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GAELLE MANN - Page 86

  • Succession de Johnny : Laeticia Hallyday « écœurée » par la contestation de Laura Smet...

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    Laetitia Hallyday,  Laura et David Smet

     

    L’actrice a découvert les dispositions testamentaires de son père, qui confieraient « l’ensemble de son patrimoine et de ses droits d’artiste » à sa seule dernière épouse.

    Le Monde.fr  • Mis à jour le 


    image: http://img.lemde.fr/2018/02/12/0/0/2995/2000/534/0/60/0/6b8d2c3_5915777-01-06.jpg

    L’actrice Laura Smet et son demi-frère, David Hallyday, ont fait savoir, lundi 12 février, qu’ils contestaient le testament de leur père, Johnny Hallyday, qui laisse la totalité du patrimoine et des droits du rocker mort le 6 décembre 2017 à sa dernière épouse. Selon un communiqué des avocats de l’actrice, Emmanuel Ravanas, Pierre-Olivier Sur et Hervé Temime :

    « Laura Smet a découvert avec stupéfaction et douleur le testament de son père, Johnny Hallyday, aux termes duquel l’ensemble de son patrimoine et l’ensemble de ses droits d’artiste seraient exclusivement transmis à sa seule épouse Laeticia par l’effet de la loi californienne. »

    La veuve de Johnny Hallyday, Laeticia Hallyday, a exprimé, lundi, son « écœurement de l’irruption médiatique autour de la succession de son époux », selon un communiqué transmis à l’Agence France-Presse (AFP). Elle se dit, par ailleurs, « sereine » et déterminée à « faire respecter le travail et la mémoire de son mari ».

    Selon les avocats de Mme Laura Smet, les dispositions testamentaires « contreviennent manifestement aux exigences du droit français ». Si le testament n’est pas contesté, Laura Smet n’aura rien, « ni bien matériel, ni prérogative sur son œuvre artistique, ni souvenir, pas une guitare, pas une moto et pas même la pochette signée de la chanson “Laura” qui lui est dédiée », précisent-ils.

    Ce testament prévoit aussi qu’en cas de mort de Laeticia Hallyday, l’ensemble des biens et des droits du rocker, né Jean-Philippe Smet, seront exclusivement transmis à ses deux filles Jade et Joy à parts égales. Pour les avocats, « ces dispositions extravagantes contreviennent manifestement aux exigences du droit français ».

     Lire :   En s’expatriant, on peut déshériter ses enfants

    Laura Smet leur a demandé de défendre ses intérêts et de « mener toutes les actions de droit permettant la sauvegarde de l’œuvre de son père », conclut le communiqué. « Elle veut tout simplement que ses droits soient garantis. Ça s’appelle aussi des droits naturels », a dit Me Sur. « Le droit naturel est un droit au-dessus du droit. Quand on est un enfant, on a le droit de recevoir quelque chose de son père, et je ne parle pas que d’argent mais aussi de droits moraux. » Personne n’était dans l’immédiat joignable dans l’entourage de Laeticia Hallyday pour réagir à ces informations.

    « Je t’entends, papa, et moi, j’ai choisi de me battre »

    « J’ai appris, il y a quelques jours, que tu aurais rédigé un testament nous déshéritant totalement David et moi », écrit Laura Smet dans une lettre adressée post mortem à son père et que ses avocats ont transmise à l’Agence France-Presse. « Il y a encore quelques semaines, tu me disais à table : Alors, quand est-ce que vous faites un enfant ?” Mais que vais-je pouvoir lui transmettre de toi, toi que j’admire tant ? », poursuit-elle.

    « Je t’entends, papa, et moi, j’ai choisi de me battre. J’aurais préféré que tout cela reste en famille, malheureusement, dans notre famille c’est comme ça... », ajoute Laura Smet, en concluant sa lettre sur ces mots : « Je suis si fière d’être ta fille. Je t’aime, papa. »

    Johnny Hallyday est mort à 74 ans le 6 décembre 2017 des suites d’un cancer. Marié pendant vingt et un ans à Laeticia Hallyday (née Laetitia Boudou), il a eu quatre enfants : David, l’aîné, qu’il a eu avec Sylvie Vartan ; Laura Smet, née de son union avec Nathalie Baye ; et Jade et Joy, adoptées pendant son dernier mariage.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/societe/article/2018/02/12/laura-smet-veut-contester-le-testament-de-son-pere-johnny-hallyday-devant-la-justice_5255514_3224.html#FmoqiIDHri5YPAG8.99

  • Marine Le Pen invitée du Grand Rendez-Vous

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  • L’INDÉCENTE COLÈRE DE L’ALPINISTE ÉLISABETH REVOL

     

     
     

    Ils sont souvent comme ça, ces sportifs qui ne conçoivent pas leur passion autrement qu’en tutoyant la mort : d’un égoïsme forcené, bouffis de suffisance et d’orgueil.

    Ancien chef d'entreprise
     
      

    À chacun ses passions. Celle d’Élisabeth Revol, c’est l’alpinisme. Mais attention, pas n’importe lequel : celui de l’extrême, et dans des conditions extrêmes. Le Nanga Parbat, par exemple, à 8.126 mètres, en plein hiver, sans corde fixe, sans sherpa, sans oxygène. Son coéquipier n’en a pas réchappé, elle a été sauvée. Et elle est très « en colère ».

    Résumé des faits. Le 25 janvier, à 7.450 mètres d’altitude, Élisabeth et Tomasz Mackiewicz se trouvent en très grande difficulté. Tomek, le surnom du Polonais, est tombé dans une crevasse et les conditions météo sont devenues épouvantables : moins 30 °C et des rafales à 95 km/heure. Engelures, cécité des neiges pour cause de non-port de lunettes, les alpinistes envoient un premier message de détresse. Branle-bas de combat sur les réseaux sociaux et GoFundMe, en quelques heures, récolte une cagnotte de 75.000 euros « pour décider les autorités pakistanaises à envoyer des hélicoptères », rapporte Marianne.

    Le mauvais temps n’aidant pas, les secours demandent à Élisabeth d’essayer de descendre, seule, à 6.000 mètres, où elle sera trouvée par quatre alpinistes polonais qui effectueront 1.000 mètres d’ascension, en pleine nuit, sans corde fixe, en un temps record. Dès lors, il faut se rendre à l’évidence : en raison d’une proche tempête de neige, les chances, plus tard, de retrouver Tomek vivant s’avèrent nulles.

    « On se découvre dans la souffrance », se raconte la prof de gym drômoise. C’est chose faite : des doigts gelés et le risque d’amputation d’un pied, Élisabeth a voulu, elle n’a pas pu, elle a perdu. Mais elle est en vie. Et « en colère », donc.

     

    En colère à cause « des mensonges », de la « lenteur des secours pakistanais », de leur surenchère de « cash » pour mettre en route le sauvetage, parce qu’en ne jouant pas « contre la montre », ils n’ont pas tenu compte du temps si « précieux » en montagne. En gros, Élisabeth Revol accuse les Pakistanais de mauvaise volonté. Probable, mais, en même temps, c’est le Pakistan. L’un des pays les plus corrompus du monde. En conséquence de quoi, la moindre démarche effectuée dans ces contrées prend un temps fou. Et elle n’y aurait pas pensé ?

     

    Ils sont souvent ainsi, les sportifs de l’extrême. Prêts à tout pour vivre leur passion. Prêts à en démultiplier les écueils afin d’augmenter leur taux d’adrénaline, leur source de plaisir, leur soif inextinguible de reconnaissance. Le dérangeant, quand on écoute l’alpiniste sauvée par les pilotes pakistanais et les alpinistes polonais ? La mise en avant de la responsabilité collective et non de sa responsabilité individuelle.

    Car, enfin, elle n’est pas novice ! Depuis le temps qu’elle s’embarque dans ces aventures de l’extrême, elle les connaît bien, les risques ! Le surnom du Nanga Parbat ? « Montagne tueuse » ! Une montagne qui a déjà eu la peau de plusieurs dizaines d’alpinistes, en plus ! Mais non, tout se passe comme s’il y avait refus, voire impossibilité d’assumer ses responsabilités personnelles. Ni même d’en prévoir les conséquences.

    Ils sont souvent comme ça, ces sportifs qui ne conçoivent pas leur passion autrement qu’en tutoyant la mort : d’un égoïsme forcené, bouffis de suffisance et d’orgueil à vouloir, par tous les moyens, se démarquer du commun des mortels, dotés d’une mentalité à faire payer la collectivité en cas de pépin avéré. Sans aucun scrupule à mettre dans l’embarras, pire, à faire prendre des risques à leurs sauveteurs. Prêts à remuer la Terre entière pour leur petite personne. Parce qu’elle le vaut bien. La preuve : avec un précédent coéquipier mort lors de leur ascension de l’Anapurna, pas encore guérie, elle envisage… de repartir.

    Alors, l’indécente colère d’Élisabeth Revol… on s’en passerait bien !

    BV

  • Viktor Orbán tient bon sur l’immigration

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    12/02/2018 – EUROPE (NOVOpress)
    Le Premier ministre belge Charles Michel a commencé les hostilités en affirmant que les pays d’Europe centrale seraient forcés d’accueillir des demandeurs d’asile.
    Dans une entrevue accordée au quotidien Le Soir, Charles Michel a évoqué l’envoi d’un ultimatum aux pays refusant d’accepter des immigrants clandestins. En substance, si à l’issue du Conseil Européen de juin aucun accord a été trouvé entre l’Union Européenne et les pays d’Europe centrale alors ces derniers se verraient imposer de force les décisions adoptées lors du Conseil.

    Le président hongrois Viktor Orbán a promis de faire passer les intérêts de la Hongrie avant les demandes de Bruxelles. C’est ainsi que via une vidéo postée sur Facebook il a déclaré :

    Notre gouvernement a pris position. Pour nous la Hongrie passe avant. Nous nous battrons contre ceux qui veulent changer l’identité chrétienne de la Hongrie ainsi que celle de l’Europe.

     

    Ndb: Comme nous aimerions entendre ces paroles fortes sortir de la bouche de Macron!  

     

     

  • Cantate à Jean Bart

    (merci à Dirk)

  • Réductions dans les transports pour les clandestins : « Pourquoi une société devrait-elle offrir des droits à ceux qui enfreignent ses lois »

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  • Condamnée en août pour avoir orchestré l’agression d’une conseillère régionale PS, elle a été naturalisée française jeudi (MàJ)

     

    18h50
     

    Condamnée pour avoir orchestré l’agression de la conseillère régionale Linda Munster, une Vitryate, née en Algérie, vient de recevoir la nationalité française.

    C’est à l’invitation des services de l’État que Fatma Bensbaa s’est exprimée, jeudi, lors de la cérémonie qui a entériné sa naturalisation à la sous-préfecture de Vitry. Au micro, la jeune femme née en 1990 à N’Gaous, en Algérie, ne s’est pas éternisée. Tout juste a-t-elle rappelé qu’elle venait de créer sa société, FR Menuiseries, dont la domiciliation se trouve à La Fabrique, avenue de la République. Sans rester pour le pot organisé en faveur des personnes naturalisées ce jour-là. (…)

     
     
     
     

    27/06/17

    Marne : la conseillère régionale Linda Munster agressée en pleine rue
    Ce mardi midi, la conseillère régionale Linda Munster a été violemment agressée dans le centre-ville de Vitry-le-François. Les faits se sont déroulés à l’angle de la grande rue de Vaux et de la rue du Lion d’Or.

    Alors qu’elle sortait d’un commerce, une femme d’une quarantaine d’années s’est jetée sur l’élue en la martelant de coups de poing. Précipitée contre une voiture, la conseillère régionale est tombée à terre tandis que l’inconnue a continué de la rouer de coups.

    La scène s’est déroulée en présence d’une dizaine de témoins dont certains ont porté secours à l’élue en repoussant son agresseur. La police municipale est rapidement intervenue.

    La conseillère régionale, choquée, va être conduite à l’hôpital pour des examens. Elle compte porter plainte, et atteste ne pas connaître la femme qui l’a agressée.
    L’Union

  • Grande-Bretagne : Ahmed Abdoule à la jeune fille qu’il s’apprêtait à violer : « Tu ne peux pas être vierge puisque tu es blanche »

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    22h08

    L’homme qui a violé une jeune fille tenait un bout de bois pointu dirigé sur sa gorge et il lui a dit : « Tu ne peux pas être vierge puisque tu es blanche ».
    Ahmed Abdoule, 33 ans, a été condamné à 11 ans de prison par le tribunal de Hull.

     

    Le tribunal a entendu Abdoule, un Somalien, qui était connu de la femme [sic] et l’a emmenée chez lui.
    Une fois à l’intérieur, Abdoule « a fermé la porte » alors que la jeune fille « pleurait et le suppliait » de la laisser partir.
    […]
    Le juge Mark Bury a dit à Abdoule : « Elle vous a dit qu’elle était vierge et vous a demandé d’arrêter. »
    « Vous lui avez dit : »Tu ne peux pas l’être, tu es blanche. »
    […]

                                      

    Après l’avoir violée, Abdoule a dit à sa victime qu’il avait « aimé ça » et qu’elle n’était « pas la seule fille qui allait être punie ».

    […]

    (Traduction Fdesouche)

    Hull Daily Mail

  • Un avion de ligne russe s'écrase près de Moscou avec 71 personnes à bord

     

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    (Photo d'illustration) ((Oleg V. Belyakov - AirTeamImages / Wikimedia Commons / CC by-sa))

    Il n'y a aucun survivant. 

     

    Un avion de ligne russe avec 71 personnes à bord s'est écrasé près de Moscou dimanche peu après avoir décollé de l'aéroport Domodedovo de la capitale russe. Toutes les personnes sont mortes, a annoncé le parquet russe. 

    L'appareil Antonov An-148 de la compagnie Saratov Airlines avait décollé en direction d'Orsk, une ville de l'Oural. Il s'est écrasé dans le district Ramenski à quelque 70 km au sud-est de Moscou. Selon les agences russes, 65 passagers et 6 membres d'équipage se trouvaient à bord.

    Les autorités russes n'ont pas évoqué pour le moment l'hypothèse d'un acte terroriste. Plusieurs sources, citées par les agences de presse russes, font état d'une collision entre l'Antonov et un hélicoptère de la Poste russe juste après le décollage, une version toutefois démentie par la Poste.

    Selon les agences, des témoins ont vu l'appareil en flammes tomber près du village d'Argounovo, au sud-est de Moscou. 

    La carlingue de l'appareil "est disséminée sur environ un kilomètre", a précisé à Interfax un responsable du ministère russe des Situations d'urgence.

     "Plus de 150 personnes et environ 20 véhicules de secours se sont rendus sur le lieu du crash", a précisé dans un communiqué le ministère des Situations d'urgence.

    Secours à pieds

    Alors que la neige est encore tombée dimanche sur Moscou et sa région, les médias russes rapportaient que les véhicules de secours n'étaient pas en mesure d'accéder au lieu du crash, forçant les secouristes à poursuivre à pied.

    Les images diffusées par les télévisions russes montrent des débris de l'appareil, aux couleurs oranges de Saratov Airlines, disséminées dans des champs enneigées. "A l'heure actuelle, les sauveteurs ont réussi à arriver sur le lieu du crash. Il y a beaucoup de corps et de fragments de corps", a déclaré une source à l'agence Interfax.

     

    Le ministre russe des Transports, Maxime Sokolov, est également sur place, ont annoncé les médias russes, ajoutant qu'une enquête avait été ouverte et que plusieurs causes pour le crash étaient envisagées.

    Un centre de crise a été ouvert à l'aéroport Domodedovo, le second plus grand aéroport de la capitale russe en terme de passagers.

    Disparition des radars

    L'appareil a disparu des radars quelques minutes après le décollage, a indiqué une source au sein de l'aéroport Domodedovo aux agences de presse russe.

    Avion biréacteur du constructeur ukrainien Antonov, l'An-148 a réalisé son premier vol en 2004. Ce court-courrier peut transporter jusqu'à 80 passagers sur une distance de 3.600 kilomètres.

    Depuis son exploitation l'avion a connu au moins cinq incidents impliquant le train d'atterrissage, le système électrique et le système de guidage.

    Basée à Saratov (Volga), Saratov Airlines exploite essentiellement des avions russes Antonov ou Yakovlev. Cette compagnie, qui n'a jamais été impliquée dans un accident mortel depuis la fin de l'URSS en 1991, dessert surtout des villes de province en Russie ainsi que les capitales du Caucase.

  • #MosqueMeToo : des musulmanes dénoncent le harcèlement et les agressions sexuels lors du pèlerinage à La Mecque

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    Sur Twitter, de nombreuses femmes font le récit de ce qu'elles ont subi lors de leur pèlerinage à La Mecque, en Arabie saoudite.


    Des musulmanes le 15 novembre 2009 dans la grande mosquée de La Mecque (Arabie saoudite). 
    franceinfoFrance Télévisions

    Mis à jour le 
    publié le 

    #MosqueMeToo. ("#MosquéeMoiAussi") Sur Twitter, les témoignages de femmes musulmanes affluent. Elles relatent le harcèlement sexuel voire les agressions dont elles disent avoir été victimes, notamment lors du hadj, le pèlerinage à La Mecque, qui rassemble quelque deux millions de pèlerins venus du monde entier chaque année en Arabie saoudite. 

    Le hashtag a été initié par une journaliste et féministe américano-égytienne, Mona Eltahawy, lundi 5 février, raconte la BBC (en anglais). "J'ai partagé mon expérience d'agression sexuelle pendant le hadj en 1982 alors que j'avais 15 ans dans l'espoir que cela aiderait les femmes musulmanes à briser le silence et le tabou qui entourent leur expérience de harcèlement ou d'agression sexuelle pendant le hadj ou dans des lieux sacrés", explique-t-elle dans un tweet.

    NdB: Je n'ai jamais entendu parler de "harcèlement sexuel" dans une église catholique ni pendant un pèlerinage chrétien. 

     

  • Marseille : à la demande des établissements scolaires, l’ONG pro-migrants SOS Méditerranée « sensibilise les élèves aux flux migratoires »

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    18h22

    SOS Méditerranée sensibilise le milieu scolaire aux flux migratoires. Fidèles aux principes des gens de mer, les membres de la structure, une organisation née en 2015 et issue de la mobilisation citoyenne, viennent en aide, sauvent des milliers de vies chaque année, des hommes, des femmes et des enfants en situation de danger, voire de mort, lors de la traversée de la Méditerranée.

     

    Au-delà de ces opérations à bord de l’Aquarius, navire de 77 mètres adapté aux opérations de sauvetage en toute saison, l’association a informé plus de 8 800 élèves, collégiens à partir de la 4e, ou lycéens (lors des cours d’histoire-géographie ou d’éducation civique) ou encore étudiants à l’université grâce à des conférences abordant l’aspect juridique ou humanitaire, qui ont pu être informés, à la demande des établissements scolaires, de façon très concrète sur la situation en Méditerranée, sur les risques considérables, parfois au péril de leur vie, que ces populations prennent en mer.

     
      

    Comprendre les flux migratoires, réaliser à l’aide d’une carte de la Méditerranée et de l’Afrique le parcours de ces hommes, les distances parcourues, entendre les témoignages de ces bénévoles, permet d’ouvrir les élèves vers une réflexion sur l’exil, vers ce choix de départ de son pays pour trouver un lieu de vie possible. Coordonnée par Jean-Yves Abecassis, membre du conseil d’administration de l’association, cette action pédagogique a démarré en région Paca mais implique désormais une quarantaine de bénévoles à travers la France et compte bien s’étendre à l’ensemble du territoire national à très court terme.

    La Provence

    Merci à Proserpine

  • Carnaval de Dunkerque. Louis-Georges Tin (Cran) : «Le blackface est l’envers grimaçant de l’esclavage»

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    10h34
     

    Dans une tribune au « Monde », le président du CRAN Louis-Georges Tin revient sur le carnaval de Dunkerque (Nord) au cours duquel est organisé le bal de la «Nuit des Noirs». Il explique qu’il ne s’agit pas d’annuler le bal de la « Nuit des Noirs », mais juste d’en changer la thématique pour rompre avec le passé colonial et le racisme. Le maire, Patrice Vergriete, «défend un droit à la caricature».

    Le 10 mars, au cours du carnaval de Dunkerque (Nord), les festivaliers entendent organiser une « Nuit des Noirs ». L’affiche est partout dans la ville : les fameux « Noirs » sont en fait des Blancs totalement grimés, bouche écarlate, os dans le nez ou dans les cheveux, pagnes de paille. Cette soirée est censée se tenir dans une salle cogérée par la ville, et aimablement prêtée par le maire, Patrice Vergriete, qui soutient sans complexe cet événement douteux.

    Cette soirée s’inscrit dans la tradition ancienne du blackface, c’est-à-dire des déguisements raciaux. On se souvient bien sûr de la photo publiée le 17 décembre sur Twitter par le footballeur Antoine Griezmann, et ensuite retirée. Mais depuis quelques mois, plus de quinze affaires de ce genre ont défrayé la chronique. On se souvient, par exemple, de l’opéra de Lyon qui avait programmé un spectacle de Ravel, tout à fait vulgaire, avec du blackface. […]

       

    Le Monde

    Pour Patrice Vergriete, le carnaval de sa ville, porteur d’une tradition séculaire, n’est qu’une «transgression heureuse qui porte en elle de l’esprit de dérision et d’autodérision».

    Depuis quelques jours et pour quelques semaines encore, les Dunkerquois « font carnaval ». L’expression « faire carnaval » dit la singularité de l’événement. En effet, à Dunkerque, le carnaval n’est pas un simple show destiné à éblouir des spectateurs passifs. Le carnaval, c’est l’œuvre des citoyens, c’est une ville qui se met en mouvement et rend hommage à son passé, tout en proclamant son désir d’avenir. Il s’agit d’une tradition séculaire d’abord liée à la vocation maritime de la ville. […]

    Le Monde

  • 30 ans requis contre Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf pour la mort de la petite Fiona

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    Fiona, 5 ans, enfant martyre

    Trente ans de réclusion criminelle, assortis d'une période de sûreté des deux tiers, ont été requis samedi par l'avocat général à l'encontre de Cécile Bourgeon et Berkane Makhlouf, jugés en appel devant les assises de la Haute-Loire pour la mort de la petite Fiona en 2013.

    "Ces violences ont été activées par les deux, par la répétition dans le temps et par la localisation (des coups) sur la tempe gauche de Fiona", a déclaré l'avocat général Raphaël Gentile de Sanesi lors de son réquisitoire, soutenant ainsi la coaction des deux accusés dans la mort de la fillette.

    L'Obs

  • Danemark : jusqu’à 1.300 euros d’amende pour le port répété d’un voile intégral

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    19h23
     

    Une amende de 1000 couronnes est prévue dans le projet de loi interdisant le port du voile intégral dans l’espace public. Elle pourra atteindre 10.000 couronnes danoises, soit environ 1.300 euros, si les infractions sont répétées.

    Pour le ministre de la Justice danois, le port de la burqa ou du niqab n’est «pas compatible avec les valeurs de la société danoise et il est irrespectueux vis-à-vis de la société de dissimuler son visage lors d’un échange dans l’espace public».

      
     
    L’avant-projet de loi doit d’abord être présenté aux organisations de défense des droits de l’homme pour leurs remarques avant d’être présenté aux parlementaires au printemps, qui devraient sans doute le valider grâce au soutien du Parti populaire danois ouvertement anti-immigration.

    «Avec cette interdiction, nous prenons position et rappelons qu’au Danemark nous faisons preuve d’une confiance et d’un respect mutuels lors d’une rencontre», a ajouté le ministre.

    bladi

  • Éric Zemmour : « Ce peuple polonais qui, à l’inverse de la classe politique française, refuse de se flageller… »

     

    17h06

    CHRONIQUE – En dénonçant la loi interdisant de parler de «camps de la mort polonais», les critiques français reprochent aux Polonais ce que nous avons fait : imposer une histoire officielle, une histoire d’État.

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    Les Polonais ne font décidément rien comme les autres. Ils forment des plombiers compétents ; ils ferment leurs frontières aux vagues migratoires venues des pays musulmans ; ils ne donnent pas tous les pouvoirs à leurs juges ; ils ne renient pas leurs racines chrétiennes. Dernière transgression qui scandalise le Landerneau médiatique occidental: le vote d’une loi qui interdit aux historiens de parler de «camps de la mort polonais» à propos des camps d’extermination érigés par les Allemands sur le territoire polonais.

    Pourtant, personne, parmi les contempteurs de cette loi, ni en Israël ni aux Etats-Unis ni en Europe, ne prétend que les camps d’Auschwitz-Birkenau n’ont pas été décidés et dirigés par les nazis. Personne n’incrimine même un gouvernement polonais de complicité puisque le pays était alors dirigé par un gauleiter allemand. Mais on craint seulement que, faisant une lecture extensive de cette législation, les autorités polonaises censurent toute révélation sur les exactions commises par une partie de la population polonaise, qui a parfois profité de l’aubaine pour se venger des Juifs haïs.

    On oppose la liberté des historiens au corset d’une histoire officielle, d’une histoire d’Etat.

    Ces critiques seraient légitimes si elles ne venaient pas de Français qui ont fait voter une loi Gayssot interdisant à quiconque de remettre en cause le génocide des Juifs pendant la Seconde Guerre mondiale ; et qui, dans la foulée, ont adopté une loi Taubira établissant la traite occidentale (et uniquement celle-ci) comme un «crime contre l’humanité». On se souvient des mésaventures de cet historien, Olivier Pétré-Grenouilleau, qui fut cloué au pilori parce qu’il avait osé affirmer que les traites négrières ne pouvaient pas être un génocide puisque l’esclave avait une valeur marchande.

        
     

    Nous reprochons donc aux Polonais ce que nous avons fait: imposer une histoire officielle, une histoire d’Etat. Traîner devant les tribunaux tous ceux qui la contesteraient. Nos lois mémorielles sont le pendant de la loi polonaise que nous condamnons.

    Il est vrai que les intentions sont à l’opposé: les lois mémorielles françaises ont été adoptées dans un contexte politique et idéologique de repentance. Après le discours du président Chirac sur la rafle du Vél’ d’Hiv, et les compléments apportés par ses successeurs, Hollande et Macron, la France prend volontairement une part de la culpabilité des crimes allemands en accusant l’Etat français, et donc la France, d’avoir été le complice de la machine génocidaire allemande.

    La Pologne fait l’inverse: elle ne veut plus être associée à l’opprobre jeté sur les nazis. Nous élaborons des lois mémorielles pour nous flageller ; les Polonais font la même chose, mais pour se glorifier.

    La liberté des historiens et de l’Histoire n’est en réalité qu’un prétexte, qu’un rideau de fumée: ce que nous reprochons aux Polonais n’est pas d’élaborer une histoire officielle, mais de refuser de se flageller.

    Le Figaro

    Merci à valdorf

  • The Voice met les voiles

    Ecoutez jusqu'au bout. La propagande islamiste se glisse partout!

  • « Incapable de reprendre sa vie d’avant », Théo Luhaka danse trois jours plus tard dans un concert de rap (vidéo)

     

    BREIZATAO – NEVEZINTIOU (08/02/2018) Le 26 octobre 2017, LCI/TF1 diffuse une interview dans laquelle Théo exprime son malaise : « J’ai besoin de ne plus voir personne » dit-il notamment. « Très diminué », il serait « incapable de reprendre sa vie d’avant ».

     

    Le 29 octobre, trois jours plus tard donc, l’agitateur public Hadama Traoré poste sur Youtube une vidéo d’un concert dans la “cité des 3000”. Le rappeur Fianso est l’invité d’honneur. Théo est là. Sur une vidéo partagée par des participants et repérée par Valeurs actuelles, on le voit se trémousser, fièrement, tout sourire. Il monte sur scène, acclamé par ses pairs (à partir de 3m30 dans la vidéo, il porte une veste blanche à capuche).

  • JT TVL 9 FEVRIER 2018