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  • AIDES épinglée sur sa gestion... SIDA... hic!

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    Des dirigeants largement avantagés et des dons mal réinvestis. Les conclusions de l’étude confidentielle du cabinet Sécafi révélée ce jeudi par Le Parisien ont fait l’effet d’une bombe à Aides, dont les responsables n’ont pas tardé à réagir. Dans un communiqué publié ce mardi en fin de matinée, ils se disent «choqués et abasourdis», évoquant un «simulacre de scoop».Cette «publication est coup très dur porté à tous nos militants et à la lutte contre le sida toute entière».

    Selon l’article du Parisien, la gestion économique de l’association laisserait à désirer. Ainsi, seuls 60,3% des 22,2 millions d’euros perçus en 2009 ont servi à financer des missions locales, comme des actions de prévention, de soutien ou encore de distribution de préservatifs. Un chiffre lié au «coût de fonctionnement» de l’association, présente dans 70 villes en France, selon Christian Andréo, directeur des actions nationales à Aides, contacté par 20minutes.fr.

    Les avantages des dirigeants déjà connus

    L’étude publiée s’interroge aussi sur les raisons qui ont amené à octroyer un logement de fonction jusqu’en 2010 à Christian Saout qui fut président d’Aides de 1999 à... 2007. Ce dernier, désormais président d’honneur, serait encore payé 110.000 euros par an, remboursés par le Conseil d’Etat. «C’est le montage qui a été validé par la direction générale de la Santé, au titre de sa mise à disposition», explique Christian Andréo. Quant au logement de fonction, «cela nous a permis d’économiser des dizaines de milliers d’euros en nuits d’hôtel», se défend-il. 

    Le Parisien assure également que le salaire du directeur général Vincent Pelletier a bondi de 17% entre 2007 et 2009 pour atteindre 9.500 euros par mois. Enfin, si sa paye n’augmente pas, il toucherait une prime.

    «Le mal est fait»

    Selon l’étude, tout cela n’arrangerait pas les affaires internes de l’association, déjà mises à mal avec la démission de la secrétaire du comité central d’entreprise en 2010. «On ne va pas le nier», avoue Christian Andréo. «Des dissensions, il y en a mais comme dans tout le secteur associatif en ce moment. Nous ne sommes pas une exception à la règle». Le cabinet Sécafi évoque aussi un «éventuel malaise au travail». «Nous avons mis en ligne un rapport d’un cabinet externe sur les conditions de travail à Aides, répond le directeur des actions nationales. On obtient près de 80% de satisfaction.»

    Pour Aides, «le mal est fait». Ses responsables regrettent que la rédaction ne les ait contacté que lundi après-midi soit la veille de la publication. L’association se dit ainsi «profondément indignée, meurtrie par ces allégations détournées, mensongères, et étudie à présent toutes les voies possibles, y compris légales, pour contester point par point les éléments de cette prétendue enquête».

    20minutes.fr - 25/01/11

  • Le Sénat adopte un texte réduisant les peines pour les malades mentaux

    Le Sénat a adopté mardi à l'unanimité et contre l'avis du gouvernement une proposition de loi émanant à la fois de la gauche et de la droite qui vise à diminuer les peines infligées aux délinquants souffrant de troubles mentaux.

    Présenté par Jean-René Lecerf (UMP), Gilbert Barbier (RDSE, à majorité radicaux de gauche) et Christiane Demontès (PS), ce texte "relatif à l'atténuation de responsabilité pénale applicable aux personnes atteintes d'un trouble mental ayant altéré leur discernement au moment des faits", réduit d'un tiers la peine privative de liberté pour les délinquants souffrant de troubles mentaux.

    En contrepartie, il propose de conditionner d'éventuelles réductions de peines à une obligation de soins et prévoit la possibilité de recourir à celle-ci après la libération.

    Selon les estimations établies par un rapport du Sénat, "près de 10 % des détenus souffriraient de pathologies psychiatriques d'une telle gravité que, pour ces personnes, la peine ne peut avoir aucun sens".

    Cette proposition de loi prend à contre-pied la politique sécuritaire du gouvernement.

    Plusieurs faits divers ont amené le président Nicolas Sarkozy à envisager l'organisation de procès pour les criminels même irresponsables pénalement. En décembre 2008, peu après le meurtre d'un étudiant par un patient échappé d'un hôpital à Grenoble, Nicolas Sarkozy avait annoncé une réforme de l'hospitalisation d'office, présentée en Conseil des ministres le 5 mai 2010.
    AFP. 25/01/11
  • Shoah: la SNCF bat sa coulpe

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    Veil et Pepy le 25 janvier 2011 à Bobigny

    En cédant à la ville de Bobigny un terrain de la gare de marchandises d'où sont partis vers le camp d'extermination d'Auschwitz, en 1943 et 1944, 21 convois transportant 22.407 personnes internées dans le camp voisin de Drancy, M. Pepy a évoqué les responsabilités de son entreprise, en présence de Simone Veil, présidente d'honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah.

    Parlant de "moments terribles, des moments funestes", M. Pepy a souligné "la nécessité de regarder ce passé en face, le connaître, le comprendre, en perpétuer la mémoire, en tirer une leçon de vie".

    La SNCF, qui a transporté les 76.000 juifs de France vers les camps d'extermination entre 1942 et 1944, était "réquisitionnée", "soumis(e) à l'effort de guerre nazi", a-t-il rappelé.

    "L'indicible et l'effroyable, tapis au bout des voies de chemin de fer, étaient présents en ces jours de malheur où la SNCF fut contrainte de se soumettre", a insisté M Pepy.

    "Contrainte, certes, notre entreprise a acheminé ces trains jusqu'à la frontière. Elle l'a fait", a-t-il reconnu.

    "La SNCF, entreprise d'Etat, a été --contrainte, réquisitionnée--, un rouage de la machine nazie d'extermination. Nous ne l'oublierons pas."

    Une fois de plus, il a repris à son compte les mots du président français Jacques Chirac prononcés en juillet 1995, lors des commémorations de la Rafle du Vel' d'Hiv': "Ces heures noires souillent à jamais notre histoire, et sont une injure à notre passé et à nos traditions. Oui, la folie criminelle de l'occupant a été secondée par des Français, par l'Etat français".

    "Je veux dire la profonde douleur et les regrets de la SNCF pour les conséquences des actes de la SNCF de l'époque. En son nom, je m'incline devant les victimes, les survivants et les enfants de déportés et devant la souffrance qui vit encore", a souligné M. Pepy.

    "En ces jours de malheur, notre entreprise avait tous les visages de la France", a encore relevé le patron de la SNCF, rappelant que "les cheminots résistants ont été l'honneur de l'entreprise et de la France".

    Quelque 2.000 cheminots ont été fusillés ou sont morts en déportation, et "une démarche de mémoire" va être lancée "pour connaître qui ils étaient, ce qu'était leur vie, ce qu'ont été leurs actes de courage et de résistance", a-t-il indiqué.

    "C'est une démarche sincère, profonde", a indiqué M. Pepy, rappelant que l'entreprise publique avait ouvert ses archives depuis la fin des années 1990, fait travailler des chercheurs sur le sujet et organisé un grand colloque sur la question dès 2000.

    Selon lui, cette démarche n'a donc "aucun rapport" avec l'intérêt de la SNCF pour la grande vitesse aux Etats-Unis, où des élus ont cherché à lier d'éventuels contrats à sa repentance pour son rôle dans l'Holocauste.

    "Je vous fais confiance, pour qu'on sache ce qui s'est passé", a déclaré Simone Veil.

    Se disant "particulièrement heureuse" et très émue", elle a relevé que la SNCF "n'a pas toujours été parfaite", mais souligné que le plus important était de diffuser la mémoire des faits.

    Longtemps occupée par un ferrailleur, la gare désaffectée de la ligne de grande ceinture a failli être démolie dans les années 1980. Elle a été classée en 2005.

    AFP. 25/01/11

  • Traiter les Blancs de souchiens/sous-chiens est enfin jugé outrageant!

    PARIS (NOVOpress) –Trois ans et demi après le jeu de mot raciste anti-blanc d’Houria Bouteldja dans une émission télévisée du 21/6/2007, l’AGRIF, qui avait porté plainte, obtient une déclaration de la justice disant que c’est outrageant pour les blancs.
    Un communiqué de l’AGRIF indique :

    « Par décision en date du 18/01/2011, le Procureur de la République de Toulouse a formulé un réquisitoire définitif de renvoi devant le Tribunal correctionnel à l’égard d’Houria Bouteldja.
    Le Procureur a retenu que le fait de qualifier de « souchiens » les Blancs et les Français de souche constituait bien « une expression outrageante, un terme de mépris ou une invective injuriant les Blancs représentés par l’AGRIF en raison de leur appartenance à une race. »
    L’AGRIF attend maintenant avec confiance la date prochaine de la fixation du procès. »

    Houria Bouteldja, porte-parole du Mouvement des Indigènes de la République, dans l’émission « Ce soir (ou jamais !) » de Frédéric Taddeï du 21/06/2007, avait déclaré qu’il fallait rééduquer le reste de la société, la société occidentale, « ce que l’on appelle nous, les souchiens [ou sous-chiens ?], puisqu’il faut bien leur donner un nom, les Blancs. »

    Un beau jeu de mots raciste antiblanc à l’aide d’un néologisme d’Houria Bouteldja : « souchiens » sur la base de « de souche ». Sa déclaration a rendu le terme souchiens relativement célèbre !
    Dans sa phrase Houria Bouteldja précise qu’il ne s’agit pas en fait des Français « de souche » mais des Blancs en général. Elle précise également que c’est le terme qui est utilisé habituellement par elle et ses amis des « Indigènes de la république » ; ce n’est donc pas un lapsus.

    Pendant l’émission personne n’a réagi à cette insulte raciste. Il y avait pourtant du monde, Frédéric Mitterrand, François Rollin, Edgar Morin, Fernando Arrabal, Caroline Fourest, Abd Al Malik, J-J Beineix, etc. Les jours suivants, dans les grands médias, très peu de réactions.

    Imaginons le tintamarre qu’il y aurait eu sur le plateau et dans les grands médias, si un européen avait parlé ainsi des « arabes » ou des « noirs » par exemple. Et ce qu’il se serait passé si un européen avait désigné ainsi les « arabes » sur une grande chaîne de télévision d’un pays du Maghreb ou les « noirs » dans un pays d’Afrique subsaharienne !

    Cette absence de réactions n’a rien d’étonnant, ce n’était que des Blancs qui étaient insultés !

    NOVOPRESS - 21/01/11

  • Laëtitia: le viol n'est plus retenu

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    L'émotion et la colère étreignaient les proches de Laetitia, 18 ans, disparue le 19 janvier à Pornic, qui ont organisé lundi après-midi une marche silencieuse avec fleurs et photos, au pied du pont de Saint-Nazaire.

    En fin de journée, le parquet de Nantes a annoncé que le fait de "viol", retenu dans l'information judiciaire ouverte samedi à l'encontre du principal suspect Tony Meilhon, n'avait pas été conservé pour sa mise en examen par le juge d'instruction. M. Meilhon est mis en examen pour "enlèvement suivi de mort", a-t-il dit.

    Le corps de la jeune fille n'a toujours pas été retrouvé au sixième jour de recherches qui se "poursuivent toujours activement", a souligné le parquet qui a démenti l'existence d'une nouvelle garde à vue.

    En début d'après-midi, plus de 300 personnes ont défilé en silence derrière une banderole proclamant "familles et proches en colère". La famille d'accueil de Laetitia, sa soeur jumelle Jessica, ainsi que leur père biologique et un oncle paternel étaient présents, tous émus et révoltés.

    Certains tenaient des roses. Sur deux grands panneaux en carton, les amis de Laetitia et de sa soeur avaient collé des photos de la disparue avec des interrogations: "Laetitia, on t'aime, où es-tu?", "On t'aime, reviens-nous".

    Le père de la famille d'accueil de Laetitia, Gilles Patron a reconnu qu'il n'avait plus d'espoir de la revoir vivante. "C'est une mare de sang qu'il y avait dans le coffre de la voiture" de Tony Meilhon, a-t-il dit.

    Il s'est dit prêt à recevoir Nicolas Sarkozy, en visite à Saint-Nazaire mardi, pour lui expliquer sa révolte. "J'ai dit que j'étais pour la peine de mort parce que la perpétuité n'existe pas vraiment", a-t-il ajouté.

    Sa femme Michèle est aussi en colère: "Je ne suis pas pour la peine de mort mais pour la perpétuité dans son vrai sens: qu'ils ressortent les pieds devant" de la prison.

    La soeur jumelle de Laetitia, Jessica, une brune aux cheveux courts, en larmes, très éprouvée, était réconfortée par ses proches et ses amis.

    Tony Meilhon, 31 ans, principal suspect, a été interpellé jeudi dans une maison au lieu dit "Casse-Pot" à Arthon-en-Retz, à une quarantaine de kilomètres au sud-ouest de Nantes.

    Les enquêteurs recherchent des preuves matérielles car Tony Meilhon "conteste les accusations portées contre lui", invoquant un accident de la circulation mortel, selon le parquet de Nantes.

    Laetitia a quitté son travail mardi à 22H00 à l'hôtel-restaurant de la Bernerie-en-Retz puis a été vue en compagnie de Tony Meilhon dans la soirée. Au petit matin, sa soeur jumelle a donné l'alerte en découvrant son scooter, couché, à quelques dizaines de mètres de leur maison.

    Evoquant le passé judiciaire du suspect, le procureur a précisé lundi que son casier "porte trace de 13 condamnations dont une seule relative à des faits de viol et agression sexuelle commis les 4 et 5 juillet 1997, alors qu'il était mineur (et détenu)".

    Condamné en 2001 à 5 ans de prison dont un avec sursis pour ce viol, il devait chaque année signaler son adresse du fait de son inscription au FIJAIS (fichier judiciaire national automatisé des auteurs d'infraction sexuelle ou violente). "A sa sortie de prison, le 24 février 2010, M. Meilhon avait élu "domicile postal" au centre communal d'action sociale de Nantes", explique le procureur et au moment des faits imputés, il "était sans adresse connue".

    Pour cette raison, "il était recherché depuis l'automne 2010 par les services de police de Nantes et inscrit au fichier national des personnes recherchées (FPR) par le parquet de Nantes depuis le 4 janvier 2011".

    MSN - 24/01/11

    Comment le juge sait-il que Laëtitia n'a pas été violée?

  • "Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers"

    Savez-vous que l’on vit plus vieux en Algérie que partout ailleurs dans le monde ? 
    C’est l’intéressante découverte faite par la Cour des comptes qui, en épluchant les comptes de la CNAV (caisse nationale d’assurances vieillesse), l’organisme qui paye les retraites a constaté que le nombre de retraités centenaires algériens était particulièrement important.
    Il était même supérieur au total des centenaires recensés par l’état-civil en Algérie. 

    Rolande Ruellan, présidente de la 6e chambre de la Cour des comptes qui a présenté le 9 juillet dernier un rapport sur la fraude sociale devant une commission parlementaire reconnaît le problème :
    « Il y a des retraités qui ne meurent plus dans les pays étrangers »
    dit-elle, insistant, en particulier, sur le nombre de retraités centenaires algériens. 

    Pourquoi ? Comment ? C’est ce qu’a tenté de savoir la commission.
    « Il suffit de ne pas déclarer à la caisse de retraite le décès de l’ayant-droit » précise la magistrate. « Mais il n’y a pas de contrôle ? » s’étonne un membre de la commission.

    « En Algérie, nous n’en avons pas les moyens.
    Il faudrait mettre des contrôleurs itinérants dans tous les pays.
    Ce n’est pas évident ! » , souligne-t-elle.
    C’est ainsi que certains Algériens bi-nationaux, ayant travaillé en France deviennent immortels à partir du moment où ils se retirent en Algérie pour leur retraite...
    Ce sont leurs enfants, voire leurs petits-enfants qui continuent à percevoir la pension de retraite, bien après leur décès.
    Et il ne faut évidemment pas compter sur les autorités algériennes pour faire la chasse aux fraudeurs.

     On peut s’étonner, tout de même, qu’un organisme comme la CNAV qui verse chaque année
    4 milliards d’euros de retraite à l’étranger, dont 1 milliard pour l’Algérie, ne soit pas en mesure d’effectuer un minimum de vérifications, soit en demandant, tous les deux ans par exemple, aux bénéficiaires de donner une preuve de leur existence -
    comme cela se fait en France pour les professions libérales, notamment.
    Soit, en les invitant à se présenter dans les consulats de France pour percevoir leurs pensions. 


     Alors que le dossier des retraites est au cœur des préoccupations des Français, il serait bon que nos gouvernants se penchent aussi sur cette question.

    (envoyé par A.C.)  24/01/11

  • Jean-François Copé face à Marine Le Pen - 23 janvier 2011

     

    Le Secrétaire général de l'UMP et la Présidente du FN débattent de l'Identité nationale, de l'immigration et de la situation économique de la France. Des sujets sensibles qui entraînent des échanges très "animés" entre les deux protagonistes...
  • Mort après avoir avalé un hamburger?

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    Le Quick d'Avignon Cap Sud - (Cliquez sur la photo)

    Dans le Vaucluse, Benjamin Orset, 14 ans, est mort samedi midi sous les yeux de ses parents, sa petite soeur et son frère aîné... La veille au soir, l'adolescent est allé mangé au Quick, situé dans la zone commerciale Cap Sud, avec ses parents et sa soeur. Lui et son père ont commandé la même chose. Toute la nuit, ils ont été pris de vomissements...

    Le lendemain, Benjamin est décédé malgré l'intervention de son frère aîné, qui a tout tenté pour le sauver, en pratiquant du bouche-à-bouche jusqu'à l'arrivée des pompiers. En vain.
    Immédiatement, la thèse de l'intoxication alimentaire a été évoquée. Par sécurité, le Quick a été fermé jusqu’à nouvel ordre. Une autopsie du corps de l’adolescent a été pratiquée aujourd'hui par un médecin légiste à Marseille. Pour répondre à cette question: est-ce que le hamburger a pu tuer l'adolescent?

    Il était "en excellente santé"

    Hier soir,  la procureure de la République d'Avignon, Catherine Champrenault, n'a pas pu donner de réponse à cette question: "Rien n'a été révélé par l'autopsie, ni un oedème cérébral, ni un oedème pulmonaire, donc on ne connaît toujours pas les causes". Donc, "la thèse de l'intoxication alimentaire n'est ni écartée, ni avérée".

    Et d'ajouter: "Rien ne peut expliquer cette mort brutale". Le jeune homme était en "excellente santé" et ne souffrait "ni d'allergie ni de souffle au coeur". De ce fait, "les explorations se poursuivent" et une "expertise complétaire bactériologique et virale" est en cours. Les résultats seront donnés en fin de semaine. 

    Le Dauphiné libéré  -24/01/11

  • Une carte pour suivre en temps réel les catastrophes à travers le monde

    L'idée peut paraître surprenante. Le site Internet édité par RSOE, un service hongrois d'information sur les catastrophes naturelles, a publié une cartes via Google map  sur laquelle il est possible de visualiser catastrophe et accidents qui se déroulent à travers le monde, le tout en temps réel.

    Epidémies, incidents climatiques tels que les ouragans, tremblements de terre mais également accidents chimiques sont au menu souligne Le Post.fr. La carte donnant même des détails chiffrés sur le nombre de morts, de blessés...

    Pour accéder à la carte,  cliquer ici.

    le 24/01/2011 à 14:31

    Le Dauphiné libéré

  • Moscou: 35 morts dans un attentat-suicide à l'aéroport de Domodedovo

    Un attentat suicide à la bombe a fait 35 morts et 46 blessés à l'aéroport international de Moscou-Domodedovo lundi après-midi, alors que la Russie est régulièrement visée par des attaques revendiquées par une rébellion islamiste du Caucase russe.

    Les premières images diffusées par les télévisions russes montraient de nombreux corps étendus dans le hall de l'aéroport envahi par une épaisse fumée, alors que les témoins parlaient de scènes de carnage.

    "Selon des données actualisées, il y a 35 morts et 46 blessés", a déclaré la porte-parole de Domodedovo, Elena Galanova, à l'antenne de la chaîne NTV. Un précédent bilan du ministère russe de la Santé faisait état de 31 morts et 130 blessés.

    Le Comité d'enquête de Russie a indiqué avoir ouvert une enquête pour "acte de terrorisme" suite à l'explosion qui a eu lieu à 16h32 locale (13h32 GMT). Des sources policières ont précisé aux agences russes qu'il s'agissait d'une attaque suicide, mais cette information n'a pas été officiellement confirmée.

    "Nous n'excluons pas qu'il puisse s'agir d'un kamikaze", a simplement indiqué Nicolaï Sintsov, du Comité antiterroriste russe, lors d'une conférence de presse à Domodedovo.

    Mme Galanova a par ailleurs déclaré que "l'explosion a eu lieu dans la salle des arrivées (internationales), là où les familles attendent les voyageurs" au rez-de-chaussée de l'aéroport.

    "L'aéroport fonctionne normalement", a-t-elle ajouté.

    Domodedovo est le principal aéroport russe en termes de voyageurs, avec 18,6 millions de passagers en 2009 et un total estimé de 22,4 millions en 2010, selon le site de l'aéroport. Au total, 77 compagnies y travaillent dont British Airways et Lufthansa.

    Le président russe Dmitri Medvedev a réagi moins de deux heures plus tard en ordonnant la mise en place d'un "régime de sécurité spécial" dans les gares et les aéroports à travers tout le pays.

    M. Medvedev, qui a reporté à une date indéterminée son départ prévu mardi pour la Suisse pour assister au Forum économique mondial de Davos, a aussi estimé que les mesures de sécurité n'avaient pas été appliquées correctement.

    "Ce qui s'est passé montre que les lois censées être mises en oeuvre sont loin de fonctionner correctement", a-t-il jugé.

    Selon des sources policières, la bombe était d'une puissance équivalente à cinq ou sept kilogrammes de TNT. Des témoins parlant aux médias russes ont pour leur part indiqué avoir entendu deux explosions.

    Trois personnes soupçonnées d'être impliquées dans l'attentat sont actuellement recherchées, a indiqué une source policière à l'agence Interfax.

    "J'ai entendu d'un coup entendu un grand claquement, comme si quelque chose tombait. Personne n'a rien compris à ce qui se passait", a raconté à l'AFP Elena, une hôtesse de l'air de la compagnie allemande Lufthansa, "tout le monde était en état de choc".

    "Quelque chose de terrible s'est produit ici. Des dizaines de personnes sont évacuées sur des brancards, des chariots", a déclaré à la radio russe City FM un témoin, Andreï, qui se trouvait sur place au moment du drame.

    "Des personnes brûlées courent dans tous les sens", a-t-il ajouté.

    Les réactions de l'étranger ne se sont pas fait attendre: le secrétaire général de l'Otan, Anders Fogh Rasmussen, s'est dit "choqué", tandis que Paris et Berlin ont dénoncé un acte "barbare".

    Suite à cette attentat, la police de Moscou a renforcé les mesures de sécurité dans les transports publics de la capitale russe, en particulier dans le métro.

    Deux stations du métro de Moscou ont été visées en mars 2010 par des attentats suicide qui ont fait quarante morts. Cette attaque a été revendiquée par la rébellion islamiste qui lutte contre les forces russes dans les républiques du Caucase du Nord (Tchétchénie, Ingouchie, Daguestan...)

    Les autorités russes n'ont pour l'instant évoqué aucune piste, mais ce type d'attentats a toujours été revendiqué ces dernières années par les rebelles islamistes de cette région du Sud de la Russie.

    Après la première guerre de Tchétchénie (1994-1996) entre forces russes et indépendantistes, la rébellion s'est progressivement islamisée et a de plus en plus débordé les frontières tchétchènes pour se transformer au milieu des années 2000 en un mouvement islamiste armé actif dans tout le Caucase du Nord.

    Embuscades, attaques et attentats y ont lieu presque tous les jours.

    AFP. 24/01/11

     

     

  • La Chine fascinée par le Talmud et le "génie juif" à s'enrichir

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    Rien ne se produit par hasard. Je devais entreprendre un voyage en Chine et, quelques jours avant mon départ, je découvre un article sur CJSS puis sur NewsWeek, pour le moins surprenant.
    Il y est question de la fascination qu’exerceraient sur les Chinois, les Juifs, ou plutôt, leur capacité unique à s’enrichir.

    D’où leur vient ce talent particulier ? Un éditeur chinois arrive à la conclusion que la clé de la connaissance des mille et un moyens de faire de l’argent se trouve, non pas dans l’Ancien Testament, somme toute à la portée de tous, mais dans le TALMUD qui est l’outil que seuls les juifs savent manier et qu’ils dissèquent effectivement depuis des siècles. Un auteur qui a recours à un pseudonyme pond donc un livre intitulé « Le Talmud décodé: 101 règles juives du business »
    D’autres suivent tels que « Le Petit Illustré de sagesse juive ou toutes les histoires de gains monétaires dans le Talmud ». Les livres, au dire de l’article, se vendent comme des petits pains et auraient atteint plus d’un million d’exemplaires. Encore mieux, à Taiwan, il existe même un hôtel qui s’inspire des textes sacrés. Le Talmud Business Hotel de Taichung qui se décrit ainsi sur son site:
    «Influencé par les théories du Talmud, l’hôtel pour businessmen a été nommé en référence au livre saint. Il contient une collection d’anciens textes de rabbins sur la loi et les traditions juives. Dans chaque chambre, vous pouvez trouver une copie du Talmud-Business Success Bible  pour que chacun puisse faire l’expérience de la voie du Talmud vers le succès, ainsi qu’un accès gratuit au Wi-Fi». Réussite dans les affaires assurée.

    Dans le même article est également cité un Centre d’Etudes juives qui se trouverait à Shanghai. Cela tombe à pic, c’est justement là où je me rends. Sans me faire annoncer, j’arrive au Centre, et rencontre une joyeuse bande de jeunes universitaires, dont Wang Zhen, Assistant professeur, Deputy Secr-General du Centre d’Etudes juives.
Ayant quelque peu préparé ma visite, je lui offre mes bouquins, dont l’Essai de géopolitique biblique « Ismaël et ses frères » et lui fais part de mes recherches sur une meilleure compréhension de l’Actualité grâce aux Textes fondateurs, dont bien évidemment le Talmud, puisqu’il semble être très à la mode en Chine. Malheureusement, mon site de géopolitique biblique est censuré en Chine – on se demande bien pourquoi – et mes livres sont en français, langue que seuls maîtrisent quelques universitaires. Wang Zhen semble néanmoins intéressé et promet de le faire lire par qui de droit.
Je fais également connaissance d’une jeune universitaire chinoise qui se dit appeler Ayelet, et avec qui, à ma grande stupéfaction, j’échange quelques phrases en hébreu. Elle me tend sa carte sur laquelle elle rajoute son prénom; en hébreu.

    Le centre a pour vocation d’éditer des recherches sur les Juifs en Chine et ailleurs, et Wang me remet avec fierté leur dernier ouvrage, sur ….. les Juifs en Amérique. Pourquoi pas?
Je lui parle des ouvrages talmudo-business, qu’il sort de sa bibliothèque et me montre. Il n’est pas un chaud partisan de ce genre de littérature, qui à son sens, est susceptible de provoquer de l’antisémitisme, surfant sur le prototype du juif au nez crochu, avide d’argent, et qui de plus, sont signés et édités par des pseudonymes. Nous nous mettons d’accord sur le fait que le Talmud disserte d’avantage sur l’éthique du commerce que sur les moyen de s’enrichir. De plus, en universitaire sérieux, il ne peut cautionner des ouvrages de vulgarisation à des fins bassement matérielles
Lorsque je leur fais savoir que ma fille qui travaille à Shanghai est parfaitement hébraïsante, la jeune Ayelet est emballée et note son numéro de téléphone. Echange cours d’hébreu contre cours de Chinois; tout le monde est gagnant.
Je suis honoré de signer leur Livre d’or et nous nous quittons sur « we’ll keep in touch ». La balle est désormais dans le camp de Sarah qui devra me servir d’agent littéraire en Chine. On peut toujours rêver.

    Lire cet article sur http://www.aschkel.info/article-mes-tribulations-dans-la-chine-fascinee-par-le-talmud-et-le-genie-juif-par-arie-levy-65548030.html

    ALLIANCE - 23/01/11

     

  • Louis XVI, un roi érudit, passionné par les sciences

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    Louis XVI donnant ses instructions à La Pérouse le 29 juin 1785 - ( Nicolas-André  Monsiau - 1817)

    (Cliquez sur le tableau pour le voir en totalité)

    Louis XVI était un prince studieux et érudit. Hormis sa passion connue pour la serrurerie, il était féru d'histoire, de géographie, de marine et de sciences.

    Il fit de la marine une priorité de sa politique étrangère, et en a une connaissance théorique si pointue, qu'il se plut, quand il vit pour la première fois la mer, à faire des remarques dont la pertinence stupéfia ses interlocuteurs.

    Sur le plan scientifique, il mandata Jean-François de La Pérouse pour effectuer le tour du monde et le cartographier. Il n'en eut plus de nouvelles régulières à partir du 16 janvier 1788. La Pérouse avait annoncé dans sa dernière lettre quel devait être son parcours et l'époque probable de son retour, vers l'été 1789.
    Sans nouvelles depuis longtemps, le roi fit envoyer deux navires à sa recherche. Le 28 février 1790, l'Assemblée constituante décréta qu'une prime serait accordée à tout marin donnant des nouvelles de l'Expédition. La nouvelle expédition, lancée depuis peu, était menée par des capitaines qui périrent aussi avant leur retour, pendant la Révolution. Louis XVI aurait alors demandé des nouvelles de cette entreprise jusque sur l'échafaud.
     En 1794 parut un opuscule intitulé : Découvertes dans la mer du Sud. Nouvelles de M. de La Pérouse jusqu'en 1794, Paris, Everat, 1794, in-8°, dont les détails ne furent confirmés qu'en 1828 et 2005.
    (Wikipédia)
  • 138: enfin identifié!

    138 - Guglielmo MARCONI - Né à Bologne en 1874 de père italien et de mère irlandaise, décédé à Rome en 1937.  Physicien, inventeur et hommes d'affaires, il reçut le pris Nobel de physique en 1909.

    Jusqu'en 1943, il était connu pour être l'inventeur de la TSF.

    Lire: http://fr.wikipedia.org/wiki/Guglielmo_Marconi

    BRAVO à tous les gagnants et à ceux qui ont participé! 

    Le jeu continue!

  • Pour le plaisir

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    Anes en Haute-Corse sous la neige - 23 janvier 2011

    (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

  • Qui est-ce? 138

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    138

    Indice: il s'agit d'un homme célèbre, dont le nom est connu dans le monde entier!

  • Marseille: à 7 ans, la petite Comorienne était l'esclave de sa tante

    esclave Comores.jpg

    L'immeuble du centre ville où elle vivait

    Elle n'a dû son salut qu'à un sursaut familial. À une intervention de la plus jeune soeur de sa mère, qui s'est aperçue de la gravité de la situation. Quand le calvaire d'Amina (*) a pris fin, il y a quelques semaines, cela faisait trois ans qu'elle vivait comme une esclave au domicile de son oncle et de sa tante. Un couple d'une soixantaine d'années et leur fille de 34 ans qui se comportaient comme des Thénardier, en plein coeur de Marseille. Amina avait débarqué en ville en 2007, en provenance des Comores, le coeur déjà très lourd. À 7 ans, elle avait dû se résoudre à se séparer de sa mère, restée au pays. Sa tante avait accepté de l'accueillir dans son foyer marseillais. Malgré l'inconnu et son jeune âge, elle avait obéi à sa maman, qui lui avait si bien parlé de la France, où elle pourrait aller à l'école, se construire un avenir radieux.

    Ses illusions se sont vite envolées. À peine était-elle installée dans l'appartement de la rue de la Grande-Armée (1er ) que la petite fille s'est retrouvée plongée dans un univers de brimades, de soumission et de tâches ménagères forcées. "Elle devait se lever à 5 heures tous les matins, déplorait l'un des enquêteurs. Une fois debout, c'était ménage et repassage. Si elle osait refuser, elle recevait des coups de livres sur la tête. En 2008, elle aurait aussi été brûlée avec un fer à repasser. La nuit, elle dormait à même le sol, sur un vieux matelas."

    Un emploi du temps à peine imaginable que la fillette va pourtant supporter pendant trois ans. Comment sa mère a-t-elle pu ignorer aussi longtemps les sévices que sa fille endurait ? L'instruction judiciaire ouverte depuis vendredi devra notamment préciser la façon dont l'oncle et la tante ont réussi à conditionner la petite Amina afin qu'elle ne répète rien à ses proches. À l'école, où elle se rendait seulement après avoir achevé l'intégralité de sa tâche de petite femme de ménage, ni son institutrice, ni le personnel n'ont décelé le moindre signe permettant de faire cesser le calvaire.

    C'est finalement sa deuxième tante, domiciliée dans un autre quartier, qui a pu lever le voile sur les agissements de sa propre soeur et de son mari. Indignée, elle a déposé plainte et la brigade des mineurs de la Sûreté départementale a été saisie du dossier. Les trois suspects, interrogés jeudi dernier, n'ont nié qu'une partie des charges pesant sur eux. Ils ont été mis en examen pour violences volontaires par personne ayant autorité et placés sous contrôle judiciaire. Depuis, Amina vit chez sa jeune tante. Sa mère devrait bientôt la récupérer.

    * prénom modifié

    La Provence - 23/01/11

     

     

  • Louis-Ferdinand CELINE

  • Défilé pour l'abrogation de la loi Veil

    TF1 - 23/01/11