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  • Werwolf à Montauban?

    Une enquête a été ouverte contre trois jeunes militaires du 17e régiment de génie parachutiste de Montauban (Tarn-et-Garonne) photographiés faisant le salut nazi, vêtus de leurs treillis et derrière une bannière à croix gammée, a-t-on appris mardi auprès de l'armée de terre.

    "Le Canard Enchaîné", qui publie la photo incriminée dans son édition à paraître mercredi, affirme qu'un ex-sergent de cette unité, Jamel Benserhir, avait dénoncé les agissements de ces militaires, sans être entendu, auprès de ses chefs de corps et dans une lettre au ministre de la Défense Hervé Morin écrite en novembre 2007.

    Selon le Service d'informations et de relations publiques de l'armée de terre (SIRPA-Terre), le ministère avait répondu en décembre à ce courrier qui portait essentiellement sur un recours contre le non renouvellement du contrat du sergent Benserhir.

    Deux des trois soldats incriminés sont toujours membres du régiment et ont été «immédiatement consignés» à l'ouverture de l'enquête le 28 mars, a indiqué le colonel Benoît Royal, chef du SIRPA-Terre, précisant qu'ils étaient «sous le coup d'une enquête menée par la DPSD», la direction de la protection et de la sécurité de la défense.

    «Ils sont passibles de sanctions et une plainte pourrait être déposée par le chef de corps», a-t-il précisé. Celui-ci, toujours selon le colonel Royal, avait diligenté cette enquête de la DPSD après avoir été alerté par un aumônier juif. Selon le colonel Royal, «la photo est sans doute antérieure à octobre 2005, le troisième soldat ayant quitté le régiment à cette date».

    (le Parisien - 02.04.08)

    Deux ans plus tard?

    NDB. Werwolf signifie "loup-garou" en allemand

    Le colonel Royal aurait-il une parenté quelconque avec Ségolène Royal?

  • VIDEO Bouyghes demande le regroupement familial

    http://www.dailymotion.com/video/x4f7ad_1970-bouygues-demande-le-regroupeme_politics

  • Grondin volant

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    Chelidonichthys

  • Sarközy lance un appel solennel aux FARC

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    Sarközy le 1er avril
    Dans une déclaration télévisée diffusée mardi 1er avril depuis l'Elysée, Nicolas Sarközy a appelé les Forces armées révolutionnaires colombiennes (FARC) à libérer "immédiatement" Ingrid Betancourt, qui "est en danger de mort imminente", ainsi que les otages les plus affaiblis. S'adressant directement au chef de la guérilla, Manuel Marulanda, comme il l'avait fait lors d'un précédent message le 6 décembre, le chef de l'Etat exige cette libération et précise que la France n'attend qu'un signal pour lancer une mission humanitaire pour venir en aide aux otages.

     

     
    "J'attends de vous la marque d'humanité sans laquelle tout s'enlisera de nouveau", a lancé le président , qui a estimé que le leader des FARC a "maintenant un rendez-vous avec l'histoire". "Par cet acte déclencheur, vous répondrez à l'attente de la famille" de l'otage et "vous rendrez compréhensible votre discours", a-t-il ajouté.

     

    "UNE GRÈVE DE LA FAIM AU MILIEU DE LA JUNGLE, C'EST MORTEL"

    Après s'être entretenu avec des membres du comité de soutien de Mme Betancourt dans l'après-midi, M. Sarközy a confirmé que l'état de santé de l'otage est mauvais, comme l'avait déjà indiqué le gouvernement colombien. "Elle n'a plus la force de résister à une captivité interminable qui s'enfonce dans la tragédie", a-t-il affirmé dans ce message sous-titré en espagnol. Selon le président de son comité de soutien, Arnaud Mangiapan, elle a commencé une grève de la faim le 23 février.

    "Cela fait maintenant un mois. Une grève de la faim en milieu hospitalier, c'est déjà très dangereux. Au milieu de la jungle, c'est mortel", a-t-il déclaré. "Cela fait six ans que nous essayons d'obtenir sa libération. Maintenant ça se joue en jours, voire en semaines mais pas beaucoup plus."

    (le Monde 01.04.08)

  • 68% des Français contre l'envoi des renforts en Afghanistan

    Les Français contre plus de renforts militaires en ‎Afghanistan


    Plus de deux Français sur trois « désapprouvent », ‎la décision du président Nicolas Sarközy d'envoyer de ‎nouvelles troupes en Afghanistan. Selon les résultats ‎d'un sondage publié lundi 31 mars, 68% des Français sont contre ‎ l'envoi des renforts en Afghanistan. Seule 15% sont ‎pour cette décision de Nicolas Sarközy et 17% se sont ‎abstenus de se prononcer.
    Toujours selon ce sondage, ‎‎65% des Français sont d'avis que les Etats-Unis et leurs ‎alliés se sont trompés en déclenchant la guerre en ‎Afghanistan. Sarközy a annoncé la semaine dernière que ‎si la stratégie proposée par la France, intitulée « Le ‎soutien à la paix » était approuvée au Sommet de l'Otan ‎à Bucarest, Paris enverrait des renforts en Afghanistan. ‎Le Sommet de l'Otan aura lieu du 2 au 4 avril à Bucarest, ‎capitale roumaine.
    (alterinfo.org - 01.04/08)

  • La division en fin de CE 1: un tollé!

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    Jusqu'ici, les écoliers apprenaient la division en CM 1. Désormais, ils s'y attaqueront en fin de CE 1, à 8 ans. C'est ce que prévoient les programmes qui devraient entrer en vigueur en septembre. Un projet qui provoque un tollé.

    «Maman, c'est quoi une division ? » Lucie, 8 ans et demi, bonne élève de CE 2, pro des tables de multiplication, s'interroge devant les devoirs du grand frère. Difficile à expliquer, la division, même avec l'image du gâteau dont on voudrait faire des parts équitables : « Des parts de gâteau ? Je comprends pas, c'est quoi une division ? » Ce casse-tête, les parents risquent d'y être confrontés avec des enfants plus jeunes, l'année prochaine , si la réforme des programmes du primaire, que Xavier Darcos défendra devant les parlementaires aujourd'hui, entre en vigueur telle quelle, dès septembre.

    Un « retour aux fondamentaux » prêche le ministre, qui veut que les petits Français sortent du primaire en sachant lire, écrire, compter, sans laisser 15 % des élèves en rade.

    Jusqu'ici, en maths, la division était « approchée » en fin de CE 2, apprise en CM 1. Désormais, en fin de CE 1, les élèves devront savoir diviser par 2 et par 5 des nombres inférieurs à 100, selon le projet, qui soulève un tollé dans les écoles primaires. Elles ont jusqu'à cette semaine pour l'examiner et transmettre leurs réactions à leurs inspecteurs.


    Comme à l'école élémentaire Jules-Ferry A de Clichy (Hauts-de-Seine), qui planchait ce samedi, le cri du coeur est unanime : « Les programmes de 2002, effectifs depuis 2005, sont à peine mis en oeuvre et déjà il faut en changer ? Et quel leurre que de faire croire aux parents que les enfants réussiront mieux, en 24 heures par semaine au lieu de 26, avec un programme beaucoup plus lourd, et dans toutes les matières, un apprentissage mécanique, rabâché, désincarné, souvent plus précoce ? ». Pour Roland Charnay, ancien formateur à l'IUFM (institut de formation des maîtres) de Lyon, qui pilotait la commission « mathématiques » d'élaboration des programmes de 2002 et signataire de la pétition de dix-neuf syndicats et mouvements pédagogiques réclamant un moratoire, l'introduction de la « division posée » en CE 1 est symptomatique. « On revient en force à un strict enseignement de techniques, au détriment de la compréhension et de l'intelligence de l'enfant. C'est particulièrement contre-productif en maths : la répétition ne suffit pas. Si l'on ne comprend pas, on n'apprend pas. Faire résoudre un problème de partage (donner douze images à trois personnes) est abordable dès la grande section de maternelle. En revanche, poser une division suppose des connaissances qu'un enfant de 7-8 ans n'a pas. Pour diviser 57 par 2, il faut déjà qu'il connaisse l'écriture des nombres, sache que 57 c'est cinq dizaines et sept unités. Il faut aussi qu'il connaisse ses multiplications, pour trouver "en 5 combien de fois 2" et qu'il maîtrise enfin la soustraction pour trouver le "reste" : soit quatre types de connaissances à mobiliser mentalement et simultanément ! Toutes les études le montrent, c'est un pari impossible. »

    Avec les calculettes, pourquoi leur apprendre la division? Avec la télévision, on n'a plus besoin de savoir lire, et pour envoyer un SMS, on écrit en texto!

    Moi, personnellement, je me sers d'une calculette pour les quatre opérations!

    Des gens sur cette planète vivent très bien en sachant compter : 1, 2, 3, beaucoup!

  • BRUNO GOLLNISCH : Le Tibet et la Chine

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    INTERVENTION DE BRUNO GOLLNISCH

    Au nom de la Coordination "Identité, Tradition, Souveraineté"
    Lors du débat du Parlement européen sur le Tibet
    (session extraordinaire du 26 mars 2008)

    Monsieur le Président, Mes chers collègues,

    Il y a 113 ans le célèbre socialiste Jean Jaurès s'écriait que "le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l'orage".

    Je dirais plutôt que le communisme comporte l'oppression plus sûrement que les nuages n'apportent la pluie.

    La Chine est ainsi asservie depuis 60 ans à l'une des dictatures qui compta parmi les plus effroyables de l'histoire de l'humanité, pourtant adulée par une grande partie intelligentsia européenne, dont ces apprentis sorciers que furent l'actuel ministre Bernard Kouchner, le philosophe André Gluckman et beaucoup d'autres amis de M. Daniel Cohn-Bendit, tous maoïstes avec enthousiasme.

    Oui, nous n'étions pas nombreux dans les années 60-70 à contester le prêt-à-penser révolutionnaire et à refuser l'asservissement des peuples d'Asie au marxisme !

    Aujourd'hui, l'étau s'est un peu desserré sur le plan économique, et les progrès économiques rapidement réalisés par le peuple chinois, l'un des plus intelligents et industrieux du monde, ont contribué à masquer la réalité du régime politique, qui demeure une dictature. Pas de liberté. Pas de véritables élections représentatives de la population. Pas d'indépendance du système judiciaire. Persécutions, emprisonnements, exécutions des dissidents politiques, intellectuels ou religieux. Comme les Mongols de Mongolie extérieure, les Ouïgoures (ou Turkmènes) du Sin-Kiang, les Tibétains supportent cette oppression qui vise à détruire leur identité.

    Pourtant cette identité tibétaine est différente de l'identité chinoise. Tout les distingue : la population, la langue, l'écriture, les traditions, la spiritualité. (A propos de spiritualité, nous avons raison de reconnaître l'importante influence du bouddhisme lamaïque au Tibet mais pourquoi avoir refusé ne serait-ce que de mentionner dans nos propres Chartes les racines chrétiennes de notre civilisation européenne ?).

    Dans le cas du Tibet, hélas, il n'y a pas que l'occupation militaire ou la répression policière. Il y a aussi le recours à l'immigration comme instrument de la destruction de l'identité tibétaine, et cela devrait nous faire réfléchir. Oui, chers collègues, vous avez des yeux pour voir et des oreilles pour entendre. Mais vous demeurez aveugles et sourds à ces réalités-là.

    Il y a pourtant un point commun à des questions aussi diverses que celles du Kosovo et du Tibet : ce sont les conséquences de la politique d'immigration sur les peuples indigènes. L'immigration albanaise au Kosovo a préludé à l'élimination des Serbes de ce territoire, comme l'immigration chinoise de l'ethnie Han encouragée, organisée, aujourd'hui majoritaire, dépossède les Tibétains de leur territoire et de leurs libertés.

    Ces conséquences sont terribles mais ce qu'il y a de plus terrible encore c'est que, non contents de nous masquer cette réalité, nous laissons de tels processus s'enclencher en de multiples points de nos propres territoires.

  • Bush s'acharne contre l'Irak

    804210983.jpgDessin de KONK

    Irak: les hôpitaux de Bagdad et Bassorah sont débordés de blessés 

    Les hôpitaux de Badgad sont débordés de blessés ‎depuis les raids aériens et terrestres des forces ‎américaines contre Sadr City.
    Plus de 900 personnes, ‎pour la plupart des femmes et des enfants, ont été ‎blessées durant les attaques de cinq journées ‎consécutives des forces américaines contre Bassorah, au ‎sud-irakien.
    Après la levée du couvre-feu à Bagdad, la ‎situation a pris son cours normal à Sadr City, mais il est ‎toujours la cible des raids des forces américaines sous ‎prétexte de la lutte contre le terrorisme.
     Les chars ‎américains se trouvent dans les portes de Sadr City en ‎état d'alerte et les hélicoptères US quadrillent son ciel. ‎Selon les sources bien informées, les bombardements ‎sans répit et aveugles des zones résidentielles de Sadr ‎City et certaines régions de Bassorah, qui ont eu lieu hier, ‎ne visent qu'à embraser la guerre civile en Irak.

     (Alterinfo.org - mardi 01 Avril 2008)
  • STATS DU BLOG POUR MARS 2008

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