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  • Perquisition en règle chez Liliane Bettencourt, qui se dit "outrée et choquée"

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    Dans une réaction très vive, l'héritière de L'Oréal, qui se trouve à l'étranger, selon son avocat, a expliqué avoir accepté cette perquisition lors d'un entretien téléphonique mercredi matin avec la brigade financière.

    "Je suis donc affreusement choquée d'apprendre que les serrures de mes coffres ont été forcées et les chambres de mes salariés fouillées", dit-elle dans une déclaration manuscrite.

    Les policiers agissaient sur commission rogatoire de la présidente la 15e chambre du tribunal correctionnel de Nanterre, Isabelle Prévost-Desprez, qui instruit un supplément d'information sur un éventuel abus de faiblesse dont serait victime Liliane Bettencourt, âgée de 87 ans.

    Arrivés dans la matinée, ils ont perquisitionné pendant de longues heures l'hôtel particulier de l'héritière de L'Oréal, à Neuilly-sur-Seine, sans la magistrate, jusqu'aux environs de 17H00, selon une source proche de l'enquête.

    Selon une journaliste de l'AFP sur place, une voiture grise avec cinq hommes à bord est ressortie peu après par la porte principale du domicile de la milliardaire.

    Liliane Bettencourt s'en prend en particulier à la juge Prévost-Desprez et à sa fille, Françoise Meyers-Bettencourt, à l'origine de la procédure pour abus de faiblesse à l'encontre du photographe François-Marie Banier. "La façon dont ma fille s?acharne et dont cette juge se comporte prouve qu'elles considèrent toutes deux que je suis assez vaillante pour subir leurs humiliations et leurs attaques", estime-t-elle.

    Plus tôt, son avocat, Me Georges Kiejman, avait fustigé la magistrate, affirmant ne pas avoir "été informé de cette perquisition", et déclarant à l'AFP réfléchir "aux moyens de (la) faire sanctionner".

    Sollicitée par l'AFP, Mme Prévost-Desprez n'avait pas répondu en fin de journée.

    La perquisition visait notamment à rechercher des mots écrits sur des bouts de papiers que les proches de Liliane Bettencourt auraient pris l'habitude de faire apprendre par coeur à l'héritière de L'Oréal avant ses rendez-vous importants, a indiqué à l'AFP une source proche du dossier.

    L'existence de ces petits papiers avait été évoquée en juillet par plusieurs ex-employés de Liliane Bettencourt, dont son ancienne femme de chambre, Dominique Gaspard, auditionnée le 23 juillet par Mme Prévost-Desprez.

    Selon Le Monde, l'ex-femme de chambre a révélé mardi aux policiers l'endroit où se trouvaient les bouts de papiers. Selon le quotidien, la juge cherche aussi à vérifier "si certaines oeuvres d'art n'auraient pas quitté le domicile de Mme Bettencourt pour celui de M. Banier".

    Mme Prévost-Desprez, chargée de juger M. Banier pour abus de faiblesse sur Liliane Bettencourt, a décidé le 1er juillet de renvoyer sine die le procès du photographe, afin d'enquêter sur les enregistrements clandestins réalisés au domicile de l'héritière de L'Oréal.

    Mais cette enquête pourrait tourner court: la cour d'appel de Versailles doit se prononcer le 14 septembre sur un recours de Me Kiejman, qui pourrait aboutir à une suspension des investigations de la juge, en conflit notoire avec le procureur de Nanterre Philippe Courroye, dirigeant plusieurs enquêtes préliminaires dans cette affaire tentaculaire.

    Le 26 juillet, à la demande du parquet de Nanterre, Liliane Bettencourt avait été entendue à son domicile par la brigade financière, qui avait procédé à une perquisition du bureau de son secrétariat.

    Une perquisition avait également été menée le 12 juillet dans un local comptable, proche de l'hôtel particulier de la milliardaire, également à la demande du parquet.

    AFP. 01/09/10

  • Issou n'en peut plus des gitans

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    (Cliquez sur la photo)

    31/08/2010 – 11h10
    ISSOU (NOVOpress) –
    Nouveau coup de force des gitans dans les Yvelines. Cette fois, à Issou. Dimanche, plus de 500 gens du voyage ont pris possession de cette petite commune de 4 500 habitants. « Les grilles du parc du château ont été forcées et des pierres de plus d’une tonne, censées empêcher ce type d’intrusion, ont été déplacées », relate Le Parisien de ce jour.

    Maire d’Issou, Martine Chevalier a porté plainte pour outrage, occupation illégale et dégradation de biens publics. Elle précise qu’elle a été « insultée et menacée » par les nomades. Le standard téléphonique de l’hôtel de ville a été submergé lundi matin par les appels des habitants, excédés par cette invasion violente. En avril 2009, ils s’étaient mobilisés contre les nuisances d’un projet d’aire d’accueil pour les migrants. Depuis hier, l’activité de la Maison des jeunes a été déplacée et les sorties du centre de loisirs, annulées. Plusieurs familles de romanichels ont déjà entrepris des démarches pour inscrire leurs enfants dans les écoles de la commune.

    L’évêque de Versailles, Monseigneur Eric Aumonier, s’est rendu samedi à Triel-sur-Seine, une autre ville des Yvelines durement touchée par l’invasion régulière de gens du voyage afin d’apporter son soutien… à une soixantaine de Roms sous le coup depuis la mi-août de quatre APRF (Arrêté préfectoral de reconduite à la frontière) et onze OQTF (Obligation de quitter le territoire français). Le prélat a déclaré : « J’ai appris que ces gens ont peur, qu’il existe une grande solidarité entre eux. Je souhaite qu’ils soient écoutés », au nom de leur « grande précarité ». En revanche, Eric Aumonier n’a pas pris le temps d’écouter les Triellois. Il aurait pu entendre le récit des nombreuses exactions commises par des milliers de gitans depuis 2008.

    01/09/2010 – 10h00
    ISSOU (NOVOpress) –
    La rentrée des classes à Issou devrait s’effectuer sous la protection de la police demain. Cette petite commune des Yvelines doit faire face à l’invasion de plus de 500 gitans depuis le week-end dernier. Dégradation des lieux, insultes, vol de l’électricité, agression des habitants, braconnage, coups de feu… Un climat insurrectionnel s’installe sur place.

    « Lundi soir, à la suite de branchements sauvages, un transformateur EDF situé à deux pas du parc, dans la rue du Pont, s’est enflammé », rapporte Le Parisien de ce jour. Ce vol a privé d’électricité de nombreux foyers. Les habitants ne peuvent se promener dans le parc du château où les nomades sont installés illégalement. Plusieurs habitants se plaignent d’avoir été agressés à coups de pierre par les intrus, qui auraient également tiré des coups de feu à la sortie de l’agglomération, selon le garde-chasse de la ville. Une ambiance tellement tendue que Patrick Perrault, premier adjoint au maire, confie : « C’est en train de dégénérer. Un riverain m’a même dit que le fusil était prêt ».

    NOVOpress - 01/09/10

  • Le FN 43 se félicite des déclarations de Mgr Brincard sur l'immigration

    Communiqué de presse de Pierre Cheynet, secrétaire départemental du Front National de Haute-Loire

    Après les polémiques entretenues par certains médias autour des déclarations du Pape sur les Roms, le Front National de Haute-Loire se félicite que l’évêque du Puy-en-Velay Monseigneur Henri Brincard ait cité le Catéchisme de l’Eglise Catholique pour rappeler que « les autorités politiques peuvent, en vue du bien commun dont elles ont la charge, subordonner l’exercice du droit d’immigration à diverses conditions juridiques, notamment au respect du devoir des migrants à l’égard du pays d’adoption ».

    L'hospitalité accordée aux migrants n’est en effet concevable que s’ils respectent scrupuleusement le pays qui les accueille, ses lois, ses coutumes, et tout ce qui contribue à l’élaboration d’un destin commun, fondé sur une identité nationale dont les racines sont chrétiennes, comme l’a fort justement rappelé Monseigneur Brincard, lequel a par ailleurs souligné que sans unité de la nation, les diversités conduisent à l’affrontement.

    Ces déclarations prouvent que l’existence de règles et de sanctions attachées à la présence sur notre sol d’immigrés ayant ou non acquis la nationalité française est à la fois légitime et nécessaire, comme le Front National l’affirme depuis de très nombreuses années. Il serait du devoir de nos gouvernants de les faire respecter en permanence au lieu d’en faire un gadget électoral aux mains d’une majorité qui n’est, du reste, pas disposée à les appliquer.

    NPI - 31/08/10

  • Violente agression contre des policiers à Gennevilliers - Un d'eux blessé gravement au visage

    Voiture caillassée Genevilliers.jpg

    La voiture caillassée dans la cour du commissariat de Colombes

    VIDEO  http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/violente-agression-de-policiers-a-gennevilliers-1329874

    Touché au visage, le policier blessé a été transporté à l'hôpital Beaujon à Clichy (Hauts-de-Seine), puis transféré à l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris.

    Selon une source policière, il souffrirait de multiples contusions mais n'aurait pas de traumatisme crânien, contrairement à ce qui avait été annoncé précédemment à l'AFP. Il a obtenu une incapacité totale de travail (ITT) de quinze jours.

    Selon les premiers éléments, les trois policiers, membres du commissariat de Colombes (Hauts-de-Seine), ont été pris à partie vers 1H15 près de la station de métro Courtilles, alors qu'ils intervenaient sur un feu de véhicule situé sur un chantier.

    Alors que deux des trois policiers étaient partis en direction de l'incendie, le troisième, resté dans le véhicule, a été violemment agressé par une quarantaine de personnes munies de pierres et de pavés.

    "Les deux autres policiers sont aussitôt revenus en renfort, mais ils ont été victimes eux aussi de jets de projectiles", a raconté une source policière, en précisant que les agresseurs avaient réussi à prendre la fuite.

    "On a retrouvé une cinquantaine de pavés autour du véhicule, qui a été complètement détruit. C'était un véritable guet-apens", a ajouté cette source.

    Selon une autre source policière, deux individus qui portaient des bidons d'essence ont été interpellés et placés en garde à vue.

    L'enquête a été confiée à la brigade de sûreté urbaine de Gennevilliers.

    Dans un communiqué, Unité police SGP-FO (premier syndicat de gardiens de la paix) a dénoncé "les menaces et violences contre les policiers qui s'étendent à tout le territoire" et demande au ministre de l'Intérieur que "toutes les mesures soient mises en oeuvre pour interpeller les auteurs de cette agression". A la garde des Sceaux, il demande que la "justice applique les peines prévues avec la plus grande fermeté".

    Alliance (second syndicat) a estimé qu'"un drame a été évité de justesse" et "réaffirmé sa volonté de voir appliquer les peines planchers exemplaires et systématiques" contre "tout individu qui agressera les représentants de l'autorité de l'Etat" dénonçant une "violence exponentielle".

  • Légion d'honneur: Woerth aurait bien soutenu de Maistre

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    Selon L'Express, une lettre saisie lors d'une perquisition montre que le ministre du Travail est intervenu auprès de Nicolas Sarkozy pour demander l'attribution de la décoration au gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt. L'intéressé a une nouvelle fois démenti.

    L'horizon s'assombrit de nouveau pour Eric Woerth. Selon le site internet de L'Express, l'actuel ministre du Travail serait intervenu en mars 2007 auprès de Nicolas Sarkozy, alors ministre de l'Intérieur, pour lui demander d'attribuer la légion d'honneur à Patrice de Maistre, le gestionnaire de fortune de Liliane Bettencourt et par ailleurs donateur de l'UMP.

    Le magazine indique qu'une lettre adressée place Beauvau au début du mois de mars 2007 et signée de la main d'Eric Woerth, alors trésorier de l'UMP et de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy, a été retrouvée à la mi-août par les enquêteurs de la Brigade financière lors d'une perquisition.

    Fait chevalier de la Légion d'honneur dans le cadre de la promotion du 14 juillet 2007, Patrice de Maistre a reçu sa décoration début 2008 des mains d'Eric Woerth, entré entre-temps au gouvernement. Une récompense arrivée quelques semaines après l'embauche de la femme du ministre, Florence Woerth, dans la société chargée de la gestion de la fortune de Lilliane Bettencourt.

    Pourtant, Eric Woerth a toujours nié être avoir joué un rôle dans l'octroi de cette décoration au gestionnaire de fortune. Le 29 juillet dernier encore, lors de son audition comme témoin dans le cadre de l'enquête sur un éventuel trafic d'influence autour de cette décoration, le ministre a réitéré cette version.

    Le document se trouverait désormais entre les mains du procureur de Nanterre Philippe Courroye. Le parquet de Nanterre n'a toutefois pas confirmé dans l'immédiat l'existence de cette lettre.

     

    Une «entreprise de démolition»

     

    Dans le courrier, rédigé sur du papier à en-tête d'une association de soutien à l'action de Nicolas Sarkozy, Eric Woerth vante les mérites de Patrice de Maistre, membre du «Premier cercle» rassemblant les principaux donateurs de Sarkozy, écrit l'hebdomadaire, ajoutant que le gestionnaire de fortune des Bettencourt est également un collecteur de fonds légaux pour l'UMP.

    Eric Woerth a-t-il remis en janvier 2008 la légion d'honneur à Patrice de Maistre en récompense de ses bons et loyaux services ? Le ministre du Travail a réaffirmé mardi qu'il n'avait «pas menti» en niant être intervenu dans la remise de la Légion d'honneur à Patrice de Maistre et a dénoncé une «entreprise de démolition» contre lui. «On cherche à me salir, je n'ai rien à me reprocher. Je l'ai déjà dit, je le redis, je n'ai rien fait de mal, je n'ai pas menti. Je n'ai pas menti à la police, je n'ai pas menti aux Français», a-t-il déclaré en marge du campus des jeunes de l'UMP réuni à Port-Marly, dans les Yvelines.

    «M. Woerth a dit aux policiers qu'il ne se souvenait pas d'une quelconque action (en faveur de M. de Maistre, ndlr) mais que si on l'avait sollicité, il avait pu donner un avis positif», a indiqué pour sa part l'avocat du ministre, Me Jean-Yves Le Borgne. «Ce qu'a dit M. Woerth aux policiers n'est pas en contradiction avec cette lettre», a poursuivi l'avocat, précisant qu'il n'avait pas connaissance de la lettre en question. Avant de conclure : «Il n'avait pas de raison de s'opposer à une telle éventualité. M. de Maistre avait une carrière et un âge conforme à l'octroi de la Légion d'honneur».

    Le conseil de Patrice de Maistre, Me Pascal Wilhelm, a indiqué à l'Express que son client avait découvert l'existence de cette lettre le 25 août, lorsque les policiers l'ont interrogé.

  • Sauzet (Gard) Trois personnes recherchées à la suite de la mort de Pierre Confort

    RAPPEL : Mardi après-midi, un sexagénaire était l'objet de violences sur fond de vol de métaux. Il décédait quelques instants plus tard

    L'enquête de gendarmerie s'est poursuivie hier après le décès de Pierre Confort, 68 ans. Cet agriculteur de Sauzet (village situé à 20 km au nord de Nîmes) a trouvé la mort après une altercation liée à des vols de métaux, des piquets en ferraille destinés à soutenir les vignes. C'est d'ailleurs dans son vignoble que le sexagénaire a, semble-t-il, découvert que trois hommes étaient en train de lui voler ses piquets. Quelques instants plus tôt, un habitant du village venait de le prévenir que des gens se trouvaient sur ses terres manifestement en train de préparer un forfait.
    Selon les premiers éléments de l'enquête, il semble que l'agriculteur ait cherché à dissuader les malfrats d'embarquer les piquets. A ce moment-là, il aurait reçu des coups avant de partir chercher de l'aide au café du village.

    Le malheureux aurait succombé au volant de son véhicule en tentant de partir à la recherche des malfaiteurs, qui pourraient appartenir à la communauté des gens du voyage. Apparemment, trois personnes seraient activement recherchées par les gendarmes du groupement du Gard qui ont multiplié les actes d'enquête pour essayer de dessiner le profil des auteurs.

    Hier matin à la première heure, l'autopsie a été réalisée par les légistes de l'unité de médecine légale du CHU de Nîmes. Les conclusions ont été transmises aux autorités judiciaires et aux enquêteurs. Deux éléments semblent émerger de sources concordantes : le sexagénaire a reçu des coups à la tête et il est ensuite décédé. La mort serait liée à des causes cardiaques (la victime était suivie pour une pathologie de ce type). La question posée par la justice aux experts de médecine légale est de savoir s'il existe un lien entre les coups portés et la crise cardiaque qui a emporté cet agriculteur bien connu dans le village et décrit comme un homme solide. Car si une corrélation existe entre ce vol de métaux, les coups et la mort du malheureux, la qualification pénale pourrait revêtir une dimension criminelle et l'affaire potentiellement être jugée par une cour d'assises. Mais une source judiciaire indiquait hier « attendre le rapport définitif de l'autopsie. A ce stade des investigations, il est difficile de faire le lien juridique entre les coups et la mort ».
    Hier, le village de Sauzet oscillait entre peine et colère pour ce banal vol de métaux. Tragique.

     Midi Libre.com - jeudi 26 août 2010

     

  • La plante sauvage qui pousse dans le béton

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    Pied plante balcon XXX.JPG

    Elle pousse dans le béton du balcon et mesure environ 1m 65. Je ne connais pas son nom.

    30 août 2010 

    (Cliquez  sur les photos pour les agrandir)