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  • Marseille, le préfet de police parle: " Vu les événements récents, on peut effectivement s'attendre à une recrudescence des homicides"

     

    Gilles Leclair, le préfet délégué à la sécurité dans les Bouches-du-Rhône, répondait aux questions de La Provence (extraits). Une interview qui illustre l’échec flagrant de la politique de Nicolas Sarkozy en matière de sécurité.

    Il est arrivé dans une ville où, en matière de sécurité, rien ne va plus depuis un bout de temps. Ses prédécesseurs concédaient volontiers que Marseille était « une ville violente, partout » et le procureur de la République, Jacques Dallest, a même comparé certains quartiers aux favelas, à Rio.

    La palette complète des faits-divers les plus noirs
    Entre les gamins qui se tuent à coups de rafales de kalachnikov au pied des cités, les braqueurs qui n’hésitent pas à pointer une arme sur un enfant de 8 ans pour dévaliser un restaurant de l’Estaque, ou encore un automobiliste qui poignarde un piéton à la porte d’Aix et, à la Busserine, un homme qui tire sur un jeune cambrioleur, ces derniers mois nous ont livré la palette complète des faits-divers les plus noirs. Sans oublier un incivisme grandissant et une petite délinquance qui prospère aux quatre coins de la ville.

    Un sentiment d’insécurité prégnant
    Malgré les promesses du maire de Marseille, Jean-Claude Gaudin, de renforcer les effectifs de police municipale, et celles du ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, de doter la ville de fonctionnaires supplémentaires ainsi que de caméras de vidéosurveillance, le sentiment d’insécurité est prégnant du nord au sud, dans les cités sensibles mais aussi les banlieues chics. Le conseil municipal extraordinaire, qui s’est tenu au début de l’été sur le sujet, démontre l’urgence de la situation. Mais pour ces maux, bien ancrés, quels remèdes ?

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    NPI - 04/06/11

  • DSK - Appel des avocats de Nafissatou aux employées d'Air France

    Les avocats de Nafissatou Diallo, la victime présumée de Dominique Strauss-Kahn, mènent une nouvelle offensive. Kenneth Thompson et Douglas Wigdor ont décidé de lancer un appel à témoins aux personnels féminins de la compagnie Air France qui auraient eu à subir, au cours de leurs fonctions, des remarques grossières, des gestes déplacés ou des propositions équivoques de l’ancien directeur du Fonds monétaire international (FMI), accusé d’agression sexuelle et de tentative de viol sur la femme de chambre du Sofitel de New York.

     

      Depuis plusieurs semaines, les deux avocats ont entrepris un vrai travail de sape pour « mettre au jour la véritable personnalité de M. Strauss-Kahn », comme ils se plaisent à le rappeler.
    Kenneth Thompson et Douglas Wigdor, qui ont multiplié les approches auprès des personnels de la compagnie Air France — un de leurs enquêteurs privés en France est d’ailleurs en charge de cette mission —, disposent déjà d’au moins deux témoignages évoquant des employés importunés par DSK.

    Début juillet, c’est un incident à l’aéroport de Los Angeles qui leur a été rapporté. Un cadre de la compagnie aurait été contraint de prier fermement l’ex-patron du FMI de bien se tenir. Plus récemment encore, une lettre anonyme, rédigée dans un anglais parfait et postée le 17 juillet du Canada, a été reçue au cabinet Thompson & Wigdor, sur la 5e Avenue à New York. La lettre précise : « La compagnie Air France dispose de quelques centaines de griefs émanant de clients, employés, membres d’équipage à l’encontre de l’homme soupçonné d’avoir abusé de votre cliente Mme Diallo. » Des incidents qui n’ont, semble-t-il, fait l’objet d’aucune procédure judiciaire.

    «Il était bien coutumier du fait»

    « Si des hôtesses ont le sentiment d’avoir été importunées, gênées, agressées par un comportement inapproprié, elles peuvent nous appeler », lancent les deux avocats new-yorkais. « Le comportement supposé de M. Strauss-Kahn envers les personnels féminins d’Air France est un exemple de plus de sa vision des femmes, réduites à un simple objet que l’on peut maltraiter à loisir. Ce schéma de pensée inexplicable qui lui permet d’abuser des femmes est une preuve de plus qui accrédite l’agression subie par Mme Diallo le 14 mai dans la suite 2806 au Sofitel », martèlent d’une même voix les pénalistes, qui cherchent à argumenter leur futur procès au civil contre DSK avec de nouveaux témoins. Une procédure qui paraît de plus en plus probable.
    Toujours selon la même lettre anonyme, il avait été décidé au sein d’Air France que « seuls des employés masculins devaient être affectés dans les salons première classe quand ce client (NDLR : DSK) voyageait ». « Il était bien coutumier du fait », soupire un ancien responsable du Syndicat national des personnels navigants commerciaux (SNPNC).

     Le jour même de son interpellation à bord d’un vol Air France, le 14 mai à New York, Dominique Strauss-Kahn aurait gratifié, au moment de l’embarquement, une hôtesse d’une remarque désobligeante. Un incident rapporté sur un forum du personnel d’Air France…  Sollicitée, Air France s’est refusée à tout commentaire.

    Source Le Parisien - 04/08/11

     

     

  • Qui est-ce? n° 38

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  • Compiègne: nouvelles pièces contre Woerth

     

    Trois nouveaux documents publiés mercredi par le Canard enchaîné mettent en cause l'ancien ministre UMP du Budget Eric Woerth, visé par une enquête sur son rôle dans la vente d'une parcelle de la forêt de Compiègne en 2010.

     Ces trois documents proviennent notamment de l'Office national des forêts qui estime la valeur de la parcelle à au moins 15 millions d'euros, alors qu'elle a été vendue 2,5 millions, et des services de Bercy, qui préconisent un appel d'offres et une expertise, finalement jamais réalisés.

     

    03/08/11

     

  • Breivik annonce à la police: "Opération accomplie"

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    (Cliquez sur la photo)

    "Breivik. Commandant. Engagé dans la résistance anticommuniste contre l'islamisation. L'opération est accomplie et me rendrai à la force Delta". C'est avec ces quelques mots qu'Anders Behring Breivik annonce à la police qu'il vient de commettre un carnage, rapporte un journal mercredi.


    Alors qu'il venait d'ouvrir le feu sur un rassemblement de jeunes travaillistes norvégiens sur l'île d'Utoeya, faisant 69 morts dans leurs rangs, l'extrémiste Behring Breivik, 32 ans, a appelé le numéro d'urgence de la police 112 et prononcé ces quelques paroles, selon le tabloïde Verdens Gang (VG). L'appel n'a guère duré plus de trois secondes, ajoute le journal, qui précise que les tentatives ultérieures de la police pour joindre son auteur ont échoué.

     

    Le "croisé qui voulait déclencher une guerre contre l'islam
     

    "Nous avons reçu un appel depuis le téléphone de Behring Breivik mais nous n'avons pas de confirmation que c'était bien lui", a déclaré un porte-parole de la police d'Oslo. "Nous ne pouvons confirmer non plus ce qui a été dit", a-t-il ajouté. Selon VG, la police n'a toutefois pas retrouvé le téléphone portable de Behring Breivik sur l'île, une information que le porte-parole n'a pas non plus voulu commenter.
     
    Le 22 juillet, environ une heure s'est écoulée entre les premiers messages de personnes présentes sur Utoeya alertant la police de la fusillade et l'arrestation de Behring Breivik par une force d'intervention spéciale --appelée Delta-- dépêchée d'Oslo, à une quarantaine de kilomètres de là. Une heure et demie environ avant le début de la fusillade, Behring Breivik, qui se présente comme un "croisé" voulant déclencher une guerre contre l'islam et le multiculturalisme en Europe, avait fait détoner une camionnette piégée près du siège du gouvernement norvégien, faisant les premiers huit morts.

    Anders Behring Breivik de nouveau entendu par les enquêteurs 
     

    Anders Behring Breivik, l'extrémiste de 32 ans  qui a avoué le carnage du 22 juillet en Norvège, est interrogé mercredi pour la  troisième fois depuis le début de l'enquête, selon le journal norvégien Verdens  Gang. "Nous ne souhaitons pas faire de commentaire sur la tenue du (troisième)  interrogatoire, mais nous disons que ce qui sera central dans cet  interrogatoire sera qu'il y aura davantage de confrontation", a déclaré le  procureur de police Paal-Fredrik Hjort Kraby lors d'une conférence de presse. Behring Breivik serait arrivé vers 9h au quartier général de la police dans le centre d'Oslo pour être interrogé, selon Verdens Gang.

     Ce nouvel interrogatoire a pour principal objectif de confirmer que Behring Breivik a agi seul, comme il l'affirme, en le confrontant par  exemple à des images de vidéosurveillance ou à son compte bancaire. La police cherche toujours à déterminer si le portable de Berivik est sur l'île d'Utoyea.

    Source TF1 News le 03 août 2011
     
  • A Marseille, les jeunes ont volé un parking!

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    Une vulgaire barrière (premier plan) s'écarte pour laisser passer les automobilistes qui paieront 5€. Mais à qui ?

    Photo Guillaume Ruoppolo

    Les délinquants ont fait fuir le gestionnaire Vinci Park. Personne n'a rétabli l'ordre.

      "Rentre frère, rentre. Tu paieras en sortant !"

    15h au parking de la Porte d'Aix (2e arrondissement de Marseille). Un jeune soulève la barrière et l'automobiliste va garer sa voiture. Il paiera en partant. 5 €, c'est le tarif unique, inscrit grossièrement au feutre sur une borne. 5 €, c'est l'argent qu'empochera un groupe de jeunes qui actionnent la barrière toute la journée. 5€, c'est l'argent que perdra la société Vinci Park qui a abandonné son parking. Trop dangereux.

    Incroyable ! À l'entrée de Marseille, on entre dans un parking comme on traverse une République bananière. Vinci gérait pourtant le parking Jules Guesde dans le cadre d'une délégation de service public (DSP) signée avec la communauté urbaine. Mais le délégataire a disparu. Pschitt ! Envolé ! Plus de société, plus de gardien, plus personne pour organiser le stationnement, si ce n'est le groupe de jeunes très confraternels. "Rentre, frère, rentre…". On connaît la suite.

    Mais comment en est-on arrivé là ? À Vinci, on explique : "Il y a eu des dégradations, des intimidations visant le personnel. On a bien dû déposer une vingtaine de plaintes. Mais personne n'a bougé. On est parti. Ce n'est pas à nous de faire la sécurité."

    La police municipale était bien là. Mais elle ne voulait pas assurer seule cette mission. Quant à l'intervention de la police nationale, c'est un peu comme l'éclipse solaire : un phénomène extrêmement rare. Vinci Park n'a pas voulu attendre. Et en partant, la société s'est assise sur des recettes. La communauté urbaine aussi, qui encaissait chaque année 100 000 €.

    Au début du malaise, il y a 6 mois, les bénéfices sont tombés à 40 000 €. Aujourd'hui, le parking rapporte à MPM ce que la Grèce rapporte à l'Europe. Tout part dans les poches des intrus. Combien peuvent-ils gagner sur ce parking de 49 places ? 5€ +5€ +5€… pendant toute une journée. Sacré job d'été. Mais au fait : Vinci a-t-il été chassé par ce groupe de jeunes ? Autrement dit, ceux qui soulèvent la barrière ont-ils également actionné le phénomène de délinquance ?

    En fait, à la Porte d'Aix, la délinquance est partout. Et depuis longtemps. Lisette Narducci, maire de secteur PS (2e et 3e) s'en arrache presque les cheveux : "La situation ne fait que s'aggraver. Il y a désormais des individus dangereux à la Porte d'Aix. Je suis très inquiète. C'est du jamais vu et on laisse pourrir la situation. J'ai honte quand je vois qu'on est dans la 2e ville de France. La situation était redevenue sereine pourtant quand la police municipale était là mais on a supprimé le dispositif alors que la Porte d'Aix doit être traitée prioritairement. Si la Ville et la préfecture ne font rien, ça ne s'arrangera pas. Mais le préfet dit qu'il ne peut pas mettre des hommes partout. On est devant une gestion irresponsable. Et les habitants sont apeurés."

    Quand ils ne sont pas agressés. Alain Dulion fait partie de ceux qui ont croisé les champions du vol à l'arraché. "J'étais parti acheter des vêtements sur la place et un individu, arrivé par derrière, m'a arraché une chaîne en or que j'avais depuis 20 ans et à laquelle je tenais beaucoup. J'ai alors proposé 500 € à un individu pour retrouver le voleur." Alain n'a toujours pas de nouvelle de l'individu. Qui, au passage, était un "souleveur" de barrière auquel Alain avait glissé 5 € pour reprendre sa voiture. C'est qu'il s'était garé, lui aussi, dans le parking fantôme. "C'est en regagnant le parking, à trois mètres de ma voiture, qu'on m'a arraché la chaîne."

    Alors récapitulons : parking sauvage, parking dangereux. Et parking horriblement sale. Car s'ils actionnent la barrière, les nouveaux "gestionnaires" n'assurent pas le nettoiement. Et comme ce parking est le royaume des vendeurs à la sauvette, auxquels se sont mêlés les Roms, on se retrouve face à une mini-décharge avec un océan de vêtements invendables et abandonnés.


     

    "INDIGNES"

    Michel Vauzelle, président PS de la Région Paca, dont les bâtiments surplombent la Porte d'Aix : "Bien que ce ne soit pas de ma responsabilité, j'ai proposé de participer à une réunion collective. On m'a répondu que si on chasse les gens qui sont là, ils iront ailleurs. Pour moi, c'est une réponse indigne de ces situations de misère."

    Gérard Chenoz, UMP, vice-président de la communauté urbaine, en charge des parcs de stationnement : "Dans cette affaire, où tout le monde se renvoie la balle, il faut renforcer la sécurité. Un parking normal n'a besoin que d'un gardien. Pas celui de la Porte d'Aix. Il faut faire appel à une société de sécurité."

    Eugène Caselli, président de la communauté urbaine Marseille Provence Métropole : "Nous ne pouvons pas accepter que s’installe une zone de non-droit à la Porte d’Aix. Les graves problèmes de délinquance qui touchent l’ensemble du quartier depuis trop longtemps ont fini par rendre impossible, au quotidien, l’exercice de la mission que notre Communauté urbaine a confiée à Vinci Park. A la Porte d’Aix, l’autorité de l’Etat doit être rétablie au plus tôt. Nous prendrons pour notre part nos responsabilités en renforçant les moyens de sécurité mis à la disposition du gestionnaire de notre parking. Nous travaillons en ce sens sur un avenant au contrat qui nous lie à Vinci Park, avec la volonté de mettre fin ensemble à cet état de fait intolérable et de faire à nouveau fonctionner ce parking normalement au plus tard au 1er septembre. Toutefois il ne peut s’agir que d’une solution provisoire et nous ne parviendrons pas seuls à résoudre durablement ce problème. Pas plus que les nécessaires interventions de la police municipale ne suffiront à rétablir l’ordre public sur ce secteur très sensible de Marseille. Nous attendons en ce sens une réponse rapide de l’Etat".

      Jean-Jacques FIORITO

    Source La Provence - 03/08/11

  • La gauche milliardaire - Les Badinter, une douce retraite...

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    Les assassins le remercient - (Cliquez sur la photo pour la voir en totalité)

    Ils forment un joli couple de retraités, Robert et Elisabeth. Lui, du barreau et de la politique ; elle, du féminisme. Presque cinquante ans de vie commune, trois enfants et ils s’aiment comme au premier jour, avec la même fraîcheur. Vie privée décente et retenue publique, charme et discrétion. Voilà qui nous éloigne du clinquant habituel des nouveaux riches du PS. L’anti-bling-bling a élu domicile chez les Badinter.

    Héritière du groupe Publicis, fondé par son glorieux père, Marcel Bleustein-Blanchet – l’illustre Gaudissart des Trente Glorieuses, celui qui a vendu à des Français médusés par tant d’abondance la société de consommation –, Elisabeth se classe au 56e rang des plus grosses fortunes de France, selon le magazine « Challenges » : 652 millions d’euros, 10 % du capital de Publicis, dont elle préside le conseil de surveillance avec une mâle assurance. Question de chromosomes sûrement.

    Car le féminisme d’Elisabeth est à courant alternatif. Les bimbos siliconées et les pouffes peroxydées, sévèrement bannies de sa production intellectuelle, redeviennent subitement de précieux auxiliaires publicitaires dès lors qu’il s’agit de faire grimper les ventes de déodorants et de voitures. Homo duplex, disait Buffon, l’homme est double. Les femmes aussi. Que l’homme qui est sans contradiction leur jette la première pierre !

    Robert et Elisabeth, c’est comme un vélo en tandem : il y en a un qui pédale et un autre qui guide. Attention cependant, ne pas se fier aux apparences : la femme libérée ne l’est pas tant que ça. Chez les Badinter, c’est la suffragette qui trime ; et c’est le ténor du barreau qui ramasse les lauriers. Robert a beau avoir un physique de choriste fluet et longiligne, dès qu’il prend la parole, il fait jouer sa voix de bronze comme un premier prix du Conservatoire. Le résultat est impressionnant. A vous donner la chair de poule. C’est que l’ex-garde des Sceaux et président du Conseil constitutionnel est une autorité morale, héritier en filiation directe de Montesquieu et Condorcet.

    Nous, malheureux que nous sommes, n’avons qu’une conscience. Celle de Robert est si grande qu’il en a fait son métier. Il est droit, les hommes sont tordus, il va les redresser –au nom du Bien, cela va sans dire (même si c’est mieux en le disant). Les Droits de l’homme sont ses tables de la Loi, dont il est le Moïse guidant l’humanité arriérée vers la Terre promise de l’Etat de droit. Tu condamneras la peine de mort, tu dépénaliseras l’homosexualité, etc. C’est beau comme un film de Cecil B. DeMille.

    A travers des gens comme les Badinter, on mesure combien les socialistes ont perdu le peuple. Qu’est-ce qu’un ouvrier de chez Renault ou un maçon du Poitou-Charentes ont à faire de l’abolition de la peine de mort ? D’abord, en ces matières, ils sont généralement pour les solutions expéditives. Ensuite, ils ont d’autres soucis quotidiens que les débats oiseux qui agitent les dîners en ville.

    Comment être socialiste quand on a 650 millions d’euros d’argent de poche ? Il n’y a qu’une seule réponse : transformer la gauche en un parti libéral-progressiste à l’américaine.

    En réalité, la gauche parisienne ne mène plus que des combats compatibles avec son train de vie et ses réflexes culturels – hier la peine de mort, aujourd’hui l’homoparentalité. C’est le triomphe de la gauche morale, avec les Badinter ; immorale, avec les DSK et autres Julien Dray.

     Pour le social, mieux vaut s’adresser directement à Pôle emploi et à Marine Le Pen.

    François-Laurent Balssa

    Article paru ce mercredi dans “Minute” du 3 août. En kiosque ou sur Internet.
     
    NOVOPRESS - 03/08/11
  • Toujours aucune trace du prêtre disparu dans l'Oise

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    (Cliquez sur la photo)

    Parti en forêt de Compiègne, Albert Marshall n'a pas donné signe de vie depuis vendredi.

    Prêtre à Vieux-Moulin, dans l'Oise, Albert Marshall avait l'habitude de se promener en VTT dans la forêt de Compiègne. Mais l'homme de 38 ans, d’origine indienne, n'est jamais revenu de son excursion de vendredi matin.

    La disparition est qualifiée d'inquiétante par la gendarmerie. La fuite semble exclue : le prêtre, qui habite juste à côté de la forêt, a laissé ses papiers d'identité et ses effets personnels à son domicile. Une quarantaine de gendarmes ont ratissé en vain la forêt de Compiègne avec le renfort, d'une brigade équestre, de VTT et de 4 x 4.

    Un hélicoptère et une caméra thermique ont aussi été utilisés, sans succès pour l'instant. Même le vélo du prêtre n'a pas été retrouvé.

    Les recherches ne sont pas aisées, indique le commandant Cédric Defrance, en charge des opérations : "le terrain est immense et la forêt est particulièrement difficile d'accès", au milieu de ces 25 km² de végétation dense. "On n'a pas encore trouvé de trace", précise-t-il.

    Albert Marshall travaillait pour une association humanitaire locale, par laquelle il était logé.

    Toute personne susceptible d’avoir des informations sur cette disparition est priée de contacter la gendarmerie de Lacroix-Saint-Ouen au 03.44.91.61.17.

     03/08/11

  • Les émeutiers de Bari sont des "professionnels de la guérilla"

    03/08/2011 – 15h00
    BARI (NOVOpress) —
    Bilan officiel définitif des huit heures d’émeute immigrée à Bari lundi : 98 blessés, dont 42 policiers, 40 carabiniers et 16 particuliers, caillassés dans leurs voitures ou dans l’autobus des transports en commun pris d’assaut par les Africains. Aucun clandestin, on le voit, ne semble avoir subi une égratignure. On a frôlé un vrai massacre puisque les immigrés s’apprêtaient à mettre le feu à l’autobus, où se trouvaient encore le chauffeur et trois femmes, si un policier n’était pas courageusement intervenu tout seul pour les en empêcher. Quant aux dégâts matériels, ceux du Centre d’accueil se montent à eux seuls à 200 000 euros.

    La question est à présent de savoir s’il y aura des suites judiciaires ou si les clandestins vont jouir d’une impunité complète, en plus du statut de réfugié politique qu’on est parti pour leur accorder en urgence. Le parquet de Bari a retenu une série de charges qui, sur le papier, est impressionnante : violence et résistance à la force publique, avec armes (barres de fer et pierres), menaces, interruption du service public pour le blocage de la route nationale 16, dégâts volontaires suivis d’incendie, violence privée, lésions personnelles aggravées, dégâts sur automobiles et sur transports en commun, vol et blocage ferroviaire. Ce dernier délit, réprimé par une loi de 1948, est parmi les plus graves puisqu’il prévoit une peine de 2 à 12 ans de réclusion.

    Les émeutiers de Bari sont « des professionnels de la guérilla »

    Comme toujours s’agissant d’immigration, il y a pourtant loin de la loi à son application. Le parquet s’est mis au travail mais ne sait pas encore comment procéder. 28 clandestins (sur plusieurs centaines d’émeutiers) ont été arrêtés en flagrant délit mais il faut désormais établir avec certitude qui a fait quoi (en langage juridique, « attribuer des conduites spécifiques à chaque inculpé ») et c’est, semble-t-il, très compliqué. Comme l’ont expliqué les enquêteurs de la police judiciaire à La Gazzetta del Mezzogiorno, « celui qui a occupé la voie de chemin de fer n’a pas occupé la route nationale et vice-versa. Celui qui a cassé les dents à un policier ou rompu les côtes à un carabinier n’a peut-être allumé aucun incendie ». Pour arriver à la certitude, les enquêteurs sont en train d’analyser les photos et les films pris durant l’émeute, surtout les films pris depuis l’hélicoptère de la police. Les reportages de la télévision ont également été acquis. Rien ne sera négligé, on nous l’assure, « pour trouver de possibles éléments de preuve à l’appui de l’hypothèse des enquêteurs », à savoir que les 28 personnes arrêtées lundi (et bien sûr présumées innocentes) ont effectivement commis les délits en question.

    Selon des informations confidentielles recueillies par La Gazzetta del Mezzogiorno, la police estime en tout cas avoir affaire à de vrais « professionnels de la guérilla », qui se déplacent dans les centres d’accueil de toute l’Italie pour y déchaîner la violence. Une soixantaine d’immigrés qui venaient d’arriver au Centre d’accueil de Bari avaient participé, mercredi dernier, à l’émeute de Mineo (province de Catania, en Sicile). Les clandestins avaient occupé la route nationale 417 Catania-Gela pour demander le statut de réfugiés politiques. Il y avait également eu des incendies et des dégradations, quoique moins graves que ce qui s’est passé depuis à Bari.

    Les enquêteurs de Bari disent n’avoir jamais été confrontés à rien de semblable jusqu’ici. Les émeutiers ont agi selon un plan soigneusement étudié. « Leur stratégie prévoyait le déploiement de petits groupes, avec des objectifs fixés à l’avance. Un groupe sur la voie ferrée, l’autre sur la route nationale 16. Des pierres enveloppées dans des chiffons, qu’ils faisaient tournoyer et qu’ils lançaient à toute force pour avoir une plus longue portée et pour augmenter l’effet destructeur. Chaque fois que les forces de l’ordre s’approchaient d’un groupe d’immigrés, un autre groupe, moins nombreux mais toujours aguerri, surgissait d’un autre côté. Il était impossible de combattre sur deux fronts ». « Dans leurs yeux, témoigne un policier, il y avait la haine ».

    [cc] Novopress.info, 2011, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine

  • Ils volent le toit en cuivre d'une église

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    L'église Jean XXIII - (Cliquez sur la photo)

     Deux voleurs ont été arrêtés en flagrant délit à Saint-Quentin, dans l'Aisne.

    Deux hommes de 26 ans et 37 ans ont été interpellés en flagrant délit de vol, dans la nuit de lundi à mardi, à Saint-Quentin, dans l'Aisne. Des voisins de l’église Jean XXIII, réveillés par le bruit à 3 heures du matin, ont alerté la police. Qui a pu intervenir à temps pour éviter le vol du toit du bâtiment, en cuivre.

    Sur place, les fonctionnaires de la BAC ont constaté qu’une grande partie du toit de l’édifice avait été démontée. Il s’agit d’une église moderne, de forme pyramidale et dont la toiture métallique descend jusqu’au niveau du sol.

    Les policiers ont découvert que les plaques de cuivre démontées avaient été soigneusement entassées sous des buissons, prêtes à être récupérées. En surveillant discrètement le secteur, ils ont pu arrêter les deux voleurs présumés qui s’apprêtaient à charger leur butin dans une camionnette.

    Vol en réunion et dégradations

    Les deux suspects, inconnus des services de police, ont reconnu les faits. "Ils savaient qu’ils s’attaquaient à une église mais je ne suis pas convaincu qu’ils aient assimilé l’importance du symbole de s’attaquer à un édifice religieux", précise le commissaire David Boileau, le chef de la circonscription de sécurité publique de Saint-Quentin.

    A l’issue de leur garde à vue, les deux voleurs présumés ont été remis en liberté. Ils comparaîtront le 6 décembre prochain devant le tribunal correctionnel pour vol en réunion et dégradations.

    Le prêtre "ne condamne pas la personne"

    Les dégâts commis par ces malfaiteurs sans scrupules désolent le curé de l'église Jean XXIII, Antonio Tejado : "C’est triste. Je condamne le geste mais je ne condamne pas la personne. Il y a des choses qui sont beaucoup plus graves". Le prêtre espère simplement que les réparations se feront vite. D'ici-là, il prie pour qu'il ne pleuve pas sur son église à ciel ouvert.

    Cette affaire montre à quel point les voleurs de cuivre n'ont plus de limites, tant les cours des métaux s’envolent. Mardi, à la bourse de New York, le prix de l'once d'or a atteint un pic historique, grimpant jusqu'à 1.644,38 dollars.

    Source INFO E1 - 03/08/11

    D'ici le 6 décembre prochain, ils seront loin!

     

  • Le dieu Soleil sur Tauroentum

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    Tauroentum fut le nom gréco-romain des Lecques (Var) - (Cliquez sur la photo pour l'agrandir))

    Photo Gaëlle Mann

     02/08/11

  • Le tueur d'Oslo souhaite être expertisé par un psychiatre japonais...

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    Anders Behring Breivik, l'extrémiste de 32 ans qui a avoué le carnage du 22 juillet en Norvège (77 morts), continue de faire des siennes en prison. Il a demandé à s'exprimer en anglais devant ses juges – ce qui lui a été refusé – et souhaite être expertisé par un psychiatre japonais.

    Dans le « manifeste » de 1.500 pages qu'il avait mis en ligne sur Internet avant son méfait, il se montrait déjà fasciné par la Corée et le Japon. Son avocat, Geir Lippestad, a expliqué mardi à un journal norvégien que son client « a exprimé le souhait d'un expert japonais » pour l'interroger. « Ce souhait tourne autour de son concept de l'honneur. Il considère qu'un Japonais le comprendrait bien mieux qu'un Européen ».

    Pas de Bible dans sa cellule

    Deux experts-psychiatres norvégiens ont déjà été nommés pour décider si Breivik – qui, selon son avocat, semble être « dément » – est pénalement responsable, et donc apte à être jugé plutôt qu'interné en hôpital psychiatrique. Il encourt 21 ans de prison pour « terrorisme », mais cela pourrait passer à 30 ans s'il était également poursuivi pour « crimes contre l'humanité ».

    Breivik, qui affirme être un « chevalier templier » en croisade contre l'islam et avait été présenté par la police comme un « fondamentaliste chrétien », ne montre pas de signe de foi ou de pratique religieuse dans sa cellule où il est maintenu à l'isolement, selon son avocat. Il n'a pas, par exemple, demandé de Bible.

    En anglais

    Mais il a d'autres exigences: « Quand il était au tribunal, il a voulu parler anglais. Mais je n'ai pas d'information supplémentaire là-dessus », a déclaré le procureur de la police d'Oslo, Christian Hatlo. La demande a été rejetée lors de l'audience du 25 juillet, durant laquelle Behring Breivik a été placé en détention provisoire. L'extrémiste norvégien n'a pas expliqué pourquoi il voulait parler anglais, mais c'est sans doute pour avoir le plus d'audience possible dans le monde.

    En tout cas, les amateurs de jeux vidéo ne lui disent pas merci. Une cinquantaine de jeux, dont les célèbres World of Warcraft et Call of Duty / Modern Warfare, deux simulations de batailles guerrières, ont été retirés de la vente par Coop Norge, la principale coopérative de magasins du pays, « par respect » pour les proches des 77 victimes. Raison invoquée: Breivink était un fan de ces jeux et avait expliqué, dans son manifeste, s'en être servi pour préparer son attentat et ses fusillades.

    Source France-Soir - 02/08/11

  • Nkice - Rues débaptisées: Philippe Vardon répond à Christian Estrosi

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    (Cliquez sur la photo)

    2 août 2011

    J’apprends aujourd’hui dans Nice Matin que le maire de Nice a décidé de porter plainte contre la très vilaine action ayant eu lieu dans le quartier Notre-Dame et ayant consisté à changer le nom des rues sur quelques plaques, de manière symbolique.

    Dans son communiqué la mairie estime que « ces actes scandaleux, en plus de causer des troubles à l’ordre public, constituent des propos de provocation à la haine raciale et à la discrimination ». Rien que ça.

    Alors que notre ville connaît une insécurité endémique, et que le quartier Notre-Dame est devenu une véritable zone de non-droit (à commencer par la rue de Suisse où les prières bloquant la rue ont repris), ce sont donc des feuilles de papier collées avec du scotch qui constituent pour Christian Estrosi des « troubles à l’ordre public » ?

    Quant à « la haine raciale et la discrimination », nous aimerions savoir où elles se trouvent ? Les rues ont été rebaptisées rue de la Lapidation, rue de la Burqa et rue des Frères Musulmans. M. Estrosi doit certainement savoir que la lapidation est bien présente dans le Coran, pratiquée dans de très nombreux pays musulmans, et qu’il se trouve fort peu de représentants de l’islam en France pour la condamner. Tariq Ramadan lui-même ne demandant qu’un timide « moratoire » sur ce sujet… Bien entendu, j’aurais grand plaisir à voir les imams de l’Ariane, de la Madeleine ou de la rue de Suisse m’apporter un vibrant démenti en condamnant avec clarté et fermeté la pratique de la lapidation. Le port de la burqa, quant à lui, est une pratique suffisamment présente parmi les musulmanes de France pour qu’un gouvernement auquel appartenait Christian Estrosi se sente obligé de légiférer à ce propos. D’ailleurs, si le simple fait de nommer une traverse rue de la Burqa constitue une « provocation à la haine raciale et à la discrimination », que penser alors d’un gouvernement qui en interdit le port ? Enfin s’agissant des Frères Musulmans, c’est bien le Ministre Alain Juppé qui affirmait récemment que la France pouvait tout à fait discuter avec ces sympathiques islamistes en Egypte. D’ailleurs, Christian Estrosi lui-même entretient de bonnes relations avec ceux qui leur sont liés en France, à savoir les représentants de l’UOIF comme l’imam Othman (mosquée Ar-Rahma de l’Ariane).

    Je ne comprends donc vraiment pas ce que l’on pourrait nous reprocher.

    Hier, des voisins nous ont affirmé que les forces de police dépêchées sur place effectuaient même des relevés d’empreintes digitales sur les plaques ! On pourrait presque en rire…

    Christian Estrosi utilise en fait la menace judiciaire pour tenter de faire taire ses opposants les plus déterminés. C’est une pratique scandaleuse qui n’honore pas celui qui semblait vouloir ces derniers jours se présenter en parangon de démocratie.

    Si des actions telles que l’organisation d’un apéro porchetta-rosé rue de Suisse, la diffusion d’appels du muezzin dans les quartiers où sont prévus des mosquées ou des écoles islamiques (comme à la rue Saint-Joseph, berceau familial des Estrosi d’ailleurs), ou encore les changements de nom des rues du quartier Notre-Dame, ont lieu c’est en réalité parce que c’est le seul moyen pour les identitaires de percer le mur du silence. Sans notre apéro porchetta-rosé par exemple, les prières musulmanes occupant la rue de Suisse seraient restées méconnues de la majorité des Niçois. Est-ce normal ?

    Nous n’organisons pas ces opérations parce que nous nous ennuyons ou pour meubler nos insomnies, mais parce qu’elles sont – malheureusement – le seul moyen de susciter le débat et d’attirer l’attention des médias sur des situations et des sujets qui préoccupent de très nombreux Niçois.

    Et c’est bien le cas du quartier Notre-Dame, dont les habitants sont exaspérés et inquiets. Si le maire de Nice est si choqué par trois bouts de scotchs et des feuilles de papier qu’il ait donc le courage d’organiser un grand débat public sur le devenir du quartier. J’y participerai volontiers pour lui demander notamment pourquoi il veut ouvrir la mosquée de la rue de Suisse aux musulmans radicaux de l’UOIF, ou encore s’il compte laisser le restaurant de la place Saëtone devenir une seconde mosquée de 250m² ?!

    Enfin, si Christian Estrosi veut réellement en appeler à la justice, je suis certain que les Niçois préféreraient que ce soit pour faire cesser les prières musulmanes qui occupent la rue de Suisse chaque vendredi ou bien pour expulser les musulmans qui occupent en toute illégalité (sans aucun titre et sans verser de loyer) les locaux depuis plus de ONZE ans sans que jamais la décision de justice n’ait été appliquée.

    Philippe Vardon – Président de Nissa Rebela

  • Libye: trois journalistes tués dans leur bureau par un bombardement de l'OTAN

    http://fr.altermedia.info/international/proche-orient-international/3-journalistes-libyens-tus-dans-le-bombardement-de-leur-bureau-par-lotan_36342.html

    Les infos que l'on nous cache! 

    Altermedia.info - 01/08/11

  • C'est bientôt les Journées d'été des Jeunes avec Marine


    Teaser Journées d'été Les Jeunes avec Marine par polecom

     

    Du 7 au 10 septembre, le Front National de la Jeunesse (FNJ) organise à Villars-sur-Var dans les Alpes-Maritimes, les Journées d’été Les Jeunes avec Marine.

     

    NPI - 02/08/11

     

     

  • Delanoë souhaite un joyeux ramadan aux Parisiens...

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    (Cliquez sur la photo)

    Vu sur les panneaux d’info de la ville de Paris.
    Infos Parisiennes – ON CROIT REVER ! Vive la France, ALLONS ENFANTS DE LA PATRIE, LE RAMADAN EST ARRIVE !!!

    Source Altermedia.info - 02/08/11

  • VIDEO - Manifestation à Paris pour l'hébergement d'urgence

    http://www.dailymotion.com/video/xkb1vr_greve-dans-l-urgence-sociale-300-personnes-manifestent-a-paris_news

    02/03/11