestag sur la suspension du regroupement familial pour certains réfugiés, elle avait d’ailleurs quitté le banc du gouvernement au moment où l’orateur de l’AfD prenait la parole pour demander le renvoi des demandeurs d’asile dans leur pays d’origine. «Si l’AfD est ici, au Bundestag, c’est pour faire vivre le pluralisme des idées», a ensuite lancé un autre député, Jürgen Braun, en dénonçant au passage les réfugiés «qui font venir leurs deuxièmes épouses en Allemagne». «La polygamie n’a pas sa place ici», a-t-il tonné.
Le texte élaboré par la CDU/CSU et le SPD dans le cadre de leurs discussions de coalition a ensuite été adopté. Les futurs partenaires ont décidé de mettre en place un contingent de 1 000 personnes par mois pouvant bénéficier du regroupement familial. Imparfait, le compromis divise la future majorité. Les sociaux-démocrates assurent avoir emporté une victoire, puisque l’étude des «cas d’urgence» pourra se faire en dehors du quota. Mais, pour les conservateurs, le droit général au regroupement familial doit être supprimé. L’AfD s’est plu à jeter jeudi du sel sur les plaies ironisant sur «toutes les interprétations du texte».(…)
Merci à valdorf
-
L’actrice Condola Rashad incarne Jeanne d’Arc à Broadway
-
Jeff Koons: les Parisiens ne veulent pas de son "cadeau" hideux !
-
« Al-Andalus, l’invention d’un mythe », de Serafin Fanjul. Par Camille Galic
Par Camille Galic, journaliste, essayiste ♦ Certes, le livre* est énorme, d’apparence austère, parfois touffu et alourdi d’un considérable appareil de notes mais son auteur, historien, islamologue et arabisant, membre de l’Académie royale, est l’un des universitaires les plus titrés et les plus respectés d’Espagne. Comment expliquer, sinon par l’inféodation de notre pays à la pensée unique, que son étude définitive, parue en 2000 à Madrid, ait dû attendre dix-sept ans pour être publiée en France, non par une grosse maison mais par un « petit » éditeur ? Pourtant, ce livre n’était pas inconnu puisque notre ami Arnaud Imatz, qui préface – excellemment – l’édition française, avait signé un long entretien avec Serafin Fanjul dans la Nouvelle Revue d’histoire alors dirigée par Dominique Venner, entretien dont l’intégralité parut dans Polémia le 8 septembre 2012.
Al-Andalus, justification du « vivre-ensemble »
Mais voilà, pour justifier le dogme actuel du « vivre-ensemble » avec des occupants arrivés, non pas le cimeterre, mais la valise à la main, il faut absolument préserver le mythe d’un idyllique Al-Andalus polyethnique et multireligieux, exalté dans maints colloques universitaires. Or, la « réalité historique de l’Espagne des trois cultures » – chrétienne, juive et musulmane – que, documents d’époque à l’appui et fort de lustres de travaux approfondis sur la question, présente Serafin Fanjul, est fort éloignée de cet Eden du métissage racial et culturel.
D’une part, les chrétiens qui refusaient la conversion à l’islam n’étaient pas traités sur un pied d’égalité par les envahisseurs musulmans mais, au mieux, pressurés d’impôts et accablés de brimades, au pis, persécutés et massacrés.
D’autre part, ceux des envahisseurs qui se laissaient finalement tenter par les cultures indigènes et donc hispaniser étaient systématiquement supplantés, détrônés et eux aussi massacrés, par des tribus plus rigoristes franchissant le détroit du Djebel Tarek (Gibraltar) pour mettre un terme à cette dégénérescence dans les délices de Capoue qu’étaient la musique ou la poésie profane. Ainsi finirent les derniers des Almoravides, vaincus par les Almohades fanatiques… eux-mêmes renversés ensuite par les Mérinides.
Qu’ont apporté les « Arabes » ?
Enfin, si les « Arabes » (en fait, pour l’essentiel, des Berbères arabisés) laissèrent en effet des trésors dans le sud de l’Espagne, ces mosquées et palais somptueux, pour la plupart édifiés par des Espagnols ou des esclaves européens razziés, virent le jour dans des zones bénéficiant d’une solide tradition architecturale romaine puis wisigothique – constante que l’on retrouve d’ailleurs dans toute l’aire d’expansion mahométane où l’ « art islamique » tant célébré a prospéré sur le terreau grec, égyptien, perse ou byzantin. Le fameux Sinan, architecte au XVIe siècle des plus fameuses mosquées de Turquie, n’était-il pas un Gréco-Arménien de Cappadoce, enlevé à sa famille par le système du « devşirme » – enrôlement forcé de jeunes garçons chrétiens, convertis à l’islam et versés dans l’armée – et s’étant illustré comme ingénieur militaire avant que Soliman le Magnifique, étonné par ses dons, ne l’envoie, si l’on en croit André Clot, biographe du sultan (éd. Fayard, 1992), étudier l’architecture à Vienne ? Et il en va de même pour l’art d’Hippocrate, Serafin Fanjul montrant que la célèbre école médicale d’Al-Andalus devait moins aux marabouts du Haut-Atlas qu’au Grec Galien, que le Moyen Age ne connaissait pas seulement par les traductions arabes.
Car, avant Sylvain Gougenheim, qui scandalisa la bien-pensance avec son Aristote au Mont Saint-Michel/Les racines grecques de l’Europe chrétienne (Le Seuil, 2008) et Guy Rachet auteur de Les Racines de notre Europe sont-elles chrétiennes et musulmanes ? (Ed. Jean Picollec, 2011), Serafin Fanjul faisait déjà litière des théories complaisantes sur le rôle primordial qu’auraient joué les Arabes dans la transmission de la littérature et de la pensée scientifique de la Grèce classique. Rôle tenu en réalité par les monastères.
Un nouveau mythe : la liberté des chrétiens d’Orient
C’est dire combien la lecture de son livre est nécessaire à l’heure où l’on est prié de s’émerveiller devant l’exposition « Les Chrétiens d’Orient » organisée à l’Institut du Monde arabe que préside l’ancien ministre socialiste Jack Lang, grand passeur de « mythes » devant l’Eternel. Car en exposant des chefs d’œuvre – en effet remarquables, et qui méritent la visite – de l’art chrétien en terre d’islam, l’IMA nous refait le coup d’Al-Andalus : voyez comment, au Proche et au Moyen-Orient, les Evangiles cohabitaient harmonieusement avec le Coran sous l’œil bienveillant de leurs suzerains musulmans ! Voyez combien les artistes chrétiens, y compris les moines, étaient libres, et comment ils pouvaient en toute impunité glorifier Jésus et la Vierge ! Il leur suffisait d’accepter leur statut de Dhimmi : un sytème qui, contrairement à ce que croient les esprits vulgaires, est, nous explique-t-on, protecteur et non pas coercitif et ségrégationniste.
Exposition ou bourrage de crânes préparatoire au Grand Remplacement ? Contre cette lobotomisation rampante, il est un antidote : Al-Andalus, l’invention d’un mythe – un mythe qui, pour notre plus grande honte, dut beaucoup, assure le professeur Fanjul, à Théophile Gautier, Prosper Mérimée et autres littérateurs français du XIXe siècle. Aveugles à la beauté austère mais sans doute trop « européenne » de Ségovie ou de Burgos mais fous d’exotisme, ils se pâmaient devant la Giralda ou l’Alhambra et tiraient de cette luxuriance une considération exagérée pour la conquête arabe, et donc un rejet tout aussi outrancier de la Reconquista par les Rois très catholiques. Décidément, rien de nouveau sous le soleil !
Camille Galic
10/12/2017Note :
*Serafin Fanjul, Al-Andalus, l’invention d’un mythe, L’Artilleur éditeur novembre 2017, traduction de Nicolas Klein avec la collaboration de Laura Martinez, 700 pages plus index.
-
Eric Zemmour: Après le théorème d'Archimède, voici le théorème d'Hidalgo" !
-
MAISON SQUATTÉE : MIEUX VAUT S’APPELER YOUCEF QU’ODETTE !
Le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long…
Un vieux monsieur, sa maison squattée, occupants sommés de déguerpir, maison récupérée : une fois n’est pas coutume, voilà une affaire rondement menée grâce à un robuste sentiment de solidarité !
Début décembre, monsieur Y apprend par la police que seize Roms se sont emparés de sa maison, à Garches-lès-Gonesse, inoccupée depuis plusieurs années. Arrivé sur place, constatant les faits, il leur ordonne de « dégager ». Les indélicats lui rient au nez et brandissent un « reçu de livraison de pizza » datant de plus de 48 heures. Reçu valant « attestation » de présence, avec l’attestation fournie par un militant des Droits de l’homme, qui fait office, en quelque sorte et le temps qu’une procédure d’expulsion arrive à son dénouement, de titre de propriété ! C’est la fumeuse loi des 48 h, bien connue des squatteurs et des associations gauchistes telles que le DAL (Droit au logement) puisque, passé ce délai, le malheureux propriétaire n’a plus d’autre recours que de faire valoir ses droits auprès du tribunal.
Fin janvier, l’homme de 76 ans raconte ses déboires au Parisien, qui publie l’article le 29. Et, ô miracle, le lendemain, les seize Roms avaient déguerpi sans (presque) demander leur reste ! Grâce à qui ? À Bassem Braiki, un internaute scandalisé par la situation, vivant à Vénissieux (69), qui a encouragé les « jeunes » des cités de Garches à aller ficher dehors le groupe de Roms. « Sortez, là ! Allez, (vous avez) deux minutes, deux minutes ! » Formidable solidarité nationale comme on aimerait la voir se traduire plus souvent, sans usage de violence, en plus, ce qui n’est pas tellement courant chez ce genre de galopins en virée. Sauf que…
Sauf que tout le monde n’a pas la chance de s’appeler Youcef.
Sauf que jamais ces « jeunes » n’ont manifesté la moindre solidarité pour des « Céfrans » dépossédés. Pas de Bassem Braiki ni pour une Odette ou une Maryvonne (84 et 83 ans) ni tous les autres. Une solidarité toute sélective de la part de cette population des cités.
Une solidarité de communauté qui, dans un pays normal, devrait donner à tous les défenseurs des Chances pour la France l’occasion de réfléchir, enfin, sur le sentiment d’appartenance chevillé au corps qui règne dans ces cités. Sur le camp qu’elles choisiront en cas de conflit majeur.
Sauf que le renoncement si rapide des Roms à s’incruster dans la maison en dit long, aussi, sur la capacité à impressionner, à terrifier de ces jeunes déboulant en bande bien unie là où des Français de souche doivent respecter cette inique loi DALO (droit au logement opposable) qui les spolie. Et contre laquelle, si eux cherchaient à récupérer leur bien par la force, en vertu de l’article 226-4 du Code pénal, ils encourraient jusqu’à un an d’emprisonnement et 15.000 euros d’amende…
Youcef, qui se dit « assez ému » et remercie [Bassem] « d’avoir organisé cette descente-là », a donc récupéré sa maison. Tant mieux pour lui.
D’un côté, des Français puissamment unis par leur origine et leur religion, de l’autre, des Français individualistes, désunis par la puissante idéologie islamo-gauchiste responsable de la destruction du sentiment patriotique. Et on s’étonne du pessimisme des Français sur leur avenir ?
BV
-
Marine Le Pen reçue par G. Durand
https://www.dailymotion.com/video/x6dztgl#tab_embed
"ce gouvernement est incapable de voir dans quelle situation d'insécurité se trouve notre pays" Marine Le Pen (31/01/2018)
-
Musée d'Orsay: visite et tableaux impressionnistes
A regarder en plein écran. Un art vivant!
-
Invasion migratoire : Lancement de l’opération “Themis” pour secourir les migrants en Méditerranée
02/02/2018 – EUROPE (NOVOpress)
Ne l’appelez plus “Triton” mais “Themis”. C’est le nom de la nouvelle opération de l’agence européenne Frontex en Méditerranée. Une mission destinée à secourir en premier lieu les migrants. “Themis” entre en action ce 1er février avec un mandat plus large.Sa nouveauté ? La fin de l’obligation de débarquer les migrants uniquement en Italie. Ceux qui seront secourus en mer, seront déposés dans la zone de sécurité la plus proche, que ce soit en Italie, en Grèce, en Espagne, en Libye ou à Malte.
Par cette initiative, l’Union européenne va donc continuer à inciter les migrants à quitter leur pays pour tenter de s’installer en Europe.
-
JT TVL VENDREDI 2 février 2018
-
Seyssinet-Pariset (38) : une jeune femme attaquée et défigurée à coups de couteau pendant qu’elle promenait son chien
21h48Une femme âgée d’une vingtaine d’années a été sauvagement agressée, mardi aux alentours de 23 heures, alors qu’elle promenait le chien de son compagnon, rue de Pacalaire à Seyssinet-Pariset.
Deux hommes s’en sont en effet pris à elle et lui ont porté plusieurs coups de couteau au visage avant de s’enfuir en courant. Présentant des plaies, dont certaines profondes qui lui laisseront certainement des cicatrices à vie, la malheureuse a été secourue par les sapeurs-pompiers et conduite à l’hôpital Michallon de Grenoble-La Tronche, dont elle a pu sortir mercredi dans la journée… avec une vingtaine de points de suture.
Les gendarmes de la compagnie de Grenoble ont entendu la victime et ouvert une enquête afin d’établir s’il s’agissait d’une agression gratuite ou si elle était visée personnellement, par qui et pourquoi .Merci à MarcelVincent
-
Nanga Parbat, la "montagne du destin"