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  • Enseignement "catholique" et... élèves musulmans!

    Le quotidien La Croix publie dans son numéro d’hier un article surprenant consacré aux difficultés de l’Enseignement catholique avec ses élèves et enseignants musulmans. Un grand morceau d’anthologie du politiquement correct !

    On y apprend qu’en cette rentrée le Secrétariat général de l’enseignement catholique a publié un vademecum à destination des équipes de directions des écoles catholiques, dont La Croix nous informe qu’elles scolarisent parfois jusqu’à 70 % d’élèves musulmans !

    Que faire donc si « Des lycéens musulmans prient régulièrement dans la cour. Un jour de pluie, la directrice leur propose une salle. Ce lieu devient la salle de prière où les élèves invitent des personnes extérieures à l’établissement. La directrice ne peut plus disposer de cette salle pour d’autres activités. »

    Que faire encore si « Le jour de la rentrée, les garçons ne répondent pas à leur nom lorsque la nouvelle directrice, qui succède à un directeur, fait l’appel des classes. Par contre, les élèves répondent à leur professeur principal qui est un homme. »

    Nous aurions tendance, sans doute naïvement, à répondre : faire acte d’autorité, infliger quelques colles et le cas échéant des conseils de discipline.

    Pas du tout répond l’enseignement catholique, il faut « organiser rapidement une réflexion avec l’équipe éducative », ne « pas mélanger islam et réaction d’adolescents, identitaire, culturelle et religieuse » et « faire intervenir des médiations : un musulman, en priorité un enseignant ou personnel d’éducation, sinon un responsable de mosquée, ou un expert, par exemple le responsable diocésain pour les relations avec l’islam  ».

    Et ce n’est pas tout, les écoles catholiques emploient aussi des … musulmans, et le Secrétariat général de l’enseignement catholique se sent coupable vis-à-vis d’eux ! En effet, ils seraient victimes d’« un certain racisme », selon Pierre Robitaille, une des huiles du SGEC, puisque n’étant pas chrétiens, ils ne peuvent pas participer pleinement au projet éducatif d’écoles qui prétendent l’être…

    On croit rêver et marcher sur la tête et pourtant c’est la triste réalité d’une Église qui se couche et pratique, comme tant d’autres, l’ethno-masochisme.

    NPI.  09/09/10

  • Reconduites à la frontière: Eric Besson symbolise l'imposture sarkozyste

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    Drapeau européen derrière Éric Besson : c’est la marque du collier qui tient la France en laisse.

    La phrase du jour, c’est l’aveu du ministre de l’immigration, Éric Besson dans un article publié par Le Monde : « plus de 75 % des décisions de reconduite à la frontière des étrangers en situation irrégulière en France ne sont pas exécutées ».

    Autrement dit les chiffres, déjà modestes, annoncés à grand bruit par l’exécutif (environ 29.000 décisions de reconduite à la frontière en 2009) doivent être divisés par 4 ! Autant dire une goutte d’eau dans la mer.

    Il espère y remédier par un nouveau projet de loi… oubliant toutefois de préciser que ce n’est plus la France qui décide en la matière, mais l’Europe. En signant, contre la volonté des Français, le traité de Lisbonne, Nicolas Sarkozy a de facto renoncé à la souveraineté de la France. Son agitation fébrile ne relève par conséquent que de l’électoralisme, et il continue à mentir aux Français.

    Source

    NPI - 09/09/10

  • Dans un internat d'excellence, Sarkozy célèbre les mérites des jeunes de banlieue

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    A Marly-le-Roi, le 9 septembre 2010 - (Cliquez sur la photo)

    Nicolas Sarkozy a profité jeudi d'une visite de l'internat d'excellence de Marly-le-Roi, destiné aux élèves méritants des milieux défavorisés, pour nuancer le ton très répressif de son discours de Grenoble en rendant hommage à la banlieue qui réussit.

    Devant l'équipe éducative du tout nouvel établissement, les élèves et leurs parents, le chef de l'Etat a longuement détaillé la philosophie de ce nouveau dispositif, issu du plan "Espoirs banlieues", en soulignant qu'il ne constituait "pas un exil, mais une chance qu'on donne aux enfants".

    "Les internats d'excellence, c'est pas une machine où on prend les meilleurs pour en faire les "super meilleurs". C'est un milieu où tous les jeunes qui veulent s'en sortir, qui veulent réussir et qui font des efforts, on va leur donner une chance supplémentaire", a indiqué Nicolas Sarkozy.

    "L'élève méritant n'est pas seulement celui qui a des bons résultats à l'école, c'est celui qui, face à des difficultés immenses, continue à se battre, qui ne renonce pas, qui ne baisse pas les bras", a-t-il ajouté.

     Reprenant l'un de ses thèmes favoris sur "la République des droits et des devoirs", Nicolas Sarkozy a fait le parallèle entre ces internats et les futurs établissements de réinsertion scolaire (ERS) destinés à accueillir des "jeunes qui empoisonnent la vie des autres".

    "La République, c'est celle qui doit promouvoir celui qui le mérite et qui doit sanctionner celui qui le mérite", a-t-il estimé.

    Après les remous alimentés, jusque dans sa majorité, par son discours sécuritaire musclé de Grenoble, le chef de l'Etat a cherché à nuancer son message en soulignant les mérites des jeunes des quartiers sensibles.

    "Je veux qu'on sorte de ce discours de misérabilisme, de fatalité et de renoncement, qui consiste à assimiler origine, quartier et échec", a demandé Nicolas Sarkozy. "Parce que je vis dans tel quartier, parce que j'ai tel problème social, c'est trop facile de dire "je renonce". Vos parents ne renoncent pas, vous ne renoncez pas, c'est pour ça qu'on vous aide", a-t-il lancé.

    "J'ai dit que je ne laisserai pas les quartiers dériver dans le trafic de drogue, dans le n'importe quoi (...), quand les enfants de ces quartiers sont la fierté de la République, alors on va leur donner plus de chances. L'égalité, c'est pas de donner la même chose à tout le monde, c'est de donner plus à ceux qui ont moins", a conclu le chef de l'Etat.

    AFP. 09/09/10

  • Le banc de méditation

    Le petit banc 06 09 10.JPG

    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Photo Gaëlle Mann - 06.09.10

  • VIDEO Pétition contre le retrait de Louis XIV et Napoléon des programmes d'Histoire à la rentrée 2010

    http://www.youtube.com/watch?v=aSuwmdGnUYI

    08/09/10

     

     

  • A Issou, les gitans ont transformé le parc en décharge géante

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    ACHERES (NOVOpress) – Les centaines de nomades qui faisaient régner la terreur à Issou depuis une semaine sont partis hier… pour s’installer plus loin, à Achères près de Poissy (Yvelines), sur un terrain fréquenté habituellement par un centre hippique. A Issou, les gitans ont laissé le parc du château qu’ils occupaient illégalement dans un triste état, comme à Triel-sur-Seine il y a un an : immondices et excréments laissés en pleine nature, bancs arrachés, grillages défoncés, arbres coupés, éclairage public piraté…

    Cette invasion a suscité beaucoup de haine. Selon Le Parisien, un cocktail Molotov aurait été jeté contre l’une des caravanes du camp, dans la nuit de samedi à dimanche. A qui profite le crime ? Le quotidien note que « de nombreux riverains s’étonnent qu’une personne extérieure ait pu lancer cet engin incendiaire au milieu des caravanes alors que les gens du voyage surveillaient soigneusement les abords de leur campement, notamment avec des chiens ». Aujourd’hui, c’est une nouvelle commune des Yvelines qui doit subir le fléau de quelque 150 caravanes. Plus de doute : certaines populations vivent bien au dessus des lois en France.

    NOVOpress -06/09/10

  • René Galinier: les soutiens se font entendre partout

    Le comité d'entraide aux prisonniers européens (CEPE) était, hier matin, rassemblé devant la maison d'arrêt de Béziers où est incarcéré René Galinier : ce retraité de 73 ans avait fait feu sur deux cambrioleuses roms qui étaient en train de lui voler ses biens. Ces militants exigeaient, hier encore, la libération de René Galinier. Ils entendent organiser d'autres rassemblements pour « sauver le soldat Galinier injustement mis en prison, mais encore obtenir une réforme de la loi sur la légitime défense qui doit passer par la sanctuarisation du domicile ».

    Par ailleurs, le député UMP des Alpes-Maritimes, Lionnel Luca, a communiqué lundi pour défendre la cause de René Galinier : « Sans doute vaut-il mieux être un récidiviste braqueur de casino comme à Uriage, que d'être un retraité de 73 ans, détenu en prison à Béziers depuis un mois pour avoir voulu protéger une vie de travail et peut-être... sa vie. L'argument évoqué de "mettre fin au trouble exceptionnel et persistant de l'ordre public" paraît bien caduc et c'est au contraire son maintien en détention, incompréhensible pour l'opinion comme pour sa famille déjà suffisamment traumatisée, qui va devenir un véritable trouble de l'ordre public. »

    Chantal Macaire, la présidente de Riposte Laïque, a écrit au Président de la République et à la Garde des Sceaux, en comparant deux faits divers survenus dans l'Hérault cet été : l'agression dans un bureau de tabac à Montpellier, où la buraliste est décédée, et la fusillade chez René Galinier où les voleuses présumées ont été grièvement blessées. « Il est scandaleux, à mes yeux et pour bon nombre de Français qui s'expriment sur internet, de constater que, pour un avocat général, le délinquant n'est pas celui qui trouble l'ordre. » À Nissan, le comité de soutien à René Galinier attend le résultat de la prochaine demande de libération pour agir.

    Midi Libre - 08/09/10

     

  • Limoges: un prof de sport passé à tabac par quatre jeunes

    Lundi, un professeur de sport du collège Firmin-Roz à Limoges (Haute-Vienne) a été roué de coups à proximité de son établissement par quatre adolescents d'une quinzaine d'années.

    L'homme, âgé de 60 ans, avait tenté de s'interposer alors que les adolescents étaient en train de molester une élève de 4ème.

     

    A la fin des cours, les jeunes sont revenus et s'en sont pris au professeur, le rouant de coups de pied et de poing.

    L'enquête ouverte par la Sûreté départementale de la police de Limoges pour «violences volontaires en réunion sur personne chargée d'une mission de service public» a permis retrouver rapidement les agresseurs.

    Placés en garde à vue mercredi matin au commissariat de Limoges, ils pourraient être présentés jeudi à un juge des enfants.

    L'état de l'enseignant n'a pas nécessité d'interruption temporaire de travail (ITT). En revanche, des examens complémentaires ont été demandés pour déterminer la gravité des blessures de la jeune fille.

    Dans un témoignage recueilli par le quotidien Le Populaire du Centre, le professeur a dit qu'il «pratiquait la boxe et le full-contact» et qu'il avait préféré «ne pas répliquer» et «encaisser sans réagir». 

    Le Parisien - 08/09/10 

  • Le meurtrier "présumé" travaillait pour les Restos du Coeur

    Alain Penin a été mis en examen pour enlèvement et séquestration en récidive légale, viol avec arme en récidive légale et meurtre précédé d'un viol avec récidive légale. Un mandat de dépôt a été requis par le Parquet. Le tueur présumé a été écroué, alors que la tension est vive autour du tribunal, avec la présence d'une quinzaine de membres de la famille de la victime. (actualisé à 16h30)

     

     Né à Béthune en janvier 1971, Alain Penin avait agressé une joggeuse en 2004. Les faits s'étaient déroulés à Suresnes, dans les Hauts-de-Seine. L'homme avait violé une joggeuse dont le signalement correspond en tout point à celui de Natacha, la jeune Marcquoise de 29 ans dont le corps a été retrouvé dans la nuit de lundi à mardi près de Phalempin.

    Pour ces faits de viol sous la menace d'une arme, Alain Penin avait été condamné en 2006 à dix ans de réclusion criminelle et inscrit au fichier des délinquants sexuels. Incarcéré à Loos, il avait été libéré en septembre 2009 après avoir passé cinq ans (?)derrière les barreaux. Une libération conditionnelle assortie d'un suivi socio-judiciaire dont l'homme a pu bénéficier grâce à sa conduite exemplaire en prison.

    Depuis sa libération, Alain Penin avait été hébergé dans deux foyers de réinsertion situés à Tourcoing. Suivi au quotidien par une association tourquennoise, l'homme semblait être en bonne voie : « Il a toujours respecté les obligations liées à sa liberté conditionnelle. Sa réinsertion professionnelle se déroulait sans problème. Ici, c'est la stupéfaction. On ne comprend pas », explique la directrice de l'association.

    Chauffeur de poids lourd aux Restos du Coeur

    Même son de cloche au foyer où Alain Penin avait emménagé il y a un mois : « Il se comportait très bien, était toujours souriant. Il n'a jamais eu un mot de travers. Je suis écoeuré », confie le responsable de la résidence sociale où Alain Penin a été interpellé lundi en début d'après-midi.

    Mais c'est surtout à la plateforme départementale des Restos du Coeur, à Wattrelos, que la nouvelle en a choqué plus d'un. C'est là-bas qu'Alain Penin travaillait depuis un an en tant que chauffeur de poids lourd et tout laissait penser qu'il avait tourné la page : « C'est quelqu'un qui avait son caractère, qui pouvait parfois être un peu agressif mais on n'a jamais eu de problème avec lui. Quand vous sortez de prison, l'obéissance, ça n'est pas toujours facile. Quand ça n'allait pas, une discussion suffisait pour que tout rentre dans l'ordre », explique Jean-Yves Vasseur, directeur de la plateforme départementale des Restos du Coeur.

    « Il était pleinement réinséré. Il pouvait aller travailler dans n'importe quelle entreprise », poursuit un de ses collègues. Une autre n'arrive pas à concevoir que l'homme avec lequel elle a travaillé pendant un an puisse avoir « commis un tel acte ».

    Mais lundi matin, après avoir entendu parler de la disparition inquiétante d'une joggeuse, tous se sont interrogés lorsqu'Alain Penin s'est rendu à son travail pour ensuite indiquer que s'étant blessé lors de la Braderie, il devait rentrer chez lui. En fin de matinée, l'homme présentait un arrêt de travail pour une blessure au genou. Deux heures plus tard, il était interpellé à son domicile par la police. L'enquête s'attachera à déterminer si cette blessure a un lien avec la mort de la jeune Marcquoise.

    La Voix du Nord - 08/09/10

  • L'Etat pourrait verser 210 millions d'euros à Bernard Tapie...

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    Le Canard Enchaîné affirme mercredi que l'homme d'affaires va recevoir 210 millions d'euros du Trésor public dans le cadre du règlement de l'affaire Adidas. L'intéressé conteste la méthode de calcul.

    Une fois n'est pas coutume, Bernard Tapie risque bien de faire parler de lui dans les prochains jours. Selon Le Canard Enchaîné de cette semaine, l'homme d'affaires s'apprête à recevoir quelque 210 millions d'euros du Trésor public dans le cadre du règlement de l'affaire Adidas.

    Un tribunal arbitral avait condamné en 2008 le Consortium de réalisation (CDR), la structure publique chargée de liquider le passif du Crédit Lyonnais, à verser une indemnité de 285 millions d'euros aux liquidateurs du Groupe Bernard Tapie, dans le cadre de l'affaire de la vente du groupe sportif Adidas. Une fois les intérêts pris en compte, la fiscalité et les créances du CDR, l'ancien homme d'affaires aurait dû toucher entre 20 et 50 millions d'euros, indiquait en juillet 2008 le ministère de l'Economie.

    Selon Le Canard Enchaîné, qui ne cite pas ses sources, c'est en fait 210 millions d'euros que l'Etat va reverser à l'homme d'affaires : 45 millions d'euros pour les époux Tapie au titre du préjudice moral et 165 millions d'euros de dommages et intérêts pour sa société personnelle.

     

    Tapie évoque le chiffre de 55M€

     

    Interrogé par l'AFP, l'entourage de la ministre de l'Economie Christine Lagarde n'a pas souhaité commenter ces chiffres. De son côté, Bernard Tapie n'a pas contesté ce montant mais a souligné que ce calcul «mélangeait les résultats de l'arbitrage et (ses) actifs personnels». Sur les sommes citées, «environ 95 millions d'euros ne sont pas liés à l'arbitrage», mais correspondent, selon lui, au produit de la vente d'actifs lui appartenant et saisis par la justice au cours des procédures. Dans le détail, 75 millions d'euros correspondent à des actions vendues, 20 millions d'euros à d'autres actifs : «Mon bateau, des tableaux, deux-trois maisons, un appartement, une maison à Marrakech». «Il reste au tribunal à trancher sur des créances en suspens qui représenteront de 10 à 15 millions d'euros et sur le solde, il y aura de l'impôt.» Au final, Bernard Tapie assure que dans le cadre de la procédure d'arbitrage, il lui restera effectivement «entre 50 et 55 millions d'euros».

    A l'Assemblée nationale, des documents de la commission des Finances de l'Assemblée permettent d'obtenir une estimation similaire à celle du Canard Enchaîné. «On peut penser que Bercy savait déjà (en juillet 2008) que (20 à 50 millions d'euros) ce n'est pas ce que Bernard Tapie toucherait», estime le député Jean-Pierre Brard (app. PCF). «On peut raisonnablement penser que la différence entre les deux chiffres résulte de la bienveillance des services fiscaux de l'Etat. C'est une bonne manière du gouvernement à l'égard de Bernard Tapie ou un cadeau», ajoute Jean-Pierre Brard avant de s'interroger : «en échange de quoi ?»

    Le Figaro - 08/09/10

  • Affaire de la "capote géante": pour que l'(in)justice ne fasse pas taire les nationaux!

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    Abondamment commentée dans la presse de ces derniers jours, la condamnation d’Alexandre Simonnot – secrétaire départemental FN, conseiller municipal de Taverny (Val d’Oise) – à 10.000 € d’amende réjouit les bien pensants du microcosme politique. Avec pareille sanction financière, c’est une arme de dissuasion massive qui a été utilisée par la justice, dont le message peut ainsi s’interpréter : « Ne vous en prenez pas aux symboles du vivre-ensemble ni à ceux des pseudo-grandes causes nationales imposées par les lobbies, sinon… ».

    Qu’un élu fasse recouvrir un obélisque de sa ville par un préservatif géant – pour la modique somme de 9.000 € pris dans les poches de ses administrés – paraît normal pour les faiseurs d’opinion.
    Qu’un autre élu crève d’un coup de clef cette œuvre obscène, potentiellement choquante pour les enfants de la commune concernée, et le cirque médiatico-judiciaire se met en branle !

    Alexandre Simonnot n’ayant violenté personne, le seul moyen de faire un exemple consistait à infliger une amende suffisante pour « casser les reins » d’un simple citoyen comme lui : les juges n’ont pas hésité à user de cette facilité…

     

    Pendant ce temps, des racailles incendient des bâtiments publics, dégradent des biens communaux ou brûlent le drapeau français en toute impunité. Lorsque ces individus sont interpellés – ce qui est rare –, ils sont le plus souvent condamnés à des peines symboliques (travaux d’intérêt général, versement d’1 euro et autres admonestations solennelles) ; leur jeunesse constitue sans doute une excuse…
    Jeune, Alexandre l’est également, et sera bientôt père : en le contraignant à s’endetter, la justice prend-elle la mesure des répercussions matérielles qui toucheront toute une famille ?

    Afin que les adversaires du Front National comprennent que rien ne saurait nous contraindre au silence, nous devons démontrer notre soutien à « Alex », unique victime de cette affaire :

    - Si chaque fédération accepte de lui envoyer 50 €, son action politique n’en sera que renforcée.

    - Le reste pourra être compensé par les dons individuels des militants : à raison de 10, 20 € ou davantage en fonction de la situation de chacun, nous pouvons espérer permettre à notre ami de poursuivre la lutte politique à nos côtés.

    - Il est bien évidemment pas question de lui payer son amende, ce que la Loi interdit fermement.

    - Chèques à adresser à : Alexandre Simonnot – 1, rue Jean XXIII – 95150 Taverny.

    D'avance, un grand merci aux patriotes.

    NPI - 08/09/10

  • La Mairie PS de Nantes doit indemniser des Roms expulsés

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    Un camp de Roms près de Nantes en août - (Cliquez sur la photo)

    Le tribunal de grande instance a condamné la municipalité pour une opération menée au printemps.

    C'est une affaire qui risque fort de gêner le Parti socialiste dans la campagne qu'il mène contre la politique de Nicolas Sarkozy sur les Roms. La Mairie PS de Nantes a été condamnée lundi à indemniser une trentaine de gens du voyage roumains qu'elle avait expulsés d'un terrain municipal au printemps dernier. L'histoire remonte à avril dernier. À l'époque, les services de Jean-Marc Ayrault, maire PS de Nantes et président du groupe socialiste à l'Assemblée nationale, demande au tribunal de grande instance l'autorisation d'expulser une trentaine de Roms, qui s'étaient installés de manière illégale sur une parcelle de terrain en bordure de l'agglomération.

    Une fois l'ordonnance rendue et la notification faite par l'huissier mandaté par la Mairie, les forces de l'ordre s'étaient rendues sur place pour évacuer le terrain. Mais l'avocate des Roms, Me Sylvie Bourjon, s'est saisie de ce qu'elle considère comme un vice de forme pour contester cette expulsion. Elle a sollicité l'octroi d'une indemnité de 1000 euros au profit de chacun des 29 membres de la communauté.

     

    Nullité des actes en question

     

    Or, le juge de l'exécution, Daniel Castagne, vice-président du tribunal de grande instance de Nantes, connu pour avoir rendu des décisions favorables à la communauté Roms, a condamné la commune de Nantes à payer une indemnité de 300 euros par Roms concernés. Selon lui, en notifiant aux Roms leur expulsion, l'huissier, mandaté par la Mairie, n'a indiqué, en guise de date limite, que la formule «immédiatement et sans délai». «Or, l'article 194 de la loi de juillet 1992 précise qu'une date explicite doit être mentionnée, sous peine de nullité», explique Daniel Castagne.

    Cet article précise en effet que «l'acte d'huissier contient, à peine de nullité (…) l'indication de la date à partir de laquelle les locaux devront être libérés». Me Sylvie Bourjon ajoute que «sans indication spécifique de date, ces gens ont été privés de l'option du départ volontaire». En 2008, l'avocate avait déjà obtenu gain de cause sur une affaire similaire concernant un terrain appartenant au ministère de l'Écologie. Un jugement également rendu à l'époque par Daniel Castagne. L'affaire a été portée en appel et devrait être jugée en octobre.

    Selon Romain Reveau, avocat de la ville de Nantes, «c'est absurde, car tout d'abord, c'est au tribunal dans l'ordonnance d'expulsion de préciser le délai bien entendu et l'ordonnance mentionnait un départ immédiat des Roms, formule qu'a reprise l'huissier!». La Mairie a décidé de faire appel de cette décision.

     

    Scolarisation des enfants

     

    Mais il y a plus: selon cet avocat, l'article de loi sur lequel s'est fondé le juge nantais concerne des locaux d'habitation et non des terrains.

    «D'ailleurs, la cour d'appel de Rennes a déjà infirmé une décision de Daniel Castagne reposant sur le même argumentaire», poursuit Damien Reveaux. Ce juge a en effet rendu plusieurs décisions concernant notamment des sursis à exécution de décision d'expulsion.

    Reste qu'il est un fait avéré, dans cette affaire: la Ville de Nantes, représentée par son maire Jean-Marc Ayrault, a bien demandé l'expulsion de ces Roms au printemps dernier. L'avocat de la Ville confie au Figaro que «la politique d'intégration de la Ville de Nantes, notamment de scolarisation des enfants Roms, a attiré beaucoup de membres de la communauté des Roms». Or, poursuit-il, «cette politique a une limite matérielle». De son côté, Philippe Barbo, du collectif Romeurope, indique que, si la Ville de Nantes montrait il y a peu une volonté d'intégrer les Roms, elle a depuis peu durci sa politique.

    À la Mairie, on voulait insister mardi sur la démarche d'intégration des Roms menée par la Ville. «Depuis 2005, au total plus de 1500 Roms ont été accueillis par la Ville, qui a mis en place trois aires d'accueil», explique-t-on. Elle a notamment signé avec 50 familles, soit 200 personnes, un contrat d'insertion comprenant la scolarisation des enfants, l'alphabétisation et la recherche d'emplois. Reste que, depuis 2008, la Ville admet avoir reçu beaucoup de Roms… «Le maire a toujours été clair, ajoute-t-on dans l'entourage de Jean-Marc Ayrault. Toute occupation illégale sera suivie d'une demande d'ordonnance d'expulsion.»

    Le Figaro - 08/09/10

     

     

     

  • AUDIO "Je savais qu'il recommencerait"

    http://www.dailymotion.com/video/xeqczw_quot-je-savais-qu-il-recommencerai_news

    Témoignage Europe1 - Caroline, la première victime de l'assassin présumé de la joggeuse retrouvée morte lundi témoigne. Pour elle, il était clair qu'il allait recommencer.

    08/09/10

  • Joggeuse tuée: le suspect mis en examen et écroué pour viol et meurtre

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    Alain Penin, chauffeur-livreur, 39 ans  - (Cliquez sur la photo)

    Il est en état de récidive légale pour les faits d'enlèvement, séquestration et viol avec arme.

    Le meurtrier présumé, qui se trouvait en libération conditionnelle depuis un an au moment des faits, après une condamnation pour viol en 2006, encourt la réclusion criminelle à perpétuité.

    Il est soupçonné d'avoir violé et tué jeudi une jeune femme de 29 ans, Natacha Mougel, cadre dans l'enseigne de magasins de sports Décathlon, alors qu'elle faisait un jogging à Marcq-en-Baroeul (Nord), ville résidentielle de la banlieue lilloise.

    Son corps a été retrouvé dans la nuit de lundi à mardi sur un chemin près de la forêt de Phalempin, à une vingtaine de kilomètres du lieu de l'enlèvement, sur les indications du suspect.

    L'homme mis en examen, qui a reconnu les faits, avait été condamné le 21 février 2006 par les assises des Hauts-de-Seine à 10 ans de réclusion criminelle pour le viol d'une joggeuse sous la menace d'une arme.

    Alors qu'il parlait à la presse devant le palais de justice, l'avocat du meurtrier présumé, Me Abderrahmane Hammouch, a été pris à partie verbalement par l'oncle de la victime, qui l'a accusé d'être "l'avocat du diable". "Refusez le dossier si vous êtes un homme", lui a-t-il lancé.

    Selon l'avocat, le mis en examen "se décrit lui-même comme quelqu'un de malade" et "qui veut être soigné". "On arrive à la limite de la psychiatrie", a-t-il poursuivi.

    "Je ne pense pas que ce soit le procès de la libération conditionnelle", a-t-il ajouté, ajoutant que son client aurait dû de toute manière "sortir à un moment ou à un autre".

    En milieu de journée, alors que le suspect était en cours de défèrement, une dizaine de proches de la victime, faisant part de leur sentiment d'injustice, se sont rassemblés devant le tribunal de Lille, tenant quatre banderolles avec l'inscription "Drame de Natacha, plus jamais ça".

    L'une de ses amies, prénommée Louise (qui n'a pas souhaité donner son patronyme), a estimé que le meutrier présumé, qu'elle a comparé à un "caméléon", avait réussi "à manipuler les psychiatres, à berner tout le monde".

    Selon le quotidien Nord Eclair, le meurtrier présumé s'était inscrit sur une dizaine de sites internet de rencontres, sous le pseudonyme "coluche59200".

    AFP. 08/09/10

  • Iran: Sakineh n'a pas été fouettée, selon la justice, et la condamnation à mort est suspendue

    Vahid Kazemzadeh, un responsable de la commission des droits de l'Homme islamique -qui dépend du chef de l'Autorité judiciaire-, a indiqué avoir rencontré mercredi Mme Mohammadi-Ashtiani à la prison de Tabriz (nord-ouest de l'Iran) en présence de "membres du groupe de défense des droits des prisonniers", selon Fars.

    Selon M. Kazemzadeh, cité par Fars, elle a nié "tout mauvais traitement et torture" et "s'est déclarée surprise par la publication d'informations" selon lesquelles elle avait reçu "des coups de fouet après la publication dans un journal britannique d'une photo qui n'était pas" la sienne.

    Le fils de Mme Mohammadi-Ashtiani, Sajjad, avait déclaré par téléphone lors d'une conférence de presse le 6 septembre à Paris avoir "appris" que sa mère avait reçu 99 coups de fouet après la publication le 28 août par le quotidien britannique The Times d'une photo d'une femme sans foulard censée la représenter. Cette photo était fausse et le journal a dû s'excuser.

    M. Kazemzadeh a également affirmé que Mme Mohammadi-Ashtiani avait porté plainte fin juillet contre son avocat, Me Mohammad Mostafaie, qui s'est enfui d'Iran. Selon lui, elle a indiqué n'avoir "jamais rencontré M. Mostafaie qui publié sans son consentement des informations la déshonorant".

    Toujours selon M. Kazemzadeh, la condamnée aurait "seulement signé une procuration par l'intermédiaire d'une femme et M. Mostafaie a quitté l'Iran après avoir touché 20 millions de rials" (près de 1.500 euros).

    Selon la même source, Mme Mohammadi Ashtiani a démenti être privée de toute visite. "Elle a affirmé qu'elle rencontrait toutes les semaines sa famille et ses enfants Farideh et Sajjad", a déclaré M. Kazemzadeh.

    Il a enfin réaffirmé que "la peine de mort avait été suspendue sur ordre du chef de l'autorité judiciaire et ne sera pas appliquée pour le moment", ainsi que l'ont répété à plusieurs reprises différents responsables iraniens depuis juillet.

    Mme Mohammadi-Ashtiani, mère de famille de 43 ans, a été condamnée en 2006 à 10 ans de prison pour participation au meurtre de son mari avec l'un de ses amants, et à la lapidation pour plusieurs adultères, selon les autorités iraniennes.

    AFP. 08/09/10

  • Sakineh: le Quai d'Orsay doute de la sincérité de Dieudonné

    Nous accueillons favorablement tous les efforts de la société civile en faveur de la libération de cette femme iranienne condamnée à mort par lapidation", a déclaré lors d'un point-presse le porte-parole du Quai d'Orsay, Bernard Valero. "En l'espèce, nous doutons de la sincérité de la démarche" de Dieudonné M'Bala M'Bala, a-t-il ajouté.

    Interrogé pour savoir si l'humoriste disposerait du concours de l'ambassade de France, le porte-parole a répondu: "Cette personne n'est nullement mandatée par les autorités françaises pour ce déplacement, il n'y a donc pas de raison que notre mission diplomatique lui apporte une assistance, autre que, si elle s'avérait nécessaire, la protection consulaire assurée à chacun de nos ressortissants français à l'étranger".

    Dieudonné, qui entretient des liens avec le président iranien dont il partage l'antisionisme, a affirmé mardi à la presse vouloir demander à Mahmoud Ahmadinejad la "clémence" pour Sakineh, 43 ans, condamnée à mort par lapidation en 2006 pour adultère et complicité dans le meurtre de son mari.

    Fondateur d'un "parti antisioniste" et plusieurs fois condamné en France pour antisémitisme, il avait rencontré en novembre 2009 à Téhéran le président iranien.

    AFP. 08/09/10

  • Une justice idéologique, une justice anti-nationale - Editorial de Christian Bouchet

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    Dans un communiqué en date du 6 septembre dernier, Marine Le Pen, vice-présidente exécutive du Front national a, avec justesse, dénoncé la libération de Monsif Ghabbour, un des deux braqueurs présumés du casino d’Uriage-les-Bains, qui est un délinquant récidiviste, mis en examen pour vol à main armée et tentative d’homicide volontaire contre des policiers.

    Elle a mis ce fait en regard avec le maintien en détention de René Galinier, un septuagénaire gravement malade, qui n’a fait que chercher à se défendre lors d’un cambriolage.

    Marine Le Pen relève que « cette forfaiture judiciaire illustre l’irresponsabilité de certains magistrats guidés par des motivations politiques et témoigne d’une justice partisane qui se montre impitoyable envers certains citoyens et indulgente avec les criminels. »

    On ne peut cerner plus clairement le problème et une bonne part de la criminalité que nous subissons est étroitement corrélée tant au sentiment d’impunité dont bénéficient les délinquants qu’à l’impression, qu’ils peuvent même avoir, que les juges sont de leur côté. C’est ce qu’a récemment résumé Patrice Ribeiro, secrétaire général de Synergie, le second syndicat d’officiers de police, en déclarant que « La clé des problèmes de sécurité dans notre pays, c’est l’absence de réponse pénale », avant d’ajouter que « certains magistrats trahissent la mission dont ils sont investis et sabotent systématiquement le travail des policiers».

    J’ai eu un exemple de ce comportement des juges pas plus tard qu’hier, dans ma bonne ville de Nantes. Il s’est en effet trouvé un magistrat du tribunal de grande instance pour condamner notre municipalité à indemniser 29 romanichels qui avaient été expulsés en avril dernier d’un terrain communal. Pour quelle raison cette manne financière leur a-t-elle été accordée ? Parce que « le commandement d’avoir à quitter les lieux » qui leur avait été signifié portait la mention « immédiatement » et non pas une date définie précisément !

    A Nantes toujours, les quotidiens locaux ont révélé que près de 75 % des étrangers clandestins interpellés ne sont pas reconduits aux frontières mais libérés après une courte garde à vue. Pourquoi ? Parce qu’invoquant des défauts de procédure, qu’en temps habituel ils se gardent bien de relever, les juges nantais annulent, dans un premier temps, au moins 50 % des interpellations. Ensuite, c’est à la procédure de reconduite à la frontière qu’ils s’attaquent avec le même brio en en annulant encore environ 1/3 !

    Et encore n’est-on là que sur des faits sans réelle gravité. Mais quand les choses se corsent les juges agissent de même et font preuve d’un laxisme qu’on peut alors réellement qualifier de criminel.

    Quelques exemples relevés dans les médias ces dernières semaines montrent qu’il s’agit bien d’une tendance générale :

    - le 11 août, à Lomme, agression gratuite dans un bowling d’un père de famille, David X., par un certain Youssef H., 22 ans. Celui-ci, jugé en comparution immédiate n’est condamné qu’à six mois de prison avec sursis

    - 12 août, à Perpignan, trois jeunes, âgés d’une vingtaine d’années, qui avaient roué de coups un policier doivent répondre d’outrage, rébellion et violences volontaires sur personnes dépositaires de l’autorité publique. Ils sont condamnés à … un mois de prison !

    - le 16 août, à Amiens, relaxe d’un voyou ayant caillassé des policiers de la BAC.

    - 27 août, deux « jeunes » de 19 ans et 23 ans sont condamnés à huit mois de prison avec sursis par le tribunal de Bobigny, pour violences volontaires aggravées en réunion. Ils avaient agressé un policier à Epinay-sur-Seine et l’avaient traîné sur plusieurs mètres avec leur voiture…

    - 29 août, un homme attaque les gendarmes d’Esbly avec une barre à mine. Il est neutralisé et incarcéré. Un juge le fait libérer et décide qu’il ne sera pas jugé mais fera l’objet d’une composition pénale (donc sa sanction sera soit une amende, soit des TIG).

    - 2 septembre, le tribunal correctionnel de Pontoise condamne cinq hommes, tous d’origine étrangère, accusés d’enlèvement, de séquestration, de violences volontaires et de vol en réunion, à des peines allant de six mois à deux ans de prison, dont une partie assortie du sursis.

    Par contre, et c’est là que l’on perçoit encore mieux l’idéologie anti-nationale qui meut ces juges, les militants nationaux sont dans le même temps, quand ils ont affaire à la justice, lourdement condamnés. Ainsi, durant la même période deux membres du FN qui n’ont fait que se défendre lors d’un collage d’affiche se voient infliger 12 mois de prison ferme assortis d’un sursis de 6 mois pour l’un et 8 mois de prison ferme assortis d’un sursis de 4 mois pour l’autre, tandis qu’un adolescent Vitry-en-Artois qui tenait un blog est condamné à trois mois de prison ferme pour avoir sur celui-ci exprimé en des termes trop vifs son hostilité à l’invasion de son pays…

    J’allais conclure quand j’apprends qu’Alexandre Simonnot, un dynamique militant d’Île-de-France du Front national vient d’être condamné à 10.000€ d amende pour avoir percé avec sa clef de voiture un préservatif géant, qui défigurait la ville où il réside.

    Le même jour, et cela justifie tout ce que je viens d’écrire ci-dessus deux jeunes n’ont été condamnés quant à eux qu’à 1€ d amende pour avoir brûlé le drapeau français et accroché un drapeau algérien a la place, au fronton d'une mairie d'une des plus importantes villes de France !

    Christian Bouchet

    VOXNR  07/09/10

  • Mettre fin à la dictature des juges

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    Communiqué de Marine Le Pen, vice-présidente du Front National

     

    La terrible affaire de Marcq-en–Baroeul vient tragiquement illustrer les méfaits de la culture de l’excuse liée au pouvoir exorbitant de juges irresponsables.

    Avant son élection, Nicolas Sarkozy avait promis de s’attaquer au pouvoir des juges sans autre légitimité que la petite réussite à un concours administratif et la protection déplacée d’un esprit de corps hypertrophié.

    Les juges contre le peuple

    Comme sous l’Ancien régime avec le blocage des Parlements, toute réforme est empêchée par une corporation syndicalisée et idéologisée qui de plus en plus se substitue au pouvoir légitime pour appliquer sa propre morale et refabriquer la loi. En République, aucun pouvoir ne peut être supérieur à celui du peuple pas même la caste des magistrats.
    Combien faudra-t-il de morts pour que ces magistrats irresponsables comprennent que leur rôle consiste à appliquer les lois pour protéger les honnêtes gens et pas pour permettre aux prédateurs de tout poil de commettre leurs exactions en toute liberté.

    Mettre fin à l’irresponsabilité

    Marine Le Pen, vice-présidente du Front National, demande que soit enfin appliquée la promesse non tenue de Nicolas Sarkozy d’autoriser la mise en cause de la responsabilité personnelle des magistrats coupables d’erreurs d’appréciation aboutissant à des drames.

    Tout comme les Trésoriers-payeurs généraux sont responsables de leurs actes administratifs dans le domaine du recouvrement, il serait tout à fait normal que les magistrats qui sont si prompts à matraquer les citoyens pour de simples imprudences et si empressés à laisser en liberté les assassins, soient professionnellement et même civilement responsables de leurs décisions.

    NPI - 07/09/10

     

     

  • Perquisition dans les locaux de l'hébergeur de WikiLeaks

    La police suédoise a perquisitionné aujourd'hui les locaux de l'hébergeur suédois PRQ, en Suède, indique lemonde.fr. Cet "hébergeur militant", qui défend une conception radicale de la liberté d'expression, héberge notamment les serveurs du site de téléchargement The Pirate Bay ou de sites faisant l'apologie de la pédophilie, précise le site Internet.

    C'est également l'hébergeur de WikiLeaks, le site spécialisé dans la publication de documents confidentiels qui a rendu publics cet été des dizaines de milliers de rapports de l'armée américaine en Afghanistan.

    Le Figaro - 07/09/10

  • Vladimir Poutine défend sa façon de gouverner

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    (Cliquez sur la photo pour l'agrandir)

    Pour le premier ministre russe, «le meilleur indicateur de résultat est le sentiment populaire». 

    De notre envoyé spécial à Moscou et Sotchi

    Vladimir Poutine n'a pas d'états d'âme. Il est convaincu que sa façon de gouverner est la bonne. «Les gens veulent que leurs dirigeants résolvent les problèmes ; ils ne se préoccupent pas de la méthode», a-t-il dit lundi aux membres du club de Valdaï, qui, chaque année depuis 2004, réunit des spécialistes de la Russie venus de Moscou et de l'étranger.

    Dans un ancien sanatorium transformé en hôtel de luxe, le premier ministre apparaissait très détendu, après un parcours de plusieurs milliers de kilomètres à travers le pays au volant d'une Lada jaune. «Le meilleur indicateur de résultat est dans le sentiment populaire», a poursuivi Vladimir Poutine, en relevant que la natalité s'était remise à croître et la mortalité à baisser pour la première fois depuis la chute du communisme. «Le socialisme a versé du poison dans l'âme russe, mais chaque Russe croit de nouveau dans son pays. C'est une source de stabilité».

    Vladimir Poutine a refusé de préciser ses intentions quant à une candidature éventuelle à la présidentielle de 2012, rappelant néanmoins l'exemple de Franklin Delano Roosevelt, qui avait effectué quatre mandats successifs lorsque cela était encore permis par la Constitution américaine. «Ni moi ni Medvedev ne ferons jamais rien de contraire à la loi fondamentale», a-t-il dit, avant de souligner que le moment n'était pas encore venu de se déclarer. La loi russe l'avait empêché, en 2008, de briguer un troisième mandat consécutif, mais l'autorise à se représenter au terme de la présidence de Dmitri Medvedev.

     

    «Rattraper le temps perdu» 

     

    Le premier ministre a d'ailleurs insisté sur son entente parfaite avec le président, suggérant que la décision serait prise d'un commun accord. Il a appuyé les positions de Dmitri Medvedev, notamment sur la «modernisation» du pays.

    Ce mot d'ordre de la politique étrangère et économique du pays fut lancé par Medvedev il y a un an. L'objectif pour le pays est de s'aligner sur les grandes économies mondiales en cessant de dépendre aussi largement de l'exploitation de ses ressources naturelles. Beaucoup s'interrogent pourtant sur la capacité du pays à conduire une modernisation décrétée en haut lieu et qui serait imposée à la société. La centralisation économique à laquelle Vladimir Poutine a procédé pour reprendre le contrôle du pays après les désordres de l'époque Eltsine peut être un levier dans des secteurs comme celui de l'énergie ou de la grande industrie, mais permettra-t-elle à l'innovation de se propager à l'ensemble de l'économie ? La question est loin d'avoir été tranchée. Elle sert d'arrière-plan à la rivalité que l'on prête au président, résolument modernisateur, et au premier ministre, réputé proche des intérêts des grands groupes de l'énergie et de l'industrie.

    En diplomatie, l'ambiguïté se dissipe. Un haut responsable de la politique étrangère du Kremlin a ainsi accueilli les membres du club Valdaï en soulignant que l'attitude de la Russie dans le monde était dictée avant tout par sa volonté de se moderniser et de tirer les bénéfices de la mondialisation. «Dans le débat euro-atlantique, nous avons aujourd'hui l'opportunité historique, a-t-il dit, de rattraper le temps perdu après la guerre froide.»

    Avec une croissance attendue de l'ordre de 4,5 à 5 % cette année, la Russie s'est très bien sortie de la crise. Elle aborde avec une plus grande sérénité ses relations avec le reste du monde et entend les rééquilibrer.

    Vladimir Poutine s'est dit confiant sur le «reset», la «remise en route», des relations engagé avec l'Administration Obama. «Je suis sûr qu'Obama est sincère quand il parle de nouvelles relations avec la Russie. Nous avons la même vision des choses», a-t-il dit. Interrogé sur son style personnel de gouvernement, Poutine s'est comparé au président, dressant un parallèle entre sa gestion des incendies du mois d'août et celle de la marée noire dans le golfe du Mexique par Barack Obama.

    Le Figaro - 07/09/10