Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Meurtres chez Ikéa : le «coup de folie» d'un immigré érythréen

    XVM19db7112-41cd-11e5-8f37-cb95dff7ae98.jpg

     Home ACTUALITE International

     

    Des voitures de la police suèdoise stationnent devant la grande surface dans laquelle s'est déroulée le crime

    Une femme et son fils de 28 ans ont été tués par un Erythréen au rayon cuisine d'un magasin Ikea en Suède. Digne d'un polar scandinave, le fait divers agit comme un révélateur des angoisses de la société suédoise.

     
     
    Advertisement
     

     

    Les policiers se sont longuement interrogés. La scène était étrange. Entre les rayons du magasin Ikea de Västerås, une ville à une centaine de kilomètres de Stockholm, entre assiettes et fourchettes, gisent, en début d'après-midi du 11 août, deux cadavres et un homme atteint de plusieurs coups de couteau. Les victimes sont une mère et son fils de 28 ans venu faire des courses, des clients lambda sans histoires. Le blessé est un Érythréen âgé de 35 ans. L'arme du crime vient de l'étalage de la boutique. Les témoins sont choqués et peuvent juste dire que les meurtres se sont déroulés en quelques secondes.

    Très vite les enquêteurs identifient un deuxième homme, présent sur de la scène. Il est interpellé à un arrêt de bus, à quelques mètres de l'Ikea. Le suspect est lui aussi Érythréen et nie toute implication. L'analyse des bandes de vidéo-surveillance du magasin donnera la clef de l'affaire. Selon le quotidien suédois Aftonbladet, les images montrent que le blessé est aussi le meurtrier. On y voit l'homme qui a finalement reconnu les faits saisir deux couteaux au rayon accessoires de cuisine «quelques secondes avant le meurtre» et porter des coups mortels à deux clients, choisis au hasard. Puis, «l'attaque s'achève quand le meurtrier présumé se poignarde lui-même au ventre».

    Les policiers découvrent rapidement que les deux Érythréens vivent dans un camp de réfugiés à 50 kilomètres du magasin. Le matin de l'attaque, le tueur présumé s'était rendu à un rendez-vous à l'agence des migrations de la région: sa demande d'asile avait été rejetée et il était visé par une procédure d'expulsion vers l'Italie. Si la justice suédoise ne donne pour l'instant aucune explication à ce «coup de folie», la presse locale voit dans ce rejet la cause du drame.

    Peur d'un acte de représailles

    En Suède, le fait divers a fait la une et les associations de défense des réfugiés craignent de le voir exploité par les groupes d'extrême droite. Cela rappelle la trame d'un roman de Henning Mankell. De manière troublante, dans Meurtriers sans visage, le maître du polar scandinave avait imaginé un crime attribué à des étrangers puis de sanglantes expéditions «punitives» contre des foyers. Pour empêcher un acte de représailles de la part des riverains, la police a renforcé le système de sécurité autour des camps de réfugiés.

    En Suède, les crimes de haine (motivés par l'orientation sexuelle, l'identité religieuse ou la race de la victime) seraient en constante augmentation et auraient battus des records l'année dernière, affirme le Swedish national council for crime prevention. Le parti politique anti-immigration, entrée pour la première fois au parlement suédois en 2010, est désormais le troisième parti politique fort du pays. La semaine dernière, deux migrants ont été abattus par balles alors qu'ils dormaient dans une voiture dans le nord de la Suède.

    La communauté érythréenne en Suède est forte de 18.000 membres, tous réfugiés politique. Petit pays de la corne de l'Afrique, l'Erythrée est considérée comme «la Corée du nord de l'Afrique». Amnesty Internationale dénonce une «prison à ciel ouvert», dans laquelle les «citoyens» sont systématiquement privés de leurs libertés fondamentales, torturés, emprisonnés.

    LE FIGARO

  • Philippot veut en priorité des «hauts fonctionnaires patriotes» à l'ENA

    XVMd4a54aaa-419a-11e5-92e5-6df7dd2aca5f.jpg

     

     

     

    LE SCAN POLITIQUE - L'eurodéputé et vice-président du Front national estime que «l'Ena n'est pas là pour former les futurs banquiers d'affaires».

     
    Advertisement
     

    Lycée Louis-le-Grand, HEC, l'ENA... Avant de devenir le très médiatique vice-président du Front national, Florian Philippot a eu un parcours peu classique dans sa famille politique. «Pour rejoindre le FN, il y a mieux comme choix de carrière», s'amuse aujourd'hui le jeune eurodéputé, interrogé par Le Point daté de jeudi.

    Et Florian Philippot de confier: «Déjà au lycée, je voulais faire de la politique. Et comme tous les hommes politiques brillants en exercice étaient énarques, l'Ena me semblait un passage obligé». L'hebdomadaire narre la scolarité du plus proche collaborateur de Marine Le Pen, particulièrement discret au sein de l'institution strasbourgeoise.

    La suppression de l'Ena retirée du programme du FN

    «Je choisis mes combats: celui-là était perdu d'avance», explique-t-il quand il parle du débat autour du nom de sa promotion où il a refusé de défendre sa proposition («Austerlitz»). Déjà à l'époque il dit avoir perçu une certaine homogénéité entre tous les étudiants socialistes et ceux proches de l'UMP.

    Un constat qui lui fait dire aujourd'hui que «si nous (le FN) gagnons l'Élysée, l'Ena devra accueillir en priorité des hauts fonctionnaires patriotes». «Ça me semble être la moindre des choses. L'Ena n'est pas là pour former de futurs banquiers d'affaires ou des technocrates hors sol», précise-t-il au Scan.

    Puis de citer le précédent programme présidentiel de Marine Le Pen qui plaide pour que «l'accent soit mis sur la sens de l'Etat et le patriotisme». «L'Ena veillera en particulier à recruter des hauts fonctionnaires patriotes ayant le sens de l'État», précisait-il. Un programme où la suppression de la prestigieuse école a d'ailleurs été écartée grâce à Florian Philippot, indique Le Point.

    LE FIGARO

  • Tel-Aviv sur Seine» : surtout des policiers et des journalistes...

    XVMcff630d8-41d5-11e5-b2df-d8132fff892d.jpg tel aviv.jpg

     

     

    Une femme s'enveloppe avec le drapeau israélien, en soutien à l'opération «Tel-Aviv sur Seine», jeudi, à Paris Plages. Crédits photo : Sébastien SORIANO/Le Figaro

    L'événement qui s'est tenu jeudi a opposé dans un calme relatif propalestiniens et pro-israéliens au cœur de Paris.

     
    Advertisement

     

    Boucliers, matraques, casques et gilets de protection. Les premiers visiteurs de «Tel-Aviv sur Seine», jeudi matin, sur les berges parisiennes, sont des gendarmes. Malgré la polémique, l'opération d'un jour qui visait à mettre à l'honneur la ville israélienne dans le cadre festif de Paris Plages a eu lieu, mais sous haute surveillance. «Préparez vos sacs et videz vos poches!»

    Sur les quais de Seine et aux entrées de la zone dédiée à l'événement, ils étaient près de 250 policiers et gendarmes à assurer la sécurité des lieux. Les arrivants sont passés sous des détecteurs de métaux et ont dû ouvrir leurs sacs. À quelques mètres, d'autres équipes des forces de l'ordre ont sillonné toute la journée les alentours de l'Hôtel de ville, qui étaient bloqués par des barrières, tandis que des groupes de gendarmes étaient postés sous les deux ponts qui encadraient les festivités.

    En fin de matinée, les visiteurs se faisaient toujours rares, et l'heure n'était pas à la détente: difficile de profiter des transats et de la musique pop israélienne en étant cerné par les journalistes venus en nombre - plus de cinquante accrédités dès 11 heures du matin, selon la Mairie de Paris. «Je ne suis pas venue pour me relaxer mais pour soutenir cet événement, suite à cette polémique qui a pris des proportions ridicules», témoigne Aurélie Semoun, qui vit à Paris. Comme elle, la majorité des visiteurs a répondu au rendez-vous en réaction aux propos d'élus du Parti de gauche qui ont demandé l'annulation de la fête. Friand de la vie nocturne tel-avivienne, un touriste s'enthousiasme: «C'est une ville où il y a beaucoup de tolérance, beaucoup d'ouverture.» Comme beaucoup de visiteurs, cet Israélo-Américain arborait un chapeau aux couleurs de l'État hébreu.

    Certains sont même venus avec drapeaux et lunettes marqués de l'étoile juive. Ils dansent, pieds nus dans le sable, au rythme des «youyous» lancés par les femmes. À quelques mètres, un food truck propose sa cuisine méditerranéenne. Sa gérante, Sue, souhaite insuffler une ambiance de fête: «La nourriture, la musique, c'est ce qu'on peut partager de mieux.»

    «Anne Hidalgo déroule le tapis rouge à Israël... On ne peut pas différencier la ville de la politique d'oppression du pays»

    Nicolas Shahshahani, le vice-président d'EuroPalestine

    De l'autre côté du pont Notre-Dame, à quelques mètres de là, un rassemblement propalestinien compte une centaine de personnes qui manifestent contre l'événement. À l'initiative de l'association EuroPalestine, les militants sont venus avec des banderoles et des tracts hostiles au gouvernement israélien et à sa politique. «Tel-Aviv sur Seine» se tient en effet un an après le conflit dévastateur dans la bande de Gaza, qui a fait plus de 2000 morts côté palestinien. «C'est une décision symboliquement indécente», estime une militante parisienne vêtue d'un keffieh et refusée à l'entrée des berges de «Tel-Aviv sur Seine» par les services de sécurité.

    À la mi-journée, la tension est montée d'un cran. Nicolas Shahshahani, le vice-président d'EuroPalestine, s'insurge au nom des manifestants. «Anne Hidalgo déroule le tapis rouge à Israël», déclare-t-il, avant d'ajouter avec ferveur: «On ne peut pas différencier la ville de la politique d'oppression du pays.» Un avis partagé par les autres militants, dont certains sont même venus de Nantes pour défendre les couleurs de la Palestine. Malgré le déploiement policier d'envergure, pro-israéliens et propalestiniens finissent par se rencontrer aux entrées de Paris Plages, et les insultes fusent. «Pourquoi venez-vous avec votre keffieh?», reproche une femme à une militante. Non loin, des membres de la Société de protection de la communauté juive veillent au grain, prêts à intervenir en cas de débordement. Sous le pont Notre-Dame, une vingtaine de gendarmes sont pris entre deux feux. D'un côté, les youyous séfarades et la musique électronique israélienne. De l'autre, les slogans «Israël assassin». Certains vacanciers, déconnectés de l'actualité, avouent avoir été pris de court par l'événement. «Ça gâche un peu notre pique-nique», regrette Stéphane, venu de Lyon avec sa famille. Pour le tenancier de la buvette du boulodrome de Paris Plages, «Tel-Aviv sur Seine» n'a pas fait ses affaires: «C'est le chômage technique

    LE FUGARO

  • L’ambassade saoudienne jugée pour le calvaire de Jainab « esclave moderne »

    4946753_91713d64-2ae0-11e5-92fd-001517810e22-1_545x460_autocrop.jpg Jainab.jpg

     

    Élodie Soulié | 15 Juil. 2015, 19h24 | MAJ : 15 Juil. 2015, 19h24

     
    réagir
    1
                                                         Paris XVIe, mercredi dernier. Après son évasion et sa prise en charge par SOS Esclaves, Jainab, 42 ans, a dû être hospitalisée pour une grave dépression, Aujourd’hui elle se reconstruit, travaille auprès de couples âgés, et attend des papiers définitifs. (LP/E.S.)

    Pas un jour de repos, seulement des tâches et des exigences, nuit et jour à servir et se taire. Pendant près de 3 ans Jainab, expatriée des Philippines pour venir travailler au domicile parisien d’un salarié de l’ambassade d’Arabie saoudite (VIIIe), a mené une vie d’esclave plutôt que celle d’une « employée de service » qu’indiquait son contrat.

      

    Entre février 2010 et ce matin de novembre 2012 où elle a trouvé le courage de fuir, avec sa jeune cousine recrutée quelques semaines plus tôt, Jainab n’a connu que l’envers de cette cage dorée où vit toujours une famille de huit personnes, dans le XVe arrondissement. Autant de bouches à nourrir et de caprices à satisfaire. Privée de passeport et de visa sitôt son arrivée, de toute façon Jainab n’avait pas le choix.

    Ce jeudi, c’est au tribunal des prud’hommes de Paris que Jainab s’apprête à revivre 32 mois qui l’ont presque brisée, mais qu’elle espère « enfin envoyer derrière (elle) », murmure-t-elle, la voix soudain plus rauque et les yeux embués. La jeune femme peut espérer que le droit du travail reconnaisse les abus et falsifications dont Me Anick Fougeroux, présidente de l’association SOS Esclaves qui la soutient, accuse l’ambassade d’Arabie saoudite en tant que coemployeur. C’est la seule arme juridique de l’avocate, dont la plainte au pénal pour « traite d’êtres humains et vol » s’est brisée sur l’immunité diplomatique du « patron » de Jainab.

    Résultat, le dossier se retrouve ce jeudi après-midi au menu des « activités diverses » du conseil de prud’hommes, où Me Fougeroux espère « faire condamner solidairement l’ambassade. Car c’est par elle que le contrat de travail de Jainab a été déguisé en contrat d’ambassade, et même falsifié en indiquant un soi-disant statut de cadre ! », fulmine l’avocate. Elle dénonce « une supercherie vis-à-vis des autorités françaises », et chiffre le montant du préjudice à 460 000 €. « C’est considérable, admet-elle, mais c’est le calcul pour 32 mois de travail 24 heures sur 24… Aucune convention collective ne prévoit ça ! » Contactée, l’avocate de l’ambassade n’a pas souhaité évoquer le sujet avant l’audience.

    Jainab voudrait croire en une réparation pour refermer cette longue parenthèse durant laquelle elle a dormi à même le sol, au pied du lit d’une fillette autiste, dont elle devait gérer les crises nocturnes. « Il y avait six enfants, et tout ce monde-là mangeait des choses différentes à des moments différents, réclamait toujours quelque chose, raconte-t-elle. Plusieurs fois j’ai réclamé qu’on me renvoie chez moi, mais toujours on me disait d’attendre, que ce serait bientôt… » L’employée corvéable à merci devait aussi attendre son argent, entre 250 et 300 € par mois ni déclarés, ni régulièrement payés.

    Le jour où elle a menacé « d’aller à la police », les relations ont franchi un palier menaçant. « Ils me criaient dessus, ne me payaient plus, et ils avaient mes papiers… Ils m’ont fait taire ». Alors un matin de novembre, après avoir jeté un message désespéré de SOS du balcon de la résidence que le gardien n’a pas compris, elle a fui les poches vides, espérant croiser une bonne étoile. Ce fut SOS Esclaves, dont le soutien matériel et humain lui a permis de reconstruire « une vie bancale ».

    LE PARISIEN

  • Mort de Fiona, 5 ans: le renvoi aux assises requis pour la mère et son concubin

    5008671_fiona_545x460_autocrop.jpg

    http://www.leparisien.fr/auvergne/mort-de-fiona-le-renvoi-aux-assises-requis-pour-la-mere-et-son-concubin-13-08-2015-5008671.php

    + 4 VIDEOS

    NdB: J'espère que ce couple immonde sera lourdement condamné puisque la peine capitale n'existe plus pour les monstres

     

    rose-T_Kiya_.jpg

    Une rose pour Fiona

     

     

  • INFO LE FIGARO - 35.000 agressions commises à Paris depuis un an

     

    • Home ACTUALITE Flash Actu
      • Par Jean-Marc Leclerc
      • Mis à jour le 13/08/2015 à 07:09
      • Publié le 13/08/2015 à 07:05
     
    Advertisement
     
    Chaque jour à Paris, on dénombre en moyenne près de 500 atteintes aux biens (vols, vandalisme…) et près de 100 agressions physiques. Les autorités recensent quotidiennement aussi plus de 80 vols à la tire et 25 cambriolages de résidence principale.

    Le Figaro a pu accéder aux derniers états statistiques de la police dans la capitale. Ces chiffres, incontestables, sont ceux de l'Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP).

    Lire la suite en cliquant ici.

  • La suppression du menu sans porc a été validée par le tribunal administratif de Dijon

    http://www.laprovence.com/actu/faits-divers-en-direct/3533330/rejet-du-refere-contre-la-suppression-du-menu-sans-porc-a-chalon-sur-saone.html

  • Les vétérinaires contre l'abattage sans étourdissement

    1817537.jpg

    13/08/15 à 16:01 - Mise à jour à 15:59

    Source : Belga

    L'Union Professionnelle Vétérinaire, l'organisation qui défend les intérêts des vétérinaires belges francophones, a tenu à rappeler jeudi sa position dans l'actuel débat autour de la possibilité d'abattre les animaux sans étourdissement préalable lors de la fête musulmane du sacrifice, le 24 septembre prochain.

     

    •      

    © iStock

    L'UPV estime que cette pratique est "inacceptable", "quelles que soient les circonstances ou l'endroit". L'organisation se positionne ainsi clairement contre ce type d'abattage, même dans le cadre d'abattoirs fixes, non-temporaires.Le débat revit chaque année à l'approche de la fête musulmane du sacrifice, lors de laquelle des milliers de moutons sont abattus à travers la Belgique. La Flandre et la Wallonie s'orientent cette année, au contraire de Bruxelles, vers une interdiction totale de l'abattage sans étourdissement dans les abattoirs temporaires installés spécialement pour la fête, la pratique rituelle n'étant alors autorisée que dans un abattoir fixe. En accord avec la FVE, la fédération des vétérinaires européens, l'UPV "estime que du point de vue du bien-être animal et eu égard au statut de l'animal comme être sensible, la pratique de l'abattage sans étourdissement préalable est inacceptable", entre autres car celui-ci "retarde la perte de conscience, parfois de plusieurs minutes". "Pendant cette période de conscience, l'animal peut être exposé à une douleur inutile liée à l'existence de régions traumatisées, à l'aspiration potentielle de sang et de contenu ruminal dans le cas des ruminants, à la souffrance liée à l'anoxie par l'atteinte du nerf phrénique et du nerf vague", précise l'UPV. L'abattage sans étourdissement préalable exige également "une contention additionnelle dans la plupart des cas, qui peut causer un stress supplémentaire à un animal qui est certainement déjà effrayé".

  • Paris : Des vendeurs à la sauvette frappent des policiers (Màj : 1 agresseur condamné)

     

    2h13

    13/08/2015

    Le Parisien reprend l’information et la vidéo publiées sur Fdesouche dès mardi.

    Des policiers en uniforme bousculés, et même frappés, par des vendeurs à la sauvette qui tentent de leur échapper! Les faits se sont déroulés dans le jardin des Tuileries (Ier), vendredi  7 août, en pleine journée. Ils n’ont été révélés que 5 jours plus tard, ce mercredi, avec la mise en ligne sur un site d’information russe d’une vidéo amateur qui a ensuite été relayée sur Twitter.

    Le document de 29 secondes, sans doute tourné par un touriste, montre toute la violence et la confusion de l’intervention. Quatre policiers qui essayaient visiblement de saisir les minis tours Eiffel d’un vendeur à la sauvette sont pris à partie par une dizaine de ses « collègues ».

    Un policier, tombé à terre dans la bousculade, est roué de coup par les clandestins. Un autre qui lui venait en aide, manque de recevoir un coup de pied en plein visage. Une fonctionnaire utilise alors sa bombe lacrymogène pour disperser le groupe.

    Selon nos informations, les policiers de la DOPC (direction de l’ordre public et de la circulation) qui se rendaient à Paris-plages par la rue de Rivoli, voulaient contrôler les vendeurs clandestins croisés par hasard devant le Louvre. L’un d’entre eux a pu être interpellé. Jugé en comparution immédiate, il a été condamné à 5 mois de prison ferme.

    REGARDEZ LA VIDEO DANS LA NOTE PRECEDENTE

    Source

    Merci à Loup Blanc

  • 300 enfants congolais, adoptés légalement par des Français, bloqués en RDC

    x4cdBhb.jpg congolais.jpg

    18h15

    Les enfants sont bloqués en République démocratique du Congo à la suite d’un gel des autorisations de sortie. Des parents réclament « le soutien » de Paris.

     

    Quelque 300 enfants adoptés légalement par des couples français en République démocratique du Congo sont bloqués dans ce pays à la suite d’un gel des autorisations de sortie décidé en 2013, assure un collectif de parents, qui réclame « le soutien » de Paris. « C’est un drame pour les enfants et pour les parents adoptants. Ce que l’on veut, c’est obtenir le soutien des autorités, organiser un pont humanitaire pour protéger les enfants le temps que cette crise soit réglée. Nous espérons une mobilisation de la classe politique », dit l’un des membres de ce collectif souhaitant conserver l’anonymat.

    [...]

    En tout, ce sont environ 1 300 dossiers d’enfants congolais légalement adoptés par des familles françaises, américaines, italiennes, néerlandaises et belges qui restent bloqués depuis deux ans en RDC. « Certains attendent même depuis quatre ans. » Pourtant, les enfants portent déjà le nom de leurs parents adoptifs.

    Fin 2013, Kinshasa a suspendu les autorisations de sorties pour les enfants adoptés par des étrangers. Cette décision de la Direction générale des migrations avait été justifiée par des informations selon lesquelles des enfants congolais adoptés dans certains pays auraient été maltraités ou que leur adoption aurait été transférée à des couples homosexuels. La loi congolaise interdit l’adoption d’enfants par des couples homosexuels. Le gel des sorties a été renouvelé en septembre 2014.

    [...]

    Le Point

  • Michel Onfray: "Notre civilisation est effondrée"

    Par le 12/08/2015 - FDS

    20h17

    Extrait de la conférence de Michel Onfray pour la librairie Mollat (mai 2015):

    « Aujourd’hui dès qu’on veut lier le présent avec le passé, on est réactionnaire, donc facho, donc vichyste, donc pétainiste, donc c’est Hitler et c’est la shoah. »

    « La gauche nous dit que les femmes pauvres n’ont qu’à porter les enfants des riches et qu’on doit pouvoir louer les utérus. Cela s’appelle de l’esclavage, on dit aux femmes : il n’y a plus de boulot, vous n’avez qu’à louer vos utérus aux riches. Merci Pierre Bergé. »

    « XIIème siècle, prenez une carte de l’Europe et regardez le nombre d’abbayes cisterciennes qui se créent. Il y a une floraison sur la totalité de l’Europe et on se dit, oui, notre civilisation est chrétienne, c’est même sidérant d’être obligé de le dire. »

    « Notre civilisation s’effondre, elle est effondrée. Les civilisations marquent leur époque, dans un temps, dans une géographie, dans une Histoire et puis ça disparaît. Aujourd’hui notre civilisation est en bout de course, nous ne créons plus rien, nous ne produisons plus rien, nous sommes dans un nihilisme généralisé. D’autres civilisations sont prêtes, l’islam qui est une civilisation déterritorialisée, peut-être aussi l’Inde, la Chine qui sont des blocs de spiritualité. »

    « Il ne nous reste pas grand chose à faire, je prends souvent l’exemple du Titanic, grand sourire, soyons élégant, buvons des bons vins avec des gens qu’on aime, le bateau coule et ça ne sert à rien de vouloir mettre des rustines. »

     

    Source

    Merci à la-jeanne

     

     

  • Colombes (92) : le terrifiant profil de Sofiane Rasmouk, l’agresseur de 2 jeunes femmes

    CXkDzlL.jpg  sofiane.jpg

    12h23

    Il y a deux ans, Sofiane Rasmouk agressait sauvagement deux jeunes femmes alors qu’il était en semi-liberté. Cet homme, psychopathe, devra répondre de ces crimes, qu’il nie, devant les assises.

     

    Pour Priscillia et Sandra, ce devait juste être une belle soirée d’été. Ce fut le début d’un long martyre, par la faute d’un multirécidiviste en semi-liberté à la personnalité psychopathique que le destin a mis sur leur chemin, mais dont le suivi par l’institution judiciaire pose légitimement question.

    Il y a deux ans, le 7 août 2013, ces deux jeunes femmes qui ne se connaissaient pas étaient sauvagement agressées à quelques minutes d’intervalle à Colombes (Hauts-de-Seine).

    Priscillia d’abord, directrice de marketing de 31 ans, retrouvée entre la vie et la mort au pied de chez elle, le visage ravagé par des coups de poing. Puis Sandra, 19 ans, pistée, violemment frappée, humiliée et violée entre deux voitures avant d’être détroussée de sa carte bancaire.

    Deux ans après, Priscillia, dont le pronostic vital a longtemps été engagé, se remet très lentement et fait figure de miraculée. Elle comme Sandra attendent le procès de Sofiane Rasmouk. Renvoyé aux assises pour tentative de meurtre et tentative de viol sur Priscillia et viol et vol avec violence sur Sandra, cet homme de 27 ans pourrait être jugé rapidement à Nanterre. (…)

    Source

    Merci à Yabonlaseku et à Bobbynette et Tom

    Relire : Colombes (92) : Sofiane, multi-récidiviste, arrêté après l’agression ultra violente de 2 femmes

  • LES GAULOIS AU DELA DU MYTHE